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Étanchéité (construction)

En architecture et en construction, l'étanchéité décrit les moy ens mis en œuv re pour s'assurer que les éléments
naturels extérieurs (pluies, humidité ascensionnelle, v ent) ou intérieurs (air saturé en humidité) ne v iennent pas
mettre en péril les éléments constitutifs du bâtiment (structure, isolation). L'étanchéité, dans le cas d'une
v entilation mécanique contrôlée (VMC), s'assure que les v olumes d'air intérieurs sont totalement pris en charge
par la VMC.

L'étanchéité est la plupart du temps assurée par des membranes, ou des enduits hy drofuges.

Sommaire
Étanchéité à l'eau
Étanchéité des murs en contact avec la terre
Étanchéité des murs de soutènement
Barbacanes en pied de mur
Drain de dispersion
Puits absorbants
Étanchéité des murs de cave
Étanchéité des murs contre l'humidité ambiante extérieure
Étanchéité des murs contre l'humidité ambiante intérieure
Étanchéité des murs contre l'humidité ascensionnelle
En France
Étanchéité des planchers contre l'humidité ascensionnelle
Caves et Vide ventilé
Étanchéité en toiture
Étanchéité des voiries
Étanchéité à l'air
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références

Étanchéité à l'eau
Le terme humidité utilisé dans le langage de la construction correspond à une présence anormale d'eau dans un
bâtiment. Pour une bonne prise en compte de l'humidité il faut la considérer dans ses différents états : sous forme
liquide de v apeur d'eau ou de cristaux de glace.

Sources d'humidité

L'humidité dans un mur trouv e des sources div erses :

lorsque le mur est adossé à des terres, il retient l'eau de terme saturer ou des terme dont
les terres sont imprégnées par l'effet des sources ou des pluies et qui finissent par
transsuder au travers des maçonneries.
l'eau peut être pompée par capillarité depuis les fondations par suite de l'action absorbante
et capillaire des matériaux.
l'humidité peut être causée par la pluie chassée contre le parement extérieur du mur. Lorsque
les matériaux sont trop poreux ou que le mortier est de mauvaise qualité cette eau peu
pénétrer jusqu'à l'intérieur.
Quelques fois l'humidité a pour cause les propriétés hygrométriques particulière des matériaux
qui absorbent l'eau sous forme de vapeur répandue dans l'atmosphère, la condensent dans leurs
pores où elle devient latente et la restituent en certaines circonstances sous forme d'une
sorte de transpiration abondante. On voit alors les pierres se couvrir d'humidité qui se
transforme bientôt çà et là en gouttelettes ruisselantes le long des murs. Les pierres
pleurent dirent à une époque les ouvriers de ce phénomène 1.
Le premier choc pétrolier en 1973, accouche dans les climats froids et tempérés, et surtout
dans les pays occidentaux, d'un nouveau type de construction faisant un usage intensif de
l'isolation thermique. Elle met en évidence une nouvelle source d'humidité, l'humidité
ambiante intérieure. Cette humidité a la fâcheuse propriété de se condenser dans les ambiances
froides et sur les surfaces froides. De plus une ambiance chaude intérieure saturée d'humidité
exerce une pression vers les ambiances extérieurs plus froides ce qui a pour conséquence que
l'humidité a tendance à migrer vers l'extérieur, au travers des parois, vers les ambiances
plus froides où elles se condense. Lorsque l'humidité se dépose à l'intérieur de l'isolant il
peut se produire deux phénomène qui ont des conséquences catastrophique pour l'isolation du
bâtiment: l'isolant imbibé d'humidité perd ses propriétés isolantes et en saison froide, cette
humidité peut geler et détruire l'isolant. On opte de plus en plus pour un type de
construction pourvue côté intérieur de membranes pare-vapeur parfaitement continues, visant à
préserver l'isolant de cette humidité. L'humidité ambiante est alors prise en charge par un
système de ventilation approprié, souvent une ventilation mécanique contrôlée (Voir le
chapitre consacré à l'Étanchéité à l'air).

Dégâts causés par l'humidité

Parmi les nombreux inconv énients de l'humidité, on doit compter l'insalubrité (dév eloppement de moisissures -
Aspergillus, et la redoutable Mérule pleureuse - et la prolifération d’acariens.) qu'elle génère et l'action
destructiv e qu'elle exerce sur presque tous les objets qui sont en contact av ec elle. L'humidité env ahit tous les
corps qu'elle rencontre horizontalement v erticalement et dans toutes les directions. Sous son action :

les enduits se détériorent et tombent


les lambris, planchers et parquets pourrissent
la peinture farine et se détache
les papiers s'imbibent et se décomposent, les textiles altèrent.
les meubles, ainsi que tous les objets que l'on amasse dans nos appartements sont exposés à
une détérioration plus ou moins rapide mais inévitable.

action conjuguée de l'humidité et du gel

Le corps des murs en élév ation subit une altération progressiv e qui peut compromettre leur solidité: une
humidité constante n'est pas nécessairement nuisible à des constructions en pierre : les pierres enfouies dans le
sol quoique séjournant constamment dans l'eau ne sont pas exposées à se détériorer mais il n'en est pas de même
de celles qui ont à subir une alternance de l'humidité, de la sécheresse et du gel. Les matériaux employ és
habituellement dans les constructions : bois, briques, moellons, pierres y compris les pierre les plus dures, le
marbre ou le granit sont tous plus ou moins poreux c'est-à-dire que plongés dans l'eau après av oir été
préalablement pesés dans un état de sécheresse complet il n'en est aucun qui pesé de nouv eau ne donne un poids
2
supérieur résultant de la dose d humidité qu'il aura absorbée . Lorsque le matériau est soumis au gel, l'humidité
se transforme en glace qui peut exercer des pressions disruptiv es sur le matériau qui conduit à sa fragmentation
(cry oclastie) ce qui peut compromettre la cohésion et la stabilité du mur (on dit que le matériau est gélif).

Les isolants qui se trouv ent imbibés d'humidité perdent leur capacité isolante, pourrissent dans certains cas, se
dégradent dans tous les cas par action du gel.

Étanchéité des murs en contact avec la terre


Étanchéité des murs de soutènement

Barbacanes en pied de mur

En règle générale on pourv oit le mur, de barbacanes : espèces de créneaux carrés ménagés dans le bas et à
trav ers le mur, pour faciliter l'écoulement des eaux. Si un mur présentant des problèmes d'humidité n'est pas
muni de barbacanes, on peut essay er d'en aménager. Ces barbacanes peuv ent se percer au trépan ou au ciseau de
maçon. On les rev êtait au e siècle, de tubes en fonte, qu'il conv enait de pousser le plus loin possible afin

d'empêcher l'eau de v enir encore mouiller le parement intérieur. Les tubes d'asséchement av aient 7 à 8 cm de
diamètre extérieur et étaient percés sur tout leur pourtour de petits trous coniques plus petits en dehors qu'en
dedans, afin d'empêcher, autant que possible, leur oblitération. Ils av aient l0,25 m de longueur, étaient
légèrement coniques et munis d'un manchon qui permettait de les assembler aisément bout à bout. Un de ces
tubes chassait l'autre dans les trous percés au trépan et qu'on prolongeait dans les terres d'une longueur de
1
4 à 8 mètres .

Drain de dispersion

On peut aussi décider de réaliser un drain en pied de maçonnerie. Au e siècle le trav ail consistait à faire une

tranchée pour séparer les terres humides du mur en ay ant soin de la creuser aussi bas que la retraite des
fondations. On maçonnait au fond de cette tranchée une rigole en pierres ou en briques, à laquelle on donnait une
pente d'un pour cent au moins et la forme d'une petite v oûte renv ersée. Au-dessus de la rigole, on construisait
une v oûte en pierres sèches, et au-dessus de cette v oûte on remplissait la tranchée av ec de la blocaille jetée pèle-
mêle et sans mortier. L'eau des terres suintait alors à trav ers cette blocaille, se rassemblait dans la rigole et
s'écoulait au dehors par une issue qu'on av ait pris soin de ménager. Il suffisait de donner à la tranchée 40 cm à 50
cm de largeur au fond. On tenait ses parois aussi raides que possible par des étrésillons qu'on enlev ait au fur et à
mesure qu'on la remplissait de blocaille. S'il n'en existait pas un crépi était soigneusement réalisé en mortier
1
hy draulique .

Au e siècle, si le principe est resté le même. Le drain lui-même est réalisé par des tuy aux percés de trous en

matière sy nthétique, en béton, en terre cuite, v oir en fibre de coco de plus ou moins 10 cm de diamètre. Le drain
est posé év entuellement sur une banquette en béton. Une chemise de drainage est disposée sur 50 cm autour du
drain, constituée de grav ier qui v ont agir comme un filtre et év iter le colmatage du drain par les terres ou par les
racines qui trouv eraient à s'y propager. Le grav ier est enrobé év entuellement d'une membrane géotextile ou
natte anticontaminante.

La face du mur en contact av ec les terres est enduite d'un mortier (épaisseur 10 mm et plus) additionnées de
couches de goudron ou de couches de v ernis activ é au bitume. Des nattes drainantes en poly éthy lène sont
agrafées sur toute la surface enduite qui v ont canaliser v erticalement l'eau v ers le drain en pied de mur.

Puits absorbants

Au e siècle, un autre moy en était utilisé pour faire disparaître l'humidité dont les terres sont imprégnées,

cause première de celle du mur. C'est le forage de puits absorbants. On appelait ainsi des trous forés à la sonde
comme les puits artésiens, mais qui produisent un effet inv erse. Dans certains cas, l'humidité de certaines
couches de terre prov ient des couches d'argile imperméables qui se trouv ent en dessous d'elles et qui ne laissent
pas filtrer les eaux plus bas dans des terrains perméables sur lesquels elles reposent elles-mêmes. Si l'on v ient à
percer le banc d'argile par des trous de sonde, l'eau trouv e son écoulement naturel, et le banc d'argile dev ient
alors un v éritable bouclier qui empêche les eaux imprégnant les terrains sous-jacents d'être pompées par les
maçonneries. La connaissance exacte de la constitution géologique du sol peut seule augurer de la faisabilité du
1
sy stème .
Étanchéité des murs de cave

Pour le mur de cav e on réalise le sy stème de drainage décrit plus haut.

Étanchéité des murs contre l'humidité ambiante extérieure


En Europe, la composition et l'épaisseur du mur ont été dictées par des
impératifs d'étanchéité. Le mur dev ait être suffisamment épais et
suffisamment étanche pour qu'entre deux saisons successiv es de temps
pluv ieux, le mur ait le temps de sécher suffisamment pour qu'à aucun
moment l'humidité du mur ne parv ienne jusqu'à sa face intérieure. On
préserv ait év entuellement le bas des murs v ia un rev êtement de dalles
sur une hauteur d'env iron un mètre. Si la base des murs était en pierre
calcaire de bonne qualité ou en pierre de meulière bien « rocaillée » ce
2 Crépissage d'un bâtiment au
rev êtement n'était pas nécessaire . Cameroun.

Utilisant de la pierre ou de la brique les murs dev aient être très épais.
3
Pour remédier à cet inconv énient quatre compositions de mur extérieur se sont constituées par la suite :

le crépi sur mur plein, dans les pays les plus secs;
le mur plein à peau étanche à l'eau et à la vapeur d'eau, par apposition d'une lame de pierre,
de céramique ou d'un matériau synthétique.
le mur creux. Le parement extérieur est séparé du bloc intérieur, porteur ou non, par une
coulisse ventilée, dans laquelle, plus tard s'insérera un isolant voire un pare-vapeur.
le bardage en écaille de bois d'ardoise ou de terre cuite.

Étanchéité des murs contre l'humidité ambiante intérieure

Étanchéité des murs contre l'humidité ascensionnelle


Au e siècle, le meilleur moy en se prémunir de l'humidité qui peut s'introduire dans les constructions par le sol,

consistait à interposer à un certain niv eau du mur un obstacle qui empêchait l'humidité de passer. On utilisait le
plomb, des enduits composés de corps gras bitumineux ou résineux ou des mortiers hy drofuges. L'étanchéité
était placée un peu en dessous du niv eau du sol intérieur du rez-de-chaussée et légèrement au-dessus du sol
extérieur.

Au e siècle, la manière de procédé est semblable. Les matériaux ont év olué caoutchouc, poly éthy lène

nerv uré, etc.

En France

Le respect du DTU 20.1 est efficace pour év iter les problèmes de l'humidité ascensionnelle. On constate qu'il faut
entre 8 et 15 ans pour s'apercev oir que le DTU n'a pas été pris en compte.

Étanchéité des planchers contre l'humidité ascensionnelle


Anciennement, pour les pièces au-dessous du rez-de-chaussée, on préconisait un enduit général de bitume
étendu sur toute la surface du sol sur lequel on disposait év entuellement un lit de mortier; au-dessus de cet
chape on établissait ensuite, soit un carrelage, soit un dallage de pierre ou de marbre, soit un parquet au-dessus
de lambourdes. Les lambourdes ou dallages pouv aient être disposés sur des murs espacés de manière régulière,
2
préfiguration de ce que seront les v ides v entilés .
Caves et Vide ventilé

La cav e était le lieu où l'on entreposait les denrées ou le v in, le bois, plus tard, le charbon. Selon Jacques-
François Blondel en 17 50 leur destination est de rendre le sol du bâtiment moins humide et par conséquent plus
habitable. Des soupiraux pour éclairer sont placés en v is=à-v is « au pied murs de face, du côté de la cour et du
côté Jardins; afin que par cette direction elles puissent faciliter la circulation de l'air ce qui contribue rendre
4
beaucoup plus sains les Appartements qui sont élev és au-dessus » .

La mise en œuv re des cav es, dans certains cas, fait l'objet de soins particuliers. Une cav e doit être fraîche en été,
tempérée en hiv er, pour la conserv ation du v in, exempte d'humidité :

En 1820, autant qu'il se pourra, les cav es à destination de la conserv ation du v in « seront construites
profondément en terre, entourées de bons aqueducs, trois ou quatre pieds plus bas que le pav é de la cav e, faits
en bonne maçonnerie ou en briques, pour qu'en tout temps, la cav e soit parfaitement sèche; sans cela, les douv es
et les cercles y sont très-v ite pourris. Les murs serv ant en même temps de fondements au bâtiment placé au-
dessus, et ay ant à résister à la poussée des terres et de la v oûte, seront construits en bons matériaux, av ec du
mortier fait en chaux v iv e (éteinte à mesure qu'on l'emploie), du bon sable de riv ière, et le crépissage mêlé de
cendres tamisées ou de briques pilées. On donnera à ces murs quatre à cinq pieds d'épaisseur suiv ant l'élév ation
ou le poids des murs qu'ils auront à supporter... ». On place des soupiraux au pour modifier l'atmosphère dans
5
certaines circonstances

Dans des rénov ations maladroites les soupiraux se retrouv ent souv ent obturés, les cav es ne sont plus v entilées,
l'humidité n'est plus év acuée ce qui contribue dans certains cas au dév eloppement de moisissures et à la
dégradation des murs.

Le v ide v entilé ou v ide sanitaire est un espace de 80−100 cm ménagé entre le plancher du rez-de-chaussée et le
sol et qui communique av ec l'extérieur au moy en de sas ou de tuy aux en T disposés de manière ponctuelle,
destiné à év acuer l'humidité ambiante excédentaire. Certaines cav es de faible hauteur pourront faire penser à
des v ides v entilés, toutefois il semblerait que cette manière de procéder nous v iendrait des États-Unis et que
6
l'Europe l'aurait adoptée à partir des années 1950, pendant la reconstruction .

Étanchéité en toiture

toiture traditionnelle (ardoisé tuile...)

L'étanchéité est assurée par la couv erture et la sous-toiture. Côté intérieure, l'isolant doit être év entuellement
protégé de l'humidité ambiante par un freine ou un pare-v apeur

toiture industrielle

L'étanchéité est assurée par une TAN (tôle d'acier nerv urée)

toiture terrasse (ou 5 e façade)

L'étanchéité y est assurée par un complexe Iso-étanche. Ce dernier est composé, de manière générale

- d'un pare-vapeur (évitant les remontées humides du bâtiment chauffé) ;


- d'un isolant (PUR, PIR, PSE, XPS, LM)
- d'un complexe d'étanchéité en partie courante (membrane bitumineuse, PVC, TPO,
FPO, EPDM)
- en périphérie de relevés d’étanchéité (de même nature que la partie courante).

Étanchéité des voiries


Étanchéité à l'air
Lorsqu'un bâtiment est construit sans souci de sa parfaite étanchéité à l'air (mode courant de construction), son
env eloppe et ses parois séparativ es entre locaux chauffés et locaux froids comportent des faiblesses. Pour n'en
citer que quelques-unes:

parpaings non enduits : circulation d'air à travers les joints;


jonction châssis/gros-œuvre non calfeutrée;
châssis mal conçus ou mal réglés;
passages de gaines non calfeutrés;
pare-vapeur non continu en cas de construction bois : faiblesse à chaque percement, pas de
scotch pour raccorder aux supports, etc.
Ces infiltrations entre espaces chauffés et espaces non chauffés ou extérieur donnent lieu à de la condensation.
Cette condensation peut s'accumuler dans les isolants ou tout autre recoin sans que personne ne s'en aperçoiv e,
jusqu'à détériorer complètement l'env eloppe thermique v oire la structure.

ATTENTION : la mousse poly uréthane en bombe ne calfeutre pas efficacement! Elle sèche au bout de très peu de
temps et s'effrite à la moindre dilatation. De même, les compribandes pour la pose de châssis montrent leur limite
lorsque le support de pose n'est pas parfaitement lisse : il ne doit ni être trop, ni pas assez comprimé.

Quelques solutions efficaces:

soigner la conception pour limiter les risques d'infiltration (pas de prise électrique en
paroi extérieure, dessiner les détails en imaginant un fil continu étanche, informer les
entreprises de chaque corps de métier de leurs devoirs et les recommandations en matière
d'étanchéité à l'air);
enduire intérieur + extérieur les murs maçonnés (parpaing, brique);
poser des scotchs adaptés entre châssis et support;
scotcher les lés de pare-vapeur entre eux et avec chaque support de manière totalement
continue;
colmater les traversées de réseaux avec le même produit que son support (mortier en cas de
béton ou maçonnerie, plâtre en cas de cloisons, béton en cas de dalle béton, manchettes ou
manchons en cas de pare-vapeur, etc.);
créer une enveloppe en mousse polyuréthane projetée (et non en bombe) d'au moins 3 cm sur le
bâti;
Pour v érifier la bonne étanchéité du bâtiment, on effectue un test d'infiltrométrie en cours de chantier après le
clos/couv ert et av ant toute finition, pour pouv oir accéder à tous les recoins et faire les reprises si besoin.

Les déperditions par une mauv aise étanchéité à l'air peuv ent être très préjudiciables à l'efficacité énergétique
d'un bâtiment, préoccupation majeure des standards issus de l'écoconception et des approches de ty pe haute
qualité env ironnementale comme la maison passiv e, tels les RT2005, HPE et THPE (v oir Haute performance
énergétique et Réglementation thermique (France)), BBC Effinergie (Bâtiment de basse consommation), Maison 3
litres, Passiv haus, Minergie et Minergie-Passif, etc.

Voir aussi

Articles connexes
Renouvellement de l'air intérieur
Solin (construction)
Humidité (construction)

Liens externes

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