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2STANDS.
Stand 56 Alite A Bitunent 5
Stand 45 AIIH A Bitunent 2
Documentation JUr place.
JIŒQC)rr œF
304, Bd Cherlts-d•Geulle
92390 VILLENEUVE·LA·GARENNE
)
--
SOMMAIRE
Analyse1:e e
Convertisseur tens1on fréquence à fonction de
transfert llnéatre 19
Apphc ttOnsa.,iA
Le multiplicateur analogique 58
Electronique~
~
médiClll
les applications médicales des ultra-sons 12
Manpu ~~
la table traçante audto UREI • Model 200 • et te
module de relevé de courbe de réponse • model
2000. 72
Mesures
l 'oscilloscope à échantillonnage 40
Abonnements : 2 è 12, rue de Bellevue, 75019 Pans 16 f1ches techniques de circuits intégrés audio 99
1 an (4 numéros) 40 F {France) - 55 F !Etranger)
Copyr ght 1977 - Société Pans1ennc d 'EdttiOn B1btiographte 131
OtpOt légal t•• tnmcstro 77
éd tcur 507 Les réseaux de distnbution des semi-conducteurs 141
O:strtbué par SAEM Transports presse
pnmerle Edtcts, 75019 Pans
Nouveautés - Informations 145
Dossier produit 153
•
o"
2 2 ~.~r ~ 1
CPM 51 6lYS
GAM 1 70
i-TiiT!"iQ%
CPM 8 25:>VS
l
r:Av · •
S IAF:tt"
MPS 250VS
CAM 11.68
.....---<·4i> - - -
nouveaux circuits
nouvelle présentation
nouveau modèle
TYPE 313
Bicourbe 10 MHz:
- Qualité intégrale.
- Prix conservé.
~
<
a:
1
2
Chose farfelue car. déjà. au-delà de
O. 1 seconde. le temps de pose cor-
rect n'est plus proportionnel à la lu-
mière reçue 1 Cest «l'écart de non-
réciprocité • ou cœfficient de Sch-
warzchild. D'autre part. si une émul-
sion photographique n'a pas été im-
La photographie a, depuis fort longtemps, fait appel aux pressionnée après 1 5 minutes de
cellules photoélectriques, non seulement dan les appareils pose, elle ne le sera pas davantage
après 10 heures (exception faite
de prises de vues mais de plu en plus dans le matériel de pour les plaques astronomiques), en
laboratoire, en raison surtout du tirage couleurs qui éclipse raison du seuil de sensibilité mi-
nima.
le noir-et-blanc. Nous nou propo ons donc de faire le point
La mode actuelle est à la cellule
ur les différents capteurs opto-électroniques avec leurs allicium qui est un photo-transistor
avantages et inconvénients en fonction de leur utilisations. au silicium relié à un amplificateur
intégré. Cette nouvelle technique
Nous insisterons particulièrement sur les problèmes photo- n'apporte rien en précision par rap-
métriques sous l'agrandi seur, domaine où beaucoup reste port aux CdS. au contraire car la ré-
à faire du moins en ce qui concerne le matériel dit « grand ponse spectrale diffère plus de
l'idéal que la précédente (voir fi-
public)). gure 1 ). Par contre, le temps de ré-
i i
SilO
} t Ill) lllo.9e
7llO
I •R - ·
llO tDO Pour toutes ces photorésistantes.
il faut se souvenir que le courant
d'obscurité, ou «bruit de fond pho-
. toélectrique ». augmente légère -
'
'\\
ment avec la température particuliè-
\
\
rement avec les CdSe parce que
\
\
sensibles au proche infra-rouge.
\
\ Il y a bien d'autres types de pho·
\
torésistantes mais leur domaine
\ spectral se situe hors du visible.
\
\C" donc ne nous concernent pas.
\~
\
\
\
\ Les photo-diodes et photo-
\
tran i tor
'\
'' Une jon c tion de semi -
''' conducteurs devient conductrice en
Ill) -- ... ~
inverse lorsqu'elle est bombardée
l
ii
r
~
500
ifœ 7llO
,_,.. I,R- •
lOD
par des photons. Ainsi. comme une
diode zener, une photo diode est
toujours montée en inverse.
Figure 1 : RlponstJs sptJcrrtJitJs compereti ves. Le temps de réponse de ces com-
posants est donc de l'ordre de la
micro seconde voire moins pour des
Après ces généralités. il est attendre parfois plusieurs minutes
types spéciaux. Le courant des
temps de présenter les avantages et avant de retrouver le courant d'obs-
photo ·diodes étant très faible, il faut
Inconvénients des différents opto curité ; signalons que ce phénomène
généralement les monter dans le cir-
capteurs disponibles ( 7) dans le s'aggrave si on augmente l'intensité
cuit base d'un transistor.
commerce. dans la cellule mais, même avec des
courants inférieurs è 1uA. les CdS Il faut citer l'ancêtre des photo
restent inaptes sur le plan pratique à diodes : I'OAP 12 au germanium
Le ulfure de cadmium ou surtout sensible dans l'infra rouge,
.... mesurer des éclairements faibles .
alors que les modèles au silicium
Photorésistantes très répandues sont sensibles au visible et è l'infra -
A noter pour finir qu'un fabricant
donc bon marché, les CdS ont une rouge.
américain (Segor) propose des CdS
réponse spectrale très voisine de avec des réponses spectrales diffé- Un photo-transistor n'est qu'un
celle de l'œil humain (figure 1) et rentes et plus sélectives. obtenues transistor planar classique dont le
son linéaires avec l'éclairement. par « dopages • du sulfure de cad- haut du boTtier a été remplacé par
Leur principal défaut est leur inertie mium. une lentille pour concentrer la lu
pour réagir en lumières faibles. da- mière sur la puce inférieure è
vantage à l'extinction qu'à l'éclaire- 1 mm 2 •
Le séléniures de cadmium Le fil de base est le plus souvent
ment ; c'est le phénomène de c mé- ou CdSe
moire • (voir figure 2b). Les modèles laissé en l'air. Un photo-transistor se
à faible surface ( 1 mm 2 ) type ORP 60 Ces photorésistantes ont une comporte de la même façon qu'une
sont plus nerveuses mais beaucoup sensibilité voisine des CdS mais ont photo-diode dans le circuit base
moins sensibles que les types à des temps de réponses au moins dix d ' un transistor (figure 3a ) De
grande surface (1 cm 2) du genre fois plus courts (figure 2c). La fidé- même, un « photo- Darlington • est
LOR 03. En guise de compromis, les lité et la linéarité sont correctes un photo-transistor monté en Dar-
fabricants proposent (sur catalo- mais le seul point noir réside dans lington avec un transistor normal (fi-
gue.. .) des cellules à grande surface sa réponse spectrale : comme on le gure 3b) ; et le constructeur n'as·
et faible épaisseur de dépOt afin de constate sur la figure 1, les sensibili- sure pas que ce transistor reçoit de
diminuer l'effet de mémoire. tés au bleu et au vert sont relative- la lumière.
La fidélité des CdS est correcte ment faibles par rapport au rouge et Un modèle courant de photo·
mais, après un éblouissement, il faut au proche infrarouge. transistor est le BPX 25 (RTC}.
~• xSO Detecteur
2 BC109 seutl• 4V
boltter ouwrt
Fyure 4
Deu. photo trlln:St:Stors montés en Dar/mg ton permett.,t de dl!passer trl!s largnmtmt Un tnms1 tor (•c• un BC 109) dont on a
11 :senslfullt(J r611menne (notli seuls PT2 et TR 1 conslttuent un • photo.IJarlmgton 1) ou•ett lo botllcr conslitue un c.~;cellcnt photo
tranSistor non dtrecttf
vais centrage de la puce sur le subs· infra -rouges. Un devine alors qu' une Les analyseurs de couleurs
trat. cellule sensible à ces radiations fera Ces appareils servent à détermi-
peu de différence entre des clichés ner le f•ltrage coloré de la source lu-
Lorsque cette forte directivité op·
de densités trés différentes. Il est mineuse. Un négatif dont on connalt
ttque est gênante et que l'on sou·
donc indispensable de disposer un le filtrage nécessaire au jaune, ma-
haite au contraire une sensibilité ho·
filtre anti-infra-rouges (ou «verre genta et cyan est mis « en mé-
mogène dans un cône de vision de
~nti-calorique •1 entre l'ampoule et moire» dans 1analyseur. en établis·
90°, mieux vaut utiliser un transistor
la pellicule, ou devant la cellule. sant les rapports cyan / magenta.
planar décalotté et protégé par un
cyan f jaune ou magenta / jaune de
couvercle de Rhodotd collé, plutôt Avec les CdSe et les photo-
l'image projetée. Ces mesures s'ef·
qu'un écran diffuseur devant une transistors silicium, nous nous re·
fectuent derrière des filtres denses
lentille. trouvons donc avec une réponse
de couleurs complémentaires à sa-
A l'inverse, il est souvent avanta· spectrale qui ne s'étend que du
voir bleu, vert et rouge .
geux de disposer une lentille ou une jaune au rouge car. en éclairements
faibles. le bleu et le vert seront par· Pour les mêmes raisons exposées
btlle de verre devant une photorésis·
fois au-dessous du seuil de sensibl· au paragraphe précédent. les analy·
tance ou une photo·dtode à grande
lité minima. Cela signifie que, pour seurs utilisant dos photorésistantes
surface ltelle la BPY 131. pour y
deux clichés exposés correctement, ou des photojonctions exigeront un
concentrer le flux lumineux incident.
l'un représentant un sujet vert. max1mum de lumière. donc placés
l'autre un sujet rouge. une telle cel- sous l'obJOtlf. Fait plus grave, et les
Les probl mes po lule à c bande étroite • nous indi- bancs d'essais le prouvent, l'évalua-
infra-roug quera des temps de pose différents tion du ftltrage on jaune (donc der-
La lumière issue d 'une lampe alors qu'ils devraient être ident1· riôre le ftltrc bleu foncé) conduisent
d agrandisseur au tungstène con- ques 1 Il y a la solution de corriger â des résultats assez fantaisistes,
par un filtre vert devant la cellule, votre complètement aberrants :
tient une forte proportion d'infra-
mais il faut alors tellement de lu· 1 électronique la plus sophistiquée
rouges (figure 11. Or, l'image d'un
mière que le posemètre doit être ne peut pas amplifier un signal
négatif nolr·et·blanc est constituée
plaqué sous l'objectif: c'est la mé· qu'un capteur ne livre pas.
par des particules d'argent réduit qui
absorbent l'IR presqu'aussi bien que thode utilisée entre autres par Durst Donc ici encore et â plus forte rai-
les radiations visibles ; il n'y a donc et Jobo. son, le photo-multiplicateur est le
pas de contre-indications pour des seul pouvant conduire â des résul-
posemètres équipés de cellules sen· tats fiables
sibles à l'IR telles que les CdSe et
Conclusions sur les po emè- Ce rare survivant des tubes à vide
photo· transistors.
tres d'agrandisseur aura certainement encore la vie
Par contre, un film couleurs ne D après des critères de pratique dure car aucun nouveau composant
contient pas d'argent métallique photographique, la mesure de la lu- « sec • <le remplacement ne semble
mais uniquement des colorants or- mtére réfléchie par le margeur ou le se pointer à l'horizon ...
ganiques, lesquels absorbent le vi papier est la seule « mesure lnté
stble mais sont très perméables au• grée • qui soit valable. Mtchel Archambault
1- Applications de l'absorp-
Nous allons nous efforcer d'exposer, en deux articles, les tion dA • l+r - nn
principales applications médicales des ultra-sons et le prin-
L'absorption des ultra-sons dans
cipe de l'instrumentation électronique mise en œuvre dans les tissus est accompagnée d'un dé-
ces applications. gagement de chaleur. Pour des
énergies ultrasonores émises impor-
Notre tour d'horizon n' est pas limitatif. Le champ d'appli- tantes (plusieurs watt/ cm 2 appli-
cation des méthodes ultra-sonores est loin d'être clos. qués un temps suffisant) il apparaTt
Ftg 1
Introduction • La production des ultra-sons
utilise en général (c'est pratique-
ment toujours le cas dans notre do-
maine) la conversion énergie électri- m1lleuQ) m111eu(D
Un très bref rappel de physique que ,. énergie mécanique, par un
est nécessaire avant d'entrer dans le ~
transducteur approprié : un élément l
vif de notre sujet.
transducteur est alimenté en cou- 1
• Les ultra-sons sont des vibra- rant alternatif de fréquence iden- 1
tions qui nécessitent un support tique à celle des ultra-sons à pro- 1
pour se propager. Ils ne sont donc ~ r- •
duire.
pas transmis par le vide et ne traver-
Le transducteur exploite l'un des r
sent pas à la même vitesse les diffé- effets suivants : 1
rents types de milieu de propaga-
tion. leur vitesse est par exemple de
340 m s dans l'air, de l'ordre de
- magnétostriction (fortes puis-
sances).
l r..--
plane onde plane
-.., ,onde plane '
1 500 m s dans les liquides et - Piézo électricité, refled11e sens direct transtTuse
sens II'IYtrse 1ntertaèe
4000 m s dans les solides. Le do- - électrostriction et ferro électri- s.ns d1rect
---.... ..........
....,... ........ tube T V J qu1 présentent une bonne
c échelle d~;; gris • et fournes:.ent
- ex mt 11nt
...,.
Srnaldlwtlilft
donc une me;lleure •mage Il est
même possible de synchron1ser
J'analyse sur le phénomène à obser-
ver et d 'analyser ainsi une phase
précise d'un mouvement ou d éllme-
ner les mouvements parasites pour
l'ob e1vat1on dune structure lmmo
bele telem;nation dtj l'tntluence des
mouvement:, respuato.res, des
mouvements d 'origine cardiaque ou
........ ............ ,.
.....__~..,.......
c;rculatoire)
La mémonsation des images de
1échogrdpne A B • sector sCdll
nmg 1 ust tfll ijé11eral récsl1s8c: :.IITl
,,....... pie ment ~ar photOijl dph;e (ou t;lrn
dans le cas d exploration dynami-
que) des écrans cathodiques de vi
f.g 17 sualisation.
PAGE 18- ELECTRONIOUE APPLICATIONS N• 1
tres méthodes permettent d 'accéder
au même résultat : la réponse im
pulsionnelle
Le signal d 'entrée (les ultra-sons
t émis) peut être de type « continu 1
(par opposition au signal en impul ·
sions de l'échographie classique).
modulé de façon aléatoire en phase
ou en fréquence. Un corrélateur.
partant du signal de sortie. peut
alors calculer la réponse impulsion ·
nelle et visualiser un résultat sem-
blable à celui de l'échographie clas-
sique
De tels systèmes sont en cours
de développement. Les problèmes
qui subsistent sont d 'ordre pratique,
le nombre de points de corrélation
anatyw
Ftg IP
devant être important si l'on veut
obtenir une bonne résolution et une
profondeur d'exploration suffisante.
- Time Delay Spectrometry
A l'émission. la fréquence ultra ·
sonore, émise en permanence est
«vobulée 1 de façon connue, par
exemple de 2 à 3 Mc s A la récep -
tion le signal a bien sOr la même al ·
lure. retardé simplement par le
temps de propagation dans le tissu
étudié. Un filtre passe bande. dans
le récepteur, permet de ne prendre
en compte que les signaux à une
fréquence donnée, c'est-à-dire que
les signaux ayant mis un certain
temps de parcours.
FIIJ 21
Ce dispositif permet de ne pren •
lorsque le standard de balayage les capteurs sont en général petits dre en compte que les échos prove ·
utilisé le permet, on a parfois re- (segments de 10 à 15 cm au maxi · nant d'une certaine profondeur et
cours au magnétoscope. mum) à cause des limitations tech- permet, en déplaçant le capteur sur
nologiques du nombre d'éléments la peau du patient. de réaliser une
Actuellement, d'autres dispositifs
du transducteur ce qui réserve ces véritable tomographie (image d 'une
plus complexes apparaissent sur le
procédés à l'imagerie cardiaque. couche parallèle à la peau, située à
marché : une certaine profondeur)
- Ln capteu,. multi616ments - On peut remarquer que les
techniques d 'échographie (A, B. Nous verrons plus loin que ces
voir figure 22) T.M .) qui ne diffèrent en fait que par techniques sont aussi utilisées en
Ces dispositifs réalisent un ba- le mode de visualisation, sont en fait imagerie par transmission.
layage linéaire (par opposition au des techniques de mesure de la ré - Bien d'autres développements
secteur des méthodes précédentes) ponse impulsionnelle du système sont en cours d'étude dans les labo
par exploration séquentielle rapide «Tissus réfléchissants 1 obseNé, ratoires.
de plusieurs éléments céramiques avec en entrée, une impulsion ultra · Nous citerons l'étudt! et le déve·
différents constituant le capteur. On sonore et, en sortie, l'écho ultra- loppement des capteurs à balayage
reconstitue l'image sur un tube TV sonore réponse du système D'au· par faisceau d 'électrons (avantage
J.
par exemple f1xon s nous e (0) - e1
Dans l'hypothese actuelle la sort1e s
aura pour valeur s(O) .. smin et la
tension e évoluera telle que :
e(t) - - (a smin + b V)t + e2 (1)
lorsque cette mëme tension aura
atteint le seuil e • la sortie s bascu
lera · la valeur smax au temps h tel
que
FtfJuftt t - Sch m• synopt tQutt du convtrrfiSStluf tl (el e •)/(a smin + b v~ (2)
A ENTRÉES SORTIES
A ET 8 s
B
Ri -1 Ai Bi Ri si s. 1
A 0 0 0 0 0 1
A Q!:! 8 s
B 0 1 0 0 1 0
0 0 1 0 1 0
NON(A) = A 0 1 1 1 0 1
A A
1 0 0 0 1 0
1 1 0 1 0 1
1 0 1 1 0 1
TABLE DE VÉRITÉ
1 1 1 1 1 0
A B s
0 0 0 Fig. 3
0 1 0
1 0 0 Ri est la retenue partielle de l'additionneur de poids i
1 1 1
d'où les équations logiques représentant l'addition de deux éléments
0 0 0 binaires:
0 1 1
1 0 1 S; = R; _ 1 A; 81 + R; _ 1 A; 8; + R;-1 - A; 8; + R; - 1 A; 8;
1 1 1
(1) S;= R;- 1(A;B;+A;8 ;) + R;-dAiBi+AiBil
0 1
1 0 Cette dernière équation est obtenue après réduction.
1 De même la retenue Ri peut s'exprimer:
Fig. 1
R; = -R- - fA; 8; + R; - 1 A; - . + R· - 1 A; 8; + R; _ 1 A; 8;
Les circuits combinatoires sont _ 1 -- 8
_1 _1
c,
Ftg 5
la logique ciblée séquentielle. impulsions se produire à des ins A tttre d 'exemple et pour tllustrer
Confronte à des problèmes réels tants quelconques Une modifica ce qui vient d'être dit, proposons
le logicien s'aperçoit vite que la lo- tion des variables d' entrée peut en nous de realiser un disposittf dont la
gique câblée combinatoire ne peut trainer une modification transitoire fonct•on est d 'effectuer la somme
pas suffir. il manque en effet dans avant d' amener le systeme a un nou · de n nombres codes sur huit éle
les équations du système une dt men vel état qui lut soit conforme. Pour ments binaires que l'on vtent échan
sion · le temps. Il a donc fallu intro résoudre un tel système nous ttllonner à des instants précis le
duire une autre branche de la lo sommes donc conduits à introduire cycle est initialisé au moyen d 'un
gique où l'on utilise le temps comme des vanables auxiliaires internes qui bouton poussoir INIT (ftgure 7) et le
référence de l'état des circuits. Dans seront l'image de la variable tempo paramètre n (0 ~ n 128) est pro
ce type de ctrcuit le temps intervient relie, comme l'indique la figure 6, de grammé par hu1t mterruptcurs • la
comme durée pour chaque opera- façon à ramener la résolution du somme et la retenue ftnale sont af
tion élémentaire, par exemple à problème à la résolution d' un circutt fichées en fin de cycle sur neuf
chaque additionneur élémentaire on combinatoire diodes électroluminescentes
peut associer une durée 9, caractéris-
tique du nombre de couches log• Nous citerons pour mémoire.
ques à traverser (6 dans notre comme méthode de résolution des
exemple) qui nous permettra de sa systèmes séquenttels asynchrones.
voir combien de temps il faut mamte la méthode dite de réduction des
nir stables les signaux d'entrée A •• matrices de phases
T,
1 .addltion • nL______,j
T,
Fig. 10
•c
••
quence traitant l'instruction Suppo-
sons qu'au lieu d' une instructton de
s1mple addition nous vouhons desor-
cy
su
"f
• maiS réaliser une addit1on de deux ex
dr
u valeurs avec test sur résultat et saut
de 2 instructions dans le cas ou celui-
•.• ci serait négat1f mt
!• L' enchaînement des instructions un
"0
pourrait alors être celui de la f1gure se
c(
mt
19 a l'adresse n de la memoere ex
terne de programme est inscrite et
l'instruction c d'addition avec test • ph
qui comme précedemment realisera no
Frg 18 set
l'addition des contenus des deux
gestion du programme se fait en Séquence de micro InStructions registres RA et RB avec rangement mc
modif1ant le contenu du compteur dont la seule fonct1on est l'exécu- du résultat dans RB mais avec en un
ordinal PC PC est géré par une sé- tion de l'instruction decodée préala- plus un test sur la valeur de RB ; si mt
quence de micro instructions (sé· blement. Lorsque cette instruction RB est négatif nous désirons un saut qu
quence de décodage d'instruction est exécutée la dernière micro-in· à l' adresse n + 2, ou est inscrite l'ins- va
sur la figure 17 qu1 ht le contenu struction de la séquence de traite- truction de rangement du contenu
d 'un mot instruction dans la mé· ment effectuera un retour vers la de RB en mémoire de données. Si mi
mo1re externe qui l'analyse et effec· séquence de décodage d 'instruc- RB est positif ou nul l'instruction sui on
tue un saut de MPC vers une autre tion vante (n + 1) sera décodée et consis d 't
...
si mée, effectuer les opérations logi·
ut ques les plus complexes et les plus
variées.
s-
'\U L' exemple precedent nous a per
Si mis de montrer avec quelle facilite
JÏ· on pouvait ajouter a notre répertoire
s d 'mstruct•ons (on parle de jeu d' ins·
Conversion : Changement de mode. de • code 1 ou en Mot : • Element d' mformatlon 1 do Huile sufftsantP pour
general, de representation rf'presenter un nombre ou une • mstructeon 1
Ecriture : 1) • memoere 1 : transfert de l'1 mformat•on 1 Pante . Fa1t pour un entter d 'etre multiple de 2 Contraere
d'un • reg1stre 1 dans une case memoere 1mpante
2) • Registre 1 définition de son contenu
Element d'mformation : ensemble de « b1ts 1 ordonnés Porte . • Element log1que 1 latssant passer des
Element log1que . possede un certam nombre • 1mpulstons 1 s• une certamo cond1t1on P-st vP.nftne .1
d' • entrées 1 et une ou plusieurs • sort tes 1 et capable l't entree 1 . Plus generalement tout • r.lement logeque 1
d'effectuer une operation logique elementaire (element ne • stockant 1 pas d 'mformat1on
électron1que ou autre) . Ex : bistable, bascule, porte a
tm pulSIOn. Programme : Ensemble d 'mstructtons et de donnees
defm1ssant un traetement d ' • mformnteons •
Graphe : Fegure formee de pomts. ou sommets represen
tant les 1 êtats 1 d'un systeme et d' arcs reliant ces pomts Reg1stre Ensemble de • bascules • commandr.es stmul
et reprêsentant les changements d'etats tanement
Horloge : 1) Ensemble d 'mstants s1gntf1cattfs Série : Se d1t d' un mode ou d 'un «operateur 1 dans le
2) C1rcu1t emettant ces • stgnaux 1 quel les • bets 1 d' un 1 élement d 'mformatton 1 sont trat
tes successivement par les memes • elements log•
Information : Connaissance d 'un • etat 1 d' un pheno ques 1
mene parmi les N • etats 1 posstbles
Synchrone . Operateur synchrone • operateur • pour
Instruction: • Elément d'information 1 servant a spec1 lequel chaque evenement ou l'execution de chaque opé
fier une c operation • executable par un ordmateur ratton elementaire débute comme etant le resultat d 'un
• s•gnal1 genéré par une • horloge 1
Lecture: Transfert de l't information 1 d 'une case de
memo~re vers un • registre a. Variable : Une quant1tè qu1 peut prendre chal'ttno dr.s
S'applique également a d'autres organes de valeurs d' un ensemble donne
• stockage 1 ou a des supports mecan1ques
Mémoire: Organe ou part1e de l'ordmateur dans lequel r.,.,, dttftmt~nns ntt <nnt 1111s ltql'fJS ,., 1"-"'' wnt ,.,,,. l'lu< t•tt>tt!lt'fl~
est stockee. pendant son execut1on, l' • mformat1on 1 ne TOIIIP prnpnsmnn. q11.1111 il dP nflll~f'llt!• ""'""''f'"5 ""'" iln ,,,,,,,. il•l!r'
cessaire à un traitement. c'est a dere. • un programme 1 ,,. plm; qlilnd mtf'tBI
les claviers
CHOMERICS
rvc712
Grande fiabihtc, encombrements réduits
(épassuur 4 mml. choix des modeles
convenant a touteS les application!;,
90rties par connecteurs ou circuits souples.
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VIDEO · • 2 bases de temps Independantes stab1hsées pa
quartz • 625 et 819 lignes entrelacées
• 4 tnformahons d 1mage : gnlle de convergence
Image de purete rouge ou blanche • échelle d
gns - m1re de barres couleurs, normalisee (8 barre
verticales)
• ContrOle portter à 1a1de des fréQuences 3.9
4,756 MHz stabilisées par quartz
•1- P" 1:1:-• ·n • • Co ntr61e des dlacna a 1a1de des frequences F
Clavu!rs extra plats 4 250 et 4 406 stab1hsees par q uartz. et d 'un cl
<ép 2mm)
caractl'raauqu
h Pf' ·····•:11 gnoteur permettant le reglage d1rectement sur 1
Applications tube 1mage
idenUQ\1 aux g n raies
modèles EF et ER ns spécificnuon H F. · • 1 canal VHF + 1 canal UHF. porteuses VISion stab
pnrucu hc1'C11 sees par quartz • son obtenu par Quartz d mtervall
par
DO 1 OOo DOl DOz 001 oo. DOo ODe DO, oo.
i SI 1 i Sl o i Slt i Sh iSb à SI. à Sl 5 ilSla i Sb iSla
DO 16.34 Hz 32.69 Hz 85.39 Hz 130.79 Hz 281.59 Hz 523.19 Hz 1 048.37 Hz 2 092.75 Hz 4185.50 Hz 8371.00 Hz
DO# 17,30 Hz 34.82 Hz 69.25 Hz 138.50 Hz 277.02 Hz 554.05 Hz 1108.10 Hz 2216.22Hz 4432.44 Hz 8864.88 Hz
RE 18.34 Hz 3668Hz 73.37 Hz 146,78 Hz 293.56 Hz 587.01 Hz 1174.02 Hz 2 348.05 Hz 4 696.11 Hz 9392 22Hz
RE# 19.42 Hz 38.84 Hz 77.70 Hz 155.44 Hz 310.88 Hz 621.66 Hz 1 243.28 Hz 2 486.58 Hz 4973.18 Hz 9 946.36 Hz
Ml 20.60 Hz 41 .20 Hz 82.39 Hz 164.80 Hz 329.60 Hz 859.21 Hz 1318.42 Hz 2 636.56 Hz 5273,12Hz 10546.24 Hz
FA 21.81 Hz 43.84 Hz 87,30 Hz 174.8 1 Hz 349.22 Hz 698.44 Hz 1396.88 Hz 2 793,76 Hz 5 587.52 Hz 11175.04 Hz
FA :z 23.09 Hz 48.21 Hz 92,45 Hz 184.91 Hz 389.82 Hz 739.64 Hz 1479.29 Hz 2 958.59 Hz 5917,18Hz Il 834.36 Hz
nd• SOL 24,49 Hz 48,98 Hz 97.96 Hz 195.93 Hz 391.86 Hz 783.73 Hz 1 567,46 Hz 3 134,92 Hz 6 269.84 Hz 12 539.68 Hz
SOL# 25.93 Hz 51.87 Hz 103.74 Hz 207.48 Hz 414.97 Hz 829.97 Hz 1 859.94 Hz 3 319.88 Hz 6 639.77 Hz 13 279.54 Hz
cal LA
LAt:
27.50 Hz 55.00 Hz 110.00 Hz 220.00 Hz 440.00 Hz 880.00 Hz 1760.00 Ht 3 520.00 Hz 7 040.00 Hz 14 080.00 Hz
29.12 Hz 58.24 Hz 116.49 Hz 232.98 Hz 465.96 Hz 931.92 Hz 1 863.85 Hzl3 727.70 Hz 7 455.40 Hz 14910.80 Hz
SI 30.87 Hz 61.73 Hz 123.46 Hz 246.94 Hz 493.88 Hz 987.57 Hz 1 975,13 Hz 3 950.27 Hz 7 900,54 Hz 15801.08 Hz
• 76
TABl.fAU DES 10 OCTAVES CORRESPONDANT AUX POSSIBILITES DE l'AUDITION HUMAINE (caleu" pour le LAl • 440 Hz)
BANDES VHF
Gammes de 31,7 il 41 MHz BANDES UHF
de 68 a 88 MHz Bande de 328 à 340 MHz
de 151 à 162 MHz
Balisage de descente ou glidepath pour atterrissage
Jammes prévues pour les réseaux pnves de radiOtélé- sans visibilité
phone (modulation de phase ou de frèqunece). Bande de 430 à 440 MHz
Bande de 30 à 40 MHz Bande • amateurs • sauf la portion 433 à 434,5 MHz
Police Bande de 433 à 434.5 MHz et de 450 è 460 MHz
Bande de 32 è 35 MHz Aeronautique Radioguidage. Radiocommunications .
SNCF Bande de 440 à 470 MHz
Fréquences de 36.4 et 39.2 MHz Gamme prévue pour les réseaux privés de radiotélé·
Fréquences prévues pour l'ut1hsation des phones (modulation de phase ou de fréquence)
c microphones - émetteurs • portatifs (FM). Bande de 470 à 606 MHz et de 614 à 880 MHz
Fréquence de 40 MHz 1 Télévision UHF bandes IV et V
Frequence d'ém1ssion souvent utilisée par les satel· Bande des 650 MHz
lites soviétiques Faisceaux hertz1ens m1lita1res.
Ultra-violets
limite du spectre solaire par absorption atmosphé-
rique ..• 0,293 ~ (101 5 Hz)
Limite extrême du spectre ultra-violet ... 0,02 ~ ou
200 X {1 ,5 x 1016Hz).
les propriétés essentielles des ultra-violets sont les
suivantes · Bronzage naturel (soleil) ou artificiel (lampes
spéciales) • proprietès photogéniques. physiologiques
et microbicides particulières ; production de phéno-
mènes d' ionisation ; etc.
--
Voyants
lumtneux pour 119ftahutton et con1r61t
N6on et mc.nd~• : de 6 i 380 V
Nombfeux moc:tt~• pour 1outes eppheat•ons.
Fabfteation Frença••·
Rayons X et radio-activité Colo i<'IUI "" do•mo 11d..
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