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Sujet : Faites l’étude géotechnique des graveleux latéritique (GL) amandés avec la grave
concassée (GC) 0/31.5 et donnez votre avis si l’on désire les utiliser pour construire les couches
d’assises de routes de type T3 et T5
1. Analyse granulométrique
Gravier : Ø > 2 mm 47 57 38 39 49
Conclusion partielle :
Nom : GONTOH
Prénoms : NOUZA CAMPBEL
Classe : L3TIR
2. Limites d’Atterberg
Les résultats des limites d’Atterberg sont donnés dans le tableau suivant :
Liquidité Wl % plasticité Wp %
Litho stab améliorée à 20% 37 19 18
Conclusion partielle : Bien que la valeur d’indice de plasticité́ peut être influencé par
plusieurs paramètre (chimique et minéralogique) elle doit voir une certaine valeur pour
être utilisé en couche de chaussée. Selon le guide pratique de dimensionnement des
chaussées pour les pays tropicaux, un matériau en couche de chaussée doit avoir un IP
maximal de 30 (20 admissible). C’est dans ce sens après analyse des valeurs IP de nos
différentes sols nous conclurons dans l’ensemble que toute les sols soumis à des analyses
peuvent être utilisé en couche de chaussée car tous ont des valeurs IP< 30. Par contre
parmi les quatre couches d’autre ont donnés des valeurs encore plus petites comme celle
du sol 2 et du sol 3 qui pourrons servir de bon matériaux pour la réalisation des couches
de chaussée.
3. Synthèse des résultats des essais Proctor modifié
Matériau Teneur en eau optimale Densité sèche optimale
GL améliorée 20 % 9,44 2,07
GL améliorée 25 % 8,38 2,12
GL améliorée 30 % 8,20 2,09
GL améliorée 35 % 8,27 2,08
GL améliorée 40 % 9,31 2,07
Conclusion partielle : D’après la synthèse des résultats des essais Proctor
modifié, les matériaux latéritiques du sol 2 qui correspond à la couche de
surface a une densité sèche optimale élevée (2,12) et une faible teneur en
eau optimale de (8,38) que les autres graveleux latéritiques de profondeur
inferieurs à la couche 4. Le graveleux latéritique 1 correspondant à la
couche la plus profonde de notre coupe latéritique et elle est celle avec une
densité sèche optimale faible et une forte teneur en eau optimale. En effet
les couches de surface sont celle qui subisse le phénomène d’induration. Il se
manifeste par la teneur enlevée de sesquioxydes de fer dû à l’action du
climat auquel elles sont en contact. Le durcissement des couches de surface
les rend moins hydrater sous l’augmentation des teneurs en oxydes de fer
suite au phénomène d’oxydation.
4. Essai CBR