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Compte Rendu
Métrologies
Réalisé par :
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La métrologie est la science de la mesure. La mesure est
l’évaluation d’une grandeur ainsi que la détermination de
l’incertitude liée à cette mesure. La métrologie permet de
déterminer la conformité des produits mais elle participe aussi
l’amélioration de la qualité. En effet, on ne peut valider une
action sur un procédé qu’en vérifiant le résultat de cette action
par une mesure.
Définition
L’échantillonnage est un outil pour la récolte d’informations
sur une livraison donnée. Étant entendu qu’il est impossible
de mesurer le caractère considéré sur tous les individus ou
l’ensemble du volume d’une livraison, il convient donc de
constituer un échantillon d’effectif ou volume plus restreint.
Le coût d’une observation ou mesure étant réel, il convient
évidemment de limiter et d’optimiser la taille de l’échantillon.
Étant constitué d’un nombre limité d’individus ou d’un
volume limité de la livraison initiale, l’échantillon n’apporte
qu’une information partielle sur la livraison considérée.
Cependant, le but de l’opérateur sera de constituer un
échantillon représentatif, c’est à dire s’éloignant le moins
possible des caractéristiques moyennes de la livraison.
Principes généraux
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Les différents plans d’échantillonnage présentent des
points de méthodologie communs décrits ci-dessous.
Niveau de Qualité Acceptable (NQA) :
Niveaux de contrôle :
Il existe trois niveaux de contrôle plus ou moins poussés : le
contrôle normal, le contrôle réduit et le contrôle renforcé.
Plus le niveau de contrôle est poussé, plus l’erreur
d’échantillonnage est faible. Il convient de choisir le niveau
de contrôle en fonction de l’erreur d’échantillonnage
acceptable et des contingences techniques et économiques.
S’il s’avère que le niveau de contrôle initialement choisi n’est
pas adapté, il conviendra alors de le renforcer ou le réduire.
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Par défaut, en l’absence de prescription particulière, il est
d’usage de commencer par un contrôle de niveau normal.
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Le but d’un contrôle de défectueux aux mesures est de
vérifier que la moyenne des valeurs d’un caractère d’un lot
respecte une limite supérieure U ou une limite inférieure L,
ou encore, à la fois, une limite supérieure et une limite
inférieure, dans le cas où le caractère considéré doit se
trouver dans un intervalle [ L;U]
La méthode consiste à constituer un échantillon, à mesurer
le caractère considéré sur tous les prélèvements
élémentaires de l’échantillon, et à comparer ensuite un Z-
score à un coefficient k, appelé constante d’acceptation qui
est obtenu à partir du NQA, du niveau de contrôle et de la
taille de l'échantillon.
- Le lot est homogène pour le caractère recherché, et la
distribution du caractère suit une loi normale ou assimilée
comme telle, qui sera caractérisée par une moyenne et un
écart type.
Exemple graphique :
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Figure 1
Figure 2
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Généralité sur la mesure :
Définitions:
***La grandeur physique (X) : Paramètre qui doit
ˆêtre contrôle lors de l’´elaboration d’un produit ou de son
transfert. Exemple : pression, température, niveau.
Le mesurage : C’est l’ensemble des opérations ayants pour
but de déterminer la valeur d’une grandeur physique.
La mesure (x) : C’est l’´evaluation d’une grandeur par
comparaison avec une autre grandeur de même nature prise
pour unité.
Exemple : Une longueur de 2 mètres, une masse de 400
grammes, un temps de 6 secondes.
Remarque : On ne peut pas mesurer une masse avec des
mètres, ce n’est pas homogène
. L’incertitude (dx) : Le résultat de la mesure (x) d’une
grandeur (X) n’est pas complètement défini par un seul
nombre. Il faut au moins la caractériser par un couple (x,
dx) et une unité de mesure. dx est l’incertitude sur x. Les
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incertitudes proviennent des déférentes erreurs liées à` la
mesure.
Erreur absolue (e) : C’est le résultat d’un mesurage moins la
valeur vraie de la grandeur physique. Une erreur absolue
s’exprime dans l’unit´e de la mesure.
Erreur relative (er) : C’est le rapport de l’erreur de mesure a` la
valeur vraie de la grandeur physique. Une erreur relative
s’exprime généralement en pourcentage de la grandeur
mesurée.
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Lorsque les erreurs accidentelles affectant les déférentes
mesures sont indépendantes, la probabilité d’apparition
des déférents résultats satisfait habituellement a` la loi
normale dite encore loi de Gauss :
Figure 3
Dans ce cas :
- La valeur la plus probable est la valeur moyenne des
mesures.
- En général on prend une incertitude ´égale à 3 fois l’´ecart-
type.
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Fidélité, justesse, précision :
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Les instruments par affichage disposent de repères mobiles,
de cadrans gradués ou de compteurs (aiguilles, vernier). La
valeur de la mesure peut immédiatement être lue.
Les jauges représentent soit la cote, soit la cote et la forme
demandées d’une pièce.
Exemple : les supports d’instruments et les prismes.
Figure 4
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Les pieds à coulisse :
Les pieds à coulisse se prêtent particulièrement bien aux
mesures rapides, ce d’autant plus qu’ils permettent de
mesurer l’extérieur, l’intérieur et la profondeur d’une pièce.
En raison des possibilités multiples de mesure, de leur
exécution simple et de leur maniement facile, ce sont les
instruments le plus utilisés dans la métallurgie.
Figure 5
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Généralités / dénominations des parties :
Figure 6
Exemple de lecture :
Figure 7
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Les micromètres électroniques à lecture numérique :
La graduation de ces micromètres permet un affichage
digital de 0.001 mm.
Avec les instruments à lecture numérique, il est possible de
mémoriser la mise à zéro pour des mesures comparatives,
de mémoriser des données ou de les transmettre à un
ordinateur pour la documentation.
Figure 8
Description :
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Figure 9
Exemple de lecture :
Figure 10
Rugosité
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C'est l'ensemble des irrégularités d'une surface à caractère
micrographique et macrographique.
Les surfaces usinées ne sont pas parfaites, elles présentent des
irrégularités dues aux procédés d'usinage, aux outils, à la
matière, etc.
Le rôle fonctionnel d'une surface dépend d'un certain nombre
de facteurs, notamment de l'état de surface (étanchéité,
glissement, etc.). Plus l'indice de rugosité est faible, plus il est
difficile à obtenir, ce qui augmente nécessairement le coût de
fabrication.
Surface géométrique : Surface parfaite ; Sur le dessin, elle est
définie géométriquement par le bureau d'études, à l'aide de
cotes nominales.
Surface spécifiée : Surface résultant de la surface
géométrique, transformée par le bureau des études qui
prescrit les limites de réalisation de cette surface à l'aide de
symboles et de valeurs numériques en complément des cotes
nominales du dessin.
Surface mesurée : Surface déterminée à l'aide des instruments
de mesure à partir de la surface réelle. La surface mesurée,
résultant de l'exploration de la surface réelle devra être l'image
la plus rapprochée de celle-ci.
Surface réelle : Surface obtenue au cours de la fabrication.
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La plus grande pièce acceptée est 10,1 : tolérance supérieure Ts
La plus petite pièce acceptée est 9,8 : tolérance inférieure Ti La
différence entre Ts et Ti s’appelle Intervalle de Tolérance : IT=0,3.
-Ajustement :
Exemple : 10H7g6
-Tolérance générale :
Exemple :
Spécifications géométriques :
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Figure 11
État de la surface
Mise en évidence des défauts :
Exemple :
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Figure 12
Figure 13
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Pour faire apparaître, on utilise un filtre passe bas qui ne laisse
passer que les longueurs d'onde w λ > λ (valeur à déterminer
Figure 14
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Figure 15
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Figure 16
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État de surface en tournage
Figure 17
Figure 18
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Remarque : Les avances élevées sont prévues pour une plaquette
avec un angle de pointe de 60° au moins et pour usiner avec des
vitesses de coupe modérées
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