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Mouloud Feraoun

Mouloud Feraoun, né le 8 mars 1913 à Tizi Hibel en Haute Kabylie (Algérie) et mort assassiné par
1
l'OAS à Alger le 15 mars 1962 , est un écrivain algérien d'expression française. Mouloud Feraoun
Son œuvre la plus célèbre est la trilogie Le Fils du pauvre (1950), La Terre et le sang (1953) et Les
Chemins qui montent (1957).

Sommaire
Biographie
Œuvres
Notes et références
Annexes
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes

Biographie
2
Né officiellement le 8 mars 1913 dans le village de Tizi Hibel , il appartient au clan (takheroubt) des
Aït-Chabane, Feraoun étant le nom qui a été imposé par des officiers des Affaires indigènes chargés de
la mise en place d'un état-civil aux populations kabyles après l’insurrection de 1871. Les parents de Biographie
Feraoun sont un couple de paysans pauvres, qui ont eu huit enfants dont cinq seulement ont survécu.
Naissance 8 mars 1913
Mouloud est le troisième d'entre eux, et le premier fils. Depuis 1910, le père a pour habitude d’émigrer
Tizi Hibel, Aït Mahmoud
périodiquement en France métropolitaine pour subvenir aux besoins de sa famille. En 1928, il est
victime d’un accident et commence à vivre d’une pension d’invalidité. Ces racines familiales, sociales (Algérie)
et culturelles sont prépondérantes pour Mouloud Feraoun, qui intitule son premier roman Décès 15 mars 1962
autobiographique Le Fils du pauvre et fait de la culture kabyle la principale composante de son Alger, (Algérie)
3
identité . Nom de Mouloud Feraoun
naissance
Il fréquente l'école de Tizi Hibel à partir de l'âge de sept ans. En 1928, il est boursier à l'école primaire
supérieure de Tizi Ouzou, puis en 1932, est reçu au concours d'entrée de l'école normale de Bouzaréah Surnom Fouroulou
(actuelle École normale supérieure en lettres et sciences humaines) près d'Alger. Il y fait la Nationalité Algérien
connaissance d'Emmanuel Roblès. Diplômé de l’École normale, il commence sa carrière d’instituteur à
Activité écrivain
Taourirt Aden, petit village de Kabylie. En 1935, il est nommé instituteur à Tizi Hibel, où il épouse
Dehbia dont il aura sept enfants. [réf. nécessaire] Autres informations

Distinction Prix Eugène-Dabit du roman


Mouloud Feraoun commence à écrire en 1939 son premier roman, Le Fils du pauvre. L'ouvrage, salué
par la critique obtient le Grand Prix de la ville d'Alger. populiste
Œuvres principales
En 1946, il est muté à Taourirt Moussa Ouamar, commune Aït Mahmoud. En 1952, il est nommé
directeur du cours complémentaire de Fort-National. En 1957, promu directeur de l'école Nador de Le Fils du pauvre (1950)
Clos-Salembier, il quitte la Kabylie pour d'Alger. [réf. nécessaire] La Terre et le Sang (1953)
Les Chemins qui montent (1957)
En 1951, il est en correspondance avec Albert Camus. Le 15 juillet, il termine La Terre et le Sang,
ouvrage récompensé en 1953 par le Prix du roman populiste. Le roman raconte la vie d'un village Jours de Kabylie (1954)
kabyle qui voit d'un mauvais œil le retour d'un de ses enfants parti travailler dans les mines du Nord de
la France.

Les Éditions du Seuil publient, en 1957, le roman Les Chemins qui montent. Sa traduction des poèmes de Si Mohand Ou Mhand (Les Poèmes de Si Mohand)
est éditée par Minuit en 1960.

En 1960, Mouloud Feraoun est inspecteur des centres sociaux (créés à l'initiative de Germaine Tillion) à Château-Royal près de Ben Aknoun. Avec cinq de ses
4, 5
collègues, dont l'inspecteur d'académie Max Marchand, il est assassiné le 15 mars 1962, à quatre jours du cessez-le-feu , par l'OAS, qui y voit un foyer
indépendantiste.

Son Journal, rédigé de 1955 à 1962, est remis au Seuil en février 1962 et sera publié de manière posthume, de même que deux derniers romans,
L'Anniversaire, inachevé, et La Cité des roses, achevé mais resté longtemps inédit.

Œuvres
Livres

Le Fils du pauvre, Menrad instituteur kabyle, éd. Cahiers du nouvel humanisme, Le Puy, 1950, 206 p.
La Terre et le Sang, Éditions du Seuil, Paris, 1953, 256 p.
Jours de Kabylie, Alger, Baconnier, 1954, 141 p.
Les Chemins qui montent, Éditions du Seuil, Paris, 1957, 222 p.
Les Poèmes de Si Mohand, Les Éditions de Minuit, Paris, 1960, 111 p.
Journal 1955-1962, Éditions du Seuil, Paris, 1962, 349 p.
Lettres à ses amis, Éditions du Seuil, Paris, 1969, 205 p.
L'Anniversaire, Éditions du Seuil, Paris, 1972, 143 p.
La Cité des roses, éd. Yamcom, Alger, 2007, 172 p.

Articles

« L'instituteur du bled en Algérie », Examens et Concours, Paris, mai-juin 1951.


« Le désaccord », Soleil, Alger, no 6, juin 1951.
« Sur l’“École nord-africaine des lettres” », Afrique, AEA (Association des écrivains algériens), Alger, no 241, juillet-septembre 1951.
« Les potines », Foyers ruraux, Paris, no 8, 1951.
« Mœurs kabyles », La Vie au soleil, Paris, septembre-octobre 1951.
« Les rêves d'Irma Smina », Les Cahiers du Sud, Rivages, Marseille, no 316, 2e semestre 1952.
« Ma mère », Simoun, no 8, mai 1953, Oran.
« Les Beaux jours », Terrasses (Jean Sénac), Alger, juin 1953.
« Réponse à l'enquête », Les Nouvelles Littéraires, Larousse, Paris, 22 octobre 1953.
« Images algériennes d'Emmanuel Roblès », Simoun (J.-M. Guirao), Oran, no 30, décembre 1953.
« L'auteur et ses personnages », Bulletin de l'Amicale des anciens élèves de l'école normale de Bouzaréa, février 1954.
« Au-dessus des haines », Simoun (J.-M. Guirao), no 31, juillet 1954,.
« Le départ », L'Action, Parti socialiste destourien, Tunis, no 9, 20 juin 1955.
« Le voyage en Grèce et en Sardaigne », Journal des instituteurs de l'Afrique du Nord, no 1, 29 septembre 1956
« Les aventures de Ami Mechivchi », Journal des instituteurs de l'Afrique du Nord, no 1, 29 septembre 1956.
« Les aventures de Ami Mechivchi » (suite), Journal des instituteurs de l'Afrique du Nord, no 2, 13 octobre 1956.
« Souvenir d'une rentrée », no 2, Journal des instituteurs de l'Afrique du Nord, 15 octobre 1956.
« L'instituteur du bled en Algérie », Journal des instituteurs de l'Afrique du Nord, no 3, 25 octobre 1956 .
« Le beau de Tizi », Journal des instituteurs de l'Afrique du Nord, no 4, 10 novembre 1956.
« Les bergères », Journal des instituteurs de l'Afrique du Nord, no 5, 24 novembre 1956.
« Hommage à l'école française », Journal des instituteurs de l'Afrique du Nord, no 6, 6 décembre 1956.
« Monsieur Maschino, vous êtes un salaud », Démocratie (Charkaoui), Casablanca, 1er avril 1957.
« La légende de Si Mohand », Affrontement, Paris, no 5 (« Art, culture et peuple en Afrique du Nord »), décembre 1957.
« Les écrivains musulmans », Revue française de l'élite européenne, Paris, no 91, 1957.
« La littérature algérienne », Revue française, Paris, 1957.
« Le voyage en Grèce », Revue française, Paris, 1957.
« La légende de Si Mohand », Algeria, OFALAC, septembre 1958.
« Hommage à l'école française », Algeria, OFALAC, no 22, mai-juin 1959.
« La source de nos communs malheurs » (lettre à Camus), Preuves, Paris, Congrès pour la liberté de la culture, no 91, septembre 1958.
« Le dernier message », Preuves, Paris, Congrès pour la liberté de la culture, no 110, avril 1959.
« Le départ du père », Algeria, OFALAC, no 22, mai-juin 1959.
« Journal d'un Algérien », Preuves, Paris, Congrès pour la liberté de la culture, no 139, septembre 1959.
« La vache des orphelins », Algeria, OFALAC, no 30, janvier-février 1960.
« Si Mohand ou Mehand », La nouvelle critique, PCF, no 112, janvier 1960.
« Destins de femmes », Algeria, OFALAC.no 44, décembre 1960.
« L'entraide dans la société kabyle », Revue des centres sociaux, Alger, no 16, 1961.
« Mekidèche et l'ogresse », Algeria, OFALAC, n°60, automne 1961.
« Mekidèche et l'ogresse » (suite), Algeria, OFALAC, n°61, noël 1961.
« Déclaration téléphonique après la mort d'Albert Camus », Oran Républicain, Oran, 6 janvier, 1962.
« Lettres de Kabylie envoyées à Emmanuel Roblès », Esprit, n°12, décembre 1962.
« Algerisches Tagebuch », Dokumente Zeitschrift für übernationale Zusammenarbeit, Bonn, no 18, 1962.
« Discours lors de la remise du prix de la Ville d'Alger », le 5 avril 1952, Œuvres et critiques, Paris, J.M. Place, no 4, hiver 1979.
« Les tueurs », CELFAN Review, Philadelphie, Temple University, Eric Sellin, Editor, 1982.

Notes et références
1. « Le 15 mars 1962, Mouloud Feraoun… » (http://www.ldh-toulon.net/spip.php?article543), Ligue des droits de l'homme, Toulon.
2. Dans l'ancienne commune mixte de Fort-National.
3. « Persée » (http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/xxs_0294-1759_1999_num_63_1_3854), sur www.persee.fr (consulté
le 24 août 2015)« (http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/mat_0769-3206_1992_num_26_1_404865) Mouloud
FERAOUN. Un écrivain dans la guerre d’Algérie » (http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/mat_0769-3206_1992_num_26
_1_404865) sylvie THENAULT.
4. « “Mouloud Feraoun, un écrivain dans la guerre d’Algérie”, par Sylvie (...) - Connaître l’histoire coloniale, combattre les racismes et
l’antisémitisme » (http://ldh-toulon.net/Mouloud-Feraoun-un-ecrivain-dans.html), sur ldh-toulon.net (consulté le 14 mars 2017)
5. « Documents pour l'histoire, récit de l'attentat de Château Royal » Persée.

Annexes

Bibliographie

Ouvrages

Christiane Achour, Mouloud Feraoun, une voix en contrepoint, Silex éditions, Paris, 1986, 104 p. (Lire sur Gallica (https://gallica.bnf.fr/ar
k:/12148/bpt6k3320931h?rk=150215;2))
Mehenni Akbal, Mouloud Feraoun - Maurice Monnoyer : histoire d'une amitié, éd. El-Amel, Alger, 2009, 95 p.
Mehenni Akbal, Mouloud Feraoun et l'éthique du journalisme (essai), avec une préface du Professeur Mahfoud Keddache et une
postface de Nassira Belloula, Alger, Ed. El-Amel, 2007, 131 p.
Mehenni Akbal, Les idées médiologiques chez Mouloud Feraoun (essai), avec une préface du professeur Mahfoud Keddache, éd.
Dahlab-ENAG, Alger, 2002, 202 p.
Marie-Hélène Cheze, Mouloud Feraoun. La voix et le silence, Éditions du Seuil, Paris, 1982, 141 p.
Eugène Coupel, Le Juste assassiné ou l'Univers de Mouloud Feraoun, Société des Écrivains, Paris, 1999.
Robert Elbaz et Martine Mathieu-Job, Mouloud Feraoun ou l'émergence d'une littérature, éd. Karthala, Paris, éd. L'Harmattan, 2001, 139
p.
Jack Gleyze, Mouloud Feraoun, L'Harmattan, Paris, 1990, 132 p.
Martine Mathieu-Job, "Le Fils du pauvre", De Mouloud Feraoun ou la Fabrique d'un classique, éd. L'Harmattan, Paris, 2007, 176p.
Guy Meyra, Mouloud Feraoun, éd. FLN, Alger, 1975.
Jean-Philippe Ould Aoudia (introduction de Germaine Tillion, préface d'Emmanuel Roblès), L'assassinat de Château-Royal - Alger :
15 mars 1962, éd. Tirésias-Michel Reynaud, Paris, 1992, 197 p. (ISBN 2908527103 et 978-2908527100)
José Lenzini, (préface de Louis Gardel), Mouloud Feraoun - Un écrivain engagé, éd. Actes Sud, Paris, 2013, 384 p.
(ISBN 978-2-330-01951-8)

Thèses, maîtrises, DEA

Aït Hamou (Mokhtar), L'émigration algérienne à travers les œuvres romanesques de Mouloud Feraoun et de Mouloud Mammeri, DEA,
Alger, 1978, 145 p.
Bouguerra (Ahmed), L'écriture et le roman social chez Mouloud Feraoun, DEA, Paris 4, Charles Bonn, 1989.
MadaniI (Louisa), l'exil dans les romans de Mouloud Feraoun, DEA, Alger, Mitterand, 1973, 153p.
Mellak (Djilali), Proverbes, dictons, sentences chez Mouloud Feraoun à travers l'étude de trois romans, DEA, Oran, Didier et TalahiteE,
1983, 120 p.
Ounoughene (Zahra), L'éthnographie, terre et société dans l'œuvre de Mouloud Feraoun, DEA, Paris 7, Brahimi, 1981, 235p.
Sacriste (Emmanuel), Mouloud Feraoun, acteur, témoin et martyr de l'école en Algérie coloniale, MM1,Toulouse 2,J. Cantier et G.
Perville, 2007,148p.
Sautereau (Boris), Mouloud Feraoun, la réalité et l'écriture, DNR, Paris 12, Claudon, 1998, 385p.
Variola (Vera), Mouloud Feraoun: le problème d'un écrivain kabyle, thèse, Padoue, T. Rodinis, 1977.

Articles

Abtroun (Samy), « Mouloud Feraoun, simplement », L'Hebdo libéré, no 103, 16-22 mars 1993, p. 22
Akbal, Mehenni ; Mouloud Feraoun, la tombe et le cimetière. El Watan, 1er novembre 2006.
Akbal, Mehenni ; Mouloud Feraoun a dit vrai. La Dépêche de Kabylie, 27 novembre 2006.
Akbal, Mehenni ; Fouroulou, c’est moi. El Watan, 22 février 2007.
Akbal, Mehenni ; Mouloud Feraoun a introduit une nouvelle logique d’écriture. La Dépêche de Kabylie, 28 juin 2007 (entretien réalisé
par Aomar Mohellebi).
Akbal, Mehenni ; « Son œuvre est vraie ». L’Ivrescq, 15 mars 2010 (entretien réalisé par Rachid Mokhtari), ISSN 1112-9654. Redonné
intégralement sous un autre titre « J’ai donné à lire des lettres inédites de Feraoun », par le quotidien Le Matin-DZ (version électronique)
du 13 mars 2012.
Akbal, Mehenni ; Éléments pour une approche bibliométrique des écrits consacrés à Mouloud Feraoun. L’Ivrescq, no 39, avril 2015,
p. 53-58, ISSN 1112-9654.
Asfar (Gabriel), « The Goat and Myths of sacrifice in Feraoun's « le fils du pauvre » and Chraïbi's « les boucs », Litterature of Africa and
the African Continum, Washington DC, Three Continents and African Literature Association, 1989.
Beugnot (Bernard), « les débuts littéraires de Mouloud Feraoun. De Menrad Fouroulou au « Fils du pauvre », Revue d'histoire littéraire
de la France, no 81, 1981, p. 944-952
Chraïbi (Driss), "Le combat de Mouloud Feraoun", Cahiers de l'ORTF, 1967
Ghania (B.), « Hommage à Mouloud Feraoun », Alger réalité, no 13, janvier 1974, p. 70-71.
Hamouda (Ouahiba), « Mouloud Feraoun et le destin des femmes », L'Hebdo libéré, no 156, 23-29 mars 1994, p. 14
Le Rouzic (Maurice), « Écritures autobiographiques chez Mouloud Feraoun » in Littératures autobiographiques de la francophonie,
Paris, L'Harmattan, 1996. Le Rouzic (Maurice),
Monnoyer (Jean-Maurice), "La promesse littéraire du Fils du pauvre", 2013, SEMa
Perville (Guy), « Albert Camus et Mouloud Feraoun, une amitié qui résiste aux divergences politiques », Actes du colloque du « La
plume dans la plaie, les écrivains-journalistes et la guerre d’Algérie » (28-29 septembre 2001), Pessac, Presses universitaires de
Bordeaux, 2003,p. 129-135.
Tahraoui (Tahar), « Les mots du maître », Liberté, no 482, 16 mars 1994, p. 24.
Thenault (Sylvie), "Mouloud Feraoun, un écrivain dans la guerre d'Algérie", Vingtième siècle, no 63, juillet- septembre 1999, p. 65-74.
Titouah (Rachid), « Mouloud Feraoun: un humaniste dans la tourmente », Actualité de l'émigration, no 198, 29 mars-11 avril 1990, p. 48-
49.

Articles connexes
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