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Pour l’égalité politique Denis Diderot et d’Alembert, encyclopédie ce mot signifie

Rousseau : philosophe et écrivain français.
Les philosophes dénoncent l’inégalité surtout
Rousseau (le contrat social).
Rousseau est parmi les philosophes qui sont contre
l’inégalité et l’injustice de la société à travers « le
contrat social ».
Idées générale du texte :
Dans ce texte, Rousseau fait un paradoxe
entre l'homme primitif et l'homme civilisé.
L’homme primitif, quand il était proche de la
nature, il était heureux, il pouvait faire
beaucoup de choses sans problème. Mais cet
homme a été corrompu quand il a changé de
l'état de la nature à l'état de la société, donc il
n'avait plus la capacité de faire d'autres
choses, et il est privé de sa liberté.
enchaînement de connaissances
L'Encyclopédie : c’est un dictionnaire expliquant les sciences, les arts
et les métiers classés et publiés par Diderot.
l'Encyclopédie est le dictionnaire des connaissances et des sciences
publiée par Diderot avec l'aide d’Alembert.
Idées générales du texte :
- l'Encyclopédie est un enchaînement qui renfle les besoins de la
société au but de développer le genre humaine.
- le but de ce projet c'est diffuser les informations et développer
l'humanité.
- pour rassembler les connaissances ils ont ajoute trois choses
essentielles :
 le passé de la notion, il faut puiser et fortifier le savoir.
 le présent c'est expliquer le passé et l’exposer d'une
manière claire.
 le future transmettre cet héritage.
- la promotion de savoir visée par la connaissance totale, et
diffuser la liberté et le bonheur.

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Discours 2 chapitre 6 des moyens de D’Holbach Condorcet
s'assurer de la vertu Helvétius

Idées générale du texte : Idées générale du texte :

De L’esprit : est un traité philosophique
de Helvétius, publié à Paris en 1758.
C’est une œuvre capitale d’Helvétius
qui est condamnée par le conseil du roi.
Son influence sur la pensée
philosophique de son époque est
considérable.
Helvétius = Homme des Lumières. →
c’est un philosophe et poète français.
Ce texte commence à aborder le
problème de la vérité (justice + égalité).
Pouvoir opposé à la vérité ; société
d’Ancien Régime (« princes et des grands
»).
Au sein des encyclopédistes de son siècle,
Helvétius considère l’éducation comme
l’élément constitutif principal de l’esprit
des humains.
On indique, en ce chapitre, comment on
peut repousser les insinuations des
sociétés particulières, résister à leurs
séductions, et conserver une vertu
inébranlable au choc de mille intérêts
particuliers.
 Le besoin est le principe de la
vie sociale.
 L’homme est incapable de
subvenir à leur besoin tout
seul, il a besoin de l'autre.
 L’autorité et les lois de la
société sont basées sur le bien
de tous.
 La nature corrompt l'homme
par l'inégalité, de sorte qu'il
donne de la valorisation aux
hommes forts.
 L’obéissance des hommes vu
qu’ils sont capables de subvenir
aux besoins de la société, de
sorte qu'ils sont appréciés par
le prince et les citoyens.
 Il existe une inégalité naturelle
entre les hommes.
 Le principe de la société est
que tous les individus sont
égaux et que les bénéfices de la
société doivent également être
dans l'intérêt public.
 La loi doit punir les rebelles
pour la préservation des droits
de l'homme.
 l’homme est capable de prédire l'avenir
selon l'expérience du passé.
 Le seul fondement de croyance dans les
sciences naturelles est l'idée que les lois
générales sont nécessaires et
cohérentes.
 Les expériences du passé sont la seule
règle de la conduite des hommes sages.
 L’espérance pour l'avenir de l'humanité
peut être limitée à ces trois points
importants: la destruction de l'inégalité
entre les nations ; les progrès de l'égalité
dans un même peuple; enfin, le
perfectionnement réel de l'homme.
 L'existence de l'inégalité entre tous les
peuples civilisés. Pour que l'égalité soit
appliquée, L’effet de la différence
naturelle doit être diminué.
 L'égalité amènera les gens à avoir
certains moyens de subvenir à leurs
besoins.
 L'espèce humaine peut être améliorée
par de nouvelles découvertes dans les
sciences et dans les arts ou bien par des
progrès dans les principes de conduite et
dans la morale pratique.
 on trouve dans l’expérience du passé les
motifs les plus forts de croire que la
nature n'a mis aucun terme à nos
espérances.