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Chantier Ecole
Programme de formation
Certificat de Compétences
Aide Opérateur Topographe
Novembre 2015
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Le vendredi 21 août 2015 se sont déroulés à l’’INAP –FTP les travaux de validation du projet de
programme de formation pour le métier de « Aide opérateur topographe ».
Après avoir pris connaissance du projet de programme de formation proposé, les professionnels du
métier, participants ont assuré que le projet rend bien compte des propos tenus durant l’analyse de
situation de travail ainsi que des consensus établis.
Les participants ont aussi validé les observations sur les tâches du métier, les habiletés transférables
et socio affectives, les conditions d’exercice et d’organisation du travail et les recommandations
quant à la formation qui sont détaillés dans le rapport d’AST (analyse de situation de travail) ci-joint
en annexe.
Les participants à l’atelier d’analyse de situation de travail et aux travaux d’examen et de validation
du projet de programme de formation de « Aide opérateur topographe ».
Représentant du milieu de
Institution Contact Signature
formation
Ahmédou Mané
INAP - FTP 46 49 34 48
Méthodologue INAP-FTP
Représentants du milieu
Entreprise Contact signature
professionnel
Koita Mouhamedou Suivi GC/Ascena 47 40 45 72
Conducteur de
Yaya N’Diaye 46 45 74 00
travaux
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REFERENTIEL METIER
Ouvrier topographe
Autres appellations
Porte mire
courantes
Chaineur
Relations L’aide opérateur topographe travaille sur un chantier de BTP, reçoit les
professionnelles les plus directives et les instructions de l’opérateur ou du chef d’équipe, parfois
fréquentes et les instructions de l’ouvrier qui le supervise directement. Il entretient des
significatives relations indirectes avec l’opérateur géomètre et les autres personnels
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du chantier ou de l’entreprise.
REFERENTIEL COMPETENCES
DUREE
COMPETENCES OBJECTIFS CRITERES DE PERFORMANCE
(Heure)
- Consulte les sources d’information
mises à sa disposition.
- Décrit des avantages du respect des
normes et des règlements en
matière de santé et de sécurité
- Manifeste le souci d’apprendre
- Énonce des principes d’un
- S’informer sur la santé et la sécurité
fonctionnement sécuritaire.
au travail -
- Dresse une liste de risques liés aux
M 1 : Appliquer les règles de - Réfléchir sur l’importance du
chantiers et aux ateliers ainsi que
santé et de sécurité sur un respect des règles de santé et de sécurité au
des mesures préventives 45
chantier de travail travail
applicables.
- Évaluer son comportement et de
- Donne résumé des connaissances et
ses attitudes concernant la santé sécurité au
habiletés acquises;
travail
- Donne une évaluation de sa propre
attitude à l’égard de la santé et de la
sécurité au travail;
- Donne une évaluation des objectifs
et des moyens à prendre pour
préserver sa santé, sa sécurité ainsi
celles des autres
M2 : Utiliser le matériel de - Choisir le matériel - Etablissement de la liste complète 150
topographique - Monter un niveau du matériel utilisé en topographie
- Monter un théodolite - Description correcte du
- Monter une station totale fonctionnement de chaque appareil
- Ranger et nettoyer le matériel et équipement
- Choix correct du matériel à utiliser
- Respect des séquences de montage
de l’appareil
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Activités
- Recueillir des données sur la SST
Contenus :
Thème 2 : Réfléchir sur
- Présentation des informations recueillies sur les règles de santé
l’importance du respect
et de sécurité au travail.
des règles de santé et de
sécurité au travail
Activités
- Échanges avec les autres membres de son groupe sur les règles
de santé et de sécurité au travail.
Contenu
- Modèle de structure d’un rapport
Thème 3 : Évaluer son - Rédaction d’un rapport
comportement et de ses Activités
attitudes concernant la 1. Aider le stagiaire dans la préparation du rapport
santé sécurité au travail 2. Échanges au cours desquels les stagiaires discutent du contenu
de leurs rapports respectifs.
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Introduction
Sur un chantier cohabitent généralement plusieurs intervenants pour les
différents corps d’état : gros œuvre, plomberie, électricité, topographie,
menuiserie, peinture, voirie … Cette cohabitation engendre un
mouvement permanant sur le chantier des personnes et des engins
roulants.
A cet effet, les ouvriers sur un chantier se trouvent confrontés à un
double risque :
-Risques dus à leur propre activité (équipements, outils, postures…)
-Risques dus aux autres activités (circulation d’engins, organisation du
chantier, …) Ainsi, la prévention contre ces risques passe par deux
éléments essentiels:
Respect des consignes de sécurité par l’ensemble des intervenants :
la sécurité sur le chantier est l’affaire de tous. L’ensemble des
intervenants doit être sensibilisé aux risques et se comporter de manière
responsable.
Organisation sécuritaire du chantier : un chantier mobilise un nombre
important d'intervenants et nécessite ainsi une organisation adéquate
afin de réduire les accidents qui touchent aussi bien les intervenants sur
le chantier que l’entourage.
.
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Sur un chantier plusieurs maladies professionnelles peuvent être contractées sur les
chantiers en absence de mesures de préventions adéquates de la part des
employeurs et des employés.
De même plusieurs risques d’accidents sont présents en permanence, tels que :
-Les risques liés à la circulation des personnes et des engins;
-Les risques de chutes (flaque d’huile, pièces métalliques, fils électriques, fosse ….);
-Les risques de chutes d’objets placés en hauteur ou bien suspendus
-Les risques d’incendie, électrocution
-Etc.…
, 1-1-1 Risques des maladies professionnelles
Ces maladies peuvent toucher un ou plusieurs organes comme les poumons, le foie,
les reins, le système nerveux, la vision, l'ouïe, le sang, etc. Elles peuvent provoquer
diverses maladies telles que : asthme, anémie, dermatose, encéphalopathie, surdité,
atteinte rénale, cancers….
La protection technique collective permet d'éliminer ou de réduire les dangers
(exemple des systèmes d'aspiration des particules et des gaz à la source). Les
équipements de protection individuelle permettent de protéger l'individu d'un contact
direct avec les substances dangereuses (lunettes, gants, masques respiratoires,
etc.).
Les principales causes d’accidents du travail dans un chantier BTP ont été
déterminées comme suit :
-Chutes de plain-pied
-Chutes de hauteur
-Masses en mouvement
-Manutention mécanique
- Véhicules
- Machines
-Outils à mains
-Outils mécaniques
-Electricité
Les accidents peuvent toucher plusieurs membres du corps humain : les yeux, la
tête, le cou, les membres supérieurs et intérieurs …. Et provoquer des
conséquences diverses et dramatiques.
.
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1-2 Moyens à mettre en œuvre et les attitudes à adopter pour éviter les
accidents et les maladies professionnelles;
Sans aucun doute, le meilleur moyen pour réduire voir même éliminer les accidents
et les maladies professionnelles c’est d’agir en amont : la prévention.
1-3-1 Introduction
Lorsqu’il existe des conditions de travail dangereuses pour la sécurité et la santé des
travailleurs, l’employeur est mis en demeure d’y remédier par l’inspecteur ou le
contrôleur du travail Les modalités de cette déclaration sont fixées par la législation
.
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Les principales signalisations rencontrées sur les chantiers sont les "Affiches santé
et sécurité".
Les affiches sur un chantier sont aussi importantes que les panneaux du code de la
route. Elles sont conçues pour minimiser les accidents.
Les affiches sont conçues en respectant les formes et les couleurs suivantes :
A- Panneaux d'interdiction
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B- Signalisation de risques
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C-Panneaux d’obligation
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Le gyrophare
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F- Produits dangereux
-Les lunettes
Les casques
Les casques sont généralement destinés à protéger la partie supérieure du crâne
pour des personnes se rendant sur des chantiers.
.
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Les chaussures
Les chaussures de chantier ont généralement un embout en acier, protégeant ainsi
les orteils en cas de chute d'un objet. Ils permettent également d’éviter les blessures
en marchant sur des objets tranchants rencontrés sur un chantier (clous, ferrailles,
débris…) et protègent aussi contre les glissades.
Gants de mains
Les mains sont des organes utiles et indispensables pour la réalisation de travaux, il
est donc important de les protéger lors de travaux.
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2-3 secourismes
il est important d’avoir des notions de base de secourisme qui peuvent être utiles à
toute personne aussi bien en exerçant son métier que dans sa vie quotidienne.
-Piqûres
-Brûlures
On distingue deux types de brûlures :
Brûlures cutanées par le feu ou des éléments chauds.
Brûlures cutanées par un produit chimique
-teintes oculaires
-Electrisation
-Insolation et coup déchaler
-Perte de connaissance
Entorse et fracture
-Perte de connaissance
Entorse et fracture
Un extincteur est un appareil qui permet de projeter sur un foyer d’incendie un agent
extincteur sous l’effet d’une pression.
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Accident de Service Accident de Trajet Maladie Professionnelle Constat de police et de gendarmerie OUI NON
Date : Heure : Lieu précis de l'accident : Nature de la M.P. :
L'accident a-t'-il fait d'autre victime ? OUI NON
TEMOIN(S) DE L'ACCIDENT
Ci-dessous, nous présentons les éléments typiques d’un bon rapport de sécurité clairement
structuré :
3-2-1. En-tête
Les données que vous incluez dans l’en-tête de votre rapport de sécurité sont les suivantes:
Le logo de votre entreprise, le nom de votre entreprise et les coordonnées de votre entreprise
3-2-2. Titre du rapport
Le titre doit indiquer clairement en quoi consiste le rapport. Par exemple : « Rapport de
sécurité n° 5 pour le projet XYZ ».
3-2-3. Données du projet
Le nom du projet ou du client l’adresse du projet de construction la date à laquelle le rapport
de sécurité a été préparée éventuellement une description du projet de construction (par
exemple : nouvelle construction ou rénovation)
3-2-4. Date et heure de la visite
Indiquez toujours clairement la date et l’heure de votre visite dans votre rapport de sécurité.
3-2-5. Statut du projet
Décrivez l’état actuel du projet de construction, par exemple : travaux de démolition, travaux
de toiture, finition intérieure.
3-2-6. Personnes présentes
Faites une liste des parties impliquées, indiquant les personnes présentes lors de la visite et les
destinataires du rapport de sécurité :
3-2-7. Observations
Incluez vos observations, commentaires et conseils de sécurité et de santé dans votre rapport.
Notez soigneusement les infractions et les omissions. Détaillez vos commentaires avec :
Une ou plusieurs photos, avec éventuellement un croquis ou un commentaire, une ou
plusieurs personnes ou entreprises responsables.
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ses accessoires
Ranger et nettoyer le matériel - Rangement sécuritaire du matériel
- Appliquer les consignes - Respect des consignes d’entretien du matériel
d’entretien relatives à
chaque type de matériel
- Appliquer les consignes
pour le rangement et le
stockage de chaque type
de matériel
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Activités :
- Identifier le type d’appareil , de matériel en topographie
- Citer le rôle de chaque type de matériel
- Donner la définition de certaines notions simples en
topographie
Contenus :
Activités :
- Décrie le fonctionnement du niveau
- Préparer le niveau et ses accessoires
Activités :
- Décrie le fonctionnement du théodolite
- Préparer le théodolite et ses accessoires
Contenus :
Activités :
- Décrie le fonctionnement d’une station totale
- Préparer la station totale et ses accessoires
Contenus :
Activités :
- Ranger et nettoyer des appareils de topographie
II.1 Altimétrie
Figure 2 :
II.2 Planimétrie
Projection de Mercator
Système géocentrique
b) Latitude () : la latitude de A est l’angle que fait la verticale (na) de A avec le plan
de l’équateur.
Elle est comprise entre 0 à 90° Nord ou Sud. Les cercles perpendiculaires à la ligne
des pôles PP’ sont appelés parallèles : ils sont parallèles au plan de l’équateur.
a) Altitudes (h) : à un point A’ situé sur la surface de la terre et sur la même verticale
que A, on associera une troisième coordonnée correspondant à la hauteur au-dessus
de la surface moyenne de la mer, notée h, mesurée suivant la normale (na).
Système Géographique
Échelles Finalité
1/1 000 000 à 1/500 000 Cartes géographiques
1/250 000 à 1/100 000 Cartes topographiques à petite échelle
1/50 000, 1/25 000 (base), 1/20 000 Cartes topographiques à moyenne
échelle (IGN)
1/10 000 Cartes topographiques à grande échelle
1/5 000 Plans topographiques d'étude, plans
d'urbanisme
1/2000 Plans d'occupation des sols (POS),
descriptifs parcellaires
1/1000, 1/500 Plans parcellaires, cadastraux urbains
1/200 Plans de voirie, d'implantation, de
lotissement
1/100 Plans de propriété, plans de masse
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III.1 Angles
Un angle est la différence entre deux directions.
On peut distinguer deux types des angles :
- Angle horizontal
- Angle Verticale
Angles
III.3 Longueurs
La longueur d’une ligne est la distance entre les deux points extrêmes de cette ligne.
Longueur
Avec :
L : distance oblique
Lh :distance horizontale
h : deference de hauteur
III.4 Altitudes
L'altitude d'un point est sa hauteur au-dessus du niveau moyen de la mer, ou la
dénivellation entre ce point et le niveau moyen de la mer.
On peut également définir l'altitude comme la hauteur au-dessus du niveau d'un
point de référence. Dans ce cas, on parle de l'altitude arbitraire (il faut toujours
mentionner le point de référence avec son altitude).
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III.5 Dénivelées
La dénivellation entre deux points est la différence d'altitude de ces deux points.
La dénivellation entre le point A et le point B (ΔH AB) est l'altitude du point B (HB)
moins l'altitude du point A (HA):
ΔHAB = HB-HA
Ruban de mesure
L'équerre est constamment utilisée pour les levers des détails par le procédé des
abscisses et ordonnées et pour de nombreuses constructions géométriques rapides
effectuées au cours des levers. L'observation se fait sans lunette, mais simplement
par contacts optiques de points vus à l'ail nu, sur d'autres vus par réflexions sur des
glaces ou dans des prismes.
Equerre optique
VI.3 Jalons
Les jalons sont des bâtons droits et ronds, de 3 ou 4 cm de diamètre et de 1,5 à 3 m
de longueur. Ils sont en bois avec une pointe métallique) ou en métal, parfois en
plastique. Pour améliorer la visibilité, ils sont peints en blanc et rouge ou en blanc et
noir. Ils aident à délimiter des surfaces, à tracer des lignes droites sur le terrain, et à
matérialiser les points à lever. On peut également fabriquer des jalons soi-même,
avec des bambous rigides très droits ou des branches d'arbres.
Les jalons ne peuvent pas être courbés. Ils doivent être placés verticalement, au
moyen d'un fil à plomb ou plutôt d'un niveau à bulle.
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Jalons
- transférer un point d'une certaine altitude à une autre altitude sur une verticale.
VI.5 Trépieds
C’est support d'appareil topographique constitué de trois pieds en bois ou métal
à jambes coulissantes.
Trépied
Mire de chantier
VI.9 Théodolite
Le théodolite est l’instrument le plus important et le plus utilisé en topographie.
Il sert à mesurer des angles horizontaux et des angles verticaux.
En plus à l’aide d’un théodolite, on peut mesurer – comme le cas de niveau
automatique – les distances (avec la même précision) et la dénivelée entre deux
points (avec moins de précision).
Dans le cas d’un théodolite à affichage digital, les angles sont analysés
électroniquement puis affichés numériquement sur le cran.
NB : en générale le théodolite est plus préférable que le niveau lorsque le terrain est
accidentel ou les pentes sont souvent fortes pour viser la mire avec le niveau (qui ne
peut pas observer des angles verticaux).
Les stations totales sont utilisées lorsque des positions et des altitudes de points, ou
simplement leurs positions en 2D, doivent être déterminées.
Une station totale est un théodolite avec distance-mètre intégré, permettant de
mesurer simultanément des angles et des distances. Les stations totales
électroniques modernes ont toutes un distance-mètre opto-électronique (EDM) et
des codeurs angulaires électroniques. Les échelles codées des cercles horizontaux
et verticaux sont analysées électroniquement, puis les angles et les distances sont
affichés numériquement. La distance horizontale, la différence d'altitude et les
coordonnées sont calculées automatiquement et toutes les mesures et informations
supplémentaires sont enregistrées.
Réflecteur : Prisme à réflexion totale et son dispositif fixé sur une canne plombée, placée elle-même,
sur le point à lever. Il renvoie le rayon émis par la station totale permettant le calcul de la distance de
la station à la canne plombée.
Réflecteur
Mesurer les
angles
Equerre
horizontaux
optique
(0° /180° ou
90°)
Mesurer les
distances
Niveaux de horizontales mire de
chantier chantier
automatiqu Mesurer les trépieds
e dénivellations fil à plomb
Mesurer les
angles
horizontaux
Mesurer les
distances
horizontales mire de
Niveau de
Mesurer les chantier
chantier
dénivellations trépieds
numérique
Mesurer les fil à plomb
angles
horizontaux
Mesurer les
distances
Mesurer les
dénivellations
Théodolite mire de
à affichage Mesurer les chantier
digital angles trépieds
horizontaux
Mesurer les
angles
verticaux
Mesurer des
distances
Mesurer les
dénivellations
Mesurer les
angles
horizontaux
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Mesurer les
angles
verticaux
Station réflecteur
Donc selon les travaux à réaliser on choisira les appareils et les matériels
convenables.
Activités :
- Identifier le type d’appareil, de matériel en topographie
- Citer le rôle de chaque type de matériel
- Donner la définition de certaines notions simples en topographie
I. Description de l’appareil
Composants
Contenu du coffret
Niveau, mode d'emploi, clé à six pans creux, housse imperméable
Accessoires
Trépied, mire en aluminium (suivant la région), fil à plomb. (En option: pare-soleil,.)
II.1 Niveau numérique
Exemple : Sprinter 50
Composants
Composants
Contenu du coffret
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Sprinter, batteries (4x), clé mâle, manuel d'utilisation, feuille répertoriant les
messages d'erreur et de service, courroie.
Accessoires
Trépied, mire en aluminium (suivant la région), fil à plomb. (En option: pare-soleil, 4
batteries rechargeables et un chargeur.)
Mise en station
Pour vérifier, faites pivoter l'instrument de 180°. La bulle doit rester dans le cercle.
Si ce n'est pas le cas, un réglage de l'instrument est nécessaire (voir mode
d'emploi).
Sur un instrument automatique, le compensateur se charge automatiquement de
la mise à niveau finale. Le compensateur se compose d'un miroir suspendu par
des fils, et qui dirige le faisceau lumineux horizontal vers le centre du réticule,
même s'il y a inclinaison résiduelle dans la lunette.
La nivelle sphérique étant centrée, si vous tapez légèrement un pied du trépied,
vous verrez la ligne de visée osciller et toujours se stabiliser sur la même lecture
sur mire. C'est une façon de tester si le compensateur est capable de basculer
librement.
- Leica NA720/724/728/730
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Page de garde
Sommaire
- Sprinter 50
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Page de garde
Sommaire
- Leica NA720/724/728/730
Contrôle et ajustage
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- Sprinter 50
Contrôles et ajustement
Leica NA720
Calage
- Mettre le trépied en place. Régler les jambes à la longueur adéquate et s'assurer
que la tête du trépied est à peu près à l'horizontale. Enfoncer les pieds du
trépied fermement dans le sol pour obtenir une position stable.
- Monter l'instrument sur le trépied en vissant la vis du trépied à la base de
l'instrument.
- Centrer la bulle de la nivelle au moyen des trois vis calantes pour régler
l'instrument à l'horizontale.
Réglage de l'oculaire
Pointer la lunette sur une surface uniformément éclairée telle qu'un mur ou un bout
de papier. Tourner l'oculaire jusqu'à ce que les traits du réticule soient nets.
champ visuel puis tourner le bouton de mise au point pour régler la netteté. S'assurer
que l'image de la mire et du réticule est nette.
I. Description de l’appareil
I.1 Théodolite à affichage digital
Composants
Composants
Affichage /Clavier
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Affichage
Contenu du coffret
1 fil à plomb, 1 kit d'outils (contenant un tournevis et 2 pointes), 2 sachets de
dessiccation, 1 housse de protection, 1 mode d'emploi, 1 chargeur, 1 compartiment,
pour piles AA, 1 pack de batterie Ni-MH, 1 clé Allen (six-pans creux)
Contenu du coffret
Accessoires
Trépied, mire...
Composants
Clavier / écran
Clavier
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Écran
Contenu du coffret
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Accessoires
Trépied, réflecteur… .
PREXISO T.O.2
Contrôle et réglage
Nivelle cylindrique :
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Nivelle sphérique :
Plomb laser :
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Câbles et connecteurs
Les connecteurs doivent être propres et secs. Soufflez sur les connecteurs pour
déloger toute poussière pouvant s'y trouver.
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Selon les travaux à réaliser on choisit les matériels nécessaires et leurs accessoires.
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Contrôle de la ligne
NB : Si elle diffère de la lecture théorique de plus de 3 mm, il faut faire un ajustement
de la ligne de visée (Voire theme1.II.2).
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Contrôle de collimation
Pas 1: Viser la mire A et appuyer sur la touche MES. Affichage de mesure. Appuyer
sur la touche pendant 3 secondes pour accepter le résultat.
Pas 2: Viser la mire B et appuyer sur la touche MES. Affichage de mesure. Appuyer
sur la touche pendant 3 secondes pour accepter le résultat. Déplacer maintenant le
Sprinter vers la mire A et l'installer à environ 3 m de la mire A.
Pas 3: Viser la mire B et appuyer sur la touche MES. Affichage de mesure. Appuyer
sur la touche pendant
3 secondes pour accepter le résultat.
Pas 4: Viser la mire A et appuyer sur la touche MES. Affichage de mesure. Appuyer
sur la touche pendant
3 secondes pour accepter le résultat. La nouvelle erreur de collimation électronique
s'affiche. Pour accepter la nouvelle correction, appuyer sur la touche pendant 3
secondes; une pression brève rejettera le résultat.
NB : On peut corriger l'erreur de collimation optique en ajustant le réticule (voir
theme1, III.2).
II.3. Contrôle les erreurs instrumentales d'un théodolite ou d’une station totale
Idéalement, un théodolite ou une station totale doit répondre aux exigences
suivantes :
A) La ligne de visée OO’ perpendiculaire à l'axe de basculement HH’ ;
B) L'axe de basculement HH’ perpendiculaire à l'axe principal VV ’ ;
C) L'axe principal VV ’ strictement vertical ;
D) Le zéro du cercle vertical précisément au zénith.
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Un cas ideal
Si ces conditions ne sont pas satisfaites, les termes suivants sont utilisés pour
décrire les erreurs commises :
Pour éliminer les erreurs de ligne de visée et de basculement on mesure dans les
deux positions de la lunette.
Ces deux erreurs qui sont généralement de très petites valeurs, peuvent également
être déterminées et enregistrées en cas d’une station totale (ce qui est important
pour les stations totales de haute précision).
A partir de là, ces erreurs sont prises en compte automatiquement chaque fois
qu'un angle est mesuré, et il est alors possible de prendre des mesures
pratiquement exemptes d'erreur, même dans une seule position de lunette.
La détermination de ces erreurs est décrite en détail dans le mode d’emploi.
Remarque :
Les erreurs instrumentales varient avec la température, ou suite à des vibrations, à
de longues périodes d'inactivité, ou à un transport. Si vous souhaitez mesurer dans
une seule position de la lunette, vous devez déterminer les erreurs instrumentales et
les enregistrer préalablement aux mesures.
Activités :
Préparer une intervention à partir de consignes, d’instructions, de bon de commande :
- Elaborer la liste de matériels à utiliser
- S’assurer du bon fonctionnement des instruments et appareils.
Préparer les éléments de calage et d’implantation
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FICHE D’ENTRETIEN
Instrument:…….. Atelier :
Adapter l'instrument à la
température ambiante
Compte rendu :
Anomalies constatées et réparées : Travaux à Urgence :
effectuer : Très assez Non
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- - - - - - - - - - - - - - - - -
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.............................................................. ...............................
- - - - - - - - -
.............................................................. ...............................
- - - - -
Activités :
A partir de consignes, d’instructions, de bon de commande :
- Etablir la liste de l’équipement de base
- Renseigner la fiche d’entretien
Nettoyer et ranger le matériel..
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Exemple :
Toujours viser le centre de la mire code-barres et faire la mise au point pour obtenir
des mesures précises
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Etapes de mesure
Remarque :
Le mode Prisme (3.5 km) permet des mesures de distance sur plus de 3,5 km vers
des prismes standard au moyen du rayon laser rouge visible.
II.1.6 Calcul les coordonnées
La station total peut calculer les cordonnées automatiquement.
Rappel :
Pour décrire la position d'un point, deux coordonnées sont nécessaires. Les
coordonnées polaires ont besoin d'une direction et d'un angle. Les coordonnées
cartésiennes ont besoin de deux axes dans un système de coordonnées orthogonal.
La station totale mesure des coordonnées polaires :
celles-ci sont transformées en coordonnées cartésiennes dans un système
orthogonal donné, soit dans l'instrument lui-même, soit dans un logiciel de bureau.
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Il est toujours possible de transmettre des données entre une station totale
et un ordinateur au moyen d'un câble de transfert.
Quand les instruments sont équipés d'un panneau latéral de communication, il est
aussi possible de transférer les données de la mémoire interne à un ordinateur ou un
autre périphérique via :
• une clé mémoire USB insérée dans le port hôte USB
• un câble USB connecté au port de périphérique USB ou
• une connexion Bluetooth
Panneau latéral de communication
Un panneau latéral de communication est disponible en option pour TS06 plus/TS09
plus.
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- Ranger et nettoyer le
matériel
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Sur les plans ou cartes topographiques, vous devez toujours rechercher les
renseignements suivants:
de perforation ;
d'écrasement ;
de chocs ;
d'agressions chimiques (béton, acide, huile, goudron) ;
d'agressions climatiques.
À côté des notes, on fait des croquis. Ces croquis aideront à dessiner le plan de
situation. Les croquis ne seront pas à l'échelle, mais afin de faciliter la lisibilité, on
essaie de respecter les proportions,
En ce qui concerne le levé topographique d'un tracé : Sur les croquis figurent tous
les points mesurés à l'appareil topographique, et tous les points qui contribueront à
localiser le tracé mesuré. Il s'agit des points de référence tels que :
- un arbre spécifique
- un côté de la route
Le positionnement de ces points par rapport au tracé est mesuré à l'aide d'un mètre
ruban ou avec l'instrument topographique.
Ils sont indiqués sur les croquis à l'aide de symboles, par exemple:
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Sur les croquis figurent également les noms de l'endroit (nom du quartier, de la rue, nom
d'une rivière...). On marque aussi les stations avec leur numéro, comme dans les notes, et tous
les points avec leur numéro spécifique (comme dans les notes).
Les croquis peuvent être dessinés par le chef d'équipe avant qu'on entame le levé
topographique, pendant sa préparation. A ce moment il peut également décider quels points il
veut certainement inclure dans le levé. Parfois il sera nécessaire de faire des croquis en détail,
pour les éclairer.
Les croquis sont numérotés et portent tous la flèche du Nord, afin qu'ils puissent être orientés.
La même méthodologie est suivie pour la mesure d'un terrain. Sur les croquis figurent tous lcs
points mesurés à l'appareil topographique, et tous les points qui contribueront à la localisation
de points mesurés.
Pour un levé d'une construction, on donne toutes les coupes nécessaires avec indication des
dimensions, matériaux, accessoires, ... afin qu'une tierce personne puisse comprendre la
composition de cette construction.
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instrument de mesure
topographique.
-
Implanter et matérialiser les points - Les ouvrages sont implantés conformément aux prescriptions
- Positionner et matérialiser - La matérialisation et la précision sont conformes aux
les points d’implantation prescriptions
- Etablir le croquis de - Les croquis (de repérage, …) sont exploitables
repérage - Les points d’appui ou les points implantés sont correctement
positionnés.
Vérifier l'implantation - L'implantation est contrôlée
- Le cahier des charges est respecté.
- Vérifier les exigences du - La totalité du matériel est retournée en état
cahier des charges - Les aléas sont signalés
- Contrôler l’implantation -
réalisée
- Ranger et nettoyer le
matériel
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le matériel
SOMMMAIRE
Thème 1 : Reconnaissance du terrain
1-1 Initiation à la collecte d’informations dans le dossier de l’intervention
(Documents nécessaires à l’établissement de l’implantation)
Les gants
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Le casque
Les lunettes
Un niveau de chantier :
Un trépied :
Ruban de mesure :
Marteau
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Mire de chantier ;
Fil à plomb
CLOUS
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Le piquetage.
Le nivellement.
. (fig. 1)
Votre mise en station est terminée et votre fil à plomb est positionné comme à la
figure 1. En supposant maintenant que votre niveau de chantier se trouve au –
dessus du point A de la figure 1, continuez avec établissement d’un angle droit sur
les quatre coins, en suivant la marche :
Avant réalisation, tout projet de création ou de réhabilitation doit faire l’objet d’un
contrôle d’implantation et de conception.
Phase 1 : Le contrôle d’implantation et de conception
Le contrôle d’implantation et de conception a pour but de vérifier que le
projet est conforme aux prescriptions techniques applicables
- Interpréter le dossier de
l’intervention
- Etablir un projet de
lotissement
-
Matérialiser la division (le - Les limites parcellaires sont identifiables
lotissement)
- Positionner et matérialiser
les points d’implantation
- Établir le croquis de
repérage
- Vérifier les exigences du
cahier des charges
- Contrôler l’implantation
réalisée
Participer à la rédaction des pièces - Les pièces administratives sont conformes aux exigences de
définitives l'administration
- Décrire les pièces
administratives d’une
division parcellaire dans le
domaine foncier
- Participer à la rédaction
des pièces administratives
d’une division parcellaire
dans le domaine foncier
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Contenus :
- Etapes de matérialisation d’une division parcellaire (lotissement)
Thème 2 : Matérialiser la -
division (lotissement) - Elaborer les documents graphiques des limites parcellaires
Activités :
- Décrire les étapes du travail
Contenus :
- Rédaction des pièces administratives d’une
1-1 DEFINITION
Le Lotissement est le résultat d’une opération d'aménagement qui a pour effet la création de
lots, destinées à divers usages, par la division d'une propriété foncière.
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1-2 CHAMPD’APPLICATION
Le dossier technique du Lotissement concerne les immeubles dont l’assiette est immatriculée
ou en cours d’immatriculation.
3 -1 LE PROJET DE LEVE