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LA GESTION DE L’ESPACE AGRICOLE

INTRODUCTION
L’espace rural désigne par opposition à l’espace urbain, des zones caractérisées
par un peuplement de faible densité et par la prépondérance des activités
agricoles.
L’espace rural ne constitue pas un ensemble homogène. En premier lieu même si
le facteur de production principale est la terre, ce facteur renferme des terres de
qualité variable.
En deuxième lieu, les combinaisons entre les différentes terres se font selon un
dosage très varié (terre arable, terre disponible, environnement).
L’espace désigne une certaine étendue, cet espace est borné, son horizon spatial
n’est pas illimité (Surface Agricole Utile et Surface Agricole Totale). Les limites
découlent aussi de l’organisation sociale.
L’espace est également un objet de droit soit coutumier ou individuel (ex :
appropriation privée ou collective)
L’espace se segmente en parcelles et en exploitations.
En se fragmentant, l’espace acquiert une dimension. Celle-ci peut constituer une
contrainte.
L’espace vitale d’une économie de cueillette a des dimensions supérieures à
celles d’une société pratiquant un agriculture intensive (pays développé). Par
ailleurs il existe une répartition des cultures dans l’espace agricole.
L’appréhension des éléments qui commandent à la disposition des cultures dans
un espace donné, constitue une théorie de la localisation.

La surface agricole utile (SAU) notion technique, peut être plus ou moins
utilisée par opposition à la surface agricole totale (SAT) car, la superficie
effectivement mise en culture peut se dilater ou se contracter, certaines cultures
se trouvent éliminées en laissant place soit au vide soit à une autre culture
(exemple des jachères, des plantations laissées en friche…)
TITRE I : LA FORMATION DE L’ESPACE AGRICOLE

I- LA LOCALISATION DES CULTURES

A/LE ROLE DE L’AUTOCONSOMMATION

B/LE ROLE DU MARCHE

II- LE DEPLACEMENT DES CULTURES

A/LA DIMENSION DE L’ESPACE AGRICOLE

B/LA COMPOSITION DE L’ESPACE AGRICOLE


INTRODUCTION
Deux sortes d’analyses bien distinctes tendent à expliquer le schéma de
répartition des activités agricoles dans l’espace géographique.
Il s’agit de l’avantage comparatif lié aux conditions naturelles de David
Ricardo : ce qui fait qu’il est plus facile de produire de l’ananas en Côte d’Ivoire
qu’en Egypte par exemple.
On peut donc s’attendre à ce que les analyses ricadiennes s’appliquent en
agriculture plutôt qu’ailleurs. Cependant le point de départ de ces analyses
concernait le drap produit en Angleterre contre le vin portugais. Par extension,
on peut les transporter dans un schéma d’échange entre le Sud et le Nord. Où les
pays du sud ont plus d’avantage à échanger des denrées agricoles contre des
produits manufacturés en provenance du nord.
Mais, le problème est qu’en réalité certains pays du sud ne sont pas plus
avantagés que les pays du nord dans la production de certaines denrées agricoles
(avantage comparatif). Seulement aujourd’hui l’idée communément admise est
que l’alimentation est tellement importante qu’aucun Etat sérieux ne peut se
reposer sur le commerce, la bonne volonté des ses voisins et la liberté des mers.
Presque partout dans les pays sous développés, les gouvernements ont tenté de
mettre en place des politiques « d’autosuffisance alimentaire ». Ces politiques
ont connus des succès mitigés pour de raisons multiples (ex : courant d’échange
de produits agricoles s’orientent du Nord vers le Sud et d’Est en Ouest) ce qui
ne cadre pas avec la théorie ricardienne de l’avantage comparatif liée aux
conditions naturelles.
L’autre analyse est la théorie de Von Thünen, moins connu mais cependant plus
adapter à la politique agricole et l’aménagement du territoire. C’est ce que nous
verrons dans le titre I : La formation de l’espace agricole.

I- La localisation des cultures

B- Le rôle du marché

Dans cette analyse, à la différence de David Ricardo, l’auteur élimine tout


avantage comparatif, en raisonnant sur un modèle dans lequel une ville
ponctuelle (marché) est le seul lieu de consommation des produits agricoles
issus d’une vaste plaine homogène et plate.
Dans ces conditions, la recherche du moindre coût pour les consommateurs et la
concurrence entre les producteurs, les conduisent à localiser les productions en
cercles concentriques autour de la ville (les cercles intérieurs sont consacrés aux
productions qui exigent peu de terre (légumes) et qui nécessitent des coûts de
transports élevés par unité de produit et les cercles extérieurs sont réservés à
coûts de transport faibles (céréales)).
Ainsi, les difficultés de transport entre les zones de production et le marché
(centre) peuvent expliquer l’observation d’une différenciation poussée de
l’espace agricole.

I- LA LOCALISATION DES CULTURES

La localisation des cultures est dépendante du système économique pratiqué.


Dans toute économie, subsistent une certaine dose d’auto consommation et une
certaine influence de la ville voisine (marché).

A- LE ROLE DE L’AUTO CONSOMMATION

Lorsque prédomine des unités à caractère autarcique le paysage agricole, dans


une zone homogène, offrira la juxtaposition de cultures identiques. Celles-ci
peuvent variées selon la nature du sol, la pression démographique et l’ambition
des intéressés. Certaines régions sont propices à la culture des tubercules,
d’autres à celles des céréales.
Dans les zones à faible densité de population, l’élevage sera pratiqué et dans
celles à forte densité, il faut s’adonner à la culture.
Ici, la culture intensive obligera les producteurs à une utilisation complète des
terroirs.
Alors que dans le 1er cas (faible densité de population) c’est la jachère longue
qui sera pratiquée.
Si les individus se contentent d’une alimentation peu variée, le paysage agricole
ressemblera à celui d’une culture dominante (tubercules, céréales…).
La polyculture sera pratiquée dans les régions où le mode de consommation
alimentaire est varié.
Selon l’intensité du mode de consommation, la polyculture peut évoluée du
jardin familial, aux cultures de case ou déborder l’ensemble des cultures.
L’élément constant de cette diversité est l’économie familiale et domestique qui
détermine l’ordonnancement des cultures. Ici, l’unité de consommation se
confond avec l’unité de production, il en résulte que le paysage agricole sera
fortement fragmenté et formé d'éléments obéissant à des forces parallèles mais
isolées et distinctes (les contraintes naturelles étant identiques, les habitudes
sociales jouant, les unités voisines s’en remettent vraisemblablement à une
disposition analogue).

B- LE ROLE DU MARCHE

Ici, la problématique est simple. C’est de savoir comment les diverses activités
agricoles et les différentes cultures vont-elles se repartir lorsqu’elles sont
uniquement orientées vers un marché central, constitué par une concentration
urbaine ?
Cette manière de concevoir la problématique de la localisation a pour but de
mettre en évidence les effets de la localisation du marché sur la localisation des
cultures.
Pour cela, il faut faire abstraction des autres facteurs de la localisation. L’espace
sera considéré comme un espace parfaitement homogène (ex : plaine plate
dépourvue de tout accident de terrain avec des sols de qualité identique).
Ainsi, le seul facteur décisif de la disposition des cultures sera la plus ou moins
grande proximité du lieu de vente (marché central).
La localisation va donner lieu à une rente de situation à l’exception de toute
rente de fertilité.
C’est en fonction de la distance que les cultures vont s’ordonner autour du
marché central. Les zones situées à égale distance ayant une rente de situation
identique, ici les cultures seront disposées autour de la ville sous forme de
couronnes concentriques.
Que représente la rente de situation ? La proximité du marché central réduit les
coûts de transport et sa durée. C’est donc en fonction de la réduction de ce type
de coûts que les cultures vont s’ordonner autour de la ville. Les prix de vente
étant supposé résulter de la confrontation de l’offre et de la demande sur le
marché central. Chaque type de culture préférant se situer dans la proximité
immédiate du marché, comment la concurrence entre les différentes spéculations
concernant l’occupation du sol va-t-elle se résoudre ? Comment les différentes
cultures pourront-elles se départager ?
Comment le coût de franchissement d’un espace homogène peut-il déboucher
sur la disposition des cultures ?
C’est en ces termes que dès 1826 J.VON Thünen posa le problème de la
localisation des cultures dans son ouvrage intitulé « L’Etat isolé » Paris,
Guilaumin, 1851.
Dans son ouvrage, Von Thünen fait correspondre l’Etat isolé à un ensemble ville
campagne.
Pour lui, les produits qui vont se localiser dans les environs immédiats de la ville
seront des produits périssables qui ne pourront supporter un trajet relativement
long (ex. : légumes frais, certains fruits et laitage)
Ce qui est en cause ici, n’est pas le coût du transport mais sa longueur. Ensuite
viennent les produits dont le poids ou le volume est élevé par rapport à leur
valeur (ex. : quand le coût du transport est fonction du poids ou du volume de la
marchandise un long trajet rendra prohibitif le coût du transport)
C’est la raison pour laquelle Von Thünen situe dans cette zone la production du
bois.
Dans cette zone, on peut ajouter la culture de produits donnant lieu à un
système de production intensive (ex : culture à hauts rendements).
Dans une zone assez éloignée du marché central ou de la ville on peut trouver
des production de grande valeur mais à faible volume et produits issus de culture
intensive (ex : la culture alternée, la culture pastorale, l’assolement triennal et
l’élevage du bétail).
L’auteur parvient ainsi à la notion de distance maximale à partir de laquelle une
production agricole ne doit pas apparaître dans le paysage. Selon lui, les cultures
s’ordonnent autour du marché central en fonction de la distance qui sépare les
zones de production de la ville (lieu de consommation par excellence).
C’est en recherchant à minimiser les coûts de transport que l’agriculteure fixe à
la fois son programme de production et la physionomie du paysage agricole.
Cependant certaines critiques peuvent être faites à la théorie de Von Thünen : il
n’est pas obligatoire de considérer que le coût du transport est proportionnel au
poids et à la distance.
Des économies peuvent s’opérer sur des transports à longue distance (ex :
regroupement de plusieurs marchandises) ce qui a pour conséquence
l’élargissement de l’aire de production de certaines cultures. Par ailleurs en ce
qui concerne la disposition concentrique des cultures autour du marché central,
la présence d’un cours d’eau peut entraîner une déformation des zones de
production et leur donner une allure plus allongée.
T. Brinkmann a fait valoir que si l’éloignement était un facteur d’élévation du
coût de transport, il pouvait par contre alléger les coûts de production ; car les
salaires versés aux ouvriers agricoles sont sans doute moins élevés quand on est
loin de la ville.
D’autres parts, le recours à l’auto approvisionnement est plus pratiqué.
A. Lösch indique dans son ouvrage «The economics of location », Yale
University Press, 1954 indique que la frontière de production est définie par les
principes du calcul marginal ; elle correspond à l’intersection de la courbe du
coût marginal et de celle du revenu marginal (donc la répartition des cultures
dont le contenu est homogène et les contours bien tracés ne peut correspondre
qu’à des conditions rigoureuses).
Pour revenir à la théorie de Von thünen selon laquelle le schéma d’une économie
de marché dans laquelle chaque ville possède autour d’elle une aire
d’approvisionnement agricole pour laquelle elle constitue un débouché presque
exclusif a pu correspondre à un moment au niveau de développement
économique. L’organisation spatiale prend une autre allure sous l’influence du
développement et du bas prix transport. N’importe quelle région peut alimenter
n’importe quel centre urbain. L’éloignement ne constitue plus un obstacle et ne
commande plus à la structuration des relations entre centre de consommation et
aire d’approvisionnement en produits alimentaires. L’introduction de
l’hétérogénéité qui auparavant a pu être négligé pour les commodités de
l’analyse économique devient essentielle.
Dans un espace où les aires de production sont soumises à une concurrence
interrégionale, ce sont les particularités de chaque espace, spécificités qui
fixeront les vocations de chacun. L’hétérogénéité, loin d’être simplement un
phénomène d’imperfection devient l’élément en fonction duquel l’espace se
différencie en aires de production portant des cultures distinctes.
Mais si chaque région possède un système de production dominant qui traduit
d’une manière au moins approximative sa vocation et ses aptitudes naturelles
pour certains types de production, on peut les considérer comme un ensemble
homogène se distinguant des aires de production des autres régions. Ici,
l’analyse économique peut chercher l’articulation qui existe entre ces différentes
régions pour rendre la répartition des cultures optimale. Pour le faire, on peut
utiliser un modèle d’équilibre interrégional mené à l’aide de modèles de
programmation linéaire.
Il s’agit, compte tenu d’un certain nombre de contraintes, de parvenir à déceler
ce que devrait être du point de vue spatial, la répartition optimale des cultures.
L’espace considéré comme élémentaire n’est plus le couple ville campagne,
mais la totalité de l’économie nationale.
En tenant compte soit de la maximisation du profit global, soit de la
minimisation des coûts, de la dotation en facteurs de production terre et travail,
du volume de production qui correspond à la demande nationale, on peut définir
une répartition des cultures entre les diverses régions du pays que le modèle a
distinguées.

II- LE DEPLACEMENT DES CULTURES

L’espace agricole est sujet à un agrandissement quand les surfaces cultivées


augmentent et à une réduction dans le cas contraire.
Par ailleurs, le sol peut être immobile et seules les cultures se déplacent alors le
paysage agricole change d’aspect.
Ce sont ces modifications que nous analyserons ici.

A/ LES DIMENSIONS DE L’ESPACE AGRICOLE

Dans les pays en voie de développement et dont la densité de population est


faible, la mise en culture des terres neuves constitue l’un des moyens utilisés
pour faire face à la hausse de la demande agricole.
Pour les pays développés, on assiste à une contraction de l’espace agricole. Il
peut paraître paradoxal que l’aire agricole se restreigne alors que la production
agricole augmente.
La réduction de l’aire agricole s’opère par un double mouvement d’abandon et
de concentration.
Dans un premier temps, c’est l’abandon des terres marginales qui expliquent la
réduction de l’aire agricole.
Ces terres mises en culture dans une économie de subsistance peuvent ne pas
répondre aux exigences d’une économie d’échange (ex : sols pauvres, des
parcelles aux reliefs tourmentés …). Malgré sa lenteur et les retours dus à la
pratique d’une agriculture artisanale de luxe, le phénomène d’abandon des terres
marginales se manifeste.
Ce qui a pour conséquence la concentration des activités agricoles dans les
zones les plus fertiles.
Les causes de ce phénomène sont multiples. D’abord la baisse des prix agricoles
entraîne la mise en culture des terres les plus fertiles.
Ensuite, le progrès technique n’a pas la même incidence sur toutes les terres
quelles que soient leur nature et leur localisation.
Les effets du progrès technique se manifeste par une accentuation de la
différence naturelle dans la fertilité du sol (ex : l’utilisation de l’engrais va
accroître le rendement des terres les plus fertiles par rapport à celles moins
fertiles). Les facteurs physiques exercent une influence analogue ex : quelles que
soient les précautions prises pour combattre l’érosion, celle-ci se poursuit (le sol
des zones élevés se dégrade au profit des zones alluviales). Les politiques de
mise en valeur aboutissent aux mêmes résultats car elles sont coûteuses.
Pour cette dernière raison, elles seront localisées dans des zones à potentialités
élevées et variées.
Enfin, la pratique de la culture motorisée est plus aisée dans les plaines que dans
des régions au relief accidenté. Pour toutes ces raisons, la surface agricole tend à
se réduire. Cette contraction apparente se traduit dans le paysage par un
rétrécissement de l’aire de culture.
La réduction de l’aire de production agricole peut être due pour partie, à un
phénomène d’élimination.
C’est le cas lorsque la contraction de la surface agricole entraîne l’abandon des
terres marginales, ainsi les superficies délaissées retournent à l’état nature.

B/ LA COMPOSITION DE L’ESPACE AGRICOLE

Les cultures sont mobiles et leur degré de mobilité est variable. Plusieurs causes
interfèrent dans la fixation de cette mobilité.
Premièrement les facteurs naturels ex : les vignobles de qualité dont l’aire de
production dépend rigoureusement des terroirs et des cépages, la production de
légumes et de fruits primeurs n’est possible que dans certaines zones à vocation
prédéfinie.
Ces exemples abondent dans le sens de la fixité de l’aire de production. La
mobilité des cultures dépend également du développement économique.
Le développement intervient dans la localisation des cultures à travers
l’évolution des rémunérations, c’est l’exemple des productions qui
s’accommodent aux opérations manuelles (ex : culture de cueillette : noix)
Quand le taux de salaire horaire s’accroît, il y a déplacement de ces aires de
production vers des régions où la main d’œuvre est bon marché (ex : l’olivier).
La différence de rémunération peut affecter la répartition des cultures, même sur
un territoire homogène. Le régime des prix agricoles peut jouer sur la mobilité
constatée dans les différentes cultures.
Si les prix sont fluctuants il y a mobilité des cultures voir disparition de certaines
qui seront dans des zones non rentables.
Si les prix sont garantis cela sera favorable à une faible mobilité de la culture.
CONCLUSION

La question que l’on pourrait se poser est de savoir comment sous l’influence du
déplacement des cultures l’espace agricole se modifie-t-il ?
Il parait probable qu’il est soumis à concentration. Non seulement parce qu’il
enregistre une contraction mais aussi parce que, à l’intérieur de l’espace agricole
utilisé, la part de la production imputable aux zones les plus productives a
tendance à augmenter.
L’espace agricole ne se décompose pas en compartiments de plus en plus
spécialisés prenant la forme d’aires de production de plus ou moins vouées à la
monoculture.
Les risques sont atténués par la pratique de plusieurs spéculations.

Au niveau théorique à l’évidence, les cultures ne se disposent pas en auréoles


concentriques autour des villes, comme le croyait Von Thünen et le commerce
international n’est pas orienté en fonction de la théorie de l’avantage comparatif,
comme le croyait D. Ricardo.
Les tentatives faites pour utiliser la puissance des moyens de calculs modernes
afin de construire des modèles de « concurrence interrégionale » ont toutes
échouées.
Faut-il alors rejeter toutes ces approches et leur denier toute validité ?
C’est la position de certains analystes tel que Colin Klark qui accuse les
géographes d’avoir accordé une attention trop importante à la théorie de
localisation des cultures de Von Thünen en la croyant applicable aujourd’hui
alors qu’il s’agitait d’une étude intéressante d’économie rurale de l’époque de la
traction animale. Cependant, il existe d’autres travaux que celui de Von Thünen
et de D. Ricardo pour donner une explication théorique à la localisation des
cultures, sauf affirmer sans fondement que l’occupation de l’espace agricole est
dénuée de tout déterminisme ce qui est également faux.
En attendant, ceux-ci restent les seuls théoriciens qui ont donné les clés
susceptibles d’ouvrir, sinon d’entrevoir les portes de la connaissance en matière
de localisation des cultures et de la spécialisation dans la production agricole.
BIBLIOGRAPHIE

« Economie rurale » R. Badouin édition A. Colin 1971

« Le développement agricole en Afrique tropicale » R. Badouin édition cujas


1985

« Economie de l’agriculture » Jean-Marc Boussard collection économie agricole


et agro-alimentaire Economica.

« L’aménagement de l’espace rural : une illusion économique » Jacques Jung


éditions Calmann-Lévy

« L’introduction à l’économie rurale » Jean Marc Broussard éditions Cujas

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