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ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
MINI-PROJET D’OUVRAGES
HYDROTECHNIQUES :
Conception d’un barrage dans le
village de SIENE
Août 2018
Résumé
Résumé ....................................................................................................................1
INTRODUCTION ...................................................................................................4
1.4.2 Infrastructures..............................................................................................8
Conclusion .............................................................................................................58
ANNEXE ..............................................................................................................59
INTRODUCTION
C’est ce dernier point qui fera l’objet de ce présent mini projet dans lequel nous
dimensionnerons un ouvrage de mobilisation des eaux qu’on appelle barrage afin de
garantir une quantité d’eau nécessaire aux besoins des populations.
Le barrage est ouvrage hydraulique qui barre, sur toute la largeur, une section d'une
vallée et qui créé ainsi une dépression topographique artificielle étanche à l'eau.
La retenue créée par le barrage peut stocker une part importante des apports d’eau lors
des crues. Le barrage surélève le plan d’eau amont et a pour objectif :
Compte tenu des ressources et de la demande ici, nous allons essayer de satisfaire deux
types de besoin : l’abreuvement des animaux et l’arrosage des périmètres irrigués. Ces
demandes doivent être satisfaites durant toute la période sèche pour pouvoir aboutir aux
résultats escomptés.
Le climat de type tropical est caractérisé par deux (2) saisons : une saison pluvieuse
(juin-octobre), une saison sèche de novembre à mai avec deux (2) variantes (une variante
froide de novembre à janvier et une variante chaude de février à mai caractérisée par des
grands vents tels que l’alizé et le harmattan.)
La végétation est de type soudano sahélien caractérisé par une savane herbacée avec la
présence de grands arbres : le baobab, le néré, le caïlcédrat, le lingué, le figuier, le karité,
le sanan, le dougoura, le balansan.
On note la présence de petits marigots, mares et de petits lacs qui s’assèchent un ou deux
mois après l’hivernage. Le site du barrage est situé sur un cours d’eau temporaire qui
se réuni avec d’autre pour ce jeté dans le fleuve Niger.
1.4.1Population
La commune compte 8.131 habitants (cf. RACE 2001). La population est composée de
Bambara, peulh. Le Bambara est le seul dialecte de communication et l’ethnie
dominante.
1.4.2 Infrastructures
- L’élevage : Le cheptel est assez important avec plus de 2 540 bovins. Deux parcs de
vaccination dont un en bois permettent de lutter contre les épizooties.
- Ressources forestières :
Les produits commercialisés sont : le mil, l’arachide, les ovins, les caprins, la volaille,
les produits forestiers et artisanaux.
Ces calculs hydrologiques sont réalisés sur le bassin versant qui se ferme sur l’axe de
notre barrage.
Un bassin versant est un espace géographique tel que chaque goutte d’eau tombée, non
évaporée ou absorbée par infiltration, est acheminé par gravité en un point commun
appelé exutoire.
A l’aide des logiciels comme Global Mapper, nous avons pu délimiter le bassin versant
qui se ferme sur l’axe de notre barrage.
La surface du bassin versant est une caractéristique très importante dont la mesure se
fait à l’aide d’un planimètre, d’un papier millimétré ou par des techniques de
digitalisation ou de numérisation.
A l’aide du logiciel Global Mapper, nous avons obtenu comme surface 5,304 km2
Il est mesuré à l'aide d'un curvimètre, une ficelle ou des techniques de digitalisation. Le
logiciel nous donne P = 14856 m soit 14,856 km.
P 14,856
KG = =
2√πs 2√5,304 × π
𝐊 𝐆 = 1,8
Ainsi on a :
Bassin ramassé KG = 1
Bassin allongé KG > 1
Notre site se trouve dans des régimes sahéliens et des régimes subdésertiques. La
hauteur de l’averse décennale (P10) dans cette zone varie de 150 à 800 mm. Choisissons
comme valeur de précipitation décennale ponctuelle 𝐏𝟏𝟎 = 𝟏𝟗𝟎 𝐦𝐦
Elles correspondent à celles du rectangle ayant même surface S que le bassin versant.
𝐊 𝑮 √𝐒 𝟏, 𝟏𝟐 𝟐 𝐊 𝑮 √𝐒 𝟏, 𝟏𝟐 𝟐
𝐋= [𝟏 √
+ 𝟏−( ) ] et 𝐥= [𝟏 √
− 𝟏−( ) ]
𝟏, 𝟏𝟐 𝐊𝐆 𝟏, 𝟏𝟐 𝐊𝐆
1,8√5,304 1,12 2
𝐥= √
[1 − 1 − ( ) ] = 𝟎, 𝟖𝟎𝟒 𝑲𝒎
1,12 1,8
Elle indique la propriété qu’a le sol de transmettre l’eau et l’air. La perméabilité est
étroitement dépendante de la texture et de la structure du sol.
P5 : bassins perméables
Le sol de notre site est de type sable-argileux, donc on peut le classer dans la catégorie
P3.
0,026 0,026
Ig = = = 𝟏, 𝟏𝟑 % soit 𝟏𝟏, 𝟑 𝑚/𝐾𝑚
√S √5,304
DS = 26,02m
En fonction de DS on a un relief :
25 𝑚 ≤ 𝟐𝟔, 𝟎𝟐 𝒎 ≤ 50 𝑚, alors le relief (ici R3) de notre bassin versant est assez
faible.
C’est le rapport à la superficie d’un bassin versant (B.V), de la longueur totale (∑Li) des
cours d’eau de tous ordres à l’intérieur du B.V.
∑Li 10,81
𝐷𝑑 = = = 2,04 Km/Km2
S 5,304
Dd = 2,04 > 1 le cours d’eau de notre bassin versant a une bonne affluence.
La détermination du Kr10 est faite par interpolation entre les courbes R4P3 et R3P3 selon
la figure capturée :
18 𝑚𝑚 10
3×10
3 𝑚𝑚 𝑥 d’où 𝑥 = = 1,7
18
𝐾𝑟10 = 35 + 𝑥
𝐾𝑟10 = 36,7 %
Cette méthode permet l’estimation des débits de crues décennales pour les bassins
versant de superficie inférieure à 200 km2 en Afrique Occidentale.
𝐚 ∙ 𝐤𝐚 ∙ 𝐊𝐫𝟏𝟎 ∙ 𝐏𝟏𝟎 ∙ 𝐒
𝐐𝐫𝟏𝟎 =
𝐓𝐛𝟏𝟎
Avec :
ka : le coefficient d’abattement
Notons que pour une superficie comprise entre 0 et 25, le 𝑲𝒂 = 𝟏, et le temps de base
est lu sur un abaque (voir annexe, Temps de base), Tb10 = 6,17 ℎ
Q r10 = 43,65 𝑚3 /𝑠
C’est une méthode statistique applicable aux bassins versants de superficie inférieure à
1000 km2.
Formule à quatre
Q10 = 0,391xS0,71xIg0,47xkr10-0,93x Pan-0,25
paramètres 1,72
Durant la saison pluvieuse, les particules arrachées (terre, troncs d’arbres, branchage
etc.) pendant le ruissellement aboutissent au barrage et s’y déposent entraînant à la
longue le comblement de la retenue. La détermination des pertes par dépôts solides a
pour but de déterminer la quantité de matériaux susceptibles d’arriver annuellement dans
la retenue, correspondant à la dégradation spécifique annuelle.
Formule de GOTTSCHALK
Formule du CIEH-EIER
𝑃𝑎𝑛 −2,2
𝐷 = 700 ( ) × 𝑆 −0,1
500
1225 −2,2
𝐷 = 700 ( ) × 5,304−0,1
500
𝑫 = 𝟖𝟐, 𝟓 𝒎𝟑 /𝑲𝒎𝟐 /𝒂𝒏
Il convient de retenir la moyenne des résultats obtenus à partir des deux méthodes, soit:
220,05 + 82,5
𝑫 = = 𝟏𝟓𝟏, 𝟐𝟖 𝒎𝟑 /𝒌𝒎𝟐 /𝒂𝒏
2
Le volume annuel des dépôts solides qui correspond au volume déposé dans la cuvette
pendant la saison pluvieuse est :
𝑽𝑫 = 𝑫 × 𝑺
l’abreuvement de :
1200 têtes de bovins et la norme prévoit 30 à 40 l/j/tête.
1500 têtes de petits ruminants et la norme prévoit 5 l/j/tête.
Pour la culture du riz : soit 0,5 ha
Et les cultures maraîchères : soit 1 ha
BESOINS AGRICOLES
VT = 69443 m 3
𝑽𝑰 = 𝟎, 𝟏 × 𝐕𝑻
𝑉𝐼 = 0,1 × 69443
𝑽𝑰 = 𝟔𝟗𝟒𝟒, 𝟑 𝒎𝟑
Ces pertes par évaporation sont liées à la surface du plan d’eau et dépendent de :
la durée de l’ensoleillement
l’exposition au vent,
le déficit de saturation de l’air,
la présence de végétation aquatique,
la profondeur de la retenue.
𝑽𝒆 = 𝟏𝟓% 𝐕𝑻
𝑉𝑒 = 0,15 × 69443 𝑚3
𝑽𝒆 = 𝟏𝟎𝟒𝟏𝟔, 𝟒𝟓 𝒎𝟑
Pour avoir la capacité de la retenue il faut additionner les différents volumes calculés ci-
dessus avec celui des dépôts solides afin de permettre une exploitation convenablement
la retenue.
𝑽 = 𝑽𝑻 + 𝑽𝑰 + 𝑽𝒆 + 𝑽𝑫
𝑽 = 𝟖𝟔𝟖𝟐𝟕, 𝟗𝟓 𝒎𝟑
𝑽
𝑸=
𝒕
86827,95
𝑄=
3 × 3600
Le choix de l’axe du barrage se fait en décelant sur une carte à grande échelle un verrou.
Il a été mis à notre disposition une carte topographique sur laquelle l’axe du futur barrage
a été tracé. A partir de cette carte topographique, on pourra construire les courbes
hauteur-surface et hauteur volume.
Elle est obtenue en projetant les volumes (en abscisse) sur l’axe des hauteurs (en
𝑺𝒊 +𝑺𝒊+𝟏
ordonnée). Les volumes sont calculés par : 𝑽𝒊 = 𝒉
𝟐
Vu que les ouvrages hydrauliques ont une importance significative dans le projet, le
choix de notre barrage porte sur un barrage poids non-déversoir de section
trapézoïdale qui sera confectionné en maçonnerie de moellons.
La hauteur du barrage est donnée par l’ordonnée obtenue par la protection du volume
total (en abscisse) sur l’axe des hauteurs (en ordonnée). Nous avons obtenu 103,75 m
comme hauteur.
H1 = 2,25m.
La revanche est la tranche comprise entre le niveau des plus hautes eaux et la crête du
barrage. Elle a pour but de prévenir toute submersion du barrage dans des conditions de
crues exceptionnelles et de tempête la plus défavorable. Elle se calcul par :
𝑽𝟐
𝑹 = 𝟎, 𝟕𝟓𝒉 +
𝟐𝒈
Avec :
√𝑭
ℎ: la hauteur des vagues (m) donnée par : 𝒉 = 𝟎, 𝟓𝟎 + ;
𝟑
Caractéristiques Valeurs
𝑯 𝒃 = 𝐇𝟏 + 𝐑
Comme précisée dans la partie (Choix du type de barrage), la section retenue pour notre
barrage sera de section trapézoïdale avec le talus aval ayant pour pente 1/1, ceci dit, le
talus amont sera vertical.
𝑩 = 𝒃𝒄𝒓 + 𝒎𝑯𝟏
𝑩 = 0,75 + 1 × 3,2 = 𝟑, 𝟗𝟓 𝒎
Les valeurs dont nous aurons besoin pour la stabilité du barrage sont résumé dans le
tableau suivant. Notons que les valeurs en gras ont été choisies en se basant sur des
données sûres :
Caractéristiques Valeurs
Formules
𝑵 = 𝑮𝟏 + 𝑮𝟐 + 𝑮𝟑 + 𝑷′𝟐 − 𝑾𝟏 − 𝑾𝟐 𝑻 = 𝑷𝟏 + 𝑷𝒕 + 𝑷′𝟏 − 𝑷𝟐
𝐺1 = 𝑏𝑐𝑟 × 𝛾𝑏 × 𝐻1 1
𝑃1 = × 𝛾𝑤 × 𝐻1 2
2
𝐺2 = 0,5(𝑏 × 𝛾𝑏 × 𝐻1 ) 1
𝑃1 = × 𝛾𝑤 × 𝐻𝑏 2
2
𝐺3 = 𝐵 × 𝛾𝑏 × 𝑒 𝑃1 ′ = 𝛾𝑤 × 𝐻1 × ℎ
1 𝑃1 ′ = 𝛾𝑤 × 𝐻𝑏 × 𝑑𝑒
𝑃2 ′ = × 𝑚 × 𝛾𝑏 × 𝐻2 2
2
1 2 1 𝜋 𝜑
𝑊1 = × 𝐵 × × 𝛾𝑤 (𝐻1 − 𝐻2 ) 𝑃𝑡 = × 𝛾𝑖 × ℎ 2 × tan2 ( − )
2 3 2 4 2
1
𝑃2 = × 𝛾𝑤 × 𝐻2 2
2
𝐺 = poids du barrage ;
𝑊 = sous-pression de l’eau ;
NB : les colonnes surlignées sont à utiliser pendant la période des hautes eaux.
Ici, nous supposons que pour la construction du barrage toutes les eaux ont été bloquées
en amont. La résultante de toutes les forces passera donc du côté gauche du milieu de la
base, plus précisément au point A. Les calculs se feront selon le schéma qui suit :
𝑮𝟑 = 3,95 × 2,4 × 1 = 𝟗, 𝟒𝟖
𝑵 = 𝟐𝟕, 𝟓𝟑
la stabilité au renversement
∑ 𝑴𝒔𝒕𝒂/𝑩
𝒇𝒔 =
∑ 𝑴𝒓𝒆𝒗/𝑩
𝐺2 = 12,29 2 26,18
𝑏 = 2,13
3
𝐺3 = 9,48 𝐵 18,77
= 1,98
2
la stabilité au poinçonnement :
1
𝑞𝑎𝑑𝑚 = (0,5𝛾𝐵𝑁𝛾 + 𝐶𝑁𝑐 + 𝛾𝐷𝑁𝑞 )
𝐹𝑠
𝑁 6𝑒 𝐵
𝜎𝑟é𝑒𝑙 = (1 + ) Si 0<𝑒<
𝐵 𝐵 6
2𝑁 1 𝐵 𝐵
𝜎𝑟é𝑒𝑙 = (𝐵 ) 𝑠𝑖 <𝑒<
3 −𝑒 6 2
2
|𝑀/0 |
𝑒=
𝑁
Avec :
𝑒: L’excentricité
La seule valeur manquant est 𝑀/0, les calculs de ce moment sont résumés dans le tableau
suivant :
𝐺2 = 12,29 𝐵 𝑏 − 1,97
− (𝑏𝑐𝑟 + ) = 0,16
2 3
𝐺3 = 9,48 0 0
1
𝑞𝑎𝑑𝑚 = (0,5 × 1,9 × 3,95 × 33,92 + 0,3 × 46,12 + 1,9 × 1 × 33,30)
3
𝐵
Donc 0<𝑒< , alors
6
𝑁 6𝑒 27,53 6 × 0,41
𝜎𝑟é𝑒𝑙 = (1 + ) = (1 + ) = 𝟏𝟐, 𝟔𝟖 𝒕/𝒎𝟐 < 𝒒𝒂𝒅𝒎
𝐵 𝐵 3,95 3
La stabilité au poinçonnement est assurée quand 𝝈𝒓é𝒆𝒍 < 𝒒𝒂𝒅𝒎, vu que cette condition
est respectée alors la stabilité au poinçonnement est respectée.
N ∑|M/O | N ∑|M/O|
𝜎𝑚𝑖𝑛 = −6 et 𝜎𝑚𝑎𝑥 = 𝐵 + 6 𝐵2
𝐵 𝐵2
𝝈𝒎𝒊𝒏 𝝈𝒎𝒂𝒙
𝝈𝒂𝒎
𝒚 = 𝜎𝑚𝑖𝑛 et 𝝈𝒂𝒗
𝒚 = 𝜎𝑚𝑎𝑥
𝝈𝒂𝒎
𝒚 𝝈𝒂𝒗
𝒚
𝟐, 𝟔𝟕 𝟏𝟏, 𝟐𝟕
𝝈𝒂𝒎 𝒂𝒎 2 2 𝒂𝒎 𝒂𝒗 2 2
𝒙 = 𝝈𝒚 𝑚1 + 𝛾𝑤 𝐻1 (1 − 𝑚1 ) et 𝝈𝒙 = 𝝈𝒚 𝑚2 + 𝛾𝑤 𝐻2 (1 − 𝑚2 )
𝝈𝒂𝒎
𝒙 𝝈𝒂𝒗
𝒙
4,57 × 02 + 0 × (1 − 02 ) 11,27 × 12 + 0 × (1 − 12 )
𝟎 𝟏𝟏, 𝟐𝟕
𝝉𝒂𝒎 𝒂𝒎
𝒙𝒚 = (𝛾𝑤 𝐻1 − 𝝈𝒚 )𝑚1 et 𝝉𝒂𝒗 𝒂𝒗
𝒙𝒚 = (𝝈𝒚 − 𝛾𝑤 𝐻2 )𝑚2
𝝉𝒂𝒎
𝒙𝒚 𝝉𝒂𝒗
𝒙𝒚
(1 × 0 − 4,57) × 0 (11,27 − 1 × 0) × 1
𝟎 𝟏𝟏, 𝟐𝟕
- contraintes principales
𝑥 𝒂𝒗 𝑥 𝑥 𝒂𝒗 𝑥
𝝈𝒙 = 𝝈𝒙 + (1 − ) 𝝈𝒂𝒎 𝝈𝒚 = 𝝈𝒚 + (1 − ) 𝝈𝒂𝒎
𝐵 𝐵 𝒙 𝐵 𝐵 𝒚
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑇 𝝉𝒂𝒗 𝒂𝒎
𝒙𝒚 +𝝉𝒙𝒚
𝝉𝒙𝒚 = 𝝉𝒂𝒗 𝒂𝒎
𝒙𝒚 + (1 − ) 𝝉𝒙𝒚 + 𝟔 (1 − ) × ( − )
𝐵 𝐵 𝐵 𝐵 𝐵 2
La stabilité dans le corps du barrage est assurée quand toutes les contraintes sont
supérieures à zéro, vu que cette condition est respectée alors la stabilité dans le corps
du barrage est respectée.
Dans ce cas, la hauteur d’eau en aval (H2) et la hauteur de l’eau déversant au-dessus de
la crête du barrage (h) sont nulles.
stabilité au glissement
𝑩𝑪 × 𝑵𝒇
𝒇𝒔 =
𝑻
En se basant sur les formules énumérées au-dessus nous obtenons les valeurs suivantes :
Forces (t)
Verticales Horizontales
𝑮𝟑 = 3,95 × 2,4 × 1 = 𝟗, 𝟒𝟖
On aura donc :
𝟑, 𝟗𝟓 × 𝟎, 𝟑 + 𝟎, 𝟕 × 𝟐𝟒, 𝟓𝟕
𝒇𝒔 = = 𝟔, 𝟑𝟒
𝟐, 𝟗
La stabilité au glissement est assurée quand 𝒇𝒔 > 𝟏, 𝟓, vu que cette condition est
respectée alors la stabilité au glissement est respectée.
la stabilité au renversement
∑ 𝑴𝒔𝒕𝒂/𝑩
𝒇𝒔 =
∑ 𝑴𝒓𝒆𝒗/𝑩
𝐺2 = 12,29 2 26,18
𝑏 = 2,13
3
𝐺3 = 9,48 𝐵 18,77
= 1,98
2
𝑃1 = 2,53 𝐻1 4,43
+ 𝑒 = 1,75
3
𝑃𝑡 = 0,37 ℎ 0,52
+ 𝑒 = 1,4
3
𝑊 = 2,96 2 7,78
𝐵 = 2,63
3
La stabilité au renversement est assurée quand 𝒇𝒔 > 𝟏, 𝟓, vu que cette condition est
respectée alors la stabilité au renversement est respectée.
la stabilité au poinçonnement :
1
𝑞𝑎𝑑𝑚 = (0,5𝛾𝐵𝑁𝛾 + 𝐶𝑁𝑐 + 𝛾𝐷𝑁𝑞 )
𝐹𝑠
𝑁 6𝑒 𝐵
𝜎𝑟é𝑒𝑙 = (1 + ) Si 0<𝑒<
𝐵 𝐵 6
2𝑁 1 𝐵 𝐵
𝜎𝑟é𝑒𝑙 = (𝐵 ) 𝑠𝑖 <𝑒<
3 −𝑒 6 2
2
|𝑀/0 |
𝑒=
𝑁
Avec :
𝑒: L’excentricité
La seule valeur manquant est 𝑀/0, les calculs de ce moment sont résumés dans le tableau
suivant :
𝐺2 = 12,29 𝐵 𝑏 − 1,97
− (𝑏𝑐𝑟 + ) = 0,16
2 3
𝐺3 = 9,48 0 0
𝑃1 = 2,53 𝐻1 + 4,43
+ 𝑒 = 1,75
3
𝑃𝑡 = 0,37 ℎ + 0,52
+ 𝑒 = 1,4
3
𝑊 = 2,96 𝐵 𝐵 + 1,95
− = 0,66
2 3
1
𝑞𝑎𝑑𝑚 = (0,5 × 1,9 × 3,95 × 33,92 + 0,3 × 46,12 + 1,9 × 1 × 33,30)
3
𝐵
Donc 0<𝑒< , alors
6
𝑁 6𝑒 24,57 6 × 0,17
𝜎𝑟é𝑒𝑙 = (1 + ) = (1 + ) = 𝟖, 𝟑𝟒 𝒕/𝒎𝟐 < 𝒒𝒂𝒅𝒎
𝐵 𝐵 3,95 3
La stabilité au poinçonnement est assurée quand 𝝈𝒓é𝒆𝒍 < 𝒒𝒂𝒅𝒎, vu que cette condition
est respectée alors la stabilité au poinçonnement est respectée.
𝝈𝒎𝒊𝒏 𝝈𝒎𝒂𝒙
𝟒, 𝟓𝟕 𝟕, 𝟖𝟕
𝝈𝒂𝒎
𝒚 = 𝜎𝑚𝑖𝑛 et 𝝈𝒂𝒗
𝒚 = 𝜎𝑚𝑎𝑥
𝝈𝒂𝒎
𝒚 𝝈𝒂𝒗
𝒚
𝟒, 𝟓𝟕 𝟕, 𝟖𝟕
𝝈𝒂𝒎 𝒂𝒎 2 2 𝒂𝒎 𝒂𝒗 2 2
𝒙 = 𝝈𝒚 𝑚1 + 𝛾𝑤 𝐻1 (1 − 𝑚1 ) et 𝝈𝒙 = 𝝈𝒚 𝑚2 + 𝛾𝑤 𝐻2 (1 − 𝑚2 )
𝝈𝒂𝒎
𝒙 𝝈𝒂𝒗
𝒙
𝟐, 𝟐𝟓 𝟕, 𝟖𝟕
𝝉𝒂𝒎 𝒂𝒎
𝒙𝒚 = (𝛾𝑤 𝐻1 − 𝝈𝒚 )𝑚1 et 𝝉𝒂𝒗 𝒂𝒗
𝒙𝒚 = (𝝈𝒚 − 𝛾𝑤 𝐻2 )𝑚2
𝝉𝒂𝒎
𝒙𝒚 𝝉𝒂𝒗
𝒙𝒚
𝟎 𝟕, 𝟖𝟕
𝑥 𝒂𝒗 𝑥 𝑥 𝒂𝒗 𝑥
𝝈𝒙 = 𝝈𝒙 + (1 − ) 𝝈𝒂𝒎 𝝈𝒚 = 𝝈𝒚 + (1 − ) 𝝈𝒂𝒎
𝐵 𝐵 𝒙 𝐵 𝐵 𝒚
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑇 𝝉𝒂𝒗 𝒂𝒎
𝒙𝒚 +𝝉𝒙𝒚
𝝉𝒙𝒚 = 𝝉𝒂𝒗 𝒂𝒎
𝒙𝒚 + (1 − ) 𝝉𝒙𝒚 + 𝟔 (1 − ) × ( − )
𝐵 𝐵 𝐵 𝐵 𝐵 2
La stabilité dans le corps du barrage est assurée quand toutes les contraintes sont
supérieures à zéro, vu que cette condition est respectée alors la stabilité dans le corps
du barrage est respectée.
stabilité au glissement
𝑩𝑪 × 𝑵𝒇
𝒇𝒔 =
𝑻
En se basant sur les formules énumérées au-dessus nous obtenons les valeurs suivantes :
Forces (t)
Verticales Horizontales
𝑮𝟑 = 3,95 × 2,4 × 1 = 𝟗, 𝟒𝟖 1
𝑷𝟐 = × 1 × 12 = 𝟎, 𝟓
2
𝑾𝟐 = 3,95 × 1 = 𝟑, 𝟗𝟓 1 180 35
𝑷𝒕 = × 1,9 × 1,62 × tan2 ( − ) = 𝟎, 𝟔𝟔
2 4 2
1
𝑷′𝟐 = × 1 × 12 = 𝟎, 𝟓
2
On aura donc :
𝟑, 𝟗𝟓 × 𝟎, 𝟑 + 𝟎, 𝟕 × 𝟐𝟏, 𝟏𝟖
𝒇𝒔 = = 𝟐, 𝟏𝟑
𝟕, 𝟓𝟐
La stabilité au glissement est assurée quand 𝒇𝒔 > 𝟏, 𝟓, vu que cette condition est
respectée alors la stabilité au glissement est respectée.
la stabilité au renversement
∑ 𝑴𝒔𝒕𝒂/𝑩
𝒇𝒔 =
∑ 𝑴𝒓𝒆𝒗/𝑩
𝐺2 = 12,29 2𝑏 26,18
= 2,13
3
𝐺3 = 9,48 𝐵 18,77
= 1,98
2
𝑃2 = 0,5 𝐻2 0,67
+ 𝑒 = 1,33
3
𝑃2 ′ = 0,5 𝐻2 × 𝑚2 0,17
= 0,33
3
𝑃1 = 5,12 𝐻𝑏 10,6
+ 𝑒 = 2,07
3
𝑃1 ′ = 2,24 𝐻𝑏 5,82
+ 𝑒 = 2,6
2
𝑃𝑡 = 0,66 ℎ 1,01
+ 𝑒 = 1,53
3
𝑊1 = 2,90 2𝐵 7,63
= 2,63
3
𝑊2 = 3,95 𝐵 7,82
= 1,98
2
On aura donc :
66,41
𝑓𝑠 = = 2,02
32,88
La stabilité au renversement est assurée quand 𝒇𝒔 > 𝟏, 𝟓, vu que cette condition est
respectée alors la stabilité au renversement est respectée.
la stabilité au poinçonnement :
1
𝑞𝑎𝑑𝑚 = (0,5𝛾𝐵𝑁𝛾 + 𝐶𝑁𝑐 + 𝛾𝐷𝑁𝑞 )
𝐹𝑠
𝑁 6𝑒 𝐵
𝜎𝑟é𝑒𝑙 = (1 + ) Si 0<𝑒<
𝐵 𝐵 6
2𝑁 1 𝐵 𝐵
𝜎𝑟é𝑒𝑙 = (𝐵 ) 𝑠𝑖 <𝑒<
3 −𝑒 6 2
2
|𝑀/0 |
𝑒=
𝑁
Avec :
𝑒: L’excentricité
La seule valeur manquant est 𝑀/0, les calculs de ce moment sont résumés dans le tableau
suivant :
𝐺3 = 9,48 0 0
𝑃2 = 0,5 𝐻2 − 0,67
+ 𝑒 = 1,33
3
𝑃2 ′ = 0,5 𝐵 𝐻2 × 𝑚2 + 0,82
− = 1,64
2 3
𝑃1 = 5,12 𝐻𝑏 + 10,6
+ 𝑒 = 2,07
3
𝑃𝑡 = 0,66 ℎ + 1,01
+ 𝑒 = 1,53
3
𝑃1 ′ = 2,24 𝐻𝑏 + 5,82
+ 𝑒 = 2,6
2
𝑊1 = 2,90 𝐵 𝐵 + 1,91
− = 0,66
2 3
𝑊2 = 3,95 0 0
Tableau 3.12 : Calcul du moment par rapport au centre de la base, période des hautes
eaux
De ce tableau on a : 𝑀/0 = 8,3 𝑡. 𝑚.
1
𝑞𝑎𝑑𝑚 = (0,5 × 1,9 × 3 × 33,92 + 1,5 × 46,12 + 1,9 × 1 × 33,30)
3
𝐵
Donc 0<𝑒< , alors
6
𝑁 6𝑒 21,18 6 × 0,39
𝜎𝑟é𝑒𝑙 = (1 + ) = (1 + ) = 𝟖, 𝟓𝟑 𝒕/𝒎𝟐 < 𝒒𝒂𝒅𝒎
𝐵 𝐵 3,95 3,95
La stabilité au poinçonnement est assurée quand 𝝈𝒓é𝒆𝒍 < 𝒒𝒂𝒅𝒎, vu que cette condition
est respectée alors la stabilité au poinçonnement est respectée.
N ∑|M/O | N ∑|M/O|
𝜎𝑚𝑖𝑛 = −6 et 𝜎𝑚𝑎𝑥 = +6
𝐵2
𝐵 𝐵2 𝐵
𝝈𝒎𝒊𝒏 𝝈𝒎𝒂𝒙
𝟐, 𝟏𝟕 𝟖, 𝟓𝟓
𝝈𝒂𝒎
𝒚 = 𝜎𝑚𝑖𝑛 et 𝝈𝒂𝒗
𝒚 = 𝜎𝑚𝑎𝑥
𝝈𝒂𝒎
𝒚 𝝈𝒂𝒗
𝒚
𝝈𝒂𝒎 𝒂𝒎 2 2 𝒂𝒎 𝒂𝒗 2 2
𝒙 = 𝝈𝒚 𝑚1 + 𝛾𝑤 𝐻1 (1 − 𝑚1 ) et 𝝈𝒙 = 𝝈𝒚 𝑚2 + 𝛾𝑤 𝐻2 (1 − 𝑚2 )
𝝈𝒂𝒎
𝒙 𝝈𝒂𝒗
𝒙
𝟑, 𝟐 𝟖, 𝟓𝟓
𝝉𝒂𝒎 𝒂𝒎
𝒙𝒚 = (𝛾𝑤 𝐻1 − 𝝈𝒚 )𝑚1 et 𝝉𝒂𝒗 𝒂𝒗
𝒙𝒚 = (𝝈𝒚 − 𝛾𝑤 𝐻2 )𝑚2
𝝉𝒂𝒎
𝒙𝒚 𝝉𝒂𝒗
𝒙𝒚
𝟎 𝟕, 𝟓𝟓
- contraintes principales
𝑥 𝑥 𝑥 𝑥 𝑇 𝝉𝒂𝒗 𝒂𝒎
𝒙𝒚 +𝝉𝒙𝒚
𝝉𝒙𝒚 = 𝝉𝒂𝒗 𝒂𝒎
𝒙𝒚 + (1 − ) 𝝉𝒙𝒚 + 𝟔 (1 − ) × ( − )
𝐵 𝐵 𝐵 𝐵 𝐵 2
La stabilité dans le corps du barrage est assurée quand toutes les contraintes sont
supérieures à zéro, vu que cette condition est respectée alors la stabilité dans le corps
du barrage est respectée.
𝟏
𝑳𝒗 + 𝑳𝒗 > 𝑪𝑯
𝟑
Oû :
On aura donc :
1 1
𝐿𝑣 + 𝐿𝑣 = 3,95 + 1 + = 5,28
3 3
La vérification a failli, il faudrait donc penser à des appliquer des méthodes comme :
- Injection des coulis pour créer des rideaux étanches en aval du talus amont,
dans la fondation et
- Disposer d’un système de drainage en fondation, en aval des infections, pour
permettre l’évacuation des eaux d’infiltration.
Au pied d’un déversoir poids, les eaux arrivent avec une énergie cinétique importante
ce qui à la longue entrainerait un déchaussement de l’ouvrage évacuateur. Il faut donc
dissiper cette énergie à l’intérieur de lui-même plutôt que sur le fond ou les rives du
talweg ce qui nous conduira à la réalisation d’un bassin de dissipation. Le
dimensionnement du bassin de dissipation revient donc à donner une longueur
longueur déversant
𝑄 43,65
𝐿= =
𝑚. ℎ3/2. √2𝑔 0.40 × 𝑂, 73/2 × √2 ∗ 9,81
𝐿 = 42,07 𝑚
- Calculer 𝐻/𝑃 ;
- Calculer 𝐷/𝑃 ;
- Lire sur l'abaque la valeur correspondante de 𝑌𝑛 /𝑃 et en déduire 𝑌𝑛 = 𝑥. 𝑃
Application :
𝑯𝑶 = 3, 𝟐 𝒎 𝒉 = 𝟎, 𝟕 𝒎
Supposons D = 0,30m
𝑉1
𝐹= v1 et y1 représentent respectivement la vitesse en m/s et le tirant d’eau en
√𝑔.𝑦1
m
𝑉1 = √2𝑔(0,9(𝐻 + ℎ) − 𝑦1 ) Avec 𝐻 = 𝐻𝑂 + 𝐷
𝑄𝑃𝑟𝑜𝑗𝑒𝑡
𝑦1 = 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝐿: 𝑙𝑎 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑢𝑒𝑢𝑟 𝑑é𝑣𝑒𝑟𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒
𝐿 × 𝑉1
Donc
43,65
𝑉1 = √2 × 9,81(0,9(3,5 + 0,70) − )
42,07 × 𝑉1
𝑉1 3 − 74,16 𝑉1 + 20,4 = 0
𝑉1 8,47
𝐹= 𝐹=
√𝑔 × 𝑦1 √9,81 × 0,12
𝐹 = 7,81 > 4,5 et la vitesse d’entrée inférieur à 15m/s il est recommandé d’utiliser le
bassin de type II.
𝑦2 1
= √1 + 8𝐹 2 − 1
𝑦1 2
𝑦2 1
= √1 + 8 × 7,812 − 1 = 10,06
𝑦1 2
𝑑 ′ 𝑜ù 𝑦2 = 10,06𝑦1
𝒚𝟐 = 𝟏, 𝟐 𝒎
longueur du bassin
𝐿
Elle est exprimée par la relation qui se lit sur un abaque (voir annexe). La lecture de
𝑦2
𝐿
= 2,65 ↔ L = 2,65𝑦2 = 2,65 × 1,15 = 3,05 𝑚
𝑦2
ℎ2
Leur hauteur est exprimée par la relation qui se lit sur un abaque (voir annexe). La
𝑦1
ℎ2
= 1,8 ↔ ℎ2 = 1,8𝑦1 = 1,8 × 0,12 = 0,22 𝑚
𝑦1
ℎ4
Elle est exprimée par la relation qui se lit sur un abaque (voir annexe). La lecture de
𝑦1
ℎ4
= 1,4 ↔ ℎ4 = 1,4𝑦1 = 1,4 × 0,12 = 0,17 𝑚
𝑦1
Il est nécessaire ici de trouver les volumes de déblais, remblais et bu béton. Connaissant
la longueur transversale du barrage (y compris le bassin de dissipation) de 7 m et sa
longueur en vue en plan de 247,4 m, nous pouvons obtenir ces volumes. Les résultats
sont résumés dans le tableau suivant :
𝟏𝟔 − 17 10,37 1 13 91 −
𝑆𝑡 = 𝑆𝑏𝑎𝑟 + 𝑆𝑏𝑑
Où :
I. 2 Frais d'installation de chantier et d'implantation des ouvrages ff 1 2 500 000 2 500 000
II MUR D’ETANCHEITE
II. 2 Béton cyclopéen dosé à 350kg/m3 pour fondation 𝑚3 185,775 100 000 18 577 500
II. 3 Béton cyclopéen dosé à 350kg/m3 pour le mur d'étanchéité 𝑚3 593,76 100 000 59 376 000
III. 3 Béton cyclopéen dosé à 250kg/m3 pour le parement aval 𝑚3 1268,224 100 000 126 822 400
III. 4 Réalisation du bajoyer y compris toutes sujétions 𝑚𝑙 121 10 500 1 270 500
III. 5 Fourniture et pose de matériaux de remplissage des joints de 𝑓𝑓 7 500 000 3 500 000
dilatation et de construction y compris toutes sujétions
IV. 3 Béton dosé à 300kg/m3 pour le bassin 𝑚3 332,01 100 000 33 201 000
IV. 4 Béton dosé à 300kg/m3 pour blocs de chute 𝑚3 14,84 100 000 1 484 000
IV. 5 Béton dosé à 300kg/m3 pour blocs chicane 𝑚3 41,67 100 000 4 167 000
IV. 6 Béton pour la réalisation du seuil terminal 𝑚3 14,30 100 000 1 430 000
FORMATION
2- Note de calcul
II- Installation du chantier
1- Construction baraques
2- Délimitation domaine et
nettoyage
3- Amenée matériels
III- Terrassement
1- Implantation et fouille
IV- Maçonnerie
1- Préfabrication
2- Fondation
3- Mur d'étanchéité
4- Talus aval
5- Bassin à ressaut
V- Accessoires
1- Joint water - stop
1- Drains galerie le long du
barrage
2- Drains verticaux
3- Préfabrication batardeau
VI- Enduits
1- Revêtement des parois et
bassin
VII- Nettoyage et repli
VIII- Auto réception et corrections
La conception d’un barrage n’est pas chose facile car il faut tenir compte de beaucoup
de facteurs qui sont très importants pour la bonne tenue de l’ouvrage avant de prétendre
qu’on a vraiment atteint les objectifs fixés ; il s’agit de :
Le mini projet nous a permis de mûrir nos connaissances et de les appliquer plus ou
moins pratiquement. Aussi avions nous compris que lorsque les contraintes principales
à l’arête amont sont négatives, il faut augmenter le poids du barrage ; c’est-à-dire la
largeur (B) du barrage pour y remédier.
Toutefois, nous n’avons pas la prétention d’avoir abordé tous les aspects de fond ou de
forme de notre projet, c’est pour cela que nous restons ouverts à toute critique
constructive pour parfaire notre travail.
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