Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Eucaryotes
Procaryotes
Unicellulaires
Pluricellulaires
Les microorganismes c’est aussi tous les types métaboliques ( phototrophes, chimiotrophes).
Comme les animaux et les végétaux ils oxydent des composés organiques pour fabriquer de
l’énergie en plus certains microorganismes sont capables d’oxyder des composés minéraux
dans le même but ( H2, des composes soufres ou azotés, le fer)
D’ATP et de GTP
Les eucaryotes possèdent des organites alors que les procaryotes n’en possèdent pas.
Certains de ces organites sont des centrales énergétiques, les procaryotes n’en n’ont pas
pourtant eux aussi fabriquent l’ATP et le GTP. A titre d’exemple une cellule d’éléphant
dégrade le glucose pour en tirer de l’énergie
en suivant exactement les mêmes schémas réactionnels qu’E Coli à savoir glycolyse, cycle
de Krebs ré oxydation des coenzymes réduits dans une chaine respiratoire. Le bilan est
exactement le même 38 ATP
Cytoplasme et mitochondries
Chloroplastes
Il faut avoir à l’esprit que les organismes photosynthétiques ont deux types d’énergie
Les thylakoïdes pour l’énergie nécessaire pour fabriquer les photo assimilats
PROCARYOTES CHIMIOLITHOTROPHES
Ils dégradent des composés organiques pour en tirer de l’énergie. L’énergie est fabriquée
dans le cytoplasme.
NB Il ne s’agit pas ici de fabriquer le nucléotide ATP ou GTP mais de phosphoryler l’ADP ou le
GDP
Cas d’un microorganisme qui dégrade le glucose pour en tirer de l’énergie en aérobiose
Dans le cytoplasme
2 ATP
2 GTP
10 NADH2
2 FADH2
6 CO2
La dégradation du glucose est pourtant achevée mais on ne voit pas les 38 ATP ceci est dû au
fait que la phosphorylation de l’ADP ou GDP en ATP ou GTP ne se fait pas de la même
manière
L’ADP est phosphorylé en ATP grâce à l’énergie libre provenant du transport d’électrons. Les
électrons sont transportés le long d’une chaine respiratoire (aérobie ou anaérobie) ou alors
le long d’une chaine photosynthétique cyclique et / ou acyclique.
Contrairement aux eucaryotes, dont les chaînes respiratoires sont très semblables ou quasi
identiques, les procaryotes — bactéries et archées — possèdent une grande variété d'enzymes
de transfert d'électrons, qui utilisent également une toute aussi grande variété de substrats8. En
revanche, le transport d'électrons des procaryotes a en commun avec celui des eucaryotes
d'utiliser l'énergie libérée au cours de l'oxydation des substrats pour pomper des ions à travers
une membrane et produire un gradient électrochimique à travers cette membrane. Chez les
bactéries, la phosphorylation oxydative d’Escherichia coli est la mieux comprise, tandis que
celle des archées demeure mal connue9.
La présence d’une chaine de transport d’électrons ( dont l’accepteur final peut être l’O2 ou un
autre composé minéral)
La synthèse d’ATP se fait en deux étapes qui associent une réaction exergonique et une
réaction endergonique.
Le transport d’électrons le long de la chaine respiratoire va libérer l’énergie libre qui va être
utilisée pour le transport des protons. Il va se créer un gradient électrochimique de protons
avec dans le compartiment de départ des charges négatives et dans l’autre compartiment des
charges positives. Ce déséquilibre de charge est une situation instable il faut que le système
revienne à l’équilibre ; d’où la deuxieme étape
Deuxième étape
Le retour des protons dans leur compartiment initial se fait par simple diffusion mais comme
la membrane est imperméable aux protons le retour se fait par le canal de l’ATPase (voir
structure de l’ATPase sur le net) arrivée au niveau de la base de l’ATPase celle si va utiliser
l’énergie libre provenant du retour des protons pour phosphoryler l’ADP et produire l’ATP.