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Chapitre 0 : Rappels mathématiques et compléments.

Physique

DOMAINE D’ETUDE : OPTIQUE GEOMETRIQUE

OG1 : COMPRENDRE LES PHENOMENES OPTIQUES

Chapitre 0 : RAPPELS MATHEMATIQUES ET COMPLEMENTS

Proposé par Yann Norfé BEMBA (L’expert) & Le – Sage KIF


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I. Mesure des angles. π


1 °= rad=0,0175 rad .
Les notions rappelées ici ont été vue 180
antérieurement en Mathématiques ; elles
servent constamment en Physique. En Optique π
1 '= rad=0,0003 rad .
géométrique les unités les plus employés sont : 180 ×60

A retenir :
I.1. Le degré sexagésimal.
3
1 '= rad=0,0003 rad .
Définition : Le degré sexagésimal 10.000
(abréviation : °) est égal à 1/90 de l’angle
droit. On a aussi :

180 °
Une circonférence entière correspond à 4 1 rad= ≃57 °30 ' .
π
angles droits, donc à 360 degrés.
Au degré se rattachent :
 La minute sexagésimale (′) : 1° = 60′ ;
 La seconde sexagésimale (″) : 1’ = 60″. I.4. Conséquence de la définition du radian.
Soit plusieurs circonférences concentriques de
rayons R , R ' , R ″ …, et un angle au centre
I.2. Le radian. commun α (voir figure 1).

Définition : Le radian (rad) est la mesure d’un


rayons
angle au centre qui intercepte sur une R″
circonférence un arc égal au rayon. R′ B″
R B′
La longueur de la circonférence de rayon R B
étant 2 πR , une circonférence entière
correspond donc à : O α
2 πR A A′ A″
=2 π radians
R
I.3. Relation degré – radian. Figure 1.
Pour établir la correspondance entre degrés et
radians, il suffit de se rappeler que, pour une
circonférence entière, Exprimer α en radians, c’est chercher

{
α =360 ° arc 2 πR ⇒ α =
rayon R
2 πR
R
=2 π rad combien de fois la longueur d’un arc, (AB par
exemple), contient le rayon correspondant (R)
exprimé avec la même unité de longueur.
A retenir : 180 °=π rad La mesure de α est donc donnée par les
rapports :
Et par suite

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AB A' B' A ″ B″ Définition du sinus. On désigne sous le nom


, ou , ou ;
R R' R″ de sinus de l’angle α ( sinα ) l’ordonnée OS du
Ce qui s’écrit : point M : sinα=OS .
AB A ' B ' A ″ B″
α radians = = = ;
R R' R″ Définition du cosinus. On désigne sous le nom
de cosinus de l’angle α (cosα ) l’abscisse OC
Ou, d’une façon très générale : du point M : sinα=OC .

AB=R × α Définition de la tangente. On désigne sous le


nom de tangente de l’angle α (tanα )
Avec : l’ordonnée du point T, intersection de la droite
AB: arc en mètre (m) ; OM avec l’axe Az parallèle à Oy et orienté
R : rayon en mètre (m) ; dans le même sens que Oy : tanα= AT .
α : angle au centre en radian (rad).
Définition de la cotangente. On désigne par
cotangente de l’angle α (cotanα ) l’inverse de
I.5. Lignes trigonométriques. sa tangente : cotanα =1/tanα .
I.5.1. Définitions.
Traçons le cercle trigonométrique, de centre O, Des définitions précédentes, il résulte que, α
de rayon égal à l’unité (R = 1), et deux axes de prenant toutes les valeurs comprises entre 0 et
coordonnées rectangulaires Ox et Oy (voir 2 π radians :
figure 2 ci – dessous.  sinα varie de – 1 à + 1 ;
 cosα varie de – 1 à + 1 ;
 tanα varie de −∞ à + ∞.
y z  cotanα varie de −∞ à + ∞.

T I.5.2. Angles remarquables.


S M Il est utile de retenir quelques valeurs des
rapports trigonométriques (sinus et cosinus)
α pour certains angles (0° ; 30° ; 45° ; 60° ; 90°).
O cosα C A x On en déduira immédiatement les valeurs des
tangentes et cotangentes.

Angle
sinα cosα tanα cotanα
Degrés Radians
0° 0 0 1 0 +∞
Figure 2.
π 1 √3 √3
30°
6 2 2 3
√3
45°
π √2 √2 1 1
Soit un angle α , qui intercepte l’arc AM, 4 2 2
mesuré à partir du point A comme origine. π √3 1 √3
60°
3 2 2 √3 3
90° 1 0 +∞ 0

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π Nous aurons souvent à considérer, en optique,


2 des angles petits, inférieurs à quelques degrés
par exemple. En utilisant le tableau des
rapports trigonométriques, on peut comparer
pour un même angle α , les valeurs numériques
Remarque : Connaissant la valeur d’un angle, de sinα , α (radians), tanα .
on peut déterminer son sinus, son cosinus ou sa
tangente et, vice – versa si l’on connait la Exemples :

{
valeur du sinus ou du cosinus ou de la tangente, sinα =0,0175
on détermine la valeur de cet angle en utilisant  Pour α =1 ° α=0,0175 rad
les fonctions réciproques arcsinus (sin−1), tanα=0,0175.
arccosinus (cos−1), arctangente ( tan−1) … Jusqu’à la 4è décimale comprise ces valeurs
sont égales.
 Si sinα=a ⇒ α =sin−1 ( a )

{
 Si cosα=b ⇒α =cos−1 ( b ) sinα =0,0523
 Si tanα=c ⇒ α=tan−1 ( c )  Pour α =3 ° α =0,0524 rad
tanα =0,0524.
On peut confondre les valeurs de α (radians)
sinα et tanα avec une erreur relative inférieure
Exemple :
à:
 Pour sinα=1 ⇒ α =sin−1 ( 1 )=90 °=π /2 rad .
0,0001 1
 Pour , inférieure à .
0,0523 500
1
co sα= ⇒ α =cos−1
2 ()
1
2
=60° =π /3 rad .

{
sinα =0,0872
 Pour  Pour α =5 ° α =0,0873 ra d
−1
tan α =1⇒ α =tan ( 1 )=45 °=π /4 rad . tanα=0,0875.
Pour des valeurs peu communes, il n’est pas En confondant sinα et tanα avec α (radians),
facile de déterminer directement les angles, la plus grande erreur relative commise est :
pour cela on se sert de la calculatrice 0,0002 1
, inférieure à .
scientifique pour déterminer les angles non 0,0873 400
remarquables en utilisant les fonctions

{
réciproques. sinα=0,1736
 Pour α =10 ° α=01745 rad
Exemple : tanα=0,1763.
 Pour En confondant sinα et tanα avec α (radians)
−1
sinα=0 , 7 ⇒α =sin ( 0 ,7 )=44 , 42 °=0 , 77 rad . l’erreur relative peut atteindre :
 Pour 0,1763−0,1745 0,0018 1
= ≃ .
−1
co sα=0 , 37 ⇒ α =cos ( 0 , 37 )=68 , 28 °=1 , 19 rad 0,1745 0,1745 90
 Pour
tan α=1, 4 ⇒α=tan (1 , 4 )=54 , 46 °=0 , 95 rad . En résumé, pour des angles petits on peut
−1

écrire finalement :

sinα ≃ tanα ≃ α radians


I.5.3. Cas des petits angles.

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 AC 2= AB 2 +BC 2: Théorème de
avec une approximation d’autant meilleur que PYTHAGORE.
l’angle sinα est plus faible.  cos 2 α +sin2 α =1 : C’est la relation
fondamentale de la trigonométrie.

I.6. Relations trigonométriques dans le


triangle rectangle.
Considérons le triangle ABC rectangle en B. II. Propagation rectiligne de la lumière.
II.1. Généralités.
A L’Optique est l’étude des phénomènes
lumineux ; c’est – à – dire de ceux qui
α impressionnent notre œil. Nous n’étudierons
que l’Optique géométrique, fondée sur la
propagation rectiligne, la réflexion et la
β réfraction de la lumière ; elle explique la
B C formation des images et comporte l’étude des
principaux instruments d’optique : loupe,
microscope, lunette.

côté opposé BC
sinα= =
hypothénuse AC II.1.1. Les objets lumineux.
côté adjacent AB Certains corps émettent de la lumière, ils sont
cosα= =
hypothénuse AC lumineux par eux – mêmes : ce sont des
côté opposé BC sources de lumière. Parmi les sources
tanα= = naturelles, il convient de citer en premier le
côté adjacent AB
Soleil, dont le rôle est éminent ; les nombreux
et très divers appareils d’éclairage sont des
côté opposé AB
sinβ= = sources artificielles de lumière.
hypothénuse AC
La plupart des objets qui nous entourent ne sont
côté adjacent BC pas lumineux par eux – mêmes ; mais ils
cosβ= =
hypothénuse AC
deviennent lumineux quand ils reçoivent la
côté opposé AB lumière d’une source, parce qu’ils diffusent
tanβ = =
côté adjacent BC alors une partie de cette lumière, c’est – à – dire
qu’ils la renvoient dans toutes les directions. En
Optique géométrique, les objets ainsi éclairés

{
π jouent le rôle analogue à celui des sources de
Siα + β= ⇒ sinα =cosβ
2 sinβ=cosα lumière ; les uns comme les autres sont des
objets lumineux.

}
CB
tanα= On appelle point lumineux un objet lumineux
AB ⇒ tanα=cotanβ
CB dont on peut négliger les dimensions, c’est –
cotanβ =
AB à – dire qu’on peut assimiler à un point
géométrique ; une étoile joue le rôle d’un point

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lumineux infiniment éloigné. Nous admettrons les métaux soient très opaques, on peut obtenir
la proposition suivante : des feuilles d’or assez minces pour laisser
passer une lumière verdâtre.
Un objet lumineux est la juxtaposition de points
lumineux indépendants les uns des autres. Le verre dépoli, la porcelaine, le papier mince
diffusent énormément la lumière ; on dit qu’ils
sont translucides. Une partie plus ou moins
grande de la lumière les traverses, mais on ne
II.1.2. Les corps transparents, opaques, peut distinguer à travers eux la forme des
translucides. objets.
La lumière émise par un objet lumineux se
propage dans l’air, ce qui nous permet de le Un corps est dit translucide lorsqu’il absorbe
voir : on dit que l’air est transparent. Les gaz, plus ou moins la lumière.
l’eau et de nombreux liquides comme l’alcool,
certains solides comme le verre, le plexiglas,
etc. sont transparents.
II.2. Principe de propagation rectiligne de la
lumière.
Un corps est dit transparent lorsqu’il se laisse a) Observation.
parfaitement traverser par la lumière. Chacun a observé un rais de lumière solaire
Par opposition, les corps qui interceptent la pénétrant par une ouverture étroite dans une
lumière sont dits opaques. Exemple : le bois, salle obscure. L’illumination des poussières
l’acier… contenues dans l’air permet aisément de
reconnaître les limites de la région éclairée :
En fait, seul le vide transmet intégralement la ces limites sont rectilignes.
lumière ; il est parfaitement transparent. Tous Une observation analogue, moins nette
les milieux matériels absorbent ou diffusent cependant, permet, par temps de brouillard, de
plus ou moins la lumière ; de plus, une partie suivre les contours du volume conique éclairé
de la lumière qui tombe sur la surface de par un phare d’automobile.
séparation de deux milieux se réfléchit. Ainsi
une glace d’un centimètre d’épaisseur ne b) Expérience.
transmet qu’environ 90% de la lumière ; toute Réalisons un point lumineux S et cherchons à
la lumière du jour est absorbée par l’eau des voir S à travers un orifice étroit O (voir figure
mers à une profondeur de quelques centaines de 3). Sur le trajet de la lumière, entre O et S,
mètres. Ces effets peuvent dépendre de la interposons un écran, percé lui – même d’un
couleur de la lumière : par exemple, l’air trou T et cherchons par tâtonnement une
atmosphérique diffuse les radiations bleues et position de T qui permet à l’œil de recevoir la
violettes de la lumière solaire plus que les lumière venant de S. Quelle que soit la position
radiations jaunes et rouges ; cela explique la de T qui réalise cette condition, un fil tendu
couleur bleue du ciel et le fait qu’à son coucher traversant successivement O, T, S est
le soleil prenne une couleur rouge de plus en rectiligne ; pour aller de S en O le trajet de la
plus foncée à mesure qu’augmente l’épaisseur lumière emprunte donc successivement tous les
de l’atmosphère traversée. Par contre, bien que points du segment de droite SO.

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Dans d’autre milieux (eau, alcool, gaz Remarque : Le principe de la propagation


carbonique, hydrogène, etc…) on peut réaliser rectiligne ne permet pas d’expliquer tous les
des expériences analogues. Leur précision est faits de l’Optique. Il constitue cependant une
cependant limitée. première approximation tout à fait suffisante
pour tous les calculs du domaine de l’Optique
géométrique.

S T O II.3. Vitesse de la lumière.


T (2) La lumière ne se propage pas instantanément
(1) d’un point à un autre. On donne à la vitesse de
propagation des phénomènes lumineux le nom
de célérité. La célérité de la lumière, toujours
très grande, dépend du milieu traversé.
Fil
tendu
Exemples :
S T O
 Dans le vide (et pratiquement dans
l’air) elle est de : 300.000Km/s.
(2)
 Dans le verre de : 175.000 à
200.000Km/s suivant les types de
Figure 3.
verres.
 Dans le plexiglas d’environ :
c) Principe.
200.000Km/s.
Pour expliquer de nombreuses observations et
 Dans l’eau de : 225.000Km/s.
expériences de l’Optique, les Physiciens ont été
amenés à formuler la proposition suivante :
La lumière, se propageant à la vitesse v ,
parcourt une distance d pendant une durée t
Dans un milieu transparent et homogène, la
telle que :
lumière se propage en ligne droite. d
v=
t

Un milieu est homogène lorsqu’il est partout  Si d est en mètre (m), t en seconde ( s),
identique. C’est le cas généralement de l’air, de v est en mètre par seconde (m.s-1).
l’eau, du verre.  Si d est en kilomètre (Km), t en seconde
( s), v est en kilomètre par seconde
Cette affirmation constitue un Principe, et ne se (Km.s-1).
démontre pas. Elle trouve sa justification dans
la multitude des conséquences qui en découlent
par le raisonnement logique et que l’expérience II.4. Rayons lumineux, faisceaux lumineux.
a toujours confirmées. II.4.1. L’hypothèse des rayons lumineux.

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On ne considère en Optique géométrique que Figure 4.


des milieux transparents, homogènes et
isotropes.
Un milieu est dit homogène si toutes ses parties II.4.2. Les faisceaux lumineux.
sont identiques ; il est isotrope s’il est doué des Bien qu’un rayon lumineux n’ait pas
mêmes propriétés dans toutes les directions ; en d’existence physique réelle, on peut considérer
particulier, la vitesse de propagation ne doit pas qu’un faisceau lumineux est formé de rayons ;
dépendre de la direction. cela permet de rendre compte du
fonctionnement d’un système optique, tel que
Les milieux homogènes et isotropes sont le le miroir, la lentille, le prisme, etc. en dessinant
vide, les gaz et notamment l’air atmosphérique, la marche de quelques rayons ; les résultats
les liquides, les verres. Par contre un cristal est ainsi trouvés sont toujours d’accord avec ce que
homogène, mais non isotrope ; ainsi dans le donne l’expérience.
quartz (ou cristal de roche) la célérité de la
lumière est plus grande parallèlement aux Par la suite, afin de faire des figures planes,
arêtes du prisme que perpendiculairement. Sauf nous ne considérons que les traces des
dans des cas très rares, les phénomènes faisceaux (car à l’évidence les faisceaux
optiques dans les cristaux sont très compliqués lumineux ont une section circulaire) dans le
et ne seront pas étudiés ici. plan choisi comme plan de figure.
On distingue ainsi différents types de faisceaux
Soit un filet de lumière, à bords parallèles, lumineux, suivant les directions des rayons qui
sortant d’un orifice S en une étroite bande les composent, tels qu’illustrés sur la figure 5
lumineuse (figure 4). Si la source S devient de ci – dessous :
plus en plus petite, la largeur de la bande  Faisceau parallèle (ou cylindrique).
lumineuse décroît. Un faisceau est parallèle quand tous les rayons
Imaginons que S se réduise à un point : le filet qui le composent sont parallèles.
de lumière se réduit à une droite lumineuse,
appelée rayon lumineux.  Faisceau convergent.
Un faisceau est convergent quand tous les
rayons qui le composent se dirigent vers un
Un rayon lumineux est une droite suivant même point.
laquelle se propage la lumière.
 Faisceau divergent.
Un faisceau est divergent quand tous les rayons
Il est représenté par une droite AB sur laquelle qui le composent viennent d’un même point.
une flèche indique le sens de propagation.
 Pinceau lumineux.
On donne le nom de pinceau lumineux à tout
S S’ faisceau de rayons très étroit. Un tel pinceau
peut schématiser un rayon, comme un trait
rayon lumineux mince matérialise une droite géométrique.
A B

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faisceau parallèle faisceau convergent

faisceau divergent pinceau lumineux

Figure 5.

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