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La variation d’enthalpie libre entre l’état initial et l’état final, sachant que T = T = T et P = P = P ,
correspond à : ∆G = ∆(U + PV − TS) = ∆U + P ∆V − T ∆S, soit :
∆G = (−P ∆V + W + Q) + P ∆V − (Q + T S ) = W − T S .
On obtient : ∆G ≤ W′.
Le cas particulier où W′ impose ∆G ≤ 0. L’enthalpie libre du système ne peut que diminuer
spontanément. L’état d’équilibre stable du système correspond donc au minimum de la fonction G dite
potentiel thermodynamique.
4) Pour le corps pur i, le potentiel chimique s’écrit : μ∗ (T, P) = μ° (T, P°) + v (P − P°).
( )
Or x = 1 − x , avec x la fraction molaire en soluté, Π = −RT ..
II- Application
1. v = ( ) , .
2. Dans le cas du solvant, nous pouvons établir la relation générale du potentiel d’une entité sous la forme
:
Pour une même altitude, le solvant est en équilibre entre les deux compartiments, puisque la membrane
semi-perméable ne laisse passer que ces molécules de solvant.
Le potentiel chimique du solvant est donc le même dans le compartiment de gauche (μ ) et dans celui de
droite (μ ).
D’après ce que nous avons écrit précédemment, nous savons que le potentiel du solvant dans le
compartiment de droite s’écrit (avec P la pression dans ce compartiment) :
μ (T, P) = μ (T) + RTln(1 − x ) + V (P − P°).
Pour le compartiment de gauche ne contenant que du solvant pur, nous obtenons (avec la fraction molaire
du solvant pur égale à 1 et P la pression dans ce compartiment) :
L’égalité entre les deux potentiels nous amène donc à : μ (T, P) = μ (T, P) =>
V P −P = −RT ln (1 − x p).
Or la différence des deux pressions P − P n’est autre que la pression osmotique égale à ρgh.
Nous obtenons donc finalement la relation demandée, soit : V ρgh = −RT ln (1 − x p).
Exercice 2
Exercice 3
I- Préliminaires
1.1. Les conditions de l’approximation de Gauss sont :
- Les rayons sont proches de l’axe optiques ;
- Les rayons sont peu inclinés sur l’axe optique.
Dans ces conditions, les angles d’incidence et de réfraction sont très petits donc α ≈ tan (α) et
α ≈ sin (α).
1.2.
Ainsi donc − = = .
- Pour L1 : − = et γ = ;
- Pour L2 : − = et γ = .
On obtient finalement : − = + et γ = γ γ .
L’ensemble des deux lentilles accolées est donc équivalent à une unique lentille L, de distance focale f’ et
de grandissement γ tous deux donnés par les expressions ci-dessus.
2.2. On suppose maintenant que les deux centres sont séparés de d.
3.