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(a) toutefois

(b) détracteurs

(c) accoutumée

(d) recalé

(e) ravi

(a) La peur de la création d’une société d’assistés s’est installée.

(b) Un représentant d’Harvard dit qu’il ne savait pas qu’il était noir.

(c) On peut vivre la discrimination positive comme un handicap.

(d) Les populations qui bénéficient de la discrimination positive.

(e) Il faut donc que nous agissions.

(a) La discrimination positive a été instaurée pour encourager l’égalité des opportunités.

Elle a également été instaurée pour restituer une stabilité et une multiplicité en ce qui concerne les
études et la profession.

(b) Elle pourrait encourager la création d’une société qui est constamment protégée et
secondée.

Certains peuvent être privilégiés pour leurs différences et non pas pour leurs aptitudes et leur
travail.

Elle pourrait provoquer une incertitude sur les capacités et les qualifications des discriminés.

Les discriminés ont le sentiment d’être secondés, accentuant ainsi les inégalités.

(c) La discrimination positive est perçue comme un inconvénient ou une œuvre de bienfaisance,
engendrant ainsi des comportements violents de la part des discriminés.

Les populations avantagées de discrimination positive sont davantage critiquées et elles en

souffrent.

(d) La démocratie cherche à offrir des opportunités égales à tous les habitants
indépendamment de leur race, leur religion ou leur genre.

Elle soutient que chaque individu doit être embauché en se basant sur ses aptitudes et non pas sur
sa race ou son physique.

Elle a également pour but de donner une plus grande valeur aux diplômes afin que les organisations
soient plus efficaces en employant les personnes les plus qualifiées.

(e) Si on prend en considération la discrimination positive, les personnes sont embauchées

selon leur race, leur genre ou leur religion.

Les conditions raciales, physiques et nationales sont mises en avant alors que les compétences au
travail sont laissées de côté.