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Sciences sociales du politique. C'est avoir une approche non journalistique du fait politique.
Nous offrir des éléments de culture générale qui seront utiles pour une juriste = Prendre un
maximum de notes.
Examen :
2 questions.
A. L'universalisation apparente :
Elle fut extrêmement progressive pour tous les citoyens a mit plus d'un siècle et demi à s'imposer et
cela s'est fait par étapes.
Le principe est posé dés la fin du 18ème, en France et sera inscrit dans la constitution de l'an I des
montagnards. Elle n'entre pas en application, mais existe.
Elle est postérieure, vers 1850, elle survient avec la révolution de 1848 : seconde république. Le
suisse va suivre. Cette phase est très longue, durant prés de 70 ans, elle s'achève à la fin de la
première guerre mondiale : la majorité des pays l'adopte.
La tendance de l'inéluctabilité apparaît, l'accès des masses aux politique est considéré comme
inéluctable.
Tocqueville est de cet avis, et observe la démocratie en Amérique du nord et fait part de ses
observations dans La Démocratie en Amérique en 1835.
Il y a pour lui un véritable mouvement de l'histoire : les masses veulent choisir le pouvoir et veulent
l'exercer : c'est une passion égalitaire. Cette tendance fera plier toutes les oppositions. Pour
Tocqueville, la vraie question est de savoir comment on pourra préserver la liberté face aux
passions égalitaires.
Cependant, si cela est vrai concernant la dynamique récente, que dire en définitive de l'anacyclose
de Polybe ?
La démocratisation consiste à abaisser progressivement les différentes barrières qui servaient
à limiter le droit de vote.
− Economique, cens économique. Barrière réduite.
Sous la restauration, il faut 300 francs, 200 sous Louis Philippe. (Article 34 pour l'âge de 25, et cens
loi du 19 avril 1831) => Le nombre des électeurs est doublé.
100 000 électeurs en 1830, puis plus de 200 000.
En Angleterre, on assiste au même processus, d'abord 10%. Il y a des groupes de lois :
Loi de 1832, 1867, 1884-1885. A la fin du 19ème, il y a 6 000 000 de votants.
En Italie, 1882, réforme Dioliti qui permet d'élargir. 60% de votants en 1914.
En France, sont privilégiés l'Aristocratie rurale. En Angleterre, on favorise l'aristocratie industrielle.
On supprime aussi les barrières culturelles, c'est un régime des capacitaires. (Seuls les élites
peuvent voter). La principale barrière est le niveau de diplôme, utilisation de la lecture et de
l'écriture. Elles sont surtout utilisées en Europe du sud, Italie et Portugal.
Le 20ème siècle, va donner l'accès aux femmes. Ces barrières ont été durables dans le 20ème siècle.
Une des bornes est celle de l'âge, les jeunes acquièrent le droit de vote à la fin du 20ème en même
temps que la majorité. En 1969, Angleterre, France et Allemagne en 70.
LA question de la nationalité va opérer une distinction, et des non nationaux vont pouvoir participer
aux élections, notamment locale. Il part des pays du nord, puis en UE depuis 1992. (Locale et
Européenne)
La démocratisation repose sur une apparente évolution inéluctable, mais cette lecture est
superficielle. Il n'y a pas de lecture téléologique. Cette évolution est le fruit de longues luttes, et
n'est pas si linéaire qu'il n'y paraît.
Le processus est plus complexe. L'extension a suivi des voix extrêmement diverses et multiples.
Chaotique au sens où il y a eut des avancées, mais aussi des reculs.
Stein Rokkan a établi 2 modèles de propagation de la démocratie. D'un côté, le modèle Français et
le modèle anglais.
Le modèle anglais est caractérisé par un processus lent et continu du processus. Il se développe
essentiellement dans des pays qui ont connu des facteurs qui vont faciliter ce développement
paisible (consolidation territoriale lointaine). Ce modèle correspond à des pays qui ont connu une
continuité dans le modèle institutionnel.
« Article 8. - Tout homme né et résidant en France, qui, âgé de vingt et un ans accomplis, s'est fait
inscrire sur le registre civique de son canton, qui a demeuré depuis pendant une année sur le
territoire de la République, et qui paie une contribution directe, foncière ou personnelle, est citoyen
français. »
Mais :
« Article 16. - Les jeunes gens ne peuvent être inscrits sur le registre civique, s'ils ne prouvent qu'ils
savent lire et écrire, et exercer une profession mécanique. Les opérations manuelles de l'agriculture
appartiennent aux professions mécaniques. - Cet article n'aura d'exécution qu'à compter de l'an XII
de la République. »
« Article 25. - Pour parvenir à la formation des collèges électoraux de département, il sera dressé
dans chaque département, sous les ordres du ministre des Finances, une liste des six cents citoyens
les plus imposés aux rôles des contributions foncière, mobilière et somptuaire, et au rôle des
patentes. » Sénatus-consulte organique de la Constitution du 16 thermidor an X (4 août 1802)
• Loi Laîné du 5 février 1817, établissant la formation d’un seul collège électoral par
département et le suffrage direct.
• La loi du 29 juin 1820, après l’assassinat du duc de Berry, réserve le droit de vote aux plus
riches. Cette loi dite « loi du double vote », tout en maintenant le principe de l’élection
directe, rétablit deux catégories de collèges électoraux :
— les collèges d’arrondissement comprenant tous les électeurs payant au moins 300 francs de
contribution. Ils élisent 258 députés.
— les collèges départementaux composés du quart des électeurs d’arrondissement les plus
imposés. Ils élisent 172 députés.
Comme les deux catégories de collèges élisent directement les députés, les contribuables les
plus imposés votent deux fois.
En 1848, ce suffrage est établi par décret en mars 1848 => 10 000 000 d'électeurs.
Dés 1850, il y a un changement des mai 1850, il faut une obligation de résidence d'au moins trois
ans pour pouvoir voter. => 6 000 000 d'électeurs.
Cela correspond aux états avec d'importants changements institutionnels.
Le territoire lui aussi a varié.
Ce modèle est extrêmement rependu, il va toucher un grand nombre d'états continentaux. (Autriche
18, Weimar = Vote des femmes, suffrage proportionnel). Il n'y a pas continuité jusque dans les
années 36. En Finlande, pas de régime autoritaire, il y a cependant un retour en arriére dans les
années 30.
Il y a une grande inventivité dans les pratiques d'exclusion du vote, des groupes sociaux vont être
exclus pendant que d'autres vont être favorisés.
Le droit de vote se repend, mais de manière très inégalitaire.
Il y a une logique défensive. => On craint la révolution et les populations dites déviantes (inapte), il
y a différents critères qui sont utilisés.
Il y a le critère religieux, en Angleterre, jusqu'en 1859, les juifs sont exclus.
Dans les années 30, certaines professions n'auront pas accès : les personnels de maisons sont exclus
de l'éligibilité.
Les femmes ont le droit de vote aux Wyoming en 1869. 1918, Femmes de plus de 25 ans, dans les
années 20 => 21 ans.
Les pays latins ont été beaucoup plus réticents, par exemple la France. En 1944, les femmes ont
accès aux élections.
Votes des femmes : trop influencées par l’Eglise et leur mari. Les femmes commencent leur combat
pour le droit de vote bien plus tard que les anglaises (« les suffragettes ») : les projets de loi sont
adoptes régulièrement. Mais ce n’est parfois que par l’hypocrisie de la part des hommes politiques
qui ne veulent pas au fond accorder le droit de vote aux femmes. On remarque les députés
(progressistes) qui ont vote pour le projet de loi, votent contre lorsqu’ils sont devenus sénateurs
(conservateurs) quelques années plus tard.
Ce retard s’explique aussi par les pratiques dans l’histoire politique de la France : les femmes sont
exclues de la politique. (Cf. : la loi salique sous la règne des Francs ; lorsque la France est devenue
une démocratie, Le citoyen reprend les attributs du roi, et non de la reine)
La France est un contre-modèle de l’Angleterre.
En UK, les femmes sont considérées comme des individus entiers. Les suffragettes revendiquent au
nom de la moitie de l’humanité qui n’a pas le droit de vote. Ce type de revendication est
inconcevable en France.
Les françaises sont considérées comme une fonction : être mère, être épouse… les femmes ne sont
pas reconnues comme un individus. En France, beaucoup de femmes revendiquent un
accroissement de droit dans la sphère privée, mais non des droits politiques. Par exemple : Sand ne
revendique pas un droit politique et elle est contre l’accord des droits politiques aux femmes.
Sous le régime de Vichy, on a envisage a un moment la vote plurale. On considère que l’on peut
restaurer une vote plurale familiale. L’homme de la famille dispose des voix de sa femme et de ses
enfants (dispositif déjà présent en Belgique). En 1945, seulement 6% des députées sont des femmes,
qui pour la plupart sont des veuves de guerre, donc des substituts d ‘homme.
Quelques dispositifs :
La vote multiple : c’est la possibilité pour les personnes de voter plusieurs fois. On vote au titre de
sa profession et de sa fonction. (En Angleterre, ce pratique est courant. Par exemple : Chamberlain
peut voter 7 fois, en Allemagne, en Grèce,). C’est un objectif de favoritisme.
A partir de 1818, les professeurs à l’université en Angleterre peuvent voter 2 fois.
Une Egalite factice : En Prusse : le système des trois ordres. Les parlementaires sont divises en trois
groupes. Ils sont élus par des collèges électoraux inégalitaires. On a un bulletin de vote mais ce
bulletin n’ont pas les memes valeurs.
Découpage électoral : En Angleterre, on appelle ce pratique des « bourgs pourris ». Ce sont des
circonscriptions très peu peuples, mais qui envoient quand meme un depute. Par exemple : Salbury,
11 électeurs 1 députée.
Instrumentalisation des extensions des droits de suffrage : Le cas anglais : L’aristocratie industrielle
souhaite que les catégories sociales qui sont proches de leurs intérêts obtiennent leur droit de vote.
(Les ouvriers qualifies par exemple). La loi électorale qui élargie l’électorat dans les villes initié
par les Tories contre les Wigs. Les Tories souhaitent obtenir les votes de ces nouveaux électeurs. (La
bourgeoisie urbaine par exemple)
En 1884, il y a des tractations entre les libéraux et les conservateurs : En France par exemple :
L’intérêt stratégique du suffrage universel (Instrumente par Napoléon III). Les citoyens peuvent
voter mais leurs voix ne sont pas prises en compte.
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Comment ?
Les consultations électorales : elles sont très ciblées. Exemple : la pratique de plébiscite : Napoléon
III interroge le peuple le lendemain de son coup d’Etat, sans mettre en danger son pouvoir.
Ce phénomène est observable aussi ailleurs (En Italie par exemple, les citoyens sont consultes sur
les questions des rattachements territoriaux question sous-jacente : l’identité nationale)
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Le sens politique est surtout dans les villes. On considère que les centres urbains sont des zones de
débats, des lieux de socialisation, des cercles d’influence.
Cette vision est petit à petit remplacée. On peut mémé inverser ce rapport : la politisation est
significative dans les milieux ruraux. Cf. : Maurice Agulhon
Des la 2nd moitie du 19e siècle, les zones rurales apparaissent comme des centres politises.
Dans les villes, on n’a pas un taux de participation plus important que dans les compagnes.
Caractéristiques :
Les employés votent pour protéger les intérêts de leur patron.
Les déracinées issus de l’exode rural ne votent pas.
Le taux de participation varie selon les lieux : Dans le Nord, la participation est assez importante.
Une automatisation dans la maniere de voter : l’acte de vote relie l’individu aux groupes pour
lesquels il a vote. Les pratiques perdurent : les grands types de votes :
1e le vote sous dépendance : ce vote est un vote de transaction, un vote d’échangé, conditionne par
les fonctions que l’on occupe. On vote pour les personnes qui sont dans la meme catégorie que soi.
Le vote est construit sur une clientélisme. La contrepartie ici est souvent matérielle, parfois morale
C’est une relation personnelle.
Danger : Achat de vote. (En Angleterre, la pratique de « bourg pourri » qui va disparaître. Par
contre, les bourgs de poche continuent : Achat de vente d’une circonscription)
Ces dons de propriétés et de dons d’argent ne disparaissent pas.
Patronage : Au temps de la monarchie de Juillet, Les habitants veulent que les lignes de chemins de
fer passent par leur ville. Les choix électoraux s’orientent autour ces questions… (Le
transformisme).
L’allégeance a un clan, une famille… On s’identifie au clan et vote pour lui. (Corse). On constate
qu’il y a une obligation morale au vote. « Si on ne vote pas pour ce clan, le vote est immoral. »
L’allégeance peut se faire a une communautaire, sans aucune contrepartie contrairement au cas
précédent… par exemple : pour la communauté religieuse.
C’est le cas de l’Eglise sous la IIIe République.
Le vote publique favorise les votes d’allégeance. Publiquement, on vote en groupe pour les memes
personnes. Les électeurs favorisent les notables, et votent avant tous pour les leaders.
2e le vote d’opinion
C’est la forme idéale de vote. L’électeur vote en fondant sur ses idées. Ce vote est en rupture avec
l’allégeance.
Nota Bene : de nos jours, les medias corrompent le vote d’opinion. Les émissions ne sont pas du
tout objectives.
Pour que le vote d’opinion existe, il faut que le vote soit secret, afin de rompre toutes les pressions
publiques.
L’opposition d’extrême gauche : le vote secret va rompre allégeance de la classe sociale.
L’isoloir est instaure. L’enveloppe uniforme est créé. Les scrutateurs (on veille au bon
fonctionnement des procédures) sont mis en place.
La création des partis politiques favorise l’éducation des citoyens a la politisation.
La démocratisation en 3 processus :
L’universalisation
L’égalisation : Un homme = une voix (« one man, one vote »)
La privatisation :
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Section2 : les structures de l’expression politique
On veut un instrument pour mesurer les opinions publiques qui sont les objets de toutes les
attentions. L’opinion publique est un puissant outil pour les hommes politiques pour justifier leur
politique.
Apres les guerres, les sondages arrivent en Europe : pour le plan Marshall par exemple. La France
est le 1e utilisateur des sondages politiques. Par exemple sur les personnalités politiques comme
Mendes France, CDG, … La France est sur la voie de la personnalisation du pouvoir : le PdR
incarne la nation, et a un lien étroit avec la nation. Les sondages sont cet outil pour lier le peuple au
PdR. On a connu un formidable développement des sondages.
Critiques : l’utilisation altérées des sondages.
Critique : la rue des sondages. La perception de l’opinion publique changée. L’opinion publique
est comprise comme une addition isolée. C’est plus une opinion unie. Cette opinion est sans
réflexion. Habermas : C’est une société de masse qui est contraire à la société publique.
Galtong et Pierre Boudhieu critiquent les usages des sondages. Cf. Dans la revue « le temps
moderne » Bourdieu considère que « l’opinion publique n’existe pas. »
L’opinion publique mesurée par les sondages n’est pas vraiment l’opinion publique.
Critique : 1e le sondage postule que tout le monde a une opinion. Or certaines enquêtes leur posent
des questions qu’ils ne se sont jamais posées. Donc la réponse est artificielle. 2e : Toutes les
opinions se valent ? C’est l’addition des opinions ne prend pas en compte l’intention et l’intensité
des opinions. L’opinion d’un militant a plus d’impact qu’une personne non engagée. 3e : le sujet et
la date des sondages : cette opinion sondagere est très artificiel.
Ces critiques viennent de parti extrême gauche. L’opinion publique véritable correspond a la lutte
des conflits sociaux, et de l’histoire. L’opinion véritable est aussi celle de ceux qui ne peut pas
s’exprimer. Nouvelle forme de l’opinion publique : on la trouve dans la rue : greves,
manifestations, par exemple les mouvements sociaux de 1995… C’est donc une vision sociale de
l’opinion publique.
La véritable question est l’usage journalistique des sondages.
21e siècle : la création d’une opinion européenne. Cette lecture s’appuit sur la guerre de Golfe. Lors
du déclenchement de ce conflit, les associations et syndicats se sont mobilises en Florence lors des
conférences altermondialistes. Pendant un semestre, on a des rassemblements se multiplient et
surtout dans les capitales européennes, dans des pays engages contre le camp des USA… C’est
l’expression d’une opinion européenne ?
Les intellectuelles essayent de propager ces idées, notamment le philosophe Habermas. Ils vont
faire publier des tribunes coordonnes pour mobiliser les citoyens européenne.
On constate ainsi que l’opinion publique demeure une croyance.
L’extension du droit de suffrage amene la création des partis. L’accroissement des pouvoirs toute
la vie politique est transformée. Beaucoup essayent de légitimer leur politique. L’un des premiers
auteurs est : Maurice de Duverger. Juriste, à la sortie de la guerre, est le premier à théoriser les
partis politiques. Son ouvage » les partis politiques « a eu beaucoup de succès.
Schéma : ce modele a été longtemps dominant dans le monde politique : En occident, il y a deux
processus de création de partis politiques majeures :
Les partis politiques qui sont créés lors de compétitions électorales. C’est donc un processus
interne, intérieur à la vie politique.
Le 2e processus est externe, en dehors de la compétition électorale, et en dehors des institutions
parlementaires. Ces structures sont plus indépendants et plus idéales.
En temps de démocratie, les conflits entre les différents mouvements créent des structures
temporaires, fondes par affinité personnelle. Les partisans se regroupent autours d’un leader.
Parfois, les partisans se regroupent par proximité géographique. Ces factions se formalisent petit a
petit, et apparaît des groupement parlementaires, au parlement par exemple.
En Angleterre, les structurations institutionnelles : Reform Club pour les libéraux par exemple, au
parlement britannique.
Cette structuration interne est très importante. Les groupes parlementaires sont créés en 1810. La
troisième république par exemple a connu les lobbies. Dans les länder en Allemagne, des le 1e tiers
du 19e siècle, les regroupements parlementaires sont nombreux. Puis une complexification de la
vie politique, il y a ainsi une nécessitée d’organiser des associations lors des campagnes électorales.
C’est la fonction qui créé l’organe. Les associations, des la loi de 1832, sont enregistrées. De porte a
porte, on essaye de pousser les familles a utiliser leur voix. Cette pratique s’appelle le COMVAS.
Les comites se créent pour soutenir les candidats. Les équipes de campagne sont très structurées.
Chamberlain a créé une association électorale a Birmingham. Organisation : des comite par quartier,
et une comite centrale… le modele de Birmingham est ensuite copie, après le succès de
Chamberlain, aux élections. Dans ce processus, a partir de 1897, on regroupe tous ces comites
électoraux. En Allemagne, on craint l’entrée des actions des mouvements socialistes. On se referme,
et accueillent surtout les notables. Ce sont des leaders qui s’organisent entre eux. En France, le parti
radicale, organise ses comites électoraux. Le parti nait de la jonction entre ces deux structures
donc : les parlementaires prennent contacts avec ces groupements. D’abord informels, puis
institutionnel. C’est la création des partis politiques moderne. A la fin du 19e siècle, les libéraux sont
parmi les courant politiques pionniers. En 1891, les programmes électoraux sont rédigé, et exécutés
par les groupements politiques. En France, politiquement, ces groupements sont plutôt a gauche. Au
début de la 3e république, les monarchistes entrent en nombre au parlement. Les républicains
pensent qu’il faut éduquer les citoyens. Ces groupes sont créés pour accomplir cette mission,
localement, puis très vite, s’étend dans tout le pays.
La pratique de earing : compétition en publique.
2e pratique : Emile Agola, professeur a paris II, se porte candidat soutenu par les comites créés par
les eleves de la maison.
3e moyen : création dans les villes. Implantation nationale dans les partis.
Il y a également des partis qui sont des entités préexistantes et qui exercent leurs fonctions en
dehors des parlements. Ce processus peut être représente par le Labor party en 1906 en Angleterre.
C’est la réunion des syndicats, club et associations. C’est un exemple le plus cite de ce processus. Il
n’y a pas de clivage politique entre ces modeles de cretion. Il y a des courants politiques très varies.
Il y a énormément de courant idéologiques qui se sont structures sous cette forme. Les partis
religieux : le parti de Zentrum, est de confession catholique en Allemagne. Il y a aussi des partis
démocratiques chrétiens typiques. En France, il y a eu des partis catholiques nés sous ce modele a la
fin de 19e siècle : par exemple Union Nationale. C’est l’ancêtre du parti centriste de la troisième
république. Ce parti est créé par l’abée Bernier. Il y a aussi des ligues des anciens combattants : le
cas le plus connus est la transformation des croix de feu sous colonel de la Roque, se transforment
en parti politique, durant la période du front populaire. En effet, les partis de dehors du parlement
ne sont pas postérieur a ceux qui sont créés a l’intérieur du parlement : par exemple, en Europe
centrale, les partis nationalistes dans la 2nd moitie du 19e siècle, sont créés, pour lutter contre
l’empire Austro-Hongrois. Ce schéma est éclairant mais a nuancer. Les historiens ont relativise ce
modele.
Les limites de ce schéma : il y a des processus concrets qui relativisent ce schéma. En premier lieu,
le processus entre groupe parlementaire ne paraît pas aussi claires que dans le schéma. ; Les
groupes parlementaires sont des élus de meme tendance, mais il y a de différents pratiques qui
existent, pas institutionnalises. Il y a aussi des parlementaires qui appartiennent a plusieurs groupes.
Par exemple, les radicaux, à la veille de la première guerre, sont dans plusieurs groupes en meme
temps. On s’aperçoit que les modeles de création hybride, intermédiaire au deux méthodes : il y a
des partis procèdent bien par le rencontre des groupes politiques. Mais, ils sont également issus de
la création des associations par exemple : la ligue des enseignants. Il y a en effet une hétérogénéité
des différents créateurs de ces partis politiques. On a également des partis extérieurs, lorsqu’ils sont
dans le parlement, ils créent des groupements entre eux, parfois fragiles, se défait et refait
facilement. Cf. : en Italie par exemple.
Historiquement, il y a eu des pays qui sont en retard dans la création des partis : En France, ce a
l’aube du 20e siècle que l’on voit les partis politiques. Il y a un retard de plusieurs dizaines d’années
par rapport aux autres, notamment l’Angleterre.
Dans la création des partis politiques : il faut s’intéresser a la variable culturelle. Ce facteur est
prépondérant. On constate la singularité française : la très grande méfiance des partis politiques.
Elle résulte de la RF, il y a une grande difficulté de penser la scission de la nation. C’est une vision
politique qui diffère des pays voisins. N les français sont aux antipodes des partis politiques : les
clubs révolutionnaires ont une vision totalitaire, ces clubs se veulent être représentants de la nation
entière, et pas une faction de la population. Ils pensent que une fois la RF terminée, les clubs
disparaitront, et laisse naitre une incarnation de la nation. Les partis politiques promotent les
programmes politiques, et représenter l’ensemble de la population. Le parti majoritaire gère pour la
société entière.
La conception de la représentation de parti politique : on ne veut pas d’intermédiaire entre le
pouvoir et le peuple. La France est différente que l’Angleterre, qui pense que le parlement sert de
contre pouvoir au roi. C’est pour cela que la couronne s’oppose aux partis des notables et des
aristocrates.
Il faut tenir compte des contraintes institutionnelles : en effet, les partis se sont créent plus
rapidement dans des pays ou la question du régime politique s’est tranchée rapidement. Lorsque le
régime est légitime, alors, les conflits sociaux et les conflits d’intérêt peuvent se règles au sein des
partis politiques. En France, la question institutionnelle a été un objet de conflit récurrent. La
création de partis n’est pas facilitée. Les contraintes du droit sont fortes : En France, les groupes de
pression et associations sont réprimées. Cette la loi de 1905 qui autorise les association qui
démarrent les partis politiques.
La science politique distingue les groupes d’intérêt avec les partis politiques.
Dans des pays ou la contre reforme a emportes : Les querelles de la laïcité ont structures les débats
politiques. En France, avec le parti radicale et le parti socialiste défendent la laïcité. La loi de la
séparation de l’Eglise et de l’Etat au début de 20e siècle. En Espagne, en Italie (la démocratie
chrétienne prennent de grande importance).
2nd clivage : le pouvoir centrale et les mouvements centraux dans le cadre de la création de l’État
nation. Les pouvoirs locaux s’opposent a ce processus. C’est le clivage du centre et de la périphérie.
On voit que les situations vont déterminer les conflits.
1e : la périphérie a eu lieu dans des zones économiques importantes : elle revendique des droits a la
fois économiques et politiques. Les mouvements sont créés pour garder l’autonomie de la
périphérie. En Espagne, pour le pays basque, la catalogne est dans ce cas.
Dans d’autres pays en revanche, le pouvoir central détient aussi le pouvoir économique : il y a pas
de création de parti politique périphérique menaçant. C’est le cas de la France. Et de l’Italie.
2e la grande révolution industrielle : elle est tardive au 19e siècle surtout. Plus précoce en
Angleterre, plus tardive sur le continent. Clivage économique : entre les possédants et les non
possédants : ou les bourgeois contre les prolétaires. C’est le clivage le plus traduit politiquement.
C’est ce qui donne la naissance aux partis politiques dans tous les pays d’Europe. C’est le clivage
entre les mouvements conservateurs et les partis ouvriers.
La révolution russe : les socialités et les communistes. C’est la continuité de la précédente
révolution.
Le clivage entre ruraux et les urbains : conséquence de la révolution industrielle. Le cœur de la
structuration politique est entre les élites industriels et les élites rurales : Les tensions s’apaisent
depuis que les alliances entre ces deux types d’élites sont conclues.
Quand ce n’est pas le cas, les partis agrariens, (les paysans) se développe en Pologne sous le régime
autoritaire en Europe centrale, puis ces partis deviennent des partis centristes (en France, en Europe
méridionale), mais ces partis ne se développent que localement, mais non durablement. (Le cas de
l’auvergne). Ces clivages sont constitutifs des partis politiques : les partis cumulent la prise en
charge de plusieurs clivages. Le PS par exemple : le possédant/non possédant (l’héritage de SFIO),
les causes des laïques… Lorsque F. Mitterrand arrive au pouvoir en 1981, on parle souvent de
l’école laïque. Ces clivages permettent de comprendre les structures du mouvement.
Question : le gel des clivages ? Les nouveaux partis politiques ont ils un lien avec ces anciennes
factures ? Y a t il des nouveaux clivages qui ont créé les partis nouveau ? Par exemple le parti
écologiste relations
1e la multiplication des compétiteurs sur les versant : éclatement des familles politiques : par
exemple : le clivage possédant non possédant qui oppose la gauche avec la droite. En Allemagne, il
y a la scission des radicales. Die Linke, créé par Oscar La Fontaine se trouve d’être trop modérée.
Le parti gauche en France de Jean Luc Belouchon est créé aussi à partir de scission de la partie de
gauche. Les plus radicaux quitte le mouvement et rejoint au centre gauche. Sur le versant d’une
mémé tendance politique.
En Italie, dans les années 1980, il y a concentration des ligues (contre les étrangers). La ligue
Lombarde. Avec un leader populiste. Les ligues s’imposent dans le système politique en Italie.
Effrontément du mur de Berlin. Les anciens partis s’effondrent et laissent de la place aux ligues.
Les ligues proposent des programmes politiques, elles sont contre la communauté européenne. Le
mouvement participe a l’alliance a droite : Forca italia dans les années 1994…
Les ligues du nord se battent pour les intérêts du nord. Les gens du sud sont considérées comme un
poids. Le zone du nord de l’Italie s’appelle Pasdanie. le clivage urbain ou rural (zone industriel/
zone rurale). Le cas Français : création d’un nouveau parti a la fin des années 1980 : la création de
CPNT : chasse, peche, nature et traditions. Lors des élections européennes de 1989, et ce parti
s’implante dans les régions. Le mouvement implante régionalement, dans la Somme, dans le
Pyrénées orientale, et obtient 6 deputes européens. C’est typiquement français. En France il y a 1
million de chasseurs. La rhétorique de ce mouvement est très intéressant, meme si aujourd’hui il est
affaibli : on défend la France des différences. On veut une socialisation du milieu rural. Chez les
ouvriers, les artisans, les commerçants ce mouvement a eu un grand succès. Ce mouvement est ainsi
vert : les khmers verts. L’apparition de nouvelle facture : équivalente a celle de la révolution
industrielle apparition de nouvelle famille politique. Les mouvements écologistes s’inscrit dans
cette fracture. Il y a des réfutations sociales. Les mouvements écologiques défendent des valeurs
post matérialiste. Cf. : Ingelhart développe un modele sur l’apparition de ces valeurs post
matérialiste. Il y a eu une révolution silencieuse après la seconde guerre (les Trente glorieuses) : les
attentes matérielles ont été progressivement satisfaites. C'est une révolution silencieuse car nous
n’avons pas conscience de tout cela. Les citoyens européens sont satisfaits. Ils se dirigent vers de
nouvelles attentes et de nouvelles valeurs. Dans les années 1970, la révolution commence. On
recherche des droits de minorité. Le développement des mouvements politiques pour revendiquer
des droits des minorités : parti écologiste manifeste cette prise en charge. Depuis le milieu des
années 1980, une contre révolution silencieuse : les citoyens sont inquiets des changements. Un
nouveau clivage : c’est le clivage libertaire contre autoritaire autour de l’apparition de ce nouvel
fracture. Vis a vis du conflit européen : est ce l’intégration européenne a conduit a un nouveau
clivage ? Eurosceptique/ pro-européen
Vers le milieu des années 1980 apparaît le mot eurosceptique. Dans les discours médiatiques
d’abord. Au Royaume-Uni d’abord : pour caractériser la position de Marguerite
Thatcher.l’euroscepticisme est un mouvement contre l’affrondissement de la CE et la dissolution de
la CE. On rejette les institutions existantes. Apparition d’un véritable clivage ? Le positionnement
sur l’Europe est devenu important dans les différents pays. En France, le mouvement souverainiste :
Philippe de Vilier en 1994 créé ce mouvement. en 1999, il va s’allier contre Eurollande. Création de
RPF : le renouveau du mouvement gaulliste ? On ne peut pas dire pour autant qu’il y a un nouveau
clivage en Europe, cependant on ne peut pas nier l’apparition de nouveaux partis. La question
européenne n’est qu’un des problèmes. Ce ne sont pas des partis européens ! Le parti RPF a une
doctrine générale va au delà de l’enjeux européen. On s’apercoit que la tension en Europe conduit a
l’éclatement des partis de gouvernement. Il n’y a pas eu de recomposition des systèmes de parti. Les
principaux mouvements en Europe reste clivage gauche droite. Au sein de la gauche il y a de
l’eurosceptique et du pro euro…
Pourquoi pas de clivage en Europe ?
1e pas une révolution
2e la question plus significative : domestication et absorbation de l’enjeu européen par des partis.
Les partis existants ont tout fait pour que cet enjeux européenne ne soit pas trop visibles, publicise.
C’est la source d’un risque européen. Il y a éclatement.
Exemple : débat en 2004 : la constitution pour Europe. Il y a un camp du non qui va emporte le 29
mai en 2005 lors du referendum. Mais ce camp du non ne se traduit pas électoralement. Apres le
referendum, il y a recomposition de cet électorat du non. Laurent Fabius est la porte drapeau des
eurosceptiques. Il refuse de recomposer cet électorat. Les échéances des élections présidentielles de
2007 s’approchent. Il y a interionisation des enjeux européenne. Les leader ont tout fait pour que ce
clivage ne soit pas une source de tension dans le système européen.
Avec ce modele, on prend la géopolitique de l’Europe. Mais on ne peut pas voir l’évolution de ce
groupe. On doit étudier d’autres phénomènes.
Cas illustratif : le cas UMP
L’UMP est créé en 2002 par un congre fondateur. On veut unifier la droite française. Ce mouvement
est ne en 19e siècle. La droite orléaniste appartient au mouvement libéral. Le mouvement
bonapartiste : interventionniste et droite d’Etat. Un peu comme le gaullistes. Le mouvement
légitimiste :
La fondation est due à un long processus. Dans l’espèce, il y a des contraintes électorales. Ils sont
nés dans les années 1980. Des 1988, Balladur pose la possibilité d’une confédération des droites
pour palier à la contrainte électorale.
Il y a également un rapprochement doctrinale : les gaullistes se sont rapprocher des libéraux. Dans
les annones 1980. Les gaullistes ne sont plus eurosceptiques.
En 2002, un conjoncture.
La théorie des clivages doit être compléter par ce processus de la création des partis
Cette évolution est continue. L’accroisement continu de la tenu des sessions parlementaires montre
cette professionnalisation. Ce phénomène a conuu des trajectoires et modalités très divers dans nos
états européens.
Paragraphe 2 : les trajectoires et modalités de la professionnalisation
A) cette professionnalisation passe par de multiples professionalisationxxx activités
B) ministres, maires… ces activités sont rémunérées. Cette création resulte de luttes et conflits
s’etendent sur tout le 19e siècle. Pourquoi les rémunérer ?
C) lutter contre la corrumption
D) lutter contre la plutocratie : gouvernement des plus riches.
E) La France est des plus tot pays qui instaure la rémunérations de ses hommes politiques. Des
la RF, puis ces indemnités s’interrompent, et se pérennisent sous la IIIe Republique.
F) Il faut permettre aux élus d’etre remuneres. Mais en meme temps, on critique les ressources
des hommes politiques.
G) Il y a un querel dans l’espace public : « la querel des 15 000 «
H) Ce mouvement est continu, et présent aussi chez les pays voisins a la veille de la Premiere
guerre mondiale. Chez les pays voisins ont connu les memes querels.
I) Par exemple : un homme politique issu de milieu modeste, mais comme il a epouse une
femme de milieu aise, on lui refuse de l’indemniser
J) Cette question financière est importante. Beaucoup d’hommes politiques sont élus car il
n’est pas nécessaire de les payer.
K) En réalité, la complexité de la copetition électorale, on voit l’emergence d’autres catégories
de fonction politique : par exemple : la personne qui est a la tete des organisations
partisanes. Ces organisations, machines électorales, jouent un rôle important lors des
élections : ils essayent de collecter un maximun de voix possible. On propose les aides aux
citoyens, on propose des postes… cette machine, très organisée, a asa tete un boss, remunere
par le parti politique. Il y a aussi des paxx capitaines qui sont cahrges de collecter des voix.
Ces permanents vont durer jusque dans les annes 1950.
L) Ces permanents ont developpe la corrumption. Parmi les plus influent : la machine
démocrate a la fin du 19e siècle, nomme tammany hall, manipule la poolitique. Une
organisation a Chicago, appelé Kelly Nash
M) En europe, des mouvements conservateur , composée de notables, avocats, juristes…les
professions libérales dominent la politique
N) Sous le second d’Empire, les hommes d’affaire.
O) Ces hommes ont assez de ressources pour candidater de façon indépendant. C’est le cas de
Baron …qui sous la IIIe, fait sa campagne grâce a ses propres ressources
P) Les permanences sont composées des fonctionnaires du partis, ils sont les leviers des partis.
Ce sont aussi des agents électoraux, et organisent les campagnes électorales. C’est pourquoi
les ressources économiques sont importants. On veut des militants pour avoir une cotisation
suffisante.
Q) Par exemple, en Allemagne, le parti SPD, est un bon exemple de ce mode.
R) Il y a egalements des mouvements d’ouvrier qui creenet une élites ouvrières dans les écoles
spécialisée. Les personnes les plus riches ont accès ala candidature. Ce sont surtout des
intellectuels ont ont accès a la candidature : par exemple : gambetta, est un avocat ; Leon
Blum, Jaures, philosophe, universitaire.
S) L’art oratoire est fondamental. Cet art fait partie de la formation de ces leader.
T) Michels Roberto dans un ouvrage » les partis politiques », definit l’activite politique par l’art
oratoire. Il y cite, Lord Lyod George, Jaures…
U) Il y a également la démocratisation politique entraine l’apparition de la presse d’opinion.
C’est une transformation du métier politique.
V) Développement des postes de collaborateurs : des la IIe Republique, on reflexitxxx reflechit
sur les aides pour les deputes a la chambre. On cree une secrétariats général.
W) Apres la Seconde Guerre Mondiale, cette fonctions de collaboration se développent. Le
poste d’assistant parlementaire apparaît. Au milieu des années 1960, les parlementaires
s’adjoingnent un Staff. C’est une equipe parlementaire autour d’un elu.
X) Cette professionnalisation a aussi un lien avec les transformations de l’administration. Les
organisations entrent en compétition . la construction de l’Etat moderne et la
professionnalisation vont en ensemble
Y) B) emplois bureaucratique et professionsalisation politique
Z) L’Etat moderne s’est fonde sur plusieurs siècles. Il est construit sur les decombes de l’Etat
féodal. A la fin du 19e siècle, on avons l’Etat moderne tel que l’on connaît aujourd’hui :
AA) 1e la centralisation de la coercission : ce la veut dire que l’Etat moderne détient le
monopole de la violence legitime, comme dit Weber. L’appareil étatique a accapare tous les
pouvoirs de violence legitime
BB) 2e institutionnalisation du pouvoir politique. Cela veut dire que le pouvoir politique
se detache e la personne du roi. Ce ppouvoir, notion abstrait s’est incarne dans la notion de
la nation
CC) 3e une différenciation entre les patrimoines de l’Etat et celui du roi. C’est le principe
de la légalisation. Les différentes fonctions s’inserent .
DD) les conséquences : le pouvoir politique a le monopole de la puissance militaire et
fiscale. Pour les mettre en place, une administration est nécessaire. Une vaste bureaucratie
s’installe. Les agents de l’Etat se spécialisent. Ils mettent en œuvre les décisions de l’Etat.
C’est la séparation de la fonction administrative et la politique. Ce modele de l’Etat
moderne est vu comme acheve. C’est la forme la plus achevée , fonde sur la compétence, le
savoir…L’Etat prussien est un des premier Etat moderne, bureaucratique. Les agents
appliquent les dispositifs de l’Etat. Ils sont recrutes sur concours. Leur qualification legitime
leur place au sein de l’appareil administratif. Sous Frederic guillaume 1e de prusse, les
agents accèdent a leur poste par leur compétence, a la suite des concours : developpemt du
droit, des techniques avec la révolution industrielle
EE) Surtout, le développement du capitalisme va de pair avec la bureaucratisation : la RI
permet le développement du capitalisme. Son épanouissement permet la stabilité, et
developpe un droit rationnel et prévisible. C’est un atout pour le développement
économique.
FF)Weber insiste le lien entre ;a bureaucratisation et la professionnalisation politique. Les partis
politiques cherchent a contrôler l’administration. On veut que ses agents obéissent a la
politique.
GG) 3 trajectoires :
HH) 1e les Etats ou le SU a precede la démocratisation : les partis politiques sont déjà
formes. On contrôle dans ce cas a contrôler la nomination des agents. Ils créent des
organisations qui soient capables de distribuer les postes des agents : « le système de
depouille » spoil system. A chaque élection, les fonctionnaires doivent rendre leur poste et
placent les gens proches. Le développement de poste qui sont soustraits aux concours. Ce
modele est celui des USA.
II) 2e la différenciations des fonctions politiques et administratives est postérieure u SU : la
création d’une élite administrative se rend indépendant. Difficile a contrôle par la politique.
C’est un Etat faible » l’Etat est moins interventionniste que les Etat du 1e cas. Exemple :
anglais, allemand
JJ) 3e le cas francias, Etat intermédiaire. La bureaucratisation a precede l’avenement du SU.
Mais de Grandes tensions entre la politique et l’administration. Mais le changement du
régime politique, suivi des mouvements d’eppuratuoxxxepuration a chaque changement du
régime. Lorsque le régime est stabilise, les républicains veulent rompre avec cette tradition
d’epuration. C’est la raison pour laquelle, les royalistes et conservateurs conservent leur
fonction.
KK) Chapitre 2 :
dans la charte Damien, on y trouve des socles doctrinales de ce mouvement. La SFIO compte 70
000 adherent en 1914. Alors que le mouvement socialiste démocrate en compte 1 million. Cette
famille socialiste doit également faire face aux communistes qui arrivent massivement dans le
sud de la France. SFIC, le journal « humanité » passe aux mains des communistes. De plus,
les communistes s’implantent durablement, c’est ce quexx
le parti socialiste= la gauche non communiste a la fin des annes 1970. Le revirement se produit
en 1978, la date a laquelle, les socialistes passent avant les communistes. En Italie, le PC italien
est très grand.le syndicalisme en Espagne et en Europe du sud s’est developpe de façon
autonome. En Espagne, CNT , très implante en Catalogne.
Les mutations dans les 1980s…
…….
captation des votes de la couche moyenne : La chute de la population ouvrière entraine la
chute des socles électorales de cette famille politique. Le nombre des classes moyennes
augmente. Dans les années 1980, la sociale démocratie est en crise. L’affaiblissement des
communistes favorise le parti socialiste du sud. Le cas français : Le parti socialiste capte la vote
des salaries de la classe moyenne. L’usure du pouvoir qui va permettre d’acceder a la présidence
de la république.
En Grece, effrondement des regimes autoritaires permettent l’essor du socialisme.
Le parti socialiste européen regroupe tous les partis socialistes : Rasmusen est le leader de ce
courant contre blairisme.
Le mouvement libéral est a gauche. Le thème est utilise en 1815 pour la première fois au
continent. Puis cette appellation est utilisée en UK. Puis en France. Ce mouvement défend la
liberté et l’egalite, laïcité, et l’individualisme. Ce mouvement est contraire au courant
conservatiste.
A partir de 1830 : la naissance du courant libéralisme économique.
En UK :
Les wigs sont des libéraux, suite a la révolution glorieuse de 1688. Ils s’ouvre au courant de
libéralisme économique. Au 19e siècle, le parti libérale économique est ne. C’est un mouvement
radical, situe a centre gauche.
Libéralisme philosophique : laïcité, les valeurs républicaines. Parti libéral belge, italien puissant
jusqu’en entre-deux-guerre. En France, le parti radical socialiste domine la IIIe Republique. Ils
mettent en place la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Les objectifs sont atteints a la veille de la
2nd mondiale. Il devient referent du passe, car il perd sa raison d’être. Le mouvement subsiste
jusque dans les annees 1970. Ce courant de centre droite s’appelle le parti valoisien. En
reference a la rue de valoi. C’est une composante de l’UDF , parti que soutient VGE. Avec la
refondation de droite, le parti va perdurer. Aujourd’hui, l’UDF est affile a l’UMP, bien qu’il soit
une personne morale au moment de l’affilation
Le parti démocrate chrétien : il lie au parti radical. En Belgique, les partis réformistes et les
mouvement démocrates chrétiens se battent.naissance en 1848 : apres une ancyclique papale :
pape Leon XIII, Rerum varum, veut prévaloir l’amelioration de la vie sociale des ouvriers. La
papauté va très vite prendre de là distance avec ces partis. Les partis confessionnels : le
christianisme politique
1e Socle social : non démocratique a l’origine
2e catholicisme libéral : qui défend la doctrine de l’Eglise.
C’est le cas de zentrum. Il y a apres 1845, deux modeles de parti démocrate chrétien.
1e le modele italien : dominant historiquement. Parti population italien. C’est son
interclassicisme. Le parti occupe le pouvoir en Italie jusqu’en 1990. La corrumption est la raison
de sa chute. Mais pendant une 40 taine d’annees, il a régner en Italie. C’est un parti qui est
présent dans d’autres pays : parti pivot.
2e CDU/CSU modele allemand : il lie les catholiques et les protestants. Ce mouvement est un
conglomerat. Cree apres les guerres : catholicisme social, tendance conservatrice, courant
protestant, et les syndicats…Mouvement hétérogène… ce mouvement est surtout un parti
conservateur. La tendance conservatrice va l’emporter. C’est aussi l’extreme décentralisation de
ce courant : CSU est une composante catholique qui a ses mouvements catholiques en baviere.
La démocratisation de l’europe de l’est : des pays copient ce modele. Il est le principale parti
démocrate chrétien en Europe actuellement. C’est le dernier label de ce courant démocrate
chrétien.
Pourquoi cette faiblesse ?
Facteurs :
Le parti gaulliste capte une large part de l’électorat de parti démocrate chrétien.
réaction : Le CDS, le centre des démocrates sociaux. Puis dans l’UDF, en 1978, union de
parties politiques créée pour soutenir VGE. UDF n’a pas d’identite doctrinale jusqu’en 1998,
cette autonomie est portée par Bayrou. Mais la création de l’UMP cause son érosion. Cette
famille politique eclate en 2005, lors du second tour des élections présidentielles. Une partie, le
nouveau centre converge vers la droite. Seulement les fideles restent avec Bayrou. C’est
l’eclatement des courants démocrates chrétiens.
Remarque : Les démocrates chrétiens se sont deconfessionalises. Mais les militants et diriges
sont souvent issus du milieu catholique. Par exemple, Bayrou fait des allusions implicites a la
doctrine démocrate chrétienne.
Les mouvements conservateurs : sont nes a la suite de la RF, et prennent leur racine dans la
pensée de Edmond Berke, penseur contre révolutionnaire. C’est surtout un mouvement de
réaction contre la RF, il s’oppose aux valeurs de la révolutionnaire : anti égalitarisme, contre le
désordre. Il prone la continuité : « progressive improvement ». on s’oppose a tout changement
brutal.
Tournant : les principes démocratiques sont acceptes : on veut les avances sociales, mais tout en
évitant les violences.Les Tories en UK sont les parfaits exemples de ce courant. Ils veulent être
pragmatique. L’ideologie est très secondaire pour les tories. En UK,le parti conservateur capte
un tiers de l’electorat ouvrier, cela veut dire que les tories ont un électorat très large.
Les ouvriers conservateurs existent aussi en France, et votent droite.
La mort des partis politiques. Crise de militantisme. Il faut modifier le regard sur ces partis
politiques. Ils sont toujours puissants, mais il y a un changement de la médiation. Les partis ont une
liaison renforcée avec l’Etat. Les partis deviennent des « agents de l’Etat » actuellement : ils sont
dépendants de l’Etat.
1e ressource financière : les cotisations militantes sont négligeables devant les ressources publiques.
Vers la professionnalisation : + 300 % des membres permanents par rapport aux années 1960.
2e encadrement des activités des partis politiques : il y a développement des regles encadrant les
partis. « Les lois de finance des partis politiques », le contrôle des campagnes électorales, par
exemple. Ce sont des partis « Cartel » : il y a des partis dominants qui bénéficient de ces
ressources financières et des liens avec l’Etat et l’administration. Ces partis font un cartel pour
s’opposer aux nouveaux venus dans le monde politique. Dans le cadre des compétitions électorales,
des rites et des fonctions symboliques se multiplient. Au UK, les Congres et conférences mediatises
du parti travailliste se multiplient. En France, la mise en scène lors des grandes messes (Congres a
Bourget pour UMP) a une fonction proselystique. Les organisations veulent montrer leur puissance
et leur implantation dans de différentes régions.
A) La participation électorale
Le taux de participation : le rapport des électeurs inscrits et les électeurs qui ont vote.
Ce taux est infidèle. Ceux qui sont aptes a voter mais non inscrits ne sont pas comptabilises dans le
taux d’abstention.
1e En France, le vote est facultatif. Dans d’autre pays, comme la Belgique, le vote est obligatoire.
Ceci influe sur le taux de participation.
2e Le changement de domiciliation d’un inscrit non signale équivaut a un non inscrit.
Le taux permet d’evaluer la vitalité politique d’un pays. La passivité est un risque de la démocratie ,
Risques :
1e désavoeux politique
2e développement d’un « Etat Leviathan »
Cf. : Alexis de Tocqueville, dans « De la démocratie en Amerique. »
Le déclin de la participation électorale est-il synonyme du déclin de la démocratie ? Différentes
thèses :
1e L’absence de la participation électorale est lie au développement de la démocratie. Quand la
démocratie atteint un stade paisible, la population se desinteresse de la politique, et tourne vers les
question de la sphère privée. Cf. :
Le cas des PECO : lors des premières élections, ces pays ont un fort taux de participation. Faible
participation actuelle lors des élections nationales et européennes.
Le cas des élections européennes. On affranchit rarement la barre de 50 %.
Le cas de la France : Le taux de participation était de + de 75% en 1845 ; 30% d’abstention en
moyenne actuellement. C’est un phénomène continu et récent. Attention : ce faible taux de
participation ne vaut pas sur le plan de valeur absolue.
CYCLE : en Europe :
1945-1970 : fort taux de participation
Depuis les années 1970 : le déclin continu.
Jusque dans les annees 1980, les Allemands votent selon ces deux clivages. Les Anglais considèrent
ce modele sociologique comme déterminant
Nuances :
Autres clivages : Les professions indépendantes/ salaries : les professions indépendants votent
souvent pour la droite modérée. En Allemagne : CDU.
Cette classification suppose que l’electeur est competent pour analyser les programmes= fin
stratège ? Les allégeances sociologiques son faibles dans ce cas. Attention : ce modele s’applique
qu’une catégorie limitée d’electeurs.
Section : L’Arene des conflits sociaux :
la mobilisation ouvrière : la principale acteur de ces mobilisation depuis le dernier quart du 19e
siècle.
On veut mobiliser un grand nombre de participant pour faire la greve et la manifestation contre
l’Etat.
La greve est un arrêt de travail contre les patrons. C’est une relation bilatérale entre les ouvriers et
leurs patrons.
La manifestation veut rendre visible la cause devant les citoyens : relation triangle : l’Etat, les
manifestants, les citoyens.
Le recours a la GREVE :
Contexte : accélération de la Révolution Industrielle. On constate que la grave contribue aussi a la
structuration du mouvement ouvrier. Lorsqu’il y a des greves, il y a un mouvement d’adhesion.
Comme les Trade unions en UK doublent leurs adhérents apres des mouvements de greve. En effet,
le monde ouvrier, auparavant eclate, trouve une identité grâce a ces evenements. Les ouvriers
façonnent une identité commune. De nombreux syndicats participent a la greve.
Le recours a la MANIFESTATION :
La manifestation est une appendice de greve. Les manifestations suivent souvent les mouvements
de greve. La manifestation moderne est nee durant la seconde République. On veut donner a voir la
cause. C’est une transformation radicale qui s’opere a la fin du 19e siècle. Progressivement, la
manifestation est utilisée non seulement par les ouvriers, mais également par les autres catégories
sociales : des mouvements catholiques, des groupes catégoriels, les commerçants, les professions
libérales, les professeurs de droit, etc.
Le niveau d’intensite des conflits sociaux est different dans les Etats : l’evaluation est souvent
difficile. Il n’existe pas d’arene unifie de conflit sociaux au niveau national. Deux éléments :
1e une évaluation statiques du degré d’intensite conflictuel : on evalue l’importance des greves dans
les différents pays. Les journées individuelles non travaillées pour mille salariers.
2e le niveau de politisation des conflits sociaux : le degré de relation sociale(logique protestataire ou
relation harmonieuse ? )
RESULTATS étonnants :
L’Italie caracterise un double élément conflictuel :
Beaucoup de greve sur la durée.
C’est un modele contestataire que le pays adopte.
Italie est le pays des greves.
La France :
Beaucoup de greve sur la durée
Mais faible degré de conflictualité. Nous ne suivons pas le model contestataire.
La lutte sociale se poursuit dans des luttes politiques. La révolution prolétarienne ? En 1e Mai 1906
aux USA : Non, il y a eu quelques greves ; Mais rien au delà. la fete du Travail
Le renversement de la République ? Non !
Surtout des greves sectorielles : pas de greve insurrectionnelle! (Un mythe ?)
Exemple : GREVE pour La reforme de la sécurité sociale : la mobilisation dans peu de pays
finalement : Italie etc.
Depuis 1945, en France : beaucoup de greves dans le secteur public. Les multinationales utilisent la
faiblesse des mouvements de greve dans les secteurs privées en France.
En UK : le cas contraire ! Les tentatives de grave insurrectionnelle en 1842, déclenchées a
Manchester. Le dernier tentative dans les années 1920s. Mais ce sont des mobilisations apolitiques.
Elles s’effectuent a un niveau décentralisées. Ce sont des greves qui s’effectuent localement. La
greve est non politique, et centrée sur les conflits au travail. Les conflits sont cependant très
nombreux. Jusqu’au dans les années 1930s, le UK est le pats des greves en Europe. Dans les années
1980s : l’arrivee au pouvoir de Thatcher est un tournant.
Reformes :
Impossibilité de faire greve par procuration : les greves de solidarité sont interdits. En France, ce
genre de greves est très courant.
3e type d’action : internalisation des revendications européennes : les ressortissants nationaux vont
s’opposer dans leur pays a des mesures, le site de leur mouvement est national. En deux mots, les
décisions internationales dans un cadre national.
Les mobilisations protestataires sont initiées par des groupes professionnels. Les agriculteurs par
exemple. Ils sont les plus mobilises.
IMPORTANTE MUTATION : a partir des années 1960s : dans les démocraties occidentales : au-
dela des démocratie consolidée.
Les catégories socioprofessionnelles ne sont plus les seuls acteurs. La sociologie des acteurs. Les
Nouveaux mouvements sociaux NMS.
Les nouveaux revendications : non seulement des conflits économiques. Mais aussi de nouvelles
mobilisations : les mouvements Post-Modernaliste. Mouvement pour la paix, pour la défense des
droits, droit au travail, droit pour les minorités, etc. Ainsi on est en faveur des minorités ethniques,
sexuels, des féministes. Ces mouvements sont cibles, mais ils n’ont pas vocation a promouvoir
l’interet général. Ce sont des Single issue mouvement. Il y a aussi une autre différence radicale :
l’acteur ouvrier n’est plus le seul acteur. Avec les nouveaux mouvements sociaux, les causes sont
éparses.
La transformation identitaire de ces actions collectives. Le mouvement sont issu de la classe
moyenne maintenant. Vers le changement structurel. Ces mouvement s’oriente vers une certaine
radicalité. Ces conflits sont consideres comme indivisible. Pas de compromis possible
Radicalisation ?
Comme les mouvement alter-mondialiste.
Transformation des modes de citoyenneté : Les mouvements sont devenus un mode ordinaire de la
participation a la vie politique a partir des années 1980s. Ce mouvement continue toujours
aujourd’hui.
Deux modes d’actions contestataires : Les greves et les manifestations : plus d’un tiers des citoyens
ont utilise cette forme d’expression. Alors qu’au début du 20e siècle, ce pratique est purement
catégoriel.
Des cycles :
1e des moments ou ces mobilisations sont importantes : a la fin des années 1960, et début des
années 1970. Beaucoup de mobilisation
2e dans les années 1980, et 1990. On se calme
3e dans les années 2000, mouvement contestataire.
Intensité des conflits : qui s’etend durant cette période de mobilisation : extension sociale. D’autres
mouvements a se mobiliser. L’ensemble des démocraties consolidées est touchées.
Des spécificités :
e
1 Les mobilisations étudiantes : des trajectoires differencies en Europe. En Europe occidentale
surtout. Ces mobilisations sont considérées comme les nouveaux porteurs du mouvement social.
Alain Tourre : elles sont des substituts des mouvements ouvriers.
Cependant, les différences de trajectoire de ces mouvements ont ensuite relativise cette
thèse.
Les mouvements étudiantes ont eu beaucoup de rencontre dans des milieux ouvriers.
Les mouvements étudiantes servent aussi a contester les regimes en place
La base politique et la base sociale vont se concentrer. Les revendications identitaires. Contre la
loi Debre en 1973 : contre la selestion apres la première année des années universitaires.
L’Italie et l’Allemagne : pas de réponse politique. Radicalisation des ces mouvements étudiants.
Le mouvement alter-mondialiste est extrêmement composite. Cf. : Jose Bove : Via compa sina
La composition sociologique : ces mobilisations sont transgenerationnaires. Dans des mouvements
post 68 tard. Les étudiantes, des chômeurs, etc.
La spécificité est la dimension transnationale : structure en réseau, moins formelle que dans le
passée. Par opposition : ils ont réussi a bloquer dans le cadre de l’OCDE. L’AMI, accord
multilatéral d’investissement. Considere comme une atteinte de la souveraineté des Etats.
Finalement l’accord ne s’est pas fait. C’est le chant du cygne de ces mobilisations. Les cycle de ces
rencontre a ete plus espaces. Le nombre des personnes mobilisées est moins significative. Ce cycle
est acheve.
On est passe d’une conception d’une domination absolue (une élite relativement unifiée) a une
compétition des élites très diversifiées.
Minorite unifiée qui prend les décisions.
Pareto : sociologue : « traite sociologie générale » : une élite g6uvernementale : les hommes sont
toujours gouvernes par les meilleures.
L’ecole moniste : une élite se caracterise par la regle des trois C : Parcous commun, formation et de
milieu social, une conscience commune vers unité, la logique de complot : Complot, conscience,
Cohesion. Cette lecture n’est pas assez concrete. Apres la seconde guerre mondiale : un pouvoir
ferme, expérience mene aux USA. Cf. : Mills. Dans les années 1950s : « élite au pouvoir » il
cherche a actualiser les conceptions de Pareto.
Mills identifie trois aspects :
1e un cercle politique
2e un cercle économique : le regne des seigneurs
3e un cercle militaire
Vers un complexe militaro-industrielle.
Son annalyse prolonge celui de Pareto. Elle considere que l’elite est homogène socialement. Il y a
une sorte de répartition des taches entre ces trois groupes. Il indique que dans les années 1950 : le
cercle militaire et le cercle économique sont dominants. Mills insiste sur les relations
interpersonnelles. Il y a une réelle connivence entre ce milieu. Les différents travaux sont poses
dans le cadre du pouvoir local.
L’ecole pluraliste : Dans les années 1960, cet approche est contestable. Exemple : Aux USA, Robert
Dahl + Raymond Aron : parle des catégories désormais. Il s’interesse a une étude locale. Dahl : «
Qui gouverne ? »
Comment cela se passe ?
Il etudie trois type de decision :
1e La sélection des candidats aux élections
2e La rénovation urbaine
3e Enseignement publique
Dahl, apres les études, considere qu’il y a des élites qui sont concurrents et ils ne sont pas les
memes dans les différents milieux.
Il faut dépasser ces oppositions entre les moniste et les pluralistes. Il faut combiner les deux
approches :
2 caracteristiques : deux modeles qui sont situes sur des plans différents.
Le plan de la ségrégation social :
Les processus de decision : il y a des divisions très importantes entre les différents