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L’art de manger sans s’empoissonner

Discours par Cristina Romero

Lima, Pérou, 4ème septembre 2018

Après avoir des céréales avec des jus d’orange embouteillé pour le petit-déjeuner,

beaucoup de nous accompagne notre déjeuner avec une soda. Mais la somme totale

des calories de ces trois produits serait 470 kcal, avec 20 g de sucre par verre de soda.

Aujourd'hui, la plupart des aliments sur notre table sont passés par un processus

industriel. Donc, le consommateur risque-t-il de tomber malade ?

Chers camarades, je suis aujourd’hui devant vous, étudiants du Baccalauréat

International, pour vous encourager à éviter autant que possible les aliments malsains.

Les aliments font partie des éléments indispensables à la survie de l'être humain. Pour

ça, puisque l'être humain a recours à la raison, l’importance de l’alimentation est

énorme. Mais, avec l’augmentation des produits plus en plus artificiels et moins

naturels, il semble que le monde entier a développé un goût pour la nourriture qui est

mauvaise pour la santé parce qu’elle est conformée par produits préparés,

transformés et industriels. C’est-à-dire, la malbouffe.

La malbouffe est un fléau qui apparait vers le 20 et 21e siècle. Nous, habitants de pays

développés, avons évoluent pour avoir une capacité à admettre une surabondance de

nourriture.
Aussi, les personnes consommaient ces produits sans penser aux conséquences que

ces décisions peuvent avoir. Quelques exemples de ces conséquences peuvent être

l’obésité, diabète, et même, cancers. Ces maladies chroniques sont la première cause

de mortalité dans le monde, et touchent aussi bien les plus jeunes que les personnes

âgées. Par exemple, l’obésité en France à un pourcentage d’entre 21% et 22%.

Pourtant, nous pourrions les éviter car nous en connaissons la cause principale : notre

alimentation et ses déséquilibres dus en grande partie à la consommation de produits

industriels qui sont véritables bombes de graisse.

Donc, quelle pourrait être la solution pour ce problème ? Bon, contrairement à ce

qu’on pourrait penser, il y a des différentes manières d’améliorer la situation dans

laquelle nous vivrons. Je vais vous donner des exemples : on peut institutionnaliser

cette lutte si on taxe tous les aliments malsains, parce que comme le Sénateur Jean

Germain souligne : « au-delà de la souffrance humaine, la prise en charge de toutes ces

pathologies représente un coût financier qui est supporté par la collectivité et les

patients. » } Pour ça, elle touche la politique, l'économie, la culture, la société. Nous

croyons qu’elle représente l'ouverture des frontières et l'avènement du commerce

international, de la délocalisation et de la libre-circulation des hommes et des biens.

Pour conclure, je peux dire que la malbouffe est très préjudicielle pour la santé des

humaines, et pour ça, c’est important qu’on soit conscients des grands risques qu’elle

peut signifier. Il fait que la société a une culture plus positive vers les aliments naturels.
Donc, on doit prendre cette problématique comme une opportunité aussi, d'élargir

notre vision au même temps qu’on enseigne aux autres à avoir un meilleur plan

diététique, et de cette manière, chacun de nous permet améliorer le sort de millions

d’êtres humains à travers le monde.

Je vous remercie de votre attention.


Le neuro marketing
Le neuromarketing est un nouveau domaine de recherche du marketing qui étudie les
réponses sensori-motrices, cognitives et affectives des consommateurs à des stimuli
marketing (marques, produits ou publicités). C’est une application des neurosciences
cognitives au marketing et à la communication.
Les chercheurs utilisent des technologies telles que l’imagerie par résonance
magnétique fonctionnelle (IRMf) pour mesurer les changements dans l’activité de
certaines régions du cerveau, l’électro-encéphalographie (EEG) et le steady state
topography (SST) pour mesurer l’activité dans certaines régions du spectre de réponse
du cerveau et/ou pour mesurer, via des capteurs, tout changements dans son état
physiologique, connue sous le nom de biométrie (rythme cardiaque et activité
électrodermale de la peau) pour savoir pourquoi et comment les consommateurs
prennent des décisions et quelles parties de leur cerveau leurs disent de prendre ces
décisions.
Le but de cette discipline est de comprendre les comportements des consommateurs
grâce à l’identification des mécanismes cérébraux qui interviennent lors d’un achat ou
lorsqu’ils font face à une publicité.

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