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REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE


HAUTE ECOLE DE COMMERCE DE KINSHASA

Sciences et Techniques du Secrétariat


BUREAUTIQUE I
Notes de cours à l’intention des apprenants de 1e LMD en Sciences et Techniques du Secrétariat

Titulaire du cours:
LIMEKA LI-MABILA Limex
Doctorant/Chef de travaux
Suppléant :
IYEMBO NGINDA Rodrigue
Chef de travaux
MIS Assistant
(Management Information System)

2023-2024
0.1. Objectifs du cours
0.1.1. Objectif principal
Ce cours a pour objectif principal le renforcement des
capacités des étudiants à l'utilisation des outils informatiques et des
logiciels bureautique.
0.1.2. Objectifs spécifiques
 Permettre à l’étudiant de maitriser les logiciels de travail de
bureau
 Apprendre à utiliser les équipements informatiques (ordinateurs,
Imprimantes, Modem, Gadgets et autres)
 Acquérir des compétences de base nécessaires afin de saisir, mettre
en forme et imprimer le contenu d’un document
 Permettre à l’étudiant à se familiariser avec l’ordinateur.
0.1. Objectifs du cours
0.1.2. Objectifs spécifiques
Stimuler l’esprit de recherche de la part de l’étudiant et l’amener à
identifier les besoins réels d’une entreprise (en matériels,
fournitures ou consommables) en tenant compte de notre époque.
0.2. Subdivision du cours
Chapitre I : LA BUREAUTIQUE ET LA MODERNITE DE
L’ENTREPRISE
Chapitre II : MATERIELS DE REPRODUCTION ET SUPPORTS
DE SAUVEGARDE DE DOCUMENTS
Chapitre III : PRATIQUE DE LA BUREAUTIQUE ET
PRODUCTIVITE DE L’ENTREPRISE
Chapitre IV : UTILISATION DE MICROSOFT OFFICE 2010
Ce cours comprend deux parties :
 La première partie est théorique, et introduit les différentes
notions de base des outils bureautiques (logiciels, équipements et
principes d’utilisation)
 La deuxième partie est centrée sur les cas pratiques avec exercices
dans le laboratoire informatique
0.3. Evaluation
Elle se fera en trois parties :
 La première partie aura 20 % et sera attribuée aux travaux
pratiques que les étudiants réaliseront.
 La deuxième partie aura également 20 % et sera attribuée aux
interrogations écrites.
 La troisième partie aura 60 % et sera attribuée à un examen écrit.
0.4. Prérequis
Les étudiants ayant la maitrise de la manipulation des
outils informatiques (Gadgets, Tablettes et autres) auront la facilite
d’appréhender ce cours avec beaucoup d’aisance.
0.5. Organisation du Cours
Le cours comprend deux parties. Apres l’introduction magistrale du
titulaire du cours, ensuite s’en suivra l’exposition de chaque partie
par son suppléant, et les étudiants réaliseront plusieurs Travaux
Pratiques avec les outils bureautiques pour concilier la théorie à la
pratique.
NB : Le support du cours n’étant pas autorisé, les étudiants recevront
gratuitement des documents papier ou électronique à reproduire.
0.6. Mode d’envoi du travail, par exemple :
A : limeka@yahoo.fr
Objet : LUSAMBA MPINGA Malou – LG001
En résumé et au terme de ce chapitre, il faudra retenir
que la bureautique est bien difficile à définir. Certains la définissent
comme « un ensemble d’outils intégrés pour le traitement de
l’information. » Mais en plus de ses capacités techniques, la
bureautique influence les méthodes de travail et de gestion des
entreprises.
Un système bureautique complet et intégré se compose
d’un traitement de texte, d’un chiffrier électronique, d’un système
d’agenda, d’un système de communication et de messagerie et enfin,
de bases de données.
0.6. Mode d’envoi du travail, par exemple :
Un système bureautique peut uniquement se composer
d’un simple logiciel marchant sur un micro-ordinateur ou se
composer d’un réseau de serveurs reliés à un ordinateur central,
selon les besoins de l’institution qui l’utilise.
Mis à part les défis technologiques, il y a aussi les défis
humains auxquels doit faire face la bureautique actuelle.
En effet, on ne peut plus négliger de prendre en
considération l’impact qu’elle a sur le bien-être et l’efficacité du
personnel de bureau. Il faut essayer de l’ « humaniser.»
0.7. Bibliographie
A. Ouvrages
1.ATHERTON P, Manuel pour les systèmes et services
d’information, Edition. UNESCO, 7 place de Fontenoy,
75700 Paris, 1977.
2. BAENDE EKUNGOLA Jean Gérard, Les normes de la
rédaction scientifique, Edition CEDI, Kinshasa, 2006.
3. BERTHET Charles, Informatique de gestion, Ed. EYROLLES,
Paris 1987.
4. BOUCHY Serge, Ingénierie des systèmes d’information évolutifs,
Ed. EYROLLES, Paris 1994.
5.BOURLET François, BUREAUTIQUE, La microinformatique au
cœur de l’entreprise : Formation rapide,
Editions RADIO, Paris 1990.
6.CASTELLANI Xavier, Méthodes générales d’analyse des
applications informatiques (MCX), Tome 0, Ed.
MASSON, Paris 1987.
7. GABAY Joseph, Merise et UML : Pour la modélisation des
systèmes d’information, 5ème Edition DUNOD,
Paris, 2004.
8. MARTIN D., Base de données, Méthode pratique sur maxi et
mini-ordinateurs, Ed. DUNOD, Paris 1983.
9. O’BRIEN James, Les systèmes d’information de gestion, Ed.
DeBoeck Université, Montréal 1995.
10. PHILIPP Jacques, Initiation à la micro-informatique, Ed.
EYROLLES, Paris 1990.
11.REIX Robert, Informatique appliquée à la comptabilité et à la
gestion, Tome 2, les THOMAS Roland et
LEMBERG Henri, Précis d’informatique, Ed.
EYROLLES, Paris 1989.
B. Revues et autres documents
1. Alliance biblique universelle, La Bible : Parole de Vie, 2003.
2. Second Louis, La Bible.
3. ROBERT Paul, Le Nouveau Petit ROBERT, Edition
Dictionnaires Le Robert, Paris, 1993.
4. Collection Microsoft Encarta 2010.
C. Webographie
1. http://www.commentcamarche.net : Encyclopédie informatique
(libre).
2. http://www.encartaupdate.msn.com : Collection Microsoft
Encarta 2010.
INTRODUCTION
En général, le travail est une activité de l’homme
appliquée à la production, à la création et à l’entretien de quelque
chose. En d’autres mots, le travail est une activité laborieuse de
l’homme considérée comme un facteur essentiel de la production et
de l’activité économique qui doit être réalisée avec perfection,
fiabilité, rapidité et en toute sécurité afin d’atteindre la
performance (efficacité et efficience) entendue par les décideurs (ou
dirigeants).
Pour atteindre cette performance dans une entreprise,
l’homme et la machine sont mis à profit ; et chacun a des tâches
spécifiques à réaliser.
INTRODUCTION
Ainsi, dans une entreprise, il existe plusieurs types de
tâches, opérations ou traitements des informations (manuel, semi-
automatique ou automatique) avec des modes de traitement (en lot
ou unitaire) et des délais de réponses (différé ou immédiat)
différents les-uns et les autres.
Le mode de traitement ou d’établissement manuel des
documents dans une entreprise engendre toujours des multiples
problèmes, notamment l'inefficacité et la lourdeur dans la
réalisation des tâches, le risque d’erreurs trop élevé dans la
production des résultats, la difficulté de recherche des informations
à cause de l’encombrement de tas des dossiers, la fatigue à cause
des tâches répétitives et harassantes, etc.
INTRODUCTION
A cet effet, pour résoudre ces problèmes et ipso facto
alléger le travail de l’homme, les dirigeants installent au cœur ou au
sein de leurs entreprises des systèmes permettant aux utilisateurs
finals (finaux) de saisir, de mémoriser, de modifier, de transporter et
de diffuser l’information avec souplesse et facilité.
Par conséquent, le bureau mécanisé cède le pas au
bureau automatisé ou informatisé. L’acquisition de postes de travail
sur ordinateur et d’autres équipements électroniques transforme les
méthodes manuelles de travail de bureau et les supports papier de
communication en système automatisés où la bureautique reste
actuellement le seul système adéquat pour le bon fonctionnement et
la gestion d’une entreprise moderne.
INTRODUCTION
Dans la même perspective, la bureautique est en voie de
modifier les habitudes de travail et l’équipement des utilisateurs
finals. Bien sûr, aucun d’entre nous ne voudrait travailler dans un
bureau où l’on effectue manuellement toutes les activités de
traitement de l’information.
Les systèmes bureautiques, in fine, sont des systèmes
d’information informatisés (SII) qui collectent, traitent, stockent et
transmettent des messages électroniques, des documents, ainsi que
d’autres formes de communication entre les personnes, les équipes
de travail et les organisations.
INTRODUCTION
De tels systèmes peuvent accroître la productivité des
gestionnaires et des autres membres du personnel en réduisant
considérablement le temps et les efforts qu’ils doivent consacrer à
produire, consulter et recevoir des communications d’affaires.
Pour bien cerner les alentours de la bureautique ainsi que
son domaine d’application, nous avons organisé les différentes
matières dans ce cours de sorte que les futurs cadres en Sciences et
Techniques du Secrétariat qui les auraient régulièrement et
attentivement étudiées de disposer de connaissances (théoriques et
pratiques) et d’être capables d’identifier tous les matériels et
fournitures adéquats en vue de réaliser informatiquement les
travaux de bureau.
INTRODUCTION
Pour cela, au terme de celui-ci, l’étudiant régulier,
attentif et assidu de 1er Licence (LMD) en Sciences et Techniques du
Secrétariat doit être en mesure de :
 Identifier et de décrire les différents matériels utilisables pour la
réalisation des travaux de bureau et de comprendre leurs
fonctionnalités de base.
 Utiliser à bon escient les moyens offerts par les technologies de
l’information et de la communication (ordinateur, Internet,
téléphonie mobile…) ainsi que les logiciels d’une Suite
Bureautique, par exemple Microsoft Office.
Certes, le cours de bureautique I aborde les aspects
préliminaires et fondamentaux pour la réalisation des Travaux de
Bureau d’une façon automatisée.
INTRODUCTION
Outre les aspects théoriques, nous l’étofferons avec
pragmatisme afin de permettre à l’étudiant de maîtriser l’utilisation
des moyens offerts par les technologies de l’information et de la
communication en ce qui concerne la réalisation des activités de
bureau.
Cela étant, les matières à dispenser dans ce cours seront
accompagnées des multiples travaux pratiques dans le souci
d’initier et de familiariser l’étudiant avec les fonctionnalités de base
des matériels et logiciels bureautiques.
INTRODUCTION
Outre les aspects théoriques qui permettront à l’initié de
maîtriser les notions essentielles et fondamentales dudit cours, ceux
pratiques viendront enrichir celui-ci afin de permettre au futur
Cadre en Sciences et Techniques du Secrétariat de se préparer à
l’horizon de la vie professionnelle dans l’entreprise.
Enfin, en guise d’évaluation, nous proposerons au cours
de l’année académique au moins une interrogation, des travaux
pratiques (TP) et un examen à la fin de la session. Cependant, tout
étudiant qui se démarquerait remarquablement avant celle-ci
bénéficiera d’une dispense (visa).
Chapitre I : LA BUREAUTIQUE ET LA MODERNITE DE
L’ENTREPRISE
Une entreprise moderne doit répondre à certain nombre
de qualité : ergonomique, confortique, équipée d’un système
informatique adéquat. Un système bureautique fiable un facteur de
productivité pour l’entreprise.
Dans ce chapitre, nous allons montrer l’importance d’un
système bureautique dans une entreprise moderne en vue de
simplifier, d'améliorer et d'automatiser l'organisation des activités
d'une entreprise ou d'un groupe de personnes.
Section 1 : LA BUREAUTIQUE
La bureautique, une science en mal de définition.
Certains auteurs, comme Michelle Guay, estime que la recherche en
bureautique n’est qu’au stade embryonnaire.
Section 1 : LA BUREAUTIQUE
Dans certaines entreprises, pense-t-elle, on commence
seulement à réaliser que la bureautique constitue un changement
profond dans la façon de travailler et à se préoccuper de la culture
d’une organisation face à l’informatisation.
De vives discussions s’engagent encore entre spécialistes
pour définir ce qu’est, au juste, la bureautique. Certaines personnes
pensent immédiatement au traitement de texte alors qu’il faut voir
la bureautique comme un ensemble d’outils intégrés pour le
traitement de l’information dans un bureau moderne. Appelée
également "Système de gestion" dans certaines entreprises, le terme
« bureautique" n’est plus à la mode ou qu’il cache une tare
quelconque.
Section 1 : LA BUREAUTIQUE
Quoi qu’il en soit, la perception de la bureautique a
changé. Définie auparavant à la lumière de ses seules possibilités
techniques (la quincaillerie), la bureautique se discute maintenant
dans une optique plus large, sous l’angle des changements des
méthodes de travail et de gestion. Ce qui était négligé autrefois
devient aujourd’hui prioritaire, dont les impacts sur l’organisation
du travail et sur le personnel. On recherche moins le tape-à-l’œil
que des moyens de développer l’organisation en fonction de
l’introduction des nouvelles technologies. D’autre part, le domaine
de l’informatique continue d’évoluer sans qu’on ait encore réussi à
en intégrer parfaitement les différents outils. Qui plus est, on ne
dispose pas encore d’instruments sûrs pour mesurer l’efficacité et la
rentabilité des systèmes, encore moins pour en vérifier les impacts à
tous les échelons d’une entreprise.
Section 1 : LA BUREAUTIQUE
Ainsi la bureautique dite « intégrée » est encore au stade
de la recherche et de l’expérimentation.
La bureautique, donc, est un ensemble d’outils
électroniques complexes, qui pose encore aujourd’hui des
problèmes de compatibilité et d’efficacité. L’intégration parfaite des
télécommunications et de l’informatique, la mise au point de
réseaux intégrant la voix et l’image, tels sont les défis
technologiques actuels de la bureautique.
1.1. La Bureautique, définitions et origine
La bureautique peut se définir de plusieurs manières selon les
contextes et selon les auteurs. Mais cela revient au même. Analysons
ces quelques définitions de la bureautique afin de bien cerner son
contour ainsi que les éléments y intègrent.
1.1. La Bureautique, définitions et origine
Le terme "bureautique" est un néologisme formulé en
1976 (en tant que traduction de l'expression anglaise Office
automation), dans un discours de Louis NAUGES intitulé "les
systèmes d'information numériques". Il fut officialisé en 1978 dans
le rapport de S. NORA et A. MINC, "L’informatisation de la
société". Selon eux, la bureautique est "l’ensemble des techniques
de saisie, de mémorisation, de traitement, de transport et de
diffusion de l’information et de leur emploi pour la gestion des
messages formels dans les organisations".
1.1. La Bureautique, définitions et origine
Ce n’est qu’en 1982 que le Journal Officiel français
consacre le terme en le définissant comme "l’ensemble des
techniques (informatique, télématique…) et des moyens tendant à
automatiser les activités de bureau et principalement le traitement
et la communication de la parole, de l’écrit et de l’image".
Si d’une manière générale, la bureautique consacre
l’automatisation des tâches de bureau, elle peut être définie, en
accord avec l’Association Française de Cybernétique Economique
et Technique (AFCET) à travers le rapport de ses journées des 2 et
3 décembre 1980, comme "la science du système individuel
d’information tel qu’il est utilisé pour l’exécution des tâches à
caractère administratif".
1.1. La Bureautique, définitions et origine
En d’autres mots, la Bureautique
regroupe des équipements électroniques et mécaniques permettant
de produire, de stocker, de dupliquer, de traiter ou de communiquer
des informations, généralement dans l'univers professionnel des
bureaux et des administrations. Ces systèmes sont aussi utilisés dans
des cadres commerciaux, littéraires, militaires, etc.
Nous aussi, nous pouvons définir la Bureautique comme
étant l’ensemble des techniques et des ressources de gestion et
d’administration des entreprises modernes tout en recourant
davantage aux technologies de l’information et de la
communication.
1.1. La Bureautique, définitions et origine
Donc, le but de la Bureautique est ainsi de fournir des
éléments permettant de simplifier, d'améliorer et d'automatiser
l'organisation des activités d'une entreprise ou d'un groupe de
personnes (gestion des données administratives, synchronisation des
rendez-vous...).
Cependant, avec l’évolution des nouvelles technologies de
l’information et de la télécommunication, c'est-à-dire avec
l’évolution des matériels, on peut dire actuellement que la
Bureautique se différencie de l’Informatique dans la mesure où elle
ne fait plus appel à un personnel informaticien spécialisé (analystes,
concepteurs, programmeurs, ingénieurs…) pour sa mise en œuvre.
1.1. La Bureautique, définitions et origine
Ce dernier est beaucoup plus sollicité pour une
informatisation approfondie du système d’information ou de sa
mise en cause.
1.2. Enjeux des systèmes bureautiques dans l’entreprise
La mise en place d’un système bureautique dans une
entreprise exige beaucoup de prudence et recommande de mener
d’abord une étude préalable menant à vérifier s’il y a l’opportunité
et la faisabilité.
Pour cela, il est toujours plus judicieux d’informatiser
une entreprise de façon progressive et en fonction de sa réalité,
c'est-à-dire de ses besoins, en évitant l’illusion du suréquipement ou
les lacunes du sous-équipement ou encore en choisissant un
matériel ou des logiciels non adéquats.
1.2. Enjeux des systèmes bureautiques dans l’entreprise
Si une entreprise est informatisée mais ne possède pas de
réseau local ou de système multipostes (ce qui n’est pas une
obligation), le transfert des données se fera alors par des voies
classiques (remise en main propre, courrier, téléphone…) ; d’où
une perte de temps et un risque accru de pertes de données lorsque
les volumes échangés sont importants.
Donc, on peut très bien ne pas informatiser tous les
services d’une entreprise mais seulement en choisir un, deux ou
même réaliser des expériences pilotes qui permettront de mieux
évaluer ce que va apporter l’informatique.
Tout informatiser à la fois peut être ambitieux et lourd à
gérer car cela oblige souvent à revoir les schémas d’organisation de
l’entreprise et à les faire évoluer.
1.2. Enjeux des systèmes bureautiques dans l’entreprise
L’informatisation représente en effet une occasion majeure
de repenser les solutions de travail et de perdre ainsi certaines
habitudes pas toujours très rationnelles. En outre, revoir
l’organisation de l’entreprise ou d’un service peut même imposer une
restructuration ou un déplacement de personnes (géographique ou
fonctionnel).
Donc, cela n’est pas toujours simple et il est plus sage
d’évoluer progressivement plutôt que de risquer de créer une
"révolution" brutale que ne pourrait que gêner voire nuire au
fonctionnement du service ou de l’entreprise.
C’est plus la taille de l’entreprise, la nature des travaux à
informatiser, les moyens de cette entreprise qui doivent déterminer
la stratégie d’informatisation.
1.2. Enjeux des systèmes bureautiques dans l’entreprise
Pour certains auteurs, la recherche en bureautique ne
devrait plus se préoccuper uniquement de problèmes techniques,
mais surtout des personnes qui l’utilisent. On ne doit plus penser en
terme d’outils, mais plutôt en terme de système global qui modifie
les valeurs mêmes d’une organisation.
L’introduction des outils bureautiques a perturbé entre
autres les tâches traditionnelles des secrétaires et des employés de
bureau, positivement ou négativement selon les cas. Trop souvent
en effet, on s’est peu soucié des impacts sur le travail, ce qui a eu
souvent pour résultat d’augmenter la résistance au changement,
l’absentéisme et le roulement du personnel.
1.2. Enjeux des systèmes bureautiques dans l’entreprise
Dans le processus d’introduction des technologies, à cet
égard, un des aspects les plus critiques à considérer, c’est la
formation et la sensibilisation du personnel. C’est un élément qui a
été négligé dans le passé ou dans certaines entreprises actuellement
et qui doit primer aujourd’hui, avant même l’achat de
l’équipement.
Entre les défis techniques et les défis humaines, Marc
Sévigny, estime que la bureautique cherche encore à se situer, voire
à se définir.
À la fascination pour le gadget électronique succède
maintenant une volonté de bien faire les choses, dans le respect des
personnes qui sont la ressource première d’une entreprise. Tout le
monde le reconnait, reste maintenant à mettre cette bonne volonté
en pratique pour « humaniser » la bureautique.
1.3. Outils et fonctions des systèmes bureautiques
Pour donner tout de même une image de ce qu’est la
bureautique, on fait habituellement référence à une gamme d’outils
électroniques et informatiques pour le traitement et la gestion de
l’information dans un bureau moderne. Selon Michel Blanchard,
du Centre spécialisé en bureautique du Cégep Bois-de-Boulogne,
Six grandes fonctions caractérisent ce qu’on pourrait appeler un
système bureautique complet :
 Un traitement de texte avancé
 Un chiffrier électronique performant, qui permet des opérations
de calcul et la production de tableaux et graphiques
 Un système d’agenda complet pouvant être relié au traitement de
texte
1.3. Outils et fonctions des systèmes bureautiques
 Un système de communication et de messagerie, à l’interne
comme à l’externe (Intranet ou Extranet)
 Des bases de données facilement accessibles, programmables,
pour la gestion des dossiers et documents
 Un système d’archivage électronique pouvant faciliter le
classement numérique des documents et dossiers…
A cela, on peut ajouter des fonctions d’aide à la décision
qui prennent la forme de logiciels d’analyse du marché, de gestion
de projets, de prévisions et de planification financières…
La bureautique à son niveau le plus élémentaire consiste
à équiper un bureau ou une entreprise avec un logiciel sur un
micro-ordinateur pour des besoins de gestion simples.
1.3. Outils et fonctions des systèmes bureautiques
Cependant, lorsque l’information à traiter devient plus
considérable, où plusieurs postes de travail doivent recourir à une
même information, comme dans un service public par exemple, les
besoins décuplent. C’est là qu’intervient l’information en réseau,
sous la forme de stations de travail reliées à un ordinateur central
(mainframe), ou à un serveur (mini-ordinateur ou super-micro)
capable de supporter plusieurs tâches simultanément. Les capacités
de stockage et de consultation de données sont alors essentielles.
Les systèmes bureautiques sont des Systèmes
d’Information Informatisés (SII) qui collectent, traitent, stockent et
transmettent des messages électroniques, des documents, ainsi que
d’autres formes de communication entre les personnes, les équipes
de travail et les organisations.
1.3. Outils et fonctions des systèmes bureautiques
De tels systèmes peuvent accroitre la productivité des
gestionnaires et des autres membres du personnel en réduisant
considérablement le temps et les efforts qu’ils doivent consacrer à
produire, consulter et recevoir des communications d’affaires.
Les ressources matérielles (postes de travail intelligents),
les ressources logicielles (programmes de bureautique) et les
ressources humaines (les travailleurs de l’information)
convertissent les données textuelles, vocales et visuelles en produits
informatifs grâce aux activités de saisie, de traitement, de sortie, de
stockage et de contrôle du système d’information.
Ainsi, il existe plusieurs systèmes bureautiques dans des
entreprises.
Voici une vue d’ensemble des systèmes bureautiques :
1.3. Outils et fonctions des systèmes bureautiques
1.3. Outils et fonctions des systèmes bureautiques
Ainsi, on peut exprimer les idées en mots, en chiffres, en
symboles, en sons et en images, les saisir sous forme de texte, de son
ou d’images (entrée) ; les agencer et les manipuler électroniquement
(traitement) ; les stocker et les classer électroniquement sur support
magnétique, optique, micrographique, ou sur papier (stockage) ; les
diriger au moyen de différents programmes de bureautique
(contrôle) ; et les transmettre électroniquement à un destinataire
vocalement, par vidéo ou sur papier (sortie).
Par exemple, lorsqu’une personne parle au téléphone
(entrée), on peut numériser son message vocal (traitement), le
placer temporairement sur disque magnétique (enregistrement),
puis le retransmettre à un autre téléphone sous forme de message
vocal à la demande (sortie). Le tout, sous la direction d’un
programme de messagerie vocale (contrôle).
1.4. Les suites bureautiques
Notons d’abord les concepts qui suivent :
Un logiciel (ou software) est un ensemble des programmes, des
procédés et des règles, et éventuellement de la documentation, relatifs au
fonctionnement d'un ensemble de traitement de l'information.
Par contre, un progiciel est un ensemble complet de
programmes accompagné d'une documentation, conçu pour être fourni à
différents utilisateurs pour réaliser des traitements informatiques
standards.
C’est-à-dire, un logiciel spécifique est conçu pour une et une
seule entreprise pour ses besoins propres tandis qu’un progiciel est conçu
et vendu sur le marché informatique pour plusieurs utilisateurs ayant des
besoins communs.
On appelle "Suite Bureautique" (Office suite) un ensemble de
logiciels permettant de répondre aux besoins bureautiques ; c'est-à-dire, un
ensemble de progiciels de bureautique.
1.4. Les suites bureautiques
Une suite bureautique est ainsi composée des logiciels
(suite logicielle) suivants :
 Un traitement de texte (par exemple MS Word)
 Un tableur (par exemple MS Excel)
 Un outil de présentation appelé parfois préAO ou pre-AO (par
exemple MS PowerPoint)
 Un système de gestion des bases de données (par exemple MS
Access)
 Un agenda numérique (par exemple MS OutLook)
1.4. Les suites bureautiques
Les principales suites bureautiques utilisées sont les
suivantes :
 AppleWorks
 Corel WordPerfect
 IBM/Lotus SmartSuite
 Microsoft Office
 Sun StarOffice
 OpenOffice (logiciel libre)
1.4. Les suites bureautiques
Dans le cadre de ce cours, nous verrons comment exploiter un
ordinateur en se servant de bureautique Microsoft Office, la plus
utilisée au monde. Et nous allons nous référer à la version Microsoft
Office 2010. Bien entendu, les fonctionnalités de versions 2003 et
2007 d’Office seront également évoquées afin d’en faciliter la
compréhension. Toutefois, il faudrait noter que la version Office
2007 n’a pas assez de différence avec la version Office 2010.
La suite bureautique Microsoft Office 2010 contient les
logiciels ci-après :
 Microsoft Access 2010, Microsoft Excel 2010
 Microsoft InfoPath Designer 2010
 Microsoft InfoPath Filler 2010
1.4. Les suites bureautiques
 Microsoft OneNote 2010, Microsoft Outlook 2010
 Microsoft PowerPoint 2010, Microsoft Publisher 2010
 Microsoft SharePoint Workspace 2010
 Microsoft Word 2010
1.5. Evolution des systèmes bureautiques
a) Machines à écrire
Utilisée depuis les années 1870, la machine à écrire
manuelle a pratiquement disparu du bureau moderne. Elle a été
remplacée par la machine à écrire électrique, puis par la machine à
écrire électronique et, enfin, par la machine à traitement de texte
dédié, ou l'ordinateur doté d'un logiciel de traitement de texte.
La machine à écrire électrique utilise des caractères en
métal moulés individuellement ou une boule rotative avec des
caractères en relief qui frappent une feuille de papier à travers un
ruban encré pour imprimer le caractère sur le papier. De
nombreuses machines à écrire ont un ruban correcteur individuel,
permettant à l'utilisateur d'effacer du texte.
1.5. Evolution des systèmes bureautiques
a) Machines à écrire
La plupart des machines à écrire électroniques
permettent également de visualiser le texte, grâce à l'utilisation
d'un petit écran d'affichage à cristaux liquides, et de lui apporter
des modifications avant de l'imprimer.
b) Machines à traitement de texte dédié
Au début des années 1980, les micro-ordinateurs
spécialisés dans le traitement de texte se banalisèrent. Ces
traitements de texte dédiés comportent de nombreuses fonctions
d'édition qui facilitent la manipulation des textes, comme la
possibilité d'insérer un nouveau texte à un endroit quelconque d'un
document, de supprimer du texte, de « couper et coller » (déplacer
des blocs de texte à un nouvel endroit) et de chercher ou de
remplacer des zones de texte, ce qui permet aux utilisateurs
d'apporter plusieurs modifications à un document sans devoir le
ressaisir.
b) Machines à traitement de texte dédié
Le logiciel de traitement de texte peut intégrer une
fonction de composition et une fonction de mise en page, permettant
à l'utilisateur de concevoir et de mettre en page électroniquement
une page imprimée. Ces fonctions sont connues sous le nom de
« Publication Assistée par Ordinateur » (PAO).
Un document réalisé par traitement de texte peut être
stocké sur disque magnétique ou sur un autre support en vue d'une
utilisation ultérieure et peut être envoyé vers une imprimante pour
obtenir un document sur papier.
c) Ordinateurs
Depuis la fin du XIXe siècle, les opérations financières et
autres tâches de tenue d'archives numériques étaient exécutées
manuellement ou par des machines comptables, des machines à
facturer, des équipements mécanographiques et d'autres types
d'appareils électromécaniques comptables.
À partir des années 1950, ces machines furent peu à peu
remplacées par des ordinateurs, machines à l'époque volumineuses,
très coûteuses, nécessitant des opérateurs qualifiés et un système de
régulation de la température pour empêcher la surchauffe des
composants.
c) Ordinateurs
De nos jours, l'utilisation des machines haut de gamme
est limitée à de grandes organisations ayant d'énormes besoins en
informatique. Le système de temps partagé, permettant à plusieurs
sociétés d'utiliser simultanément le même ordinateur, a été mis en
place afin de diviser le coût des équipements entre utilisateurs tout
en maximisant l'utilisation de ces équipements.
Les gros ordinateurs avec terminaux distants, chacun
équipé de son propre moniteur afin de permettre à plusieurs
utilisateurs d'entrer des données simultanément, furent introduits à
la fin des années 1960. Cependant, le développement du mini-
ordinateur offrit une solution beaucoup moins onéreuse. La
microélectronique a permis la fabrication de ces machines, de plus
en plus petites, fiables et relativement peu coûteuses.
c) Ordinateurs
Les mini-ordinateurs, dont les premiers ont d'abord été
utilisés pour l'automation industrielle et le calcul au début des
années 1960, ont ensuite été adaptés aux activités commerciales et
administratives. Les terminaux reliés à l'unité centrale (appelée
CPU) sont placés sous le contrôle direct de l'utilisateur individuel et
non sous celui d'un personnel centralisé. Depuis la fin des années
1970, c'est le micro-ordinateur, ou ordinateur personnel (PC), qui a
commencé à jouer le rôle principal dans la plupart des bureaux.
Les micro-ordinateurs de bureaux sont devenus de plus
en plus abordables à la suite de la production massive de l'IBM PC
(introduit en 1981) et de ses dérivés.
c) Ordinateurs
Bien qu'il soit possible de fournir en pratique un PC à
chaque employé, il est plus rentable pour les utilisateurs de PC de
partager des fichiers et des périphériques tels que des imprimantes,
des fax, des modems et des scanners. À la fin des années 1980 et au
début des années 1990, beaucoup de sociétés ont entrepris des
programmes permettant la liaison ou l'interconnexion en réseaux
de plusieurs PC en un système unifié. Le réseau local a été créé
pour répondre aux besoins d'un système normalisé de connexion
d'ordinateurs dans une entreprise. L'installation de câbles qui
relient chaque ordinateur au réseau demeure la méthode de
raccordement la plus courante, mais d'autres moyens sont en cours
d'étude comme l'utilisation du rayonnement infrarouge, des ondes
radioélectriques et, en tant que support conducteur, le câblage
électrique d'un bâtiment.
c) Ordinateurs
Lorsque les ordinateurs ne se trouvent pas physiquement
à proximité, il est possible de réaliser un réseau distant par une
liaison téléphonique, par faisceau hertzien ou par satellite.
Du texte imprimé peut être entré directement dans un
ordinateur à l'aide d'un scanner. Le texte est lu par un logiciel de
reconnaissance optique des caractères, qui convertit les documents
en fichiers lisibles par l'ordinateur. Les scanners permettent
d'entrer en mémoire un texte imprimé sans avoir à le retaper. Ils
peuvent également être utilisés pour entrer des graphiques.
Chapitre 2 : MATERIELS DE REPRODUCTION ET SUPPORTS
DE SAUVEGARDE DE DOCUMENTS
Les machines bureautiques destinées à la reproduction de
documents grandeur nature, c'est-à-dire identiques à l’original,
peuvent être divisées en deux groupes : les copieurs conçus pour
faire une ou plusieurs reproductions et les duplicateurs permettant
de faire de nombreuses copies. Par contre, certaines entreprises et
administrations stockent encore des documents papier dans
différents types de classeurs, mais une grande partie du stockage
actuel s'effectue électroniquement ou sur film.
2.1. Copieurs et imprimantes
La plupart des copieurs modernes sont des appareils
électrostatiques dans lesquels les images des documents sont créées
à l'aide de charges électriques et de particules d'encre en poudre.
2.1. Copieurs et imprimantes
Dans le procédé électrophotographique, la méthode de
photocopie la plus courante, l'image d'une page imprimée, reflétée
par un miroir, est dirigée électrostatiquement vers un cylindre
métallique à partir duquel elle est transférée sur une feuille de
papier ordinaire. Les copieurs ont des vitesses allant de quelques
pages par minute à plus d'une page et demie par seconde. Les
appareils évolués sont équipés de chargeurs, d'interclasseuses et
d'agrafeuses automatiques. Certaines machines copient
automatiquement les deux côtés d'un document, agrandissent ou
réduisent l'image et reproduisent des documents en couleurs.
À la place du procédé électrostatique, certains
duplicateurs utilisent la lithographie offset, où un original
spécialement préparé permet de produire plusieurs copies.
2.1. Copieurs et imprimantes
L'impression offset qui utilise de petites presses est le
dispositif d'impression le plus souvent utilisé dans les bureaux
modernes, habituellement dans les grandes organisations disposant
d'un service d'impression central avec un personnel qualifié.
Les autres procédés de copie et de duplication, autrefois courants,
conservent un rôle très limité dans les bureaux actuels, mais se
rencontrent encore dans des institutions comme les écoles.
En reproduction hectographique, un original portant les
images formées par la teinture de carbone est humidifié avec une
solution alcoolisée, ce qui provoque la dissolution d'une partie de la
teinture qui est ensuite déposée sur une feuille de papier. Ce procédé
est répété rapidement pour imprimer plusieurs copies.
2.1. Copieurs et imprimantes
Un texte miméographié est établi sur un stencil, qui est
un matériau fibreux perméable à l'encre et non perforable, rempli
d'une substance perforable et imperméable à l'encre. Ce stencil, qui
supporte le texte original, est monté sur un cylindre qui force
l'encre à se déposer sur le papier. La diazocopie, qui utilise du
papier sensible à l'ammoniaque, est encore utilisée dans les bureaux
d'études et les cabinets d'architectes pour reproduire des
graphiques à une échelle ne pouvant tenir que sur de grandes
feuilles de papier.
2.2. Imprimantes d'ordinateurs
Parmi les premières imprimantes utilisées par les PC
dans les bureaux figuraient des imprimantes à marguerites et des
imprimantes à boules, ainsi appelées en raison de la forme de leurs
organes d'impression. Bien qu'offrant une qualité d'impression
comparable à celle d'une machine à écrire, elles étaient lentes et ne
pouvaient imprimer que du texte et non des graphiques. Elles furent
supplantées dans la plupart des bureaux par les imprimantes
matricielles, les imprimantes à jet d'encre et les imprimantes laser.
L'imprimante matricielle peut avoir une tête
d'impression de 9 ou de 24 aiguilles, etc. Les aiguilles frappent le
papier à travers un ruban, créant ainsi des motifs de points ayant la
forme de lettres et de chiffres dans plusieurs polices et plusieurs
tailles de caractères.
2.2. Imprimantes d'ordinateurs
L'imprimante à jet d'encre, plus perfectionnée que
l'imprimante matricielle, offre à la fois une haute résolution (plus la
résolution est haute, plus la qualité d'impression est correcte) et un
fonctionnement silencieux.
L'imprimante laser est encore plus évoluée. D'une
technologie similaire à celle d'un photocopieur, elle présente
beaucoup d'avantages : une grande vitesse, une haute résolution de
300 points ou plus par pouce, la possibilité de reproduire des
graphiques complexes et un fonctionnement silencieux. Toutes ces
qualités la rendent, en fait, indispensable à la publication assistée
par ordinateur.
2.3. Microfilm et microfiche
Bien que les documents créés par ordinateur soient
généralement stockés sur bandes ou disques magnétiques, ils
peuvent également être stockés sur microfilm ou sur microfiche.
L'espace requis pour le stockage des documents est ainsi
diminué, tandis que la manipulation et la recherche se trouvent
simplifiées par l'utilisation d'un équipement microfilm qui réduit
photographiquement les images, produisant ainsi des transparents
miniatures qui peuvent être grossis afin d'être visualisés ou
imprimés.
2.4. Accessoires et fournitures bureautiques
Bien que certains appareils uniquement mécaniques soient
encore utilisés, la plupart des machines contiennent des composants
électroniques. Parmi ces appareils, on trouve des équipements de
traitement du courrier (machines à affranchir, pèse-lettres, ouvre-
lettres, machines à plier les lettres et à les mettre sous enveloppe) ;
machines d'adressage automatique, systèmes de télé-appel,
massicots, relieuses et agrafeuses ; enregistreurs de temps et
trieuses de pièces, appareils à compter, machines d'emballage et
appareils de traitement de la monnaie.
Les calculatrices électroniques, portatives et de bureau,
ont pratiquement remplacé les anciennes additionneuses
strictement mécaniques.
2.4. Accessoires et fournitures bureautiques
Les calculatrices électroniques sont construites autour
d'une unité centrale de calcul et comprennent un écran, souvent un
affichage à cristaux liquides, un clavier et, pour certains modèles,
une fonction d'impression sur papier. Les calculatrices conçues en
vue de calculs statistiques, techniques et scientifiques sont
programmables pour effectuer automatiquement des suites
d'opérations mathématiques.
Certains traitements de texte permettent également de
préparer des messages à transmettre vers des terminaux
spécifiques ou vers d'autres traitements de texte. Les systèmes de
messagerie informatisée sont une alternative aux communications
téléphoniques ou aux notes de service classiques entre les bureaux.
2.5. Le réseau international "Internet"
L’Internet est un réseau télématique international
d’origine américaine. A ce jour, il est le plus grand réseau du
monde et il est accessible aux professionnels comme aux
particuliers. Et Timothy BERNERS-LEE est le co-inventeur du
Web, qu'il met au point au début des années 1990 avec son collègue
Robert CAILLIAU.
Internet est issu du réseau Arpanet, qui a été conçu dans
les années 1960 par l’ARPA (Advanced Research Project Agency)
pour le département américain de la Défense.
Avec son progrès, l’Internet permet aujourd’hui à tout
individu d’accéder à une multitude de données se présentant sous
divers formats : textes, bases de données, images, sons (MP3),
vidéos, etc.
2.5. Le réseau international "Internet"
Il offre de nombreux services aux professionnels, comme
aux particuliers : réserver un hôtel en Asie, installer un encart
publicitaire, consulter les catalogues de constructeurs automobiles,
passer des commandes, acheter ou vendre aux enchères un bien,
visiter des musées, obtenir des informations officielles, etc. Et dans la
réalisation des travaux de bureau, l’Internet permet aux
collaborateurs, partenaires, ou autres de communiquer et de
partager certaines informations ou ressources.
a) Topologie d'Internet
La topologie du réseau télématique Internet, basée sur
l'interconnexion d'un ensemble de réseaux distincts, permet
d'interconnecter à travers le monde un nombre impressionnant de
machines informatiques, qui peuvent s'échanger toutes sortes
d'informations.
2.5. Le réseau international "Internet"
Les ordinateurs personnels et les stations de travail sont
connectés à un réseau local (Local Area Network, LAN), soit par le
biais d'une connexion commutée via un modem et une ligne
téléphonique standard, soit par une connexion directe par câble au
réseau local. Il existe d'autres modes de transmission de données qui
permettent de se connecter à un réseau, comme les lignes T1 ou les
lignes dédiées. Les ponts et les concentrateurs relient divers réseaux
les uns aux autres. Les routeurs transmettent les données via les
réseaux et déterminent le meilleur trajet pour les acheminer.
En Bureautique, les réseaux locaux permettent aux
utilisateurs de s’envoyer des messages, de travailler à plusieurs sur
des documents, de gérer leurs agendas, d’accéder à des bases de
données communes ou encore d’effectuer des tirages sur des
imprimantes partagées.
2.5. Le réseau international "Internet"
b) Accès à Internet
Pour accéder au réseau Internet, l’utilisateur doit
posséder :
 Un ordinateur
 Une ligne téléphonique commutée (ou, dans le cas des grandes
entreprises, des universités et autres centres de recherche qui
nécessitent une connexion permanente, une ligne spécialisée)
 Un Modem ou une carte réseau
 Un kit de connexion à Internet consistant en un accès à un réseau
local (le provider) relié à Internet ou un abonnement auprès d’un
fournisseur d’accès Internet (AOL, Wanadoo, Club-Internet, etc.)
2.5. Le réseau international "Internet"
b) Accès à Internet
Par ailleurs, pour « surfer » ou naviguer sur Internet,
l’utilisateur doit également disposer :
 D’un logiciel de navigation (Netscape ou Explorer) l’aidant à
parcourir les sites du réseau, et éventuellement
 D’un logiciel de messagerie électronique lui permettant d’envoyer
ou de recevoir du courrier électronique
Les informations présentes sur le réseau Internet sont, le
plus souvent, publiées dans des pages au format HTML (HyperText
Markup Language). Ce format permet l’introduction dans le texte
de liens à d’autres pages ou d’autres sites, appelés « liens
hypertextes ».
2.5. Le réseau international "Internet"
b) Accès à Internet
Ces liens permettent de « naviguer » dans le réseau
Internet. Un autre format tend à se développer sur Internet : le
format XML (eXtended Markup Language). Outre les possibilités
offertes par le format HTML, le langage XML permet de mieux
structurer l’information et de séparer clairement la forme et le
contenu.
2.5. Le réseau international "Internet"
b) Accès à Internet
Pour faciliter la rechercher de diverses informations,
c'est-à-dire d’importante quantité d’informations en tout genre qui
rend parfois difficiles la navigation et la recherche rapide, certains
sites possèdent des moteurs de recherche : outils permettant de
lancer une recherche par un mot ou une expression sur tous les sites
Internet recensés par ce système, et de trouver ainsi les documents
susceptibles de renfermer l’information désirée par l’utilisateur.
2.5. Le réseau international "Internet"
c) Protocoles et services d’Internet
Internet sert de support à plusieurs protocoles et services :
 FTP (File Transfer Protocol) : Pour le transfert de fichiers
(téléchargement), SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) pour la
communication électronique avec d’autres personnes (e-mail)
 NNTP (Network News Transfer Protocol) : Pour l’envoi et la
réception de courriers publics
 HTTP (HyperText Transfer Protocol) : Pour le protocole de
transmission hypertexte
 Web : Pour la publication d’informations, etc.
2.5. Le réseau international "Internet"
c) Protocoles et services d’Internet
Pour faire fonctionner ce vaste réseau, Internet met en
œuvre des protocoles de communication. Les deux protocoles de
base sont :
TCP (Transmission Control Protocol)
IP (Internet Protocol)
Ils sont référencés sous le vocable TCP/IP. TCP récupère
les informations à transmettre, IP les transforme en paquets et les
délivre à la couche chargée du transport (composant électronique).
Toutefois, le rapide développement d’Internet à l’échelle
mondiale entraîne actuellement une révision et une évolution de ces
protocoles, qui frôlent la saturation.
2.5. Le réseau international "Internet"
d) Applications d’Internet
Aujourd’hui, parmi tous les réseaux, Internet peut être
considéré comme le réseau spécialisé dans l’information : son but
n’est plus, comme à l’origine, de transmettre quelques lignes à
partir de messageries, mais d’échanger des documents
électroniques, des données informatisées, des informations
économiques, des schémas, des sons, etc. En outre, grâce aux récents
progrès réalisés dans la transmission et la compression des données,
Internet donne maintenant accès à une information de plus en plus
immédiate. C’est pourquoi on a assisté ces derniers temps à un
développement exponentiel de ce réseau, les sociétés de services et
les producteurs d’informations coopérant pour trouver de nouveaux
marchés par le biais d’Internet.
2.5. Le réseau international "Internet"
d) Applications d’Internet
En quelques années, la notoriété d’Internet est ainsi
passée de la simple découverte à une explosion de services
intéressant les professionnels comme les particuliers. Dans le
domaine économique, Internet se présente comme un outil de tout
premier plan, offrant aux entreprises de nombreux services
interactifs : marketing en direct, publicités, affiches commerciales,
tarifs, documentations techniques, bases de données à forte valeur
ajoutée, etc. Le commerce électronique « e-commerce » est ainsi
devenu un véritable secteur d’activité où le client a la possibilité,
tout en restant chez lui, de faire ses courses, réserver un billet
d’avion ou participer à une discussion sur un thème particulier avec
des intervenants de différents pays.
2.6.Télétravail
Les liaisons électroniques entre les employés d'une
organisation peuvent s'étendre, au-delà du bâtiment, jusqu'aux
personnes se trouvant à leur domicile ou dans d'autres bureaux
éloignés. Cette possibilité favorise le télétravail : travail à distance
assisté par les outils de la télématique.
Les cadres et les techniciens furent les principaux
acteurs de cette tendance. Les premiers rapports font état d'une
productivité accrue chez ces individus, qui ne perdent plus des
heures en transport entre leur domicile et leur bureau. C'est
pourquoi une augmentation future du télétravail semble très
plausible.
2.7. Le Fax
Précurseur du courrier électronique, le fax est une
machine qui permet la télécopie de documents graphiques.
Avec le fax, les parties sombres et claires d'un texte ou d'un
graphique sont numérisées ou converties en une série d'impulsions
électriques correspondant à un code numérique.
Au niveau de la partie réceptrice de l'appareil, le signal
entrant est reconstitué pour reproduire un fac-similé (à l’identique)
des informations transmises. Certains types de fax spécifiques
peuvent transmettre des images microfilm en vue d'une
reconstitution sur microfilm ou papier.
2.8. Le Télescripteur (Télex)
Le télescripteur est un appareil qui permet d'imprimer
des textes à distance à l'aide d'un clavier dactylographique.
Le système d'échange direct par téléscripteur (Télex) constitue un
exemple de courrier électronique. Il est couramment utilisé pour la
transmission internationale de messages.
Un message est saisi sur un terminal équipé d'un clavier
en vue d'être transmis, via un réseau de lignes télégraphiques, vers
un récepteur compatible qui imprime le message sur papier. La
présence d'un opérateur près du récepteur n'est pas nécessaire.
2.9. Messagerie électronique
La messagerie électronique est devenue un élément clé
des réseaux de communications de la plupart des bureaux
modernes. Données et messages peuvent être transmis d'un
ordinateur à un autre au moyen de lignes téléphoniques, de liaisons
hertziennes, de satellites de communications ou d'autres
équipements de télécommunications. Le même message peut être
envoyé à un certain nombre d'adresses différentes.
Le courrier électronique est envoyé via le réseau local
d'une société ou bien à travers un réseau de communications à
l'échelle nationale ou mondiale. Les services de messagerie
électronique utilisent un ordinateur central pour stocker les
messages et les données avant de les acheminer vers leur
destination.
2.9. Messagerie électronique
En s'abonnant à un réseau public de messagerie
électronique, un utilisateur de PC a besoin uniquement de disposer
d'un modem et d'un téléphone pour envoyer et recevoir des
messages écrits ou vocaux. En raison de l'énorme volume de
courrier électronique qui circule, des systèmes de sélection de
courrier ont été mis au point pour les utilisateurs individuels.
Un type spécialisé de système de messagerie électronique,
la messagerie vocale, est une technologie informatisée relativement
simple permettant d'enregistrer, de stocker, d'extraire et de
transmettre des messages téléphoniques. Elle est appelée messagerie
vocale ou audio-messagerie car les messages sont oraux et sont
laissés dans une « boîte vocale ».
2.9. Messagerie électronique
Le téléphone joue le rôle d'un terminal d'ordinateur
mais, au lieu de présenter les informations sur un écran, il les lit via
une ligne téléphonique en utilisant un lexique vocal préenregistré.
Les systèmes sont construits autour de circuits intégrés et de
logiciels spécialement conçus qui convertissent la voix humaine en
bits de codes numériques. Ces voix numérisées sont stockées sur des
disques magnétiques, dont elles peuvent être extraites
instantanément. Plusieurs options sont proposées aux appelants et
les messages qu'ils sélectionnent sont lus. Ils peuvent laisser des
messages dans des «boîtes vocales» ou bien accéder à d'importantes
bases de données informatisées.
2.9. Messagerie électronique
Pour démarrer (lancer ou charger en mémoire de travail
de l’ordinateur) l’un de ses logiciels, vous procéderez en suivant
l’un des moyens ci-contre :
a) A partir du bouton démarrer
 Cliquez sur le bouton « Démarrer »
 Cliquez sur le message « Tous les programmes ( Programmes ) »
 Cliquez sur le message « Microsoft Office »
 Cliquez sur le nom du logiciel à charger
2.9. Messagerie électronique
b) A partir des icônes du Bureau Windows
 Double-cliquez sur l’icône de raccourci du logiciel à charger ; soit,
 Cliquez sur l’icône de raccourci du logiciel à charger puis validez ;
ou encore,
 Cliquez le bouton droit de la souris sur l’icône de raccourci du
logiciel à charger puis cliquez sur la commande « Ouvrir » du
menu contextuel affiché.
EXERCICE N° 01
Q1/ Qu’entendez-vous par « Bureau moderne » ou par
« Bureautique » ? Et quel parallélisme faites-vous entre ces
concepts ?
Q2/ Faites une visite au niveau des entreprises modernes (au moins
3) dans la ville de Kinshasa. Et présentez-nous les matériels et/ou
les logiciels qu’elles utilisent pour :
 La préparation des documents
 La reproduction des documents
 La sauvegarde des documents
 Le traitement de texte
EXERCICE N° 01
Q3/ Faites une visite au niveau des entreprises non modernes (au
moins 3) dans la même ville. Et dites-nous pourquoi n’arrivent-elles
pas à se moderniser ? C'est-à-dire à utiliser la bureautique ?
Q4/ Pourquoi la bureautique s’intéresse-t-elle à l’entreprise ?
Q5/ D’après l'école des relations humaines et Fayol, quelles sont les
différentes fonctions dans l’entreprise ?
Q6/ Quels sont les enjeux de la mise en place d’un système
bureautique ou informatique brusque et généralisée dans
l’entreprise ?
EXERCICE N° 01
Q7/ Quelles sont les différentes tâches qu’un secrétaire (ou assistant
du chef) réalise avec un ordinateur et quels sont les matériels et
logiciels qu’il peut utiliser ?
Q8/ Qu’entendez-vous par Technologies de l’Information et de la
Communication du point de vue réalisation des activités de
bureau ?
Q9/ Quelle différence faites-vous entre la machine à traitement de
texte dédié et l’ordinateur ?
Q10/ Que peut faire un(e) secrétaire avec un ordinateur ?
Q11/ Pourquoi la machine à écrire électrique avait été supplantée
par la machine à écrire électronique ?
Chapitre 3 : PRATIQUE DE LA BUREAUTIQUE ET
PRODUCTIVITE DE L’ENTREPRISE
Pour communiquer avec l’ordinateur, l’utilisateur devra
se servir d’une interface. Une interface en informatique est un point
de connexion entre deux systèmes leur permettant d’échanger des
informations. Sur un ordinateur, l’interfaçage intervient à
différents niveaux, depuis l’interface visible avec l’utilisateur, qui
permet à ce dernier de communiquer avec les programmes,
jusqu’aux interfaces matérielles, moins apparentes mais
indispensables, qui relient entre eux les composants de l’ordinateur.
L’interface utilisateur représente l’ensemble de la
conception graphique, des commandes et autres éléments qui
permettent de piloter l’ordinateur.
Chapitre 3 : PRATIQUE DE LA BUREAUTIQUE ET
PRODUCTIVITE DE L’ENTREPRISE
À des niveaux logiciels moins visibles, on trouve au sein
de l’ordinateur d’autres types d’interface, comme celles reliant un
programme au système d’exploitation ou le système d’exploitation
au matériel.
Chapitre 3 : PRATIQUE DE LA BUREAUTIQUE ET
PRODUCTIVITE DE L’ENTREPRISE
Notez que les micro-ordinateurs possèdent trois
principaux types d’interface utilisateur, pouvant coexister sur une
même machine. Et il s’agit de :
1° Interface par ligne de commande
Sur un micro-ordinateur doté d’une telle interface,
l’utilisateur tape au clavier les commandes, qui sont alors
transmises au programme qui réagit en conséquence. Sur les
machines gérées par le système d’exploitation MS-DOS, la ligne de
commande est symbolisée par l’invite A:\> ou C:\>. Une interface
par ligne de commande est également appelée « interface
textuelle ».
Chapitre 3 : PRATIQUE DE LA BUREAUTIQUE ET
PRODUCTIVITE DE L’ENTREPRISE
2° Interface graphique - GUI (Graphical User Interface)
Sur un micro-ordinateur équipé d’une interface
graphique, l’utilisateur sélectionne des commandes ou lance des
programmes en pointant à l’écran sur des icônes ou des menus,
généralement à l’aide d’une souris.
3° Interface par menu
Selon l’interface par menu, employée par de nombreuses
applications, les commandes sont envoyées au programme par la
frappe d’une lettre, d’un curseur, ou par un clic de souris (voir
pointage, dispositifs de).
Chapitre 3 : PRATIQUE DE LA BUREAUTIQUE ET
PRODUCTIVITE DE L’ENTREPRISE
3° Interface par menu
Les icônes sont de petites images représentant un objet
manipulable à l’écran, dont l’aspect correspond à sa fonction. Par
exemple, le symbole d’une corbeille indique la commande
permettant de supprimer un fichier inutile. Ces icônes évitent ainsi
de devoir se souvenir d’une commande clavier complexe.
Les menus sont des listes d’options parmi lesquelles
l’utilisateur choisit celle correspondant à l’action qu’il désire
effectuer. Un choix dans un menu conduit souvent à un second
menu, ou à une boîte de dialogue permettant d’affiner la
commande.
Chapitre 3 : PRATIQUE DE LA BUREAUTIQUE ET
PRODUCTIVITE DE L’ENTREPRISE
3° Interface par menu
Par ailleurs, l’interface graphique permet de diviser
l’écran en plusieurs sections appelées fenêtres, chacune contenant
un document différent ou une autre vue du même document, et qui
peuvent être déplacées ou redimensionnées à loisir.
L’interface graphique offre donc à l’utilisateur un
environnement agréable qui prend en compte de nombreuses
interactions avec l’ordinateur. L’utilisateur, ainsi affranchi de la
gestion de l’affichage, du clavier et de la souris, peut alors se
concentrer sur l’application elle-même.
Chapitre 3 : PRATIQUE DE LA BUREAUTIQUE ET
PRODUCTIVITE DE L’ENTREPRISE
3° Interface par menu
Parmi les interfaces utilisateur graphiques, on peut citer
celle du Macintosh, ou encore l’environnement Windows, développé
par la firme américaine Microsoft Corporation. Et dans le cadre de
ce cours, nous n’exploiterons le système informatique (ordinateur)
qu’avec l’interface utilisateur graphique Windows.
En outre, l’objectif des interfaces graphiques est d’offrir
à l’utilisateur un environnement agréable et de lui faciliter
l’apprentissage des diverses interactions avec l’ordinateur.
Chapitre 3 : PRATIQUE DE LA BUREAUTIQUE ET
PRODUCTIVITE DE L’ENTREPRISE
3° Interface par menu
Pour cela, elles mettent en œuvre, entre autres, un menu
déroulant, une boîte de dialogue, le WYSIWYG — en anglais, What
You See Is What You Get (ce que vous voyez à l’écran est ce que
vous obtiendrez) et une présentation multifenêtre qui permet de
donner un contexte à chaque type d’information.
3.1. PRESENTATION DU BUREAU WINDOWS
On appelle « Bureau Windows », la page d’accueil qui
s'affiche une fois qu’une session est ouverte sous Windows XP/7…
Autrement dit, le Bureau Windows est une zone de travail de
l'écran dans laquelle apparaissent les fenêtres, les icônes, les
menus et les boîtes de dialogue. Ce Bureau Windows peut contenir
les éléments suivants :
La barre des tâches : Barre qui contient le bouton Démarrer et
qui apparaît par défaut au bas du Bureau. Vous pouvez cliquer
sur les boutons de la barre des tâches pour permuter les
programmes. Vous pouvez aussi masquer la barre des tâches et la
déplacer vers les bords ou le sommet du Bureau. Vous avez
également la possibilité de la personnaliser de nombreuses
manières.
3.1. PRESENTATION DU BUREAU WINDOWS
L’arrière-plan : L’arrière-plan est un espace qui affiche une
image ou un motif à l’interface utilisateur graphique de Windows.
L'arrière-plan peut être constitué de n'importe quel motif ou
image susceptible d'être enregistré en tant que fichier bitmap
(.bmp).
3.1. PRESENTATION DU BUREAU WINDOWS
Mes documents : « Mes documents » est un emplacement de
stockage par défaut pour les documents, les graphiques et les
autres fichiers, y compris les pages Web enregistrées. Chaque
session sur l'ordinateur possède un dossier « Mes documents »
unique.
Poste de travail (ou Explorateur Windows) : Vous pouvez utiliser
cet outil pour afficher rapidement le contenu de vos lecteurs de
disquette, de disque dur, de CD-ROM, ainsi que celui des lecteurs
du réseau. À partir de Poste de travail, vous pouvez également
ouvrir le Panneau de Configuration dans lequel vous pouvez
configurer de nombreux paramètres de votre ordinateur.
3.1. PRESENTATION DU BUREAU WINDOWS
 Voisinage réseau (favoris réseau) : Utilisez cet outil pour détecter
les ressources (imprimante, lecteur de disque dur, disquette ou de
CD-ROM, DVD…) partagées dans le réseau.

 Corbeille : La Corbeille est un emplacement dans lequel


Windows stocke les fichiers ou dossiers supprimés. Vous pouvez
récupérer des fichiers supprimés par erreur ou vider la Corbeille
pour augmenter l'espace disque disponible.
3.1. PRESENTATION DU BUREAU WINDOWS
Internet Explorer : L’Internet Explorer vous permet de naviguer
ou de surfer sur les World Wide Web (Internet) ou dans votre
réseau Intranet. En outre, il facilite la consultation des sites
téléchargés ou de travail hors connexion.
3.2. PRESENTATION D’UN PROGICIEL WINDOWS
(FENETRE)
« Windows » signifie « fenêtres » en français ; donc
Windows XP/7 est un système d’exploitation dont les programmes
ou les logiciels (progiciels) se présentent sous la forme d’une fenêtre
que l’on peut ouvrir et fermer. Décrivons la fenêtre d’une
application en prenant comme exemple le programme de traitement
de texte Microsoft Word.
3.2. PRESENTATION D’UN PROGICIEL WINDOWS
(FENETRE)
3.2. PRESENTATION D’UN PROGICIEL WINDOWS
(FENETRE)
barre de titre : Barre horizontale affichée en haut d'une fenêtre
qui contient le titre de la fenêtre. Dans la plupart des fenêtres, la
barre de titre comprend également l'icône de programme ainsi que
les boutons Agrandir, Réduire et Fermer ; parfois le bouton ?
(Aide) facultatif qui permet d'accéder à l'aide contextuelle.
La barre de menus : Intègre toutes les fonctions ou commandes
du programme.
Les barres d’outils (standard, mise en forme, dessin, tableaux et
bordures…) : La barre d’outils affiche certaines commandes (sous
forme d’icônes) de la barre de menu pour servir de raccourcis.
3.2. PRESENTATION D’UN PROGICIEL WINDOWS
(FENETRE)
Les boutons de défilement (horizontal et vertical) : Permettent
respectivement de faire défiler le document de façon horizontale
et/ou verticale.
La zone de travail : C’est un espace disponible pour le travail.
C’est espace de travail est appelé "document" sous Microsoft
Word ; et "Classeur" sous Microsoft Excel.
La barre d’état : Ligne d'information relative au programme en
cours. La barre d'état se trouve généralement au bas d'une
fenêtre. Toutes les fenêtres ne possèdent pas une barre d'état.
Les barres de règles : Permet de visualiser la position millimétrée
de la zone de travail dynamique. Toutes les fenêtres ne possèdent
pas une barre règles.
3.2. PRESENTATION D’UN PROGICIEL WINDOWS
(FENETRE)
Remarque : Le « menu contextuel » affiche certaines commandes
ou fonctions associées d’un objet (icône, menu, bouton…) lorsqu’on
clique le bouton droit de la souris sur celui-ci. Alors que « Info
bull » affiche une petite description d’un objet lorsqu’on le pointe
(sans cliquer) à l’aide de la souris.
3.3. UTILISATION DU CLAVIER D’ORDINATEUR

Nous n’entrerons pas en détail dans l’étude du clavier


car celle-ci sera faite dans le cours de Dactylographie. Néanmoins,
comme un petit rappel, nous présentons ci-dessous quelques astuces
du clavier d’ordinateur.
Le clavier est une unité périphérique d’entrée de
données qui utilise les touches correspondant à des caractères. En
outre, de par la langue de sa configuration, il existe des claviers
français (qu’on appelle : clavier AZERTY), anglais (qu’on appelle :
clavier QWERTY), etc.
3.3. UTILISATION DU CLAVIER D’ORDINATEUR
Remarque 1 : Il ne faut pas toujours vous fier à l’apparence des
caractères sur des touches ; car, certains claviers configurés en
AZERTY apparaissent en QWERTY, et parfois vice-versa.
Remarque 2 : Le curseur est un point d’insertion à partir duquel un
caractère peut être tapé. La position (page, section, ligne et colonne)
du curseur à l’écran de visualisation est indiquée sur la barre d’état.
Pour obtenir un caractère correspondant à une touche, il
faut appuyer légèrement sur celle-ci et la lâcher immédiatement.
Cela est de même pour obtenir le 1er caractère d’une touche
(caractère minuscule) ainsi que le 2ème caractère d’une touche
(caractère majuscule) en activant ou en verrouillant la touche MAJ.
3.3. UTILISATION DU CLAVIER D’ORDINATEUR
Pour obtenir le 3ème caractère d’une touche, il faut
presser en maintenant la touche Alt Gr et appuyer sur la touche
correspondante.
Pour obtenir un caractère en utilisant le code ASCII, il
faut presser en maintenant la touche Alt, taper le nombre
correspondant et enfin lâcher la touche Alt. Actuellement, le clavier
standard a 4 parties essentielles, notamment :
La partie ou le pavé alphanumérique : Les touches de cette partie
du clavier permettent d’obtenir les caractères alphabétiques,
numériques, spéciaux…
3.3. UTILISATION DU CLAVIER D’ORDINATEUR
La partie ou le pavé numérique (activé par la touche Verr num) :
Les touches de cette partie du clavier permettent d’obtenir les
opérateurs mathématiques et les caractères numériques, bien sûr
quand la partie numérique est verrouillée.
Les touches de fonctions : Les touches de cette partie du clavier
permettent d’activer certaines fonctions. Elles servent de
raccourcis de certaines commandes du système d’exploitation ou
d’un logiciel en utilisation.
Les touches fléchées ou de direction et les touches
spéciales.
Nous présentons dans le tableau ci-dessous l’illustration
de fonctionnalités de certaines touches du clavier ; et cela dépend du
logiciel utilisé.
3.4. UTILISATION DE LA SOURIS
La souris est une unité périphérique d’entrée de données
ou un dispositif manuel de pointage qui renferme beaucoup de
fonctionnalités. Par conséquent, il existe plusieurs types de souris
(souris ordinaires, souris à rayon infrarouge, souris plate, souris à
point,…) dépendant parfois du type de matériel utilisé.
La souris se compose d'un bouton principal
(généralement le bouton gauche) et d'un bouton secondaire
(généralement le bouton droit). Le bouton principal de la souris est
utilisé pour sélectionner des éléments et cliquer dessus, positionner
le curseur dans un document et faire glisser des éléments. Un clic
sur ce bouton principal s'appelle un clic avec le bouton gauche.
3.4. UTILISATION DE LA SOURIS
Par contre, le bouton secondaire de la souris est utilisé
pour afficher un menu de tâches ou d'options qui varient selon
l'endroit où vous cliquez. Ce menu permet d'effectuer rapidement
les tâches qu'il propose. Un clic sur ce bouton secondaire s'appelle
un clic avec le bouton droit.
Le bouton principal de la souris est généralement celui de
gauche. Et contrairement, le bouton secondaire de la souris est
généralement celui de droite. Ces boutons principal et secondaire
peuvent être inversés à volonté.
3.4. UTILISATION DE LA SOURIS
Voici quelques conseils d'utilisation des boutons et de la
roulette de la souris, notamment :
Cliquer : C’est pointer sur un objet à l'écran, presser et puis
relâcher rapidement le bouton principal.
Double-cliquer : C’est pointer sur un objet à l'écran, presser et
puis relâcher rapidement le bouton principal ; et cela, deux fois de
suite.
Glisser : C’est amener le pointeur sur un objet à l'écran, cliquer
avec le bouton principal et le maintenir enfoncé, déplacer la souris
jusqu’à un emplacement, et enfin relâcher le bouton.
Pour afficher un menu contextuel : Il faut pointer sur un objet à
l'écran, puis cliquer à l'aide du bouton secondaire.
3.4. UTILISATION DE LA SOURIS
Si vous disposez d'une roulette, faites-la rouler sous votre
index pour aller vers le haut ou vers le bas d'un document ou d'une
page Web. En d’autres mots, elle permet de défiler une page en
vertical ou en horizontal.
EXERCICE N° 02
I. Dessinez les objets ci-dessous en n’utilisant que des traits (Voir
barre d’outils "Dessin") :
a) Une enveloppe

b) Une voiture
EXERCICE N° 02
II. Saisissez le texte ci-dessous :
a) Informatique, Bureautique ; INFORmatique – BUREAUtique ;
inFORmaTiQuE / BUreaUtIQue
Chapitre 4 : UTILISATION DE MICROSOFT OFFICE 2010
Comme nous l’avons définie, la bureautique (néologisme
formulé en 1976 par Louis NAUGES) est un ensemble des moyens,
méthodes et techniques appliqués aux activités de bureau
permettant de traiter (produire, stocker, dupliquer,
communiquer…) informatiquement des informations écrites,
visuelles ou sonores, généralement dans l'univers professionnel des
bureaux et des administrations ou dans des cadres commerciaux,
littéraires, militaires, etc.
Chapitre 4 : UTILISATION DE MICROSOFT OFFICE 2010
En effet, la bureautique ne s'arrête pas aujourd'hui à la
simple saisie de notes manuscrites mais comprend notamment les
activités suivantes :
 Echange d'informations
 Gestion de documents administratifs
 Manipulation de données numériques
 Planification de rendez-vous et gestion des emplois du temps
Nous savons qu’une "Suite Bureautique" (Office suite)
est un ensemble de logiciels permettant de répondre aux besoins
bureautiques. Pour atteindre ce but, la société américaine Microsoft
Corporation a développé et mis sur le marché sa suite bureautique
appelée « Microsoft Office ».
Chapitre 4 : UTILISATION DE MICROSOFT OFFICE 2010
Section 1 : INITIATION EN MICROSOFT WORD 2010
Microsoft Word 2010 est l’un des logiciels de la suite
bureautique Microsoft Office 2010. Microsoft Word est le logiciel de
traitement de texte le plus répandu et le plus utilisé dans les
activités bureautiques à travers le monde. Ses anciennes versions
sont : MS Word 5.0, MS Word 6.0, MS Word 97, MS Word 2000,
MS Word XP, MS Word 2003, MS Word 2007.

Figure 1 : La vue de Word 2007


Section 1 : INITIATION EN MICROSOFT WORD 2010

Figure 2 : La vue de Word 2010


Section 1 : INITIATION EN MICROSOFT WORD 2010
Comme tout logiciel de traitement de texte, il vise la
réalisation des opérations ci-après :
 Saisie du texte une seule fois
 Sa sauvegarde
 Son ouverture
 Sa mise en forme et en page
 Sa diffusion
 Son impression...
Section 1 : INITIATION EN MICROSOFT WORD 2010
Microsoft Word 2007 utilise une zone ou espace de travail
qu’on appelle « Document » ; c'est-à-dire, une feuille électronique
sur laquelle l’utilisateur saisit son texte. Une fenêtre Word peut se
présenter de la manière ci-après :
Section 1 : INITIATION EN MICROSOFT WORD 2010
1.1. SESSION DE TRAVAIL
Dans une session de travail en Microsoft Word
2003, l’utilisateur réalise les opérations fondamentales et essentielles
suivantes :
a) Création d’un document
Un document vide se crée automatiquement lorsqu’on
démarre ou charge en mémoire Microsoft Word 2003.
1.1. SESSION DE TRAVAIL
a) Création d’un document
Toutefois, il existe encore d’autres procédures pour y
parvenir, notamment :
 Appliquez la combinaison de touches Ctrl + N ; ou encore,
 Cliquez respectivement sur :
- le menu « Fichier »
- la commande « Nouveau… »
- l’option « Document vierge »
1.1. SESSION DE TRAVAIL
b) Enregistrement d’un document
Un nouveau document est celui qui n’a pas encore été
enregistré (sauvegardé ou stocké) sur un support magnétique
(disquette, disque dur, flash disque…) et ipso facto, ne porte pas
encore un nom donné par l’utilisateur. Ainsi, pour enregistrer un
nouveau document, on peut procéder respectivement comme suit :
 Cliquez sur le menu « Fichier »
 Cliquez sur la commande « Enregistrer » ou « Enregistrer
sous… »
 Après avoir affiché la boîte de dialogue « Enregistrer sous… »,
cliquez sur la zone d’édition « Nom de fichier » et saisissez le nom
de votre fichier
 Cliquez sur le bouton « Enregistrer »
1.1. SESSION DE TRAVAIL
b) Enregistrement d’un document
Cependant, pour enregistrer un
document existant et portant déjà un nom, on
procéderait comme suit :
 Cliquez sur le menu « Fichier »
 Cliquez sur la commande « Enregistrer »
Notez qu’il existe encore d’autres moyens
pour y parvenir en utilisant le raccourci. Pour cela,
on peut soit :
 Appliquer la combinaison de touches Ctrl + S
 Cliquez sur l’icône « Enregistrer » de la barre
d’outils standard ou soit.
1.1. SESSION DE TRAVAIL
c) Ouverture d’un document existant
Un document existant est celui qui a été déjà enregistré
(sauvegardé ou stocké) sur un support magnétique (disquette,
disque dur, flash disque…) et porte un nom donné par l’utilisateur.
Ainsi, pour ouvrir un document, on peut procéder respectivement
comme suit :
 Cliquez sur le menu « Fichier »
 Cliquez sur la commande « Ouvrir… »
 Après avoir affiché la boîte de dialogue « Ouvrir », sélectionnez le
fichier concerné
 Cliquez sur le bouton « Ouvrir »
1.1. SESSION DE TRAVAIL
c) Ouverture d’un document existant
Notez qu’il existe encore d’autres moyens pour y
parvenir en utilisant le raccourci. Pour cela, on peut soit :
 Appliquer la combinaison de touches Ctrl + O
 Cliquez sur l’icône « Ouvrir » de la barre d’outils standard
1.1. SESSION DE TRAVAIL
d) Fermeture d’un document
Fermer un document, c’est l’enlever de la mémoire Ram
de l’ordinateur ; et par conséquent, l’accès, pour son utilisation, ne
sera plus possible. Ainsi, pour y parvenir, on procéderait comme
suit :
 Cliquez sur le menu « Fichier » puis sur la commande « Fermer » ;
soit
 Cliquez sur le bouton « Fermer la fenêtre ».
Remarque : Pour accéder à un menu via le clavier, par exemple le
menu « Fichier », il suffit d’appliquer la combinaison des touches Alt
+ LettreSoulignééDuMenu. Et le déplacement, d’un menu à l’autre
ou d’une commande à l’autre, se fait à l’aide des touches de
direction ; et la validation, à l’aide de la touche Enter.
1.2. MISE EN FOREME DES DOCUMENTS

La mise en forme des documents est une activité qui


consiste à effectuer les opérations relatives :
 A la police (police, style, attributs, espacement, animations des
caractères…)
 Au paragraphe (retrait, espacement, enchaînement des
paragraphes)
 A la mise en page (marges, orientation, papier et disposition des
pages)
1.2. MISE EN FOREME DES DOCUMENTS
Notez qu’une mise en forme peut être effectuée ou
appliquée soit sur tout le document, soit sur toute la page, soit sur un
texte sélectionné. En plus, elle peut être modifiée avant ou après la
saisie du texte.
Si elle veut être appliquée avant la saisie, vous devriez
positionner le curseur à l’endroit à partir duquel une nouvelle mise
en forme s’effectuera.
Si elle veut être définie après la saisie, le texte auquel une
nouvelle mise en forme devra être appliquée doit être d’abord
sélectionné.
1.2. MISE EN FOREME DES DOCUMENTS
Par conséquent, la sélection du texte est un aspect
fondamental dans l’utilisation des logiciels d’une suite bureautique.
En effet, elle peut se faire de plusieurs manières, dont voici
quelques-unes, notamment :
a) Avec le clavier
 Positionnez le curseur
 Maintenez enfoncée la touche Shift
 Déplacez-vous avec une des touches de direction ou une des touches
de page (page up et page down)
 Relâchez la touche Shift.
1.2. MISE EN FOREME DES DOCUMENTS
Par conséquent, la sélection du texte est un aspect
fondamental dans l’utilisation des logiciels d’une suite bureautique.
En effet, elle peut se faire de plusieurs manières, dont voici
quelques-unes, notamment :
a) Avec le clavier
 Positionnez le curseur
 Maintenez enfoncée la touche Shift
 Déplacez-vous avec une des touches de direction ou une des touches
de page (page up et page down)
 Relâchez la touche Shift.
1.2. MISE EN FOREME DES DOCUMENTS
b) Avec la souris
Avec la souris, il existe plusieurs techniques et façon pour
sélectionner un texte, soit :
 Double-cliquez ou triple-cliquez sur le texte
 Cliquez et glissez la souris sur la zone statique du document
 Cliquez et glissez la souris sur le texte à sélectionner
1.2. MISE EN FOREME DES DOCUMENTS
1.2.1. LA POLICE
a) Police de caractères
Définir la police de caractères consiste à choisir un
modèle d’écriture que le texte devra respecter le format de
codification lors de l’affichage ou de l’impression. Cela peut se
réaliser, à partir de la barre d’outils mise en forme, de la
façon suivante :
 Cliquez sur la zone de sélection « Police »
 Sélectionnez le nom d’une police dans la liste affichée
1.2.1. LA POLICE
b) Taille de police
Définir la taille de police consiste à choisir la grandeur ou
dimension des caractères. Cela peut se réaliser, à partir de la barre
d’outils mise en forme, de la façon suivante :
 Cliquez sur la zone de sélection « Taille de police »
 Sélectionnez un nombre (8 9 10 12 14 16 18…) dans la liste
affichée
1.2. MISE EN FOREME DES DOCUMENTS
1.2.1. LA POLICE
a) Style de police (Gras – Italique – Soulignement)
Définir le style de police du texte consiste à le mettre soit
en gras, en italique ou encore à le souligner. Mettre le texte en gras
signifie modifier l’épaisseur du texte. Mettre le texte en italique
consiste à faire incliner ou pencher ce texte. Et Souligner le texte
ramène à tracer une ligne au-dessous de ce texte.
Pour y parvenir, à partir de la barre d’outils mise en
forme, cliquez respectivement sur :
 L’icône « Gras » ou la combinaison des touches Ctrl + G
 L’icône « Italique » ou la combinaison des touches Ctrl + I
 L’icône « Italique » ou la combinaison des touches Ctrl + U
1.2.1. LA POLICE
c) Style de police (Gras – Italique – Soulignement)
Remarque : Nous venons de voir comment réaliser les opérations
sur la police de caractères, sur la taille et sur le style de police à
partir de la barre d’outils mise en forme. Cependant, elles peuvent
également être réalisées à partir de la boîte de dialogue « Police ».
Pour y parvenir, il suffit d’appliquer la combinaison des
touches Ctrl + D ou encore procéder comme suit :
 Cliquez sur le menu « Format », puis
 Cliquez sur la commande « Police… ».
1.2.2. LE PARAGRAPHE
a) Alignement d’un paragraphe
L’alignement consiste à indiquer la disposition du texte
dans le document tout en tenant compte des marges.
Pour cela, on peut aligner le texte soit à gauche, soit à
droite, soit au centre, ou encore à gauche et à droite en même temps
(justifier).
1.2.2. LE PARAGRAPHE
a) Alignement d’un paragraphe
Pour y parvenir, à partir de la barre d’outils mise en
forme, cliquez respectivement sur :
 L’icône « Aligné à gauche »
 L’icône « Au centre » (ou combinez les touches Ctrl + E)
 L’icône « Aligné à droite »
 L’icône « Justifier »
1.2.2. LE PARAGRAPHE
b) Interligne
L’interligne permet de définir l’espacement entre les
lignes d’un paragraphe. Ainsi, l’interligne peut être définie à simple,
1,5 ligne, double, au moins, exactement, multiple.
Pour y parvenir, à partir de la barre d’outils mise en
forme, sélectionnez un nombre en cliquant sur l’icône
« Interligne » ; à partir de la barre de menus, il faut procéder
comme suit :
 Cliquez sur le menu Format
 Cliquez sur la commande « Paragraphe… »
 Cliquez sur le bouton « Ok » après avoir sélectionné ou saisi la
valeur de l’interligne
1.2.3. LES PUCES ET NUMÉROS
En Microsoft Word, les puces sont les points d’une
énumération, en différentes formes, qu’on met en début des lignes.
Tandis que les numéros sont les repères d’une énumération
commençant généralement de 1 jusqu’au dernier numéro de cette
énumération. Pour y parvenir, à partir de la barre d’outils mise en
forme, cliquez sur l’icône « Puces » pour obtenir la puce en cours et
sur l’icône « Numéros ». Et à partir de la barre de menus, il faut
procéder comme suit :
 Cliquez sur le menu Format
 Cliquez sur la commande « Puces et numéros… »
 Cliquez sur l’onglet « Avec puce » ou sur l’onglet « Numéros »
 Sélectionnez une forme de puces ou un type de numérotation
 Cliquez sur le bouton « Ok »
1.2.4. LA MISE EN PAGE
Pour mettre en page un document, il faut procéder de la
façon suivante : Menu Fichier\Mise en page…
La mise en page est une activité qui consiste à définir les
marges, à choisir l’orientation du papier, à définir la disposition des
pages…
a) Marges
Les marges peuvent être définies en respectant les
paramètres suivants :
Haut : permet d’entrer la distance à respecter entre le bord
supérieur de la page et le haut de la première ligne.
Gauche : permet d’entrer la distance à respecter entre le bord
gauche de la page et l'extrémité gauche des lignes alignées à gauche
sans retrait.
1.2.4. LA MISE EN PAGE
a) Marges
 Reliure : permet d’entrer la quantité d'espace à ajouter à la marge
pour la reliure.
 Bas : permet d’entrer la distance à respecter entre le bord
inférieur de la page et le bas de la dernière ligne.
 Droite : permet d’entrer la distance à respecter entre le bord droit
de la page et l'extrémité droite des lignes alignées à droite sans
retrait.
 Position de la reliure : permet de positionner la reliure en haut, à
gauche ou à droite dans le document. Cette option n'est pas
disponible si vous avez choisi de présenter les pages de votre
document en vis-à-vis ou d'afficher deux pages par feuille.
1.2.4. LA MISE EN PAGE
b) Orientation
L’orientation du papier peut être choisie soit en :
Portrait : affiche ou imprime le document dans le sens de la
hauteur.
Paysage : affiche ou imprime le document dans le sens de la
largeur.
Pour mettre en page un document, il faut procéder
comme suit :
 Cliquez sur le menu « Fichier »
 Cliquez sur la commande « Mise en page »
 Cliquez sur l’onglet « Marges »
1.2.4. LA MISE EN PAGE
b) Orientation
 Définissez la mise en page (marges ou orientation du document)
 Cliquez sur le bouton « Ok »
Remarque : En les glissant, pour élargir ou rétrécir la zone
dynamique du document, vous pouvez également utiliser les
contrôles de retrait ou les indicateurs des marges qui se trouvent sur
la barre des règles.
1.3. LE TABLEAU
Un tableau est une structure constituée des lignes et des
colonnes. L’intersection d’une ligne et d’une colonne est appelée
« Cellule ». Dans une cellule, on peut saisir le texte ou placer une
image. Plusieurs opérations peuvent être effectuées sur un tableau,
comme l’insertion, la suppression, le dessin… d’un tableau, des
lignes ou des colonnes.
1.3. LE TABLEAU
a) Insertion d’un tableau
A partir de la barre d’outils standard, cliquez sur l’icône
« Insérer un tableau » puis cliquez ou glissez la souris tout en
sélectionnant le nombre des colonnes et des lignes à insérer dans ce
tableau. Tandis qu’à partir de la barre de menus, suivez les étapes
ci-après :
 Cliquez sur le menu tableau
 Pointez l’option « Insérer » puis sur la commande « Tableau… »
 Saisissez le nombre de lignes et le nombre de colonnes
 Cliquez sur le bouton « Ok »
1.3. LE TABLEAU
b) Dessin d’un tableau
Pour dessiner un tableau, on doit afficher la barre
d’outils « Tableaux et Bordures ». Dans le cas où cette barre d’outils
n’est pas affichée, cliquez sur l’icône « Tableau et Bordures » se
trouvant dans la barre d’outils standard et suivez les étapes ci-
après :
 Si le pointeur de la souris ne s’est pas transformé en crayon,
cliquez sur l’icône « Dessiner un tableau » dans la barre d’outils
« Tableaux et Bordures ».
 Glissez la souris en dessinant sur l’endroit voulu du document.
 Glissez la souris en vertical ou en horizontal pour tracer des lignes
et des colonnes.
1.3. LE TABLEAU
b) Dessin d’un tableau
 Cliquez de nouveau sur l’icône « Dessiner un tableau » pour
désactiver.
Remarque : La barre d’outils « Tableau et Bordures » octroie
d’autres fonctionnalités relatives aux tableaux, notamment :
Gommage des lignes ou des colonnes : Cliquez sur l’icône
« Gomme » et ensuite glissez sur une ligne ou une colonne pour
l’effacer.
Style de trait (double trait, trait avec pointillé…) : Sélectionnez
un style puis glissez sur une ligne ou une colonne pour tracer le
style du tableau.
Couleurs de la bordure et de la trame de fond : Sélectionnez
une couleur…
1.3. LE TABLEAU
b) Dessin d’un tableau
Somme automatique : Après avoir saisi des nombres, cliquez
sur l’icône « Somme automatique ».
Tris croissant et décroissant : Positionnez le curseur dans une
colonne puis cliquez sur l’icône « Tri croissant » ou sur l’icône
« Tri décroissant » selon le besoin.
Modifier l’orientation du texte : Saisissez le texte après avoir
positionné le curseur dans une cellule et après avoir cliqué sur
l’icône « Modifier l’orientation du texte ».
Etc.
1.4. COMPLEMENTS CONNEXES
1.4.1. DÉPLACEMENT OU COPIE DE TEXTE ET DE
GRAPHISMES
Pour déplacer ou copier de texte et de graphiques, il faut
procéder de l'une des façons suivantes :
 Sélectionnez l'élément à déplacer ou à copier
 Effectuez l'une des opérations suivantes :
- Pour déplacer l'élément, cliquez sur Couper dans la barre
d'outils Standard (ou combinez les touches Ctrl + X)
- Pour copier l'élément, cliquez sur Copier dans la barre
d'outils Standard (ou combinez les touches Ctrl + C)
 Cliquez à l'emplacement où l'élément doit apparaître
1.4. COMPLEMENTS CONNEXES
1.4.1. DÉPLACEMENT OU COPIE DE TEXTE ET DE
GRAPHISMES
 Cliquez sur Coller dans la barre d'outils Standard (ou combinez
les touches Ctrl + V)
 Pour déterminer la mise en forme de l’élément collé, cliquez sur
une option du bouton « Options de collage » qui s'affiche juste en
dessous de la sélection que vous avez collée
Remarque : Ces différentes fonctionnalités de déplacement ou
copie de texte ou graphismes, sont accessibles à partir du menu
« Edition ».
1.4. COMPLEMENTS CONNEXES
1.4.2. REPRODUCTION DE LA MISE EN FORME
Pour reproduire la mise en forme du texte T1 sur le texte T2, il faut
procéder de la façon suivante :
 Sélectionnez ou positionnez le curseur dans le texte T1
 Cliquez sur l’icône « Reproduire la mise en forme » dans la barre
d’outils Standard (ensuite, le pointeur en forme de I est
accompagné d’un pinceau)
 Effectuez l'une des opérations suivantes :
- Cliquez dans le texte T2
- Glissez le pinceau sur le texte T2
1.4. COMPLEMENTS CONNEXES
1.4.3. INSERTION DES NUMÉROS DE PAGE
Pour insérer les numéros de pages à gauche, soit au
centre ou encore à droite… d’une part ; et d’autre part, en haut ou
en bas d’un document, il faut procéder de la manière suivante :
 Cliquez sur le menu « Insertion ».
 Cliquez sur la fonction « Numéros de page… ».
 Pour indiquer la position des numéros de page dans le document,
choisissez l’une des possibilités suivantes :
- Haut de page (en-tête).
- Bas de page (pied de page).
1.4. COMPLEMENTS CONNEXES
1.4.3. INSERTION DES NUMÉROS DE PAGE
 Pour indiquer l’alignement des numéros de page, choisissez l’une
des possibilités suivantes : Gauche, Centré, Droite, Intérieur ou
Extérieur
 Pour commencer la numérotation à la première page, cochez la
case
 Cliquez sur le bouton « OK »
1.4. COMPLEMENTS CONNEXES
1.4.3. INSERTION DES NUMÉROS DE PAGE
Remarque : A l’aide du menu « Insertion », on peut intégrer dans les
documents différents informations, notamment :
 Date et heure
 Caractères spéciaux
 Tables et index ( Référence )
 Notes de bas de page ( Référence )
 Etc.
1.4. COMPLEMENTS CONNEXES
1.4.4. IMPRESSION D’UN DOCUMENT
Pour imprimer un document actif, il suffit de cliquer dans
la barre d'outils Standard sur « Imprimer ». Cependant, il existe
plusieurs autres techniques pour prévisualiser ou imprimer un
document.
Pour afficher chaque page telle qu'elle apparaîtra à
l'impression, c'est-à-dire afficher un document avant impression,
cliquez sur « Aperçu avant impression » dans la barre d'outils
Standard. Ensuite, pour quitter l'aperçu avant impression et revenir
au mode d'affichage antérieur du document, cliquez sur le bouton
« Fermer ».
1.4. COMPLEMENTS CONNEXES
1.4.4. IMPRESSION D’UN DOCUMENT
Toutefois, pour imprimer un document, il faut procéder
de la façon ci-après :
 Dans le menu Fichier, cliquez sur Imprimer... (ou combinez les
touches Ctrl + P)
 Sélectionnez l’étendue de page (Tout, Page en cours, Sélection ou
Pages)
 Saisissez le nombre de copies à imprimer (le nombre
d’exemplaires)
 Cliquez sur le bouton « OK »
1.4. COMPLEMENTS CONNEXES
1.4.4. IMPRESSION D’UN DOCUMENT
EXERCICE N° 03
Q1/ Saisissez le texte ci-dessous et respectez sa mise en forme :
" Le concept Bureautique est la concaténation des
concepts BUREAU et InformaTIQUE "
N.B : Respectez la police de caractère, le style de police ainsi que la
casse.
EXERCICE N° 03
Q2/ Tracez le tableau ci-dessous en le reproduisant tel quel :
N° DOMAINE EQUATION
01 Z1=2x26 + 5x14
02 Mathématiques Z2=5x25 + 3x18

03 Chimie organique : la formule générale d’un alcane alcane est CnH2n+2


est :

Q3/ Rédigez une lettre de demande d’emploi adressée à


l’Administrateur-Manager du Cabinet Informatique "LITEC".
N.B : - Utilisez votre boite électronique que vous aviez créée.
- Envoyez ladite lettre à l’adresse électronique :
limeka@yahoo.fr.
Section 2 : INITIATION EN MICROSOFT EXCEL 2007
Le logiciel Microsoft Excel est un tableur appelé
également chiffrier électronique qui représente des données
(alphabétiques, numériques, alphanumériques…) dans un tableau
électronique. Il offre diverses fonctionnalités pour l’automatisation
des calculs simples et complexes sur des nombres et pour
l’intégration des graphiques (histogrammes, courbes, diagrammes à
secteurs…).
Ainsi le tableur est un outil pouvant servir aussi bien
pour des activités de secrétariat afin de saisir et d'organiser de
nombreuses données. C’est un outil d’aide à la décision utilisé au
également au un niveau stratégique et décisionnel pour représenter
des graphiques synthétisant les informations d’une entreprise.
Section 2 : INITIATION EN MICROSOFT EXCEL 2007
A part Microsoft Excel, il existe de nombreux autres
tableurs développés par les grands éditeurs et qui offrent aussi les
mêmes fonctionnalités, notamment :
 Sun StarOffice Calc, de la suite bureautique StarOffice
 OpenCalc, de la suite OpenOffice
 IBM/Lotus 1-2-3 de la suite SmartSuite
 Corel Quattro Pro de la suite WordPerfect
 KSpread de la suite libre KOffice sous Linux
Un document Excel ou sa zone de travail est appelée
classeur. Un classeur peut contenir au moins une feuille de calcul.
Section 2 : INITIATION EN MICROSOFT EXCEL 2007
Les feuilles d’un classeur se présentent, en bas de page et
avant la barre d’état, sous formes d'onglets permettant de passer
d'une feuille de calcul à une autre. La feuille de calcul est l'élément
clé du tableur. Elle peut être renommée et est constituée des lignes et
des colonnes. Généralement, les lignes sont numérotées de 1
jusqu’à 65536 et les colonnes sont numérotées de A jusqu’à IV (256
colonnes).
L’intersection ou la rencontre entre une ligne (en
horizontal) et une colonne (en vertical) est appelée cellule. C’est
dans une cellule qu’on peut saisir des données. Ainsi le nom de la
ligne combiné au nom de la colonne donne les coordonnées ou
l’adresse d'une cellule.
Section 2 : INITIATION EN MICROSOFT EXCEL 2007
Dans Microsoft Office, il existe une barre de formules
donnant l'adresse de la cellule sélectionnée et indiquant son contenu.
La barre de formule vous permet ainsi de saisir des données à
insérer dans des cellules.
On distingue généralement deux types de coordonnées
(appelés styles de référence) selon les tableurs :
 Le mode dit L1C1 (Ligne 1, Colonne 1) où la cellule est repérée par
le numéro de ligne précédé de la lettre L et le numéro de la colonne
précédé de la lettre C. L18C32 désignera ainsi la cellule à
l'intersection de la 18ème ligne et la 32ème colonne.
 Le mode dit A1 où les numéros de ligne sont repérés par des
chiffres et les colonnes par des lettres. Ainsi G3 désigne la cellule à
l'intersection de la 7ème colonne et la 3ème ligne.
Section 2 : INITIATION EN MICROSOFT EXCEL 2007
Pour passer d'un mode à l'autre sous Excel, il suffit
d'aller dans Outils\Options\onglet Général puis de cocher la case
« Style de référence L1C1 ». Un classeur Excel peut se présenter de
la manière suivante:
Section 2 : INITIATION EN MICROSOFT EXCEL 2007
2.1. SESSION DE TRAVAIL
Dans une session de travail en Microsoft Excel,
l’utilisateur réalise les opérations fondamentales et inévitables
suivantes :
2.1. SESSION DE TRAVAIL
a) Création d’un classeur
Un nouveau classeur se crée automatiquement lorsqu’on
démarre ou charge en mémoire Microsoft Excel. Toutefois, il existe
encore d’autres procédures pour y parvenir, notamment :
 Appliquez la combinaison de touches Ctrl + N ; ou encore,
 Cliquez respectivement sur :
- Le menu « Fichier »
- La commande « Nouveau… »
- L’option « Nouveau classeur Excel »
2.1. SESSION DE TRAVAIL
b) Enregistrement d’un document
Un nouveau classeur est celui qui n’a pas encore été
enregistré (sauvegardé ou stocké) sur un support magnétique
(disquette, disque dur, flash disque…) et par le fait même, ne porte
pas encore de nom donné par l’utilisateur. Ainsi, pour enregistrer un
nouveau classeur Excel, on peut procéder respectivement comme
suit :
 Cliquez sur le menu « Fichier »
 Cliquez sur la commande « Enregistrer » ou « Enregistrer
sous… »
 Après avoir affiché la boîte de dialogue « Enregistrer sous… »
cliquez sur la zone d’édition « Nom de fichier » et saisissez le nom
de votre fichier
2.1. SESSION DE TRAVAIL
b) Enregistrement d’un document
 Cliquez sur le bouton « Enregistrer »
Cependant, pour enregistrer un classeur existant et
portant déjà un nom, on procéderait comme suit :
 Cliquez sur le menu « Fichier »
 Cliquez sur la commande « Enregistrer »
Notez qu’il existe encore d’autres moyens pour y parvenir
en utilisant le raccourci. Pour cela, on peut soit :
 Appliquer la combinaison de touches Ctrl + S ; ou
 Cliquez sur l’icône « Enregistrer » de la barre d’outils standard
ou soit.
2.1. SESSION DE TRAVAIL
c) Ouverture d’un classeur existant
Un classeur existant est celui qui a été déjà enregistré
(sauvegardé ou stocké) sur un support magnétique (disquette,
disque dur, flash disque…) et porte un nom donné par l’utilisateur.
Ainsi, pour ouvrir un classeur, on peut procéder respectivement
comme suit :
 Cliquez sur le menu « Fichier »
 Cliquez sur la commande « Ouvrir… »
 Après avoir affiché la boîte de dialogue « Ouvrir », sélectionnez le
fichier concerné
 Cliquez sur le bouton « Ouvrir ».
2.1. SESSION DE TRAVAIL
c) Ouverture d’un classeur existant
Notez qu’il existe encore d’autres moyens pour y parvenir
en utilisant le raccourci. Pour cela, on peut soit :
 Appliquer la combinaison de touches Ctrl + O ; ou
 Cliquez sur l’icône « Ouvrir » de la barre d’outils standard ou soit.
2.1. SESSION DE TRAVAIL
d) Fermeture d’un classeur
Fermer un classeur Excel, c’est l’enlever de la mémoire
centrale (mémoire Ram ou mémoire de travail) de l’ordinateur ; et
par conséquent, l’accès, pour son utilisation, ne sera plus possible.
Ainsi, pour y parvenir, on procéderait comme suit :
 Cliquez sur le menu « Fichier » puis sur la commande « Fermer » ;
soit
 Cliquez sur le bouton « Fermer la fenêtre ».
Remarque : Pour accéder à un menu via le clavier, par exemple le
menu « Fichier », il suffit d’appliquer la combinaison des touches
Alt + LettreSoulignééDuMenu. Et le déplacement, d’un menu à
l’autre ou d’une commande à l’autre, se fait à l’aide des touches de
direction ; et la validation, à l’aide de la touche Enter.
2.2. SELECTION DES CELLULES
Pour sélectionner une ligne entière, il suffit de cliquer
directement sur l'en-tête de cette ligne ou de combiner les touches
Shift Lock (Majuscule) + Espace.
Par contre, pour sélectionner une colonne entière, il suffit
de cliquer directement sur l'en-tête de colonne ou d’appliquer la
combinaison de touches Ctrl + Espace.
Pour sélectionner une plage de cellules (appelée aussi bloc
de cellules), il suffit de cliquer sur une cellule (cellule de début) et de
glisser la souris jusqu'à la cellule de fin. Il est également possible de
sélectionner une plage de cellules en cliquant sur la cellule de début,
en maintenant la touche Majuscule (ou SHIFT) appuyée puis en
cliquant sur la cellule de fin.
2.2. SELECTION DES CELLULES
Pour sélectionner certaines lignes, colonnes ou plages non
disjointes ou contiguës, il suffit de maintenir la touche Ctrl appuyée
puis de cliquer sur les lignes, les colonnes ou les plages à
sélectionner.
Enfin, si vous voulez sélectionner la totalité des cellules de
la feuille de calcul, il suffit de cliquer sur le carré vide présent au-
dessus du numéro de la 1ère ligne et au début du nom de la 1ère
colonne.
2.3. SAISIE DE DONNEES
Une cellule d'une feuille de calcul peut contenir une
valeur ou bien être vide. La valeur d'une cellule possède deux
caractéristiques essentielles :
Un type : C'est-à-dire le type intrinsèque ou essentiel de la donnée.
Dans un tableur, on distingue généralement trois types de valeurs :
- Des valeurs numériques
- Des valeurs alphanumériques
- Des formules
Un format : Un format indique la façon dont le tableur va afficher
la donnée.
2.3. SAISIE DE DONNEES
Une cellule peut posséder un style, c'est-à-dire une
apparence visuelle particulière (police, taille, couleur, bordure,
alignement...), indépendamment de la valeur qu'elle contient.
a) Saisie de données numériques
Lorsque vous saisissez des nombres dans une cellule
(éventuellement des signes monétaires, des pourcentages...), le
tableur interprète les données en tant que nombre, c'est-à-dire qu'il
rend possible l'utilisation de formules mathématiques sur les
données. Par défaut (c'est-à-dire sans action contraire de votre part)
les données reconnues comme des nombres sont alignées à droite
dans la cellule.
2.3. SAISIE DE DONNEES
b) Saisie de données alphanumériques
Lorsque vous saisissez des lettres dans une cellule, le
tableur interprète les données en tant que donnée alphanumérique,
il n'est donc plus possible d'utiliser des outils mathématiques sur ces
données. Par défaut (c'est-à-dire sans action contraire de votre
part) les données reconnues comme alphanumériques sont alignées
à gauche dans la cellule.
2.3. SAISIE DE DONNEES
c) Saisie de formules
Les formules sont des expressions, qui, lorsqu'elles sont
interprétées par le tableur, permettent d'effectuer des calculs
automatiquement en utilisant les données présentes dans d'autres
cellules. Ainsi, pour saisir une formule dans une cellule, il suffit de
sélectionner la cellule puis de commencer la saisie en entrant le
signe « égal » (=) ou « plus » (+).
La saisie d'une formule se fait en sélectionnant une
cellule puis en utilisant la barre de formules. Si la saisie d’une
formule est terminée, il faut valider en cliquant sur l’icône
« Entrer » dans la barre de formules ou en appuyant la touche
« Enter » du clavier.
2.3. SAISIE DE DONNEES
c) Saisie de formules
Si une valeur d’une cellule est modifiée, Excel recalcule
ainsi toutes les valeurs. Si la formule saisie après le signe égal (=) ne
possède pas une syntaxe correcte, le tableur affichera un message
d'erreur précédé du caractère # ! Ainsi, en cas de référence à une
cellule invalide, le tableur affichera la valeur #REF!.
Remarque : Pour recopier une formule déjà saisie, il faudrait soit
sélectionner la cellule contenant la formule, la copier, puis
sélectionner le bloc ou la plage de cellules et de coller la formule
précédemment copiée ; soit sélectionner la cellule contenant la
formule, pointer le coin inférieur droit de la cellule (le pointeur en
croix noire) et sélectionner le bloc ou la plage de cellules.
2.3. SAISIE DE DONNEES
c) Saisie de formules
Dans la formule ainsi recopiée contient des références
relatives. C'est-à-dire l’incrémentation se fait au niveau de numéros
des colonnes ou des lignes. En d’autres mots, le tableur effectue
donc automatiquement le décalage des références aux cellules lors
de la copie. Ainsi, pour éviter que le tableur ne décale la référence à
la cellule devant afficher le résultat, il est nécessaire d'utiliser une
référence absolue. Par exemple, = (A2 + E6) * $F$10) : la cellule F10
est figée ou verrouillée, donc il n’y aura pas de décalage des
références lors de la recopie de la formule.
2.3. SAISIE DE DONNEES
d) Saisie avec reproduction de numéros, date, etc.
Lorsque vous voulez saisir les numéros de 1 jusqu’à n, il
suffit de saisir les deux premiers numéros, de sélectionner lesdits
numéros, de pointer le coin inférieur droit de la plage sélectionnée
(le pointeur en croix noire) et de glisser la souris jusqu’à la cellule
de fin. Cela est de même pour la saisie et la reproduction de dates,
mois, jours…
Remarque : Pour réaliser les fonctions sur la somme, la moyenne, le
compteur… après avoir positionné le curseur sur la cellule devant
afficher le résultat, cliquez sur l’icône « Somme automatique » se
trouvant dans la barre d’outils Standard, sélectionnez les cellules
contenant les données à calculer puis validez.
2.4. MISE EN FORME

Comme nous l’avons vu dans le point « 3.1. Initiation en


Microsoft Word », la mise en forme en Excel peut être réalisée de la
même manière qu’en Word, hormis certaines spécificités près, par
exemple, la fusion de plusieurs cellules sélectionnées et le
centrage d’un titre par rapport à cette fusion. Pour ce faire,
procédez de la façon suivante :
 Sélectionnez les cellules concernées ;
 Cliquez sur l’icône « Fusionner et centrer » se trouvant dans la
barre d’outils mise en forme.
2.4. MISE EN FORME
2.4.1. Format de cellules
Après avoir sélectionné les cellules concernées, pour
définir le format de cellules, vous pouvez soit afficher le menu
contextuel de celles-ci puis cliquer sur la fonction « Format de
cellule » ; soit suivre la procédure suivante :
 Cliquez sur le menu Format
 Cliquez sur la commande Cellule
 Activez l’un des onglets (selon le besoin).
Dans la boîte de dialogue « Format de cellule », plusieurs
formats peuvent être appliqués aux valeurs ou contenus des
cellules. Ainsi, vous pouvez appliquer la mise en forme des cellules,
selon le besoin, en activant l’un des onglets ci-après :
2.4. MISE EN FORME
2.4.1. Format de cellules
a) Onglet « Nombre »
Cliquez sur une option de la zone Catégorie, puis
sélectionnez les options de votre choix pour spécifier un format de
nombre. La zone Exemple vous montre un aperçu du résultat de
cette option de mise en forme sur les cellules sélectionnées.
Cliquez sur Personnalisée pour créer vos propres formats
de numéros, tels que des références d'articles, par exemple.
2.4.1. Format de cellul
b) Onglet « Alignement »
 Horizontal : Sélectionnez une des options de la zone de liste
Horizontal pour modifier l'alignement horizontal du contenu de
la cellule. Par défaut, Microsoft Excel aligne le texte de gauche à
droite, place les nombres à droite et centre les valeurs logiques et
les valeurs d'erreur. L'alignement horizontal par défaut est
Général. La modification de l'alignement des données n'entraîne
pas la modification du type de données.
2.4.1. Format de cellul
b) Onglet « Alignement »
 Vertical : Sélectionnez une des options de la zone de liste Vertical
pour modifier l'alignement vertical du contenu de la cellule. Par
défaut, Microsoft Excel aligne le texte verticalement sur le bord
inférieur de la cellule. L'alignement vertical par défaut est
Général.
 Retrait : Met en retrait le contenu de la cellule à partir de
n'importe quel bord de cellule-ci, en fonction de votre choix sous
Hrizontal et Vertical. Chaque incrément de la zone Retrait
équivaut à une largeur d'un caractère.
2.4.1. Format de cellul
b) Onglet « Alignement »
 Orientation : Activez une des options de la zone Orientation pour
modifier l'orientation du texte dans les cellules sélectionnées. Les
options de rotation sont parfois indisponibles en raison de vos
choix au niveau des options d'alignement.
 Degrés : Définit le niveau de rotation du texte dans la cellule
sélectionnée. Tapez un nombre positif dans la zone Degrés pour
faire pivoter le texte sélectionné du coin inférieur gauche au coin
supérieur droit de la cellule. Tapez un nombre négatif pour faire
pivoter le texte du coin supérieur gauche au coin inférieur droit
de la cellule sélectionnée.
2.4.1. Format de cellul
b) Onglet « Alignement »
 Contrôle du texte : Les options de Contrôle du texte vous
permettent de déterminer l'apparence du texte dans une cellule.
 Renvoyer à la ligne automatiquement : Insère des renvois à la
ligne pour permettre à une cellule de contenir plusieurs lignes.
Le nombre de renvois dépend de la largeur de la colonne et de la
longueur du contenu de la cellule.
 Ajuster : Réduit la taille de la police de caractères de manière à
ce que toutes les données d'une cellule sélectionnée rentrent dans
la colonne. La taille des caractères est automatiquement ajustée
lorsque vous modifiez la largeur de colonne. La taille définie
pour la police ne change pas.
2.4.1. Format de cellul
b) Onglet « Alignement »
 Fusionner les cellules : Combine deux ou plusieurs cellules en
une seule cellule. Une cellule fusionnée est référencée par la
cellule du coin supérieur gauche de la plage initialement
sélectionnée.
 De droite à gauche : Les options de la zone Orientation du texte
vous permettent de spécifier l'ordre de lecture et l'alignement.
2.4.1. Format de cellul
c) Onglet « Police »
Les options de cet onglet vous permettent de déterminer
le type, le style et la taille de police ainsi que d'autres options de
mise en forme pour le texte sélectionné.
2.4.1. Format de cellul
c) Onglet « Police »
 Taille : Tapez un nombre compris entre 1 et 1638. Les tailles de la
zone Taille dépendent de la police sélectionnée et de l'imprimante
active.
 Police normale : Activez la case à cocher Police normale pour
rétablir la police, le style de police, la taille de police et tous les
effets du style Normal (par défaut).
2.4.1. Format de cellul
d) Onglet « Bordure »
Les options de bordure de la zone Présélections vous
permettre d'ajouter des bordures aux cellules sélectionnées ou de
supprimer les bordures existantes.
2.4.1. Format de cellul
d) Onglet « Bordure »
 Ligne : Les options de la zone Style vous permettent de spécifier
l'épaisseur et le style de trait d'une bordure. Si vous voulez
modifier le style de trait d'une bordure existante, sélectionnez
l'option de votre choix, puis cliquez sur la bordure à laquelle vous
souhaitez appliquer ce nouveau style dans le cadre Bordure.
 Couleur : Modifiez la couleur du texte ou de l'objet sélectionné en
sélectionnant une nouvelle couleur dans la liste.
2.4.1. Format de cellul
d) Onglet « Bordure »
 Bordure : Sélectionnez un style de trait dans la zone Style, puis
cliquez sur les boutons sous Présélections ou Bordure pour
appliquer des bordures aux cellules sélectionnées. Pour
supprimer toutes les bordures, cliquez sur le bouton Aucune.
Vous pouvez également cliquer sur des zones de la zone de texte
pour ajouter ou supprimer des bordures.
2.4.1. Format de cellul
e) Onglet « Motifs »
 Ombrage de cellule : Sélectionnez une couleur d'arrière-plan
dans la zone Couleur, puis sélectionnez un motif dans la zone
Motif pour appliquer à la sélection la mise en forme de votre
choix.
2.4.1. Format de cellul
f) Onglet « Protection »
 Verrouillée : Protège les cellules sélectionnées contre toute
modification, tout déplacement, tout redimensionnement et toute
suppression. Le verrouillage de cellules n'est effectif que lorsque
la feuille est protégée. Pour protéger une feuille, pointez sur
Protection, dans le menu Outils, sur Protéger la feuille, puis
désactivez la case à cocher Contenu.
2.4.1. Format de cellul
f) Onglet « Protection »
 Masquée : Masque la formule d'une cellule de manière à ce
qu'elle n'apparaisse pas dans la barre de formule lorsque la
cellule est sélectionnée. Cette option, même activée, n'est effective
que si la feuille est protégée. Pour protéger une feuille, pointez
sur Protection, dans le menu Outils, sur Protéger la feuille, puis
désactivez la case à cocher Contenu.
2.4.2. Format de lignes
Pour modifier la hauteur ou définir l’ajustement
automatique de lignes, vous pouvez procéder de la manière ci-
après :
 Sélectionnez les lignes concernées
 Cliquez sur le menu Format
 Après avoir pointé le sous-menu « Ligne », cliquez sur la fonction
« Hauteur » (saisissez la taille de la hauteur et cliquez sur le
bouton « OK ») ou la fonction « Ajustement automatique »
2.4.2. Format de lignes
Remarque : On peut modifier la hauteur de lignes en glissant la
souris à partir de leurs séparateurs de titres.
2.4.3. Format de colonnes
Pour personnaliser la largeur ou définir l’ajustement
automatique de colonnes, vous pouvez procéder de la manière ci-
après :
 Sélectionnez les colonnes concernées
 Cliquez sur le menu Format
 Après avoir pointé le sous-menu « Colonne », cliquez sur la
commande « Largeur » (saisissez la taille de la largeur et cliquez
sur le bouton « OK ») ou la commande « Ajustement
automatique »
2.4.3. Format de colonnes

Remarque : On peut modifier la largeur de colonnes en glissant la


souris à partir de leurs séparateurs de titres.
2.4.4. Format de feuilles
Il existe plusieurs moyens pour renommer des feuilles en
Excel. Toutefois, vous pouvez suivre la procédure ci-après :
 Sélectionnez la feuille concernée en cliquant dessus,

 Cliquez sur le menu Format


 Après avoir pointé le sous-menu « Feuille », cliquez sur la
commande « Renommer »
 Saisissez le nouveau nom puis validez
Remarque : On peut renommer une feuille soit en double-cliquant
sur le nom de cette feuille et en validant après avoir saisi son nom ;
soit en affichant son menu contextuel, en cliquant sur la fonction
« Renommer », etc.
EXERCICE N° 04
Q1/ Saisissez, en Excel, la situation semestrielle de la société
« Limex & Cie » ci-dessous et introduisez les formules pour le calcul
automatique de données.

N.B : Les totaux doivent être automatiques (la fonction somme)


EXERCICE N° 04
Q2/ Pour donner le résultat de l’équation 2x + 5y, remplissez la
feuille Excel telle qu’on a présentée ci-dessous. Cependant, dans la
cellule C2, saisissez la formule suivante : =(2*A2)+(5*B2). Ensuite
recopiez la formule jusqu’à la cellule C7.
EXERCICE N° 04
Q3/ Dans cet exercice, il est question de tester ou vérifier si la valeur
de x et supérieure ou égale à la valeur de y. Pour ce, remplissez la
feuille Excel telle qu’on a présentée ci-dessous. Cependant, dans la
cellule C2, saisissez la formule suivante : =SI(A2>=B2;"x est
supérieur ou égal à y";"y est supérieur à x"). Ensuite recopiez la
formule jusqu’à la cellule C7.
CONCLUSION
La bureautique est un ensemble des moyens et méthodes
appliqués aux activités de bureau permettant de traiter
informatiquement des informations écrites, visuelles ou sonores.
Cependant, l’utilisation des outils bureautiques pour la
réalisation des travaux de bureau recommande une étude préalable
et minutieuse afin de cerner les besoins bureautiques de
l’entreprise ; c'est-à-dire, connaître adéquatement les matériels et
les logiciels bureautiques à utiliser en vue de permettre aux
différentes organisations demandeuses de répondre aux exigences
actuelles du marché, de conserver et de gagner des parts de marché,
de rester compétitif… En outre, les moyens humains à employer
doivent rester le pivot ou l’élément central dans l’organisation de
celles-ci.
CONCLUSION
C’est ce dernier aspect qu’il nous avait été demandé de
préparer et d’initier les futurs cadres en Sciences et Techniques de
Secrétariat à la maîtrise de ces outils bureautiques afin de s’en
imprégner et de les exploiter à bon escient dans l’univers
professionnel des bureaux et des administrations.
Enfin, dans le but de compléter leurs connaissances en
bureautique, certaines autres notions beaucoup plus approfondies,
comme le publipostage, la consolidation, les graphiques, les bases de
données… leur seront dispensées en deuxième année graduat dans
le cours de Bureautique II.

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