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Mémoire Professionnel de Synthèse: Climatisation D'un Immeuble de Bureau
Mémoire Professionnel de Synthèse: Climatisation D'un Immeuble de Bureau
Session 2009-2011
Mémoire professionnel de
synthèse
Climatisation d’un immeuble de bureau
ZEDIRA Soufiane
BILLANT Loic
EYANGO Achille
SOMMAIRE
Présentation…………………………………………………………………………… p 3
Partie 1 ………………………………………………............................................. p 6
Introduction ………………………………………………………………………………. p 7
Régulation …………………………………………………………………………………. p 30
Sécurité ……………………………………………………………………………………. p 35
Entretien …………………………………………………………………………………………… p 38
Partie 2 ………………………………………………………………………………….. p 41
Introduction ………………………………………………………………………………… p 42
Régulation ………………………………………………………………………………….. p 76
Partie 3 ………………………………………………………………………………… p 84
Introduction ……………………………………………………………………………………….. p 85
Présentation
Contexte
Missions du projet
Le principe repose sur la mis en place d’une installation de chauffage et rafraîchissement par ventilo-
convecteurs plafonniers fonctionnant en recyclage. Ces émetteurs seront alimentés par une Pompe A
Chaleur (PAC) à mettre en place sur la toiture du bâtiment.
La production frigorifique et calorifique de l’ensemble des locaux par la PAC situé sur la toiture
terrasse du R+6 de l’immeuble.
La ventilation double flux des plateaux paysagers par une Centrale de Traitement d’Air (CTA) à
récupération d’énergie sur l’air extrait, installée également sur la toiture.
La distribution d’eau calorifugée dans des gaines techniques pour les parties verticales et dans les
faux plafonds pour celles horizontales.
L’évacuation des condensats des ventilo-convecteurs
La régulation des installations
La sécurité des installations
Etude économique
Planification des travaux ainsi qu’une proposition d’un contrat d’entretien
Intervenants
Ce mémoire professionnel de synthèse sera présenté par trois étudiants : Mr. Billant, Mr Eyango et Mr.
Zedira. Nous sommes des élèves en deuxième année de formation BTS Fluides Energies Environnements
option C frigorifique issues de la même classe TSFC2. Apres avoir pris connaissance du sujet nous avons
décidé de départager le travail de la manière suivante :
Mr. Zedira Soufiane se chargera de la présentation du projet ainsi que de la partie production de
chaleur,
Mr. Billant Loic étudiera la distribution hydraulique,
Mr. Eyango Achille travaillera sur la partie aéraulique.
Pour mener à bien notre projet nous avions à disposition le cahier des clauses des charges, des notes de
calculs de bilan thermique, des plans et vues de coupes des différents étages. Nous avons également
utilisé toutes les ressources disponibles au lycée : support informatique, note de cours, ouvrages,
consultation des enseignants…
Réglementations
Pour la réalisation de ce projet, nous avons suivi la Réglementation Thermique 2005 (RT 2005) comme
il était mentionné dans le C.C.T.P.
En générale ces réglementations thermiques ont pour but de maitriser les consommations énergétiques,
réduire les émissions de gaz à effet de serre afin de limiter le réchauffement climatique ainsi que de
préserver les ressources énergétiques.
Dans cette RT 2005, nous pouvons voir qu’il y a eu une évolution dans le bilan thermique, celui-ci
prend en compte de nouveaux éléments liés particulièrement à l’isolation des bâtiments.
Soufiane Zedira
I- Partie Pompe à chaleur
Introduction
Age : 19 ans
Classe : TSFC2
But :
Bilan thermique
Un bilan thermique sert au calcul des besoins de chauffage ou de climatisation. Je vais donc calculer
tous les apports de chaque pièces mis à part les sanitaires, les locaux techniques…: tous les locaux non
rafraichit ou non chauffé. Pour une question d’efficacité je vais vous présenter celui dé l’étage numéro 5
comme exemple puis tout résumer dans un tableau récapitulatif.
Pour pouvoir effectuer mon bilan thermique il a été nécessaire de reproduire le plan pour mieux cerner
les apports. Par exemple si sur la paroi X existe des apports due au rayonnement.
L’isolation est le principal élément qui entre dans la construction d’un immeuble car elle
favorise une résistance thermique contre le transfert de la chaleur du milieu chaud au milieu froid.
Ainsi, les apports seront moindre plus le coefficient de conductivité Ф est faible. Nous les calculons par :
[m²]
[W]
Ф = K x S x ∆θ
[K]
[ ]
Le coefficient de transfert thermique est obtenu grâce à la résistance thermique donnée en
annexe du C.C.T.P.
K=
Composition de la paroi
[W.m-2.K-1]
[m².K.W-1]
Extérieur Intérieur
Brique
Zinc lourd
Béton
Capotage Aluminium
De plus, il n’y aura aucun apport par les parois au sein des bureaux puisque la température est la même
sur tous l’étage.
Il faut savoir que tous les murs de l’immeuble de sont pas composé des mêmes matériaux. Le coefficient
K va donc différé selon les murs.
Apports par la
Lumière
Les lampes
Le rayonnement solaire
Les lampes
Il faut savoir que une lampe dégage en moyenne 15 W.m-2 Il nous suffit donc de multiplier la surface de
la pièce par cette puissance dégagée. Nous obtiendrons un résultat en Watt. Nous considérons que leurs
temps de fonctionnement seront de 10 heures. Nous uniformiserons le résultat en Kilo Joule par cycle.
[W]
[ ] [m²]
Le rayonnement
Les apports solaires dépendent de l'ensoleillement du site considéré, des surfaces réceptrices
équivalentes et de l'orientation. Pour le mois considéré, les apports solaires se calculent de la manière
suivante.
[m²]
R (mur) = I (mur) x A x F x S
[W]
[ ]
F : Facteur de rayonnement
Nous avons tout d’abord déterminé l’orientation du local pour pouvoir savoir l’heure à laquelle
l’ensoleillement était le plus important. Puis nous avons choisis dans un tableau donnant le rayonnement
solaire S en fonction de la latitude de l’exposition et de l’heure précédent.
Le coefficient d’absorption A relève de la surface de la paroi : de son ton (plus ou moins foncée). Nous
adopterons une surface foncées = > A = 0,7
R (vit.) = I (vit.) x A x g x S
[W]
[ ]
Nous avons quasi le même calcul mis a part que le facteur de rayonnement S a laissé place au facteur de
réduction g. Lui, représente le facteur de protection des fenêtres, c'est-à-dire si elle possède des stores
ou encore des persiennes. Nous avons des stores intérieurs = > g = 0,63
Le rayonnement solaire lui est remplacé par l’intensité du rayonnement solaire (il se trouve dans le
même tableau).
Apport personnes
bureautique
Personne
Chaque personne dégage une chaleur sensible ainsi qu’une chaleur latente. Le C.C.T.P nous
impose un dégagement de chaque personne de 75 Watt par chaleur. Donc, chaque individu libère en
moyenne 150 Watt. Nous considérerons que le personnel sera présent 10 heures.
Bureautique
Un ordinateur émet de la chaleur sensible. Le C.C.T.P nous donne celle-ci qui est de
-2
30 W.m . Le temps de fonctionnement des ordinateurs ou autres appareils de bureau sera le même
que celui des employés.
Ф= P bureautique x Surface
[W]
[m²]
[ ]
Le Cahier des Clauses Des charges était accompagné par un bilan de tous les apports et de toutes les
déperditions par étages et par salle.
Précédemment nous avons calculé les apports pour l’étage numéro cinq, mes conjoints ont eux trouvé
les valeurs des étage quatre et six. Nous allons comparer ces valeurs avec celles donnés.
Nous pouvons voir que les apports données sont supérieur à ceux que l’on a calculés. Nous trouvons des
valeurs différentes car nous nous sommes basé sur nos hypothèses ainsi que sur les donnés du C.C.T.P.
C’est pour cela que nous continuerons avec les valeurs donnés.
Apports
Niveau RDC 55421
Niveau 1 94744
Niveau 2 119191
Niveau 3 144354
Niveau 4 111470
Niveau 5 97469
Niveau 6 81318
Niveau 7 18546
Total 722513
Les 5% correspondent aux apports que l’on peut calculer. Nous admettons une marge de 5%.
Ф0 = 755 kW
Nous pouvons à partir de cette puissance frigorifique sélectionner notre Pompe à Chaleur.
Le système de production
Nous avons opté pour un système de pompe à chaleur Air/Eau réversible extérieure, alimentant en
chaud ou en froid le circuit hydraulique du bâtiment et jouant le rôle de chauffage central et de groupe
de froid. Le circuit de distribution est simple et est constitué de 2 canalisations calorifugées véhiculant
l'eau glacée et l’eau chaude. Des ventilo-convecteurs réversibles 2 tubes/ 2 fils émettent l’action
calorifique vers l’air des locaux, en apportant si nécessaire un appoint de chaleur électrique direct
lorsque les conditions de fonctionnement des locaux sont trop différentes. L’air neuf est apporté et
traité par un réseau indépendant.
Economie d’investissement puisque d’une part il s’agit d’un réseau 2 tubes et pas 4, et d’autre
part une seule machine fournit l’eau chaude et l’eau glacée au départ d’une seule source
d’énergie, ce qui simplifie l’installation.
Souplesse du système. La PAC peut être remplacée par une chaudière classique et une machine
frigorifique sans apporter de modifications importantes au réseau de distribution. L’inverse est
tout aussi vrai et cette solution est donc à envisager lors de la rénovation des systèmes de
traitement d’air par ventilo-convecteurs.
Les ventilo-convecteurs 2 tubes/ 2 fils permettent une régulation adaptée à chaque local. Il
s’agit donc d’une souplesse supplémentaire par rapport aux appoints centralisés.
Désavantages :
L’utilisation des résistances électriques d’appoint des ventilo-convecteurs se fait au tarif de jour
est donc onéreuse. Une bonne régulation de la température de l’eau dès la sortie de la PAC est
très importante pour réduire ces coûts. Pour des raisons de confort, il est d'ailleurs plus
fréquent, en Belgique, d'installer des réseaux 4 tubes. Mais dans ce cas, le fonctionnement ne
peut se faire avec une seule machine réversible.
L’installation ne fournit pas d’air neuf. Il faut donc l’accompagner par une centrale de
traitement d’air et un réseau de distribution pour l’alimentation en air hygiénique. La centrale
de traitement d’air peut disposer d’un récupérateur d’énergie sur l’air extrait et être alimentée
en chaleur par la PAC
Le C.C.T.P nous impose de choisir une pompe à chaleur réversible CARRIER AQUASNAP 30 RQ
voici le tableau des différentes gammes et puissance.
A la suite du bilan thermique nous avons pu calculer la puissance frigorifique nécessaire à l’installation
qui est de Ф0 = 755 kW
Nous sélectionnons une pompe à chaleur à partir de sa puissance frigorifique puis de sa puissance
calorifique.
III) L’hydraulique
Nous avons décidé de choisir l’option « module hydraulique intégré ». Il est constitué d’un vase
d’expansion, d’une pompe hydraulique pour le réseau primaire de production, d’un filtre à tamis d’une
soupape de sécurité, d’une vanne de vidange ect.... Ce pack est déjà dimensionné et est livré
directement avec la PAC. Un gain de temps gagné sur la pose et la dépose des éléments (voir
planification des travaux). Voici son schéma de principe :
La pompe fournit un
débit de 150 m3.h-1
Pour une question de sécurité nous allons installer des panneaux latéraux pour la protéger contre les
intempéries. On a décidé d’installer un habillage composé de matériaux résistants contre les
intempéries. Ils permettent de prolonger la durée de vie de la pompe à chaleur (dans la mite du
raisonnable).
Eté
Air
Coupure BP
0,2
Hiver
Coupure HP
50°C
Air
FF
∆θ
FF ∆θ
45°C
10
Coupure BP eau
0,2 40°C
Les performances
I) Le fluide
Depuis quelques années, la marque Carrier utilise un fluide frigorigène sans chlore, respectueux de la
couche d’ozone. Ce fréon en question est le R410 A.
Les caractéristiques spéciales de ce fluide, offrent plus de puissance avec moins d’énergies électriques
consommée ; ce qui contribue à la réduction des rejets de gaz à effet de serre générés par la production
d’électricité.
ФK = Qm x (h1 – h4)
Qm = –
Qm=
Ф élec =
ηi = ηv = 1 – 0,05 x
Фélec = 276 kW
COP =
COP = 2,97
Donc, le COP à
une température
extérieur de – 7 °C est
de 2,97
COP
Evolution du Cop en
fonction de la
température
Température
Etude financière
Les besoins calorifiques évoluent au fur et à mesure de la température extérieure. Le bilan des
déperditions nous a été donné, et a été évalué à 116 kW à une température de -7°C. Nous avons donc
trouvé ces besoins à chaque température.
K : Coefficient
Ф = K x S x Δϑ S : Surface
Δϑ : ϑl – ϑ ext
Déperditions du bâtiment (en W)
Température
Nous avons calculé les consommations du bâtiment en kWh grâce au DJU. Nous obtenons une
consommation en kWh en fonction de chaque température.
a) Pompe à chaleur
b) Chaudière fioul
c) Chaudière gaz
haleur
PAC Chaudière fioul Chaudière gaz
Consommation annuelle faible élevé moyenne
Economie d’énergie
I) Le désurchauffeur
Cette option permet de produire de l’eau chaude gratuite par récupération de chaleur en désurchauffant
les gaz de refoulement des compresseurs. L’option est disponible sur toute la gamme d’unités 30RQ.
Un échangeur à plaque (désurchauffeur) est installé en série avec les batteries de condenseurs à air sur la
ligne de refoulement des compresseurs de chaque circuit. On pourrait donc :
b) Son fonctionnement
Un désurchauffeur est un échangeur de chaleur réfrigérant-eau à double tube situé entre le compresseur
et le condenseur. Il désurchauffe les vapeurs du condenseur afin de récupérer une énergie qui sera
transmise à l’eau.
Fonctionnement classique
Si un récupérateur de chaleur installé, le réfrigérant passe d'abord dans un condenseur à eau (le
récupérateur en question) pour donner la chaleur désurchauffé. Le liquide à haute pression passe au
travers du détendeur avant de repasser à l'évaporateur. La chaleur excédentaire est rejetée via le
condenseur à air. Celui-ci permet de récupéré une puissance calorifique non négligeable.
Liquide Gazeux
Condensation 2’
3 2
Détente Compression
1
4 Evaporation
: Circuit fluidique
: Circuit hydraulique
Régulation
La PAC est entièrement gérée par le régulateur « PRO DIALOG » qui assure les fonctions de régulation
et de sécurité. Au sein de cette régulation nous avons plusieurs contrôles. Celui-ci contrôle le
démarrage des compresseurs nécessaire au maintien de la température d’entrée ou de départ de
l’échangeur. En mode froid, il contrôle le fonctionnement des ventilateurs de façon à maintenir une
pression de condensation adéquate. Il optimise également les cycles de dégivrage.
I) Anti courts-cycle
La fonction principale de ce type de régulation est d’assurer une prévention totale contre les cyclages
excessifs des compresseurs. C’est à dire que cette régulation empêche les démarrages intempestifs par
une temporisation. Si le compresseur vient à couper, il se remettra en marche qu’au bout d’une certaine
période = 6 min. Nous régulons la température d’entrée ou de sortie par boucle PID avec équilibrage
des temps de fonctionnement et du nombre de démarrages.
Compresseur Chronogramme
Temps
10 minutes
Cette régulation de la pression de condensation est en fonction des conditions climatiques externes. Elle
permet de réduire fortement les consommations énergétiques du compresseur. La diminution de la
pression de condensation abaisse de +3% les dépenses énergétiques. En abaissant la température de
condensation nous améliorerons l’efficacité du compresseur et de l’évaporateur. Pour ceci, il faut faire
varier la vitesse du ventilateur du condenseur.
Schéma de la régulation
Vitesse ventilateur
100%
Graphique de régulation
0%
III) Dégivrage
Le risque de givre intervient seulement en hiver sur l’échangeur à air. Pour le mode dégivrage, nous
avons le choix entre l’inversion de cycle et une résistance. Examinons ces deux méthodes.
Il existe également des résistances chauffantes. Cette méthode consomme plus d’énergie car les
résistances sont plus gourmandes en électricité. Celles-ci sont situées au niveau de l’évaporateur pour
faire fondre le givre. Le C.C.T.P nous indique que la pompe à chaleur sera obligatoirement équipée de
résistances malgré leurs consommations importantes accompagné par une inversion de cycle. Lors du
cycle de dégivrage, les ventilateurs du circuit sont arrêtés. Il est automatique et nécessite aucun
paramétrage.
Si nous n’installons pas de protection anti gel, les dégâts dus au gel ne sont pas couverts par la garantie.
Température extérieure
Seuil chaud : 24°C Seuil froid 18°C
Schéma régulation
Vanne 3 voies
Bouteille de découplage
En Hiver En Eté
θext
18°C
35°C
-7°C
24°C
PAC PAC
1 1
0 0
ETE
Nous pouvons effectuer une
régulation sur les pompes à eau du
côté utilisation seulement en Eté.
Nous pouvons espérer un gain
d’électricité non négligeable.
Contrairement en hiver ou nous
sommes obligés de laisser tourner les
pompes 24H/24H pour éviter tout
risque de gel.
Les sécurités
Le système mesure l’évolution des paramètres : températures, pressions et réagit pour maintenir le
compresseur dans sa plage de fonctionnement. Si malgré tout, un paramètre excède sa valeur limite, u
message d’alerte est généré ou l’unité est arrêtée .Les défauts suivants provoquent l’arrêt du circuit
frigorifique ou de l’unité
17°C 21 °C Température
d’aspiration
Un pressostat HP stoppera le
compresseur dans le cas d’une pression
supérieur à 50 bars. Le réarmement est la
aussi automatique. Les causes de ce
défaut peut être de différent ordre :
Contrôleur de débit bloqué dans la
position ON alors que la filtration est
arrêté, la température de fin de dégivrage
est trop haute (sonde désétalonnée)…
Température d’eau
2°C 6°C
Graphique de procédure
Entretien
L’installation, la mise en service et les opérations d’entretien de ce matériel peuvent être dangereuse si
l’on ne tient pas compte de certains facteurs propres à l’installation tels que les pressions de
fonctionnement, la présence de composants et de tension électriques et le lieu de l’implantation. Seuls
des installateurs et des techniciens spécialement formées et qualifiés ayant reçue une formation
approfondie sur le produit concerné, sont autorisée à procéder à l’installation et à la mise en service du
matériel.
Les machines frigorifiques doivent être entretenues par des professionnels, cependant, les vérifications
de routine peuvent être assurées localement par des techniciens spécialisés.
Meilleur performance,
Consommation électrique réduite,
Prévention de la casse accidentelle de composants,
Prévention des interventions lourdes, tardives et coûteuses,
Protection de l’environnement.
Il est très conseillé d’effectuer une inspection régulière des batteries à ailettes afin de vérifier leurs
degrés d’encrassement. En effet, ceci peut aller jusqu’à l’obstruction des échangeurs. La surface
d’échange réduit. Par conséquent la puissance d’échange également :
Фéchangeur = K x S x Δϑ x F
Selon la norme AFNOR X60-010 il existe cinq niveaux de maintenances. Le premier pouvant être
réalisé par l’exploitant avec des tâches simples : inspection visuelle de traces d’huile, nettoyage des
échangeurs… Le niveau trois et plus doit être effectué par un technicien possédant des connaissances,
des agréments, des outillages spécifiques.
Toute dérogation ou non respect de ces critères d’entretien, rend nulles et non avenues les conditions
de garantie du groupe. Et dégagent donc la responsabilité du constructeur.
Un contrat d’entretien s’accompagne souvent d’un contrat de maintenance. Donc le client paye une
somme (qui se négocie) tous les ans pour pouvoir bénéficier d’une assistance dépannage.
Société X
47 rue Félix tableau
Tel : 02.40.56.87.99
Fax : 02.40.56.86.98
SocieteX@hotmail.fr A …., le …/…/…
Client Y
59 boulevard Jeanne Durand
Monsieur Y,
Suite à l’installation de la pompe à chaleur aquasnap 30 RQ je vous propose un contrat d’entretien annuel. Celui-
ci vous permettra d’obtenir de nombreux avantages dont l’allongement de la durée de vie de votre installation.
Cordialement Mr. X
Les temps estimés sont des temps relatifs à un déroulement normal de travail pour un technicien
accompagné par son aide (jeune apprenant son métier). Ils ne tiennent pas compte des déplacements.
Total 617,955
Pour le réseau primaire et secondaire le temps de pose et de dépose sera égal à 617 heures 57 min et 18
sd soit 2 mois 18 jours environs. Ce temps peut varier selon le nombre de techniciens. L’heure est
facturée à environs 52 euros.