Memoire Corrigé

SOMMAIRE
SOMMAIRE…………………………………………………………………..1
DEDICACE……………………………………………………………………2
REMMERCIEMENTS………………………………………………………...3
SIGLES ET ABREVIATIONS…………………………………….................4
INTRODUCTION GENERALE……………………………………………....5
PREMIERE PARTIE : Cadre General …………………………......................6
CHAPITRE I : Présentation des Structures D’Accueil…………………..........8
CHAPITRE II : Présentation du Cadre du Sujet……………………………….11
DEUXIEME PARTIE : Conception technique du projet………………...........18
CHAPITRE I : Quelques solutions proposées…………………………………21
CHAPITRE II : Etude de la solution retenue…………………………………25
TROXIEME PARTIE : Planification du déploiement et mise en œuvre du projet

…………………………………………………………………………………27
CHAPITRE I : Phase de la planification du déploiement………………….....28

CHAPITRE II : Phase de mise en œuvre………………………………….….34
CONCLUSION GENERALE…………………………………………...........54
BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………………….55
OUEDRAOGO BOUKARE ANNEE ACADEMIQUE 2012 2013
DEDICACE
A Dieu seul la gloire !
- A mes parents ;
- Monsieur le Responsable de l’Association

des Promoteurs des journées de l’opérateur
Economique (A P J O E)
- A notre Professeur de suivi et à notre

maitre de stage qui mon encouragé et
soutenu.
-A mes frères et sœurs

Nous dédions ce travail
Mémoire de fin de cycle étude et optimisation du réseau local de A P J O E 1

REMERCIEMENTS
Pour l’obtention du stage, les connaissances et les

informations acquises au cours de ce stage, pour les
conseils lors de la rédaction du présent mémoire, pour la
formation reçue au cours de ces trois années et pour le
soutien, nous tenons à remercier :
- Monsieur ALASSANE NIKIEMA, le

Directeur Générale du
SUP’MANAGEMENT BURKINA et tout
son personnel ;
- Monsieur Goungounga Y. Sylvain, notre

professeur de suivi, pour sa disponibilité, son
appui, pour la réalisation du document ;
- Monsieur Savadogo Didier, notre maitre de

stage pour ses encouragements;
- Madame Kabore, chargé de la communication

et relation publique à A P J O E pour son
soutien ;

SIGLES ET ABREVIATIONS
SIGLES DESIGNATION
APJOE Association des Promoteurs des Journées de l’Opérateur
Economique
ACL Association des Promoteurs des Journées de l’Opérateur
Economique
ARP Address Resolution Protocol
CPU Central Processing Unit
CSMA/CD Carrier Sense multiple Access/Collision Detection
DHCP Dynamic Host Configuration Protocol
DNS Domain Name Server
HTTP Hyper Text Transfer Protocol
ICMP Internet Control Message Protocol
IEEE Institute of electronic and electrical engineer
IMAP Internet Message Access Protocol
IOS Internet working Operating System
LAN Local Area Network
NTIC Nouvelle Technologie de L’Information et de la communication
ONATEL Office National des Télécommunication au Burkina
PC Personal Computer/ Program Counter
SMS Short Message System
SNMPv3 Simple Network Management Protocol version 3
SMTP Simple Mail Transfer Protocol
TCP/IP Transmission Control Protocol/ Internet Protocol
VLAN Virtual Local Area Network
VoIP Voice over Internet Protocol
UDP: User Datagrams Protocol
VTP Virtual Trunking Protocol

INTRODUCTION GENERALE
Au Burkina Faso avec l’évolution de la technologie, la majeure partie des

entreprises est équipée d’un réseau local au minimum, et de réseaux qui
interagissent à travers le monde pour les plus importantes d’entre elles.
Vu que ces systèmes informatiques sont aux cœurs des activités de l’entreprise,
leur gestion devient primordiale, ils doivent être pleinement et permanant dans
leurs fonctionnements afin de garantir la fiabilité et l’efficacité exigée, et surtout
travailler à réduire les problèmes de défaillances, les pannes, les
disfonctionnement et les différents problèmes techniques qui peuvent causer les
pertes considérables.
C’est dans cette optique que le thème soumis à notre étude se porte sur l’étude
et l’optimisation du réseau local de A P J O E vise principalement une
recherche de solutions pouvant réduire tous les problèmes qui entravent le
fonctionnement de ce réseau.
Le but principal de ce projet est donc de permettre à l’Association des

Promoteurs des Journées de l’Opérateur Economique (A P J O E) de disposer
d’un réseau informatique donnant pleine satisfaction en termes de convivialité,
de sécurité, d’ergonomie et de rapidité.
Notre travail s’articulera autour de trois principales parties. Dans la première

partie nous allons nous intéresser à la présentation du cadre General, où nous
allons présenter notre école de formation et la structure d’accueil de notre stage
ainsi que l’étude et la critique du réseau local existant dans cette structure. La
deuxième partie est consacrée à l’étude de la conception technique du projet où
nous allons proposer différentes solutions possibles et choisir la solution
adéquate pour notre projet. Quant à la troisième partie l’accent sera porté sur la
planification du déploiement et la mise en œuvre du projet.

PREMIERE PARTIE
CADRE GENERAL

CHAPITRE I : Présentation Générale des Structures D’Accueils

I. SUP MANAGEMENT BURKINA
1. STATUT DE SUP’MANAGEMENT
SUP’MANAGEMENT est géré par une structure associative privée, créée en

1992 et a ouvert ses portes au Burkina Faso en octobre 2008 suivant la loi N°
/REF : N°74/10/SUP-B/DE sous la direction du Docteur Alassane NIKIEMA.
2. OBJECTIF DE LA CREATION DU GROUPE

SUP’MANAGEMENT
L’objectif de la création de SUP’MANAGEMENT est de former de véritables

managers de l’entreprise du 3ème millénaire, dotés des qualités de polyvalence,
d’initiative et de communication et capable de décider, d’entreprendre et d’agir
avec un sens aigu de la responsabilité et de l’éthique. De ce fait sa vocation est
de former des cadres managers et des dirigeants d’entreprises.
3. LES FORMATIONS OFFERTES PAR

SUP’MANAGEMENT
En matière de formation, SUP’MANAGEMENT propose trois (03) pôles de

formation aux étudiants et aux professionnels à savoir :
L’école de Management
L’école d’Ingénierie
L’école de Tourisme
Et trois (03) pôles d’excellence à savoir :

Le centre de recherche et de formation continue
L’école des métiers
L’école doctorale domiciliée à l’E.I.U.

4. PARTENARIAT PEDAGOGIQUE
Sur le plan national

Le groupe SUP’MANAGEMENT travaille en étroite symbiose avec différentes
composantes du tissu économique et industriel et ce par le biais :
d’un partenariat dynamique avec plusieurs entreprises et institutions

permettant un placement facile de ses étudiants en stages et un suivi régulier de
l’évolution de l’environnement économique afin d’ajuster et faire évoluer ses
programmes d’études.
d’un partenariat sélectif avec des organismes de références
(Multinationales, Organismes financiers, ONG, Associations, Chambre de
commerce, Centre d’études et de recherches, etc.) ainsi qu’avec des institutions
de formation (programmes d’échanges d’enseignants et d’expérience, échanges
de stages).
Sur le plan international
Le réseau qui englobe SUP’MANAGEMENT et l’Euro-Américain
International University (E.I.U) permet à ses étudiants de bénéficier d’une
double diplomation à travers ses deux pôles sur le niveau Bachelor (Bac + 3) et
Master (Bac + 5) portant sur une panoplie de spécialisations.
Par ailleurs, le partenariat avec l’EBS-Paris permet une double diplomation sur
le niveau Master (Bac + 5) mais aussi une possibilité d’effectuer les deux
dernières années du cursus sur le site de l’EBS-Paris.
Le réseau consolide constamment sa coopération avec diverses institutions
étrangères, permettant ainsi à ses étudiants, de bénéficier d’un double
diplomation, de nombreuses possibilités de poursuites d’études (Ingénierie,
Doctorat). Ainsi dans le cadre de leur formation, les étudiants de
SUP’MANAGEMENT Burkina en fin de cycle doivent effectuer un stage en
entreprise dans le but non seulement de concrétiser les enseignements théoriques
reçus afin d’acquérir des connaissances professionnelles opérationnelles mais
aussi de produire un mémoire de fin de cycle qui fera l’objet d’une soutenance.
C’est à ce titre qu’en fin de cycle de Licence Professionnelle en Ingénierie des
systèmes & Réseaux, l’Association des Promoteurs des Journées de l’Opérateur
Economique(APJOE) nous a accueillies du 1er Juin au 31 août 2013 pour nous
permettre au mieux de parfaire notre formation. Ainsi nous avons été affectées
dans le service technique de cette structure pour assister aux différents travaux
techniques.

II. PRESENTATION DE A P J O E
1. HISTORIQUE
De nos jours, nous avons des organisations pour déficient éducatif à travers le
monde et la plus célèbre est l’association des promoteurs des journées de
l’opérateur économiques (A P J O E). Créer en 1992 sur autorisation
N’10/92/ADP du 15 Décembre 1992, portant liberté d’association A P J O E est
la consécration de réflexions menées durant des années sur la possibilité de
formation des enfants ou des jeunes analphabètes et la formation continue des
travailleurs des secteurs publiques et privées au Burkina Faso. Après
l’ouverture de l’association à OUAGADOUGOU d’autres annexes de la même
association ont été ouvert à ZINIARE et à BOBO DIOULASSO. Cette
association est chargée de la conception, de la promotion et de la mise en œuvre
d’actions répondant aux besoins éducatifs spéciaux des apprenants, en
partenariat avec les structures, organisation et organisme travaillant dans le
domaine. C’est dans cette optique d’amélioration de vie sociale et de la
scolarisation des personnes handicap que A P J O E voie le jour.
2. MISSION ET OBJECTIFS
A P J O E intervient notamment dans les domaines suivant :

L’éducation : elle aide à l’éclosion d’une culture auto emploi dans les
régions : cette rencontre consacrée aux recrutements, des discutions et
l’entreprenariat, est ouverte à tous pendant une période de concertation
entre les visiteurs et les opérateurs économiques.
Agriculture et du pastoralisme : A P J O E met à disposition des
cultivateurs des moyens nécessaires pour cultiver et faire de l’élevage par
son organisation de plantation d’arbres et autres.
La santé : elle fait la promotion de la santé scolaire et communautaire à
travers l’octroi de soins aux populations vulnérables.
Formation : A P J O E est parmi les Premières associations à créer dans
ses structures un centre de formation et de forum. Ce centre réunit chaque
année une cinquantaine d’opérateurs économiques de renom, des
plusieurs régions. La formation a toujours constitué, au sein de A P J O E,
un pilier incontournable de sa politique générale et partant le centre s’est
fixer les objectifs suivants :

La formation inter et intra-entreprise (session de courte durée, séminaire,

coaching). La recherche axée sur plusieurs volets à caractère entreprenariat et
managérial, national, régional ou encore international. S’ouvrir continuellement
sur l’environnement socio-économique et en particulier l’entreprise, et participer
activement au développement et à la modernisation des organisations, en
mettant ses cellules de recherche et de formation au service permanent de ces
dernières.
3. PARTENARIAT
A P J O E s’est engagé depuis sa création dans un processus de développement

de ses programmes de coopération national et international. En effet les
partenaires de A P J O E sont nombreux mais nous pouvons retenir qu’ils sont
entre autre :
Partenariat avec des entreprises, des ONG, et des associations locales.

Partenariat avec les associations étrangères.
Renforcement de structures d’éducations et de formation
4. ORGANISATION FONCTIONNELLE DE A P J O E
4.1 ORGANISATION GENERALE
A P J O E a une structure qui définit clairement les relations existantes entre

ses différentes membres et cela à travers son organisation générale avec à sa
tête le responsable ou le Directeur Générale.
A P J O E est sous le contrôle d’un conseil d’administration et est placé sous la
responsabilité directe de Monsieur SAVADOGO N. DIDIER responsable de
l’association, D’un chef de projet chargée de la gestion administrative et
technique du Centre, Un chef de personnel qui s’occupe des membres de
l’association et une Trésorière qui s’occupe de la gestion du budget.

4.2 ORGANISATION DU SERVICE INFORMATIQUE
Les services techniques de A P J O E sont divisés en deux parties :

La première partie s’occupe du réseau informatique, des serveurs et des
postes clients (maintenance, renouvellement, etc…).
La seconde s’occupe de la base de données Access dont la gestion est
réalisée en local. En tant qu’assistant à la gestion du parc informatique, j’ai
travaillé essentiellement au déploiement et à la maintenance des postes
clients. J’ai effectué également des opérations d’administration sur les
serveurs et sur les équipements réseaux. Les modifications conséquentes
étant effectuées par L’O N A T E L.

CHAPITRE II : Présentation du Cadre du Sujet
I. Problématique de l’étude
1. Problématique
Au cours de notre stage au sein de A P J O E, nous avons noté quelques

insuffisances liées à leur Réseau local(LAN).En effet certains agents doivent
attendre les réponses de leur requêtes plus longtemps. Les débits ne sont donc
pas dédié par importance de groupe de travail, les utilisateurs et les ressources
entre lesquels les communications sont fréquentes ne sont pas regroupés. Tous
ces phénomènes entrainent la dégradation du réseau. Nous avons aussi constaté
que le Réseau est confronté à un problème de sécurité. Il s’avère également de
noter que les responsables de cette structure avaient manifesté le besoin
d’obtenir un réseau fiable et plus sécurisé. Au regard de toutes ces insuffisances
nous avons motivé notre choix sur l’optimisation du réseau qui n’est doit se
passer sans une étude préalable du réseau existant.
2. Objectifs
Objectif général :
Notre objectif général vise à élaborer une stratégie de sécurisation et de
segmentation des flux du réseau à l’aide de VLANs.
Les objectifs spécifiques :

Nos objectifs spécifiques visent à :
Réaliser l’état des lieux du fonctionnement du réseau existant ;

Identifier les difficultés/contraintes rencontrées par les utilisateurs ;
Proposer des perspectives et solutions pour une amélioration de la
situation ;
Trouver une solution à retenir ;
Etudier cette solution afin de la mettre en place.
3. Utilité des VLANs

La productivité des utilisateurs et l’adaptabilité du réseau sont des facteurs
clés de croissance et de réussite de l’entreprise. L’implémentation de la
technologie VLAN permet à un réseau d’assurer une prise en charge plus
souple des objectifs de l’entreprise. Les principaux avantages des VLAN
sont les suivants :

Sécurité : les groupes contenant des données sensibles sont séparés du

reste du réseau, ce qui diminue les risques de violation de confidentialité.
Les ordinateurs d’une direction donnée se trouvant sur le même VLAN
sont complètement séparés du trafic des données des autres directions.
Réduction des coûts : des économies sont réalisées grâce à une diminution
des mises à niveau onéreuses du réseau et à l’utilisation plus efficace de la
bande passante et des liaisons ascendantes existantes.
Meilleures performances : le fait de diviser des réseaux linéaires de
couche 2 en plusieurs groupes de travail logiques (domaines de diffusion)
réduit la quantité de trafic inutile sur le réseau et augmente les
performances.
Atténuation des tempêtes de diffusion : le fait de diviser un réseau en
plusieurs réseaux VLAN réduit le nombre de périphériques susceptibles
de participer à une tempête de diffusion .la segmentation d’un réseau LAN
empêche donc une tempête de diffusion de se propager dans tout le réseau.
II. Définition d’un LAN
Un réseau local, souvent désigné par l’acronyme anglais LAN (Local Area
Network), est l’interconnexion d’équipements informatiques situés dans une
zone géographique restreinte (appartement, maison, boutique, locaux
d’entreprise, etc.), afin qu’ils puissent communiquer entre eux et éventuellement
partager une connexion internet par le biais d’un routeur. En effet un réseau
domestique avec deux ordinateurs n’est pas très différent du réseau local d’une
entreprise comprenant un nombre considérable de machines. Il s’agit
essentiellement d’une question d’échelle, pas de type de matériel. Il existe par
ailleurs de nombreuses technologies pour créer un réseau local. Les plus
répandues sont le Wi-Fi, qui utilise les ondes radio, les réseaux filaires Ethernet
et le CPL (Courant Porteur en Ligne) qui se sert du réseau électrique. Sachant
qu'un LAN est un réseau local, un VLAN est donc un réseau local virtuel.
C’est un sous-réseau IP logique distinct. Les réseaux locaux virtuels permettent
à plusieurs réseaux et sous-réseaux IP de coexister sur le même réseau commuté.

III. Etude et critique du réseau existant

1. Etude du réseau informatique de A P J O E
Dans toute organisation il existe une hiérarchie au niveau des personnels. C’est
la même chose pour les éléments constitutifs d’un réseau informatique. Un
réseau fournit donc un canal de communications entre les machines
(ordinateurs, imprimante,…), afin que ces machines puissent s’échanger
(émettre et recevoir) des informations à travers ce canal. En effet ce chapitre
fera l’objet d’une étude sur la constitution, la structure et le fonctionnement du
réseau informatique de A P J O E.
a. Présentation et architecture du réseau
Pour transporter les informations, les systèmes distants ont besoin d’une
infrastructure de réseau fiable, rapide et sécurisée qui diffère notamment suivant
les distances entre les équipements d’extrémités à partir desquels les utilisateurs
s’échangent leurs services. Comme la plupart des réseaux, le réseau
informatique A P J O E est composé d’équipements de raccordement
connectant les machines d’extrémité (PC, serveurs, imprimantes…) et des
supports de transmissions. En effet il s’agira pour nous de rassembler les
informations relatives à l’organisation de l’existant. Car les informations
représenteront une grande partie des décisions que nous allons prendre dans le
choix de la solution et de son déploiement. Ici, nous allons faire l’inventaire de
tous les outils informatiques du réseau qui feront l’objet d’interconnexion.
Schéma 1 architecture illustrant le parc informatique du réseau que nous allons étudier

b. Analyse du parc informatique
Le réseau informatique de A P J O E, est un réseau Ethernet commuté à

100 Mb/s, il est basé sur la topologie en étoile. Seule la dorsale est définie
et câblée avec des paires torsadées FTP catégorie 5.En effet le réseau
dispose :
D’une salle serveur concentrant les équipements et les applications ;
D’équipement d’interconnexion et des terminaux ;
Des équipements de protection électriques (UPS) ;
Des équipements de sauvegarde;
D’un système de gestion de sécurité ;
Ces équipements interviennent et contribuent au bon fonctionnement du
réseau local de l’entreprise.
NB : Le réseau ne contient aucun sous réseau, ce qui réduit ses performances

compte tenu du nombre important du trafic qui en découle.
Environnement client
Le parc informatique de A P J O E dispose de 20 ordinateurs fixes et 10

ordinateurs mobiles. On dénombre aussi une dizaine d’imprimantes, toutes
reliées aux serveurs d’impression.
Les postes sont reparties comme suit :
Mémoire RAM Capacité du disque Caractéristique du

dur processeur
512-1GHz 8-160Go 1.8-3GHz
Le site est reparti en plusieurs divisions dont le plateau projet comprend

l'ensemble des équipes projets. Le parc informatique est partenaire Microsoft, il
dispose des différentes licences, Windows Vista, professionnel, Windows 7 pour
les postes clients et les licences de Windows 2003 serveur, le serveur.
L'utilisation de ces systèmes d'exploitation est fonction de l'environnement dans
lequel les solutions développées seront déployées. La politique du réseau Pour
réduire le taux de maintenance et pour assurer à ses applications une certaine
stabilité, consiste à ce que le développement se fasse dans un environnement
similaire à celui de déploiement.

Environnement serveur
Un serveur est un dispositif informatique matériel et logiciel qui offre des

services à différents clients. Le serveur que nous disposons dans ce réseau
présente différentes caractéristiques énumérées comme suit:
Le serveur DHCP (Windows 2003 serveur) sert de base pour toutes les
requêtes DHCP (il les reçoit et y répond), aussi doit-il avoir une configuration IP
fixe. Ce serveur s’occupe également de la supervision du réseau, de la
centralisation et de l’analyse des informations du réseau. La quantité importante
du nombre de serveur est due aux quantités nombreuses des applications et des
bases de données développés en client-serveur.
Le serveur est dimensionné comme suit :
Mémoire RAM Capacité du disque Caractéristique du

dur de données processeur
512-1GHz 160-300Go 1.8-3GHz
Matériels d’interconnexion
Les équipements d'interconnexion représentent le cœur du réseau dans une

architecture. S'ils sont mal dimensionnés, ils pourront avoir des effets négatifs
sur le trafic du réseau, allant à la détérioration de celui-ci. Dans notre cas
d'étude, l'infrastructure du réseau comporte des commutateurs Cisco monté en
cascade. Ces équipements par leur fonction permettent de segmenter des réseaux
par la technologie VLAN afin de réduire significativement la congestion sur
réseau au sein de chaque segment. Mais nous remarquons que cette solution
n'est pas implémentée.
Un « routeur Cisco » qui permettra de relier les différents équipements

du réseau et d'être relié au réseau extérieur (à Internet). Ce routeur est
configuré pour offrir un service de pare-feu. Il a pour rôle d’autoriser et
de refuser certaines connections.
Le pare-feu devra:
-Autoriser le protocole SMTP (pour l'envoi de mail) sortant mais pas
entrant ;
-Autoriser le protocole IMAP (pour la réception de mail) entrant et
sortant ;
-Autoriser le protocole HTTP entrant et sortant (pour le web) …

Les switch (commutateurs) Permettent d’envoyer de trame vers la bonne

machine, le switch se sert de l'adresse MAC destination contenue dans
l'en-tête de la trame. Il doit être capable de connaître l’adresse physique
des machines qui lui sont connectés et d’analyser les trames reçues pour
les diriger vers la machine de destination.
Le câble RJ45 (câbles Ethernet) : Composé de 4 paires de fils torsadés
et permet de transmettre des données pour assurer la communication des
machines sur ce réseau.
un modem ADSL (Asymmetric Digital Subscriber Line), en français
Réseau de Raccordement Numérique Asymétrique, qui permet le transite
des données plus rapidement sur internet, L’affichage des pages Internet,
des photos ainsi que les téléchargements sont désormais beaucoup plus
rapides. Ses nouveaux débits permettent également d’utiliser de
nouvelles applications, comme la téléphonie sur IP, ou encore la TV sur
Internet.
L'infrastructure comprend les équipements d'interconnexion suivant :
Equipements nombre Caractéristique

Routeur 1 Cisco 1841
SWITCH 4 Air live
GSH1202
firewall 1 Cisco PIX-515E
Prises Réseau SYSTIMAX 40
RJ45
Modem ADSL 1 Onatel
2. Citriques de l’existant et spécifications des besoins
a. critique de l’existant
Le réseau informatique de A P J O E comprend entre autres comme
Point forts :
Présence de dorsale (réseau cœur) à base de paires torsadées catégorie 6 ;

Disposition de Switch performants et de haute gamme dont un Switch
OVOSLINK 24 ports GSH 2402 GIGABIT ces Switch en effet peuvent
être réutilisés à profit ;
La salle serveur est très bien protégée avec onduleurs et des systèmes de
refroidissement ;

Trois stations relais existantes avec infrastructure hyperfréquences

exploitables à profit ;
Equipement haut de gamme pour une communication VoIP ;
Une connexion internet haute débits à 2Mbps ;
L’existence de pare-feu et d’antivirus sur les Serveurs de l’entreprise ;
Les points à déplorer :

Augmentation rapide du nombre des utilisateurs ;
Volume accru du trafic généré par chaque utilisateur ;
Echange volumineux de fichiers non nécessaire entre utilisateurs ;
Applications toujours plus complexes et fichiers plus volumineux ;
Augmentation accrue des bases de données des serveurs ;
Trafic web important ;
Flux messagerie important ;
Les collisions important dans le réseau ;
Réseau non segment.
b. Spécification des besoins
Suite à la critique de l'existant, quelques besoins ont été relevés afin de pallier
aux contraintes précédemment mentionnées:
Besoins fonctionnels
Les besoins fonctionnels expriment une action qui doit être menée sur
l'infrastructure à définir en réponse à une demande. C'est le besoin
exprimé par le client. Pour cela, nous aurons :
Besoin de segmenter le réseau en par la création des Vlans En vue
d'isoler le trafic entre les segments et de fournir davantage une bande
passante par utilisateur et par groupe de serveur ;
Besoin de mettre en place d’une politique de sécurité qui protègera l’accès
à certains documents et équipements du réseau;
Besoin de désactivation de certains protocoles en vue de réduire le trafic
sur le réseau. Par exemple, si un ordinateur est configuré avec TCP/IP,
NetBEUI et IPX/SPX, il envoie les mêmes informations à trois reprises,
une pour chaque protocole. Imaginez maintenant l'impact si ces trois
protocoles sont chargés sur chaque ordinateur du réseau.

Besoins non fonctionnelle

Les besoins non fonctionnels se regroupent autour des points suivant :
Besoin d'indisponibilité du réseau ;
Besoin d'administration du réseau à travers les Vlan ;
Besoin d'incompatibilité matériel (carte réseau) ;
Besoin d'incompatibilité du commutateur à pouvoir gérer les bandes
passantes ;
Besoin de performance des commutateurs ;
Besoin de sécurité des commutateurs ;

DEUXIEME PARTIE
CONCEPTION TECHNIQUE DU PROJET

CHAPITRE I : Quelques Solutions Proposées
Un réseau peut être divisé en unités plus petites appelées segments. Dans ce
réseau Chaque segment utilise le mode d'accès CSMA/CD et assure le trafic
entre les utilisateurs sur le segment. Chaque segment constitue son propre
domaine de collision. La segmentation permet alors de réduire significativement
la congestion.
Schéma 2 principe de segmentation des VLAN :
Pont commutateur routeur
I. Présentation General des solutions
Le but de la segmentation sur un LAN est d’obtenir une réduction de la taille des
domaines de collisions afin d’économiser la bande passante disponibles, ou de
la taille des domaines de diffusion afin d’améliorer la sécurité et diminuer la
taille des réseaux. Il est possible de recourir à trois types de segmentation des
domaines de collisions :

1. Segmentations à l’aide des ponts
Les ponts sont des équipements de couche 2 qui transmettent des trames de
données en fonction de l'adresse MAC. Les ponts lisent l'adresse MAC de
l'émetteur des paquets de données reçus sur les ports entrants pour découvrir les
équipements de chaque segment. Les adresses MAC sont ensuite utilisées pour
créer une table de commutation qui permet au pont de bloquer les paquets qu'il
n'est pas nécessaire de transmettre à partir du segment local. Bien que le
fonctionnement d'un pont soit transparent pour les autres équipements,
l'utilisation d'un pont augmente de dix à trente pour cent la latence d'un réseau.
Cette latence résulte du processus de prise de décision qui a lieu avant l'envoi
d'un paquet. Un pont est considéré comme un équipement de type Store-and-
Forward, car il doit examiner le champ d'adresse de destination et calculer le
code de redondance cyclique (CRC) dans le champ de séquence de contrôle de
trame avant l'envoi d'une trame. Si le port de destination est occupé, le pont peut
stocker temporairement la trame jusqu'à ce que le port soit de nouveau
disponible.
2. Segmentations à l’aide des routeurs
Les routeurs assurent la segmentation des réseaux en ajoutant un coefficient de

latence de 20 à 30 % sur un réseau commuté. Cette latence accrue est due au
fonctionnement d'un routeur au niveau de la couche réseau qui utilise l'adresse
IP pour déterminer le meilleur chemin vers le nœud de destination. Dans la
segmentation LAN, les ponts et les commutateurs assurent la segmentation au
sein d'un réseau ou d'un sous-réseau. Les routeurs assurent la connectivité entre
les réseaux et les sous réseaux. En outre, les routeurs n'envoient pas de
broadcasts, tandis que les commutateurs et les ponts doivent transmettre des
trames de broadcast.
Schéma 3 de segmentation à l’aide d’un routeur :

3. Segmentations à l’aide des commutateurs
La commutation LAN réduit les pénuries de bande passante et les goulots

d'étranglement sur le réseau, comme ceux qui se produisent entre plusieurs
stations de travail et un serveur de fichiers distant. Un commutateur divise un
réseau LAN en micro segments afin de réduire la taille des domaines de
collision. Cependant, tous les hôtes connectés au commutateur restent dans le
même domaine de broadcast. Dans un LAN Ethernet commuté parfait, les
nœuds d'émission et de réception opèrent comme s'ils étaient les seuls nœuds du
réseau. Lorsque ces deux nœuds établissent une liaison, ou circuit virtuel, ils
accèdent au maximum de bande passante disponible. Ces liaisons offrent un
débit plus important que les LAN Ethernet connectés via des ponts ou des
concentrateurs.
Schéma 4 de segmentation à l’aide d’un commutateur :
II. La solution retenue
Au terme de l’étude précédemment faite sur la segmentation des réseaux, notre

choix se portera sur la segmentation LAN à base de commutateurs en
implémentant des VLAN. Cela réduit considérablement la taille des domaines
de broadcast. En effet cette solution est attrayante du point de vue gestion de
parc informatique et de bande passante et pourra répondre à notre besoin
d'optimisation du réseau dans l'utilisation de ses services
(voix/données/images). Elle est également plus facile à mettre à en place et offre
une facilité à aller sur des plateformes mobiles. Aussi le cout des matériels sera
moindre par rapport aux autres types de segmentations.

CHAPITRE II : Etude de la solution retenue
L'implémentation de notre solution doit se faire à travers des équipements de

constructeur. En effet ce choix doit tenir compte de certaines compétences
techniques d'une part et d'autre part de l'évolution du réseau car chaque
constructeur dispose de sa technologie qui diffère les uns des autres. Mais ils ont
des commandes standard en commun. La mise en place donc de VLAN
nécessite l’utilisation d’équipements supportant cette technologie.
I. Cisco Catalyst 2950 série
Le réseau qui sera présenté tournera dans un environnement homogène. Les

commutateurs et le routeur seront tous d’origine Cisco. Cela permet de
bénéficier d’un débit plus important puisque le routeur sera directement
connecté à l’un des commutateurs du cœur du réseau. L'interconnexion du
réseau est donc basée sur des commutateurs (switches) Cisco catalyst série 2950
habilité à faire du Vlan d'où le choix de ce constructeur. Les Switches catalyst
principalement utilisées dans notre cas doivent être de type 2950C ou 2950T
ou encore du 2960 et le routeur 1941 ou 1841.
II. Connecteurs et câbles
Ports 10Base-T : connecteurs RJ-45 ; câblage avec double paire torsadée

non blindée UTP catégorie 3, 4 ou 5
Ports 100Base-TX : connecteurs RJ-45 ; câblage avec double paire
torsadée non blindée UTP Catégorie 5
Ports 1000BASE-T : connecteurs RJ-45 ; câblage avec double paire
torsadée non blindée UTP catégorie 5
Ports 100Base-FX : connecteurs MT-RJ ; fibre multimode (10/125 ou
62,5/125)
Port de la console d'administration : Connecteur RJ-45, RJ-45-DB9 (Coté
PC)
Câbles MT-RJ (Type de Câble, Référence).

III. Technique de gestion des VLANs par Commutateurs
Le principe des VLAN consiste à regrouper des machines dans un ou plusieurs

segments quelques soit leur emplacement physique. En fait cette technologie
permet de créer des segments Ethernet logiques indépendamment de
l’implémentation géographique. Les VLAN existent sur les commutateurs
depuis fort longtemps, notamment les VLAN par port. Tant que le réseau n’est
constitué que d’un seul commutateur tout ceci est fort simple. Le
fonctionnement des VLAN se complique lorsqu’il s’agit de faire discuter
plusieurs commutateurs et notamment lorsque ceux-ci viennent de fabricants
concurrents. Afin de transporter le trafic des VLAN entre différents
commutateurs il est nécessaire de trouver un protocole de transport entre les
équipements qui permettent de conserver les informations d’appartenance aux
VLAN. Le terme anglais trunk est utilisé pour caractériser les liaisons entre
commutateurs et permettant le transport des VLAN. Il existe de nombreux
protocoles propriétaires (par exemple ISL chez Cisco, 3Com) depuis déjà
quelques temps et un protocole standardisé : 802.1Q. Ce dernier protocole n’est
disponible et opérationnel sur les produits que depuis quelques mois, même si
les brochures du marketing vendaient cette fonction bien avant qu’elle n’existe
et surtout qu’elle fonctionne correctement. On peut dire, très sommairement que
802.1Q est un protocole de multiplexage (sur Ethernet c’est un type particulier
de trames) qui permet le transport des trames des différents VLAN du réseau.
C’est l’administrateur du réseau qui décide si un port est destiné à accueillir des
machines ou bien si c’est un trunk destiné à l’interconnexion des différentes
parties d’un VLAN.
IV. Tableau de comparaison des VLANs
Types de Vlan Description

VLAN niveau 1a Configuration la plus courante. Les Ports affectés
1 individuellement à un ou plusieurs Vlan Facile à mettre en place
Couplé à DHCP, les VLAN par ports offrent une bonne
Basé sur le flexibilité. Les interfaces de gestion des Switch permettent une
port configuration facile
VLAN niveau Rarement utilisé L'adresse MAC détermine l'appartenance à un
2
VLAN. Les Switch s'échangent leurs tables d'adresses MAC ce
Basé sur qui peut ralentir les performances I Difficile à administrer, à
l'adresse MAC dépanner et à gérer
VLAN niveau IP Pas utilisé aujourd'hui à cause de la présence de DHCP
3 Basé sur le
protocole L'adresse IP (sous-réseau) détermine l'appartenance à un VLAN
V. Principe des V L A Ns
Les commutateurs de niveau 3 agissent au niveau IP. Ils permettent la création

de VLAN (LAN virtuel).Le principe des VLAN consiste à regrouper des
machines dans un ou plusieurs segments quelques soit leur emplacement
physique. En fait cette technologie permet de créer des segments Ethernet
logiques indépendamment de l’implémentation géographique. Comment
transporter et reconnaitre à l'arrivée sur un même segment physique, des trames
issues de plusieurs Vlan ?
1. L’étiquetage
L'étiquetage consiste à marquer toutes les trames sortantes du commutateur avec

le numéro du VLAN d'appartenance. Le commutateur suivant peut alors repérer
les trames et les diriger vers le VLAN correspondant. En effet trois types de
trames sont définis :
Schémas 5 d’étiquetage entre les vlans
Les trames non étiquetées (untagged frame) ne contiennent aucune

information sur leur appartenance à un VLAN ;
Les trames étiquetées (tagged frame) possèdent un marqueur qui précise à
quel VLAN elles appartiennent ;
Les trames étiquetées avec priorité (priority-tagged frame) sont des
trames qui possèdent en plus un niveau de priorité définit selon la norme
IEEE 802.1P, ainsi le champ TPID (Tag Protocol Identifier) a une valeur
fixe, 0x8100 qui identifie une trame de type 802.1Q ; et le champ TCI
(Tag Control Information) est lui-même constitué de trois parties :
- Le champ Priority indique le niveau de priorité de la trame et est
utilisé lorsque le champ VID est nul ;
- Le champ CFI (Canonical Format Identifier) indique que le format est
standard(Ethernet) ou non ; Le champ VID (VLAN Identifier)
contient l’identifiant du VLAN auquel appartient la trame.

2. La trame Ethernet classique
Cette figure nous montre une trame Ethernet classique sans VLANs
Schémas 6 de trame Ethernet classique
3. La trame Ethernet 802.2
La norme IEEE 802.1Q est utilisée pour étendre la portée des VLAN sur
plusieurs commutateurs. Elle est basée sur le marquage explicite des trames :
dans l’en-tête de niveau 2 de la trame est ajouté un marqueur (tag) qui identifie
le VLAN auquel elle est destinée, on parle alors de VLAN (taggés).le format de
la trame est donc modifié, ce qui peut entrainer des problèmes de comptabilité
avec les commutateurs ne supportant pas les VLAN et des soucis de la taille
maximale de trame sur le reseau.il faut noter que seuls les commutateurs
ajoutent et enlèvent les tags dans les trames. Les stations n’ont donc pas à gérer
le marquage qui leur est inconnu. L'étiquetage se fait grâce à la norme 802.1q
(dot1.q) et Les trames ont un champ supplémentaire.
Schémas 7 de la trame Ethernet 802.2

TROIXIEME PARTIE
PLANIFICATION DU DEPLOIEMENT ET
MISE EN ŒUVRE DU PROJET

CHAPITRE I : Phase de la planification du déploiement

I. Planification du déploiement des V L A N S
Une bonne mise en œuvre des solutions nécessitent une bonne planification de
déploiement. Dans cette phase, nous allons lister, le matériel, les prés requis et
les différents protocoles nécessaires pour la mise en place de la solution. Il est
aussi important de noter les différentes contraintes qui pourront être
rencontrées :
garder les adresses IP serveurs identiques. Pour des raisons

d'administration et d'accès externes à certains serveurs ;
Le service rendu à l'utilisateur doit être interrompu le moins longtemps
possible pendant les heures de travail ;
La bascule dans les réseaux virtuels doit se faire avec moins d'effort
possible pour l'équipe réseau et assistance utilisateurs confondues.
1. matériels a utilisés
Matériels Quantité
Switch Cisco 2960 1
Switch Cisco 2950T 1
Routeur Cisco 1941 2
Connecteur RJ-45 40
Câble UTP (Double paire torsadée Cat 5
non blindé)
2. Architecture de mise en œuvre

Schéma 8 du nouveau architecture proposé

Dans cette nouvelle architecture, nous avons segmenté le réseau par la mise en
œuvre des VLANs de niveau 1. Chaque VLAN se verra attribuer un ou plusieurs
ports physique. Dans cette nouvelle infrastructure, nous disposons de trois
commutateurs (switch) sur lesquels sont repartis les différents Vlan. Le
SWITCH 1 accueil la liaison internet, un lien trunk est établi entre le SWITCH 2
vers le SWITCH 1, ainsi qu’entre le SWITCH3 vers le SWITCH1.Le protocole
VTP serveur implémenté sur le SWITCH 1 permet de mettre à jour la base de
données pour les différents VLAN à travers le protocole VTP client.
L'agrégation de lien implémenté permet de gérer les différents débits entre les
SWITCHS et les différents VLANs ; des ACL sont prévus pour gérer la sécurité
entre VLAN et dans le réseau local. Le protocole Spanning-tree implémenté
permettra de supprimer les boucles entre le commutateur 1 et 2, d'une part et
d'autre part entre 1 et 3. Nous avions un sous-réseau par VLAN. A noter que les
liaisons entre R1 et SWITCH 1 sera aussi considérer comme un sous réseaux. La
passerelle par défaut, est l'équipement qui interconnecte les différents VLANs,
donc ici chaque station des différents VLANs aura pour passerelle qui sera
configuré sur les SWITCH 1, 2,3.
II. Les différents V L A Ns à implémenter
Après analyse, nous avons défini trois (3) types de VLANs repartie comme suit :
- VLAN SERVEUR : Vlan5

Ce Vlan est destiné aux impressions dans lequel vont se trouver les imprimantes
et les serveurs de production et de base de données ce qui permet de séparer les
flux d'impressions du reste du trafic.
- VLAN ADMINISTRATION : Vlan10

Dans ce Vlan, nous retrouverons toutes les machines de la direction générale, et
de la direction financière.
-VLAN DIRECTION TECHNIQUE : Vlan15

Ce VLAN, est destiné à toute l'équipe du support technique et de conception de
projet.
NB : cette répartition d'une part permettra à l'administrateur d'être plus à l'aise

dans la gestion de son parc informatique et de son réseau, d'autre part elle nous
permettra de bien dimensionner la bande passante par priorité de segment.

1. Attribution des Vlan aux Switchs et aux différents ports
Noms switch Ports attribué N’VLAN Port trunk

Switch1 12345678 VLAN5
9 10 11 12 13 14 VLAN10
15 16 1, 2
17 18 19 20 21 VLAN15
22 23 24
9 10 11 12 13 14 VLAN10
15 16 1
17 18 19 20 21 VLAN15
22 23 24
9 10 11 12 13 14 VLAN10
1
15 16
17 18 19 20 21 VLAN15
22 23 24
2. L'adressage
VLAN N’VLA Sous - Passerelles Par ACL ACL

N Réseaux défaut IN OUTRx
Vlan -Vlan
- RX
Serveur 1 172.16.1.10/2 172.16.1.254/2 100 101
4 4
ADMINISTRATIO 2 172.16.2.20/2 172.16.2.254/2 102 103
N 4 4
DIRECTION 3 172.16.6.60/2 172.16.6.254/2 104 105
TEHNIQUE 4 4
III. Eléments fonctionnels des VLANs
1. Les normes
Les Vlan seront mis en œuvre via ces deux normes :

802.1q (Etiquetage de trames) : La norme 802.1 définit le contexte

général des réseaux locaux informatiques. Cette norme permet la gestion
des réseaux locaux, VLAN, authentification, etc.
ISL (Encapsulation de trames) :
La norme ISL est une Technologie propriétaire CISCO ; grâce à cette
norme nous pourrions créer le lien «Trunk» qui véhicule le trafic entre les
différents Vlan et d’associer un port à un ou plusieurs VlAN et de Choisir
les VLANs à véhiculer avec le «pruning»
2. Les protocoles
VTP : Les Switchs vont SW1, SW2, SW3 et SW4 vont s'échanger les
informations sur les VLANs grâce au protocole VTP : Vlan Trunking
Protocol. Les Switchs peuvent se situer dans plusieurs modes VTP : mode
server ; mode client ; mode transparent.
Le protocole IEEE 802.3ad : L'agrégation de liens est définie dans la

norme IEEE 802.3ad ; elle permet d'augmenter la bande passante
disponible entre deux stations Ethernet en autorisant l'utilisation de
plusieurs liens physiques comme un lien logique unique. Ces liens
peuvent exister entre 2 commutateurs ou entre un commutateur et une
station. Avant cette norme, il était impossible d'avoir plusieurs liens
Ethernet sur une même station, sauf si ces liens étaient reliés à des réseaux
ou des VLANs différents. L'agrégation de liens (appelé également link
aggregation ou port trunking) apporte les avantages suivants :
- La bande passante peut être augmentée à volonté, par pallier. Par
exemple, des liens Fast Ethernet additionnels peuvent augmenter une
bande passante entre deux stations sans obliger le réseau à passer à la
technologie Gigabit pour évoluer ;
- La fonction de « load balancing » (équilibrage de charge) peut permettre
de distribuer le trafic entre les différents liens ou au contraire de dédier
une partie de ces liens (et donc de la bande passante) à un trafic particulier
; la redondance est assurée automatiquement : le trafic sur une liaison
coupée est redirigé automatiquement sur un autre lien.
IV. Le routage inter-vlan
Le trafic entre les VLANs est assuré par un équipement de niveau 3. Un routeur
et Un commutateur de niveau 3. Pour faire du routage entre vlan il faudrait
d'abord réunir les conditions suivantes :
- Attribuer à chaque VLAN des plages d'adresses IP n'appartenant pas au même
réseau ;
-Configurer un routeur capable de comprendre l'étiquetage 802.1q ;
-Créer un lien spécial entre le Switch et le routeur avec des trames étiquetées
802.1q.
NB : dans notre cas d'étude, nous ne ferons pas du routage inter-vlan, car notre
infrastructure ne le permet. Nous utilisons pour notre cas le protocole VTP, qui
permet de faire véhiculer les informations de mise à jour dans le réseau.
V. Le lien Trunk
L'implémentation du lien Trunk va nous permettre de véhiculer le trafic venant

des différents VLANs du réseau. Les trames des VLANs sont étiquetées
lorsqu'elles sont envoyées par un lien Trunk. Cela permet d'acheminer
directement l'information à son destinataire précis. Le lien trunk peut être défini
au niveau d'un commutateur Soit vers un routeur ; Soit vers un autre
commutateur

CHAPITRE II : Phase de mise en œuvre

I. Scenario configurant serveur DHCP
Un serveur DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) a pour rôle de

distribuer des adresses IP à des clients pour une durée déterminée au lieu
d'affecter manuellement à chaque hôte une adresse statique, ainsi que tous les
paramètres tels que serveur de noms, passerelle par défaut, nom du réseau. Un
serveur DHCP alloue à un client, un bail d'accès au réseau pour une durée
déterminée (durée du bail). Le serveur passe en paramètres au client toutes les
informations dont il a besoin. En effet l'affectation et la mise à jour
d'informations relatives aux adresses IP fixes peuvent représenter une lourde
tâche. Afin de faciliter ce travail et de simplifier la distribution des adresses IP,
le protocole DHCP offre une configuration dynamique des adresses IP et des
informations associées.
1. Configuration client
Le client DHCP, est exécuté sur la machine cliente, il commence à diffuser des
requêtes de demandes d'information de configuration. Par défaut, ces requêtes
sont effectuées sur le port UDP 68. Le serveur répond sur le port UDP 67,
fournissant au client une adresse IP et d'autres informations réseau importantes
comme le masque de sous-réseau, les routeurs, et les serveurs DNS. Toutes ces
informations viennent sous la forme d'un “bail” DHCP qui est uniquement
valide pendant un certain temps (configuré par l'administrateur du serveur
DHCP). De cette façon, les adresses IP expirées pour les clients qui ne sont plus
connectés peuvent être automatiquement récupérées. Nous procéderons donc à
la configuration de toutes les cartes réseaux du parc informatique en
authentification.
2. Définition de plages d’adresse des V L A Ns
Le serveur DHCP est sous Windows 2003 serveur, nous définissons 3 étendues
comme suit: - Etendue Vlan5 attribuant la plage [172.16.1.1 à 172.16.1.254]
-IP passerelle Vlan5 [172.16.1.254
-Etendue Vlan10 attribuant la plage [172.16.2.1 à 172.16.2.254]
- IP passerelle Vlan10 [172.16.2.254]
- Etendue Vlan15 attribuant la plage [172.16.3.1 à 172.16.3.254]
-IP passerelle Vlan15 [172.16.3.254

3. Configuration des étendues des V L A N S
a. Lancez la console DHCP, propriété sur l'étendue existant
b. Sélectionner nouvelle étendue

c. Nommage du VLAN
d. plage d’adresse du VLAN
e. La plage d'exclusion
f. Durée du bai

g. Configuration des options
h.La passerelle par défaut

i. DNS et adresse IP serveur
j. Le serveur Win, nous n'avions pas prévu d'adresse pour le Win
k. vérification et activation de l'étendue

l. Propriété de l'étendue du Vlan 5
NB: pour la configuration des VLANs 10, 15 nous procéderons de la même

manière que le VLAN 5, ce qui donne ceci :
Voici notre serveur DHCP qui a été configuré et prêt à distribuer des adresses,
lorsque la configuration des Switchs sera terminée.
II. Etapes des scenarios de déploiement des VLANs
1. configuration des switchs
Étape 1 – Configuration de base des switch

Connectez un câble console au port console du routeur et l’autre extrémité au
port COM du PC à l’aide d’un adaptateur DB-9 ou DB-25. Cela doit être
effectué avant de mettre un quelconque équipement sous tension.
Étape 2 – Démarrez le programme HyperTerminal

a. Allumez l’ordinateur et le switch.

b. À partir de la barre des tâches de Windows, accédez au programme
HyperTerminal en cliquant sur :
Démarrer > Programmes > Accessoires > Communications > HyperTerminal
Étape 3 – Attribuez un nom à la session HyperTerminal
a. Dans la boîte de dialogue «Description de la connexion», entrez un nom
dans le champ Nom : et cliquez sur OK.
Étape 4 – Spécifiez l’interface de connexion de l’ordinateur

a. Dans la boîte de dialogue «Connexions», utilisez la flèche de déroulement du
champ Se connecter en utilisant : pour sélectionner COM1, puis cliquez sur
OK.
Etape 5 – Spécifiez les propriétés de connexion d’interface

a. Dans la boîte de dialogue «Propriétés de COM1», utilisez les flèches de
déroulement pour sélectionner:
Bits par seconde: 9600
Bits de données: 8
Parité: Aucune
Bits d’arrêt: 1
Contrôle de flux: Aucun
Puis cliquez sur OK.

Lorsque la fenêtre de la session HyperTerminal apparaît, appuyez sur Entrée.

Le routeur doit répondre par son invite.
Si le switch répond, c’est que la liaison a été établie avec succès.

Étape 6 – Fermeture de la session
a. Pour mettre fin à la session en mode console à partir d’une session
HyperTerminal, sélectionnez:
Fichier > Quitter
b. Lorsque la boîte d’avertissement de déconnexion HyperTerminal apparaît :
Cliquez sur Oui.
b. L’ordinateur demande ensuite si la session doit être enregistrée. Cliquez

sur Oui.

Étape 7 – Rouvrez la connexion HyperTerminal, comme illustré à l’étape 2
a. Dans la boîte de dialogue «Description de la connexion», cliquez sur

Annuler.
b. Pour ouvrir la session en mode console enregistrée à partir d’HyperTerminal,

sélectionnez:
Fichier > Ouvrir
c. La session enregistrée apparaît à présent et, en double-cliquant sur le nom, la
connexion s’ouvre sans qu’il soit nécessaire de la reconfigurer chaque fois.
Étape 8 – Configurez le nom d’hôte et les mots de passe sur les switchs
a. Entrez enable à l'invite du mode utilisateur.
Switch>enable
Switch#configure terminal
Switch (config) #hostname Nom_du Switch
Nom_du Switch (config) #enable secret class
Nom_du Switch (config)#line console 0
Nom_du Switch (config-line) #password cisco
Nom_du Switch (config-line) #login
Nom_du Switch (config-line) #line vty 0 4
Nom_du Switch (config-line)#password cisco
Nom_du Switch (config-line)#login
Nom_du Switch (config-line)#exit
Nom_du Switch (config)#
NB : les étapes précèdent doivent être appliqué pour tous les switch pour
pouvoir réaliser la configuration.

2. Création des liens Trunk 802.1q
Il est important pour nous de créer un trunk entre le SWITCH1 et les autres
switchs. C'est en effet par celui-ci que les trames étiquetées transitent. Pour la
mise en place de ce lien, nous avions utilisé des câbles croisés. Ce lien trunk
physique va regrouper plusieurs connexions logiques.
Switch>enable
Switch#config terminal
Enter configuration commands, one per line. End with CNTL/Z.
Switch (config) #hostname SWITCH1
SWITCH1 (config) #interface fastEthernet 0/3
SWITCH1 (config-if) #switchport mode trunk
%LINEPROTO-5-UPDOWN: Line protocol on Interface FastEthernet0/3,
changed state to down
changed state to up
changed state to up
SWITCH1 (config-if) #exit

changed state to up

SWITCH1 (config-if)#exit
SWITCH1 (config)#exit
%SYS-5-CONFIG_I: Configured from console by console

NB: Pour la Vérification de interface trunk on utilise la command suivant:

SWITCH1#sh
SWITCH1#show interfaces trunk
III. Etapes de déploiement des VLANs
1. Configuration V T P Serveur /C
SWITCH1>en
SWITCH1#config t
SWITCH1 (config) #ena
SWITCH1 (config) #enable password apjoe
SWITCH1 (config) #vtp domain apjoe
Changing VTP domain name from NULL to apjoe
SWITCH1 (config) #vtp password apjoe
Setting device VLAN database password to apjoe
NB : Pour verification du domaine serveur on utilise les command ci -dessous:
SWITCH1#show vtp st
SWITCH1#show vtp status VTP Version: 2
Configuration Revision: 0
Maximum VLANs supported locally: 255
Number of existing VLANs: 5
Manipulation1: mode server

SWITCH1>en Password:
SWITCH1#vl
SWITCH1#vlan database
SWITCH1 (vlan) #vlan 5 name SERVEUR
VLAN 10 added: Name: SERVEUR
SWITCH1 (vlan)#vlan 10 name ADMINISTRATION VLAN 15 added:
Name: ADMINISTRATION SWITCH1 (vlan) #vlan 15 name DIRTECH
SWITCH1 (vlan)#exit
APPLY completed. Exiting....
SWITCH1#sh
SWITCH1#show vlan
1 default active Fa0/1, Fa0/2, Fa0/6, Fa0/7
Fa0/8, Fa0/9, Fa0/10, Fa0/11 Fa0/12, Fa0/13, Fa0/14, Fa0/15 Fa0/16, Fa0/17,
Fa0/18, Fa0/19 Fa0/20, Fa0/21, Fa0/22, Fa0/23 Fa0/24, Gig1/1, Gig1/2
VLAN Name Status Ports.

2. Configuration B D V L A N S
Manipulation 1
SWITCH2>en
SWITCH2#config t
SWITCH2(config)#exit
SWITCH2#vl
SWITCH2#vlan da
SWITCH2#vlan database
SWITCH2 (vlan) #vlan 1 name SERVEUR
VLAN 10 added:
Name: SERVEUR
SWITCH2 (vlan) #vlan 2 name ADMINISTRATION
VLAN 2 added:
Name: ADMINISTRATION
SWITCH2 (vlan) #vlan 3 name NEWTECH
VLAN 3 added:
Name: NEWTECH
APPLY completed.
Exiting.... SWITCH2#sh
SWITCH2# show vlan

5 SERVEUR active
10 ADMINISTRATION active
15 NEWTECH active
1002 fddi-default active
1003 token-ring-default active
1004 fddinet-default active
1005 trnet-default active
Fa0/16, Fa0/17 Fa0/18, Fa0/19, Fa0/20, Fa0/21 Fa0/22, Fa0/23, Fa0/24
VLAN Name Status Ports
VLAN Type SAID MTU Parent RingNo BridgeNo Stp BrdgMode Trans1
Trans2 SWITCH3>en SWITCH3#vlan database
SWITCH3 (vlan) #vlan 3 name GESA
VLAN 3 added:
Name: NEWSTECH
SWITCH3 (vlan)#EXIT
APPLY completed. Exiting....
SWITCH3#sh
SWITCH3#show vlan
1003 token-ring-default active
1004 fddinet-default active
1005 trnet-default active
1 enet 100001 1500 - - - - - 0 0
3 enet 100030 1500 - - - - - 0 0
VLAN Type SAID MTU Parent RingNo BridgeNo Stp BrdgMode Trans1
Trans2
Switch>en
Switch#vlan database
Switch(vlan)#vlan 5 name serveur
VLAN 5 added:
Name: serveur
Switch(vlan)#vlan 10 name ADMINISTRATION
VLAN 10 added: Name: ADMINISTRATION
Switch(vlan)#vlan 15 name DIRTECH
VLAN 15 added: Name: DIRTECH
Switch#sh
Switch show vlan
3. Configuration des ports

Manipulation :
SWITCH1>en
Password:
SWITCH1#config t
SWITCH1(config)#int
SWITCH1(config)#interface range fas
SWITCH1(config)#interface range fastEthernet 0/6 – 12
SWITCH1(config-if-range)#sw
SWITCH1 (config-if-range)#switch port access vlan 5
SWITCH1 (config-if-range)#exit
SWITCH1 (config)#in
SWITCH1 (config)#interface fas

SWITCH1 (config)#interface range fastEthernet 0/18 – 21
SWITCH1 (config-if-range) #sw
SWITCH1 (config-if-range)#switchport access vlan 10
SWITCH1 (config)#int
SWITCH1 (config) #interface range fas
SWITCH1 (config)#interface range fastEthernet 0/13 – 17
SWITCH1 (config-if-range)#sw
SWITCH1 (config-if-range)#switchport access vlan 15
Vérification des ports attribuée
SWITCH1#show vlan
Fa0/24, Gig1/1, Gig1/2
1 SERVEUR active Fa0/6, Fa0/7, Fa0/8, Fa0/9
Fa0/10, Fa0/11, Fa0/12
2 ADMINISTRATION active Fa0/18, Fa0/19, Fa0/20, Fa0/21
DIRTECH active Fa0/13, Fa0/14, Fa0/15, Fa0/16 Fa0/17
NB : cette manipulation est exécutée pareillement sur les SWITCH 1, 2 et 3
4. Configuration des adresses IP des VLANs
Manipulation:
SWITCH1>en
Password:
SWITCH1#conf t
SWITCH1(config)#int SWITCH1 (config)#interface vlan 5
%LINK-5-CHANGED: Interface Vlan5, changed state to up
%LINEPROTO-5-UPDOWN: Line protocol on Interface Vlan1, changed state
to upSWITCH1(config-if)#ip address 172.16.1.10 255.255.255.0
SWITCH1(config)#
SWITCH1 (config)#interface vlan 10
%LINEPROTO-5-UPDOWN: Line protocol on Interface Vlan2, changed state
to upSWITCH1(config-if)#ip address 172.16.2.20 255.255.255.0
SWITCH1 (config)#interface vlan 15

SWITCH1 (config-if)#ip address 172.16.3.30 255.255.255.0
SWITCH1(config-if)#exit SWITCH1(config)#in
5. Routage inter-VLAN
Étape 1 : création d’une configuration de base sur le routeur

Configurez le routeur avec le nom d’hôte R1.
Désactivez la recherche DNS.
Configurez le mot de passe Cisco pour le mode d’exécution.
Configurez le mot de passe Cisco pour les connexions console.
Configurez le mot de passe Cisco pour les connexions vty.
Étape 2 : configuration de l’interface d’agrégation sur R1 Vous avez
constaté que la connectivité entre les réseaux locaux virtuels demande d’établir
le routage au niveau de la couche réseau, tout comme la connectivité entre deux
réseaux distants. Il existe plusieurs options pour configurer le routage entre des
réseaux locaux virtuels. La première est une approche un peu brutale. Un
périphérique de couche 3, au choix un routeur ou un commutateur compatible
couche 3, est connecté à un commutateur LAN avec plusieurs connexions dont
une distincte pour chaque réseau local virtuel qui demande une connectivité
entre réseaux locaux virtuels. Tous les ports de commutation utilisés par le
périphérique de couche 3 sont configurés dans un réseau local virtuel séparé sur
le commutateur. Une fois les adresses IP affectées aux interfaces sur le
périphérique de couche 3, la table de routage contient les routes connectées
directement à tous les réseaux locaux virtuels et le routage entre réseaux locaux
virtuels est activé. Les limites de cette méthode sont le manque de ports Fast
Ethernet sur les routeurs, la sous-utilisation des ports sur les commutateurs de
couche 3 et les routeurs, le câblage important et le degré élevé de configuration
manuelle. La topologie utilisée dans ces travaux pratiques n’emploie pas cette
méthode. La configuration avec sous-interfaces requiert les étapes suivantes :
Passer en mode de configuration de sous-interface ;
Établir une encapsulation des agrégations ;
Associer un VLAN avec la sous-interface ;
Affecter une adresse IP à la sous-interface depuis le VLAN.
Les commandes à utiliser sont les suivantes:
Nom_du routeur (config)#interface fastethernet 0/1
Nom_du routeur (config-if)#no shutdown
Nom_du routeur (config-if)#interface fastethernet 0/1.1
Nom_du routeur (config-subif)#encapsulation dot1q 1
Nom_du routeur (config-subif)#IP address 172.17.1.1 255.255.255.0

Nom_du routeur (config-subif)#ip address 172.17.30.1 255.255.255.0
Nom_du routeur (config-subif)#encapsulation dot1q 99 native
Nom_du routeur (config-subif)#ip address 172.17.99.1 255.255.255.0
6. Création des pools DHCP
Manipulation 1 :
le pool d'adresse Vlan 5
Router>en
Router#conf t
Router (config)#IP dhcp pool VLAN 5
Router (dhcp-config)#network 172.16.1.1 255.255.254.0
Router (dhcp-config)#defau Router (dhcp-config)#default-router 172.16.1.10
Router (dhcp-config)#dn Router (dhcp-config)#dns-server 172.16.1.5
Router (dhcp-config)#EXIT Router (config)#EXIT
%SYS-5-CONFIG_I: Configured from console by console Router#
Manipulation 2 : le pool d'adresse Vlan 10

Router>en
Router#conf t
Router(config)#ip dhcp pool VLAN 15
Router (dhcp-config)#network 172.16.2.1 255.255.254.0 Router (dhcp-
config)#defau Router (dhcp-config)#default-router 172.16.2.20
Router (dhcp-config)#dn
Router (dhcp-config)#dns-server 172.16.2.5
Router (dhcp-config)#EXIT
Router (config)#EXIT
%SYS-5-CONFIG_I: Configured from console by console Router#
Manipulation 3 : le pool d'adresse Vlan 15
Router>en
Router#conf t
Enter configuration commandes, one per line. End with CNTL/Z.
Router (config)#IP dhcp pool VLAN 15
Router (dhcp-config)#network 172.16.3.1 255.255.254.0
Router (dhcp-config)#defau Router (dhcp-config)#default-router 172.16.3.30
Router (dhcp-config)#dn Router (dhcp-config)#dns-server 172.16.3.5

Router(dhcp-config)#EXIT Router (config)#EXIT

IV. Test de fonctionnement
Le basculement de la nouvelle infrastructure en environnement de production,

nécessite des tests de fonctionnement sur l'ensemble du réseau.
Vérification des différentes adresses IP par service Vlan.

Tous les PCs des différents VLANs se voient attribuer des adresses IP de leur
serveur DNS et passerelle.
Test de communication dans un Vlan Test concluant, les PCs communiquent
Test de communication entre les VLANs
Test concluant, les PC des différents Vlan communique avec le routeur
Test de fiabilité du réseau.
Test concluant car, accès facile aux serveurs des bases de données, réseau
fluide. L'équipe support technique apprécie désormais cette manière
d'administrer son réseau local par une interface web.
V. Evaluation financière
1. Planning de réalisation de travaux
Cette étape repose sur l'analyse de la faisabilité au niveau économique. Elle

permet d'estimer grossièrement les couts d'investissement et de fonctionnement
du projet, les délais prévus et les retours sur investissements possibles. Ainsi la
planification indique le calendrier général d'exécution des grandes étapes du
projet. Cette macro planification sera détaillée lors de l'exécution du projet.
2. Coût de mise en œuvre des solutions V L A N S
L'offre financière est exprimée en journées homme de travail, aux quelles sont
associés les coûts unitaires suivants les fonctions et des profils des experts
intervenant sur le projet :
- Direction de projet / Responsable technique : 350.000 FCFA HT / jour

- Chef de projet: 300.000 FCFA HT / jour
- Ingénieur système et réseaux : 250.000 FCFA HT / jour
Sur ces bases, le budget lié à la réalisation des composants de la solution global
est présenté comme suit.

Fourniture des matériels

Matériels Quantité Coût en FCFA HT
Cisco catalyst2960 1 350 000
Cisco catalyst2950C 2 600 000
Routeur cisco1941 1 500 000
Câbles et connecteur ………. 50 000
Total 1 500 000
Mise en place des Vlans
Tâches Coût en FCFA HT
cadrage 350 000
Mise en place du cadre 50 000
organisationnel
Identification des risques 180 000
liés a l’exécution du
projet
conception 800 000
Rédaction du dossier 50 000
technique de la solution
Mise en œuvre de la 120 000
solution
Installation et 80 000
configuration des
switchs
Configuration des actifs 100 000
du réseau
Déploiement de la 150 000
solution
Total 3 680 000
Coordination
Coordination Coût en FCFA HT
vérification de la bonne 1 000 000
exécution du projet
Total FCFA HT 1 000 000
Récapitulation du compte ou prestation
Liste des prestations attendues Coût en Garantie
FCFA HT
Mise en place des Vlans 3 680 000 2 ans
Coordination de la bonne exécution de la 1000 000 …….
mise à niveau
Fourniture de matériels 1 650 000 1ans
Pré requis : formation nécessaire pour 350 000 ……
l’administrateur
TOTAL PRESTATION (FCFA HT) 9 380 000

CONCLUSION
Le but de notre stage au sein de A P J O E était de nous plonger dans le monde

du travail avec la possibilité de mettre en application toutes les connaissances
théoriques acquises au cours de notre formation. A cet égard nous pouvons donc
affirmer sans conteste que ce stage nous a été bénéfique à tout point de vue.
C’est donc avec enthousiasme que nous nous sommes ingéniés à nous mettre en
situation réelle de travail dans cette grande institution qu’est l’Association des
Journées de l’Opérateur Economique. Nous avons été en contact direct avec le
personnel de cette institution permettant ainsi de constater les efforts consentis
pour l’amélioration des conditions de travail de ces employés. C’est dans cette
perspective que nous nous sommes évertués à focaliser notre étude sur l’étude et
l’optimisation du réseau LAN de cette structure. En effet le but de ce projet était
de trouver une solution qui répandait aux besoins organisationnels et sécuritaire
de l’entreprise et il n’y avait pas mieux pour combler ce besoin que la
segmentation des VLANs à l’aide de commutateur. Ce travail d'une part n'a pas
été facile du point de vue conception car il fallait comprendre le fonctionnement
des équipements Cisco catalyst 2950 série et connaitre les différents protocoles
à implémenter, afin de résoudre le problème du réseau. En plus, l’accès aux
informations nécessaires à l’enrichissement de notre étude n’a pas toujours été
chose aisée en raison de leur nature confidentielle. Nous faisons une mention
spéciale à l’endroit de notre maitre de stage et notre professeur de suivi qui ont
encadré avec promptitude notre travail malgré le poids des responsabilités de
chacun d’eux dans son entreprise.

BIBLIOGRAPHIE
Rapport de stage
Khasseneu batamé : mise en place d’une solution de supervision pour le compte
de world vision Tchad ;
Madame Mamata Simporé / Sinaré : importance du secrétariat dans un centre de

formation scolaire.
Références d’ouvrage
-« Le réseau Internet : Services aux infrastructures », Stéphane Lohier. Aurelie

Quidelleur ;
-« Informatique de gestion : analyse et partage des bases de données», jacques

Sornet ;
-Dictionnaire encarta ;
-Dictionnaire Larousse ;
-Dictionnaire Jargon informatique
Références des sites Internet
www.Oreon.com (Site officiel d'Oreon) : 12 août 2014
www.wikipedia.fr : 12 septembre 2014
www.efort.com : site officiel des réseaux et télécom : 05 juin 2014;
www.futura-sciences.com/.../high-tech/ : 3 février 2014;
www.memoireonline.com : 02 novembre 2013

Tableau des schémas
Numéros des schémas Titres pages
1 Schéma de l’architecture illustrant le 13

parc informatique du réseau d’APJOE
2 Schéma principe de segmentation des 20
VLAN
3 Schéma de segmentation à l’aide d’un 21
routeur
4 Schéma de segmentation à l’aide d’un 22
commutateur
5 Schéma d’étiquetage entre les vlans 25
6 Schéma de trame Ethernet classique 26
7 Schéma de la trame Ethernet 802.2 26
8 Schéma de la nouvelle architecture 29
proposée
Table des matières
SOMMAIRE…………………………………………………………..1
DEDICACE……………………………………………………………1
REMMERCIEMENTS………………………………………………..2
SIGLES ET ABREVIATIONS……………………………………....3
INTRODUCTION GENERALE……………………………………..4
PREMIERE PARTIE : Cadre General ………………………….......5
CHAPITRE I : Présentation des Structures D’Accueil………………6
I. Présentation du SUP MANAGEMENT BURKINA……………6
II. Présentation de A P J O E……………………………………..8
CHAPITRE II : Présentation du Cadre du Sujet…………………….11
I. Problématique de l’étude……………………………………….11
II. Définition d’un LAN………………………………………….12
III. Etude et critique du réseau existant……………………………13

DEUXIEME PARTIE : Conception technique du projet……………....19
CHAPITRE I : Quelques solutions proposées…………………………20
I. Présentation General des solutions………………………………...20
II. La solution retenue…………………………………………………22
CHAPITRE II : Etude de la solution retenue……………………………23
I. Cisco Catalyst 2950 série…………………………………………….23
II. Connecteurs et câbles…………………………………………………23
III. Technique de gestion des VLAN par Commutateurs………………..24
IV. Tableau de comparaison des VLANs………………………………..24
V. Principe des V L A Ns………………………………………………..25
TROXIEME PARTIE: Planification du déploiement et mise en œuvre du

projet ………………………………………………………………………..27
CHAPITRE I : Phase de la planification du déploiement…………………28
I. Planification du déploiement des V L A N s…………………………..28
II. Les différents V L A Ns à implémenter……………………………….30
III. Eléments fonctionnels des VLANs……………………………………31
Le Router inter vlans………………………………………………………..32
Le lien Trunk………………………………………………………………..33
CHAPITRE II : Phase de mise en œuvre………………………………..34
I. Scenario configurant serveur DHCP……………………………………34
II. Etapes des scenarios de déploiement des VLANs……………………..39
III. Etapes de déploiement des VLANs……………………………………44
IV. Test de fonctionnement………………………………………………..50
V. Evaluation financière…………………………………………………..50
CONCLUSION GENERALE………………………………………….......52
BIBLIOGRAPHIE………………………………………………………….53

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SOMMAIRE

PREMIERE PARTIE : Cadre General …………………………......................6

CHAPITRE I : Présentation des Structures D’Accueil…………………..........8

CHAPITRE II : Présentation du Cadre du Sujet……………………………….11

DEUXIEME PARTIE : Conception technique du projet………………...........18

CHAPITRE I : Quelques solutions proposées…………………………………21

CHAPITRE II : Etude de la solution retenue…………………………………25

TROXIEME PARTIE : Planification du déploiement et mise en œuvre du projet

CHAPITRE I : Phase de la planification du déploiement………………….....28

A Dieu seul la gloire !

- Monsieur le Responsable de l’Association

- A notre Professeur de suivi et à notre

-A mes frères et sœurs

Mémoire de fin de cycle étude et optimisation du réseau local de A P J O E 1

Pour l’obtention du stage, les connaissances et les

- Monsieur ALASSANE NIKIEMA, le

- Monsieur Goungounga Y. Sylvain, notre

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L’objectif de la création de SUP’MANAGEMENT est de former de véritables

3. LES FORMATIONS OFFERTES PAR

En matière de formation, SUP’MANAGEMENT propose trois (03) pôles de

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Sur le plan national

d’un partenariat dynamique avec plusieurs entreprises et institutions

Mémoire de fin de cycle étude et optimisation du réseau local de A P J O E 7

A P J O E intervient notamment dans les domaines suivant :

Mémoire de fin de cycle étude et optimisation du réseau local de A P J O E 8

La formation inter et intra-entreprise (session de courte durée, séminaire,

A P J O E s’est engagé depuis sa création dans un processus de développement

Partenariat avec des entreprises, des ONG, et des associations locales.

4.1 ORGANISATION GENERALE

A P J O E a une structure qui définit clairement les relations existantes entre

Mémoire de fin de cycle étude et optimisation du réseau local de A P J O E 9

4.2 ORGANISATION DU SERVICE INFORMATIQUE

Les services techniques de A P J O E sont divisés en deux parties :

Mémoire de fin de cycle étude et optimisation du réseau local de A P J O E 10

CHAPITRE II : Présentation du Cadre du Sujet

Au cours de notre stage au sein de A P J O E, nous avons noté quelques

Les objectifs spécifiques :

Réaliser l’état des lieux du fonctionnement du réseau existant ;

3. Utilité des VLANs

Mémoire de fin de cycle étude et optimisation du réseau local de A P J O E 11

Sécurité : les groupes contenant des données sensibles sont séparés du

II. Définition d’un LAN

Mémoire de fin de cycle étude et optimisation du réseau local de A P J O E 12

III. Etude et critique du réseau existant

a. Présentation et architecture du réseau