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CHAPITRE II : Revue de la littérature

II .1 Gaz naturel


a. Description
Le gaz naturel est la source d’énergie fossile qui a connu la plus forte progression depuis les
années 70. En effet, elle représente le cinquième de la consommation énergétique mondiale. En
raison de ses avantages économiques, le gaz naturel devient chaque jour plus attractif pour
beaucoup de pays. Les propriétés de ce produit, comme par exemple le faible intervalle de
combustion le caractérisant, en font l’une des source d’énergie les plus fiables connue à ce jour.
Actuellement, il représente la deuxième source d’énergie la plus utilisée après le pétrole. D’après
l’EIA, du département américain de l’énergie, la part du gaz naturel dans la production
énergétique était de 23% en 1999 et les perspectives de développement de la demande sont
excellentes. Il est considéré comme le combustible fossile du siècle, comme le pétrole l’était lors
du siècle précèdent et le charbon il y’a deux siècles.

Figure II.1 : Approvisionnement en énergie primaire totale par carburant


b. Propriété physiques et chimiques
Le gaz naturel est un mélange gazeux d’hydrocarbures saturés, il a le comportement physique
d’un gaz.
i) Propriétés physiques
Les différentes propriétés physiques du gaz naturel sont présentées dans le tableau II.1

Tableau II.1 : Les propriétés physiques du gaz naturel

ii) Propriétés chimiques


 Le gaz naturel est le combustible fossile le moins polluant. Composé essentiellement de
méthane, sa forme gazeuse lors de la combustion, libère une importante quantité de
chaleur.
 Le gaz naturel est essentiellement utilisé pour produire de l’énergie thermique. De
nouvelles utilisations permettent de transformer cette énergie en énergie électrique ou
énergie mécanique.

c. Composition
Le gaz naturel est un mélange d’hydrocarbures légers comprenant du méthane, de
l’éthane, du propane, du butane et des pentanes. D’autres composés tels que le CO 2,
l’hélium, le sulfure d’hydrogène et l’azote peuvent également être trouvés.la composition
du gaz n’est jamais la même. Cependant, on peut dire que sin composant principale est le
méthane (environ 83%). Il est considéré comme un combustible propre. Sous a forme
commercialisable, il ne contient presque pas de soufre et ne produit pratiquement aucun
dioxyde de soufre (SO2). Ses émissions d’oxyde d’azote (NOX ) sont plus faibles que celles
du pétrole ou du charbon et celles de gaz carbonique (CO 2 ) inférieure à celle des autre
combustibles fossiles (selon Eurogas de 40 à 50% de moins que le charbon et de 25 à 30%
de moins que le pétrole).

Dans le tableau II.2 nous montrons les différents composants du gaz naturel destiné à être
liquéfié.

Tableau II.2 : composants du gaz naturel


d. Origine
Il est généralement admis que le carbone et l’hydrogène contenu dans le gaz naturel
proviennent des restes de plantes et d’animaux qui se sont trouvés rassembler au fond des lacs
et des océans durant des millions d’années. Après avoir été recouverts par des couches
importantes d’autres sédiments, les matériaux organiques se sont transformés en pétrole brut
et en gaz naturel sous l’effet de la pression exercée par les couches de sédiments et la chaleur
émise par le noyau terrestre. Le pétrole et le gaz ont alors été expulsés hors des schistes
argileux marins dans lesquels ils se sont déposés, et de là, ils ont pénétré les roches
sédimentaires poreuses. Le pétrole et le gaz remontent alors à travers la roche, car moins
dense que l’eau, qui remplit les pores. On trouve u gaz naturel partout dans le monde, dans
des réservoirs situés en profondeur sous la surface terrestre, ou des océans. Des poches de gaz
peuvent se former au-dessus des poches de pétrole brut, ou être emprisonnées au sein de
roche poreuses. On qualifie le gaz naturel d’associer lorsqu’il est trouvé en présence de
pétrole brut et non associé lorsqu’il est seul.

e. Extraction et traitement
Le gaz naturel et le pétrole brut sont souvent associés et extrait simultanément des mêmes
gisements, ou encore des mêmes zones de production. Les hydrocarbures liquides
proviennent du pétrole brut pour une proportion moyenne de l’ordre de 80%, les 20%
restants, parmi les fractions les plus légères du propane ; et le butane sont presque toujours
liquéfiés pour en faciliter le transport. lors de l’extraction, la détente à la tête du puits
provoque la condensation des hydrocarbures C5 à C8, les liquides récupérés
appelés « condensats de gaz naturel » ou « liquide de puit de gaz naturel »correspondant à un
pétrole extrêmement légers de très haute valeur (donnant de l’essence et du naphta).tout le
reste (hydrocarbures C1 à C4, CO2, H2S, He ) est gazeux à température ambiante et acheminés
par gazoducs vers une usine de traitement de gaz, il faut deux réseaux de collecte, un pour le
gaz et un pour les condensats.
Le traitement du gaz naturel est l’ensemble des opérations que l’on fait subir au gaz brut
extrait du gisement afin de le rendre utilisable en éliminant les éléments nocifs qui le
composent et en conservant ceux qui peuvent être commercialisés. Le traitement du gaz peut
intervenir à deux stades distincts : lors de la production (sur le gisement) et après réservoir
souterrain ou dans les terminaux méthaniers. Dans ce dernier cas on parle de retraitement.
Le gaz naturel que nous utilisons n’est pas du tout le même que celui qui a été extrait du
gisement pour prétendre au titre de « combustible », le gaz naturel doit :
 Etre « sec », c’est-à-dire ne contenir ni eau, ni hydrocarbures à l’état liquide.
 Etre débarrassé de ses composants acides ou de ses corps toxiques.
 Avoir un pouvoir calorifique et une densité invariables.
Si et seulement si ces trois conditions sont réunies, le gaz naturel pourra être utiliser.
La seconde étape du traitement est de récupérer les composés pouvant être commercialisés
séparément, l’éthane, les gaz pétrole liquéfiés(GPL) ou l’hydrogène sulfuré(H2S).
Les différentes opérations permettant d’épurer le gaz brut extrait du gisement sont :
 Détente
Pour pouvoir être transporter dans de bonnes conditions, il faut réduire la pression et la
température du gaz naturel.il sort du puits à une pression de plusieurs centaines de bars et à plus
de 1000C.on lui fait donc subir une détente qui ramené sa pression autour de 80 bars et sa
température à près de 500C.
 Déshydratation
On sèche le gaz naturel en éliminant l’eau qu’il contient naturellement lors de la combustion, de
la vapeur d’eau se dégage ; sous cette forme, elle n’est pas gênante, en revanche à l’état liquide
elle provoque la corrosion des canalisations, le blocage des détenteurs par la formation d’hydrate
de gaz qui risquent de colmater les conduites.
 Désulfuration
Le sulfure d’hydrogène est un composés toxique, corrosif et fragilisant pour les canalisations.
Pour éliminer cette substance, le gaz est mis en contact avec un réactif organique qui l’absorbe, le
gaz et le réactif sont séparés puis régénéré, et le sulfure d’hydrogène transformé en soufre pour
être commercialiser.
 Dégazolinage
Cette opération permet de récupérer les hydrocarbures lourds présent dans le gaz naturel.la
technique de dégazolinage fait appel au phénomène de condensation rétrograde des gaz composés
d’hydrocarbures
 Odorisation
Le gaz naturel est incolore, l’odorisation est une mesure de sécurité, il faut communiquer au gaz
naturel une odeur caractéristique qui ne puisse être confondue avec aucune autre et qui soit
décelable par tous.

II.2 Offre, demande et commerces mondiaux du gaz naturel


II.2.1 Offre du gaz naturel
Le gaz naturel occupe aujourd’hui la troisième place dans la production mondiale d’énergie
primaire, avec une part dépassant les 20%, après le pétrole et le charbon. La production du gaz,
qui a atteint 3 540 milliards de m3 en 2015, provient essentiellement de la zone Europe-Eurasie
(28%), de l’Amérique du Nord (28%) et du Moyen Orient (17%).
Figure II.2 : Répartition des réserves prouvées de gaz naturel par zone géographique (2015)1

En 2015, les réserves prouvées de gaz s’élevaient à près de 190 000 milliards de m 3. C'est le
Moyen Orient qui en détient la plus grosse part, suivi par la zone Europe-Eurasie. Il faut signaler
ici le cas de l'Iran, qui disposerait des plus grandes réserves prouvées de la planète (18% du total
mondial), devant la Russie et le Qatar. La fin des sanctions économiques devrait permettre à ce
pays d'être très présent dans les années à venir sur les marchés gaziers.

Figure II .3 : Répartition de la production mondiale de gaz naturel par zone géographique (2015)
A l’échelle mondiale, le ratio Réserves/Production (hors gaz de schiste), qui exprime la durée
estimée des réserves au rythme actuel de production, s'élevait à fin 2015 à un peu plus de 50 ans.
Le Moyen Orient est en tête, bien sûr (129 ans en moyenne, 175 ans pour l'Iran !), suivi de
l’Afrique puis de la zone Europe-Eurasie.

Figure II.4 : Durée de vie estimée des réserves prouvées à fin 2015 (hors gaz de schiste)
Le tableau 1 ci-dessous récapitule les données précédentes :

Tableau II.3 : Réserves prouvées et production en gaz naturel par zone géographique (2015)
Au cours des dix dernières années, la production mondiale de gaz a connu une croissance
annuelle moyenne de 2,4%.
Sur la période récente, la plus forte variation est survenue aux Etats-Unis : +39 milliards de m3
(Gm3) entre 2014 et 2015, soit plus de la moitié de l’augmentation de la production mondiale et
ce, grâce à la production de gaz de schiste et en dépit de la baisse de la production de gaz
conventionnel.
D’autres augmentations notables ont été enregistrées en Chine (+6 Gm3), en Australie (+6 Gm3),
et surtout en Norvège (+8 Gm3), qui est en passe de redevenir le 3ème exportateur mondial de
gaz, après la Russie et le Qatar.

Figure II.5 : Evolution de la production mondiale de gaz naturel par zone géographique
A moyen terme, selon les analystes, l’offre de gaz naturel devrait continuer à progresser un peu
partout dans le monde, au rythme annuel moyen de 2%, à l’exception de l’Europe où il est prévu
un déclin annuel moyen de 2%.
II.2.2 La demande de gaz naturel dans le monde
En 2015, le gaz naturel représentait la 3ème source d’énergie dans le monde (24%), après le
pétrole (33%) et le charbon (29%).
La consommation mondiale de gaz naturel a augmenté en moyenne de 2,4%/an sur les dix
dernières années. La croissance la plus forte a été observée en Iran (6,2%), en Chine (4,7%) et
aux Etats-Unis (3%). Ces derniers restent les premiers consommateurs mondiaux de gaz, avec
une consommation de 780 Mtep qui dépasse le total des 3 pays qui les suivent, soit Russie, Chine
et Iran.

Figure II.6 : Evolution de la consommation mondiale de gaz naturel par zone géographique
Dans l’avenir, la consommation de gaz devrait croître encore aux dépens du pétrole et du
charbon, et ce, dans le cadre d’un bouquet énergétique mondial moins nuisible à l'environnement.
On s’attend à ce que durant les vingt prochaines années, la demande mondiale augmente au
rythme annuel moyen de 1,8%. Le supplément de demande viendrait principalement de l’Asie-
Océanie (42%), suivie par le Moyen Orient (24%). C’est dans la production d’électricité que le
gaz est appelé à jouer un rôle grandissant.
II.2.3 Le commerce mondial du gaz naturel
En 2015, le commerce international du gaz naturel a traité 30% de la consommation mondiale
soit environ 1 000 milliards de m3, dont deux tiers ont été transportés par gazoduc et le reste par
méthanier, sous forme de GNL.
Le planisphère ci-après visualise les principaux volumes et voies d'échange.

Figure II.7 : Mouvements commerciaux majeurs du gaz naturel en 2015 (milliards de m3)

II.2 Gaz naturel liquéfié


a. Historique
La première installation de liquéfaction de gaz naturel fut construite en virginie de l’ouest en
1992, mais ne commença son activité qu’en 1917. Le GNL était alors stocké dans des réservoirs
sous pressions atmosphérique. La première usine d’écrêtement de pointe fut construite en 1941 à
Cleveland (Ohio).a cette époque, il n’était pas encore question de terminaux ou de transport par
mer , le but de cette usine était de liquéfier le gaz disponible en été pour le stoker, puis l’hiver
lorsque la demande est plus forte, le restituer en le vaporisant .en 1959, le premier navire
expérimental (méthane pionner) transporte la première cargaison de GNL entre Lake Charles
(Louisiane) et Canvey Island (Royaume-Uni).quelques voyages expérimentaux seront effectués
dans les mois suivants, mais le développement commercial du transport maritime du GNL débute
lorsque d’immenses gisements de gaz naturel sont découvert dans le sous-sol algérien.
L’exploitation et la commercialisation de ce gaz conduisent à envisager les deux premières
chaines commerciales de GNL vers l’Angleterre et la France. La première usine de liquéfaction
pour l’exportation, l’usine Camel (Arzew), est construite en algérien mois après son démarrage
en 1964, la première cargaison en provenance d’Algérie est déchargée à Canvey Island (British
Gas Council) ; quelques mois plus tard c’est le terminal méthanier du havre (Gaz de France) qui
reçoit sa première livraison. L’exportation de gaz naturel commença de Kenai en Alaska vers le
japon. Depuis, le commerce du gaz naturel liquéfié a connu une croissance ininterrompue,
marquée par la diversification des fournisseurs et des clients2

b. Composantes de la chaine GNL


Le gaz naturel liquéfié(GNL) est du gaz naturel rendu liquide par refroidissement à -162 0C. il
peut alors être transporter, à l’état liquide et à la pression atmosphérique. Pour une même quantité
de gaz, le volume de GNL est environ 600 fois inférieur à celui de son état gazeux. Le GNL est
constitué principalement de méthane à près de 90 %, ainsi que d’éthane, de propane et de moins
de 1 % d’azote.la contraction de volume résultant de la liquéfaction du gaz naturel permet de
transporter plus économiquement l’énergie, par les navires appelés méthaniers, jusqu’à des sites
de réception, nommés terminaux méthaniers. Dans ces terminaux, situés près des zones de
consommation, le GNL est rendu à gazeux par chauffage et injecté dans le réseau de transport de
gaz naturel.la chaine de gaz naturel liquéfie comprend trois maillons essentiels : l’usine de
liquéfaction, le transport par méthane méthaniers et le terminal de regazéification.
Figure II .8 : schéma de la chaine GNL

c. Composition du GNL
Le procédé de liquéfaction du gaz naturel retire l’oxygène, le dioxyde de carbone, les composés
sulfurés et l’eau dans le gaz naturel, le transformant ainsi en un mélange composé principalement
de méthane et contenant de petites quantités d’autres hydrocarbures et d’azote.
Tableau II.4 : composition du GNL

d. Propriétés physiques du GNL


 État liquide
 Incolore
 Inodore
 Non corrosif
 Non toxique
 Non explosif
 Non inflammable
 1/600 volume occupé par le gaz
 Sa masse volumique est de 0.415g/cm3
 Point d’ébullition est de 111.6k

II.3 propriétés physiques et chimiques du méthane et de l’éthane


a. Méthane
Le méthane c’est le principale constituant du biogaz issu de la fermentation de matière organique
animale ou végétale en l’absence d’oxygène. Il à été découvert par Volta en 1778. Il est fabriqué
par des bactéries méthanogènes qui vivent dans les milieux anaérobiques c’est-à-dire sans
oxygène. Le méthane est ainsi le seul hydrocarbure classique qui peut être obtenu grâce à un
processus biologique naturel. Nous utilisons principalement du gaz naturel et donc du méthane
fossile, mais l’utilisation du méthane renouvelable, aussi appelé biogaz, est en développement.
Il se dégage naturellement des zones humides peu oxygénés comme les marias et les terres
inondées. Des quantités importantes de méthanes sont piégées sous forme d’hydrates de méthane
au fond des océans. C’est le composant essentiels du gaz naturel. C’est un hydrocarbure saturé le
plus simple des alcanes et possède un atome de carbone et quatre d’hydrogène, le carbone est
ainsi au centre d’un tétraèdre régulier. Les longueurs de liaisons C-H sont égales à 1.083 A et les
angles formés entre l’atome C et les différentes H égaux à 109.47 0. Une procédure classique
d’optimisation théoriques de la molécule de molécules de méthane obtenue par la méthode ab-
initio Hartree Fock avec base (6-31G**), donne une énergie de -25226.9355 kcal/mole et les
charges, distances et angles reportées dans la figure II .9

Figure II.8 : représentation de la molécule de méthane de formule brute CH4


Les différentes propriétés physiques du méthane sont résumées dans le tableau II.5
Tableau II.5 : propriétés physiques du methane5
La figure II.9 donne le diagramme du corps pur méthane qui est représenté par la variation de
pression en fonction de la température (P, T). Ce diagramme est constitué par trois courbes qui
convergent en un point (le point triple) chacune représente un état biphasique.
 Le point triple (T, Pt) caractérise d’équilibre tri phasique du corps pur considéré.
 Le point critique (Tc, Pc) est caractérisé pour chaque corps par une valeur de température et
de pression c’est un point au-delà duquel on ne peut plus observer le passage de la phase
liquide à la phase gazeuse de manière macroscopique.

Figure II.9 : Diagramme de phase du méthane


b. Ethane
L’éthane est un hydrocarbure de la famille des alcanes.il possède deux atomes de carbone (C) et
six atomes d’hydrogènes (H).il s’agit par conséquent de l’alcane le plus léger possédant des
isomères de conformation. L’optimisation de la molécule d’éthane obtenue par la méthode
abinitio Hartree Fock avec la base (6-31G**), donne une énergie de –49722.75 kcal/mole et les
charges, distances et angles reportés dans la figure II.10.

Figure II.10 : représentation de la molécule d’éthane de formule brute C2H6.


Les différentes propriétés physiques du méthane sont résumées dans le tableau II.6.

Tableau II.6 : propriétés physiques de l’ethane6


Sa solubilité dans l’eau et dans l’alcool est meilleure que celle du méthane puisque, à 20 0C, elle
est de 4,7cc pour 100cc d’eau et de 150cc pour 100cc d’alcool. C’est un gaz combustible qu’on
peut trouver dans le gaz naturel et aussi comme dérivé du raffinage du pétrole.il est extrêmement
inflammable.il est gazeux dans les conditions ambiantes de T et P. il est utilisé dans la fabrication
d’intermédiaire en synthèse organique ; par exemple, l’éthane produit le chlorure d’éthylène par
chloration.il n’est pas commercialisé, mais fait partie des gaz utilisés comme combustibles dans
les raffineries sous le nom de fuel –gaz. C’est un gaz qui peut être asphyxiant. Les effets sont
causés par le manque d’oxygène. Des concentrations modérées peuvent causer des maux de tête,
des vertiges, de la somnolence, une excitation, une salivation excessive, des vomissements et de
perte de conscience.

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