Effectué à
LYDEC
Réalisé par :
M. Khalid TAKNI
Encadrant pédagogique :
Pr. Mhamed SAYYOURI
Encadrant professionnel :
Mr. Elfatmi LEMSEFFER
EL Jadida
Remerciements
Nous ne pouvons entamer ce présent rapport sans exprimer nos sincères remerciements à
tous ceux qui ont contribué, de près ou de loin, à l’aboutissement de ce projet.
Mes profonds remerciements vont à mon encadrant à l’ENSAJ Mr. SAYYOURI qui est
accepté d’encadrer mes travaux durant ces 4 mois de stage, par leur encouragement, leur
soutien moral, leur aide et leurs précieux conseils.
Enfin je remercie mes camarades, parents, amis pour leurs encouragements ainsi que
toute personne ayant contribué de près ou de loin à l’élaboration du présent document.
Khalid TAKNI
Remerciements .......................................................................................................................... II
Table des matières .................................................................................................................... III
Liste des figures ....................................................................................................................... VI
Liste des tableaux .................................................................................................................. VIII
Liste des abréviations et des acronymes ................................................................................... X
Introduction générale.................................................................................................................. 1
Chapitre 1 : Présentation de l’organisme d’accueil et cahier des charges ................................. 2
Introduction ................................................................................................................................ 2
I. Présentation de l’organisme d’accueil .................................................................................... 2
I.1. Historique ......................................................................................................................... 2
I.2. Fiche signalétique & Actionnaires ................................................................................... 3
I.3. Activités de LYDEC sur la Région du Grand Casablanca............................................... 4
I.4. Organisme de la « direction d’éclairage public» : ........................................................... 5
II. Présentation général du projet ............................................................................................... 6
II.1. Analyse Fonctionnelle .................................................................................................... 6
II.2. Présentation du contexte du projet.................................................................................. 7
II.3. Situation géographique ................................................................................................... 7
II.4. Parties prenantes du projet .............................................................................................. 8
III. Plan du projet ....................................................................................................................... 8
Conclusion .................................................................................................................................. 9
Chapitre 2 : Etude projet extension éclairage public route 107 Ain Harrouda ........................ 10
Introduction .............................................................................................................................. 10
I. Pré dimensionnement du réseau d’éclairage public .............................................................. 10
I.1. Classification de la chaussée .......................................................................................... 10
I.2. Détermination de la luminance de la chaussée .............................................................. 11
I.3. Types d’implantations .................................................................................................... 11
I.4. Choix de la hauteur de feu ............................................................................................. 13
I.5. Choix du type de luminaire ............................................................................................ 13
I.6. Choix de l’espacement entre les foyers ......................................................................... 13
I.7. Nombre de candélabre à installer ................................................................................... 14
I.8. Détermination du rapport R ........................................................................................... 14
I.9. Détermination du facteur d’utilisation ........................................................................... 14
I.10. Calcul de la puissance des sources ............................................................................... 15
I.11.Récapitulation de la partie ............................................................................................ 15
II. DIALUX .............................................................................................................................. 16
III. Dimensionnement du réseau .............................................................................................. 19
DP Direction Préfectoral
BT Basse Tension
IP Indice de protection
Introduction générale
L'éclairage public est l'ensemble des moyens d'éclairage mis en œuvre dans les espaces
publics. Il participe à la fois à la sécurité publique, en jouant un rôle important dans la
perception nocturne, à la convivialité et à l’embellissement des espaces publics en mettant en
valeur le patrimoine et en créant des ambiances nocturnes agréables. Outre, il représente une
part conséquente de la consommation d'énergie avec l'augmentation importante des coûts
facturée.
Pour cela que les villes travailleraient aujourd’hui pour améliorer l'efficacité de leur
réseau d’éclairage public par l’optimisation de la consommation énergétique et la réduction
des émissions des gaz à effet de serre. Pour cela, le recours aux nouvelles technologies pour
développer de manière efficace et durable le service d’éclairage public est indispensable.
C’est dans ce contexte que s’inscrit la présente étude, qui traite l’économie d’énergie de
l’éclairage public de la ville de Casablanca. L’objectif est de faire des propositions
d’amélioration de la qualité de l’éclairage, de la consommation d’énergie mais aussi de la
réduction d’émission des gaz à effet de serre.
Introduction
I.1. Historique
Depuis Mars 1914 jusqu’à 1961, la concession de distribution d’eau, de gaz et
d’électricité a été confiée à une société privée SMD (Société Marocaine de Distribution).
Le 11 mai 2009, LYDEC a signé avec les trois communes urbaines de Casablanca, Aîn
Harrouda et Mohammedia, l'avenant au contrat de gestion déléguée. Un nouveau cap qui
concrétise et finalise la première révision du contrat dans le cadre d'un accord qui satisfait
toutes les parties prenantes.
I.2.2. Actionnaires
Depuis juillet 2005, LYDEC est une entreprise cotée à la Bourse de Casablanca.
Répartition de son capital social (800 000 000 d'actions) au 2 juin 2015.
La distribution d’une eau potable de qualité, conforme aux normes sanitaires marocaines
en vigueur. Cette eau nous est fournie par deux producteurs nationaux : l'ONEE (Office
National de l'Electricité et de l'Eau Potable) et la SEOER (Société des Eaux d'Oum Erbiaa).
La gestion de l'éclairage public (140 000 points lumineux) avec l'objectif d'augmenter le
taux d'éclairement, tout en veillant à économiser l'énergie grâce à des techniques innovantes.
Ordonnancement
Figure 3 : Organigramme Direction Eclairage Public
C'est dans ce cadre que mon projet de fin d’études rentre en jeu. Il a pour thème :
"Dimensionnement d'éclairage public de la route 107 Ain Harrouda"
Afin d’accomplir les tâches qu’on nous a confiées durant cette période de stage au sein de
LYDEC, un diagramme GANT a été réalisé à l’aide du logiciel MS Project. Ce diagramme
présente l’ensemble de tâches effectuées ainsi que leurs durées.
Conclusion
Après avoir présenté l’organisme d’accueil, et cahier des charges, nous allons procéder à
l’étude photométrique et électrique du projet extension éclairage public route 107 Ain
Harrouda.
Chapitre 2 : Etude projet extension éclairage public route 107 Ain Harrouda
Introduction
Dans le cadre du lancement d’un appel d’offre d’éclairage public, il nous a été confié
l’élaboration du descriptif technique qu’on va traiter dans cette partie en détails. On l’a
décomposé en plusieurs tâches afin de simplifier l’étude et aborder chaque étape de manière
structurée et planifiée.
Classification de la chaussée
Détermination de la luminance de la chaussée
Choix du type d’implantation
Détermination de la hauteur h
Choix du type de luminaire
Détermination de l’espacement
Détermination du rapport R
Détermination du facteur d’utilisation u
Calcul de la puissance des sources
I.1. Classification de la chaussée
La classification des voies de circulation se fait selon des critères de catégories et de
trafic.
Pour une voirie de classe D dont la nature des abords est sombre.
Lmoy = 2 cd/m²
I.3. Types d’implantations
On distingue plusieurs types d’implantations où interviennent largeur de voie et hauteur
de feu :
Dans le cas où la largeur de chaussée reste inférieure à une fois et demie la hauteur de
feu.
Lorsque la largeur de chaussée est supérieure à une fois et demie la hauteur de feu.
bilatérale vis-à- -Adaptée aux chaussées de -Investissement plus -Voiries urbaines larges
vis largeur plus importante important (deux rangées
-Eclairement identique de de mâts)
chaque côté -Encombrement des 2
-Bien adapté aux chaussées trottoirs
doubles
Implantation -Investissement limité (une -Uniformités de -Voiries urbaines
axiale seule rangée de mâts) luminance réduite côté importantes
-Pas d’encombrement des opposé -Voiries mixtes
trottoirs -Maintenance difficile
-Bien adaptée aux chaussées si chaussées doubles
doubles ou rues étroites
Tableau 6 : Avantage et inconvénients des Implantations
Puisque la chaussée est double et pas d’encombrement des trottoirs, Le choix s’est porté
sur l’implantation axiale. De plus, l’alimentation électrique est dans ce cas économique.
Type défilé : La distribution est assez concentrée, ce qui élimine tout risque
d’éblouissement, ils conviennent pour les sources ponctuelles telles que les lampes à vapeur
de sodium haute pression, lampe à vapeur de mercure ou lampe à halogénures métalliques.
I.6. Choix de l’espacement entre les foyers
L’espacement entre les foyers est défini selon les critères représenté dans le tableau
suivant.
(1)
L=La longueur de la chaussée
e=espacement
E=partie entière
I.7.1. Poste Oueld Hamimoun 3
(2)
(3)
Le cahier des charges exige l’utilisation d’une lampe sodium Haute pression (SHP) est
EL = 120lum/w
(4)
29700/ 20 247,5 W ≈ 250 W
I.11.Récapitulation de la partie
II. DIALUX
La hauteur du poteau
L’espacement entre deux luminaires
Puissance et technologie du luminaire
Flux lumineux de lampe et du luminaire
Longueur et inclinaison du bras
Distance entre le poteau et le trottoir
La voirie éclairée et le type de la chaussé et du trottoir
Largeur de la chaussée et du trottoir
Classe d’éclairage
Dans le résultat publiés dans la figure ci-dessous tous le paramètre cité sont soit donnés
par l’utilisateur soit télécharger dans les pâques des constructeurs de lampes qui intègrent des
plug-ins dédiés au logiciel DIALUX.
On remarque que toute la rue est bien éclairée, et les zones les moins éclairée sont à 20
lux ce qui correspond au la classe d’éclairage ME4a.
(5)
d étant un facteur tenant compte des prévisions d’extension pouvant être pris égal à 1 si
aucune extension n’est prévue, sa valeur maximale étant de 1,3
III.2. Détermination du courant d’allumage IA
Le courant d’allumage de l’installation est déterminé en tenant compte du courant
maximal absorbé par les récepteurs lors de leur mise sous tension. Le courant d’allumage de
l’installation est égal à :
(6)
Nombre de départ 2
Nombre des foyers Départ 1 62
Départ 2 56
Ib 1,4
IB Départ 1 86,8
Départ 2 78,4
Ia 2,3
IA Départ 1 142,6
Départ 2 128,8
In Départ 1 160
Départ 2 160
Tableau 15 : Choix du dispositif de protection contre les surcharges pour poste Oueld Harroudat
(7)
: étant la résistivité des conducteurs prise égale à :
- 23 mΩ.mm2/m pour les conducteurs en cuivre
- 37 mΩ.mm2/m pour les conducteurs en aluminium
En cuivre isolé (fil électrique avec isolant vers jaune), avec une section minimale de
16mm².
En cuivre nu avec une section minimale de 25 ²: C’est le conducteur de terre le plus
souvent utilisé.
En acier galvanisé nu, avec une section minimale de 50mm².
Dans notre cas un câble de terre en cuivre nu de 1 × 25mm² sera suffisant.
III.8. Protection contre les courts circuits
Le courant de court-circuit à l’extrémité de l’installation est égal à :
(8)
Ω (9)
Ω (10)
00
: étant la puissance assignée du transformateur, en KVA
: étant la tension de court-circuit du transformateur, en %
Les tensions de court-circuit des transformateurs (Ukr) conformes aux normes qui
les concernent ont les valeurs suivantes :
Puissance apparente S du Transformateur Tension de court-circuit (%)
(KVA)
S<=630 4
S>630 6
Tableau 19: Tension de court-circuit en fonction de puissance apparente du transformateur 20 kV/400
V — 230 V
(13)
Lc : La longueur du conducteur de l’installation depuis le transformateur jusqu’à
l’extrémité de l’installation..
: La section du câble déjà calculée.
La réactance des conducteurs est prise conventionnellement avec une réactance
linéique égale à 0,08mΩ/m.
0,0 (14)
25
Tableau 20 : Les résistances et réactances pour poste Oueld Hamimoun 3
Liaison , 0
2 / 5,6
70 m
25
Tableau 21 : Les résistances et réactances pour poste Oueld Harroudat
La protection contre les courts circuits nécessite que le courant ainsi calculé soit au moins
égal au courant de fonctionnement instantané du disjoncteur.
III.9. Protection contre les contacts indirects
Lorsque l’installation est réalisée en schéma TN, il y a lieu de vérifier si le dispositif de
protection placé à l’origine de l’installation fonctionne dans le temps prescrit si un défaut à la
terre se produit à l’extrémité de l’installation.
Cette condition nécessite le calcul du courant de défaut, qui peut effectuée d'après les
résistances et réactances des différents éléments de l'installation, suivant la formule :
(15)
(16)
La réactance des conducteurs est prise conventionnellement avec une réactance linéique
égale à 0,08 mΩ/m.
U0 étant la tension nominale de l’installation, soit en général 230 V
La protection contre les contacts indirects nécessite que le courant ainsi calculé soit au
moins égal :
au courant de fonctionnement instantané, si la protection est assurée par disjoncteur,
au courant assurant la fusion dans le temps prescrit soit 0,4 s pour une tension nominale
de 230 V, si la protection est assurée par fusible.
En aval de variateur ou de régulateur, la protection contre les contacts indirects doit être
assurée par au moins un DDR (Dispositif Différentiel à courant Résiduel).
IV.2. Fournitures
Unité Montant HT
Fourniture de tube annelé double paroi TPC rouge 63 ML 82 040,00
Fourniture de grillage avertisseur rouge ML 5 808,00
Fourniture de câble U1000 RVFV 4G 16 mm² ML 31 942,80
Fourniture de câble U1000 RVFV 4G 25 mm² ML 135 620,00
Fourniture de câble U1000 RVFV 4G 35 mm² ML 182 540,00
Fourniture de câble de cuivre nu de mise à la terre 1x29 mm² KM 41 571,13
Fourniture de Massif préfabriqué Unité 86 427,36
Fourniture de mât cylindro-conique de 12m Unité 306 355,00
Fourniture de luminaire équipé pour lampe SHP 250 w Unité 324 952,00
Fourniture de projecteur 400 W IM Unité 2 905,72
Fourniture de Crossette Simple Couurbee Galvanise 20/10 Unité 1 765,14
SAIL1,5 M
Fourniture de Crossette double Couurbee Galvanise 20/10 46 053,36
SAIL1,5 M
Fourniture de couronne pour fixation de projecteur Unité 2 000,00
Fourniture de Platine 3x4x35 2 luminaires Unité 25 956,00
Fourniture de serre câble à griffe 29 mm² Unité 1 442,00
Accessoires de raccordement de câble EP au poste ENS 325,29
Coffret CC TETRA 22X58 & CAPOT Unité 380,07
Total (B) HT 1 108 646,34
Tableau 23 : Investissement sur les fournitures
Après avoir dimensionné projet extension éclairage public route 107 Ain Harrouda et
calculer la consommation annuelle, nous allons procéder à l’étude d’optimisation de la
consommation d’énergie par la télégestion et lampe LED.
Introduction
I. Principales fonctions
II. Objectifs
Les principaux objectifs d’un système de gestion intelligente de l’éclairage public sont :
Chaque mât est équipé d'un nœud (Module d’identification et de contrôle de luminaire)
qui se situé soit au niveau de luminaire soit au niveau de pied de poteau. Chaque nœud reçoit
des ordres et envoie des informations au contrôleur (Manager) de segment qui se trouve dans
l'armoire électrique par courant porteur. Les informations sont ensuite récupérées dans un
serveur à l'aide d'un modem GPRS, de wifi, de radio..., pour permettre d'analyser les données
reçues et paramétrer l'installation. Chaque point lumineux peut être piloté en temps réel et à
distance : suivi des consommations et des économies d'énergie, facilitation et optimisation des
coûts de maintenance, et bien sûr allumage, extinction et gradation de l'éclairage. Le système
peut également s'interfacer avec des logiciels tiers (système d'information géographique, de
maintenance....).
V. Réseau DALI
DALI (Digital Addressable Lighting Interface) : est une interface standard développée et
soutenue par différents grands constructeurs de ballasts électroniques. DALI permet de gérer,
commander et réguler numériquement une installation d'éclairage par l'intermédiaire d'un bus
de communication deux fils communément appelé "ligne DALI".
DALI n’a aucun souci de compatibilité d'équipement. En effet, quels que soient les
composants de l'installation d'éclairage :
Un détecteur de présence,
Une cellule photo électrique,
Un bouton poussoir,
Un interrupteur gradable à mémoire,
Un ballast électronique,…
Sur les solutions actuelles, deux types de modulation ressortent particulièrement : OFDM
(Orthogonal Frequency Division Multiplexing) et SPREAD SPECTRUM ou (modulation à
étalement de spectre).
le Spread Spectrum ou le CDMA (Code Division Multiple Access) est une modulation
dite à large spectre qui consiste à étaler le signal sur une bande de fréquence plus large
que nécessaire dans le but de diminuer les interférences et les distorsions inhérentes aux
installations : le signal se confond avec le bruit. Le signal est codé au départ, un code est
assigné à chacun des usagers afin de permettre le décodage à l'arrivée. L'étalement est
assuré par un signal pseudo aléatoire appelé code d'étalement. A la réception le signal est
perçu comme du bruit si le récepteur n'a pas le code. Le signal étant émis à un niveau
plus faible que celui du bruit, le Débit reste faible.
En principe les installations qui utilisent la solution OFDM sont en hauts débits
et celles en étalement de spectre sont en bas débits.
Le terme radiofréquence (souvent abrégé en RF) désigne les ondes radio dont le
spectre est situé entre 3 kHz et 300 GHz, ce qui inclut les fréquences utilisées par différents
moyens de radiocommunication, notamment la téléphonie mobile, le Wi-Fi ou la
radiodiffusion, ainsi que des signaux destinés à d'autres usages comme les radars ou les fours
à micro-ondes.
circuits, une particularité des ondes RF étant en effet de se propager à la fois dans les milieux
conducteurs (câbles, composants, ...) mais aussi dans l'espace environnant.
CPL Radiofréquence
Les câbles Le CPL, quant à lui, utilise les câbles En ce qui concerne le radio, celui-ci
électriques. Il est donc nécessaire de se fonctionne sans fil c'est-à-dire que de
trouver à proximité d'une prise de courant n'importe quel endroit d'une pièce il est
pour pouvoir utiliser le réseau. Là aussi, il est
possible d'accéder au réseau. Il est aussi
nécessaire d'être à une certaine distance pour
pouvoir y accéder. possible d'y accéder depuis n'importe
quelle pièce de la maison (sous réserve
d'être à une distance suffisante pour
capter le signal).
Les débits Les débits théoriques du CPL sont de 14 Le radio, selon les normes 802.11a et
Mbps bien qu'un débit de 200 Mbps est 802.11g, peut atteindre un débit de 54
annoncé pour l'avenir. En pratique, les débits Mbps. Là encore, le débit peut
approche plus de 10 Mbps. Il est à noter que rapidement diminuer selon
le CPL partage la bande passante entre les l'environnement d'utilisation du réseau.
différents matériels connectés au réseau.
La distance Quant au CPL, il est théoriquement possible Les distances d'utilisation du radio sont
d'atteindre des distances de 200 voire 300 très variantes car elles dépendent de
mètres. Bien sûr, cette distance peut être l'environnement. En effet, les ondes
diminuée par la qualité du réseau électrique. radios sont atténuées par les murs.
D'après les normes il serait possible
d'avoir une distance théorique d'environ
100 mètres (norme 802.11b).
Les normes Les normes assurent un fonctionnement Contrairement au radio qui possède
identique pour tous les produits fabriqués quelques normes comme la IEEE
selon elles. Ce qui permet d'avoir une 802.11a ou encore la IEEE 802.11b et
compatibilité entre les différents matériels.
IEEE 802.11g qui sont les plus utilisées à
Le CPL ne possède pas de norme a
l'heure actuelle.
proprement parlé.
(17)
D’après cahier charge, l’efficacité lumineuse du LED utilisée est El=200 lumen/w
Les normes d’éclairage public imposent une valeur minimale de l’éclairement > 12 lux,
ce qu’il fait pour rester dans l’intervalle déterminé, on va se baser dans cette simulation sur un
profil d’abaissement de 40% (P=90w).
IX.2. Impact énergétique
Dans notre cas, on fera une projection de l’économie d’énergie en supposant un scénario
d’abaissement de 40% de 22h00 à 05h00.
(18)
Comme on peut le taux de rentabilité interne est faible et inférieur à 16% du coup la
valeur actuelle nette du projet peut être négative avec un fort taux d’actualisation. Donc le
projet peut être n’est pas rentable avec un fort taux d’actualisation.
IX.5. Le délai de récupération
Ce critère sert simplement à déterminer le temps requis (généralement le nombre
d’années) pour récupérer l’argent investi dans le projet «Télégestion avec LED».
Année Coefficient d'actualisation Flux actualisé Flux cumulé
0 1,000 -1100000 -1100000
1 0,909 124158 -975842
2 0,826 112871 -862970
3 0,751 102610 -760360
4 0,683 93282 -667078
5 0,621 84802 -582276
6 0,564 77093 -505183
7 0,513 70084 -435099
8 0,467 63713 -371386
9 0,424 57921 -313465
10 0,386 52655 -260810
11 0,350 47868 -212942
12 0,319 43517 -169425
13 0,290 39561 -129864
14 0,263 35964 -93900
15 0,239 32695 -61205
D’après nos calculs précédents nous avons trouvé un délai de récupération de 17 ans et 2
mois. Cela veut dire qu’après 17 ans et 2 mois l’entreprise a récupéré tout ce qu’elle a
dépensé et investit et commence à faire que des bénéfices.
Conclusion
Dans ce chapitre, nous avons étudier la faisabilité d’appliquée la télégestion avec les
lampes à LED. Dans le chapitre suivant nous allons étudier le système solaire intelligent.
Introduction
Nous proposons dans cette partie une étude détaillée d’une lampe solaire intelligente,
cette dernière, considérée comme une solution dans le futur proche pour l’économie d’énergie
dans l’éclairage public. En effet, les lampes solaires ont vu le jour en Europe.
Le solaire est la source d’énergie renouvelable la plus importante au Maroc. Avec plus de
3000 h/an d'ensoleillement, soit 2 600 kWh/m²/an, le Maroc jouit d'un gisement solaire
considérable. Cette source d’énergie constitue un potentiel particulièrement important surtout
dans les régions mal desservies en capacités de production électrique.
En novembre 2009, le projet marocain de l’énergie solaire a été lancé par le Ministère de
l’énergie, des mines, de l’eau et de l’environnement. Il porte sur la création de cinq sites à
Ouarzazate, Tarfaya, Boujdour, Laâyoune et Aïn Béni Mahtar (choisis pour leurs nombreux
jours d’ensoleillement).
Ce projet vise la mise en place en 2020 d’une capacité de production de 2000 mégawatts,
soit 14% de la puissance électrique à l’horizon 2020. Son coût est estimé à 70 milliards de
dirhams supporté par l’Etat, le Fonds Hassan II pour le développement économique et social,
l’Office National d’Electricité et la Société d’Investissements Energétiques.
la conception d'un système photovoltaïque est le résultat d'une optimisation réalisée par
itération.
Le dimensionnement se fait en passant par les étapes suivantes :
1. Détermination des besoins de l'utilisateur : puissance des équipements et durée
d'utilisation;
2. Chiffrage de l'énergie solaire récupérable selon l'emplacement et la situation
géographique;
3. Définition des modules photovoltaïques : puissance totale à installer (puissance crête);
4. Définition de la capacité des batteries et choix de la technologie;
5. Dimensionnement et choix du régulateur;
6. Dimensionnement de l'onduleur.
E PT
. (19)
D’après le site, l’énergie solaire moyenne en kWh/m², à Ain Harrouda égale 5.6 kWh/m²
par jour.
Il est à noter que l’énergie électrique journalière produite par le champ photovoltaïque
varie au cours de l’année. En effet, en hiver les jours étant plus courts, l’énergie produite par
les modules photovoltaïques est moins importante qu’en été (où les jours sont plus longs).
II.5.1. Puissance crête à installer
Le ratio de performance est un nombre entre 0 et 1 (ou 0 et 100%). Plus il est proche de 1
(ou de 100%), plus l’installation est performante d’un point de vue électrique.il permet de
quantifier les pertes intrinsèques de l’installation électrique.il dépend du mode d’intégration et
de la présence d’un régulateur MPPT ou non.
Module Module Module Module
très peu peu ventilée ventilée bien ventilée
ventilée
Ratio de Absence
du régulateur
performance 0.55 0.60 0.65 0.70
MPPT
Présence
du régulateur
0.60 0.65 0.70 0.75
MPPT
Tableau 29 : Les différentes valeurs du ration de performance
A.N :
5
4
5, 0,7
II.5.3. Caractéristiques exigées du panneau photovoltaïque (modèle proposé)
Le panneau solaire doit être incliné de façon optimale afin de capter le maximum
d’énergie, on trouve que l’inclinaison moyenne optimale est 31°, orienté sud. Obtenue à
travers même interface.
II.6. Définition de la capacité des batteries
Nous rappelons que le rôle des batteries est de stockée le surplus d’énergie produit par le
champ photovoltaïque, et de la restituer lorsque le champ photovoltaïque n’est plus capable
d’alimenter les équipements électriques.
La tension de fonctionnement dépend de la puissance qui peut être dégagé par le module
photovoltaïque, ainsi nous pouvons dresser le tableau suivant :
Puissance crête <500 Wc 500 Wc < Pc < 2KWc >2KWc
Tension de 48
12 V 24 V
fonctionnement V
Tableau 31 : La tension de la batterie en fonction de la puissance
Type GEL ou AGM à décharge profonde : batterie conçue pour utilisation solaire
Capacité : 140Ah
Tension : 24V
Durée de vie : +10 ans
2 jours d’autonomie
Sans entretien
Très faible autodécharge
Fabriquée selon les normes de qualité ISO 9002.
Conforme aux spécifications CE
II.7. Le régulateur
Il est le cerveau de l’installation, le régulateur doit assurer la charge et la décharge de la
batterie, il doit connecter la batterie ou la déconnecter du réseau afin de la protéger soit de la
décharge profonde (ce qui provoque une sulfatation excessive des électrodes) ou la surcharge
(ce qui provoque l’électrolyse de l’eau ce qui endommage la batterie).d’autre part la tension
fournie par le module photovoltaïque est une tension fluctuante (la tension du module
photovoltaïque dépend de la température et de l’ensoleillement).
Or, l’alimentation des récepteurs électriques, ne peuvent se faire sous une tension
fluctuante. Ainsi, il convient de mettre en place un régulateur. Le régulateur doit donc
transformer la tension continue fluctuante en une tension Continue non-fluctuante compatible
avec les récepteurs électriques.
Alors on choisit un régulateur de marque STECA Solarix (22A / 24V) donc le régulateur
choisi fonctionne avec une tension de 24V et le courant du régulateur Irégulateur=22A
II.8. L’onduleur
Un onduleur est un dispositif d’électronique de puissance qui permet de convertir une
tension et un courant continus en une tension et un courant alternatifs. Il convient de
différencier deux grandes familles d’onduleurs :
Les onduleurs assistés par une source de tension alternative. Ceux-ci convertissent un
signal continu en un signal alternatif compatible avec cette source de tension, c’est-à-dire
présentant les mêmes propriétés (valeur efficace, fréquence). Ces onduleurs sont utilisés
dans le cas des installations photovoltaïques raccordées au réseau (l’onduleur fournit
alors une tension alternative équivalente à la tension du réseau.
Les onduleurs autonomes. Ceux-ci peuvent fonctionner sans la présence d’une source de
tension alternative externe. Ils fournissent une tension alternative conforme à la demande
de l’utilisateur.
La tension d'entrée : c'est la même que la tension des batteries ou du régulateur 24V.
La tension de sortie : 220/230 V, 50Hz
La puissance nominale : c'est la puissance dont les appareils qui consomment votre
électricité ont besoin pour fonctionner de façon "normale". Il faut toujours choisir un
convertisseur dont la puissance est légèrement supérieure à celle des appareils.
La puissance maximale : l'onduleur est capable de fournir une grande puissance sur
un court laps de temps (généralement 2 ou 3 fois la puissance nominale). car la
consommation augmente très fortement lors du démarrage pour certain équipement.
En général, si vous avez correctement dimensionné la puissance nominale, la
puissance maximale est suffisante.
Le rendement : Une partie de l'électricité transformée est consommée par le
convertisseur de courant (entre 80 et 95% de l'énergie est restituée). Il est important de
contrôler ce rendement, sachant qu'un bon produit se situe autour de 90%. De plus, la
plupart des convertisseurs consomment de l'énergie même lorsqu'ils ne fonctionnent
pas. Heureusement, certains sont équipés d'un système de marche/arrêt qui permet de
grandes économies dans les petites installations photovoltaïques.
Remarque : lors de l’installation des luminaires solaires il faut éviter l'ombrage, donc il
faut bien choisir l’emplacement des luminaires, afin de garder une production optimale des
panneaux photovoltaïques.
III. Modélisation & Simulation du système
Ce circuit introduit une source de courant et une diode en parallèle, ainsi que des
résistances série Rs et parallèle (shunt) Rsh pour tenir compte des phénomènes dissipatifs au
niveau de la cellule. La résistance série est due à la contribution des résistances de base et du
front de la jonction et des contacts face avant et arrière. La résistance parallèle rend compte
des effets, tels que le courant de fuite par les bords de la cellule.
Ce circuit peut être utilisé aussi bien pour une cellule élémentaire, que pour un module ou
un panneau constitué de plusieurs modules.
L’équation reliant le courant délivré par un module PV constitué par la mise en série de
Ns cellules et la tension à ses bornes est donnée par :
(22)
Avec :
(23)
Où: Iph , I0 et VT= Ns.n.k.T/q , désignent respectivement le courant photonique, le
courant de saturation inverse de la diode et la tension thermique, avec: n le facteur d’idéalité
de la diode, q la charge de l’électron, k la constante de Boltzmann, T la température de la
cellule.
A des niveaux d’éclairement usuels, le courant photonique Iph est proportionnel à
l’éclairement solaire E (W / m²). Dans le cas idéal, il correspond au courant de court-circuit
qui peut alors simplement s’écrire :
Pour que la simulation fonctionne, il faut définir ces paramètres dans un script :
III.4. Alimentation du PV
L’entrée du panneau dans notre cas (région de Casablanca) sera un éclairement variable
journalier du mois Décembre, ce mois connu un minimum d’éclairement pendant toute
l’année, les valeurs de l’éclairement sont tirées de l’interface « Photovoltaic Geographical
Information System - Interactive Maps »:
Ces valeurs enregistrées dans un tableau « Array » sous forme du bloc «From
workspace»:
(25)
Avec
: La tension d’entrée,
: La tension de sortie,
D : Le rapport cyclique du convertisseur.
V(k) n’est nécessaire. Si la relation est fausse, selon que V(k) est supérieure ou
inférieure à Ump, la tension V(k) est ajustée en conséquence.
Les deux « Breakers » (interrupteurs) ont pour objectif de gérer la charge et la décharge
de la batterie.
Breaker2 permet d’assurer la charge de la batterie à travers le panneau
photovoltaïque, pendant la durée du jour 570 min =34 200s.
Breaker1 permet d’assurer la décharge de la batterie, donc l’alimentation du
luminaire pendant la nuit 660 min = 39 600s.
III.7. Résultats
Le schéma de simulation complet, qui regroupe les différents composants de notre
système est simplifié sous forme des « subsystems » et des « mask image », afin de faciliter
l’analyse du schéma et le rendre plus lisible et professionnel.
Voici le schéma du projet développé sous environnement Matlab Simulink :
Le but de la simulation est d’avoir une idée claire sur la charge et la décharge de la
batterie pendant une journée, en alimentant le panneau par un éclairement variable en fonction
du temps, ce qui permet d’anticiper tout risque ou mauvais choix des équipements avant
l’installation.
(26)
Suite à nos calculs nous avons trouvé une VAN = 1 043 630DHS
Cette valeur VAN > 0 donc le cet investissement peut être entrepris et il est rentable.
Comme on peut le constater il faudrait un taux de 23% pour obtenir une VAN nulle. Or
cette valeur est une valeur élevée et qui ne serait pas atteinte du coup la valeur actuelle
nette du projet reste positive même avec un fort taux d’actualisation. Donc le projet reste
toujours rentable.
D’après nos calculs précédents nous avons trouvé un délai de récupération de 5 ans et 11
mois. Cela veut dire qu’après 5 ans et 11 mois l’entreprise a récupéré tout ce qu’elle a
dépensé et investit et commence à faire que des bénéfices.
Conclusion
Dans ce chapitre nous avons dimensionner un système solaire intelligent pour l’éclairage
public qui va permet de réduire la consommation d’énergie électrique et par conséquent la
réduction de l’émission du CO2.
Conclusion générale
Au cours de mon stage qui j’ai effectué à LYDEC (Lyonnaise des eaux de Casablanca), il
m’a été demandé d’étudier et dimensionnement projet d’extension de l’éclairage public
route107 Aîn Harrouda avec les solutions d’optimisation de la consommation d’énergie afin
d’y puiser pour réduire la facture de la consommation énergétique dans ce domaine, ainsi
qu’une étude financière du projet.
Nous avons alors retenu une solution collective qui consiste à utiliser un système solaire
intelligent. Nous signalons qu’avec cette solution la Société LYDEC (Lyonnaise des eaux de
Casablanca) va réduire sa consommation énergétique dans l’éclairage public et contribuera
annuellement à la réduction de l’émission du CO2 par une quantité de 139 130Kg.
[5]. UTE 17-205, « Installations d’éclairage extérieur ».Calcul sections des câbles.
[9].Siteweb.http://www.photovoltaique.guidenr.fr/coursphotovoltaiqueautonome/cours-
photovoltaique.php consulté le 18/05/2017
Annexe
Fonctionnement
Horloge astronomique Elle est programmée en fonction
des fuseaux horaires du pays et
recalcule en permanence les plages
de fonctionnement journalier. Elle
est pourvue d’un contact permettant
la commande du contacteur de
commande de l’éclairage.
Annexe 4 : Luminaire
L’ampoule classique à Enveloppée dans une ampoule en verre sous vide, un filament de
incandescence tungstène est porté à
incandescence par le passage d’un
courant électrique. Ce filament
chauffe (environ 2500°C), ce qui
produit de la lumière. Certaines
ampoules contiennent un gaz
inerte (argon, krypton ou xénon)
qui permet d'éviter la détérioration du filament et d’augmenter
leur durée de vie (maximum 1 500 heures).
L’ampoule halogène Lampes à incandescence dans
lesquelles on a ajouté un gaz de la
famille des halogènes ou un de
leurs. Ce gaz régénère le filament
de tungstène (cycle halogène) et
augmente ainsi fortement sa durée
de vie.
Les tubes fluorescents Appelés couramment "néons", ils renferment un mélange d'argon
et de vapeur de mercure très raréfié; une décharge électrique au
travers de ce gaz, d'un bout à l'autre du
tube, fait briller le mercure d'un
rayonnement ultraviolet, qui excite une
substance fluorescente (composés
phosphorés) déposée sur la paroi interne
du tube; cette substance émet en retour une lumière blanche
L’ampoule fluo- Les technologies fluo-compactes utilisent la même technologie
compacte du tube fluorescent replié sur lui-même mais elles existent en
Chiffre caractéristique Premier chiffre Protection contre Deuxième chiffre Protection contre
la pénétration des corps solides la pénétration des corps liquides
0 Aucune protection Aucune protection
1 Protégé contre les corps solides Protégé contre les chutes verticales
de diamètre supérieurs ou égal à de gouttes d'eau
50 mm
2 Protégé contre les corps solides Protégé contre les chutes de gouttes
de diamètre supérieurs ou égal d'eau jusqu'à 15° de la verticale
supérieurs à12, 5 mm
3 Protégé contre les corps solides Protégé contre l'eau en pluie jusqu'à
supérieurs à 2,5 mm 60° de la verticale
4 Protégé contre les corps solides Protégé contre les projections d'eau
supérieurs à1 mm de toutes directions
5 Protégé contre les poussières Protégé contre les jets d'eau
6 Etanche aux poussières Protégé contre les paquets de mer
7 Protégé contre les effets d'immersion
8 Protégé contre l'immersion prolongée
Tableau 39 : Indice de protection
Annexe 5 : Candélabre
La fixation des luminaires peut être assurée par divers moyens. Il peut être adapté à une
console fixée sur un immeuble ou accroché à des câbles. La manière privilégiée consiste
cependant à utiliser des candélabres.
Annexe 7 : Courants absorbés indicatifs par les lampes dans le circuit d’alimentation
Type de lampes Puissance Ballast ferromagnétique Ballasts
nominale électroniques
Lampe Courant absorbé Courant maximal Courant absorbé
(W) en régime établi absorbé lors de en régime établi
Ib (A) l’allumage Ia (A) Ib (A)
Fluorescentes 18 0,14 0,36 0,09
36 0,23 0,44 0,16
58 0,36 0,67 0,24
Fluo-compactes 11 - - 0,05
14 - - 0,06
15 - - 0,06
17 - - 0,07
18 - - 0,08
20 - - 0,09
23 - - 0,1
26 - - 0,11
42 - - 0,18
Vapeur de 50 0,36 0,4 -
mercure 80 0,45 0,65 -
125 0,7 1,1 -
250 1,35 2,2 -
400 2,15 3,9 -
700 3,85 6,4 -
1000 5,3 7,5 -
Sodium Haute 50 0,3 0,45 -
Pression 70 0,45 0,6 0,36
100 0,6 0,9 0,51
150 0,85 1,2 0,74
250 1,4 2,3 -
400 2,2 3,6 -
600 3,1 4,9 -
1000 5,4 10,6 -
Sodium Basse 18 0,14 0,35 -
Pression 26 0,16 0,45 -
35 0,22 0,60 0,16
55 0,34 0,63 0,23
91 0,49 0,66 0,40
131 0,66 0,95 -
135 0,73 0,86 -
180 1 1,15 -
Iodures 35 0,24 0,55 -
Métalliques 70 0,45 0,6 0,36
100 0,60 0,9 0,51
150 0,85 1,2 0,74
250 1,40 2,3 -
400 2,20 3,6 -
1000 5,4 9,3 -
Tableau 44 : Courants absorbés indicatifs par les lampes dans le circuit d’alimentation
Résumé
Le présent rapport est le résultat du travail de quatre mois de stage effectués au sein de la
société LYDEC dans le cadre de la formation d’ingénieur de l’École Nationale des Sciences
Appliquées d’El Jadida. Le travail effectué est composé de l’étude projet d’éclairage public, et
qui se résume dans les parties suivantes : La première partie a été consacrée au
dimensionnement de l’éclairage public de la route 107 Aîn Harrouda. La deuxième partie a été
consacrée au Etude de faisabilité d’appliquée un système de télégestion avec les lampes à LED.
La troisième partie porte sur le dimensionnement du système solaire intelligent sans oublier
l’estimation financière du projet.
Abstract
This report is the result of the four months work of internship carried out within company
LYDEC within the framework of the training of engineer of the National school of Applied
sciences of El Jadida. Carried out work is composed of the public lighting project and which is
summarized in the following parts: The first part was devoted to the dimensioning of the public
lighting of route 107 ain harrouda. The second part was devoted to the feasibility study to apply
a remote management system with lamps LED. The third part relates to dimensioning of the
intelligent solar system not forgetting financial estimate of the project.