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Réglementation EMIR :
Analyse d’impacts et synthèse du dispositif
Réalisé par :
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Mise en perspective
La crise financière a mis en évidence la nécessité de doter les dispositifs de contrôle financier et
systémique de réels moyens pour prévenir le développement de nouveaux risques systémiques au
sein de l'union européenne.
C'est pourquoi l'ESRB (European Systemic Risk Board) a été créé, dans le but « d'identifier les
moyens minimums pour mettre en œuvre une politique macro‐prudentielle répondant à ce
challenge » (Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne).
C' t l'objet
C'est l' bj t des
d directives
di ti CRD ett CRR relatives
l ti au capital
it l des
d établissements
ét bli t de
d crédit,
édit ett Omnibus
O ib
II pour les sociétés d’assurances.
Une troisième initiative consiste a réguler les dérivés OTC, par le biais de chambres centrales de
compensation et de référentiels centraux de données, initiative connue sous le nom d’EMIR.
Points clés
La réglementation EMIR impose une obligation de compensation des transactions de gré à gré sur
instruments dérivés par une chambre de compensation centrale (CCP), pour l’ensemble des
instruments entrant dans le champs d’application établi par l’Autorité Européenne des Marchés
Financiers (ESMA), dès lors qu’une CCP est agrée sur la classe d’actifs concernée.
La réglementation EMIR participe à la transparence des marchés dérivés et impose que toutes les
transactions soient déclarées auprès de référentiels centraux de données (Trade Repositories),
données consultables en permanence par les autorités de tutelle.
Pour les contrats plus singuliers dont la compensation centrale est impossible, ll’ESMA
ESMA propose
(sans imposer) des standards de traitement (contrats de collatéralisation, fréquence d’appels de
marge) afin de diminuer les risques de contrepartie et opérationnel notamment.
La mise en application de ces textes va engendrer des conséquences significatives mais inégales
pour les acteurs concernés (asset managers, banques d’investissement, dépositaires, chambres de
compensation…) : revue du modèle économique, staffing, sécurisation du collatéral, évolution des
systèmes d’informations.
L’industrie financière dispose, d’ores et déjà, d’une vision fidèle et acceptable du cadre final de la
directive EMIR mais les mesures de niveau 2 (Standards Techniques), présentent encore des zones
d'incertitudes qui demandent à être précisées.
EEntrée
é en vigueur
i 2 de
d l’obligation
l’ bli i de d 01 Janvier 2014
déclaration (toutes classes d’actifs) Agrément TR + 3 mois
1 EMIR ne nécessite pas de déclinaison réglementaire au plan national. Néanmoins, en l’absence de décrets d’application
(standards techniques), son application pratique n’est pas encore effective.
2 Entrée en vigueur conditionnée par l’agrément préalable d’un TR sur la classe d’actif concernée par la déclaration
La réglementation EMIR vise l’industrie financière au sens large du terme. Ses textes s’appliquent
à l’ensemble des pparties pprenantes à la négociation
g des dérivés,, et concernent toutes les
opérations conclues par des sociétés situées sur le sol européen.
Exemptions et dérogations
Contreparties Financières
L’ESMA étudie la pertinence d’une dérogation pour les opérations intra‐groupe, qui devraient faire
l’objet de mesures de réduction des risques (échange approprié de garanties) plutôt que d’une
compensation centrale.
centrale
Contreparties non‐financières
Elles peuvent déroger à l’obligation de compensation et aux exigences de marge dès lors que :
les montants notionnels traités demeurent inférieurs aux seuils de compensation établis par
ll’ESMA
ESMA (seuils différents en fonction de la classe d
d’actifs
actifs concernée);
les transactions correspondent à une opération de couverture (au sens de la norme IFRS/IAS
n°39);
les opérations sont réalisées au sein d’entités d’un même groupe (intragroupe).
Le projet EMIR est ambitieux. Il recouvre une très large partie des instruments dérivés négociés
de gré à gré. L’ESMA a d’ores et déjà proposé des orientations en matière d’éligibilité des
instruments. Néanmoins, la nomenclature finale doit encore être arrêtée.
Techniques
Compensation centrale d’atténuation des
Déclaration aux
par une chambre
h b (CCP) risques
i ((contrats
t t hors
h
Trade Repositories
agréée champs de la
compensation centrale)
Options, Futures, Swaps, Forward Rate Agreements (FRA) et tout autre instrument ou
contrat dérivé conclus sur des titres financiers, devises, taux d’intérêts, instruments dérivés
et indices financiers2.
Options, Futures, Swaps, Forward Rate Agreements (FRA) et tout autre instrument ou
contrat dérivé lié aux matières premières , traité sur un marché régulé ou un Système
g
Multilatéral de Négociation (SMN).
( )
Options, Futures, Swaps, Forward Rate Agreement (FRA) conclus sur des variables
climatiques, des niveaux de fret, des taux d’inflation ou tout autre statistique économique
officielle.
1 Sous réserve de modifications lors de la publication des standards techniques (RTS) de l’ESMA (Octobre 2013).
2 Les Swaps et Forwards de change (maturité inférieure à 1 an) pourraient être exemptés de compensation.
La gestion du risque de contrepartie est au cœur des préoccupations du dispositif EMIR. En ce sens,
l’ensemble des transactions sur instruments dérivés éligibles devront transiter par une chambre
centrale de compensation (CCP), qui assumera ainsi le risque de contrepartie de ses adhérents. En
France, les entités souhaitant obtenir le statut de CPP au sens d’EMIR devront déposer un dossier
d’agrément avant le 15 Septembre 2013 auprès de l’autorité nationale compétente (AMF).
Contrepartie Cpt
1 1
Avant Après
EMIR EMIR
CCP
Contrepartie Contrepartie Cpt Cpt
2 3
3 2
L’entrée en vigueur de l’obligation de compensation, qui n’est pas prévue avant le deuxième
semestre 2014, est suspendue à la réalisation de deux préalables :
Pour les différentes classes d’actifs , des chambres de compensation doivent être autorisées (CCP
européennes) ou reconnues (CCP non‐européennes) par l’ESMA.
L’ESMA doit publier ses standards techniques (RTS) désignant le périmètre des instruments
éligibles en chambres, établis sur la base des recommandations du groupe de travail BCBS/IOSCO
(attendu pour Décembre 2013). Les RTS devront ensuite être approuvés par la Commission
Européenne, le Parlement et le Conseil Européens.
Analyse d’impact :
Tous les instruments dérivés répondant aux critères d’éligibilité de l’ESMA devront faire l’objet
d’une
d une compensation par une chambre centrale.
centrale Ces critères portent notamment sur :
Les chambres de compensation sont au cœur du dispositif EMIR. Par conséquent, il est
indispensable de s’assurer de leur résistance pour garantir la sécurité des avoirs clients et la
maitrise du risque systémique. Pour cela, le réglementation impose aux CCP :
l’obtention d’un agrément et une surveillance renforcée par les autorités de tutelles nationales
(e emple : l’AMF pour
(exemple po r la France);
France)
une organisation encadrée et une gouvernance compétente;
des accords d’interopérabilité entre chambres de compensation;
des procédures de gestion des risques : gestion de la défaillance d’un adhérent (cf. schéma),
politique d’appel de marge, exigences en collatéral.
Ressources à la disposition de la
CCP pour la gestion du risque de Polices d’assurances
contrepartie
Fonds Propres de la CCP
Actionnaires de la CCP1
(Augmentation de capital)
1L’actionnariat des CCP est majoritairement composé de ses adhérents compensateurs (exemple : 75% pour LCH
Clearnet), encourageant ainsi une gestion rigoureuse des risques en son sein.
La réglementation EMIR impose aux acteurs des obligations de reporting auprès de référentiels
centraux de données (Trade Repositories). La volonté assumée du dispositif est de rendre le
marché
hé des
d dérivés
dé i é plus
l transparent
t t ett de
d répondre
é d ainsi
i i à une des
d principales
i i l critiques
iti quii lui
l i
est adressé depuis la crise de 2008. De même, ces mesures devraient permettre une meilleure
appréciation des différents risques inhérents à ce marché, le risque de concentration notamment.
Analyse d’impact :
* Aucune reprise du stock de contrats (Legacy Book) n’est possible pour les transactions conclues et achevées avant
l’entrée en vigueur théorique d’EMIR au 16/08/2012
Analyse d’impact :
La réglementation EMIR propose plusieurs pistes (qui feront chacune l’objet d’un standard
technique
q p publié p
par l’ESMA)) afin d’assurer un monitoringg des risques
q inhérents aux opérations
p
non‐compensées :
Initial Margin
Variation Margin
Le WGMR (Working Group for Margin Requirements), agissant pour le compte de BCBS/IOSCO,
précise sa vision d’un collatéral de qualité, pour les transactions hors‐champ de la compensation.
Pour répondre au double objectif de diminution du risque systémique et de promotion de la
compensation centrale, celui‐ci doit “être accessible à tout moment et prendre la forme d’un actif
rapidemment cessible sur le marché en période de stress financier à un prix prédictible”.
Principes de collatéralisation et calendrier d’application
(transactions hors‐champ
hors champ de la compensation centrale)
BCBS/IOSCO – 2nd Consultation Paper
La réglementation opterait pour un seuil Pour éviter tout effet néfaste sur la liquidité
universel de 50 millions d’euros avant général du marché, liée à la hausse
déclenchement des Marges Initiales.
Initiales Au‐delà programmée des volumes d’actifs
d actifs
de ce seuil, les contreparties auraient immobilisés en collatéral, l’entrée en vigueur
l’obligation d’échanger un montant de des Initial Margins et Variation Margins n’est
collatéral au moins supérieur à la différence prévue qu’en Janvier 2015 et sera
entre le montant théorique d’IM (Var99% à 10 échelonnée sur quatre ans. Les contreparties
jours1) et le seuil de 50 m€ (appliqué au les plus actives et les plus systémiques seront
groupe consolidé). Les IM sont versées par les les premières concernées.
deux contreparties (Two
(Two‐ways
ways principle).
Le montant exigé de Variation Margins devra Aucune contrainte d’actifs n’est prévue. En
neutraliser l’exposition mark‐to‐market de conséquence, des aircuts appropriés seront
l’instrument vis‐à‐vis de la contrepartie. appliqués selon la qualité et la volatilité des
Aucun transfert de VM ne p pourra être actifs apportés.
pp Les p
pratiques
q de Re‐use et
inférieur à 100 k€. Re‐Hypothecation du collatéral (cash et
titres) seraient prohibées.
1 Le montant d’Initial Margin pourra également être calculé sur la base d’une grille standard fournie par BCBS/IOSCO.
Depuis la crise financière de 2008, les institutions financières ont massivement recours à la
collatéralisation pour les transactions bilatérales, dont 85% sont réalisées dans un cadre
contractuell ISDA
S (
(Master Agreement).) Ces
C pratiques
i sont quasi‐systématiques
i é i entres institutions
i i i
financières et avec les clients les plus actifs. EMIR institutionnalise ces usages et représente donc
une opportunité d’améliorer la performance opérationnelle de la gestion des dérivés.
De même, la collatéralisation est le reflet d’une évolution dans la perception des risques, tout
comme l’aversion
l’ au risque grandissante,
d pouvant expliquer
l une gestion plus
l resserréeé du
d risque
de contrepartie. Selon l’ISDA, le montant notionnel d’actifs livrés en collatéral a doublé entre 2007
et 2008, et a encore augmenté de près de 25% au cours de l’année 2011, ne faisant qu’augmenter
la pro‐cyclicité économique et financière.
Répartition du collatéral utilisé Part du collatéral en Re‐Use1
(ISDA Margin Survey, Décembre 2012) (ISDA Margin Survey, Décembre 2012)
91%
6% Cash 62%
17% 44%
24%
Obligations
Souveraines
77% Autres titres Intervenants les plus Autres intervenants
actifs
Cash Titres
1 Le rapport final BCBS/IOSCO sur les exigences de marge pourrait préconiser la fin des pratiques de Re‐Use.
L’implémentation du dispositif EMIR engendre de multiples impacts tant opérationnels que sur la
gestion des risques,
risques la structure de coûts et la rentabilité des institutions financières.
financières Ci‐après,
Ci‐après
vous trouverez une vision synthétique des conséquences d’EMIR, puis une approche détaillée de
chacun des impacts évoqués:
Impact Métier
Revue de la rentabilité des opérations
p sur dérivés ((coût en valeur liquidative)
q ) et arbitrage
g
possibles sur la réalisation d’opérations de spéculation et/ou de couverture.
Baisse des volumes d’activité et hausse des coûts de traitement pour les utilisateurs peu
fréquents de dérivés (mise en place d’infrastructures post‐marché trop coûteuses au regard de
l’espérance de rentabilité).
Retour probable vers des produits plus standardisés et des marchés organisés (ex : Contrats à
terme) pour faciliter le traitement post‐marché des transactions.
Impact Risque
Revue de la gestion des risques de contrepartie,
contrepartie de liquidité et opérationnel notamment.
notamment
Impact Coût
Pour les utilisateurs occasionnels de dérivés, une délégation de gestion des obligations d’EMIR
(déclaration des transactions, gestion du collatéral…) au dépositaire du fonds devrait alourdir le
poste de charge Prestataire de Services Titres.
Impact Opérationnel
Interfaçage avec les CCP et les TR (dans le cas d’une gestion en interne des obligations de
déclaration et compensation).
Impact Métier
Revue de la rentabilité des opérations (objectifs de ROE) et sélection des métiers (arbitrage).
Hausse des volumes d’activité et baisse des coûts de traitement pour les utilisateurs fréquents
de dérivés (institutionnalisation et uniformisation des pratiques de collatéralisation).
Recourt plus significatif au refinancement en Banque Centrale (gager des titres non‐éligibles par
les contreparties pour obtenir du collatéral éligible).
Impact Risque
Augmentation des activités de prêts/emprunts de collatéral entre institutions financières
engendrant une interconnexion et une accentuation du risque de contrepartie.
Revue
R d la
de l gestion
i des
d risques
i d contrepartie,
de i ded liquidité
li idi é et opérationnel
é i l notamment.
Impact Coût
Nouveaux frais liés à l’intégration d’intermédiaires et de prestataires (CCP, TR, Prestataires).
Gestion optimisée du collatéral découlant d’une augmentation des coûts de financement des
besoins en HQLA.
Réallocation des ressources financières et humaines induite par les modifications des schémas
d’organisation et de traitement.
Pour les utilisateurs réguliers de dérivés, la transition d’un cadre de compensation bilatérale
(avec chaque contrepartie) à un mode de gestion unilatéral standardisé (en CCP) est une source
de réduction des coûts de traitement post‐marché.
Impact Opérationnel
Adaptation de la chaine de traitement et intégration des nouveaux acteurs dans un double
processus de gestion des transactions sur dérivés OTC compensés et non‐compensés.
Impact Métier
Face à la concurrence des CCP sur les offres préexistantes de valorisation des dérivés OTC et de
gestion des appels de marge, développement probable de nouvelles propositions commerciales
en la matière.
Développement d’une offre de gestion des déclarations d’opérations aux Trade Repositories.
Impact Risque
Risque réglementaire lié aux délais de déclarations des opérations au Trade Repositories.
Impact Coût
Coûts d’élaboration des différentes offres commerciales liées à EMIR.
Coûts
C ût d’intégration
d’i té ti desd CCP ett TR dans
d l chaines
les h i d traitement
de t it t des
d opérations.
é ti
Impact Opérationnel
Interfaçage avec les nouveaux acteurs (CCP et TR).
Adaptation de la chaine de traitement et intégration des nouveaux acteurs (CCP, TR) dans les
processus de ggestion des opérations.
p p
Mise au point et gestion simultanée d’un double processus de traitement des transactions sur
instruments dérivés OTC compensés et non‐compensés.
Elaboration des fichiers standards de communication avec les parties prenantes à la négociation
(membres compensateurs, CCP, TR) et développement des flux STP.
Les nouvelles exigences de marge introduites par EMIR devraient permettre une meilleure gestion
du risque systémique et, à terme, servir d’outil de politique monétaire, de l’aveu même de Mario
Draghi. Néanmoins, les avantages tirés d’un tel dispositif devront être confrontés aux potentiels
désagréments causés sur la liquidité (augmentation sensible du volume d’actifs de haute‐qualité
recherché, HQLA). De même, la finalisation des standards techniques d’appels de marge devront
tenir compte des autres initiatives réglementaires impactant la disponibilité de certains actifs.
• Echange des dérivés sur • Ratio global de fonds • Suivi des risques de crédit
des plateformes propres supérieur à 8% et de liquidité
d’exécution organisées (CTE et Tiers‐One) + divers
(marchés réglementés, coussins de sécurité • Exigences d’adéquation
Multilateral Trading capitalistique (MCR, SCR)
Facilities, Organised Trading • Suivi de la liquidité du bilan
Facilities) à court et moyen‐terme • Transparence envers les
(LCR, NSFR) régulateurs (SFCR, RSR,
• Exigences de transparence QRT)
et de reporting pour les • Besoins supplémentaires
instruments dérivés en fonds propres pour les
opérations intra‐groupe
• Incitation à la
compensation centralisée
d dérivés
des dé i é OTC
Le dispositif EMIR, s’appliquant à la totalité des participants au marché des dérivés, trouve
inévitablement des échos dans d d’autres
autres réglementations dont ll’entrée
entrée en vigueur est prévue ces
prochains mois. Ainsi, les exigences d’EMIR ne pourront être considérées de manière isolée et les
autorités nationales et supranationales devront veiller à l’homogénéité des réformes afin d’éviter
tout chevauchement réglementaire ou contradiction.
Toutes les conséquences d’EMIR ne vont pas impacter simultanément l’industrie financière. Cette
dernière y sera confrontée de manière cadencée, au fur et à mesure de l’entrée en vigueur des
obligations
bli ti d dispositif.
du di itif
Entrée en Obligations
Impacts
vigueur engendrées
Gestion des
Rédaction de procédures de gestion des différends.
différends,
Mise en place d’outils de réconciliation.
/ /
15/09/2013 compression
p et
Accords
A d bilatéraux
bil té sur le
l mode d ett la l fréquence
fé d
de
réconciliation des
compression avec les contreparties.
portefeuilles
Compensation Centrale
Solutions annexes
Gestion de projet
Délégation de services
Audit des processus opérationnels de gestion des différentes obligations.
Etude d’opportunités d’une délégation de traitement des obligations (coûts et avantages).
Audit des modèles de valorisation
Revue des conventions établies avec les tiers (contreparties, membres compensateur, CCP, TR).
V ill réglementaire
Veille é l i visant
i à définir
défi i les
l priorités
i i é et orienter
i l navigation
la i i du d client.
li
Annexe n°1 :
Textes de référence
Annexe n°2 :
2015 3 000
2016 2500
2017 1500
2018 750
2019 8
1 Le montant notionnel de dérivés OTC est évalué à plus de 632 000 milliards de dollars (Banque des Règlements
Internationaux, Décembre 2012).
Annexe n°3 :
Annexe 4 :