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REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULATION

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE

LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

UNIVERSITE ABBES LAGHROUR KHENCHELA

Faculté Des Sciences De La Nature

Département de biologie

EXPOSE

Présenté en vue du l’obtention du diplôme de LICENCE Académique

Spécialité
Biologie Physiologie Végétal

Présenté par:
Laouar Madiha
Boughediri Sara
Chebah Nadjat

Encadreur : Dr. Fellous S. (M.C.B) Université Abbes Laghrour – Khenchela

Année Universitaire : 2019/2020


Introduction :
Les céréales sont les principales ressources de protéines et de calories. Le blé est le plus

cultivé des céréales et la première avant le riz et le maïs.

La graminée Triticum s’adapte presque à tous les climats. Le blé dur (Triticum durum

Desf) réussit bien dans les zones chaudes et sèches, très riche en gluten, c’est le blé des pâtes alimentaires.

Le blé tendre (Triticum aestivum. L), celui qu’on transforme en pain, s’adapte mieux aux hautes latitudes.

De plus, les systèmes de culture ont favorisé des types de blé ; le blé d’automne, semé pour profiter au maximum

de l’humidité hivernale et printanière, caractérise les régions méditerranéennes et tempérées. Le blé de printemps

signal les pays à hiver trop rude.

Le climat algérien, qui est de type méditerranéen, se caractérise essentiellement par la variabilité intra et

interannuelle des précipitations et des températures. Les stress climatiques,tels que les températures extrêmes,

le déficit hydrique, deviennent très communs à mesure qu’on pénètre dans les plaines intérieures

(Bensemane 2004). Ces contraintes altèrent le développement et la production des cultures (Baldy 1974).

La productivité de la céréaliculture pluviale reste tributaire de ces variations climatiques.

Ceci est surtout valable pour les régions des hauts plateaux qui se caractérisent par un cumul de pluie variant de

200 à 500mm, accompagné d’hivers doux à rigoureux et d’étés chauds et secs (Bouzerzour et al, 2002).

La culture de blé dur, spéculation traditionnelle, devenue stratégique au fil du temps en remplaçant l’orge comme

aliment de base de la population, occupe largement l’espace agricole des plaines intérieures et des hauts plateaux,

(Hakim 1989).

Amokrane (2001), note que le rendement est faible et fluctuant suite à l’effet des stress abiotiques.

Face à cette situation, les stratégies développées, pour améliorer la production du blé, sont la recherche de variétés

tolérantes aux stress d’une part et d’autre part une meilleure valorisation des eaux pluviales (Ykhlef, 2001;

Bensemane, 2004). La tolérance est souvent

liée à des facteurs génétiques qui assurent le maintien des fonctions vitales de la plante sous stress et l’adaptent

aux changements de son environnement (This et Monneveux, 1997).

L’eau est l’élément limitant, et la pluie devient plus rare une fois l’hiver sorti, il faut que le développement de la

plante soit à même de valoriser l’eau reçue. La plante doit compter, à la fin de son cycle, sur les réserves d’eau

stockées dans le sol pour faire une production acceptable (Simane et al. 1993; Passioura 1996).

L’effet d’un déficit hydrique au niveau de la plante, en particulier dans les feuilles, se définit par la nette

augmentation de concentration d’un certain nombre de constituants entre autres des composés azotés (Goas,

1965). La présente contribution à pour objectif, l’étude bibliographique de la caractérisation de la proline,


indicateur de stress hydrique chez le blé dur (Triticum duum Desf) en zone méditerranéenne.

1. Définition de blé dur:

Le blé dur constitue un élément essentiel dans la structure de la consommation des céréales. Il est, dans la

civilisation occidentale et au Moyen-Orient, un composant central de l'alimentation humaine. Il contribue

énormément aux apports caloriques et protéiques des populations de plusieurs pays. (Slama et al., 2005)

En Algérie, les produits céréaliers occupent une place stratégique dans le système alimentaire et dans l’économie

nationale. (Djermoun, 2009).

Le blé constitue une espèce de céréale particulièrement importante, occupant une place centrale par rapport aux

autres céréales. Cette importance réside dans le fait qu’il participe d’une façon primordiale et diversifiée à

l’alimentation humaine, et à l’emploi qu’il génère due à la superficie qu’il occupe en tant que principale culture

céréalière.

Les informations issues du ministère de l’agriculture montrent que les superficies emblavées et récoltées en blé

dur ont connu une augmentation de 2,4 % et 10,05% respectivement en 2014-2015 comparativement à la

campagne écoulée et la moyenne de production de blé dur avait augmenté de 61% au cours de la période 2009-

2015 (21 millions de quintaux) par rapport en 2000-2008 (13,5 millions de quintaux).

La figure 01 explique l’importance mondiale du blé selon la production par pays.

:Caractéristiques du blé .2
:  Caractères botanique .2.1
Le blé appartient au groupe de grandes espèces du genre Triticium, espèces que l’on peut
classer d’après le nombre de leurs chromosomes
A) Groupe possédant 2n=14 chromosomes
-Triticum monococcum, ou Engra B)
Groupe possédant 2n=28 chromosomes (tétraploides)
.Triticum diccocoides ou amidonnier sauvage -
.Triticum dicoccum ou amidonnier -
.Triticum turgidum ou blé poulard-
.Triticum polonicum ou blé de pologne-
.Triticum durum ou blé dur (Clément et Parts, 1970) -
.C) Groupe possédant 2n =42 chromosomes (héxaploides)
Triticum spelta ou épautre, espèce cultivée depuis l’age du bronze, qui ne subsiste plus -
.qu’en Suisse Russie, Iran, et en Belgique
.Triticum vulgare ou blé tendre ou froment -
.Triticum compactum ou blé hérisson (Clément et Parts, 1970) -

:  Classification botanique .2.3


Selon (Feillet, 2000) ; le blé dur est une plante annuelle monocotylédone qui appartient à la famille des
: graminées dont la classification botanique est dans le tableau suivant

Tableau n°1 : Classification botanique de blé dur. (Feillet, 2000)

:  Morphologie du blé .2.4


L’appareil reproducteur des graminées est spécifique. Il est constitué par des fleurs nombreuses, petites et
peu visibles qui ont, au lieu de pétales, des enveloppes membranaires non colorées. Elles sont groupées en épis
situés à l'extrémité des chaumes. Après fécondation, l'ovaire de ces fleurs se transforme en une semence ou "grain"
qui a la particularité d'être à la fois un fruit et une graine. Ils se sont soudés l'un à l'autre au cours du
développement. On appelle cette semence particulière un caryopse (Mosiniak et al, 2006).

: Définition de stress .3
Il est admis que les plantes subissent, comme tous les êtres vivants, l'action de divers stress. La baisse
de croissance et de rendement due à ces facteurs peut atteindre 50%. Les stress communément rencontrés
sont, l'action des températures extrêmes (DUBOIS, 1991), des régimes hydriques et des concentrations
salines (LEVITT, 1980). Le stress correspond à tout condition de l'environnement ou combinaison de
conditions qui empêche la plante de réaliser l'expression de son potentiel génétique pour la croissance, le
.développement et la reproduction (JONES et QUALSET, 1984)
: stress abiotique .4
Les stress abiotiques sont causés généralement par la sécheresse (GIRAUD et al, 2008), la salinité
(LUHUA et al, 2008), les hautes ou les basses températures, la lumière (GIRAUD et al, 2008), l’excès ou le
déficit en aliments et les métaux lourds (KLEIN et al, 2008). Les stress abiotiques induisent des changements
physiologiques (LANGRIDGE et al, 2006) et des changements dans les processus cellulaires et moléculaires
(CHINNUSAMY et al, 2006 ; TALAME et al, 2007). Les stress peuvent également affecter le fonctionnement
de la plante en perturbant les flux ioniques (LANGRIDGE et al, 2006) ou en altérant les parois ou membranes
.cellulaires (ZHU, 2001 ; WANG et al, 2003)
: Stress hydrique .4.1
Le manque d’eau, déficit hydrique ou la sécheresse représente le stress abiotique le plus sévère, auquel la
culture du blé dur fait face dans les conditions de productions des zones arides et semi- arides (Chennafi et al,
2006). Le déficit hydrique joue un rôle direct sur la physiologie des plantes ; toutes les fonctions physiologiques ne
sont pas affectées en même temps et avec la même ampleur (BRISSON ,2008).

: Stress saline .4.2


Le stress salin peut directement ou indirectement affecter le statut physiologique des plantes en changeant
leur métabolisme, leur croissance et leur développement (AJMAL KHAN, 2000 ; GARG et al, 2002). Il est difficile
d’estimer les conséquences d’un stress salin, car il recouvre à la fois des stress hydrique, ionique et nutritionnel.
Ainsi, les impacts de la salinité sur le développement et le rendement de la plante sont aussi nombreux que difficiles
àhiérarchiser Les problèmes osmotiques pourraient se produire en raison de l’accumulation des concentrations
élevées de Na+ dans l’apoplasme des feuilles, puisque l’ion Na+ présent avec les éléments circulants dans le xylème,
est laissé pendant que l’eau s’évapore (TESTER et DAVENPORT, 2003).

: Stress thermique .4.3


Le stress thermique est souvent défini quand les températures sont assez hautes ou basses pendant un temps
suffisant pour qu'elles endommagent irréversiblement la fonction ou le développement des plantes. Elles peuvent
être endommagées de différentes manières, soit par des températures basses ou élevées de jour ou de nuit, par
l’air chaud ou froid ou par les températures élevées du sol. La contrainte thermique est une fonction complexe qui
varie selon l'intensité (degré de la température), la durée et les taux d'augmentation ou de diminution de la
température. (Oukarroum, 2007)

5. Effet de stress abiotique chez le blé :


5.1. Effet du stress hydrique :
L’eau constitue le milieu interne des plantes. C’est une véritable matrice vitale du fonctionnement
cellulaire, les différents organes de la plante renferment entre 80 et 90 % d’eau. Cette eau est
nécessaire au fonctionnement de la plante. L’eau d’imbibition qui s’évapore suite à la transpiration
.est renouvelée en permanence par l’eau absorbée par les racines
L’eau joue un rôle primordial dans la photosynthèse, le transport et l'accumulation des éléments nutritifs
ainsi que dans la division cellulaire et la régulation thermique, c’est l’élément essentiel dans la croissance et
.le développement des plantes cultivées
En effet l’eau est indispensable aux plantes à tous les niveaux. A l’échelle moléculaire l’eau agit comme
matrice pour toutes les réactions enzymatiques au niveau de la phase photochimique de la photosynthèse,
et apporte de l’hydrogène et de l’oxygène. A l’échelle de la cellule, l’eau a un impact direct sur l’architecture
des organes et leur élongation. Enfin, à l’échelle de la plante, elle permet l’assimilation des solutés présents
.dans le sol et leur migration vers les parties aériennes de la plante

Le stress hydrique est l’un des stress environnementaux les plus importants, affectant la productivité agricole
autour du monde, il occupe et continuera d’occuper une très grande place dans les chroniques agro-économique.
C’est un problème sérieux dans beaucoup d’environnements arides et semi-arides tel qu’en Algérie, où les
précipitations changent d’année en année et où les plantes sont soumises à des périodes plus ou moins longues
dedéficit hydrique (Mefti et al, 2000).

(Tardieu, 2005) mentionne que le statut hydrique de la plante passe progressivement par trois principales phases,
selon le développement du stress hydrique. Au cours de la phase initiale, la transpiration et l’assimilation se
déroulent comme si la plante dispose de l'eau à volonté. Cette phase se poursuit jusqu’au moment où le niveau
d’absorption racinaire ne peut plus satisfaire la demande des feuilles faute de l’épuisement des réserves utile du
sol. Après ce seuil, la plante entre dans la seconde phase, au cours de laquelle la transpiration et l’assimilation sont
réduites relativement à leur potentiel. La plante réagit de façon dynamique au cours de cette phase, pour rétablir
l'équilibre entre la demande et l'offre du sol, en faisant intervenir des mécanismes qui lui sont propres Quand le
déficit hydrique devient plus intense, alors la plante entre dans la troisième et dernière phase au cours de laquelle
la croissance s’arrête Le manque d’eau ou déficit hydrique représente le stress abiotique le plus sévère auquel
laculture du blé dur fait face (Chenaffi et al, 2006), il affecte plusieurs paramètres au niveau de la plante, qui sont :

 La photosynthèse :

Parmi les modifications physiologiques liées au stress hydrique, la régulation stomatique qui influe sur la
photosynthèse et la respiration, La baisse du potentiel hydrique de la plante se traduit principalement par une
diminution de la pression de turgescence (Benkolli et Bouzeghaia, 2016) ensuite à une perte de fonctions vitales.
Donc un stress hydrique provoque la fermeture des stomates, ralentissant la photosynthèse en même temps que la
transpiration (Issad, 2013). La sécheresse menace la capacité de la plante à maintenir sa photosynthèse (Hamla,
2016). En cas de déficit hydrique, la plante pourra être exposée d’abord à une perte de turgescence.

 La croissance végétative :

Un stress hydrique limite sérieusement la croissance de la plante et sa reproduction par rapport au potentiel du
génotype. (Bouakaz, Hamadouche ,2015). On note principalement une diminution importante de la taille, de la
longueur des entre nœuds, du nombre de feuilles voire de la surface foliaire (Attia, 2007). Il affecte en parallèle la
croissance des racines et des parties aérienne, ainsi que le développement des feuilles et des organes reproducteurs
(Neffar, 2013), donc un déficit hydrique contrôle la croissance végétative en réduisant la vigueur de la plante. Les
plantes soumises à un déficithydrique voient généralement leur sénescence s'accélérer; et une perte trop
importante d'eau par transpiration peut conduire à la mort des cellules (Bouchabke et al, 2006).

5.2. Effets du stress salin :


La salinité constitue l’un des principaux stress abiotiques limitant la croissance et le développement de la plante
cultivées (Abdelly et al, 2008). Cette salinité peut être naturelle ou induite par les activités agricoles comme
l’irrigation ou l’utilisation de certains types d’engrais.
Par ailleurs, la salinité est un facteur environnemental très important qui affecte : laréduction du nombre des
feuilles, la conductance et la résistance stomatique (Rejeb et al, 1991), la synthèse des protéines, le métabolisme
énergétique et la photosynthèse. la présence de NaCl dans le milieu de culture limite l’alimentation de la plante en
cations majeurs, tels que le potassium (K+) et le calcium (Ca2+) (Zid et Grignon, 1991). La réduction de la
chlorophylle est corrélée avec l’accumulation du Cl- dans les tissus.

De plus la salinité impose à la plante une réduction de l’absorption des ions essentiels tels que le K+ et Ca2+,
conduisant à un déséquilibre ionique (Zhu, 2001). Ca2+ est nécessaire pour le maintien de la sélectivité et l’intégrité
de la membrane cellulaire, d’où un déficit en Ca2+ affecte la sélectivité de la cellule et l’intégrité de la membrane,
accélérant le passage passif des ions Na+ et leur accumulation dans les tissus (Cramer, 2002). Cependant Les effets
nutritionnels de la salinité incluent les deux actions primaires du sel sur les plantes: la toxicité directe due à
l'accumulation excessive des ions dans les tissus et un déséquilibre nutritionnel provoqué par l'excès de certains
ions.

: Effets du stress thermique .5.3


Le stress thermique est l’un des stress abiotiques qui limitent le développement de la plante, en effet lors des
trente dernières années la température de la terre a augmenté de 0.2°C chaque décennie un réchauffement de 1.4
jusqu’à 5.8°C est prévu au cour du 21éme siècle.(Braun et al, 2002).

L’influence du stress des hautes températures est variable en fonction du stade végétatif de la plante et de
l’interaction avec d’autres stress tel que le stress hydrique. En effet, une plante qui est exposée à une haute
température mais qui a accès à suffisamment d’eau aura la possibilité de maintenir ces stomates ouverte afin que
l’évaporation abaisse la température des feuilles, Dans la nature, la combinaison de deux stress reste une situation
habituelle. Les céréales sont fortement confrontées à ce stress. Son effet Sur le semis se matérialise par une
réduction de la longueur de la coléoptile, et du nombre de plantes levées par unité de surface, dans ce cas la plante
ne peut pas s’ancrer en profondeur et devient très sensible. Les hautes températures sont parmi les facteurs
intervenant dans la limitation des rendements. Effectivement, les organes floraux et la formation du fruit sont
affectés. De même que la méiose et la phase de remplissage de la graine sont particulièrement sensibles à
l’élévation de la température. Le nombre de grains par épi et le poids moyen du grain sont fortement réduits. (Kara
et Zerguine, 2016). L'effet de cette haute température se manifeste aussi par une accélération de la sénescence
foliaire et l’arrêt de la croissance du grain (Bendarradji, 2013). Notamment une accélération du développement et
une réduction des dimensions des organes constitutifs de la plante. Qui en résulte un effet négatif sur la
productivité globale de la plante.

: conclusion .6
Certaines études ont permis de décrire les comportements variés vis-à-vis des contraintes abiotiques qui règnent
dans l’environnement de la céréaliculture Algérienne et en particulier de distinguer celui des variétés améliorées.

Le stress abiotique affecte le développement et le bon fonctionnement des plantes. Par ailleurs, la plante doit
disposer des mécanismes d’adaptation qui lui permettent de supporter la sécheresse, la haute température et la
salinité. Les principaux mécanismes de la tolérance à ces contraintes demeurent la résultante de plusieurs actions :
L’expression de différents gènes et l'accumulation de diverses osmolytes.

Le travail réalisé dans cette étude, nous a permis d’avoir certains renseignements sur les différents effets du
stress abiotique sur les paramètres étudiées et également la condensation des protéines activés dans les deux
variétés Bousselem et Waha. L’étude physiologique montre que les stress appliqués ont provoqués une réduction
de la teneur relative en eau et de l’intégrité membranaire, Cependant, la résistance stomatique ainsi que la
température foliaire, ont connu une augmentation chez les deux variétés. Toutefois, nous pouvons signaler que les
deux variétés de blé dur utilisent les mêmes stratégies pour tolérer le stress hydrique, thermique et salin.
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