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de l’électricité
TP N°1 : L’oscilloscope
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REDACTION D’UN COMPTE RENDU DE TRAVAUX
PRATIQUES
Le compte rendu des manipulations que vous avez effectuées est destiné non seulement à votre
usage personnel, mais aussi à être lu et apprécié par un lecteur.
D’emblée, il est donc nécessaire d’introduire succinctement le sujet traité. En quelques lignes,
il est souhaitable que soient définis clairement le but du travail réalisé ainsi que les lois que vous
vous proposez d’illustrer et de vérifier sans toutefois effectuer un recopiage du polycopié de T.P.
1. Donner le schéma du montage effectué. Celui-ci sera réalisé en utilisant les symboles
classiquement utilisés en physique.
2. Fournir un tableau récapitulatif des résultats de vos mesures où doivent figurer les unités des
grandeurs mesurées ainsi que les incertitudes sur celles-ci.
3. Pour les tracés de courbe :
a) Donner un titre au graphique.
b) Mettre l’origine et tracer les axes ; indiquer les grandeurs représentées et leurs unités sur
l’axe des abscisses et des ordonnées.
c) Choisir une échelle simple sur chacun des axes (le graphique doit occuper la totalité de
la feuille). Mettre des graduations régulières sur ces axes.
d) Placer les points expérimentaux en les encadrant de leur rectangle d’incertitude si celles-
ci sont disponibles.
e) Lisser la courbe suivant un tracé moyen passant par les domaines d’incertitude (ne pas
inclure les points aberrants).
f) Faire passer impérativement votre courbe par l’origine si la loi à vérifier le prévoit.
4. Discuter les résultats. Sont-ils en conformité avec ce qui était attendu ? Donner vos
conclusions.
Ces résultats dépendent en grande partie du matériel utilisé et du soin que vous avez apporté à
relever les mesures. En effet, toutes les mesures de grandeurs sont entachées d’erreurs dues à
l’expérimentateur et à l’imperfection des appareils de mesure.
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ERREURS ET INCERTITUDES DE MESURES
Durant les Travaux Pratiques, toute grandeur physique mesurée devra être
accompagnée de son incertitude de mesure.
Toutes les mesures de grandeurs physiques sont entachées d’erreurs dues à l’expérimentateur
et à l’imperfection des appareils de mesure. Il est alors nécessaire de connaître la confiance que
l’on peut accorder à ces mesures, et il devient donc indispensable de rechercher la marge
d’incertitude associée aux résultats expérimentaux.
4
= Sup ∣ ∣
C’est une grandeur positive qui admet la même unité que la grandeur X mesurée. On peut
ensuite déterminer un intervalle de confiance qui contient la valeur réelle :
Xm - X < Xr< Xm + X
Le résultat de la mesure s’écrira toujours sous la forme suivante :
X = (XmX) unité
I.5- Exemple
Deux distances focales f’ 1 et f’2 de valeurs 20 mm et 450 mm sont mesurées respectivement
avec les incertitudes f’1 = 5 mm et f’2 = 15 mm. Les résultats doivent s’écrire sous la forme
suivante :
⇒ f’1 = (20 ± 5) mm et f’2 = (450 ± 15) mm
⇒f’1 / f’1 = 0,25 = 25 % et f’2 / f’2 = 0,033 = 3,3 %
⇒la mesure de f’2 est donc la plus précise des deux.
= ( x1 + x2 + … + x n ) / n
Dans une première approche, l’incertitude expérimentale absolue (x)exp de la mesure peut
être alors définie comme la plus grande des valeurs | x1 - |, | x 2 - |, ..., | xn - |.
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Une autre approche plus statistique consiste toujours à aborder la mesure de la moyenne
arithmétique, mais en la couplant avec une mesure donnant des indications sur la dispersion des
résultats : l’écart-type. La moyenne arithmétique d’une série de mesures permet d’identifier la
quantité autour de laquelle les valeurs sont réparties. L’écart-type exprime la fluctuation des
valeurs autour de cette moyenne arithmétique. Elle est définie ci-dessous :
1
= ( − μ)
Un faible écart-type permet d’indiquer avec une plus grande précision entre quelles valeurs
peuvent varier les mesures. Plus la valeur de l’écart-type est faible, moins la dispersion des
mesures autour de la moyenne est importante.
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l’incertitude de classe (de gamme) :
x = (x)l + (x)c
III.4- Exemples
Nous mesurons un flux avec un appareil électromagnétique (luxmètre) de classe 2. Nous
sommes sur le calibre 200 lux (W.m -2), de pleine échelle 100 divisions, et la mesure effectuée
donne 85 divisions avec une imprécision de ½ division évaluée par l’expérimentateur.
⇒m = 200 x 85/100 = 170 W.m-2
⇒ ()l= 200 x 0,5/100 = 1 W.m-2
⇒ (D)c= 200 x 2/100 = 4 W.m-2
⇒= ()l + ()c = 5 W.m-2
⇒ = (170 ± 5) W.m-2
L’incertitude absolue est la même quelle que soit la valeur mesurée, il est donc judicieux
d’effectuer la mesure sur le calibre qui donne la plus grande déviation (appareil
électromagnétique) ou sur la gamme qui s’approche le plus de la valeur à mesurer (appareil
électronique à affichage numérique).
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Dans ce cas, on peut négliger l’incertitude expérimentale pour ne conserver que l’incertitude
instrumentale.
Si nous utilisons maintenant un appareil numérique plus précis de type MNK 179 (incertitude
relative de lecture = ± 0.04% de la lecture, incertitude relative de gamme = ± 0.005% du calibre).
L’erreur instrumentale est alors égale à :
⇒ (V)s= (V)l + (V)c = 12.03 x 0.04/100 + 20 x 0.005/100 ≈ 0.01V
⇒ (V)s< (V)exp
L’erreur instrumentale, au plus égale à (V)s n’est plus prépondérante. Nous ne prendrons en
compte que l’incertitude expérimentale. La précision de cet appareil est pratiquement superflue.
Il peut être souvent plus pratique de passer par la dérivée logarithmique, en particulier quand
la grandeur X est déterminée à partir de produits et quotients.
Exemple : Mesure indirecte d’une résistance R à partir d’une mesure d’une intensité I et d’une
tension U d’incertitude absolue respective I et U. Calcul de R :
On a : =
Passage par les dérivées partielles :
(1) et (2) ⇒ = +
(3) ⇒ =∣ ∣ +∣ ∣ =∣ ∣ +∣ ∣
(4) ⇒ =[ + ]
Passage par les dérivées logarithmiques :
ln = ln − ln
(1) et (2) ⇒ =− +
(3) et (4) ⇒ = +
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VI- Présentation des résultats
Ce qui précède montre qu’à toute mesure physique doit être associée une incertitude
absolue dont il faut tenir compte dans le résultat numérique final. L’incertitude absolue ne doit
comporter qu’un seul chiffre significatif en arrondissant toujours à la valeur supérieure. Si ce
chiffre est inférieur à 3, on peut admettre le deuxième chiffre significatif. Le résultat d’une
mesure doit être donné avec un nombre limité de chiffres, correspondant à l’incertitude absolue
maximale et compatible avec la précision de la mesure.
Exemples :
- R = 1035,55 W et R = 4,8 W ⇒ R = (1036 ± 5) W
- f’ = 30,5 cm et f’ = 1,15 cm ⇒ f’ = (30,5 ± 1,2) cm
- C = 15,281 µF et C = 0,52 µF ⇒ C = (15,3 ± 0,6) µF
= [ − ]²
soit minimale.
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E peut être nulle si la fonction f est un polynôme de degré N-1. Un tel polynôme n'est pas
interprétable physiquement dès que N est supérieur à 4. D'autre part toute mesure étant entachée
d'une incertitude, on ne peut imposer à la fonction f de passer par tous les points.
La condition sur E sera remplie si et seulement si :
1. Les dérivées partielles premières de E par rapport à chaque coefficient de f sont nulles ⇔
E est extrémale.
2. Toutes les dérivées partielles secondes de E sont positives pour les valeurs des coefficients
obtenus par la première condition ⇔ E est minimale.
La première condition conduit à la résolution d'un système de N équations à N inconnues.
Selon l'expression de la fonction, ce système sera linéaire ou non. La seconde condition n'est
jamais utilisée, car en prenant pour les coefficients des valeurs très grandes on peut obtenir pour
E des valeurs aussi élevées que l'on veut.
Détermination pratique des coefficients :
Afin de simplifier l'écriture, le symbole remplacera∑ . En général, la fonction f est une
fonction affine : y = a1x + a0
= ∑[ − ] =∑ ∑ −2 ∑ −2 ∑ 2 ∑
=2 ∑ − 2∑ 2 ∑ =2 − 2∑ 2 ∑
La condition de nullité de ces deux dérivées partielles conduit à un système de deux équations
à deux inconnues :
∑ ∑ =∑
∑ =∑
En général, ce système est un système de Cramer, il admet donc une solution unique donnée
par les expressions:
∑ ∑ ∑ ∑ ∑ ∑ ∑
= et =
∑ ∑ ∑ ∑
La droite ainsi obtenue passe par le point G, point moyen du « nuage ». Il a pour
∑ ∑
coordonnées ¯ = ; ¯ = . Pratiquement, on évalue le coefficient a1, puis on détermine le
coefficient a0 à l'aide de la relation ¯ = ¯ .
Pour évaluer les incertitudes sur a0 et a1, on utilisera une méthode simple, la méthode des
pentes extrêmes, qui est développée ci-dessous. D’autres méthodes, beaucoup plus rigoureuses
(méthode des moindres carrés pondérés, par exemple), existent mais nécessitent des calculs trop
longs pour être effectués dans une séance de Travaux Pratiques.
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TP N°1 : L’OSCILLOSCOPE
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I- But de la manipulation
II – Théorie
1) Impédance d’un circuit RC
On considère un circuit RC formé par une résistance R et une capacité C. L’ensemble est
alimenté par une tension u(t) alternative sinusoïdale de pulsation = 2f.
u(t)
u i
Figure 1
R C
uR YII YI
1
= −
R
= = + 1
Z C
12
Z
= =√ + L
R
1
Circuit RC tg -
RC
L
Circuit RL tg
R
b) Méthode expérimentale
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n
V
n
Figure 2
n
Le déphasage est donné par 2 .
n
( ) ( )
+ B’
( ) ( )
−2 cos = sin B
Figure 3
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est le déphasage entre les signaux en X et Y, son signe dépend du sens de parcours du spot
sur l’ellipse.
OA' OC' A' B' C' D'
On peut montrer que sin ou encore sin .
OA OC AB CD
Cas particuliers :
- si = 0 ou bien = , l’ellipse se réduit à une diagonale (vibrations en phase
ou en opposition de phase).
- si = (vibrations en quadrature de phase), l’ellipse est une droite.
III- Manipulation
La source est ici un générateur de basses fréquences (GBF) qui délivre un signal
sinusoïdal u (t ) U m cos t avec Um la valeur maximale du signal, exprimée en volt et sa
pulsation ( = 2f, fla fréquence en Hz)).
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2. On fait varier la fréquence du signal sinusoïdal délivré par le GBF. Soit Um et Im les
valeurs maximales de la tension et de l’intensité.
3. Remplir le tableau ci-dessous.
600
800
1000
b. Mesure du déphasage
Méthode en double trace
1. Fixer f= 600 Hz et prendre les valeurs de C = 0.1F et R = 1k
2. Visualiser les tensions u(t) et uR(t) à l’oscilloscope.
3. Mesurer l’écart nentre les deux signaux et la période n =T.
4. En déduire le déphasage .
5. Comparer cette valeur à la valeur théorique.
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f(Hz) URm(V) Im Zexp() Zcal()
600
800
1000
b. Mesure du déphasage
- Méthode en double trace
1. Fixer f = 600 Hz et prendre les valeurs de L = 0,1H et R = 200
2. Visualiser les tensions u(t) et uR(t) à l’oscilloscope.
3. Mesurer l’écart n entre les deux signaux et la période n =T.
4. En déduire le déphasage
5. Comparer cette valeur à la valeur théorique.
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TP N°2 : Balance de Cotton
Dispositif expérimental
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I-But de la manipulation
II- Principe
La balance de courant est conçue pour étudier la force de Laplace exercée par une
induction magnétique sur un élément de courant constitué ici par un court conducteur
rectiligne de longueur parcouru par un courant I (voir figure).
1. Dispositif expérimental
L’expérience de la balance de courant est montée comme dans la figure ci-dessus.
L’électro-aimant est branché en série avec la tension d’alimentation alternative à travers un
pont redresseur, un interrupteur et un ampèremètre permettant de mesurer le courant IM
(traversant l’électro-aimant).
Les bornes du conducteur sont reliées à travers deux rubans métalliques flexibles, tout
d’abord à un distributeur et ensuite à la tension d’alimentation continue à travers un
ampèremètre. La distance entre les rubans métalliques devrait être aussi grande que possible
et ils ne devraient se plier que légèrement, pour qu’aucune force du champ magnétique n’agit
sur eux. L’extrémité du conducteur plonge entre les pôles de l’électro-aimant.
2. Loi de Laplace
a. Définition
Un élément d de courant d’intensité I placé en un point M où existe un champ
d’induction magnétique B est soumis à une force magnétique :
⃗ = ℓ⃗ ∧ ⃗
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ou encore dFm = IdB sin avec = ( d , B )
L’unité de B est le tesla (T)
L’expérience montre que cette loi est non seulement valable pour
des circuits filiformes, mais applicable aussi à une matière
conductrice continue, solide ou même liquide, à condition de considérer d comme un
élément de tube de courant.
dFm = I d B
et puisque d et B sont orthogonaux ( = ) et B est uniforme, on peut écrire :
Fm = I B.
Cette force magnétique est balancée par le poids de la masse m (lecteur) permettant
l’équilibrage de la balance.
A l’équilibre, on a : Fm = I B = mg = F
III-Manipulation
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5) Faire vérifier le montage par l’enseignant qui équilibrera la balance si nécessaire.
N.B. : Pour les deux parties de l’expérience, la tension d’alimentation alternative est fixée
à 12V et la tension continue à 5V.
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TP3 : Mesure de la constante diélectrique
Dispositif expérimental
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I- Objectif :
C’est la mesure de la constante diélectrique de l’air (très similaire à celle du vide), et celle
d’un matériau isolant par l’intermédiaire d’un condensateur à plaques parallèles de capacité
variable.
II- Théorie :
A) Condensateurs et diélectriques :
Deux conducteurs électriques (métalliques), en influence totale séparés par une couche de
matière isolante (diélectrique), tels que l’air, l’eau, les matières plastiques, etc..., forment un
condensateur.
Dans un diélectrique, toutes les charges sont liées aux atomes ou molécules. La présence de
champ électrique externe provoque de légers déplacements de ces charges, dans un sens ou
dans l’autre suivant le signe, créant ainsi une polarisation électrique P . La polarisation d’un
diélectrique peut se produire de deux manières :
Par induction : le champ électrique induit des dipôles dans les molécules sur
lesquelles il agit.
Par orientation : si le diélectrique contient déjà des dipôles permanents (molécules
polaires : H2O, HCl…), le champ électrique va orienter ces dipôles dans sa propre
direction.
B) Constantes diélectriques :
εr= 1+ , εr : constante diélectrique (ou permittivité relative par rapport au vide). On définit
parfois une constante diélectrique absolue ε= εoεr.
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Le tableau suivant donne quelques valeurs de la constante diélectrique εr pour différentes
substances isolantes à pression et température ambiantes :
A l’intérieur d’un diélectrique, le champ E n’est plus égal au champ E ext , mais il est donné
La capacité C d’un condensateur est liée à la charge Q et à la tension V appliquée entre ses
Q
bornes : C en F (Farad). C dépend de la géométrie du condensateur et peut être
V
augmentée du facteur εr lorsqu’on place un diélectrique entre ses plaques.
Q S
C o r où ε= εo εr permittivité absolue du diélectrique, S surfaces des plaques et d
V d
la distance entre les plaques.
III Manipulation :
Matériels utilisés :
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Condensateur 220nf / 250v, G1
Principe :
De la même façon, la constante diélectrique est mesurée en remplaçant l’air entre les
armatures du condensateur par deux matériaux plexi-glace et bois.
Procédé expérimental :
= = = ′ ′ C’=220nF
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presser un bouton de décharge sur le front amplificateur afin de faire décharger le
condensateur de mesure en circuit d'amplificateur.
3. A l'aide de vis micrométrique établir la distance d entre deux plaques du
condensateur à 2 mm. Ensuite ajuster la tension d'alimentation du condensateur U
=1,5 kV qui reste fixe au cours d'une série des mesures.
4. Noter la tension U’ montrée par le voltmètre.
5. Reprendre les mesures pour les différentes valeurs de la distance et remplir le
tableau suivant :
1
6. Tracer la courbe Q en fonction de (papier millimétrie).
d
7. En déduire εair la permittivité de l’air. Faire un calcul d’érreur sur la valeur de εair
Attention :
Pendant les mesures ne pas s’approcher au condensateur C, car cela peut déformer le champ
électrique en condensateur. Il est recommandé de décharger du condensateur avant chaque
série de mesure en pressant le bouton de décharge.
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Uc (KV) 0.5 1 1.5 2.5 3 3.5 4
U’(V)
∆U’(v)
Q
εr
∆ εr
27
Noms & Prénoms :----------------------------------------------------------------S1 – 2015/2016
----------------------------------------------------------------------------Module : Physique I
----------------------------------------------------------------
Oscilloscope
600
800
1000
b. Mesure du déphasage
* Méthode en double trace
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2) Etude d’un circuit RL en alternatif
a. Mesure de l’impédance d’un circuit RL série (L= 0.1 H et R = 200
1. Régler l’amplitude de la tension du GBF à Um= 4Vet remplir le tableau ci-dessous.
f(Hz) URm(V) Im(mA Zexp() Zcal()
600
800
1000
b. Mesure du déphasage
* Méthode en double trace
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Noms & Prénoms :-----------------------------------------------------------------S1 – 2015/2016
Balance de Cotton
Conclusion :-----------------------------------------------------------------------------------------------
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
--------------------------------------------------------------------------------------------------------
-------------------
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Noms & Prénoms :----------------------------------------------------------------------S1 – 2015/2016
-------------------------------------------- Module : Physique I
1
3. Tracer la courbe Q en fonction de ( ) (papier millimétrie).
d
4. Déduire :
( , ∆ ) =………………….
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Uc (KV) 0.5 1 1.5 2.5 3 3.5 4
U’(V)
∆U’(v)
Q
εr
∆ εr
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