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“LES COURS DE SORBONNE oan eau WAHL. Protesseur tte des Letires de Par LA THEORIE DES CATEGORIES FONDAMENTALES dans Nicolai HARTMANN ae CENTRE ot DOCUMENTATION UNIVERSITAIRE TOURNIER a CONSTANS 6, Place de la Sorbonne 1A THEDRIE DES CATHEOORIES FONDIRNTALES DAIS NICOLAT HARTSANOE ize logon ious pouvons maintenant prerdze 1a preaiére paize d'opposis, c!ast~indire 1e principe et le concretum, qui est 1a rolation fondanentale, 1a jrouitro’ partic du Tivre de Hartaann a Gt6 Conescrée & la question de savoir ce que cleat qulun princize, ata détruire leo préjugée qui eupchent de voir bion ce qu'est un principe. Ces préjugée, clestle projugé de la aéparation qbsolus du onde sensible et da monde PRtaliieivie, ce A quot on pout donnar le nom platonicien de XogiTjos 3 ctast Je préjugé d¢ Ihoneryate de L'intelligible ot du sensible; ctest Io préjusé do Jroupistenont, yar lequel on fait eapister une catdgorie de I'intelligitle sur le ‘onsite, cu we catérorie du sonsible sur l'intelligibles Par la correction de ces sréjugie, i190 fait une sorte de description, ou plut6t de circumscription négative, qui finalennt, nous dit Hartawm, acquiert un Zona positit. {ly a pou a peu un progrde quand on n'attribue yas aur grincipes une Stoenbe indGpendaiite, coune semblait le faire le Platon du "Fhédon", et quand on ne ee%tobaisee pas, d'autre part, juaqu’a Gtre de simples répétitions d'étante- particu Mere. DD faudra égalocent ot Vensanble de préjugss qui teniont arter le subjectiviem, lo forusliese, le mtionalisne, Lientifiew les principos ot les essences. ory co qui reste, aprés 14 suppression da tous cas préjuaés, ost un rapport tun genre tout particulier, pour lequel nous ntaurons yas de compiraivon et a! inago Soesible, ot qui est ce rapport des [rincipes au concretuze Ti stagit, our Hartmann, de justifier co sot "coneretun", dont il use your signifier cof qlol slapplique ie principe, On ne pout trouver de sot qu'approrinatié, Teed dit-ily pulsqu'i? faut un mot qul eabrasse toutes choses possibles, ot amv co qui n'est pas un étant au sons Jropre, come 1s pensée ou 1'opinions Done, 1a déaignation, le tore dont on appellera cette réslité & laquelle etappliquent les principes,ne pout tre farcdcent que schénatique, re peut Sire fonitent que auyerficiel. Laie le sot Neoncretun" a une quslité, clest de dévisner In liaison de besuccup de Frineipes on lui, ctest de nous faire voir qu'un principe rapiiique A quelque hove & qUOl stappliquent en mfse taupe beaucoup de prineipes, Bee dat le coneretum, e'eat-a-dize oe qui a om ensemble, ce qui staccroft eheemble, sous l'effet de beaucoup de princi pet co qu'il faut voir on deuridne Mou, au sujet du concretun ot de sa relation veo leo peincizes, clast qu’. n'est pas L'opposi de Tabetrait. lee yrincipes ne GEE dee Kistque chose qui soit abetrait, ot lo concretus n'est jas foroénent quelque Shore gut est intuitionnd, oa plut6t 1 ne lost quia un niveau ddterming de 18 sphire de 1a connaissances -4- 1 oat bien possivle que ce soit souvent par une sorte dlabstmaction quon arrive aux principes, st oo caractére abstrait laur reste plus ou moins attaché. Unis, a'aprés Harton, 11 no leur appartient pas en propre, et il faut transconder cette apparence d'abstraction. 11 faut toujours, en tout cas, sntuitionner en aime teays le princize et ce & quoi i] e'applique, ctest--sire gon concretua. Le concretun est co oli le principe a pris sa croissance, ot il a pris ea croiestice li, comma nous Iavons dit, dlaprég le terse luo deco concretium, avue beaucoup atautrer pFincipes, on aise tens que beaucoup d'autres Grinct pet IL ya trois earactizes des principes, et trois caractires du concratuny qui stopposent es uns aux autres, Le premier cafuctére, clast un carsctére Telati? & 1a théorie do 1a connaissance, un caraottre du noseologique, at par 1a, suivant 1a tnéorie de Hartmann, un caractére seccndaize, mia cleat le cazactare 16 plus conn, Assveir que le principe est ce & partir de’ quoi 1e concretun se laisse comrenizes Le’ second caractére, c'est la relation ontolorique fontanentale. Le peinctpe ext co aur quot To coneretimn repose, 1 co sur quoi une yartig du coneretua Fepoaes Autroment dit, le principe est, your prendre le sot eree, C TL y & une Hinelite subtile des fonctions, use finalité,xéeiproque deo fonctions Vane par Nofert a Tinutre, i1y a une muto-régulation du tout qutest Lorganianey 42 y 8 sreegidifioation de Dorgariase quard il a été lésé, qui aontre 1'inportance de Ta totalites Cotte idée do totalite a avené lee philosophes & penser quo lorganique ext égi parla Finalité. Make Hartoam penge que 1'idée do finalité, si elle est pris sect Per Jone strict, inplique toujoure ina sorte de conscience, 1'iAée,que ion {ert Smeafce chose pour autre choose Or, dana cette totalité organique, 31 mamue 1a conscience du bute co quo nous avons & conclure aur ostte troisiine forse de détersinstion ctest done qua nous fw conpaissons pas Féellenert, on force réelie. Bt ctest & wie idée sect adbte quiarrive Heidegger, quand 11 nous dit que co que nous connstasons 1e SSins queI'tdge a plus lointaine po.r nous, ctest i'idéo de la vies Beidesger 1¢ Bit yar Tenotion contre les philosopiios de 1a vie, qui essayaient dtexpliquer, tout Sot Bette lade do view Z) nous dit au contraize quo toutes lea autres formes d'@tre Bert plus accessioles que cette forme d'étre qu'est 1a view Bt nous trouvons une dée analogue chez Hartnanne Bh quitritse eu, audessus de L'erganique, nous trouvona 1a déterainstion dos actos jayoliquee, qui n'est jae soins obucure , nous 4it Hartaam, bien quli) St Site de discusalons, au mothe en spparence, Aeon sujet. Liidée de causalité BNtet peo Sef suffleentes Liidde de finalité n'est pas non plus tout & fait Jufficunte, car lea phonoaines paychiques prennent 1s forme de finalité quant 418 Aeriacnont’ consciente, mais on sait le grand réle de 1"inconacient, et A nous ne peuvens pas applique? compldtesent 1'idee de finalités Lridée de finalité atapplique en xialité mu cinquitae stade de aétermination, ctest-A-dize quand nous entrone dane co que Hartman appelle 1s sphére de 1!objeo-. QOS Ee Wespeie personnel+ Cast a ephire du paychique quand il devient conseients ot je ne eroie pas que ce soit tout & fait 1éeitinesant f iaquelio le Lien entre le coyen ot la fin est eietagusnt le lien entre la @ause ot loo faite, mia renveraésBt l'exoaple Guill offre wontre jlut6t que clest, Aris tote qui a raison, ot quiil y a bien» quand Qe your cherener 2 acconplir un but, simplenent un ronversenent de ordre do la rere de toftetePaur quiil y ait veaisont fim2ité, i] faut quiil y ait vrainent caaee sence du but, st conscience du moyen principal de’ce but. Le reste, par exeuple Gtnnd nous voulena faire un geste, n'est pas forcément conecient, sais ilfext que Yee deux praniere teres eoient consciontse oly Hartoann stoypo Ada thiorle a'Aristcte, mu Ty a un sixitay niveau de détermination, ctest le nivoaa do 1a valeurs Co sont let tarainstions ae velour, ce quion pout appeler lea exigences de la valeure Bites valeurs no déterninent L'agtion quiindireotesent, pour autant qu'une volonts Nelle oo decide on leur faveur, C'est donc que cette sixidwe déteraination en sapligue ine seztiton, qui oat 1a diteraination, moprement ite a . aibe leuseddteraination, autzeaent dit encore iiautononie dein Yelertas Cuan 42 7-4 note volontaine, 42 nly a pas une dtenaination uniqueca eaugnle du sel, uate ii nly a pas fon plus uno exigence Sela valwuty oor esi he suffisit pans ih faut I'ection Gu uy chcialantre fort toue-ches'dertaatn Qt he ost Go Libera ort un ot pote 6 aafontnduy ania jt trun ent atlle four Sctefer quill y lh un factour penitittmnanort de docarainations ff eragine Hus SSEd fp soir cluont et gut pedeleor 'lase de 2ibertce Be onfin, on bastiden ou, 32 y a den formes de Adtoreination arte couitecen fe in’ vie collective ot'do Iiietoizes del) ten forme infetiowes ae. Suternisation interfirent loo unes avec len mitves,, st ee panserent ture Itmutee at en aioe teape luttent avec len ferose low plus’bautes fe actersinsiion. Cette dstorsimtion n'est anno doute pas sano Téglea, mis cela tdpaase notte vision ndividiolle hicsines Ble ra 00 conforse pae toujours, 4t Aartearn, & oo que prévoient la finelicd ot I'initiatSre hinaine. Ceyendntty noas pouvans &ve que la Fendarce Ge 1!home & Snforser le jsootsaus Matoriqsn, & ini donner une forme, ost elle-m8me ici un facteur itiele , x, toutes con fore de abveraination sVinabrent dane in rose au eat 19 proveseny ou teyantty gal get in petoenmis qui oe curtinony #t yee oomné> uot entntGytucgeety Serine lon pr intially copie exigese ye valeurs, volonté, tout cela a & s'adapter a l'ensesble de co que Har le caractére linéaire du devenir, i oe etme Spells gondvad __ Hous’ avons latesé do oBtéyajoute Hartuani pour conclure co qu'il a & aire ta astorninationy un cortain nodbra de choooa Goct neue avons ai fond parlé sana aeabler en parlez+ D'abord, a Iégelité de la nature, qui ast Ia suite dea actions ninalese Biouite, 1a dGteraination anthéaaciquey Bn trelatine Leu, 1a Séterainetion au particulier par le général de 1s species yar lo gemis, qui est ube fore de la seein categoria, of Sot ue aye sonted jar conaéguant quelle ost oujours,plun cu aoine incouplate, juseqlton ne pout yaa aller par elle uoqu'd 1'in~ pettas Se Spe eran one en ss Ye réel elle atest qu'un souent” quboracnné do la diterkination totales” ous aurora & voir aussi que lea coucdea du réal, ou lee nivanux u 26 wu xéal, ou lee niveau a4 x6e1, ont une oertaine dependence los une Yar Papport aux autres,” sane que cette dependence aott ee empty oe Slate automate duvet opsrinarn orn fo ique, par rapport au physico-chinique, une relative autonoale du peye ue ‘par rapport a l'onganiques « * reine infin, 51 fat conciure tout co développaoent par I'affirati rt pur Dattirmtion que les forde- sogts = de bomatansoe set toueure ide Tall att y'a dep endosonte de. roy crovtandise qas Lopiatenlogie dott toujcus @ise fone aur Ivontolegia, sur une considération du réele “ " a nas eae sac ee do aire Hartennns Pout-Stce ainjleoont, gunn ii ous ait qu'il y « dane Ds Soteral= Se aaa nc eee eee pouvens-nous dize que lh 11 se fait de 1a relation une conception iw peu schenatige, parce que, dans la relation elles, il y a ssns doute un caractére dynamiques - [EG Ste tlzrstn pasate ou oy nti tn cera ar pc et de 1": jermination d' autre 'y Pout Stre discutée, parce que peut str0 * ee hie ae -R- Co que nous powvons eteniz, c'est 11dée que nous ntatteignons que le gondvals ot que notre ontendonent ntattaint jamais le particulier dare toute 9a Rieticularite, clest qu'il y a une miltiplicité de déterainations, ot qu'il y & Peo aiveax au Scel dont nous avons parle, quial y a en un sene une nécessite du eel, et on un autre sens une contingence du réele Martaamn a ou reigon de souligner suse’ que 1a vie est un des phénonines sur jols nous avers jusqu'icl Te poine de lunitres, et de wise ausei le paychieme Ta raison dgalosent de nous inviter & dépasser Je déterainions ot 2indéter minteas, et Ge nous hontrer, dane oatte multiplicité de dsterinations, peut-Stre tine fagen denvieager 1a possibilité de le dépaaser- Yous pouvens maintenant prendre los doux autres catégories dont nous avons A vois Itunion et L'opposition, clest-i-dize l'accord et le conflit. Bt de nowveauy avant de voir ce que Hartaann nous it, nous poavons consulter un pou I'kistoire de Je pillesophie, pour voir conmont il pourra se débrouiller en quelque sorte dane cette histoire afin de montzer co que les philosophes ont dit sur cos deux idéeas Nous pouvons partir de Parminide, pour loquel 11 my a ni contradiction ni conflits Tout ost Péei par le prineiye do contradiction, et dans l'esprit ot dane Je reel, qui sont congue coame identiques I'un & ltautro, Mous verzons coment Hartman "oppose & la conception de Farménidey mais pour le moaent nous navons pas besoin d’aller Jusqu’a Hartmam. I] nous auffit do Feit Ia ponade a'iicractite, qui noua dit qu'il y a dans le réel des conflits, et quey do plus, eos conflite sont des contradictions. Ti identifie, & tort dira Harteann, St ENS’ aurons & voir cela, les deux 14600 de conflit et de’contradictich, ot not la fost pas toute I] identifie en nue teape conflit Gtoontradistion, st conflit et haraonio, car toute chose est & 2a fois en conflit harwonie aveo elleofm, et en conflit avec les autres choses: a une solution du problia. Les deux idéos dont Rhus avons & gtudier les vazports, au fond sont d'apres Wéraclite ine soule et afao ise. Hartaan ntacceptera pas cette: solution, et, de nouveau, sane aller jusquta Hartmann, nous pouvona ontionner un philosorie qui ne 1a pas accestias | Cleat, Bapolools, qui nous ait que toute chose est régie ar 1a lutte ot 1a yaixy par 1a Aiscorde, sf l'on veut, entze la discorde et L'accords Done les deux idces sont ‘consrasves une & l'autre, et c'est lour succession qui fait le cours ace 4e Cleat ici que,nous pouvons consdérer ltooure de Flaten, qui s!élive en un sone aurdeasua des considérations précédentes, on nontrant qu'il y a une ephire 40 TNoaprit, une de 1'id6al, et que cos deux spiéres ne oofnoident pas complétenenty parce que dans la sphire de l'esprit {1 y a des exrours ot quiil n'y an a pas dane [Poshire de 1'idéal. Far conséquent, Flaten ouvre notre esprit & 1'idse d'erreury Ge yar Ih A Le distinction des apoiros. Bt il nous dit que dane le wel 32 y a du Contradictoire, dena lo reel sensible, uais quo si on stéléve a 1'idéal, au roo) Gntelligible, 12 nly a plus de contradictoizes A partir de 1d, on pout comprentre que 1idse a'tre et 1!idée do bien pouvent Btre identifies: C'est dans le platoniase en grande partie que Ion pourrait trouver Lfadage acolastiqus, tout Ste eat bon « “Re lo prosseae 74 0 poser dune fagon un vou différente aves les stofeienss jot le problaae de la justification du cal dane Wunivere., qui vase poser, st op atofoiens dizont que dane Ienseable tout eat bony qu'il auffit de conaidérer Ltenaeable pour que tout scit bon, pour que tout apparaisea comme ton. C'est la pmsée do Vbaronie, ot now 2a Tetroursone plus tard, tenucup sind tary chee Entre les Stofcions ot Lolbnie s'est placé tout un dveloppenant, ob we sont placéa plustoure diveloppesnts, et clest 1"in deux qui nous retiendra aaintenanty Je diveloppenent do la science,” in goience nederne nous sontre que le uonde antior feat fait a'équilibre dynamique, qu'il y a des opposés dans a nature, qu'il y a de Wiwpindtrable, quill y a de action et de ia ryaction, ot cejendant quiil yaw Gquilitre, Bt Cleat on partant on grande partie de la science tderne que Taivnis 6lifie en thiorie, et reprend L'antique 4dc stotefenne de I'harmome Gntve lee Stofoiens ot Leitnis eteat placé, aisions-nous science moderns. IL atest passé un autre Gv@nenont, qui est le chzistianism, et qui n'a pas 6t6 sane grande influence eur notre protlie, ais jout-Btre peut-on voir aurtout 1'influence ici du christienteae gur lo Acvelopyenent de la ponsée de Kent. Ca r clest Kant qui eat le philosophe qui a le «eux mentré, lo plus rationnellonont, La. proonce de cartaine élésonta dane 1'univers, cui ns peuvent pas Gtre conplétenmnt haruoniedae Uh deo preniers opuscules de Kant :orte gur la réslité des quantities négativess On sait dlautre part l'isportance du se] couse Tait positif, du ml radical, chez Kant, C'est 1A le premier point, la prasitre idée que nous’ apporte Kante Ia seconde idée air laquelle nous aurona & reverir agaez longuanent, coat celle dee antinosies, Dans les antinoaies, la vaison, 4it Kant, egt en conflst ‘avec elle-niae, ot nous aurone & Voir op que dit Hartuam sur ce points fm trolaiéne Liou, 1a sordle nous contre qu'il y a une lutte on nous entre "Gere de raison ot 1'Stre de nature, VoLlA troia pointa, le troisitae reprenant on ‘quelque sorte le premier, car 11 ya une relation entre le sal et le devoir, en tant Quo le devoir dost trioorher du cal, trois points sur lesquels Kant approfendit la Téflexion des plilosophes Mais Kant n'a pas 6: au out ce aa pense, d “apres Hartoarn, car i a ote trop influoncé, Sot de Marten, par ue penade haruoniete du XVIT® eizcls, on'tant qu'elle so continue, fantail sous-entendrs, Gana la ponsée du XVII sitcle. Ja ponsée shilosophique ne pouvait pie 99 contenter 4éfinitiveont do la vision do Kant. Para les autres philosophies, Hartaam va s'attacher surtout & l'un Atontre eux,qui ont Hegel. Hegel va roprendro une des inves 4'Héractite, 1a prisence de’ l'opyosition au sein du aonie, Ia prseonce du conflit en tant qutopzosition Taura le tort, ditlartmam, de faire des trots ices d'op,oaition, de conflit et e contradiction des qynoryuoe, et ainsi dVintégrer dans uno sphire Logique oo qui dana la aphtre réelle, car il nly aon réalite de contradiction que stil y ay ai fe puis dire, diction, que slily a rapport et jugoaoct, Dano le cel, & pro,ramnt parler, il nly a pas de contradiction, mais conflit. le tort de Hegel serait, d'apris Hartaam, ¢'avoir identifis conflit ét contradictions Yous nlineisterors pas plus longtemps sur cette histoire préliminaire des Adee de conflite ot d'accords Il serait pout-8tro intéressant simplesent de mntrer La présence de 1'sice de mort, qos est un signe de la presence di conflit dans noize expirience, dane la yhilosozite ‘contoaporaine, che: Seidegrer, et nous azvivons a ‘thine que nous Studiona eujourd"bul ,weissoont, clestmi-dire au thine de Hartsam tant qu'il nous montre le conflit réel & 1'intériour de L'expirionce Yous pouvons maintenant prenize ce que nous dit iiartmann luiwnfue. Bt ce qu'il nous aontre dtabord, c'est que, dopuis les Stofcions, 1a mitaphysique a teajoufs sosayé de mntrer quo 1"inperfection est une apparence, que ce sont saulenent les Linites de la vision humaine qui eupfchent de ssisir I'haraonie du monde. Yous retrouvcns cette iaée au XVI ot au XVII® siaclosychez Kepler st chez Leibnizjet lo XVII" sidels, nous dit Hartsam, trouve de nouvelles voies dans 2exac titude nathcatique et dans Ja critique de 1a connaissance pour aontrsr cette barsonie dane le zoale Or, artaam n'accozte pas co qu'il appelle cotte vue haruoniste au monde, come Al Sit, cette vue dlaprée laquelle il n'y a pas de conflit veel @ 'intoriour de lunivere: On prieuppose que 1s contradiction est 1e mauvais, le désaccords, ot ‘gua, comme noun le raypeliona tout & I"houre, cane ens est toms, et que 1a contra Auction est impenaablodlaia nous rouvors faire £ c8 sujet deux cbservations, nous ait Hertisann, Diabord que bien souvent 41 y @ doe exroure dans notre ponséey que notre penaée oat pleine de contradictions, et que le principe de contradiction ne prend sa Yalour que parce qu'il a & lutter contra les contradictions qui sont dins notre peneces Ia loi de contradiction ne régit pas 1a ponsée par conséquent & 1a fagon dtune Yoi de Ia nature. Ia ponaée neat pis sounise soulonant A la légalité logiqu Notre pereéa, nous M'avons dit, eat sousiee & doux légalitéa, & une légalits peycho- Logiguey qui pout fort bien wener & des errours, ot & la logalité logiques ot il y ‘a done Conflit au sein de notre 1écalits elleatm, et stil nly avait jas ce contlit, Le principe de contradiction ne jouorait jas le réle qu'il jouoy Le principe do contradiction n'est donc pas une loi de Ie pensée, sais, nous Git Harteann, une loi de 1'@tre idéal, of i] n'y a pas de contradiction Mais la ponsce n'est” pas sounise jar elleaice & ce principe, ou nly est sounise qu'en tant Quelle vicléve & I'objectivite, et exée en soi, an coneidérant 1"Btre idisl, lordre at Ie caus Voilh done une presiére préaupposition qui est fausse, & savoir qu'il nly a ae do contradiction dans notre yens6es I] y a une seconde ofroury c'est 2a confusion fantre le conflit et 1a contradiction, car 1a contradiction ast une sorte de conflit, fais tout conflit n'ost pas contradiction. Le contradiction eat un conflit d'une nature jarticuliére. Come je 1'ai dit tout & 1"houra, ce nest que 1A ob il y a. 00 jugenenta, deo parcles, doa dictions, qu'ii pout ¥ avoir contradiction. le contiit ne conduit ras ferednent & la destruction des forces on conflit, comme 1a contradiction condult & la destruction du ‘tugouont ob 11 y a contradiction. Ainsi, nous youvons dire qu'il n'y a yas de contradiction dana le réel, mais cola va an quolque sorte de sci, parco que dans Je rel, tel que nous essayons de Ja saieir, il nly a paa de dugotonts la contradiction et le prineije de contradiction ne sont que des Gatégories Subordonnées, qui concernont equlenent une apkbre secon Gaize, 1a aghére des connaissances ‘Ainei, nous nous rendons coapte de cea deux urdeuppositions _ faussea, & savoir quid! n'y a yas de contradiction dans notre panda et qua Ie conflit et Ja contradiction sont identiquese Yous vayons qu'il pout y avoir préaance do conflit fen oboe tonya quo a'accord, au sein de Ltexpariences Le conflit pout se maintenir, aTaccontuar, et oamer A la destruction, o1 80 dissoudres - Be Hartaamn reconnaft quo le conflit ne peut pas dominer seul, Tl va atmo jusnuta dize, et nous aurone & discuter aur os point, qu'il doit y avoir une ‘naronie qui’ surplonbe, pour ainsi aire, le conflit. "Bt 1a nous pourrione nous aovander "12 ne tonbe’ pas dans 1a préjugé harworiate qu'il discute dautre parte Nous. pouvons voir qu'il y aura différentes sortes d'sccords at de conflits, suivant les couches du riel, de nfo quo nous aviena vu tout A 1"aeure, pou de catégorios toutes différentes, dépendance at aéternination, qu'il y a 4iftcrentes variétés de dépentance ot do détorminations, ous avons dit d6Ja que 1a sphére de 1a connaissance est pleine de conflits, conflits qui résultont de la multiplicité non donince de ce gui nous est donnée An contraire, nous avons ait que la aphbre logique et la sphire idéale n'enfaraant pas en elles de conflitss Le concept auit les lois de 1a logique, tend & exclure 1a contradiction. Il fait de Iexclusicn, de 1a contradiction une condition minicun your la saisie du réel, et il a raion, ais & part certains yrobliamess Car le conflit lost pas contradiction, Goct una fois dit, ous youvons voir lee aiffénvrces ds confiits, ouivant tee couches ds realy 2 €'ab0St, pour Sino dizey en baoy 2/cnpénstzabils Satire, Lo choc st ls cartfectos, d'action ot la siaction qui font 1 dpnaigieey souvanta, de tout ce Sul est mtériels Zi'y a uo lusco entre dae force Sirigées Thuno contro l'autre, st I'équiliere, le parntole du projectsiey 2'allipas ‘que garoourt un autre, sont lea jrodilta do Zeros aus sort en toseion tune none Tautros Cos squilibres sont deo equiliores fagiles, pance que co Qu'il ya au fond de toun coo squlliozes et serriize tou cos Gquilivres; ti y‘a we Snergio qui nact eo conplatenont doaptée (come le sentrent lee dclatesants atonituen)s ot aut oane Geeee tand & prendre de nouvelles formen Mais, au-densus de co domino physique, nous trowvone le donaine organique, ob Jo conflis prondra finalenent 1a form de la tort, git est la renoreiation & Ltéquilitre dea forces constructrices et deatructrices. soi~dessus de l'organique Andividuel et derritre lui ot dosscus Ini, nous trowons Morganique de l'esvécs qui fe continue, ais o) 41 y @ aussi une wortalité wositle, car 1'eapice paut disparattre Au-dessus de Dorganiqué, nous trouvone le paychique, et nous vayons formes d'équilibre sont encore plus fragiles dans ce doaaine:peychique que dans le Aonaine précédents Crest ici que nous trouvona les plus grantes oppositicns. Bt ctest a 1a hauteur de 1'Btre epirituel, nous dit Hartnann, que le conflit pend 9a plus grande acuité. Lantagenions des intéréte n'est jamic conpletenont dominis TL y 8 des conflite incessants entre Iirdividu et 1a société, £1 y a une exigence a’éqai~ Libres sane cease nouvoauxe Bt si cola ost vrai dane ls vie de I'individu, rela est veat & fortior! dans 1a vie des pouploes Audanass do cela, nous avons Je conflit moral, at nous avons ait, en parlant de Kanty2u'it y a 1a une double diternination de I'hemde, Lihouna ast tre de niture et tre de raison, come dit Kant, 1 est sounis, dit Hactnann, a la acternination réolle et A 1s determination idvale, Ctost 1 qu!intervient I'erigance des valeurse Ht clest id qutil ne pout pas y avair, & propromont parlex, équilitre, parce que) 6 ‘nous obéissous au devoir, i2-ny a yaa, équiliore ontte le davoir et co qui n'est pas lui, 41 y- une gorte de décision ultine en faveur du davoiry du moins telle ost 1a thdte kantiome (1). . (1) dane que nous disions qutaudessus du moral, 11 y @ le logique, nous pouvons Nous avione dit, on suivant une indication do Hartnarn que, rarce que 1"homne commatt d'aberd le conflit & 1'intérieur de Iui-nfne, et come i! voit le caractire {inits dee conpronis, le fait que les forces ne sont’ jansis cocplétenent harsoni.éeo, il otatt naturel que’ I'idse de cenflit prft une trds grande inportance dans Gévute, vt dda le début do 2a philosophie, Bt-c'est & partir de ces lus hautes forme’ do conflit epergues dans le domino humain, quo certains rhilososbes, en particulier Bézaclite, ont congu 1'univers dans son ensenbles Nous rappelions que pour Héraclite le confit, 1a guerre, WereHos est Le pire et le foi dos choses, que le conflit n'est pis soulensnt destruction, sais Contraction of ordre, que Itharaonie n'est pag wn second principe qui viendras Se poser & cOte du confit, male qu'elle ast identigus avec le conflit, qu'elle est Fysterieuscsent cachée derridre le conflit, dans lo conflit lui~afe, qulau fond fice folie ne fait qulun avec lus Nous reviendzons tout & Ltheure aur lee aéfaute que Harthann voit dans cotte conceytions Ge que rous pouvors dire tout de cuitey clest quia cotte conception en 4 sucosds une autre, qui aat colle d'Bspédocle, colle de 1a suite ardomée du conflit ft do l'accord dane L'untverss BayGdocle, 4:t Hartuanny a reconmi 1"opzosition des Sour categories, a Gnonce ce rapport sous uo forno nafve, csis fondanentale, en Gioant qu'il y @ une succession do la guerre et de ln jeix : qu'il y a oppoaition Gntre In guerre et la raix, opjorition entre I'ezpesition et 1a non oppositions, Entre Yo confit et Iaccord, i1'y @ fin conflit d'un ordre plus hast; ot Iaccord et le conflit doainent tour & tour, et ce jou, cotte action et catte Riaction du conflit et de L'sccord constitue le Cours nse du nondse or cette question, énonoce par Héraclite st jar Hapédocle, nous 1a retrouvons ‘tout au lorg 40 linistoite de 1a rhilosophte. Coment 1a résoudre? Certains Shiloscphes yensaront quo clost sar 1'1aée de 1a oofnsiderce 4os ozposie quton peut Ja réscudres Nous trouvons 2a toute une tradition qui ao joursuit chez Nicolas de Ciso, ruta dane Schelling. C'est dane 1a cofncidence des opyosés que résidora 18 solution du ;roblimas BY nous retrouvons le probléne au centre de 1a yhilosophie de Hiagel. Hous verrone égalezent co quo Hartnamn a & dire de Hegel, et consent 1a coneiitation que donne Hagel, la aynthdse en tant qu’effort pout concilier 1a thbse ot Liantithass, me Io :arafy pas suffisante. De sorts que nose pourrions, si nous faisions Iaistoire de cette idée dee rapporte entze I'barnonie at le Adeaccord, dire que finaleent, avec certains yensoura Gent Hartoann uioline, et, avant Hartaann, Mietzsche, d'une part, Janes e% so" oatere Renouvier de L'autro, montrent 1'inportance du’ désaccord et 1!imposeibilité ature harconie compldte Nous avions ait que Hartnarn voit dee dSfaute dans 1a solution apportée rar Héraclites Cecte solution gériala, ditail, ata quiun dcfact, ctest quiil aty plus de Giffcronoe entre le confiit riecls et 2e conflit non réaolus Puisque tout conflit est en afte tenga harmonie,tout conflat est corflit résolusll ne peut y avoir de conflit im ‘NecluMout conflit eat aa sropre solution-Or,cola peut tre vrai en un-gens pour lee Q) Yous, dive que lorsque nous abordone dane 16 apirituel cola, du spiritvel, aut Seisit ia logique, et 2 n'y a pas do compronia yoesible + il he out y avoir ford quo si 1a légalité peyholorique code A la 1:galiti logiques ais, cone oe juewonte sezont toafoure des sccomzliseosents d'actes ysychiques, et comme His ont toujours, vou fordenent, un entrolacecent trés compliqué d'actes quit joo gortent, cot accord ne jeut sussister quo dane des Linttes trés stroiti ae forces inférieuras de conflit, ob il y a dos Gquilitres dont on peut dire qutils sont A la fols forces en conflit at forces cquilibrées. bis, dit Hartmann, ce Riest pas juste pour les Zornes mupirieures, car 11 y a dvs cas ol le conflit ost ti grgve que les figures dane lesquolles 92 groduisent ce conflit sonbrent, sont Gitrattes, disparaissent, et par consdquent le conflit n'est pas foreduent” haxconies Rous voyona, quand nous congultons 1histoire humaine elle fae, que le conflit n'est yao picascaireaent harmonies Ge que nous voyons surtout, & partir du Piveau orgenique,ctest que tout oonflit ne 9 résout pas, et qu‘il y & une pre,ortion Incaleulatie des choses qui eet Adchinée et ditruite par Le confit internes a teraes catigoriaux, pour reprerdre le largaze de Hartmam, cele simnific que Mharuonie est autre choge quo le conflit, quo tous deux sont en oppositicn, ot fein a'étre identigues 1'un a l’autroy como disait Héraclite, ile eo ropouscent [han Iautre, Rous somes done rejetée en quelque sorte a'idraclite vera Bupédoclee Bt le problém alors ee pose de savoir coment i1 pout y avoir & la fois cette pix St cette guerre? Pout-on dipaseer cette succossicn qu'Bapcdocle voit entre 1a paix ot Ia guerre? lest tet que nous gouvons trouver 141460 des oppositions Maia cela no résoud pas coaplatozont le problémes Clest que cette idee de la cofnoiderce des Spree, tolle qu'elle se voit chez Nicolas de Cuse, ect trop simple au fond jour esoudre le protlice, et nous eoanes anenéa alors & exaniner 1s solution de Hagel, ‘ah eat woine simple. lle ost moins siaple, ais on un certain ons elle est coyentant trop simple, parce que Hegel» Sdentifie un certain nosbre de choses & tort. Il n'a pas asses Reparés ait Hartuann, "opposition et le conflit, Car co n'est pas forcéaent 1a uso ehooe qu'oppositicn et conflite Des teres oppose sont on quelque sorte yarente hands autres Dos forces on conflit ne sont pas forcénent parentes l'une de Ltautre « Done 41 y a une diffcrence entre opposition ot cor-flite ce neat yaa 1a seule identification quiait faite Hogel. IL a égalesent Adentific oonflit et contradiction. Or nous avons ‘vu que contradiction implique Giction, clost~a-dire inplique jugeoent, implique fait de dire ot de Jugers Ainsi Hegel a donné & un probleme réel L'apparence d'un probléne logiqu Gotte double identification fait que la théorie do Hogel n'est. pas satisfaisante, Mais i faut reconnaftre que Hegel a cu le crite a'svoir découvert beaucoup ao ormes authentiquee do conflite st que len eynthbeos qu'il nous presente ne sont pas fougeure des solutions coaplates de conflits, do sorte qu'il est plus ouvert & ade de I'irscductibslste des conflits qu'il no le seuble, Bt on tout cas, il a onteé d'une fagon qui est conforne aux phénonénes Mordonnance dea conflite & TMintéelour deg accords qui constituent 1a ueture elle-cime, et la réalité elle-aBose A partir de 2d, nous pouvons entzer dans 1a théorie de Hartmann, clest—i-dire ‘voir qu'il y a uno actie croissants de formes de conflits, & weeuré quo Ion va Yere lee lus haute dtagos, vers los plus tautes sources de 1'stants Bt cus conflite Grolasent & la fois en miltiplicité et on profendeur, ot on nfm teape que slaccroft Set clasent de conflit s'accroft la valeur des fornes d'accosd qui Jour correspondent. Dono, i la grandeur orciesante du conflit correspondent de plus hautes foros @raccords Male il no fu.t pas croire, come L'avait cru Béraclite, qus cos formes Greccord solent identiques avec le conflit, et i. no faut pas croire non plus que le Gonflit soit toujours résclu dane 'acoords Autreaont dit, il est isyosible de fonier - Be lune théceie ataprés laquelle Ie conde gerait bon dans son ensosbles TL eat impossible, rane fagon plus prgeise, d'Jtablar une théodicée, Tout conflit no 90 résoud pany Guol sulanait pensé Lesotiz, en harconie, dans le dosaine de L'hoase en sarticulier, Gans le Jometae de L'hireta, cane L'histoire, 14 y« un suroius de conflate non doninés, cur lev forces qui vont Lei on coaflit sout, jes forees sovvent hétéro~ Genes, ct lene recon p’sst pas tonné ¢ L'homne, et est pom Ivi une tena qy'il foie se proposcr. ect tw ptterione ov run erope _artuny ine enna oo see Se a ea at EU a a naar esr fon rier olen set A ote tet ead all comes Eases See nce toe re fs UD Seis eetie oie sence’ gerne ne uctnn thsi oS Shan sun net Sons ceric eh gee Seine arate Oe SLE Satiheme tat con madre tlie oe elles UA ES BOD sad Sry aa ste sain eon ee eo do confit, nous avona & dtudier un problitzevait Avant a¥abandomnes 1°86 ft qui eat un jrotlime relatat fut dgaleaent trea important dans 2a puilosopai faa conflity clest le grovléne des antinomio: le prébline dos antinoaies, otest L'cnoncé dtun confit eatgorial qui vast pour toutes lea apaires ef jour toug lea mivesux da Téel. On.ne pout pas placer co PeGbléce 2 un niveau dsterainé da reel, ien quo choz Kant, par exeaple, les Untinosies soient placdes au niveau do 1'idde de aondo, st” apparaissent come de Miture cossologiquey apperaissent come valant pour 10d niveaux infériours de Torlite + ai d'en pense qu'auedessus de co aonde, tel que 1e congoivent Ie physique et Lentendouent, i] y a un autre wontes Ctest done & yartar de Kart que nous pouvons consadérer ce probléme dob antinoaivss Bt nous pouvons nous Tappeler que doux yhilesophes opposts ont offert une Solution au probléme kantien des antinosies. Hegel d'un c6té, ainet que 10s Gntinoales sont lee signes del'infinitéy Ronowier de L*auwze, insiste our le Garactire fini de I"univere st jones rssoudre ainsi les aptinosios, ot nous verrons Grl'kirtoarm eo placerait plutot du c6t6 de Henouvior, qu'il ne cite pas d'ailloursy que du cBt6 de Hagel ee antinoaies authortiques, nous ait Bartmam, gont celles qui ne peuvent pas Séze résoluess Par conséquent, nous savons dés L'abord que nous ntavons pas & Ghoschor Ie solution des antinogies,oar trouver une golution des antinosios,ce Gorait dire quid n'y a rcellemnt jae d'antinoaiess La solution 4'un conflit Jar la conmaiseance Mun état de choses réel qui nous parnsttrait de résoudre le Eontlit. serait 1a dconstration que Io conflit n'était qutun conflit apparents Ta solution sezast alors 1s suppression de Iantizoniee co que nous vonons de dirs ast simple, ait Hartuans, mis ne suffit ras pour nésoudze la question de eavolr si les grartea antinonies cossiques sont des Bitinonies reales ox si elles viennont de la genase. St 12 faut, reppoler In solution de Kant pour los dour praaidres antinonies, celles qui sont relatives au. counencenent eu au ren commencement da aonds, & la divisibilité ou & 1!indivialbilite du monde, Pour Kart, dans coe aaux prewitres antinozies, lea deur solutions poositl Gout Tentendevent gone toutes lee deux fausses. On no feut dire du monde ni qu!il Zum comencecant, ni quill est ars commencenant, parce qu'il faut critique ‘usage mise de 14iace da onde ~ 39 Hartnann nlost jag eatiefait de cotte solution, yourtant Gligante, at pautstre vrste, de Kant. Co nest pss uno aclution dit-il, male 1'évanoulssenent da L'antinonies Kant a fait dvanouir L'antinosie et no 1's pas réaolus, car couont poutwon dire que Le probline 44 comnencenont du uordey ou colul do 2a divisibilite ou de 1'indivialdi~ Lied du monde & 1'nfini soit un faux probléne? On pout refusar un probléne parco que lest un faux jrobléne, mis ce refus du protlime ne peut pas étre considéré come tine solution, et il fauivait, pour qu'il soit considéré cote une solution, que 1'on ontze le fondement de L'2lisien siz laquelle og probleme est fonAée Hous’ irens th mot dana un inetant de la valour de cette cvitique do Hartoanne Quant aur troisiine of quatriine amtinomie:; celle qui porte sur lexistence do 1a Liberté, et dont un: torme ncus dit qu'si nly 8 jas dacte de Liberté, et que tout est diterming ai loin que I'on reso Asaa Ts enatne des causes, of l'autre qui nous dst qu'il ya Liverte ot qu'il y adee commencesonts abgolus, ot I'antinouie ui nous dit qu’al my a pao de crvation du monde, et dont Lautre terae nous dit qu'il Ya creation du mona, toute cptte double solution dea doux antinosies, au Liou d'étre fausse, couue o'était Ie cas pour les dour premitres antinonies, est vrsie suivant le point do vue oli on so placera, suivant quton ve nlacers au point de vue du nounine ua point de vue du phénomines Joly Hartmann dit que clest pout-ttre juste, wie que cola Aiyend du point de mie _aitaphyeique de Kant, do. toute ea adtaphysique, quton nlest pas foreé junit! powel ordre dlacceyter, ef quten ce sena on no peut’ pas regarder les antinosies Seone résolues par Kante 12 reconnatt que, par exengle, pour le problane de la Liberté, 11 y 9 chez Kant un point de dopart real et profond pour 1a golution de ce protléae, cai, dit-tly ce probléne ntest pas résolue Nous pouvons dire tout, de suite que la eritique que Hartuann fait de Kant ntost pas complatonent eatisfiieante, car Hartmann nous dit qu'il faudrait uontrer le fondenent Je 1'illueion{e: on refuse & la fois la théve et Lantithdss pour les dour pronidres antinozies. Maie Kant pense bien avoir uontré le fondenont do 1!iLlusion, Qui eat dena 1'idce da conde + Qui est, plug exacteaont, dans l'application de Liiase du none & L'eneewsle doa aénectnes donnie yar lexpérience. C'est donc ce Fefus de 1'idce de uorde qui fait qu'on ne pout pas se poser le question de savoir ‘31 Te conde a un comancenont ou n'a pas de commencement. Donc, il y a réellenont, Je ereie, une solution valable des dour preziéres antinoaios chaz Kant. Quant aux troieitos ot qustrites antinomies, 12 est vrai que Ts solution déyend au point de vue métaplyeique de Kant. Il s'agirait alors de savoir ce que vaut ce point do wee ais contimons ca qie nous dit Hartmam. Ilya, dit—tl, dans lee antinonies lune forme fondasantale du conflit qui e’applique au sonde’on géncralyet qui prend Place & cbty et au-dessus dos formes particuliéres 40 conflit qui peuvent axister bux différents nivenx du réele Aine’, nous l'avons 4éja dit, ce n'est ras 4 un nivea particulier du rgel que e2 pose le probléme, c'est & tous leo niveaur et pour tous es niveaux du réels Ca que nous avons Ait, & savoir quo los solutions ae Kant ne sont jas eatiefaisantes, daprée Harta, suzconto dij 1a probebilits qu'il y ait 1a des antinonies authentiques, clest--dire insolubles, qu'il y ait 1a cette fore fondanontale de conflite lias a question n'est yas encore résolue couplétensnt yar Idp car il y a dow posuibilites, dans le cae oi les antinozies sont insolubles, Elles peuvent ~~ Biro inoolubles parce que notre esprit est constitué de telle ou telle 870M; oa. etige teuvent Sire ineolubles parce que le conte, si on admet momentandaent 1346 de monte, est oonstitué de telle cu tells fagone sory sone ce ria mat pt ti uno RL ELT a ere a ho eS ean ruin ete Niggein i eral let tear apa pet oe Gar ee a Sea “aie tiene ire i Pater i sigs nana tha tte ta deuritas branche de L'altornative consiste & aire quo le monde est, pour prenize le torae dont ee sort Hartonm, disbarmonique et dissonant, et que notre renee eos Geant sowise au principe de contradiction, ee refuse & saisir lee a ee ee conflity telles qu'elles ont dina le monde, car elle congoit les conflite sea setee de contradictions, ot par 1a s8ao n'arrive yas & saisir le rvalité du Confit qui eat bien dans le’ nondeo sea. wna ee has ae ed sca a cee ie Ss ac Sen Bas et etal Set spe nate hin ietaiy se alpen eran meer teat oun i Rub DA Satta come i eas, clesteidire for, ait Hartam, 42 y a omuccup i dire on faveur du deusltae cas, c'est an taveos’ aa itive quit y 4 réelloomt confiit dara Te sinday st qu'il y 0 lt ae ics niarrivens jar b aaisir, parce quo notre pensie ext enierace uslous chove sMtsop atroites iar le principe de contradiction, «ue 2! apparel) dare G00 orret tre conmniseice ne cofnoie ue fartiellesent avec le pesnoiye se Se seer a ae rere yce qui age conforce A la eritiqua, ot mine & 1a critique telle Liane Cente vee h partie de Kents Il pourrait dove y avoir dee foraes a" tre saree ee eoracfianabies parla connaiagarce, 11 est bien poosible qua ce soit gus me sotent ie Matrosla dvaarant plus que I'entondenent congoit le confit comme oe ae neat gue nous avons wu qu'il y a une dizference entre conflit et contradiction. ere rei it iy 2g go tha cay in ac I elit REE tant 0 ape castes pula De tte uel el rs ge se re cape te ch hh ak sn en ert siege Oa oe a ais SASL utr ot too branche 49 Halters Pea & pouy Hartsann essaie de nous prower que 1a dyuxitae tranche native ret joread qui eet protablonant le ous Téel. Cary #3 nous exaninens Te suite ative eee cau aonge feel il y a des conflite mltiples ot surtout & 1a kautour de seaurii apgelle 1'ttre ania, 1'Gtre paychique et 1'étre spiritual. Par eronple on nove~aiaes, nous saisissons des conflits réeles Bt 2A nous pouvons nous appuyer cur Kant, 41 y aun conflit bien souvent entre le aésiz ot 2e Ree ee a eetiie de cotte double determination, détermination yar le désix ot Aeron ation par Je deveir, & D'intcrieur de Ihouse était i1lusoirs, on supprineral (tine! I"hoame comp tre responsable in deuxidag Lieu, on a essay de résoudre les antinoxies kantiemes en let Me ranenant & une aoule antinosio, qui est Iantinonie du fini et de infin, et on donnant 1a prépondérance & 1'infini; cfest ce qu'a fait Hegel. lais sur ce point, Hartmarn, coane eur plusioure autres, n'est pas a¥accord avec Hegel. Car lu quastion, Ast-Al, ce nlest pas Ta quastion de infin; qutune série soit finie ou infinie, il faut 6 deaander si elle commence cu ei ello ne comzence pag, st l'antinomie ne porte Jas essentiellenent cur le fini et 1'infini, mia sur i'i4de de consancenente Que le promter entre de la aérie eoit & une distance finie ou A une distance Anfinie de nous, pea duporte. Il slagit de 1'idde de gremler mastro do Ia adri ‘ot cost & cause de cette die que Je rapprochais au début Hartman de Ronowiore Le probity du premix tore ee poss de toute fagon, du socent qu'il y a sériec Du reste, 41 ne ae pose yaa forcdnent d'une fagon touporelle. Il ne stagit pes ssdlensnt du problime des promitres causes,aais ausai du probléoe du fondenente Toute chose eat sur le fondezont d'une autre chose, Tout fait ge fonde sur wn principee Co sera du moins une idee de Ia shilosophie olasaique, eis on ne pout pas aller ‘ings & L'infinis Il fast, come lv dieait Aristote, s'arr8ter, Du monent qu'on ouploie cette idée du aur le fondesont de, 31 faut qu?s1 y ait quelque chose sans Fondewent, ot on voit que l'argunont a'aristote se tourne ainsi contre les conesptions AtAriatote. Tl pourrait peut~Stre se rapprocher dans une certaine mesure de certaines vues de Sartre, par exomple quand il dit + "Du ment que je suis celui Qui justifie tout, Je sule injustifiable™. Tl y a cortainement une purenté entre Sartre ot Hartmann sur ce point que In chose ultiney o@ sera une chose qui ne pourra pas Gtre justifice, dit Sartre, qui ne pourra pas tre fondde parce qu'elle est 1a Sontingence absolue, dit Hartmanne Kant n'a yaa vu, ait Harteam, le grand peradare, & savoir que 1'étre infins et absoluy co nest jus 1'Btre néoosoire, clest bien plutét un Btre absoluzent Contingent, parce que ce our quoi tout pout Stre fondé ne peut jus lui-atne Stre fonté, Bt on voit que ca n'est jaa we antincaio do a raison, du coins telle ‘est l'agfiration de Hartmann, que c'est parce qu'on fait abstraction de 1a connais ance. Il stagit de In réalité, mous somes on face d'une antinoaie de 1"6tant. sous arrivonis & ootte conclusion qu'il y a un conflit dans les fondenents catégoriele do 1'itante Bt ainai L'antinonie est bien quelque chose de réel, et, Stant quelque chose de réel, elle est insoluble, Tonter de nésoudre’ L'antinosie, clest ne yas veir le problene On voit sur ce point 1a fores de 1a ponsie de Hartmann. Nous avons ait qu'on ‘pout d6fenize Kant doa reprochas que lui fait Hartman. On peut dire aussi que le PFobline Teste do savoir si nous powvons bien dire que cette antinonie est dane le éel ot non pas dana la conmaiseances parce que cette idée de fondement dont yarle Hartunnn suppose un seprit qui dit que Lop choses ne pouvent Btre que sur le fontemnt A'autre choses Cette idce de fondonent implique l'eaprit. Par conssquent, $2 ne pas trie facile, je cxois, de pousser le rialiene aussi loin que le pousse Hartmann. Tes antinonies »*appliquent & quelque chose qui vient do Luunion e du conflit, en atm teape de l'eaprit ot di réol- Tl vout loa mettre couplétenent dans le réely et Je the sais pas ef c'est possible. Elles vierment de la jonction ot de 1"opposition de Lesprit et au réol. 11 y a dono yout-Gtre plus rapport a 1a connaissance dans les ‘antinoaies que ne le pense Hartaann, et le dileme qu'il pose est peut-Stre un peu feinple, ou ai Ion veut artificiele TL y aurait ausei A voir co que veut dire 1idée de coomencenent, ot ot cotte ide n'iuplique pas dlime cortsine fagon 1a présence aun esprit, your dixe que elle série commence. Y a-t-il des comencomonta? hi quel sena y at 1] des Conmencenonte? Ht quidet-ce qulun commrcemnt? ly a, disait Hegel, une =e set emmy in i me eis em eh ie sae hi cicantr oe aos 2 os coi ades some ee ees sit ee uo oe oct te St ries he atin eens est Sab ta ne i oetions & sculaver, yarce cuoy ate 1a sf noun murions encore quelause quest . pour 3 mill pa contingentey 1 faut dion aie qulit y a necaooité, st our dire auso! qu y ae Pe past dvesfetes Ht nous’ne pouwora yaa Ton plus dlsseeior complstacent Ieairit St io Wiel gu'dl obeervoe Vaaportant daha cotte 14 atune factiotté, danoina, 42 y a quelgue chowe a'saportant date cott Ect comme du toggesy Factiotse Teninntale par sapport & quot tout ov actamsines aves ootte difficulté Nous arrivona uaintenant & daw autres catégeries, ‘ qu'il y's un tore bien difficile & traduire, otest 1a catégorie de élécent, st 1 Getégorie Geflige, que nous traduirens par structures dlensomble Le monde eo @"ensenb le. , Jon ghitoeophiqny ot sae un soanoe on pounce tu ty Sang a apdeulationputloophigey ot spslonehtaaes So atl fe none Be erg 20Uancty on voit oy Le tie oot Fe eaet a ctont In posts op partition de Dimeriten Ca Glonrtay serrate doe saan “ie Tamearty lone de yur ql y aden totlstine oe oa es corite gus hou devo Twonunis; tae A See Jatloeomien © Platon ot Aristotee aaa yuna ateg meds: iy Sees ae med Feueceeme tg tom. cm I ae sete eau eh eS eae haa Sea at ltt eae Bye ot eh icon este hr tte oh Eat frees acest ere oie aes at ty SS See 2 ee ee om ah te Gps a se rose, ices ie ni tr ee ee eee ee een Dn ET es corre ae Si adeno cena evan Orie, he nen 2 Euan Sasa oer ere ene ee her aeaoese scr ee etalon wing te a rare 8 hex Bergeon ot chez Whitehead this aprie oos quelques notes Bistoriques, vevons oe que nous ait Eartsann de cos deur catégorios opposées st ices l'une & J'autre, do élimmnt et de struct Aoneonble, deft ous 1e confit tons dire un pau a mise chove que co que nous disions, your : ctont adits" gcs tous verrons Ta grednaimnncs de Ia structure dtensetile, & Cafe, 745 come,nous avons vu la prédominance au conflit, surtout dans 1: du réol, oar 1d, d'aprée Hartmam, ily a dee figures relativennt forases, les Figures’ cu images, Gebilde, qui sont tressces jour ainel dire dana leo proseas sais qui ont cependant une’ certaine autancale par rapport a eux et gut déterainent en partie le cours des processus plus bautes couches Par consequent, plus nous wontons dane e réel, plus, d'aprés Hartaanny car je crois que cela'peut Stro discuté, nous voyone la prédominance de 1"isée @'ensonble. Bt 41 y a une constance, constance linités, mais une constance capendant de ces imazes, de cos fornes détorainantese Yous pouvons dire que cette structure d'enseuble, Geflige, est totalité. mie st pas suffisant, parce que le at totalité est trop quantitatif, « trop favec 1a quantite I] faut voir que dane le Gdflige, ily. a 1a’ foie totalité ot atmucture Bt on voit bien cette différance entre totalité proprowint dite et structure Atensonble, i on ve rend que, si une partie disparaft, Ia totalité, en tant qu'elle est totalité de toutes les parties, disyaratt, unis 1a’ atructure d'ensonble ne @isparatt pes foreénant pour colae ainsi, il n'y a pas équivalence entre cee deux idéeae Hartmann note qutau lieu de dléwont, on pourrait prendre le sot toubre, lied, tun c8té los membres; de l'autre e8t5 le Geflige, oar ose nous contre que Les partion sont plus que des parties, ellos sont actoraintes, quand nous disons noubres ou organes, déterminies par la place qu'elies ont dais l'ensemble; elles ont une fonoticr Bt ce aii eat caractéristiqua, c'est quo la structure d'ensaable eat reaplacer la fonction d'un de ces cléwenta’ par le fonctlonnement Aun autres st ctest le. shénonne de rininiration sur 1eaunl log bioloristes one attire L'attentior, 2 oe git concerns 1'Btre vivant. sais quiausas loa parties dépendent di tout, et que clost is relation inverse & celle de totalite qui ost présente ioie Sang doute, ajoute Hartman, clost 18 dire un pau tro: car 4) y a salen tout une dépendance.de 1a structure d'anseuble par rapport & ses élénertes St dane os plus hautes structures 'enseable, on ne pout séyarer de la structure d'enseable aMmporte lequel de ses léuonts sans ébranler et faire disparaftre yarfois 1a structure d'enseable elle-afse. Mais en tout cas, oe qui est important, nous voyona que ce sont oine les énerte que leurs rapporte es uns aveo les autres, ot leure vapperts avec la structure d'ensenble. Done une structure d'eneendle’est un type d/unité selationalle Qui détermine ce qui est compris on lui, et ootte structure d'ensenble est mina le aystiae ou l'ensonble des dlénents que le ayatéad dé loure rapporte et de leur Aépendance réciproques. C'est un ystéap dé relations. Cos relations du moins dans {0 que nous avons appelé 1a sphire réelle, pour li distinmuor de le sphére legique et de la sphire do 1a connaissance, cos relations seront dee ra or 1a sphive réelle, nous nous rappelons qu'elle est caractéris ntiellemnt’ par le devonir teaporel. Dans 1a sphére réella, le devenir teuporel est la forme a'8tre Générale, et yar conséquent ici 19s atructures d'eneonble eeront des systénes de Processus, seront des aystines d'impuleione dynaniquese Yous voyons que les élénente nfont pas do priorité sur la structure d'enseables Parfois ile peuvent exister avant, comie lee stome existent avant 1o9 aolscules Gans les combinaisona chimiques, uaia ce n'est pao nécossaize. Tle youvent avoir Laur AStormination & partir do 1a structure d'erceuble, et clest lo cas de! l'organisne, Plus nowt wonterons dane les niveaux do la wWalitd, plus nous verrons qu'& Acterainatson de 1a structure d’ersenble par lea éidnonte ge gubstitus le ASternination (dee dlinents dane la structure densexble. nsenble aiffergraydtaprés Ta aGpendance ou ‘dlésonte par vapyart A elleyoar lea fores inferisuzes dee structure Atongeable sont calles des rayports cheo qu: persettant de. nowoaur groupenents GGiémonte avec des typen Aursté sexblables~ aie plus on aonte, plus on vost I'y a tes Liaisons profondes entre les Clésents, atsona qui aépaasent ee Siicante, ‘AMinsi, mine quand 41 slaziva dee groupes hunaine, nous aurone partie do structures Mches, ob 1] y aura dep groupes dVindividua’ Lida par dee intéréts ot des Atensecdle slus profondess neenble sontrent une suprénatio de Lensoable sur 1'Glénent, ot nous verre! ‘ans loa organianes, ot dans les ‘ormee supra-individuelles de la vie de l"esrrite J faut done bien prendre garde & no yas assinilor les élénents a des parties + Bt i] faut prendre garde ausei que les éléments ne sont pas foredaent , cor les éldconts peuvent eur-nimes Stre des (structures ‘Bt cela est conform & uno loi générale que nous avons Yue concernant 160 catégoripa. Las oatégories se transforasnt pour ainsi dire les unes dans les autres Une structure dlensonble peut devenir un @ésent lun ensoable plus vaste, et un Sléoont pout Stre une atrocture J'ensemble par rappert & d'autres élénenta. Ce sont Ji de oppoastions relatives qui persettont cet Gtagesert qui caractérise notre monde éel (coute nous 1"avons vu pour la catiére ot 1a forge). Hous powvona, avant daller plus loin, faire une ou dour observations. Dratord, tune & laquelle jVavaie d6jé fait allusion stil vrai qu'il y a une primaut croiaeante do co que Hartaamn sppelle l'articul6, & megure que 1'on nonte dans les Aomainoa de la réalits? Tl n'est pas ar quay al niveau des particules, il n'y ait yam 4 on cue Hartaann appelle de I'articuls et ainai, 1] n'y aurait pas plus @artiools pautaBtre dane 2a gocisté, dana I'individu, que dans lee perticulese Crest une question qu'il me semble que I'on peut Isisser ouvertes Quint & la difference ontre structure dtensemble, Oeflige, totalits, cola spond du sons quo l'on donna au uot totalité, car bien souvent, lea philosophes ont precisGnont, on parlant do totalité, voulu signifier (co que Hartnam caractérise par le Goflige, par la structure d'erweable- Ie ont insigté bien souvent sur le fait Que Ja totalité n'est pas reductible & le some de sea Gldsente De sorte que, suivant Ye sene cue l'on donnara & l'idde de totalite, co que dit Bartuar sera juste’ ou no Je sera pase Nous avons maintenant & voir coment slordonnent dans notre monde, los aifféron- tee structures d'enseables Et par exouple, of nous prenong le Puildbe, augue nous avons déji fait allusion, nous vayons que Platon avait 1'idée de linites qui ddjerni~ nent dee portions au réel, et qui donnent une forme & 1'i]Liaité. Bt co-qui va nous intéreaser davantage,clont Ie fait qulil y a une hidrarchio dea structures densosbi Be cost un fait our loquel Avistote, puis Leibniz ont particuliérennt insists, cette Adée d'étagonent du réel dont je disais un uot i1 yawn instante ~6= TI y aura dono & voir do quelle fagon 1es structures dYenseable aifférentes et de plus en plus caiplexos ae aupexponent aux structures d'enseable plus sinyleas Bt ily aura voir qulil y a une relative autononie dae structures dtensecble eupérisuroas Coat co qulont vu des philosophes tres différents, comme fnile Boutrour, alin oft6, et Auguste Comte de l'autre, ot cleat ca qula mi cealenent Le philosozhe anglais Alexanders Or, dans cet étagenent de la rialité, c'est un point sur lequel nous rencon— ‘trons de nouveau Conte,Boutrour ot Alexander, 11 ny a pas de contimiits, il y a dos coupures, et ces coupures peruettont une cextaine autonoaie das douaines surérioura pir rapport aux donaines inféziew se En gros, nous pouvons dixe que leg structures d'enseable des couches inférieu res sont flus simples. bis cela cfico est pout-Btre un pou simple, car la sinplicl Gtune structure ne prouve pas qu'elle colt un Elément d'une structure lus hautes Bt la couplesité d'une atructure dtenvosble ne srowe yaa forcésent qutelie soit plus _, Par exenyle, si nous avons & considérar lee rapporte de Mindivias ot de le société, of dirons-nous qu'il y 8 plus grande couplerits? Cleat quelque chose qui, fon tout cas, nous pose un problan Nous avons dit quiune structure dtencenble ast unitd et inforaation.dtunités multiples. Ctost dire qu'il y a un rapzort entre cos doux catégories quo nous étudions ‘ce moment, lénent et structure d'ensemble, ot les deux categories que nous avons ot de multiplicites Bt clost dire ausai qu'il ya un zappert fontre oes nBa‘es doux catégorics et los deux catigories de form et do mtitrs, puisque 1a structure dVensonble oat unité ot information dfunitie lis ce sur quoi ous avons & insister, ce n'est ici ni l'unité, ni la forma, puisque cela ce sont dos catégorigs que nous avons Aéja considérées, male o'est cette aorte de totalité, pour prendre ronentandsent le uot de totalite, totalité relationnelle, et dautonoiie Telative qui caractérise la etruoture dtensenble Cotte structure atensenble est autonoua, Autoncae, cela, ne veut van dire isolée, car, conforménent & Ia loi quo nous avons vue, pour l'enseable da costs, 31 est’de essence d'une structure aencanble d'8tre ello-niue Clénont & son tour dans un ensenble plus vaste, Done autonoaie ne veut pas dize ieolénent, ‘ais vout dire prépondérance dune sorte de Liaison interne aur la liaison aveo L'extérious Creat une sorte de caractére clos, intérieur, qui fait de quélque chose quelque chose de total. Cotte sorte de formature ne vout pas dire quelque chose de raide ot Qe rigite, car 11 pouty avoir dea etructures d'enseable fluides qui dosinent lee ‘oppositions. Done, si nous isons fersoture ici, nous na voulons pas dire raido st Figide, mis nous’ voulons dire qu'il y a une certaine totalité, que nous souies on face do ce que Hartnam appolle des centres rolationnels de Liaison. on a tort de storienter ordinaironont dans 1s consiaération de cea Gefflge, e cos structures dlenseatle, d'aprés coe figures eaconiairas qui sont si fecquentes autour de nous, ot qui sont des freguente artificiele du wontes Cos structures dtensoable yourront Stre détzuites, edit de 1intériaur, soit de Vortértour, Bt ici nous retrouvons lee deux catégories que nous avons stusices fu début do catte houre, de conflit ot d'accorde ~ 46. Hous avons dit que 1a forne a'8tro gintrale de notre monde réal, c'est lo dovenir. Tl. nly aura dane pas de structures d'ensonble absolusont statiquess Toute structure d'enseable sera un jeu de forces; a tous lee étages nous aurons dea structures dVenseable dynaniquss; cola se verra jarticuli@resent pour le vie, lanant pour 1a conecience, pour Ia comunauté sociale, pour I'histoire. BY nous voyons ausei qu'il y aura la des conflite,il y aura des tenances mltiplos ot Youjoura en conflit, Ip compromis n'est jamin parfait. T1 faudra, pour que 1a structure d'ensomble subsiste, que le cohflit soit, dans une certaine mesure, donne Main trop de conflst tendra 2 détmuire la structure a'engouble. Tout conflit, on tant qu'il eat dnhérent & des élénente d'une structure d'engesble, sura tendance & Abtruire cet enseables TL faut done ime domination de co conflit, mais cette dosination n'est jasais absolues I y aura done dea mites ditersinses a In stabilité de l'ensonbles Bt fi un des composants dépasse cette limite, 11 y aura uno destruction de l'ensectlee Yous trouvons ici une ponsée qui nous rappelle celle qu’au aévut de Ja philosopiie avait énoncée Anaxinandze. Toute structure atensoxble, avone—nous dit, sat en un ene decent, ot tout GLénont est probablewert dana un gena structure A’ensascle, Done il set dene 2'easence do la structure dlersenble d'8tre éléoont a eon tour Bt on effet elle est eléaent @ans un plus large ensenble, Cola veut done dive que ei oes stmucturss dvenseabie ne sont ras fermées viewd-vis do L'extaricur, ellea gont ouvertes, cepeniant ily a une certaine fermsture interne d'elles-nfses, elles bauclent sur elles-acasy c'est plut6t sur cette idée de boucler sur soivubme que d'8tre eras sur Iextericur qu'il Faut insisters Bt cect nous auine & dire qutune structure d'ensemble peut Stre quelque chose ae relativenent fluide, ot qua mlgrs cotte fluidité elle pout tricuphar des opzosi- ‘tions, et quiau contraine une structure dlensemble qui yaraftra trés systcnatique et trbs aide pout Stre faible. 11 faut done dietinmuer 1/idce de structure d'encem ble et 1idée de structure raide, IL pout y avoir es structures dVensenble fu Diailloure il faut adsottre ici toutes sortes de gradations posuiblese La douritne idée sur laquelle nous avons & insister, et qui se relia & ce que nous venons de dize, c'est qu'il y a une certains iniétemination et une certains. obilité de ces structures qui carsctérisent notre monde- Hous avons dasa ait quo ces structures d¥ensenble, nous pouwvons les définir come des contres relationnel "de liaivon. Cos centres doninent des ensozbles relativenent indéterainée, Par exeupley ‘90 dosando Hartuarn, dane un passage que nous eitions déjé, ob eont les Linites da aystine de gravication, oh sont, dane Ie dooaine historique, lee lisites de puisgance Ghun état? Co sont des’ choses qu'il ost difficile de déterminar+ Be ops structures dVensonble sont articulées, mais 11 faut avant tout éviter Ge les considérer core Aes choses, c'est-i-dire come des choses données uno foie pout toutes. Bt chacune dee structures d'enaonble repose aur la cosristence a'autres Structures dtensanble, sur los limites de cos autros etructures d'ensentle, linttes qui elles-oBes ne sont pas parfaitonont, si hous pouvons dire, a¢linit Par conscquent, on le voit trée bien dane Ihistoire dlun état, mis on 18 Yorrait aussi bien dana I'bisteize d'un orgarieae, ou dans ce qu'on pourrait sppeler L'histoize d'uine coléoule ou d'un atone, 11 n'y a lk rien qui soit sbsolusont nsty absolunent: précis. Partout nous trouvons des Linites impréoises. Bt Hartmann attire Liattention sur le danger qu'il peut y avoir peécistment dans cette idée do linitey ‘af on Ia prend dane in sone trop linitatif. Or nous savons 1"imortance que, deyuis Platon st le Philébe, cette idée 10 Limite a eue sur le diveloppenent de In pansée. I1 s'agira donc de rendre plus mobile, de rendre moins statique, de rendre plus dynaniqus,cette idée de linites On storiente trop, dit Hartiann, d'aprés des figures secondaizes qui apparaiseant coue figéos, on a'crionts trop eur cortaines dee choses qui nous entourent, eur lee ‘solides, compe ait Bergson, mais cos choses qui nous entourent sont dew fragments do structures dlenconble naturelles beaucoup plus vast Ainsi, nous avons vu que los structures densonble gont aobtles et fluldes, ot non as determinoes ot seatiauens vrautre tart. 11 peut y avoir. ann len Structures a'ensoable, changouent 4°élénenta, et ovest 1a une conaéquence de cette 1860 de mobiiite gur iaquelie nous venons d"inaistere -B- ee rere eee earn amet ghia oanle ues ge mura ee ot eo, cuneate Sn vs Siete ot Leas sae a ar echt prs ntsc See nh Sto scene Sty ou Fer oes at San ak ce oltiy tut atte one suc pn ol 2 1S ax ne te oc pte ne mee Oc. Pann a, Sr shpallen ain 1 Po BUH ahah oe eben decease a tans Sete sa Pople ie Gate De GS ee eat Freon aunlnn or an ovr tec oo a a quel sens ily a structure d'ensonble d'une chose qui est donné en spectacle, come sel Se AY tei cm Seto ee seas enn pe tt dnt ann ane et et eau efor se at a ees St cer rn erneny Steyr St Satta het gu et acer ne iit dnl iy at hal tan ly EEE rar ck il roan gutta Setter any 2 OSS LS LST at Sat ate ann ven enn Mens Mae see a ie isi arte esac fo eee ee Bua dicta fra clara sets en ie a em ah al ue Pee ae ears te Soe ree Se wo re leroaien gree oer fen seta oo SE SUAS. enc La Yous nous trourona mintnartsovat ee choos cou ta plrmans Lae dant oe ee a ese Sank gus oveeee 1a Se woritaoles structures 2hense=oley 2g montages Me 2 oe Se" tigaren tonuonip plus vsteay conse ln terre, ai oat ae ae Page toa aliora io Wir fata et nata'ty uno Zvelle atmuctire Sana: : Jo sndépondanca sane doute on dire qutst y a cortaines choses qu ont use véritable tnddpa canis, On Gctetal, una goulte Su plusey peuvort avois une sorte Stindépendarcee Sey crageles un evista urs Sorcuone,jrccioéamnt par con choave-lae Notre attention Ne ania oar ezonple,, dara aon enanbley avateache a doa apiarences eee A re Tastes Feraten que’ ce cristal de neigh ou do lace, ou cette goutte de pluses se sures dVensoable, ‘ous sommes donc asunéa & 1'id6e que, sour voir les structures d . tes structures d'encentle Frinaies, of mon plus ces structures d'ensoable socomiatres Ale sont lee chosss, instrunortales Qui nous onteurent, et sine les choses spectacles ii nous ent-urent,’ nous devons aller vars co qu'on apzelle 1"infiniment grand, d'une part, ef 1'infininont petit d'autre parts é 4o youx sur los Cleat 1a science qui, par dea détours, nous a ouvert 100 yo structures dVenseatle, Geffige, dymaniques, grisairea, Bt ces structures 4 p Eriasires, sont bien au dala de ce qui nous est donné sioSdian ‘tecent. Leur mesure dcpasse 1'étroiteese de notre apaire vitale, et dane le erand ot dans le petit, avec quelques exceptions, come cos cristaur ot ces gouttee de luc dont nous parlions, amin qut re se font obesrvar en some que telativenent ous disiona quo clest 1a soierice qui nous a sie aur la route de la vision do cos rcelles structures d'ensoable prisaizes- Mis il fait ajouter aussi qu'il y avait ou des pressentinents depuis longteaps de cos structures yrinsizes. Bt la ponaée do latone n'est pas,dit Hartuann, beaucoup plus récante que celle du eystios Connique dans son enganble. Par conséquant, tréa t6t 'humnité a eu conseieree quo, ai Ion veut voir réollenant de cee aystéaas, do cos structures dlensantle relies, il faut aller soit vers 1'infiniaont petit,soit vera le trés grand, Done la pensce ‘atone et colle dii systime cosmique ont pris place tréa tt dane 12 ponace de LMhomanité, mais 1a perception dea rapparte dynasiques réele sur lsequels reposent ces systines s'est faite tardivouent. ainsi, nous venone de voir que Iatowe ot le ayatiae cosuique sont deux structures dlonsanble relies, deur structures dynaniques indiperdantes, de baute stabilité aléquilibre. Tis ont, ait Hartnan, une atadilite extraordinaire, uno durée extraordinaire, Co aont des aystines, doe deux c6tés, gui sonblont Stre douse Ahune certsine propristé atautorégulation. Sans doute, dant les doux cas, ily a dos limites & cette stabilité ot & cote autorégulation. Ce cont néanaoine lea typae Yes plus parfaite do structures A'ensouble que nous connaisaions. Mais nous vonons de parler d'atoae. Pouvons-nous aller plus bas, chercher les coaponante de l'aton? Nous aurone alora les ions, les électrons, les’ srotonse Nous ne los connaiasone que par louse effete externes, Bt Sci,nous nous trowvons evant: une question que nous ne jouvons pas réscudre, A savoir si un électron eat lui~ ‘nfice un Gléaent ultige, ou bien est lui-aBoe une structure d'ensentla- Car nous avons Ait que tout éldnent est structure d'enseable, mais pouvons=nous pousser juaqu'aa out cette fagon de voir, pouvons—nous dire qu'il y a les clowente ultises, ou bien + que toujours nous powvons voir les Glinente d'encesble? C'est une question & laquelle, pour le oment, nous ne pouvons pas répondres Mois nous pouvons mintonant noug cendre eccapte d'un pou lus pris da Larchitecture du onto d'aprée Micolat Hartman, Gar nous avone yarlé dea dlectrons ‘ot du qystine solaire, ‘Gu'y a-t-il entre aux? Tous avone parle dlabord des. atone audeosus des électrons. Gu'y sti au~deanus de l'atono? Tl y a Ja molecule, Ja wolécule avec tous ses étages do complerité ot de stabilité. Bt nous pouwvons noter 1a wie lof dont nous vorrons L'application générale plus tard + ce qui ost la force fexterne de tol atoms et de tel autre atone devient 1a force interne de la wlccule Qui oot proauite per Ia jonction de cos atonoas lous allone voir tout & 1'houre, quand nous étudiorens lea idces d'intéricrité ot dlextarioritv, que ce pasaaze te Lartérieir & 1'intérieur est une loi générales Los forces extérivires de dour atones différente devienment, ei on considére Ja wolécule oi ila sont tous les deux, les forces intérieures do la molécule, ot cette molécule a cortsines propristse chimiques nowelles jar Tapport aur attmse qui le constituents Dy a une difficults dans 1a fagon dont Hartman volt le monde, une diffieul- 6 qui conaiste on ce fait qu'il y a d'aprés lui une sorte de courure dans cette Gcholle qu'il veut voir, depuis los atoaes ot lee olculea, jusgilaa ayetine = 50— solaire, I pense que nous ne pouvons pas Stablir une contimité complate de cette Gcnelle, que Rous pouvone faire comencer aux élactzora, que nous pouvons faize aller ehsuite aux atowos, puis aux nolécules, qu'elle ne se continue jas atune fagon visible pour-nouse Sens doute, on yourrait mottre au-dessus deo molécules les cristamr. ais les ertstaix ne jouent pas un réle tellenent seportant dane la vie de Dlunivers, ous trouvons alors autessua les types inférieure d'organisaes, qui se rapprochent, par ordre de granteur, de 1a molécule, axis qui en sont différents jar le fait Quills appartionent A un niveau de réalité supérieure. Bt oes organianes, qui sont placée Ih entre lee moldcules et puis In terre ne coablent yas 18 lacune que nous evrions pouvoir ecabler Cotte Iacune est dono, atapris Hartman, entre Ie woldcule chimique ot 1a Lioxganique a candle’ yas cette lacune, car 1] ne ae yroduit que dans dos ‘et il n'a pas un tel r8le, somble-t-il, dans le aystiao TL y a dans Worganique quelque chose d'accidantal ot Mais pour 1Yhome cote acne qui se trouve entre les molécules ot 1e aystine comniqua a cock de particulier quo préciséuent lui il sty trouve. Tl apparatt au failied, pour ainsi aire, de cette lscune, ot sa perception est dirigés vars ce qui eet au’ailieu, entre 1a’molccule ot le uystéme solaize. Bt il se trouve ainsi que Toute Ia faculte de vieion dumédiate de I"home est lie & cette portion de la realite dont nous ne Voyors pas trés bien coment elle est représentée dans notre ‘yuo du wonde, dtaprés Hartaann, LMhcame, conclutail, eet ainsi 11é & oe qui est aeoondaize et contingent, act Lo Yong chemin’ qu'il a & parcourir pour voir Ltarchitecture du monde, et fue evil arrive & voir cette architecture, i! ne pout pas, pour sinsi dire aseiniler dans 6a vie cette vision de l'architectute coamiques Maintenant, nous pouvons, Isissant de obté cette lacuno du milivu de notre architecture coamique, voir co qu'il y a pour ainsi dire de l'autre o8té de 1a lacunes Bt nous verrona 1h de nouvems une guccoasion de structures @Vensombla, yulegutan as1A du eyetine solaire ily sura dea enseables do cystiues solaires. et chaque plandte est une structure d'ensemble, chacun a un euilibre, équilibre de gravité, qui eav signifid, par exenple, pout Ja terre, par L'ellipae qu'elle parcourt, équilibre therigw qui ost signifié par Jes parcours dee étoilee fixes, équilibre de rayonnecert. Tl y a naturellonert des dornae & cea squilibres, i1 y a doe porte do masse qui ge font dane ces corps, 12 y 8 doo créations a'énorgiv« Mais on gros nous veyons qu'il y a un &quilibre 6 Toutes ses structures dlenacble, Bt au dela, nous avons 1a Voie lactis, les nGbuleures apirales, dee corteines de cos ayetiness Ty a encore, dana cette architecture copmique, beaucoup a'inconmes pour nous, Mais lee forsoe uathinstiques, 1a forne spirale, 1a forse sphérique, sontrent QUILL atagit d¥équilibres de structures dynamique Nous somes anonia & cotte iAée que le monte wontre une cortaine unitéy qu'il y a une architecture cosmigusy qu'il ¥ a une structure étagce et dynamique du’ mondo, Shaque structure dlensanble ctant encastrée pour ainsi dire dans una autre structure ~5le Atansonble ot informant doa structures d'onaoable. Bt les Glénants de cpinire graniaur doviennant les lénenta do ce qui leur est supérieur. Il y a done une Unité relative et uno urité dynamique di tout qui constitue notre tontes Nous fouyons maintenant aborder d'une fagon uc oau plus peécise La question de cos structures d'onsonblo qui sont les plus Froches ae nous, clest~a-dire les Btres vivants, lee consciences et les eapritay ious aurions & régoudre la question, que nous ne ouvone pas complétenent Hésoutre, de savoir of les dlisente inorganiiues de 'ozganiane sont vraimont os Glénents, si Lorganique, est composé avec de 1'incxganiques Laiesona dono de c3té ‘Qui nest pas risoluo aujourd'hui de fagen aéfinitiver Dione plus petites unités de vie eo rapprochent par lour ondze de (les. Tous voyons on trut cas qua of qu! caractitise ft qulici Ios structures dtenseable sont bien plus couvantes wstmann, que dans nlimporte quel gute domaine. Ca sont oa qu!il agpelle Jes structures dtensonble do processus. Il y 2 un chansouont constant des éléments qui caractérigent Ia vie Ia vio sora caractériase yar e fait qu'elle «un cormencenent et une fine Diune fagon lus générale, nous pouvons dire que lorganiene est une structure Afensendle de processus gouvernés par les etructures d'ensontle de form Ty @ Gang la vie un chargomort de antidye ot une persanane de la formes Bt au sein ds la vie ellemnfue, i] y aura Ia présence de dour forces, Lune constructive, autre destructive, qui ont com une fonction conpléwentaira, et quand il y aura un roncnooment’ ala régulation de ces forces, 31 y aura le trioaphe de la stabilize ot 4 18 norte Vaia cet dquilibre de 1s vie, tant qu'elle résiste & la cort, clest un Squilibre ob il y a autoregulation, ot ot 11 ya cosplerités Aundessiis de 1a vie de 1"individuy 41 y @ 2a vie do laspiee. Bt catte via 40 Lespice n'a pas do Toru visible, uals eat niamoine une structure d'ensaasle elle aussi. Bile n'est rae un systéag 40 formes, male du yrocssaus ot nou it que dais 1a vie {2 ya un cquilibre dos processus de destmuction st des processus e construction, Hous en dione de ane pour la vie de l'espece. Il en va 4¢ Ja ‘vie de Lespéce cone 40 1a vie de 1'indiviau, Tl y a) dane cette vie de L'essace lun changenent constant deo Slerentes Toi lee’ élémonta, ce sont les intividua, st 1a nortalité et la reproduction dans Iespice, a sein’de l'eezi0a, correspontent & Ltassimilation st & la dceaseizilation dane Ia vie % otytant que le reproduction éuilibre la aortalité, leoztee ve perp ya une grande supériorité de cette structure d'enteable qs'est 1'oepce,au point do vue de la stabilits, sur cette structure dlencocble qutast Minaiviai xdosoue du biolozique, nous avons To payohologiquediais ef, nous powvons nnous'dotamer si la catégorie de structure d'ensoable stayplique pleinasentsElle avait son rOle éainoment dans le biclomiquo; ello avait 1A Une preponderance eur es autres catégories. Unis dans 2a vie peychique dana la conscience, dane tout ce Qui concemo a personne morale, nous parlerone plutS, ait Hartaam,’d'undts o: Ge forms, cu ao déteraination ol dlintériorite, que de’ structure d'ansecblee On pout sans doute parler de structures dVenonble dlactes ou de caractin mais cola ne touche pas lessentivl. On pout ausai contrer qu'une personne iapose on caractize coms gon ateau, ot clost 1"étyuologie ane du mot omractere, a 1'ctant Qui Ientoure, & la splére d'action qui ost le régultat de sea voloniia, Mais hous vayons que ce. qui est Io résultat de mon action se ccuplate jar le Waultat des actions des autres au:sein do 1a sociéta, et on no pout rap ich voir nettonent 82 que nous avons appelé jusqu'ict structure’ d'enseable - SB Nous somes axenée & gonter encore au-dessua de 'esprit individuel, si réellownt cleat sonter au-dessus de l'esprit individuol, clest-a-dire & cbercher all y a uro structure dlensocble de la coumunauté, une structure denseable de Lteaprit odjectifs Hartmann répond & cette quontion par l'affirmative, st il y aurait a voir 5/1 nly a pas doi un certain danger, le danger dans lequel est tombs Hegel, & Certain coment do sa ponsce, on faieant de l'eaprit cbjeotif ne réalité. Le langego, Ia science, le droit, 1a sorale, oo sont autant de réalisations de ost esprit objectife ‘Ainsi nows avons vu le monde, deyuis les électrons jusqutau systime solaire, entre len soléeules et le aystiao solatze, nous avons vu quiil y a ces aphéres ‘organique et du paychique, Ia prowiére dtant une sphére o} stapplique pleinenent Lace de structure dlensenble, In seconde étant une sphere oh elle stapplique incoupTétouent. avant do lniaeer 1'idée de structure a"enseable, nous avons & voir ce que nous pouvona dire au sujet des aphbres du réol, qui sont 1a sphére idéale, la sphére do Is connaissance et Ia sphtre réelle. Or tout ce que nous avons dit e'applique & La apnire réelle, Quavons-nous & dire des rapports entre 1idée de structure Alenpenble ot 1a ephire idlale, ontre 1/idée de structure d’ensenble ot 1a sphére de la comaisearca ? AL nly aura pas Je 28lo spiclal de 1a structure a'ensembls eubordinatione de gense et d'espace, uais qui seront des suberdinations purenent Jogiquee, Un genre n'est z20 ls structure d'ensoable dos espices,mis seulenent coe qui lour eet comain. Copendant 2e domaine cathdnstique, qui est une yartie de cette aphdre idéale, nous trouverons des structures dYenseabley dans les ayatéoss de figures géonstriquea, dane los aystines des axioms, dans les aysténes des noabres. Bt cite chaque nombre, chaque fraction, chaque puiseance est un aystiae a! éléments, ot on un sons une structure dlenseable: Bt nous vayons dans les nosbres, d'une Certaine fagon, 1a jonotion de 1a mobilité do 1'lemont et de 1a permnince de la structures Hartaann no o'attac! uk. Mais, si 1'idée de atructure d'ensemble a peu de place dang 1s epaire ideale ot dans la syhére logique, elle a une grante place Gane 2a ephére de 1a connaisearce, car la nous vous trouvona en présence dtabord du, yoint de depart de notre connaissance, Ia perception, Or 1a perception est une aynthiae, Elle ast ie structure dentetjs, mais les ensezbles qu'elles constituent hne correspondent yas toujours aux structufes dtensonbles du réel, au structures Alergosble ontiques. Farfois 1] y a une correspondance, jar exenyle sour les orzanianes. Jo voux percevoir un organiane, ot Ionganinue eet bien une structure Atensenble ontique, Maie nous pouvons faite obaerver ausei que, pour saisir cot forganiara on lui-néce, nous ntarrivons pas & le faires Nous ne sowvors pas aller par la biologie jusqith 1'intériour de i'erganiana. qinsi, Ia structure d'ensecble Orraniquey on un gen, nous Teste cachées Ca quo nous en Yayons, ce que nous en Sentons plut6t, cast ce que nous sentons yar anslogie avec le sontinent de nous fea que nous’ pouvens aveirs ‘A plus forte rateon, loreque nous parlerons de structur: cells de la vie de leapéce, ou cara calle de 1a socidts.Ce sont choses qui ne gerent pas vielbles pour 1a percoyticn, qui ne aoront abordables que par le biaie 4a concept ~33— nous nous trowerons en effet en présence du fait que ce qui arparatt dane notre expirience, ctost, bien plus que L'organique en tant qulorsanique, 198 chovoa, st nous avons d6ja vu que les choses, avec lour oarectére statique bien acccups, Le folides, comm dit Bezgaon, nous barvent Le chesin vere la réalitc. Nous ous Trouvons en face de ce fait que 2ea choses, nous Iavons ait, n'ont yas de roelle structure indépeniante, eais nous lour attrituons, nous aurons l'occasion de revonir fur ce point qand nous parlerons de Itintériorité et de I'extériorité, nous attribaons une dndépeniancesEt c'est o2 fait que nous aamues pour ains! dire per leo choses qui nous fait perdre de vue I'Gtaganent des vraies structures denser) au él audesgus de la perception, nous trouvons 1e concept qui ast bien wie structure Atensemble, et. qui par des détoura nous rayproche bien souvent des structures Atenseable roelles+ Le concapt nlact jae un eyatéce fixes Hous youvons redire au’sujot Ga concert ee que nous avon ait d'une fagon gincrale pour les structures atensenbloy & pavoir qu'zi ne faut pas trop leo fixer. bes concepta ont une histoire et toute ws Fouvelle du roel apporte de nouveaux concepte. On ne yout pas saisir comslétesont Le concept sar la logique, car il n'est pss une secre de caractires, 1] est quelque chose do different, et 11 eat davantago qu'une some do caractiros. Noup avons a6ji ait que les concopts sont variables» Les choses au fond ont lune relative variabilité, on ce sone qua dapréa Hartmann, soit que je reparde une ‘chose, goit que Je ne la’ rozarde pes, elle est ce quielle est, elle reste la wine chose evant ot apréa In perosstion, st on tout cas et avant ot apréa le concopt aie nos concepts sont variables.Ii y a dane l'nistoize de humsndté dos successions do concepts, et nous niavone qu'a voir des concepts coum ceux de substance ou d"atons, foe concepts coone ceux d'dne ou a"hcano, your voir qu'ils ont changé au cours de cette histoire. Ie ont chargé, par exemple, ontre 1s philosophie anciemne et 18 Philosophie modeme. Bt il y a'dae chargonohte de groujes entiors de coneests. DD n'en est pas pine vrai que, ualers cas changements, 1¢ concept a une certains stabilites Tl est wie structure densosble. Bt c'est’ pour cala quay quand ous digong que cos concepts charcent, nous disons & la fois qu'ils sont des concerts, Clost-i-dire que nous pouvons les définir dans une certains cesure, mais que cette Géfinition ne Got pas nous rendre aveuglen & co oharganent qui est en nous, Ce que fhous avone ait deo concepts, nous powvone le dire ausai pour les aystéces dv concepts que sont les thioriese Lee couvres atart sont due néalitée trée couplerea, qui ntaypartiennent ms & tune seule spire du réele” Par ea fagade, wie couvze d'art appartient au sonde réely telle quo nous L'avona défini, oaie par gon conten interne, elle est apparence jour lune vision personnelle. De ootte dguble fagon, elle est une’ structure d'ensebble articulée, oi lea éléments sont dcterainés par le toute Lioeuvre tart ost une unité tendue ot intense» L'owuvre d'art médiatist tun ensemble d'idées, qui dlailloure ne peuvent jac Ste sGparses de leur expression, fot chaque oeuvre d'art ect ime structure denseuble différente, si bien qu'iei il nly 2 pas de gonéraliti, Al n'y a pas do régle, co qui fait que l'oeuvre d'art reste wn Wyatére, et pour ceful qui 1a contenpla, et wine your celui qui la orée. trie chacun Aroux dprouve qu'il y a une force déterulnante, qui non pas explique oeuvre a'art, pais qui est your ainei dire au contre de 1'osuvre d'art. Nous pouvons maintenant dire quelques gots de cos réflexions de Hartmann. sur 1idse do structure d'ensanble, 1'idle da Geftige, ot sur 1'idce 'éléoents Bt dlabord nous avona noté quo Hartmann a bien plus de choses A dire eur LMdco de structure dlenaeable que sur IMidée a¥éléaent, et finalesont nous ne savns pas slily a un Glicont ultiap ou til y a toujours uniquecent structure d'enneable. Bt catte reflexion pourrait nous faire nous veporter & co qué nous avons dit our la relation ot le aubstrat, sur la fords ct 1a.uatiére, clost-adize que peut—Stre, do coe doux teres, un soul finaleaent subsiete. Ici nous avons vu qua subsiste seulecent Pinalenont peu2Stre 1a etructure donsonble; poutStre, das deux torves relation ot mutetrat ne aubsiste quo la relation, ot lo substrat afévancuit, et peuta8ers Galil y a-une unite de forme ot de uatibre qi Tait que soit "un, soit afao lee eux termes s'évanouiasert, come le jropose la thécrie de 1a forms, dans quelque chose of se fondent force ot aatiére. ous aurions & nous poser quelques questions sur ce trou, cette Iacune que Hartoarn mbt au ailiau de ea Vieion du tonde, c'est-a-dire ontre les wolécules ot la terme, yuiagu'il ne veut pas que lee organisues solent considérée come quelque chose qui réellecent rexplisse oette Iacunes Ti nos dit qu'il y a une sorte de vide, que nous somos située dans ce vide, ‘uaie que nous somes trop sscordaires your qu'al y ait une hiérarchie qui, yaseant par nous, aille dala molceule & 1s torres On pout oo poaer 1s question do bavoir Si wellenont 11 y @ 1d ung lacuna, et a'il faut conserver cos deux touts do 1'dchelle uti co monent 1k voit Hartaann, stil ne faut pas établir une continiits plus grande quisl ne fait, ot s'il no faut pas eo rondze compte que la torze est une abstraction, Come Ggalonont oat une abstraction peut-Stre la molccule, ot peut—Stre uae l'atone Bais de tout cola, 41 zeate capendant un certain noubre 4!dses importantes, A savoir 1'idce que nous’no sommes jas orientés privairenont our les Atensoable prinaizes, clestaidire que, malgré tout, lea structures a) Dprimaines, olest d'un o8t6 lee électrons, de l'autre loa ayatéaes solair fe ne sont pas dee choses sur lesquellaa’ ecit oriantée notre rereeption. ous retvouverions alors cette 146e que Iho est 1ic & o# qui ontoloriquenent est secondaire, puieque co qui est ontologiquemnt primaire, o» sont cos structures Hensoable que’ sont les Electrons d'une part et les aysténes solaires de Laut Yous accentuons les choses, les choses outils et les choses spectacles, ot c'est cola qui nous fait perdze de vue architecture moo du aond Dana ce qu'il nous dit des concapts, de leur variabilité opposde & une relative imvariabilite de ce aur quoi portent lee concepts, 41 y a dgalewnt qualqua chose do valable, C'est un fait que les concepta ont varié au cours de l/humanité, ot quo cette variabilite des oonospts alaxplique pout-Stve parce qu'il y a qualque chose sur quoi ils portent qui ne varie pas tellenant, et sur quoi nous avons & prenire dos vuoe differenten, at qui chaque Zois pouvent enrichir la gone des vues précédentes. Aprbe avoir vu cea deux idées de structure dlenseuble ot d!dliaent, nous passons & Joux autres idea, qui cont los idéoa dlinteriorité et dlextériorits, Bt hnous allons d'abord prendre’ 2'historique que fait Hartmann de ces deux idées, et ensuite nous aurons & voir de quelle fagon nous pouvons compléter ceu mistoriquee Bh effet, 11 y.a quelques points discutables dans 1 fagon dont Hartrann nous aconte histoire des deux Adon d'intcriorité et d'ertérioriti, quelgze chose alum pou azbitraire dans le fait qu'il fait commncer 1'idée dlintérierite avec Aristotes ~5- Bh effet, nous dit-il, Aristote, so fondant sur 1oxistence du rapport Boo corps, et vayant 1'fme come’ la ferme du corps organisé, la prosi’re entéléchie du corps organieé, a donné aux honnes 1'44¢e que partout il y avait une relation ds co Qui eat extériaur & quelque chose ql ost intdriaur. Bt cleat A 1'influsnce aristoté Hesenne que Hartaann attritue ce qu'il appolie delat mystériow, transcendant, dont joist 1a catdgorie d'intériorités Cot delat wetérieur vient de son Lien avec Ya thiorie de ln fore substantielle. Toate forme est conpus conse analogue a 1'ése, ‘Toute forme eat intcrioritc, de ane quo 1'fap est intcriorits, Or cote théorie, nous it Hartaann, ne dosing yao souleaont le Moyen age. On 1a voit xéapparaftre BEne aprés le trioapte de la science acderna sur lea foroes substantislles des farlatotéliciona, on la voit réapraraftre avec Laitniz. Leibniz édifie sur de nouveaux fondeserts L'ancienne idée d'intéricrité. Qu'estce quo 1a monade? O'est 1!intérieur Ges choses. Cast un intcrieur qui est icnatériel, come 1'&io, ot qui est diterning par soi, cui eat coupé de toute influence extérieire, ot qui se prégonte coma un onde jour ak. Or cette idée Leibnisionne a été critiquée par Kant. $i nous affirasns cotte intériorité, nous sffirserone tne chose en soi, ot jar Ta raison théorique nous no pouvons rian dire da 1s chose on soi Ia natura ne doit done pas Gtro cansidéroe Goma cur le nedéle de 1'fine ot de ce qui est 7é#4 par 1'&co. La nature, noua dit Kant, oat uno structure lensesble de rapporta, ot il stagit @lobsarver ces raprorta, ‘sinoi Kant 99 plagait, nous dit Hartann, sur 1e terrain de 1a science exactey ot tout en Je louant de s'étre placé aur ce terrain, Harteann nou dit qu'on paut 20 poser quelauee questions aur la légitinité de Ia déuarche de Kant, car 11 y a 1'Eus, Qui n'a pas A Sexe obsurvée de 1a ute faron que lee événswants physiques 12 n'est pas néceseaire do recourir A uno construction métaphysique, pour savoir qu'il ya tn nous une intéricrités ainei,en nous, 4it Hartnann contre Kant (ou du eine 4 eroit le dize contre Kent) 1'intoriorié est donnée comme phénosins ausai bien que Je tinde extériour, Pour décider do la quction do l'intéricrité 11 convenait youtaBtre de uonter au-desus de la couche doe choses qui nous sont dennéase Or, con deux Addon alintériorité ot dtextériorité, ‘un philoaozhe a ris conmeience da leur rapport dlune fagon plus notte qu'aucin autre, et c'est Hoge) » dana aa Logiques Tl a vu que l'intériour et l'extérisur sont a ln fois des opyaeca et line ddentitc, Il a vu leur rapport dialectique, Chacune est L'oppoaé de l'autre, at 2 wévile finalenent coum Adentique a l'autre,” L'artérivur d'une chose n'est rion gui soit & ctté do son intérieur. C'est 1'expression de son intérieur ne. Mais L'intérieur n'est pa avant L'expression, ou indépendannant de lfexpression, 11 est peulenont dane l'expreseion. Un intdrieut qui ne s'exprine yas, ait Hegel y fest un Intertour qui n'est jase Thy a cortainenent, nous dit Harton, quelque chose de profend dans cate observation de Hegel, Il faut néarsoine voir eta] nly @ pas, ei nous Stusione par fexouple lee masses dos corpe célestes, quelque chose qui serait différent de ces taoees et qui sloxprinerait dane cea tages. Ici il nly a pas dtintérisur. Mais, comme nous le disions tout &,1"houre en parlant de Kant, peut~on dire la nifne chose do la Vie persomwile des hotzos? Il ost difficile de dire qu'il nly a rien de rior fen nous que os quldl y a dana nos sections. Bt devine your oreanieas; 11 y a Ruelque chose peut-Stre dof de différent qntre ce qui proiuit un effet, zo sil Groduit tout cet effet, ot l'effot Tuimatnes ‘Ainsi, nous arviveriona & cette idéo que mi Kant ni Hagel ne nous ont donns = 56 ~5T- lune ide compldtemsnt satisfaisante du rapport entre 'intériorité ot 1extériorit Diaillours, nous pourrions faire observer que dana l'idge hégélienne sont conserves Dien des gornes de Ianciene mitaphysique. Bt en effet, oest 1'idie d'ecprit, congue d'une fason idéaliute, quo va trouver finalonent iegel. tintérieur des’ choses ne peut Stre que l'esprit, et come esprit doit Stre pour gol ce qui ast en adi, Cot Antérivir doit se révéler. ainsi, l'adéquation, 1'4dentification ane de 1'intériour: ot de lextériour chez Hogel & ou pour conséquence Ia vision idéaliste du onder On retrowverait des iddes analogues & colle de Hagel dane lee philosophies de la view Tei, clest 1148G0 do ene qui jous le xéle que jourit 1'idée proprenent dite ches Hsgel.'T1 y a un sens de 1a vie, comme {1 y a un sans du discoure, Un diacours st Lexprossion dune intériorité. 11 doit y avoir dana Ja vie ollo-néue une interie- Fité. ‘Mais, dit Hartmann, on rovient ict & la théorie dea formes aubstantielles. z nnéme intériour qui ost équivalent au nino oxtériaur, clest Mextérieur alune chose intérieure qui devient 1intériour du tout dana lequel elle va Ste intdgre oss, avant don arriver by £1 faut voir gu'sl ne, faut pas cherchor pactout Uintésiorités Tl y a doa can o nous ne trouverons pan dtintérlerivas ek oteee oer coe cas Gio la peétendue identité hageliente veuty mnie quand ily a mrese intesierté, ST'nty'a joo identitg do I'intsnieur ot do Werteriase Tul est 1aistorique de 1idée dlintériorité at de 1Mdée dlextériorité, tol que nous: le donno Hartaann Nous voudricns préeenter quelques réflexions & c8 sujote Diabord, sans doute faut—t1 rononter plua haut qu'Aristote IZ est trés arbitrai- ro do faire partir 1a considération de 1'idée dlintcriorité d'arietotes Bt ei Aristote congoit ea forms come intérioritéy cleat probablecent qu'il renote a certaines conceptions de 1'ne, beaucoup plus anciennes que ea philosopiie, Tl faudra resonter & Platon, et sans doute tien plus haut, pour voir lorigine de 1'idée dV intérior‘ Gane I'hletoire do la philosophic, Bt on offet, oi Aristote congoit 1a forme sur le aodéle de Lf, d'apria co que nous ait Hartmann, cela inplique ime cortaine conception de Ide, ct ila'agiratt Ge savoir co qulest catte conception de 1'fio, doh olle vient, st comment elle 6 fommise Quand elle réapparatt dans 2a philosophie de Leibniz, Hartnan nove ait qu'il ¥ 8 12 une coretruction aétaphyeique, aaie 11 n'y a pas chez Leibnis seulement une Construction métaphysique, car Letom nous dit que hous connaissons nowe-nines en tant que force active, et’ par conséquent 11 nly a pas aoulawent construetion «leapt sique, mis intention mitaptysiques Bt Hartsann n'a peut—Stro jas fait aasez attention a cola dana ca critique de Leibniz, n'a pas fait attention assez au fait quo oo qu'il Git Iui-nfoo, & savoir que nous avons une yerception de notre intiriorité, Leibnix ia ait ausale Nous disions qu'il fallait renonter plus haut qu’Arigtote your faire l'histoire fos idées dtintéricrité ot d'extériorité. Pout-Btre faudrait-tl descondre plus tas faussi four voir 1a continuation, noa@ pas gang doute Ia fin, de catte wistoirey clest-indire a'abord communt 41'paraft inaract de direy come le fait Hartmann’ que a philosophie de 1a vie est un retour aur formes aubstantielles, voir enauite conant Kierkegaard critique 1'44c0 de 1'Gquivalence de l'intirieur et do 1'axtcrheur chez Hegel, et lui substitus 1idde de quelque chose qui, dane 1"intérieu, ne pout paw Stre Seduit & Mextérieure sot yas moins vrai qu'il y aj dana lea rowarques da Hartmann, beaucoup y ot qu'il est Juste aussi do dire que 1'intcriaur at lertériaur ne sont pas équivalents & 1a fagon dont Hegel dit qu'ile sont équivelentes Hartoann va stefforcer de nous contrer que co qui est l'extérieur pour une chose pout davemir Lsinterieur da point do vis de Ia totalité ob entre cette chose, ef quiainsi 41 ya ‘sen Squivalence, si l'on vast, do 1intériour & l'extérloury oats ca n'eo. pas Je sence ne get we Seay aan pS a aie eg ae Matthias Senne shots peat aet eames ie Tana Guar A amiee “Galas ait uarezanny nt Kant, dane co qu'il ait dons aa critique 2e. Rees il ae i, Ue nd ates panes eee ee eee me oe anotb neti ing et a en os Se ta RR J She cs ey a air DP et at lal atom bo pout care qos low haute faite sont otopreoont parler dee exten crepe mat te dey nee ea Tame Bie ca ts ey a et be ce em cag ng ins Hh os Pa Sem ole gett te Sse oe nr Ce She er ot er ee toa Kant montre qu'on ne pout jas intériorits de la nature, ot critique oer, en by onan facta on cn int it, tet em csc ea Sa aaa eieieur, ot do co Gel n'est pas gaisi on {ait Ltanteraeurj‘on ot saging que Si Sree oh a oe el 2 en vestry fu hn 25 dt cto 9 so sn Rein ts ery Sh aaa Sct te fe argent mee, et SS rit, Site i Spenin hologiques Par conséquent, ici, ce qui nous est donné imaédiatouents 09st Pickdectenne suet fy Sah miner ene atria Racal eo fe he ean sic eve hbk erp eels le Saati aro al ya ‘dos cas of l'intérieur nous est donné, n'est pas le moins du monde, St oe hen ae ' vp emt ee voy hres pe pe ha soit cE Scien Saga nas, date ces efi ae lege clit a ae ia 5 instrunoits, ‘choses coma les montanes, ies vallées ote. nly @ pas sy ey al as Ss rt sn Fear come {i dos’ ayaliey quv co oeit den outils ou quo ce o0kt doe chowee du 6028 Saree i uk Saas alpen Gein et me sel oat an Sos Mere a gi hr ate EG eet es St er haope cee the ay Ba Satin Gs Sen ~59= chose mtérielle comms un caillou, 11 faut aller au dela de Iouti? ot du caitlovs Las forces Liantos de L'outil ou du caillou, ce qui fait que 1outil est un soul util et Je caillou un soul caillou, réeident en dehors de lui, tana Ta gendse de coe structures d'ersouble dont i] eat une partie. Bt cela ost rronque uvident pour les outils, les instruments que nous formons noussines, sarce que ces cutile nront caractére d'unité quia partir de nousafaes. leur unite réeide dans les bute que nous yoursuivers en les Zoraanty et jar conséquent Lunité dune table ou Lite fun vase ost hors de tut, 11 est dans le but que lourrser a poureuivi your Toreer Si nous voulons parler de 1'intériorité de cos choses, nous dit Hartman, i2 faut dire qutelles ont leur intéricrité paraderalesont hore delles, puseque 1'anité de ce vase sera dans le fait que 1thome a voulu quelque chose qui contéarne d'autres chosess ainsi, le vase doit Gtre pris come un fraguent dane une etructure plus je ot plus’ haute qui est ane etructure humaine, ais nous pouvone dire dee choses, dans ine cortaine nouure, analogues, your es objets, pour las chosen quit sont faa dos cutile ou doo inotrusoncagear’ elles Aned proeguo toutes no sont yaa den stnuctures inépondantes, cate sort doe feagsantae Par exeploy pronona un tloo Tune noraine do Blacior, St nola enaasone de T'arziiausts do voir quelle est co que nous agpelloviona aon aitirioritey nous wrens of forte elle, qt viont alin glaclor de I'dpeque glaoiaize souvent) nous Yorrons que on eruckure cristalline Hont & des isconstances de pression et de vounératare gol dutont atétate bien anteriouta aa Sefvoldisuemont do L'scoree terrestres, st ca gol fn fate une unité visible et sanaive, oe eont dose des rajporte dynanicues Gul sont fing la terco ellewchae, id sont date cot onasiole do steictuses dlenaosole gut aoxt In'terre, "Bt par coradiuant, ivintcriour de ea bloc gu est, dit, larseamny & Vertériour de luis 11 nla pas de vérltablo sntdriorits, garbe quid! n'a pas non plus @indépendance ontigio, o¢ anules Cot tne indépentance. datique. lee-etructores Gvonaeable pricaires of indéyendanton, le strcctutes dvonasabio come Ia tertcu hiton pout-Stre fait-it dive come lo ayatins aclaize, at d'autro sarty neue allora Je foit les unitée pvchiaues, gat sont autre chose et lus gue toe senctones eramabla VoLlk donc log trois ides que nous avons vuee jusquticsy Vabard, qu'il n'y a pas toujours dlintérioritéy on deuxidme isu, que 2intériour n'est pas forcénant Je caché;, an troisiées lieu, que l'intérieur ett parfois a liertirieure Bt nous fllons voir une qustriéas ide, & savoir ve l'extérimur dluna chose est yarfois Lintériour dlune autze. IL y a un stagoiont dtintsriorité et dlextcriorits, et une relativite de cos dour iddess Par exemple, les forces axtéricuraa dea atoana, tun autre atau, aaviendront nolécules, et 1 celles qui liont un atone & es forces internes de Liaison & L'interieur des ‘tones eusindces ont on eux, cone forcee intcriaurea, des for008 et d'électrons, qui pour chaque électron seraiont dee forces Ti on ost do nico & tous lea stages ali réel, et co qui est, 1a force axtorne your des corps donnée est la force interne pour Ienseible du ayatéoa do cee corsa. A plusisurs ordres de grantour plus baut (si nous pouvona nous exprinar sins’) 41 ‘en va do tino pour la gravitation dos corps oblestas, force axterne pour chacun dee corps, force intarne pour l'ensemble du a/etine, Ainai les forces externos 40 Uingériour deviennent los forces interne du eupérieur, pour mutant.qu!il y a un aupéricure Bt sur co point Hartoann yout distinguer aa’ doctrine de celle da Hazel, =~ qui disait + lintértour ot Mextériou: ot Lortértour ost 1intéxiours Boge) Youlait diro qu'il nly a pas de secret. Ovost 1!interprétation, justifice, croyons- hod, que donne Kierkegaard de le yonsse higSlienne. Non seulement je a'exprine par tea ceuvzes et sea acted, unis je suis entidresent les oquvres ot les abt: Bes fonctions, et en dehors de cela, Je ne suis rion. Far conséquent Je suis ost enaeable ot je suis tout ontier extdrloraté, ot jo aude tout entior extérioris et Hartnann nele nie yase Mais co eur quoi ii insists, ctest qu'il n'est yas tout a fait exact de dire dane tous les ca ce que ait Hegel, et qu'il vaut eux dire que 'intérieur dtune chose eet identiquo, mon pas avec’ son extérieur, sais aves {tertériour d'une autre chosa. Ia doctzine de’ Hegel, si elle est vraie, eet plus profonde que celle de Hartaamn, Tl s'agit de savoir ai 1a doctrine de fiezel est vrais, et lest tout le aystéae do Hegel qui serait, ici on question» Done nous disions, pour nous en tenir sour le moment & Bartoarn, que 1'inté- rieur dlune structure dlensoable est identique avec Iextdrieur dlune autre structure @renvonble, Mais nous disona trop on disant identique, ajoute Hartaamn, oar oo n'est Quiune identité partielle, Bn effet, L'unité articulés’ de J'ensomble n'est pas Gcteraings soulopent jar lee Glémentes 1m structure dYenseable yout avoir de ceractéres spcoifiquas qui ne eont yas complétecont ceux des élénente; ot ainsi on bbe pout pas ainé complavenent quiil y a idontité entre ltextérieur des élésents, ou Jeo extérioure dos ciéaonts, qutal y mira plusieurs élésonts ot plusieurs extérieurs ‘[tintérieur da la structure dVensemble. le structure d'ensenble re dspend des Glémertte que dluna fagon lial téee Bt 2 faut ajouter une seconde obssrvation, & pavoiz quill y a, dlaitze part, une dépendance des élinents par rapport A 1a structure Atensonble Ce que nous venons de voix, cette relation étagée, échelonnée de 1"intérsour ‘et de ltextériour, your essayer de traduire l'exprossion de Hartmann, e@ renouvelle Jartout,odne dans’ les couches a'étze supérioures, 1d du moins o} il y a une suite ordonnés de structures dVenaeuble, Par arenyle, nous 1a voyons ee renouveler dane Tes rapports entre les orgarianes individuels et l'eepéces Mais nous 1a vayons #8 renouveler ausei 4 l"intcrieur de lorganisne. Les fonctions externas des, cellules Eniividuelles, (en particulier dana Ia production de nouveaux individua) constituent Jeo fonctions intarnes de l'orgeniazas ft de mbae, lee fonctions externes de indi ‘Viduy nous vanons do le dire, constituent 1a fonction interne de ce que nous pouvens appeler lespice. I] en est de noe pour 1a société, oo qui n'emplche pas que le individus ne eont Sndividus, pour une part, et pour’ une grande part, que par le fait de 1a scott ‘Tout & lhoure, quand nous avons dit qu'il y a cette relativité de 1'intome ot do Llertériour, nous avona ajouté que nianaoins ley structures denssable {ntérioures peuvent dépentze dea structures dVensoable supérieures, Done il y a une Astermination réciproque des Glénents et de ltenseable, clesti-dire de l'externe de Lntérieur, et do ltinterne du aupérioury chacun déternine dans une certains mesure jtautrey et en sifce temps i] ya une autoncaie relative de co que nous pouvons appeler Linterne du supérieure Puleque nous parlons dVintériorité et d'extéricrité, nous sores anonde Anois ooouper perticulitrenent des czganiaves vivants, car clest A partir de 1a vie que Tidce dlintériorité prend un sens, puisque, d'anrde Hartoamn, elle n'a yas un sens 3éel dans le donaine plysiquee Or i1 ne faut pas croire que Lorgantons vivant soit quelque chose de plus ferné que ce qui est audeasous do lu, car au contraire on peut dire quo l'ercaiane a ee ee con og at ii, ta, Agen tetas hme ne Set Sei ty al fw sent nem Ie Sesto it roe mean enmeln vn net a eae dn et et tec ey een pt Rut Seater na on mee cary ot she Hey ht Sone ea a ere ae gan er en tant qu'il peut stéquilibrer lui~m8mes Car mudessous du stade de la vie, nous , Se Sea gla a er open a iy Sage ree seis eutenf c o roe ee eto eee te eee Bt olest ains! quo nous voyons aVintonaifier Iinténiorité. Cotte inténtort ts nous a voyors apparatire d'une fagon ancore plus aéctsive dans le devenir do, individu uiolee, en tant qu'il eo forse, dane 1'eabryo-gentse, processus trbe coupliqué, ob nous avons 1ayression qu'il'y a une unite qui se poureiit 4 travers des phases, st qui ost orientée de Iintcrieure Tl y a la quelque chose qui nous Teste tystéricux, mis qui n'en est yas soins vrai pour cela. Ly a.un systoae de Aispoettions dans lee chromosomes, qui est quelque chose de différent dune staple colocation, ot qui est une sorte de déternination interne, qui forme une unite st une Yotalité aii generis, ot no se Isiese yas résoudre en facteurs purenent nécantqu Yous avons 18 quelque chose qui ne oe réduit yao aux Gésante, et qut & atanaijas, aan git nest pan ton jlus un Snoomaisesbio abecluy seulossct fous pouvone en saisix quo des exteriorieations. Bt notre organics wise nous est dons, uno jart dane see aszocts extérieurs, come nous voyons ches nos seablebleay et” Atautre part dans des sentinonte vitae * ésiste ‘etengua de Lorguniaoe,nous vayona atoureiz le sonde payehique ot persozna de 1thomes St lay I'intéricrst eat oaleie far la conscience, non pao tout oreities mais en partie, et de oo qui Aest pas conscient, nous pouvons parfois, ou nfm socvent, prondte conscieross a eonacsence de act est Qurlguo chose do rds list tunis quelque chose d'authentiques Elle est Linitée et nlatveint pas les profondeurs iol plus qu'elle niatteint loa profondeure du'aonde extésioure Bt Sot Hartman ajoute une oSngutdan Saco & celles que nous avons ditep au sujet doa relations do I'intésieur ot de Lertérieur, A savoir que anna’ la conscience Seiteacasie att conpiat in coeciesce do chino ur eytareares & nouns car ce n'est pas seulement de moi que je suis conscient, ce n'es lenent 3 tin Snedniors€éy ania ‘aussi don toletione aulsivlos dang looqetien Jo asta poe Faprort au mondo exteriors It'y 8 un enmeahle dvactes transcondarte gus nous Tet saieir Mertériour qui noun font salair "Uarelt dont nous patlions i) y'a un instants ‘Ainaiy 1a conscience de sot on elle-stae enferme une section considérable de mon extérieur. Tl y 8 1a un rapport profond de nous A ce qui est aitre quo Nous, ‘8 no somos disieds aur objets Clest pout-Stze le mirite de la phénenenologie In savoir au sujet du mujety pouvonenous ding, est lui-nine secondaire » La conscience de soi linitée Aalle-memen'est pas quelque chess de sfimédist ot de ‘si primaire qu'on Je croit ou quton 1'a cru pendant longtgspe; car la conscience de soi ost quelque chose qui vient aprés la consoience de moly en tant quo je suis en relation avec 1e monde,

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