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Ne vous inquiétez pas. Vous n’avez pas besoin d’être un expert pour être à la page ! Laissez-vous
guider, et découvrez comment vous pouvez devenir un “Pro” des économies d’énergie pour
réduire de façon certaine vos factures d’électricité !
Grâce à des panneaux solaires composés de cellules photovoltaïques et installés sur votre toit ou
sur une pergola, vous générez de l’électricité. Cette électricité peut être consommée sur place ou
totalement vendue au réseau.
Des panneaux solaires photovoltaïques sur une surface sans ombre, car le panneau solaire
déteste l’ombre. Les panneaux ne sont plus installés à la place des tuiles comme avant 2015,
mais en sur-imposition au dessus des tuiles. Ce qui élimine les problèmes de fuite, de
surchauffe et simplifie grandement la pose. Comwatt préconise d’équiper en priorité les
toitures orientées au sud ou plates. Équiper les toitures Est ou Ouest fonctionne aussi très
bien. (cela ne réduit la production que de 10% par rapport au plein sud, ce qu’il faut éviter
absolument, c’est les toitures orientées plein nord).
Les panneaux sont raccordés à un ou plusieurs onduleurs qui convertissent le courant continu
produit par les panneaux en courant alternatif utilisable chez soi.
Les onduleurs sont raccordés à un coffret de protection électrique et des disjoncteurs,
permettant d’isoler votre installation solaire en cas de problème.
À la suite des protections électriques, le système est raccordé à votre armoire électrique qui
regroupe tous les disjoncteurs de votre maison.
Une box énergie Comwatt permettant l’optimisation de sa consommation en fonction de sa
production solaire.
L’armoire électrique est bien sûr raccordée au réseau national d’électricité via un compteur.
Ce compteur est désormais un compteur intelligent Linky.
Cette électricité produite chez vous peut aussi être revendue totalement ou partiellement à un
fournisseur d’électricité (EDF Obligation d’Achat le plus souvent).
La naissance de l’Autoconsommation
En 2008, presque personne ne consommait directement l’électricité produite sur son toit. Légalement
c’était possible depuis les années 2000 mais en pratique personne ne le faisait car avant les
panneaux étaient si chers, que presque tout le monde vendait 100% de son électricité au réseau à
des prix très élevés (jusqu’à 60 c€/kWh en 2010). Ce prix élevé était payé par une taxe sur toutes les
factures d’électricité des consommateurs.
Depuis 2010 le prix d’achat par le réseau de l’électricité solaire a fortement baissé et a atteint 18
c€/kWh en 2019 (voir le graphique de la figure 4). De plus pour profiter de ce tarif, il faut s’engager
sur 20 ans revendre l’intégralité, ce qui n’est plus rentable du tout.
Entre 2008 et 2018, le prix des panneaux solaires a été divisé par 10, il devient bien plus rentable
de consommer l’électricité sur place que de l’acheter au réseau. C’est la naissance de
l’autoconsommation, en France mais aussi partout dans le monde.
Figure 6 : Évolution du prix de production de l’électricité avec du solaire & de la puissance solaire installée
En 2015, 95% des projets étaient en revente totale de leur production et l’autoconsommation ne
représentait que 5% du marché.
En 2019, 99% des projets solaires sont en autoconsommation, c’est un basculement complet,
pour le plus grand bonheur du pouvoir d’achat des citoyens.
L’autoconsommation c’est quoi ?
Remarques : Si le site n’est pas relié au réseau électrique (moins de 1% des cas), il faut donc des
batteries pour équilibrer l’offre et la demande. Le principe de la batterie repose sur le fait qu’elle se
charge dans la journée et alimente le logement en électricité notamment la nuit. Seul problème :
ajouter une batterie à son projet d’autoconsommation n’est aujourd’hui pas rentable écologiquement
ni économiquement (découvrez pourquoi dans ce lien).
Pour faire simple, les batteries sont en effet beaucoup trop chères en France, à l’inverse de
l’Allemagne qui propose de fortes subventions pour l’achat de ce type de matériel. En effet, ajouter
des batteries coûte environ 20 c€/kWh, ce qui fait qu’en pratique, seul ceux qui n’ont pas le choix,
mettent des batteries, l’immense majorité (plus de 99%) des projets en autoconsommation sont des
sites connectés au réseau. Sauf mention contraire, ci dessous nous évoquerons le cas de sites
connectés au réseau.
Si vous consommez davantage d’électricité que votre capacité de production, vous achetez au
réseau. A l’inverse, si la production est plus importante que la consommation, le surplus est donné
ou vendu au réseau. Dans tous les cas, il n’y a aucune perte de confort pour le consommateur…ça
c’est cool, non ?
C’est ce que Comwatt appelle l’énergie potagère. En moyenne, les clients de Comwatt arrivent à
produire annuellement 50% de ce qu’ils consomment, ils réduisent presque d’autant leur facture
d’électricité.
Prenons un exemple simple, si mes panneaux délivrent une puissance de 2 000 W et si la totalité
de mes équipements électriques consomment 3 000 W alors le réseau va fournir
automatiquement les 1 000 W qui manquent. A l’inverse, si mes panneaux délivrent une
puissance de 2 000 W et si la totalité de mes équipements électriques ne consomment que 500 W
alors votre maison va injecter 1 500 W dans le réseau.
Le réseau commercialise une électricité à un prix de 18 c€/kWh en 2019 (puis +6% par an), vous
produisez une électricité qui va revenir autour de 9 c€/kWh (en comptant tout, le matériel, la pose,
l’entretien), il devient alors très rentable de réduire ses achats d’électricité pour favoriser sa propre
consommation. Si vous produisez plus que vos besoins, vous allez pouvoir vendre à 10 c€/kWh, ce
qui est mieux que rien mais bien moins rentable que de consommer votre propre énergie.
Attention ! Comme vous l’aurez compris, autoconsommation ne signifie pas autonomie totale par rapport au réseau,
comme veulent vous le faire croire certains démarcheurs dont vous devez vous méfier, mais alimenter une partie des
consommations journalières avec une énergie renouvelable à un coût inférieur au fournisseur d’énergie. Il ne s’agit
donc pas de produire beaucoup plus que vos besoins ou de vous couper du réseau public.
L’autoconsommation avec ou sans revente, qu’en pensent les français ?
Il existe donc deux alternatives : revendre ce que vous produisez et que vous n’avez pas
consommé, ou consommer intégralement votre production. Comment faire votre choix ? Lisez
les lignes qui suivent, et vous en saurez davantage sur les deux alternatives qui s’offrent à vous.
Dans ce cas de figure, vous devez consommer intégralement votre production d’énergie, sans avoir
la possibilité de la revendre au réseau public en cas de surproduction. Vous pouvez alors dans ce
cadre, installer vous-même votre kit solaire en autoconsommation et n’importe où chez vous (au sol,
sur toiture, en brise vue…). Toutefois, comme nous l’indiquons plus loin dans ce guide, poser soi-
même ce type d’installation implique de nombreux inconvénients qu’il est impératif de connaître.
Vous pouvez également vendre l’électricité que vous ne consommez pas au réseau. Pour vendre le
surplus, l’installation du compteur Linky, qui gère et comptabilise les injections au réseau public de
votre électricité produite, est ainsi obligatoire. A noter que le coût d’installation des compteurs Linky
est en général pris en charge dans le devis de l’installateur pour votre installation photovoltaïque.
Pour autoconsommer et revendre votre surplus, vous devrez faire installer votre kit solaire
autoconsommation par un installateur agréé certifié QualiPV module Elec, certifié 5911 – ENR
Photovoltaïque ou SP1 et SP2. Pour simplifier la vie des utilisateurs tout en améliorant le niveau de
confiance de toute la chaîne, Comwatt a sélectionné des installateurs dans toute la France et a signé
des conventions avec eux. Ainsi tous les artisans présentés par Comwatt répondent à ces impératifs
de qualification et de confiance.
Vous ne pourrez donc pas poser votre kit solaire autoconsommation vous-même en cas de
revente de votre surplus. La pose par un professionnel garantit à ENEDIS que l’électricité rachetée
provient d’une installation qui respecte les normes qu’il impose.
C’est la question que se pose tout particulier qui envisage un tel projet. Les panneaux solaires
entraînent obligatoirement une modification de l’aspect extérieur ou même la construction d’un petit
abri, suivant la configuration de votre logement. Une déclaration préalable est donc suffisante, sauf
si vous avez opté pour la mise en place de panneaux au sol.
Bon à savoir : Si votre projet solaire de moins de 3 kwc est au sol et que l’installation ne dépasse pas
1,8m de haut, pas besoin de faire une déclaration de travaux. Dans tous les autres cas, vous devez
faire une déclaration de travaux. C’est pas compliqué, la mairie vous répond au bout d’un mois au
maximum.
Vous pouvez obtenir le formulaire destiné à cette déclaration auprès des services techniques de la
mairie de votre domicile ou sur le site internet du service public : http://vosdroits.service-
public.fr/particuliers/F17578.xhtml. Votre installateur se charge généralement de réaliser
ces démarches pour vous. Donc pas de démarches laborieuses en général, sauf si votre domicile
est à moins de 500 mètres d’un monument historique.
Avant 2017, toutes les installations visibles sur le bâti dans le fameux périmètre de 500 mètres
autour d’un monument historique nécessitaient obligatoirement l’avis conforme de l’Architecte des
Bâtiments de France. Les demandeurs devaient donc obligatoirement se rendre en mairie pour
saisir l’Architecte. Une récente modification des textes de loi sur le patrimoine a allégé cette
obligation. Désormais, la consultation de l’Architecte des Bâtiments de France (ABF) est toujours
obligatoire mais son avis reste désormais consultatif, « avis simple ». En d’autres termes : c’est
donc la mairie de chaque commune qui se réserve le droit d’accepter ou non le projet
photovoltaïque.
Nous vous recommandons de prendre contact avec le service d’urbanisme de votre commune, qui pourra vous renseigner
sur la faisabilité de votre projet d’autoconsommation solaire.
C’est une obligation que de prévenir votre assurance des modifications que vous entreprenez.
Celle-ci va vous proposer alors une extension de la garantie incluse dans votre contrat pour la mise
en place de l’installation photovoltaïque.
Selon l’assurance que vous avez souscrite, ce cas de figure peut déjà être prévu dans le contrat. Il
faudra donc contacter votre assurance pour en avoir confirmation et procéder aux éventuelles
démarches. Toutefois, rassurez-vous. Une installation photovoltaïque n’a en général que très peu
d’impacts sur le montant de la police d’assurance. Mais pour être serein, vérifiez ce point avant de
vous lancer.
Figure 7 : Avant, à l’époque de la revente totale, il fallait mettre un maximum de panneaux pour être le plus rentable.
Avec l’arrivée de l’autoconsommation, le dimensionnement est différent. Il ne s’agit plus de
“tartiner” la plus grande surface possible la toiture, il faut choisir la puissance optimale. Pour
calculer cette puissance optimale, il faut toujours prendre en compte la taille de votre toiture, mais
il faut également prendre en compte les consommations d’énergie des appareils. Comme ce
calcul devient plus compliqué, Comwatt a mis au point un simulateur qui vous permet en quelques
clics de faire le calcul à votre place.
Produire c’est bien, mais stocker pour plus tard, ce serait l’idéal. Se pose alors la question d’ajouter à
votre installation une batterie solaire qui pourrait servir de système de stockage pour les périodes
de non production comme la nuit ou les jours de très mauvais temps.
Combien coûte en moyenne une batterie solaire ? À titre d’exemple, pour une batterie Lithium-
Ion de la marque LG, comptez :
Tous ces prix moyens relevés en 2018 sont entendus hors frais de pose par un professionnel agréé,
auquel il faut rajouter entre 400€ HT en moyenne. De plus, la durée de vie des batteries dépend de
son nombre de cycles “charge / décharge” qu’elle peut effectuer dans sa vie. Suivant la technologie
choisie, la durée de vie effective d’une batterie peut aller de 7 à 10 ans.
Sur la durée de vie globale de l’installation qui peut aisément dépasser 30 ans en conservant un
rendement de plus de 80%, vous pouvez constater le poids financier très important de ce type
d’équipement, qui grève d’autant le retour sur investissement et donc la rentabilité globale du projet.
Comwatt le déconseille donc aujourd’hui.
Comme nous l’avons vu dans la première partie, le solaire va vous permettre de produire de
l’électricité photovoltaïque à un prix bien plus intéressant que de l’acheter au réseau. Mais
lorsqu’on analyse le profil de consommation d’un particulier, nous observons, qu’il consomme surtout
le matin et le soir (graphe de gauche du schéma ci dessous), alors que les panneaux solaires
produisent en pleine journée (zone claire sur le graphe). On a un problème de synchronisation entre
l’offre et la demande et les batteries sont une solution trop coûteuse pour vous aider à synchroniser
l’offre et la demande.
Ainsi sans technologie permettant de déplacer les consommations, les particuliers vont réduire leur
facture de seulement 20% et va se poser la question de la rentabilité d’un tel investissement solaire.
En effet, si la réduction de la facture est de seulement 20%, le retour sur investissement sera de plus
de 20 ans. Ce n’est vraiment pas intéressant financièrement.
C’est pour cette raison que la technologie Comwatt a été inventée. Cette technologie permet de faire
2 choses :
1. Réduire votre consommation de 20% en supprimant les gaspillages (visualisation des
consommations, coupure des veilles inutiles, alertes de surconsommation, etc..)
2. Déplacer les consommations pour synchroniser l’offre et la demande et diviser ainsi la facture
par 2.
Cette technologie de déplacement des consommations permet de faire fonctionner vos équipements
au moment où l’électricité est produite. Reliée à un ensemble d’objets connectés, la solution
Comwatt, va observer les consommations et va allumer et éteindre vos appareils électriques afin
qu’ils fonctionnent au moment exact où l’énergie est produite. Tout est automatique et cela n’aura
aucun impact sur le confort, car la technologie Comwatt apprend de vos habitudes et va déplacer les
consommations au moment où cela ne vous dérange pas.
Comwatt Power est la solution la plus complète. Elle vous permet de réduire jusqu’à 70 %
votre facture d’électricité grâce au déplacement de la consommation de vos appareils
énergivores durant les phases de production photovoltaïque.
Comwatt Easy fonctionne partout, aussi bien dans une maison que dans un immeuble, sans
être associée à une production locale d’énergie renouvelable (ou à une installation solaire
inférieure à 1,5kWc). Elle offre la gestion intelligente active de vos consommations vous
permet de réduire les gaspillages et de réaliser jusqu’à 20 % de réduction de votre
consommation d’électricité.
Pour connaître en détail nos produits, découvrez le comparatif de nos 2 box d’autoconsommation solaire.
Mais quel sont les appareils pilotés par la box énergie ?
Pour bien fonctionner, la box énergie doit être couplée à des outils de mesure et de pilotage qui
seront déployés chez vous sur les 20% de vos appareils qui consomment 80% de toute l’énergie
dont vous avez besoin.
Avec un bon dimensionnement, passer à l’autoconsommation peut très bien couter moins de 1€ par
jour. Comment est-ce possible ?
C’est grâce à cette précision de dimensionnement et à un réseau de 350 installateurs certifiés
Comwatt (avec des prix maitrisés) que le kit autoconsommation solaire de Comwatt
s’autofinance. Le montant que vous économisez sur votre facture d’énergie vous sert à payer en
quasi-totalité les mensualités de remboursement du prêt que vous avez souscrit pour votre
générateur.
Vous passez ainsi à l’autoconsommation sans payer plus que vos factures actuelles d’électricité.
Figure 10 : Il est possible de passer à l’autoconsommation sans dépenser plus que de ne rien faire
Prenons un exemple, si vous payez 200€ par mois actuellement, passer à l’autoconsommation va
réduire par 2 votre facture et vous ne paierez plus que 100€ par mois votre électricité. Ce qui vous
libère 100€ par mois pour rembourser un prêt qui correspond au financement du projet solaire.
Ainsi quand votre prêt est remboursé, sous 7 à 11 ans, vous allez vraiment diviser par 2 votre
budget énergie, c’est plutôt une belle perspective non ? (sachant que les modules solaires sont
garantis 25 ans avec une espérance de vie de 40 ans).
C’est une interrogation légitime, d’autant plus que de nombreuses informations contradictoires
circulent à ce sujet. Le prix de ces installations varie selon les années. Mais il va, bien entendu,
également et surtout dépendre de divers facteurs comme :
Ce premier point est le plus important car il détermine toute la rentabilité de votre opération. C’est
pour cela que nous proposons un simulateur en ligne disponible en cliquant ici, et qui repose sur
une technologie unique et reconnue, basée sur des données publiques et des algorithmes
propriétaires. Il calcule avec une très grande précision le dimensionnement nécessaire à votre
installation pour ne produire ni trop peu, ni pas assez ; et ainsi maintenir votre niveau de confort sans
ajouter de coût supplémentaire inutile.
*En conclusion, indiquer un prix, voire même une fourchette de prix, serait mensonger et ne
reposerait pas sur grand-chose, tellement les situations sont variées. En tant que fabricant, nous
connaissons des installations qui furent facturées 9 000€ TTC et d’autres de même puissance 14
000€ TTC. Et cette différence était techniquement justifiée et les chantiers exécutés par nos
partenaires installateurs dans les règles de l’art.
Souvent ces termes sont mal employés, et beaucoup de personnes font la confusion. Vous vous
demandez quelle est la différence ? Prenons 2 exemples :
Si vous avez 36% d’autoproduction, cela signifie concrètement que vous avez couvert 36% de
vos besoins en énergie grâce à votre installation solaire ; le reste (64%) ayant été acheté au
réseau. Plus ce taux d’autoproduction est haut, plus vous êtes indépendant de votre opérateur
électrique.
Si vous avez 73% d’autoconsommation, cela signifie que vous avez consommé 73% de
l’énergie produite par votre installation photovoltaïque ; le reste (27%) ayant été perdu ou
revendu. Plus ce taux est haut, plus vous êtes efficace pour rentabiliser votre installation
solaire.
Pour augmenter votre taux d’autoproduction, vous pouvez ajouter des panneaux solaires. Mais si
vous en mettez trop, vous allez mécaniquement baisser votre taux d’autoconsommation.
Exemple 1 : Si vous installez un seul panneau solaire de 300 W, vous allez consommer facilement
99% de sa production (ce qui vous fera un excellent taux d’autoconsommation de 99%). Mais avec
un seul panneau vous n’allez couvrir que 5% de votre consommation électrique (ce qui vous fera un
taux d’autoproduction de 5%, somme toute un taux très bas). Dans ce premier exemple, pas besoin
d’avoir une box Comwatt power pour équilibrer l’offre et la demande.
Exemple 2 : Si vous installez 10 panneaux et soit une puissance de 3 000 Wc. Votre taux
d’autoproduction peut grimper jusqu’à 50% mais il va devenir très difficile de tout consommer sur
place et votre taux d’autoconsommation va chuter à 20% si vous n’avez pas de box Comwatt Power.
Le moment où votre électricité va être produite (avec un pic en pleine journée) ne correspond pas au
moment où vos appareils consomment (le matin et le soir, la courbe rouge). Dans ce cas de figure, la
rentabilité du projet est très faible.
C’est pourquoi, il est chaudement recommandé d’ajouter une box Comwatt pour synchroniser le
moment où vos appareils consomment et le moment ou vos panneaux solaires produisent. Dans
ce cas la baisse de la facture peut atteindre 70%, ce qui permet au projet d’être très rentable.
Partie 3. Bien choisir son matériel et son installateur
partenaire ; en somme comment être bien
accompagné dans son projet
d’autoconsommation ?
Les panneaux photovoltaïques ? Quelle technologie choisir, pour quel rendement
et sur quelle durée de vie ?
Les artisans conventionnés qui travaillent avec Comwatt se fournissent tous chez des distributeurs
eux aussi conventionnés avec Comwatt. Ces distributeurs ont sélectionnés une gamme de panneaux
solaires selon des critères de performance, de robustesse et de prix. Comwatt vous invite donc à
utiliser ces panneaux en toute confiance. Détournez vous des offres de panneaux sur internet de
type “Le bon coin”, vous risquez de payer moins cher que via votre artisan, mais de le regretter dans
la durée.
Pour aller plus loin, nous vous invitons à consulter cet article complet qui va vous aider à bien choisir
votre panneau solaire.
* La puissance
Il existe en effet des modèles et des kits qui peuvent être installés par vos soins. Mais avant de vous
lancer dans un tel projet, vous devez être conscient des inconvénients majeurs que cela implique, qui
se cumulent aux problèmes de savoir-faire, de compétences et de dangers majeurs de travail en
hauteur et d’électrocution. Comwatt vous recommande fortement de faire appel à des professionnels
qui sauront vous guider, vous conseiller, et vous sécuriser.
* Quelle est la durée de vie des panneaux photovoltaïques selon par les fabricants
Dans un panneau solaire, il n’y a aucune pièce en mouvement, pas d’usure mécanique, sauf si le
panneau solaire est mal vissé aux supports. De plus, la zone sensible du panneau, la cellule, est
enfermée dans un sandwich de verre trempé et feuilleté. Le panneau solaire résiste à un grêlon de
1,25cm de diamètre lancé à 140km/h. (Les normes qui garantissent cette résistance à la grêle sont
les normes n°CEI 61215, n°CEI 61646 et n°CEI 61730).
Le soleil est un puissant “acide” qui ronge tout. Notre peau prend des coups de soleil, les plastiques
deviennent blanc et cassant, tout ce qui est organique finit tôt ou tard par être brûlé par le soleil. La
cellule solaire qui est au cœur du panneau, est un cristal, de la roche qui lui est parfaitement
résistant aux effets du soleil. C’est plutôt une bonne nouvelle quand on passe ses journées sur une
toiture en plein soleil.
Ce qui fait que le panneau solaire est un objet industriel parmi les plus fiables jamais construit (il
arrive quand même après les ponts romains en terme de durée de vie).
La durée de vie moyenne d’un panneau solaire est aujourd’hui supérieure à 40 ans tout en
conservant un haut niveau de rendement. Pour preuve, les fabricants garantissent aujourd’hui 80 %
de la puissance initiale après 25 ans. Vos panneaux restent donc performants bien au-delà de la
durée nécessaire à votre retour sur investissement !
En savoir plus : Comment bien choisir son panneau photovoltaïque pour l’autoconsommation solaire ?
Les Suisses sont les premiers à avoir installé des panneaux solaire à grande échelle en Europe. Des
études de la centrale solaire en Suisse montrent que la durée de vie des panneaux photovoltaïques
est “au moins deux fois plus longue que les estimations de l’époque”. Un cas qui n’est pas isolé.
Seulement 1 % des 10 000 modules de la centrale du Mont-Soleil ont dû être remplacés depuis sa
création en 1992. “La plupart du temps, à cause de bris de glace dus à des chutes de neige
extrêmes “, explique le propriétaire. La durée de vie des panneaux solaires peut alors atteindre 40
ans. Et la puissance de l’installation ne diminue que de 0,2% à 0,3% par an.
Cela est loin d’être un cas isolé, toujours en Suisse, la toute première installation connectée au
réseau en Europe confirme ces éléments. Construite en 1982, elle offre toujours une efficacité de
plus de 70% après 40 ans d’exploitations. Enfin à Lausanne, l’installation située sous le pont
Chauderon a vu sa puissance maximale diminuer de moins de 10% en 26 ans. Lors de sa
construction en 1991, on estimait qu’après 20 ans, la puissance aurait chuté de 20 %.
C’est bien rare de trouver une fiabilité plus forte dans la réalité que sur les belles brochures.
Il s’agit tout simplement d’un élément crucial de votre installation. Ce boîtier transforme le courant
continu produit par vos panneaux solaires en courant alternatif, identique à celui du réseau public et
directement utilisable par vos appareils. Autrement dit, sans l’onduleur, vous ne pourriez pas utiliser
l’électricité produite par vos modules photovoltaïques au risque d’endommager vos équipements.
A noter que ce boîtier permet aussi de couper le courant de votre installation lors des opérations
de maintenance.
L’avantage : C’est le prix. Ce système d’installation avec onduleur unique limite forcement le coût
global d’investissement en comparaison d’un système équipé d’un micro-onduleur pour deux
panneaux.
Dans ce cas de figure, un micro-onduleurs est relié à un ou deux panneaux selon le type de micro-
onduleur proposé. Les panneaux ne sont plus branchés en série, il sont tous indépendants.
Avantages
Inconvénients
Le prix de tous les micro-onduleurs cumulés nécessaires à l’installation est supérieur à celui
d’un onduleur central unique.
En cas de panne, il est aussi plus difficile d’intervenir en toiture, sous les panneaux solaires,
pour démonter les micro-onduleurs.
Les micro-onduleurs sont difficilement réparables.
La durée de vie ?
La durée de vie d’un onduleur photovoltaïque centralisé est en général de 10 ans, et vendu avec une
garantie constructeur de 5 ans (comprenant le plus souvent la pièce, la main d’oeuvre et le
déplacement du professionnel). Donc, après 10 ans, vous devrez probablement le remplacer.
Pour les micro-onduleurs, la garantie constructeur est longue, de l’ordre de 20 ans pour certains
fabricants. La durée de vie réelle est difficile à affirmer car les micro-onduleurs les plus anciens ont à
peine 10 ans.
Pour un onduleur centralisé, vous devez compter en général entre 1 000 et 2 000 € TTC selon sa
puissance. Pour les micro-onduleurs, il faut compter 120 € TTC.
Attention aux promesses frauduleuses ! Nous voyons de tout sur Internet et beaucoup sont des
informations erronées voire mensongères : des panneaux solaires gratuits autofinancés ou financés
par l’État, devenez totalement autonome et coupez-vous d’EDF, le surplus d’énergie non
consommée est offert gratuitement à EDF, les aides vont vous payer 1/3 de votre installation
solaire… Voilà les erreurs et les promesses que l’on peut vous faire à travers ces démarchages en
ligne ou physiques. Alors méfiez-vous. Ne vous laissez pas attirer par les sirènes de certaines
promesses frauduleuses qui font apparaître “la mariée” bien trop belle.
Mais alors, à qui s’adresser ? A qui faire confiance dans ce maquis d’offres pour
m’accompagner et installer mon projet solaire ?
Nous vous conseillons de vous adresser à des fabricants de matériel solaires tels que Comwatt,
qui ont déjà sélectionné en amont des professionnels qualifiés, qui les forment et qui les suivent
sur la durée.
Pour vous aider à passer au solaire le plus facilement et sereinement possible, nous avons mis au
point une technologie unique basée sur
La confiance est cruciale pour ce type de projet. Nous vous recommandons vivement de faire appel à
des acteurs reconnus sur le marché solaire pour leur expertise qui sauront vous mettre en relation
avec des installateurs certifiés RGE (Reconnu Garant de l’Environnement).
Comwatt remplit toutes ces conditions. Fabricant n°1 en France des box énergétiques, l’entreprise
a été fondée par Gregory LAMOTTE, expert auprès de l’Assemblée Nationale sur les questions
relatives à l’énergie solaire. Récompensée par 14 prix d’innovation et avec 2 brevets, Comwatt a
constitué un réseau solide de 350 installateurs conventionnés et formés, hautement qualifiés, et
ce partout en France. Vous pouvez alors définir votre projet en toute confiance et sérénité.
Faire (ou faire faire par votre installateur), les démarches administratives
1. Déclaration de travaux à déposer en Mairie (il faut ensuite attendre au maximum 1 mois pour
avoir la réponse. Sans réponse de la mairie sous 1 mois, la déclaration de travaux est
acceptée par défaut) ;
2. Vous devez demander un contrat de raccordement d’accès au réseau et
d’exploitation (CRAE) auprès d’ENEDIS via le portail https://connect-racco.enedis.fr/prac-
internet/login/. Ce contrat vous autorise à injecter sur le réseau votre production
photovoltaïque ;
3. Ensuite, pour devenir producteur d’électricité et donc revendre votre surplus de
consommation à EDF OA, votre installation photovoltaïque doit être obligatoirement certifiée
conforme par le Consuel. La visite du Consuel valide que les normes d’installation sont
respectées ; ce que votre assurance peut vous opposer en cas de désordre ou de problème
électrique. A noter que le Consuel est obligatoire uniquement pour les installations connectées
directement au tableau électrique et mise en service après le 24 mars 2010 ;
4. Vous devez obtenir le contrat d’achat avec EDF OA. Il vous permet de vous faire racheter
l’énergie que vous produirez au tarif en vigueur et de bénéficier des primes à
l’investissement. C’est ENEDIS qui transmet votre demande automatiquement à EDF OA
qui vous contactera.
Une fois les délais administratifs passés, sous 15 jours en général, votre installateur de confiance
pose vos panneaux photovoltaïques, l’onduleur, et la box de pilotage. Branchez et cela fonctionne
immédiatement. Petit plus ! Afin de garantir la qualité de l’installation, Comwatt procédera à distance
à:
Ces 2 questions sont fondamentales pour bien comprendre ce qui se passe aujourd’hui et ce qui
vous attend demain. Pour faire simple, l’État doit investir massivement dans le parc nucléaire
français dans les années à venir pour remplacer ou réparer les vieilles centrales. En même temps,
l’Etat souhaite faire aussi des économies.
L’idée est donc simple : tout ce que produiront les Français sera autant d’énergie que
n’auront pas à produire les centrales nucléaires.
Parallèlement, les frais envisagés dans le nucléaire sont liés au démantèlement de centrales et aux
travaux destinés à augmenter la durée de vie du parc nucléaire de 40 à 60 ans ainsi qu’à sa
sécurisation. Le budget nécessaire est évalué à 100 Md€ (pour en savoir plus, lisez notre
article “Comment les factures d’électricité vont-elles évoluer ces prochaines années?”). Autant dire,
un montant abyssal pour un Etat et une entreprise (EDF) qui est déjà très endettée.
Les aides sans conditions de revenu pour financer votre installation photovoltaïque
Dès les années 2000, l’État a mis en place d’importantes subventions afin d’inciter les Français à
franchir le pas vers le photovoltaïque, malgré le coût important du matériel à l’époque. Cette pratique
n’est pas rare. Il suffit de voir les incitations importantes qui existent aujourd’hui pour les véhicules
électriques. Aujourd’hui, avec la très forte baisse du coût du solaire, le montant de ces subventions
connaît des baisses régulières. Celles-ci restent néanmoins intéressantes même si elles sont vouées
à baisser encore d’années en années.
* La Prime à l’autoconsommation
Elle est aussi appelée Prime à l’investissement ou Prime énergie. Elle est issue d’un arrêté
tarifaire en vigueur depuis mai 2017 visant à encourager l’autoconsommation. L’État accorde une
offre financière à cet effet. Il suffit de répondre à trois conditions pour obtenir la prime. Les panneaux
solaires doivent :
Quel est le montant de cette prime ? Elle dépend de la puissance de l’installation, suivant votre
installation :
Cette prime est dégressive tous les trimestres en fonction des volumes de demandes de
raccordement et elle est versée sur 5 années à l’auto-producteur.
Bon à savoir : l’électricité qui ne sera pas consommée instantanément sera vendue à EDF
Obligation d’Achat à hauteur de 10cts €/kWh pour les installations inférieures ou égales à 9kWc et
6cts €/kWh pour les installations jusqu’à 100kWc.
On les nomme ainsi, car elles proviennent des collectivités locales (villes, Départements,
Régions) qui désirent atteindre certains objectifs fixés par le Gouvernement. Il s’agit d’une aide à
l’investissement des travaux. Comment savoir si vous y avez droit ? Adressez-vous à votre mairie,
votre communauté de communes, votre Département, votre Région, ou encore à l’Espace
Informations Énergie (EIE) de votre Région. Vous pourriez être très surpris.
Vous souhaitez en savoir plus ? Lisez notre article très détaillé sur les aides et financements pour moins consommer
d’énergie
Toutes les aides précédentes ne sont pas soumises aux revenus. Toutefois, il en existe encore
quelques-unes qui sont soumises aux revenus du demandeur.
* Le CITE
Depuis le 1° Janvier 2020, le gestionnaire d’autoconsommation Comwatt n’est plus éligible au Crédit
d’impôt pour la transition énergétique comme c’était le cas auparavant. Le CITE est maintenu pour
une partie des porteurs de projets (dès lors que leur revenu fiscal correspond à la tranche
concernée) et complémentaire de la prime énergie mise en place par l’ANAH.
Vous souhaitez en savoir plus ? Lisez notre article détaillé sur le CITE 2020
Elle intervient en cas de rénovation énergétique. Les aides de l’ANAH sont liées à un plafond de
ressources, car elles sont destinées aux revenus modestes dont les projets peuvent être financés
jusqu’à 90 %. L’ANAH publie des tableaux avec les plafonds de revenus vous permettant de savoir si
vous êtes éligibles à ces aides. Il s’agit de lutter contre la précarité énergétique et de permettre à
tous de se chauffer et de vivre dignement.
Vous souhaitez en savoir plus ? Lisez notre article très détaillé sur les aides et financements pour moins consommer
d’énergie