La source d’inspiration dans les littéraires

a) Mondialisation :
Introduction possible : La valeur du monde réside dans sa volonté à réunir toutes les
potentialités diverses en vue de former un village global. Donc une unification qui s’étend
à la mondialisation, un défis à relever ; du coup les esprits s’assemblent, les ambitions
ressemblent à une symbiose tout tourne autour d’un idéal : former une société
internationale où la paix, l’économie la justice seraient mondiale et que le citoyen lambda
se présente comme un cosmopolite ( un citoyen mondial) si on rappelait la phrase de
jacques Chirac cette mondialisation dont l’enjeux est très convivial présente très souvent
des avantages et des inconvénients donc ni le bonheur ni l’horreur mais une réflexion
radicale qui mérite une analyse méticuleuse.
II) Intégration des cultures : « Ce sont nos misères communes qui portent nos cœur à
l’humanité » selon jean jacques rousseau comme pour dire que vivre en harmonie et
en symbiose reste un pilier fondamental dans le processus d’intégration des cultures ;
s’intégrer c’est s’accepter, partager ses peines et ses joies, c’est opérer un brassage
culturel, un métissage culturel au point cardinal du donné et du recevoir. Dans cette
mêlée, chaque partie doit être participative et contributive soit en empruntant
positivement chez les autres ou en apportant aux autres le meilleur de sa culture.
III) Réchauffement climatique : Le monde s’effondre, la terre risque de se fondre le ciel
gronde, l’atmosphère est intoxiquée et affublée d’une crise écologique qui laisse
croire que le climat mondial à sa santé menacée d’un certain nombre de pollution qui
gangrène nos sociétés modernes. Toutefois, il serait incohérent et indécent de ne pas
secourir notre environnement qui se dirige tout simplement vers un refus de considéré
le réchauffement comme un danger pour notre planète. Si le réchauffement
climatique, les tremblements de terre sont des risques à ne pas ignorer, toutes nos
forces doivent être mises en synergie pour endiguer cette spirale.
IV) L’Afrique des indépendances :
D’un point de vue général le continent africain fut le théâtre d’affrontements meurtriers
qui ont conduit les africains à la marche vers l’indépendance. Dès 1960 un tournant décisif
sursaute et forme un faisceau dans l’histoire pour enfin proclamer l’indépendance tant
attendu depuis il y a toujours ; que d’espoir, d’allégresse, d’euphorie et d’enthousiasme
pour rafraichir les mémoires. Outre, tombe d’Afrique 10 ans plu tard les indépendances ne
tarderont pas à décevoir l’espoir suscité va être étranglé par l’ignoble comportement des
nouveaux maitres, voilà la goutte qui fait déborder la vase. Les écrivains décident alors de
peindre cette nouvelle Afrique tombée dans les mains des incapables et irresponsables qui
n’ont que déçu.
V) Introduction générale valable pour la plupart des sujets de : français,
philosophie, économie …
Tout d’abord pour une saisie judicieuse du présent sujet soulignons qu’une chose
reste évidente ; hier tout comme aujourd’hui, s’il y a un terme qui suscite ou qui
continue à suscité d’énormes réflexions c’est bien celui de la/du……… qui fait l’objet
de préoccupation majeure de notre époque. Dans une analyse détaillée conforme aux
règles de l’art nous tenterons autant que faire se peut de……..
Importance de la lecture :

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« La vraie lecture commence quand on ne lit plus seulement pour se distraire et se
fuir mais pour se trouver » disait déjà JEAN GUEHENO histoire de montrer le but
idéal de la lecture et son impact dans la vie de tous les jours. Partant de cette
hypothèse, nous déduirons que la lecture est certainement une voie qui conduit tout
droit à la liberté physique tout comme celle spirituel. Dans le contexte des
indépendances politiques africaines, les écrivains les plus engagés de cette époque ont
fait de la lecture un tremplin (une circonstance favorable) permettant aux Africain de
prioriser le chemin de la liberté dans l’esprit de combattre l’insensée dictature qui
menaçait l’Afrique et les africains.
Importance du livre ou des œuvres littéraires
Nombreux sont ceux qui en parlant du livre évoquent sa pertinence, sa valeur
intrinsèque, sa puissance créatrice et même sa capacité à rendre autonome le lecteur.
PHILOSOPHIE
a) Science et technique :
L’homme depuis sont apparition sur terre n’a jamais cessé de chercher à
comprendre et à connaitre son environnement. Cet homme depuis l’aube des
temps a été objet d’étonnement face aux merveilles de la nature. Ainsi pour sortir
de l’obscurité et satisfaire sa curiosité ainsi qu’améliorer ses aptitudes l’homme
fait recours à la science et à la technique qui lui mettent en contact avec elle.
Démocratie :
Parmi les régimes politiques les plus connus et les plus convoités capables de
donner à l’homme sa dignité et à lui procurer le bonheur idéal dans l’esprit de
liberté et de justice, la démocratie reste la pierre angulaire. Du fond de ce régime
politique et social surgissent des amendements laissant croire qu’il est mieux de
vivre dans un mauvais régime démocratique que de donner sa vie à un bon régime
dictatorial, comme pour dire que la démocratie n’est pas un régime sans conflits
estime PAUL RICOEUR mais un régime dans lequel les conflits sont ouvert et en
outre négociables.
Autre introduction sur la science et la technique

Tout d’abord pour une compréhension heureuse du présent sujet, soulignons

qu’une chose reste évidente : l’homme dans ses contacts avec la nature mène
plusieurs activités et ce, dans le souci majeur de satisfaire ses besoins. Au nombre
de ces besoins figurent en bonne place la science et la technique. C’est conscient
que cela que l’auteur affirme « sujet » ou « sujet reformulé ».
INTRO SUR LA MORALE :
L’être humain n’a de valeur que lorsqu’il vit en société. Hors de la société estime-
t-on l’homme n’est rien mais cette vie en société est confrontée à d’énormes
difficultés d’où la nécessité des règles communes morales dont l’observation
permet de faire le bien et éviter le mal.
Intro sur le droit
Tout d’abord il faut sans doute souligner que les rapports entretenus par les
hommes dans la société sont en relations direct avec leurs intérêts qui par nature
sont très changeants. S’il est vrai que l’homme est un être rationnel, il n’en
demeure pas moins qu’il n’ait pas de très bonne disposition à l’égard de ses
semblables. Thomas Hobbes ne disait-il pas « homo homini lupus » « l’homme est
un loup pour loup ».Il devient donc absolument nécessaire d’établir un corpus de
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règles pour définir les actes permis, ceux interdits ainsi que la sanction liée à
l’inobservation de ces règles d’où le droit.

ECONOMIE INTRO SUR LES CARACTERISTIQUES ECONOMIQUES

ET EXTRA ECONOMIQUES DU SOUS DEVELOPPEMENT :
De nos jours, lorsqu’on passe en revu le paysage socio-économique des pays sous
développés, il est bien possible d’énumérer un certain nombre de caractéristiques
(éco/extra éco) parmi lesquelles figure en bonne place…..