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Physique-Chimie
et
Mathématiques
1re STI2D
Livre du professeur
Jean-Luc Azan
Éric Bausson
Sylvain Berchet
Bruno Bertolaso
Sandrine Dika
Nicolas Dugué
Imen El Azzabi
Vincent Golman
Nathalie Hoang-Onimus
Magali Quertier
Ismaël Soudères
Pierre-François Thomas
SOMMAIRE
CHAPITRE 1 L’ÉNERGIE ET SES ENJEUX .............................................................................................................. 3
CHAPITRE 2 ÉNERGIE CHIMIQUE ...................................................................................................................... 8
CHAPITRE 3 TENSION ET INTENSITÉ EN RÉGIME CONTINU ET EN RÉGIME VARIABLE ...................................... 14
CHAPITRE 4 PUISSANCE ET ÉNERGIE ELECTRIQUE ........................................................................................... 22
CHAPITRE 5 ÉNERGIE INTERNE : TEMPÉRATURE ET ÉCHANGE D’ÉNERGIE ...................................................... 28
CHAPITRE 6 ÉNERGIE INTERNE : LE BILAN ENERGETIQUE................................................................................ 35
CHAPITRE 7 MÉCANIQUE : MOUVEMENT, VITESSE ET ACCÉLÉRATION ........................................................... 42
CHAPITRE 8 PUISSANCE ET ÉNERGIE MÉCANIQUE .......................................................................................... 47
CHAPITRE 9 ÉNERGIE TRANSPORTÉE PAR LA LUMIÈRE ................................................................................... 55
CHAPITRE 10 PROPRIÉTÉS DES MATÉRIAUX ET ORGANISATION DE LA MATIÈRE ............................................ 61
CHAPITRE 11 COMBUSTIONS.......................................................................................................................... 67
CHAPITRE 12 OXYDORÉDUCTION, CORROSION DES MÉTAUX ET PILES ........................................................... 72
CHAPITRE 13 INTRODUCTION À LA NOTION D’ONDE ..................................................................................... 79
CHAPITRE 14 ONDES SONORES ...................................................................................................................... 82
CHAPITRE 15 ONDES ÉLECTROMAGNÉTIQUES ................................................................................................ 86
CHAPITRE MESURES ET INCERTITUDES ........................................................................................................... 91
CHAPITRE 16 TRIGONOMÉTRIE ...................................................................................................................... 94
CHAPITRE 17 PRODUIT SCALAIRE ................................................................................................................. 108
CHAPITRE 18 NOMBRES COMPLEXES ........................................................................................................... 119
CHAPITRE 19 DERIVÉES ................................................................................................................................ 130
CHAPITRE 20 PRIMITIVES ............................................................................................................................. 144
1. B 1. Protocole expérimental :
2. A • on branche une lampe sur le consomètre qui
3. C est branché sur une prise secteur ;
4. A • on mesure l’énergie consommée par la
5. C lampe pendant 15 min par exemple ;
6. B • on multiplie par 4 pour obtenir l’énergie
consommée par la lampe pendant 1 heure.
2. ELH = 25 × 30 × 1,5 × 365 = 4,1 × 105 Wh.
Correction des activités ELED = 25 × 5 × 1,5 × 365 = 6,8 × 104 Wh.
pages 14 à 17 ΔE = 3,4 × 105 Wh.
3. ΔET = 3,4 × 105 × 30 × 106 = 1,0 × 1013 Wh.
Activité documentaire 1 Donc on pourrait arrêter le fonctionnement
d’un réacteur nucléaire en utilisant
1. et 2. uniquement des LED pour l’éclairage.
Renouvelable
Source
Vent Soleil
d’énergie
Forme
Mécanique Rayonnement
d’énergie
Non renouvelable
Nucléaire
Source
(noyau Charbon
d’énergie
d’uranium)
Forme
Nucléaire Biomasse
d’énergie
3. 𝐸baril = 0,160 × 10 000 × 3600
= 5,76 × 106 J.
4.
660
Thermique
0
Environnement
6 t (h)
2. Pour 1 tonne :
Ech = 3,0 × 106 ×103 J = 3 × 1010 J.
𝑑𝑒(𝑡) 𝑎𝑡 2 1,35 × 1010
4. On a 𝑝(𝑡) = et la dérivée de est Eélec = 3 × 1010 × 0,45 = 1,35 × 1010 J = 3,6 × 106
𝑑𝑡 2
égale à a × t qui correspond à l’expression de = 3,75 × 103 kWh.
la puissance instantanée pour 0 < t < Δt. 3. Les centrales thermiques produisent du CO2
qui est un gaz à effet de serre responsable du
changement climatique (augmentation de la
Testez vos connaissances température).
page 20
Corrigés des exercices
1. B/C
2. C pages 22 à 25
3. A
4. A/C Exercice 1
5. A 1. Une source d’énergie renouvelable peut
6. A être exploitée de façon illimitée à l’échelle
7. A/C humaine.
8. B 2. Renouvelable : géothermie, le Soleil.
9. A
10. B/C Exercice 2
11. A 1. Une voiture à moteur thermique utilise le
12. B/C pétrole comme source d’énergie.
2. L’énergie est stockée sous forme chimique.
Exercice 8
Exercice 9
1.
100
2. Rendement : η = = 92,6 %.
108
Exercice 10
Exercice 11
1. Énergie utile : Eu = 2 250 × 0,91 = 2,0 ×103 kWh.
2. Énergie perdue : EP = 2 250 × 0,09 = 2,0 × 102 kWh.
3,4 × 105
2. Rendement de la bouilloire : η = = 63 %.
150 × 3 600
Exercice 13
1. P = 24 kWh = 8,6 × 107 J.
12
2. Pour t < 6 h : p(t) = 6 = 2 kW.
Pour 6 h < t < 12 h : p(t) = 0.
Pour 12 h < t < 18 h : p(t) 12/6 = 2 kW.
Pour 18 h < t < 24 h : p(t) = 0.
3.
Exercice 14 Exercice 16
1. On a pour l’aire A = 24 × 110 + 6 × 50 + 6 × 88 × 10−3
𝑃𝑡ℎ = × 103 × 4,2 × 103 × 30
50 = 3,24 × 103 kWh. 3 600
3,24 × 103 = 103 W.
Soit : P = 24
= 135 kW. Preçu = 900 × 5 = 4 500 W.
2. E = 135 × 24 × 3 600 = 1,17 × 107 J. Soit : η =
103
= 2,3 %.
4 500
Le rendement est faible mais on utilise une
Exercice 15
source d’énergie renouvelable (le Soleil) et
1. Pmax = 3 000 + 300 + 2 500 = 5 800 W.
gratuite, d’où l’intérêt de ce type de chauffe-
2. E = 300 × 9 + 2 500 × 4 + 3 000 × 2
eau solaire.
= 13 300 kWh.
𝐸 13 300
3. P = = = 5,5 × 102 W.
Δ𝑡 24
𝐸produite 106
4. Econso = η
= 0,8 = 1,25 × 106 MWh.
5. Une STEP permet de produire de l’énergie lorsque les éoliennes ou les panneaux solaires ne
peuvent pas fonctionner en raison du manque de vent ou de soleil. Une STEP va utiliser l’excédent
d’énergie fourni par les éoliennes et les panneaux solaires.
Exercice 18
1. Forme d’énergie : mécanique.
Modes de transfert : mécanique, électrique et thermique.
2.
Activité expérimentale 2
Résultats des mesures :
Manipulation n° 1 :
θ (°C) 18,7 17,4 16,0 14,8 13,4 12,1 10,6 9,3 8,2 7,1 6,1
Exercice 3
Testez vos connaissances 1. À l’état initial, le système chimique est
page 34 composé d’éthanol à l’état liquide et de
dioxygène à l’état gazeux.
1. A/C 2. À l’état final, le système chimique est
2. A/B composé de dioxyde de carbone à l’état
3. B gazeux et d’eau à l’état gazeux.
4. C
5. B Exercice 4
6. A 1. The fuel is propane and the combustive
7. B agent is dioxygen.
8. C 2. The fuel is octane and the combustive agent
9. C is dioxygen.
10. A/B/C 3. The fuel is diesel and the combustive agent
11. B is dioxygen.
12. B
Exercice 7 Exercice 12
L’énergie thermique nécessaire pour chauffer 1. La combustion du bois constitue un feu de
cette habitation est : E = 100 × 150. type A ; celle de l'essence, un feu de type B ;
Soit E = 15 000 kWh. celle du méthane (gaz de ville), un feu de
Or, 1 kWh équivaut à 3 600.103 J. type C.
D’où : E = 15 000 × 3 600.103 donc 2. Les extincteurs à poudre éliminent le
E = 5,400.1010 J. comburant.
Or, la combustion de 1 kg de bois dégage 3. En cas de feu d'origine inconnue, il faut
1,6.107 J. faire le choix d'abaisser la température et
Donc la masse de bois nécessaire pour donc utiliser un extincteur à eau.
chauffer l’habitation est :
5,400.1010 Exercice 13
𝑚= 1,6.107
soit m = 3 375 kg. 𝑚
1. La quantité d’éthanol est : 𝑛 = .
𝑀
Exercice 8 Or, m = 2,0 kg soit m = 2,0.103 g et
La masse de méthane consommée est : M = 46 g.mol–1.
2,0.103
m = 0,8 × 800 soit : m = 640 kg. D’où 𝑛 = 46 , donc n = 43,5 mol.
L’énergie thermique dégagée par la 2. L’équation de la réaction nous montre que
combustion de cette masse est donc : la combustion d’une mole d’éthanol produit
E = 5,0.107 × 640 soit E = 3,2.1010 J. deux moles de dioxyde de carbone.
Or, 1 kWh équivaut à 3,6.106 J. Or, ici, on a néthanol = 43,5 mol.
Donc l’énergie thermique dégagée par la D’où nCO2 = 2 × 43,5, donc nCO2 = 87 mol.
combustion de cette masse est : 3. L’eau obtenue est à l’état gazeux.
3,2.1010
𝐸= . 4.
3,6.106
Donc E = 8,8.103 kWh Énergie Énergie
chimique Moteur mécanique Roues de
Réactifs de la
Exercice 9 voiture
la voiture
La masse de butane contenue dans une
cartouche est : m = 200 g. 5. L’énergie thermique libérée par cette
Soit m = 220.10–3 kg. combustion est :
L'énergie thermique dégagée par la E = n × PCI soit E = 43,5 × 1,3.106 donc
combustion complète du contenu d'une E = 56.106 J.
cartouche est :
E = 45,6 × 220.10–3 soit E = 10,0 MJ.
Exercice 10 Exercice 14
a) Le comburant est supprimé. 1. Le comburant est le dioxygène provenant
b) La chaleur est supprimée. de l'air ambiant.
c) Le combustible est supprimé. 2. Les quantités de réactifs diminuent et celles
de produits augmentent.
Exercice 19
1. Le carburant est l'hydrazine de formule
brute N2H4 et le comburant de formule brute
N2O4.
2. Une fusée a besoin d'un réservoir de
comburant puisqu'elle va aller hors de
l'atmosphère donc elle ne pourra pas utiliser
le dioxygène de l'air comme comburant.
3. La masse molaire de l'hydrazine est :
MN2H4 = 2 × MN + 4 × MH.
Soit : MN2H4 = 2 × 14,0 + 4 × 1,0.
Donc : MN2H4 = 32,0 g.mol–1.
La quantité d'hydrazine ayant pour masse
10 tonnes (c'est-à-dire 10.106 g) est donc :
10.106
𝑛𝑁2𝐻4 = 32,0
, soit : nN2H4 = 3,1.105 mol.
L'énergie thermique libérée par la combustion
de 3,1.105 mol est donc :
E = 3,1.105 × 667,1 donc : E = 2,1.108 kJ.
Activité expérimentale 2
1. a) Réaliser le montage du document 2.
Placer un voltmètre en mode AC aux bornes du générateur afin de mesurer la valeur efficace de la
tension délivrée par le générateur.
Éteindre le générateur.
Déplacer le voltmètre aux bornes de la résistance afin de mesurer la valeur efficace de la tension aux
bornes de la résistance puis faire de même aux bornes du condensateur.
b)
pages 50 à 53 Exercice 3
1
1. Par lecture graphique T = 400 µs donc f = 𝑇
Exercice 1
avec T en s et f en Hz.
1. Voltmètre en mode AC. 1
2. Oscilloscope ou interface d’acquisition pour f = 400.10−6 = 2,50. 103 𝐻𝑧.
lire la période puis calculer la fréquence 2. Umax = 3 V.
(f = 1/T). 3. Umin = -5 V.
3. Voltmètre en mode AC. 4. Umoy = -1 V.
4. Ampèremètre en mode DC.
5. Ampèremètre en mode AC.
Exercice 4
1 1
1. T = 5 × 0,20 = 1,0 ms donc f = 𝑇 = 1,0.10−3 = 1,0 kHz.
𝑈𝑚 1,1
Um = 1,1 V donc Ueff = = = 0,63 V.
√3 √3
La tension n’est pas convenablement réglée au niveau de l’amplitude mais la fréquence est correcte.
2. 𝑈𝑚 = √3 × 𝑈𝑒𝑓𝑓 = √3 × 1,7 = 2,9 V.
2. Voir au-dessus.
3. Voir au-dessus. Les deux instruments de mesure sont réglés en mode AC.
Exercice 6
1. UR = E – UL = 9,0 – 6,0 = 3,0 V.
La tension aux bornes de la résistance devrait être de 3,0 V.
𝑈 3,0
2. R = 𝐼𝑅 = 0,150 = 20 Ω.
La valeur minimale de la résistance serait de 20 .
Exercice 7
Exercice 8
1. u1(t) voie B ; u2(t) voie A.
2. a) On pourrait utiliser la courbe de u1(t).
b) i = u1/47.
3. a) uL = u2 – u1.
Exercice 9
1. U = U1 + U2.
2. U1 = R1 I ; U2 = R2 I.
3. U = R1 I + R2 I = (R1 + R2) I = Req I avec Req = R1 + R2.
Exercice 10
1.
𝑈 12
2. I1 = I2 = 𝑅 = 100 = 0,12 A.
3. I = I1 + I2 = 0,12 + 0,12 = 0,24 A.
4. Si l’on place d’autres résistances en parallèle, la valeur de l’intensité débitée par le générateur va
augmenter.
5. Si l’on branche trop d’appareils sur une multiprise, cela demande de faire circuler une intensité
trop grande dans le fil qui alimente la prise. Cela peut entraîner une surchauffe du fil par effet Joule
et provoquer un incendie.
Si l’installation électrique est bien faite, cela fera « seulement » disjoncter le fusible qui protège cette
ligne électrique.
Par lecture graphique, on déduit que pour une température de 60 °C, la résistance de la thermistance
vaut 200 .
Exercice 12
1.2.
3. E – UR – UF = 0 donc UR = E – UF.
𝑈 𝐸−𝑈
4. 𝑅 = 𝐼 𝑅 = 𝐼 𝐹 .
𝐹 𝐹
12 − 2,2
5. Pour la LED rouge 𝑅 = = 4,9.102 .
0,020
12 − 2,0
Pour la LED verte R = 0,030
= 3,3.102 .
Exercice 13
Exercice 14
1.
Dipôle 1 3 4
Convention Récepteur Récepteur
Puissance moyenne Positive Positive
Comportement Récepteur Récepteur
Exercice 2
1. Umax = 4,5 V et Imax = 5,8 mA donc Pmax = 4,5 5,8 = 26 mW car les deux signaux sont en phase.
2.
Exercice 8
1. ∆𝐸 = 𝑈 × 𝑄 = 5 × 3 000
= 15. 103 mWh = 15 Wh.
La batterie de ce téléphone stocke 15 Wh
d’énergie.
Exercice 4 ∆𝐸 15
2. 𝑡 = 𝑃 = 6,0 = 2,5 h.
𝑚𝑜𝑦
1. Chaque résistance dissipe une puissance de
18,6 W, l’association des deux résistances Le téléphone mettra 2 h 30 à se charger
dissipe donc 37 W. complètement.
𝑃 = 𝑅 × 𝐼 2 = 33 × 0,752 = 18,6 W.
2 18,6 = 37 W. Exercice 9
2. Le courant qui sort de la batterie vaut 1. Les mesures de Sofiane fluctuent car il
0,75 A et cette dernière doit fournir une mesure une puissance instantanée et la
puissance de 37 W. La tension à ses bornes puissance consommée par un lave-linge n’est
vaut donc 49 V. pas constante au cours d’un cycle de lavage.
𝑃 37 2. Calculons d’abord l’écart-type de la série de
𝑈 = 𝐼 = 0,75 = 49 V.
mesure :
Sx = 148 W.
Exercice 5 𝑆𝑥 148
∆𝑃 = 𝑛 = 18 = 35 W.
1. Chaque résistance dissipe une puissance de √ √
L’incertitude sur la série de mesures réalisées
70 W, l’association des deux résistances
est de 35 W.
dissipe donc 1,4.102 W.
2 3. La valeur moyenne de la série de mesures
𝑈𝑒𝑓𝑓 482
𝑃= = = 70 W. est 2 800 W.
𝑅 33
2 70 = 1,4.10 W. 2 P = (2 800 35)W ou
2. L’intensité efficace délivrée par le P = (2,80.103 0,04.103)W.
générateur vaut 2,9 A.
𝑃 1,4.102
𝐼𝑒𝑓𝑓 = 𝑈𝑒𝑓𝑓
= 48
= 2,9 A.
L’économie financière ainsi réalisée sur une Le courant ne dépasse pas la valeur du fusible
année est de 120 €. protégeant la ligne, tout fonctionne
3. L’investissement réalisé représente 199 € normalement.
environ. Calculons maintenant la nouvelle puissance
9,96 20 = 199 €. consommée si l’on rajoute la bouilloire :
199
= 1,66. P’ = P + Pbouilloire = 3 210 + 2 000 = 5 210 W.
120 (On prend la valeur minimale indiquée dans le
Il devient rentable au bout de deux ans.
document 3 pour la puissance de la bouilloire,
mais on aurait pu aussi prendre 2 400 W ou
Exercice 12 une moyenne des deux valeurs.)
1. D’après le document 3, un logement Calculons maintenant la nouvelle intensité
construit dans les années 90 a consommé efficace :
environ 2000 kWh d’électricité spécifique sur 𝑃′ 5 210
𝐼′𝑒𝑓𝑓 = 𝑈 = 230 = 22,7 A.
l’année 2012. 𝑒𝑓𝑓
Exercice 14
1. On réalise un circuit en série comportant le
GBF, le haut-parleur et la résistance de 20 .
On branche l’interface d’acquisition comme
indiqué ci-dessous.
R [] 397 334 268 230 1. L’énergie qui n’est pas transférée à l’eau
[°C] 45 50 56 61 correspond à l’énergie perdue :
T [K] 318.15 323.15 329.15 334.15 • Calcul de l’énergie électrique absorbée par
R [] –126 –129 –104 –67 chaque chauffe-eau :
T [K] 9 11 11 9 - Pour le premier chauffe-eau : 𝛥𝐸1 = 𝑃1 𝛥𝑡1.
S = R/T –14,0 –11,7 –9,5 –7,4
𝛥𝐸1 = 1 200 × (5 × 3 600) = 21,6 × 106 J
soit 𝛥𝐸1 = 21,6 × 106 J = 21,6 MJ.
- Pour le second chauffe-eau : 𝛥𝐸2 = 𝑃2 𝛥𝑡2 .
R [] 201 171 145 123
𝛥𝐸2 = 2 400 × (5 × 3 600) = 43,2 × 106 J
[°C] 65 70 75 80
soit 𝛥𝐸2 = 43,2 × 106 J = 43,2 MJ.
T [K] 338,15 343,15 348,15 353,15
• Calcul de l’énergie absorbée par l’eau :
R [] –59 –56 –48 - Pour le premier chauffe-eau : 𝑄1 = 𝑚1 𝑐𝛥θ.
T [K] 9 10 10 𝑄1 = 100 × 4 185 × 50 = 20,9 × 106 J soit
S = R/T –6.6 –5.6 –4.8 𝑄1 = 20,9 × 106 J.
La sensibilité S de cette thermistance n’est pas - Pour le second chauffe-eau : 𝑄2 = 𝑚2 𝑐𝛥θ.
constante sur la plage de température 𝑄2 = 200 × 4 185 × 50 = 41,9 × 106 J soit
d’étude. 𝑄2 = 41,9 × 106 J.
5. La valeur de la résistance est une fonction • Calcul de l’énergie perdue :
décroissante de la température, il s’agit donc - Pour le premier chauffe-eau :
d’une CTN. 𝐸𝑝𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠1 = 𝛥𝐸1 − 𝑄1 .
𝐸𝑝𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠1 = 21,6 × 106 − 20,9 × 106 J =
Activité expérimentale 3 0,675 × 106 J soit 𝐸𝑝𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠1 = 0,675 × 106 J.
- Pour le second chauffe-eau :
Les résultats expérimentaux obtenus sont : 𝐸𝑝𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠 = 𝛥𝐸2 − 𝑄2 .
m1 = 199 g m2 = 106 g 𝐸𝑝𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠2 = 43,2 × 106 − 41,9 × 106 J =
Température initiale [°C] 1 = 19,5 °C 2 = 39,5 °C 1,35 × 106 J soit 𝐸𝑝𝑒𝑟𝑡𝑒𝑠2 = 1,35 × 106 J.
Température finale [°C] f = 25,8 °C f = 25,8 °C
Exercice 12
1. Calcul de la variation d’énergie interne de la
masse m d’eau lors de son refroidissement :
Δ𝑈 = 𝑄𝑉 = 𝑚𝑐(θ𝑆 − θ𝐸 ).
Application numérique :
Δ𝑈 = 𝑄𝑉 = 2,0 × 4,19 × 103 × (45 − 65)
= −168 × 103 J.
Soit Δ𝑈 = −168 × 103 J.
2. L’eau du radiateur cède son énergie à la On en déduit l’incertitude type (de type B) :
chambre, cette dernière reçoit donc 0,3075
Δθ = 3 = 0,177 °C soit Δθ = 0,2 °C.
Qchambre = 168 103 J. La puissance du √
Exercice 18
1. Illustration de chacun des trois modes de
transfert thermique dans le chauffe-eau
solaire :
• Les capteurs solaires reçoivent l’énergie sous
forme de rayonnement.
• Au niveau de l’échangeur, le transfert
thermique entre le fluide caloporteur du
circuit primaire et l’eau sanitaire du ballon
(circuit secondaire) se fait par conduction.
• Dans le ballon d’eau chaude, le transfert
thermique entre l’eau chaude et l’eau froide
se fait par convection naturelle.
2. Le volume d’eau chaude consommée par
jour vaut :
𝑉𝑒𝑎𝑢−𝑐ℎ𝑎𝑢𝑑𝑒 = 75 × 50 = 3 750 L.
5. Le résultat expérimental donné avec son grande possible pour qu’il offre la plus
incertitude type (de type B) est le suivant : grande efficacité :
𝐿𝐹 = 318 × 103 ± 30 J. kg −1 ± 1 K ⇔ 𝐿𝐹𝑜𝑐𝑡𝑎𝑑é𝑐𝑎𝑛𝑒 = 244 × 103 J. kg −1 >
𝐿𝐹 ∈ [288 × 103 J. kg −1 ; 348 × 103 J kg −1 ]. 𝐿𝐹𝑛𝑜𝑛𝑎𝑑é𝑐𝑎𝑛𝑒 = 222 × 103 J. kg −1 >
La valeur de référence est bien contenue dans 𝐿𝐹ℎ𝑒𝑝𝑡𝑎é𝑐𝑎𝑛𝑒 = 213 kJ. kg −1 .
l’intervalle : Le meilleur choix de matériau à changement
𝐿𝐹 𝑢𝑠𝑖𝑜𝑛−𝑟𝑒𝑓 = 335 × 103 J. kg −1 ∈ de phase pour les applications dans le
[288 × 103 J. kg −1 ; 348 × 103 J. kg −1 ]. domaine de l’habitat est donc également
Le résultat obtenu (avec un niveau de l’octadécane.
confiance de 68 %) est donc bien compatible
avec la valeur de référence. Testez vos connaissances
Tâche complexe 4
page 90
1. A
1. La température de changement de phase
2. B
doit être comprise entre 21 et 30 °C, donc
3. B
seuls l’heptadécane et l’octadécane satisfont
4. B/C
ce critère.
5. B/C
Pour un matériau à changement de phase,
6. A/B
l’énergie échangée lors du changement de
7. A
phase doit être la plus grande possible pour
8. C
qu’il offre la plus grande efficacité :
9. C
𝐿𝐹𝑜𝑐𝑡𝑎𝑑é𝑐𝑎𝑛𝑒 = 244 × 103 J. kg −1 >
10. C
𝐿𝐹ℎ𝑒𝑝𝑡𝑎é𝑐𝑎𝑛𝑒 = 213 kJ. kg −1. 11. A
Le meilleur choix de matériau à changement 12. B
de phase pour les applications vestimentaires 13. B
est donc l’octadécane.
2. La température de changement de phase
doit être comprise entre 16 et 35 °C, donc
À vous de jouer ! page 91
seuls l’heptadécane, l’octadécane et le
nonadécane satisfont ce critère. 1. La température se stabilise à 105 °C car
Pour un matériau à changement de l’eau est en ébullition. C’est la température
phase, l’énergie échangée lors du constante à laquelle se produit la vaporisation
changement de phase doit être la plus de l’eau durant son changement d’état.
2.
3. Voir les tracés des vecteurs vitesse. 4. Mouvement de translation rectiligne pour
le motard, et de translation circulaire pour la
grande roue.
d) 𝑎
⃗⃗⃗⃗⃗𝑀 = 0,7. 𝑖 = 2a 𝑖. Testez vos connaissances
e) page 104
1. A/C
2. B
3. A/C
4. B
5. B
6. C
7. B
8. A
Activité Documentaire 3 9. A/B/C
10. A
1. Poids P, force d’interaction gravitationnelle, 11. C
action à distance. 12. C
13. C
Exercice 4
1. et 2.
Exercice 5 Exercice 6
–1 –1
1. vmoy = 1,25 m.s = 1,25 × 3,6 km.h
= 4,5 km.h–1.
2. vmoy = 0 km.h–1.
Exercice 9
1. Poids + Réaction du sol.
2. 𝑃⃗ + 𝑅⃗ = ⃗0.
3. RN = Psinα = 10,6 N et RT = Pcosα = 10,6 N.
4.
Exercice 14
1. Équation vectorielle : 𝑃⃗ + 𝑇⃗ + 𝑅⃗ = ⃗0.
2. T = Psin(α) et R = Pcos(α).
3. T = 60 × 9,8 × sin(18°) = 1,8 × 102 N.
R = 60 × 9,8 × cos(18°) = 5,6 × 102 N.
Exercice 15
1. T = mg = 80 × 9,8 = 7,8 × 102 N.
2. 𝑃⃗ + 𝐹 = 0⃗.
3. vmoy = 10/15 = 0,67 m.s–1.
Exercice 16
1. h2 + x2(t) = s2(t).
𝑥02 = √𝑠02 − ℎ2 = 9,2 m.
2. s(t) = s0 – vc × t ; on a s(t1) = h = s0 – vc × t1
soit t1 = 6 s.
3. vbmoy = 9,2/6 = 1,5 m.s–1.
−𝑣𝑐 (𝑠0 − 𝑣𝑐 𝑡)
4. 𝑣𝑏𝑎𝑟𝑞𝑢𝑒 = .
√(𝑠0 − 𝑣𝑐 𝑡)2 − ℎ2
Exercice 2
1. Le travail fourni par l’enfant est moteur car
la force est exercée dans le sens du
déplacement.
2. W = F d cos = 3,5 50 cos 30°
= 1,5.102 J.
Le travail de la force de traction fournie par
l’enfant vaut 1,5.102 J.
Exercice 9
1. L’énergie potentielle de pesanteur de la
petite voiture est donnée par : 𝐸𝑝𝑝 = 𝑚𝑔ℎ où
m = 28 × 10–3 kg est la masse de la petite
voiture, g = 9,8 m.s–2 l’intensité de la 6. Calculons d’abord l’énergie mécanique en A
pesanteur et h l’altitude (en m) de la petite
voiture. Modifier pour qu’au minimum de la courbe
2. Δ𝐸𝑝𝑝 = 𝐸𝑝𝑝,𝑓𝑖𝑛𝑎𝑙𝑒 − 𝐸𝑝𝑝,𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑎𝑙𝑒 Epp, Epp = 0 (doit toucher l’axe des abscisses)
+ modifier Ep en Epp.
= 0 − 28 × 10−3 × 9,81 × 13 = −3,6 J.
La variation d’énergie potentielle de
de la skateuse :
pesanteur de la petite voiture vaut –3,6 J. 1
3. D’après la question 3 de l’exercice 5, 𝐸𝑚 (A) = 𝐸𝑐 (A) + 𝐸𝑝𝑝 (A) = 𝑚𝑣A2 + 𝑚𝑔ℎ
2
Ecfinale = 3,6 J. 1 2
On a donc : = × 60 × 7, 0 + 60 × 9,8 × 5,0
2
Δ𝐸𝑐 = 𝐸𝑐,𝑓𝑖𝑛𝑎𝑙𝑒 − 𝐸𝑐,𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑎𝑙𝑒 = 3,6 − 0 = 4,4 × 103 J.
= 3,6 J. Soit hmax l’altitude maximale atteinte par la
La variation de l’énergie cinétique de la petite skateuse. En raison de la conservation de
voiture vaut 3,6 J. l’énergie mécanique, on a :
La variation d’énergie potentielle de Em(hmax) = Em(A) = 4,4 × 103 J.
pesanteur est donc l’opposé de la variation de
l’énergie cinétique entre les mêmes instants.
Exercice 12
1. Le travail du poids sur le trajet AB vaut :
W𝐴→𝐵 (𝑃⃗) = 𝑚𝑔(𝑧𝐴 − 𝑧𝐵 ) = 85 × 9,81 ×
(1 600 − 1 818) = −1,8 × 105 J.
Le travail de la force de frottements sur le
trajet AB vaut :
Exercice 11 W𝐴→𝐵 (𝑓 ) = −𝑓 × 𝐴𝐵 = −50 × 1 216
On suppose que la voiture est soumise à trois = −6,1 × 104 J.
forces : le poids, la réaction du sol et la force Le travail de la réaction sur le trajet AB vaut :
de freinage. W𝐴→𝐵 (𝑅⃗) = 0 car 𝑅⃗ ⊥ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵.
Le poids et la réaction du sol ne travaillent pas 2. La vitesse du skieur étant constante sur le
car ils sont perpendiculaires au déplacement. trajet AB, l’énergie cinétique est donc
La force de freinage est donc la seule force qui constante. D’après le théorème de l’énergie
travaille. cinétique entre A et B, on a :
Calculons d’abord le travail que doit fournir la Δ𝐸𝑐, 𝐴→𝐵 = 0 = W𝐴→𝐵 (𝑃⃗) + W𝐴→𝐵 (𝑓) +
force de freinage pour passer de 130 km.h–1 à
W𝐴→𝐵 (𝑇 ⃗ ).
l’arrêt complet.
D’après le théorème de l’énergie cinétique : D’où W𝐴→𝐵 (𝑇 ⃗ ) = −W𝐴→𝐵 (𝑃⃗) − W𝐴→𝐵 (𝑓 )
5
W = Ecfinale – Ecinitiale = 2,4 × 10 J.
1 1 1
W = 2 𝑚𝑣𝑓2 − 2 𝑚𝑣𝑖2 = 2 × 895 × 02 − 2 ×
1 Le travail de la force de traction sur le skieur
vaut 2,4 × 105 J.
130 2
895 × ( 3,6 ) = − 5,84. 105 J. 3. D’après le document 3, la durée de montée
vaut Δt = 5 min 47 s = 5 × 60 + 47 = 347 s.
Testez vos prérequis page 124 • Tracer les caractéristiques I = f(U) et P = f(U)
(pas nécessaire si l'on souhaite seulement
déterminer le rendement maximal).
1. B
• Relever la valeur maximale de la puissance
2. B
électrique Pmax.
3. A
• En déduire le rendement maximal par la
4. A 𝑃
5. C relation : 𝑟 = 𝑚𝑎𝑥 .
𝑃𝑠𝑢𝑟𝑓 ×𝑆
6. C 2. Exemple de mesures obtenues avec une
cellule photovoltaïque de dimensions
Correction des activités 7,7 cm × 9,8 cm, de surface S = 7,7 × 10–2 × 9,8
× 10–2 = 7,5 × 10–3 m2 éclairée par une source
pages 126 à 129 de lumière blanche, sous un éclairement
énergétique de Psurf = 110 10 W.m–2 :
Activité expérimentale 1 I en
U en V P en W
mA
1. Protocole expérimental : 40,1 0,205 0,0082205
• À l'aide d'une règle graduée, mesurer les 40,1 0,34 0,013634
dimensions du panneau photovoltaïque pour
40,1 0,636 0,0255036
en déduire la surface S (en m2) du panneau.
• Réaliser le montage du document 2, puis 39,8 0,989 0,0393622
éclairer le panneau avec la lampe sans les 39,4 1,385 0,054569
bouger afin que l’éclairement reste constant 38,4 1,514 0,0581376
(attendre quelques minutes le temps que la Pmax = 0,059 W
35,1 1,677 0,0588627
lampe atteigne son régime de fonctionnement
31,9 1,759 0,0561121
nominal).
• À l'aide d'un pyranomètre ou d’un 28,3 1,822 0,0515626
solarimètre, mesurer l’éclairement 26,4 1,849 0,0488136
énergétique Psurf (en W.m–2) reçu par le 22,3 1,895 0,0422585
panneau (placer le capteur à l’endroit du 20,5 1,909 0,0391345
panneau recevant le plus de lumière pour
21,1 1,903 0,0401533
mesurer l’éclairement énergétique maximal
reçu). 20,3 1,912 0,0388136
• Faire varier la valeur de la résistance du 19,2 1,92 0,036864
rhéostat. Pour chaque valeur de la résistance 18,6 1,928 0,0358608
du rhéostat, relever à l’aide du voltmètre la 18 1,931 0,034758
tension U aux bornes du panneau, et à l’aide
17,8 1,933 0,0344074
de l’ampèremètre, l’intensité du courant
électrique I. 17,1 1,938 0,0331398
• Dans un tableur grapheur, rentrer dans deux 0 2,037 0
colonnes, les valeurs de U (en V), et de I 40,3 0 0
(en A). Pour un éclairement énergétique de
• Dans une troisième colonne, faire calculer la 110 W.m–2, le rendement maximal vaut donc :
puissance électrique P (en W) à l’aide de la 𝑃max 0,059
𝑟= = = 0,071
formule : P = U × I. 𝑃surf × 𝑆 110 × 7,5 × 10–3
= 7,1 %.
Exercice 8
1. a) Énergie électrique disponible dans les batteries : 20 %𝐸max = 0,20 × 165 = 33 kWh.
Énergie à apporter pour recharger complètement les batteries : 165 – 33 = 132 kWh = 1,3 × 105 Wh.
b)
c) La durée considérée vaut Δt = 12 h. de 1,3 × 105 Wh. L’énergie fournie par les
L’énergie solaire reçue par les cellules cellules photovoltaïques aux batteries étant
photovoltaïques pendant cette durée vaut : de 2,3 × 105 Wh donc supérieure à 1,3 ×
𝐸𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 = 𝑃𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 × Δ𝑡 = 500 × 270 × 12 105 Wh, l’énergie solaire est donc suffisante
= 1,6 × 106 Wh. pour faire fonctionner les moteurs et
L’énergie électrique produite par les cellules recharger complètement les batteries.
photovoltaïques pendant cette durée vaut : 2. a) La durée durant le vol de nuit vaut
𝐸é𝑙𝑒𝑐𝑡𝑟 = 𝑟 × 𝐸𝑠𝑜𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 = 0,23 × 1,6 × 106 Δt = 7,5 h.
𝑃𝑉
= 3,7 × 105 Wh.
L’énergie mécanique produite par les moteurs
pendant cette durée vaut :
𝐸𝑚é𝑐𝑎 = 𝑃𝑚é𝑐𝑎 × Δ𝑡 = 11 × 12
𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠
b) L’énergie mécanique produite par les
= 1,3 × 102 kWh = 1,3 × 105 Wh.
moteurs pendant cette durée vaut :
𝐸𝑚é𝑐𝑎 = 𝑃𝑚é𝑐𝑎 × Δ𝑡 = 11 × 7,5 = 83 kWh.
L’énergie électrique fournie aux moteurs par 𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠
les cellules PV pendant cette durée vaut donc : L’énergie électrique fournie aux moteurs par
𝐸𝑚é𝑐𝑎 les batteries pendant cette durée vaut donc :
1,3 × 105
𝐸é𝑙𝑒𝑐𝑡𝑟 = 𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠
= = 1,4 × 105 Wh. 𝐸𝑚é𝑐𝑎
𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑟𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 0,94 83
𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠
On en déduit l’énergie électrique fournie par 𝐸é𝑙𝑒𝑐𝑡𝑟 = = = 88 kWh.
𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑟𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 0,94
les cellules PV pour recharger les batteries c) L’énergie électrique restante dans les
pendant cette durée : batteries vaut : 165 – 88 = 77 kWh.
𝐸é𝑙𝑒𝑐𝑡𝑟 = 𝐸é𝑙𝑒𝑐𝑡𝑟 − 𝐸é𝑙𝑒𝑐𝑡𝑟 3. L’énergie solaire est donc suffisante pour le
𝑏𝑎𝑡𝑡𝑒𝑟𝑖𝑒𝑠 𝑃𝑉 𝑚𝑜𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠
= 3,7 × 105 − 1,4 × 105 = 2,3 × 105 Wh. fonctionnement de Solar Impulse sur une
d) D’après la question 1.a. l’énergie à apporter journée de vol, aucun carburant n’est
pour recharger complètement les batteries est nécessaire.
Exercice 10
On suppose la porte en acier à une
température de 20 °C.
La variation d’énergie interne reçue par la
porte pour élever sa température de i = 20 °C
à f = 1 535 °C est égale à :
𝑄1 = 𝑚𝑐𝑝 (θ𝑓 – θ𝑖 ) = 𝜌𝑉𝑐𝑝 (θ𝑓 – θ𝑖 )
= 7 850 × 1 × 460 × (1 535 – 20) = 5,5 × 109 J.
L’énergie apportée à la porte lors de sa fusion
à 1 535 °C, à pression constante vaut :
𝑄2 = 𝑚𝐿𝑓 = 7 850 × 207 × 103 = 1,6 × 109 J.
L’énergie totale apportée par le laser à la
porte lors du processus complet vaut donc :
𝑄 = 𝑄1 + 𝑄2 = 5,5 × 109 + 1,6 × 109
= 7,1 × 109 J.
Le laser a donc une puissance égale à :
𝑄 7,1 × 109
𝑃= = = 2 × 109 W.
Δ𝑡 3
Exercice 11
1.
Énergie Durée
Production
de lumière 30 MJ 10 fs
laser
Étirement
30 MJ 1 ns
temporel
Amplification 30 × 103 MJ = 30 J 1 ns
Compression
150 J 15 fs
temporelle
2. La puissance du faisceau laser au début du
processus vaut :
𝐸 30 × 10−3
𝑃𝑖𝑛𝑖𝑡 = = = 3,0 × 1012 W.
Δ𝑡 10 × 10−15
Activité expérimentale 2
1. La canette est suspendue en l’air pour avoir uniquement des transferts thermiques avec l’air et
non avec un support (carrelage, etc.).
2.
Activité documentaire 3
1.
Formule semi- Formule
Formule développée
développée brute
Acide
C8H6O4
téréphtalique
2.
Exercice 6
1. La durée moyenne de dégradation des
plastiques est de mille ans dans la nature.
2. En Europe : fabriquer un diesel à partir des
déchets plastiques.
En Inde : incorporer les déchets plastiques
dans les routes.
Exercice 8
1. L’atome d’oxygène a huit électrons et le
néon, gaz noble le plus proche, en a 10.
L’atome d’oxygène doit donc faire deux
Exercice 9
1. Formule semi-développée :
Formule brute : C6H10O7
2.
Exercice 11
r (mm) P (N)
4,00E-03 3924
7,00E-03 11 772
Exercice 13
1. La laine de verre fait partie de la famille des
matériaux minéraux.
2. R(laine de verre) = 5,400 m².K.W–1.
Deux solutions : 18 cm de Performance
32 Ultra ou 19 cm de Performance
35 Premium.
Exercice 14
Un morceau de sucre a une masse
m = 1 000 g/225 = 4,44 g.
Le morceau de sucre est dissous dans un
volume V = 2,7 × 109 L d’eau.
La concentration massique correspondante
est : Cm = m/V = 4,44/2,7.109 = 1,65.10–9 g/L
soit un ordre de grandeur de 10–9 g/L.
La valeur trouvée a bien le même ordre de
grandeur que celui donné dans le document.
Exercice 15
Par jour, cela ferait pour une femme de 60 kg
une DJA de 2,4 g d’aspartame. Cette masse
serait présente dans 20 canettes.
Donc une canette de 33 cL contiendrait 0,12 g
d’aspartame. Cm = 0,12/0,33 = 0,36 g.L–1.
Or, la formule brute de l’aspartame est
C14H18N2O5. On en déduit sa masse molaire
moléculaire valant 294,0 g.mol–1.
Les molécules a), d), e) et f) sont des alcools ; les autres, non.
Exercice 5 Exercice 7
1. La formule d'un alcane est CnH2n+2 or, pour 1. The condensed formula of methanol is
le kérosène, on a n = 10 et 2n+2 = 2 × 10 + 2 CH3OH.
= 22 donc le kérosène est un alcane. The condensed formula of dioxygen is O2.
2. Les réactifs sont : le kérosène de formule 2. The condensed formula of carbon dioxide is
C10H22 et le dioxygène de formule O2. CO2.
Les produits sont : le dioxyde de carbone de The condensed formula of water is H2O.
formule CO2 et l'eau de formule H2O. 3. The chemical equation for the complete
3. L'équation de la combustion complète du combustion of methanol is :
kérosène, sans souci des nombres 2 CH3OH + 3 O2 → 2 CO2 + 4 H2O.
stœchiométriques, est :
C10H22 + O2 → CO2 + H2O. Exercice 8
4. L'équation de la combustion complète du 1. L'équation de la combustion incomplète du
kérosène, en ajustant les nombres méthane est :
stœchiométriques, est : 4 CH4 + 6 O2 → CO2 + 8 H2O + C + 2 CO.
2 C10H22 + 31 O2 → 20 CO2 + 22 H2O. 2. Les réactifs sont : le méthane et le
dioxygène.
Exercice 6 Les produits sont : le dioxyde de carbone,
1. Les réactifs sont : le 2,3-diméthylbut-2-ène l'eau, le carbone et le monoxyde de carbone.
de formule C6H12 et le dioxygène de formule 3. Le monoxyde peut entraîner une
O2. intoxication voire la mort car il se fixe sur les
Les produits sont : le dioxyde de carbone de globules rouges à la place du dioxygène lors
formule CO2 et l'eau de formule H2O. de l'inspiration et ne s'en détache plus.
2. L'équation de la combustion complète du
kérosène, sans souci des nombres Exercice 9
stœchiométriques, est : 1. L'équation de la combustion complète du
C6H12 + O2 → CO2 + H2O. gazole est :
3. L'équation de la combustion complète du C12H24 + 18 O2 → 12 CO2 + 12 H2O.
kérosène, en ajustant les nombres
stœchiométriques, est :
C6H12 + 9 O2 → 6 CO2 + 6 H2O.
à ses besoins ;
Établissons ensuite l'équation de la • créer une concurrence entre les cultures
combustion complète du alimentaires et les cultures destinées aux
2 , 2 , 4 - triméthylpentane : biocarburants dans l'attribution des surfaces
2 C8H18 + 25 O2 → 16 CO2 + 18 H2O. agricoles.
L'équation de la réaction indique que la
quantité de dioxyde de carbone produite est
12,5 fois supérieure à celle de
2 , 2 , 4 - triméthylpentane consommée, donc :
Testez vos prérequis page 172 • À l’aide d’une spatule métallique introduie
un peu de poudre de zinc métallique dans un
tube à essai.
1. C
• À l’aide d’un bécher introduire dans le tube
2. B
à essai environ 2 cm3 de la solution de sulfate
3. C
de cuivre (II).
4. C
2. Identification :
5. B
• Le dihydrogène est mis en évidence en
6. B
l’enflammant à l’aide d’une allumette.
• La formation de cuivre est identifiée par la
Correction des activités couleur orangée qui apparaît au niveau de la
pages 174 à 177 poudre de fer.
3. Demi-équation électronique modélisant la
réaction de chacun des réactifs :
Activité expérimentale 1 • Réactions des ions H+ sur le métal fer :
- 2𝐻 + + 2𝑒 − = 𝐻2 ;
1. Protocoles opératoires : - 𝐹𝑒 = 𝐹𝑒 2+ + 2𝑒 −.
• Réactions des ions H+ sur le métal fer : • Réaction des ions Cu2+ sur le zinc :
- 𝐶𝑢2+ + 2𝑒 − = 𝐶𝑢 ;
- 𝑍𝑛 = 𝑍𝑛2+ + 2𝑒 − .
4. Classement des réactifs de chaque
expérience en tant qu’oxydant ou réducteur :
• Réactions des ions H+ sur le métal fer :
- Les ions H+ captent des électrons pour se
transformer en dihydrogène, ils constituent
l’oxydant.
- Le métal fer cède des électrons pour se
À l’aide d’une spatule métallique introduire un transformer en ions Fe2+, il constitue le
peu de poudre de fer métallique dans un tube réducteur.
à essai. • Réaction des ions Cu2+ sur le zinc :
À l’aide d’une pipette introduire dans le tube à - Les ions Cu+2 captent des électrons pour se
essai environ 2 cm3 d’acide chlorhydrique. transformer en métal cuivre, ils constituent
Coiffer le tube à essai avec le tube à l’oxydant.
dégagement, puis recueillir le gaz qui se - Le métal zinc cède des électrons pour se
dégage dans un tube à essai puis présenter transformer en ions Zn2+, il constitue le
une allumette enflammée à la sortie du tube réducteur.
ayant recueilli le gaz.
Activité documentaire 2
2+
• Réaction des ions Cu sur le zinc :
1. Les métaux nobles ne subissent pas de
corrosion dans l’air : l’or, le platine, le
palladium, etc…
2. L’acier inoxydable se recouvre d’une couche
d’oxyde solide passivante qui fait écran avec
l’oxydant et le protège contre la corrosion en
profondeur.
Activité documentaire 3
1. Les réactifs consommés lors du fonctionnement d’une pile à combustible sont le dihydrogène et le
dioxygène.
2. Le seul produit de la réaction d’une pile à combustible de type PEMFC est l’eau.
3. Couples oxydant/réducteur intervenant dans une pile à combustible de type PAFC : H+/H2 et
O2/H2O.
4. Équations bilans des piles à combustible du document 2 :
Combinaison linéaire des deux demi-équations
Type électronique pour éliminer les électrons de l’équation Équation bilan
bilan
(𝐻2(𝑔) + 2𝑂𝐻 − = 2𝐻2 𝑂 + 2𝑒 − ) × 2
AFC6 (𝑂2 (𝑔) + 2𝐻2 𝑂 + 4𝑒 − = 4𝑂𝐻 − ) × 1 𝑂2 (𝑔) + 2𝐻2(𝑔) → 2𝐻2 𝑂(𝑙)
𝑂2 (𝑔) + 2𝐻2(𝑔) → 2𝐻2 𝑂(𝑙)
(𝐻2(𝑔) = 2𝐻 + + 2𝑒 − ) × 2
PEMFC (𝑂2 (𝑔) + 4𝐻 + + 4𝑒 − = 2𝐻2 𝑂) × 1 𝑂2 (𝑔) + 2𝐻2(𝑔) → 2𝐻2 𝑂(𝑙)
𝑂2 (𝑔) + 2𝐻2(𝑔) → 2𝐻2 𝑂(𝑙)
(𝐻2(𝑔) = 2𝐻 + + 2𝑒 − ) × 1
PAFC ( 1/2𝑂2 (𝑔) + 2𝐻 + + 2𝑒 − = 𝐻2 𝑂) × 1 1/2𝑂2 (𝑔) + 𝐻2(𝑔) → 𝐻2 𝑂(𝑙)
1/2𝑂2 (𝑔) + 𝐻2(𝑔) → 𝐻2 𝑂(𝑙)
(𝐻2(𝑔) + 𝐶𝑂32− = 𝐻2 𝑂 + 𝐶𝑂2 + 2𝑒 − ) × 1
MCFC ( 1/2𝑂2 (𝑔) + 𝐶𝑂2 + 2𝑒 − = 𝐶𝑂32− ) × 1 1/2𝑂2 (𝑔) + 𝐻2(𝑔) → 𝐻2 𝑂(𝑙)
1/2𝑂2 (𝑔) + 𝐻2(𝑔) → 𝐻2 𝑂(𝑙)
(𝐻2(𝑔) + 𝑂2− = 𝐻2 𝑂 + 2𝑒 − ) × 1
SOFC ( 1/2𝑂2 (𝑔) + 2𝑒 − = 𝑂2− ) × 1 1/2𝑂2 (𝑔) + 𝐻2(𝑔) → 𝐻2 𝑂(𝑙)
1/2𝑂2 (𝑔) + 𝐻2(𝑔) → 𝐻2 𝑂(𝑙)
Exercice 7
1. Le réactif 1 cède des électrons en réagissant Exercice 10
au niveau de la demi-pile 1, donc il se fait 1. Les métaux qui se passivent naturellement
oxyder. dans l’air sont : l’aluminium, le cuivre, le zinc,
2. Le réactif 2 capte des électrons en etc…
réagissant au niveau de la demi-pile 2, donc il 2. Propriétés de l’oxyde d’un métal
se fait réduire. déterminantes pour obtenir une couche
3. Identification des réactifs et du produit de passivante :
la réaction : • l’oxyde doit être non poreux et donc
• Le réactif 1 se fait oxyder, il s’agit donc d’un imperméable,
réducteur. Ce réducteur est celui du couple • l’oxyde doit être isolant électriquement.
H2O/H2. 3. La protection décrite ci-dessous correspond
Le réactif 1 est donc le dihydrogène : H2. à une protection cathodique de l’acier par
• Le réactif 2 se fait réduire, il s’agit donc d’un anode sacrificielle en zinc ou magnésium :
oxydant. Cet oxydant est celui du couple
O2/H2O. Le réactif 2 est donc le dioxygène : O2.
• Conformément à l’équation bilan, le seul
produit de la réaction est de l’eau :
𝑂2 (𝑔) + 2𝐻2(𝑔) → 2𝐻2 𝑂(𝑙) .
Exercice 11
1. L’eau (provenant de l’humidité de l’air),
Exercice 8 ainsi que le chlorure de sodium interviennent
1. L’or est un métal noble, il ne se corrode pas dans la corrosion des éléments métalliques.
en présence d’air (même humide). 2. Le chlorure de sodium agit sur la vitesse de
2. Voici d’autres métaux nobles d’usage corrosion en l’accélérant.
« courant » : platine, palladium, etc… 3. Les brouillards salins sont utilisés pour
réaliser des tests de corrosion accélérée en
Exercice 9 laboratoire.
1. La demi-équation électronique de la
corrosion du magnésium correspond à Exercice 12
l’oxydation du métal : 𝑀𝑔 = 𝑀𝑔2+ + 2𝑒 − . 1. Les deux métaux moins nobles que le fer,
2. La demi-équation électronique de réduction qui peuvent le protéger en tant qu’anode
du dioxygène en milieu acide doit satisfaire la sacrificielle, sont le zinc et le magnésium.
conservation des éléments chimiques, ainsi 2. Un acier inoxydable n’a pas besoin de
que la conservation de la charge électrique : protection cathodique par anode sacrificielle
𝑂2 (𝑔) + 4𝐻 + + 4𝑒 − = 2𝐻2 𝑂. dans le cas des applications courantes dans
3. Réaction d’oxydoréduction modélisant la l’air ambiant.
corrosion du magnésium par le dioxygène en
milieu acide : Exercice 13
Combinaison linéaire des deux demi-équations 1. Signification des pictogrammes symbolisant
électronique pour éliminer les électrons de les dangers du lithium :
l’équation bilan.
(𝑀𝑔 = 𝑀𝑔2+ + 2𝑒 − ) × 2
(𝑂2 (𝑔) + 4𝐻 + + 4𝑒 − = 2𝐻2 𝑂) × 1
2+
Corrosif Inflammable
𝑂2 (𝑔) + 4𝐻 + + 2𝑀𝑔(𝑠) → 2𝑀𝑔(𝑎𝑞) + 2𝐻2 𝑂(𝑙)
2. Demi-équation électronique correspondant
à l’oxydation du lithium en ion Li+ :
Li = Li+ + 𝑒 − .
Exercice 16
Lors de l’électrolyse le zinc solide est 1. L’étape 1 correspond à un échange
transformé en ions dissous. Le zinc se fait d’électrons entre le cuivre et le dioxygène,
donc oxyder en perdant des électrons qui donc il s’agit bien d’une équation
circulent dans le circuit électrique extérieur d’oxydoréduction. L’étape 2 correspond à un
grâce au générateur. échange de protons, il s’agit d’une réaction
2. Les électrons quittent l’électrode en zinc, acido-basique.
cette dernière subit donc une oxydation. 2. Le cuivre se fait oxyder en perdant des
3. Demi-équations électroniques traduisant électrons lors de l’étape 1, le cuivre se fait
les réactions au niveau de chaque électrode : donc corroder lors de cette étape.
• Oxydation du zinc au niveau de l’électrode 3. Exploitation des deux couples
en zinc : 𝑍𝑛 = 𝑍𝑛2+ + 2𝑒 − . oxydant/réducteur pour retrouver
• Réduction des ions Zn2+ au niveau de l’équation 1 :
l’électrode en fer : 𝑍𝑛2+ + 2𝑒 − = 𝑍𝑛. • Oxydation du cuivre : 𝐶𝑢 = 𝐶𝑢2+ + 2𝑒 −.
4. Une anode sacrificielle permet de protéger • Réduction du dioxygène : 𝑂2 + 2𝑒 − = 2𝑂2−.
un métal de la corrosion. Le métal de l’anode
se corrode à la place du métal que l’on Combinaison linéaire des deux demi-équations
souhaite protéger. électronique pour éliminer les électrons de
l’équation bilan
Exercice 15 (𝐶𝑢 = 𝐶𝑢2+ + 2𝑒 − ) × 2
1. Une pile à combustible microbienne utilise (𝑂2 + 4𝑒 − = 2𝑂2− ) × 1
comme combustible de la matière carbonée. 2𝐶𝑢 + 𝑂2 → 2𝐶𝑢𝑂
2. Les demi-équations électroniques
équilibrées doivent satisfaire la conservation
Exercice 18
1. La demi-équation électronique de la
corrosion du fer correspond à son oxydation :
𝐹𝑒 = 𝐹𝑒 2+ + 2𝑒 −.
2. Le facteur influençant la corrosion du fer et
mis en évidence par le graphique est le pH,
il s’agit donc d’un facteur chimique.
3. En milieu très basique, la densité de courant
de corrosion est très faible, le fer est passivé.
4. a) Dans un béton jeune pH = 13,0, la
corrosion est quasi nulle, l’oxyde formé
constitue une couche passivante. Donc la
corrosion en profondeur cesse assez
rapidement, il n’est pas nécessaire de prévoir
une protection puisqu’elle se réalise
naturellement.
Tâche complexe 4
1,0 × 4,0
Testez vos connaissances Donc T =
5 × 4,3
= 0,19 µs.
page 200 La fréquence est l’inverse de la période donc
1 1
𝑓= = = 5,3 × 106 Hz = 5,3 MHz.
𝑇 0,19 × 10–6
1. A 2. Il ne s’agit pas d’une station radio car
2. A 5,3 MHz n’est pas dans la bande AM ou FM.
3. C 3. Trois périodes de l’enveloppe supérieur du
4. C signal de gauche occupent 4,0 cm et les dix
5. A divisions horizontales, soit 10 ms, 4,3 cm.
10 × 4,0
6. C Donc T = = 3,1 ms.
3 × 4,3
7. C La fréquence correspondante vaut donc
8. C 1
soit 3,2 × 10² Hz. Il s’agit bien d’un
9. A 3,1 × 10–3
10. B son audible car elle est comprise entre 20 Hz
et 20 kHz.
À vous de jouer ! page 201
Correction des exercices
1. Il faut utiliser le signal de droite, celui de la pages 202 à 205
porteuse. À l’aide d’une règle graduée, il faut
mesurer la longueur de l’écran (10 divisions Exercice 1
soit 1,0 µs) et celle correspondante à cinq 1. Onde longitudinale car les directions de
périodes. On mesure 4,3 cm pour dix divisions propagation et de la perturbation sont
et 4,0 cm pour cinq périodes. parallèles.
Exercice 8
L’amplitude et la fréquence du signal
modulant influent sur l’allure du signal
modulé en bande FM.
Testez vos prérequis page 206 2. Plus un récepteur est éloigné de l’émetteur,
moins il reçoit d’énergie en raison de
l’amortissement de l’onde mécanique dans
1. B
l’air.
2. A
3. Il faut partir d’une position où les deux
3. B
récepteurs sont en phase. Laisser un
4. C
récepteur immobile et repérer la position
initiale pi de l’autre sur une règle graduée.
Correction des activités Éloigner ce dernier tout en comptant le
pages 208 à 211 nombre n de fois où les signaux sont à
nouveau en phase, correspondant aussi au
nombre de longueurs d’onde λ. Décaler d’un
Activité expérimentale 1 grand nombre de longueurs d’onde. Repérer
la position finale pf du récepteur mobile.
1. Dans la première expérience, ce n’est pas 𝑝 −𝑝
λ = 𝑓 𝑖.
M. Colladon qui arrête le chronomètre quand 𝑛
il perçoit le son avec son oreille plongée dans 4. λ = 8,3 mm.
l’eau mais M. de Candolle, après avoir vu le 5. vUS = 3,3.10² m.s–1 très proche de 340 m.s–1.
geste de sa main. Donc le temps de réaction 6. Estimer Δλ et Δf avec votre matériel et
de M. Candolle intervient en plus de celui de appliquer la formule donnée.
M. Colladon.
2. Il n’y a plus d’intermédiaire cette fois-ci. Activité expérimentale 3
C’est M. Colladon qui déclenche le
chronomètre lorsqu’il voit l’éclair au-dessus 1.2. Il faut placer côte à côte émetteur et
de l’horizon et qui l’arrête lorsqu’il perçoit le récepteur d’ultrasons à la verticale de la
son, se propageant dans l’eau, à son oreille surface libre de l’eau.
sans avoir à plonger la tête. Brancher chacun sur l’une des deux voies de
𝑑 13 487 l’oscilloscope.
3. 𝑣 = ∆𝑡 = 9,25 = 1,46. 103 m.s–1.
3. Par exemple à 20 °C :
4. Utiliser un dispositif expérimental où le son
se propage dans l’eau avec capteurs adaptés vson air = 20 × √(20 + 273) = 3,4.10² m.s–1.
et logiciel audacity par exemple. 4. Prenons l’exemple ci-dessous :
5. Un écart relatif suffit pour montrer que la
valeur trouvée en 1 826 est très proche de
celle pouvant être mesurée de nos jours.
Activité expérimentale 2
1. Il faut montrer que les signaux des voies I et
II ont la même périodicité temporelle et donc
la même période.
Après calcul, la fréquence des récepteurs est
identique à celle de l’émetteur, soit 40 kHz.
Cette fréquence est bien supérieure à celle Entre l’émission et la réception des ultrasons,
des sons audibles donc il s’agit bien s’écoulent 3 divisions horizontales de 250 μs,
d’ultrasons. soit 750 μs.
Exercice 9
Entre l’émission et la réception s’écoule
0,018 s.
L’onde ultrasonore parcourt le double de la
0,018 × 1,5.103
profondeur, donc elle vaut 2
, soit
14 mètres.
Exercice 10
𝑃
1. Si P = I × S alors I = 𝑆 .
À 1,0 m, I = 1,0/(4π) = 8,0.10–2 W.m–2.
À 2,0 m, I = 1,0/(4π × 2²) = 2,0.10–2 W.m–2.
2. Quand la distance double, l’intensité
3. Le son issu des enceintes de la scène doit
acoustique est divisée par quatre.
être superposé à celui émis par celles de
3. À 4,0 m, I = 2,0.10–2/4 = 5,0.10–3 W.m–2.
rappel.
30 À 8,0 m, I = 5,0.10–3/4 = 1,2.10–3 W.m–2.
Or, le son met une durée Δt = 340 = 88 ms.
Il faut décaler de 88 ms le son provenant des Exercice 11
enceintes de rappel par rapport à celui des 𝑃 𝑃 𝑃 6,0
Si I = 𝑆 = 4.π.𝑟² alors r² = 4.π.I avec r² = 4.π.1,0
enceintes de la scène.
6,0
donc r = √ = 0,69 m = 69 cm.
4.π
Exercice 6
1. Le son et la lumière parcourent tous deux la
même distance d. Exercice 12
Donc d = vson × tson = c × tlumière. 1. Le son se propageant plus vite dans un
𝑑 𝑑 solide que dans un gaz (air), l’onde perçue en
Or Δt = tson – tlumière = 𝑣 −𝑐
𝑠𝑜𝑛 premier se propage dans le tuyau.
1 1
= 𝑑 × (𝑣 − 𝑐 ). 2. La différence de distance vaut 0,20 m
𝑠𝑜𝑛
2. Il faut compter les secondes entre l’éclair et parcourue à 340 m.s–1.
le tonnerre et diviser par trois. Cela fait donc L’écart entre la perception par les deux
2,0 km. oreilles est donc de 5,9.10–4 s, supérieur à
30 μs, donc la personne peut déterminer la
Exercice 7 provenance de ce son.
Du côté gauche, le son parcourt 400 m lors de
l’aller-retour et du côté droit, 200 m. Exercice 13
Il y a donc une différence de 200 mètres 1. Les os apparaissent blancs sur une
parcourus à 340 m.s–1, soit une durée échographie, les liquides noirs et les tissus
séparant les deux échos de 200/340 soit mous gris.
588 ms. 2. Voir schéma de la page 213.
3. La distance d supplémentaire est le double
Exercice 8 du diamètre crânien.
Cette distance supplémentaire est parcourue
Le son parcourt la même distance d dans l’eau
dans le cerveau à la célérité de 1 555 m.s–1.
ou dans le conduit en fonte.
2 × d = 1 555 × Δt.
d = veau × teau = vfonte × tfonte.
4. Le diamètre crânien mesure 60 mm.
Exercice 16
1. Décibel.
2. D’après le second tableau, quand on ajoute
3 dB, la durée maximale préconisée d’écoute
est divisée par deux.
Pour 77 dB : 16 heures.
Pour 98 dB : 0,125 h, soit 7 minutes
30 secondes.
3. D’après le premier tableau, 75 dB
correspond à 3,2.10–5 W.m–2.
Ces cinq enceintes réglées à 75 dB, fournissent
donc une intensité acoustique globale de
5 × 3,2.10–5, soit 1,6.10–4 W.m–2.
À cette intensité acoustique globale,
correspond 82 dB d’après le premier tableau.
D’après les préconisations de l’I.N.R.S., on
peut donc regarder au moins 4 h de film, donc
cela ne pose pas de problème pour une durée
de deux heures.
4. Quelle que soit la distance, la puissance
acoustique est constante. Plaçons-nous à un
mètre.
À un mètre de l’enceinte centrale, pour une
puissance électrique de 1,0 W, nous avons
90 dB soit 1,0.10–3 W.m–2 d’après le premier
tableau.
La surface concernée à un mètre est la moitié
de 4.π.(1,0²) soit 2π.
Or P = I × S, donc P = 1,0.10–3 × 2π = 6,3 mW.
Rayonnement
Testez vos prérequis page 220 électromagnétique
Fréquence (en Hz)
Rayonnement
1. B Supérieure à 1019 Hz
gamma
2. C Rayonnement X Entre 1017 Hz et 1019 Hz
3. A Entre 7,5 × 1014 Hz et
4. A Rayonnement UV
3 × 1016 Hz
5. B Rayonnement Entre 3,75 × 1014 Hz et
visible 7,5 × 1014 Hz
Entre 3,0 × 1014 Hz et
Correction des activités Rayonnement IR
3,75 × 1014 Hz
pages 222 à 225 Rayonnement Entre 3,0 × 104 Hz et
radio 3,0 × 1014 Hz
3. L’échographie utilise des ondes
Activité documentaire 1
ultrasonores qui sont des ondes mécaniques
longitudinales ayant besoin d’un milieu
1. D’après le document 1, le domaine de
matériel pour se déplacer. Au contraire, les
longueurs d’onde du rayonnement visible est
ondes électromagnétiques sont des ondes
compris entre 400 nm et 800 nm.
transversales ne nécessitant pas de milieu
2. La relation entre longueur d’onde dans le
matériel pour se déplacer.
vide (en m) et fréquence du rayonnement
𝑐 𝑐
(en Hz) : 𝜆 = ou 𝜈 = avec c = célérité des
𝜈 𝜆 Activité documentaire 2
ondes électromagnétiques dans le vide ou
dans l’air (c = 3,0 × 108 m.s–1). 1. a) D’après le document 1, plus la
température d’un corps chaud est élevée, plus
À partir des documents 1 et 2, on classe les
la longueur d’onde max correspondant au
différentes ondes électromagnétiques par
maximum de l’intensité émise est faible.
ordre croissant des longueurs d’onde (ou par
b) En utilisant la relation du document 1,
ordre décroissant des fréquences) : 𝐵 2,90 × 10–3
Rayonnement Longueur d’onde dans le max = 𝑇
= 5 000 = 5,80 × 10–7 m
électromagnétique vide = 580 nm.
Rayonnement 2. a)
Inférieure à 10–11 m
gamma • La source 1 émet un rayonnement dont le
Rayonnement X Entre 10–11 m et 10–9 m spectre est continu et qui contient plusieurs
Rayonnement UV Entre 10 nm et 400 nm longueurs d’onde : c’est un rayonnement
Rayonnement polychromatique.
Entre 400 nm et 800 nm
visible
• La source 2 émet un rayonnement dont le
Rayonnement IR Entre 800 nm et 1 mm
spectre est constitué de raies et qui contient
Rayonnement
Entre 1 mm et 10 km plusieurs longueurs d’onde : c’est un
radio
Rappel : 1 nm = 10–9 m. rayonnement polychromatique.
• La source 3 émet un rayonnement dont le
spectre est constitué d’une seule longueur
d’onde : c’est un rayonnement
monochromatique.
• La source 4 émet un rayonnement dont le
spectre est constitué de raies et qui contient
Testez vos prérequis page 240 5. Il y a une forte cohérence car 548,7 est
proche de la valeur de référence 546,1 nm,
soit à moins de 0,5 % d’écart.
1. B
2. B
3. B Activité documentaire 5
4. C
1. 995,9 hPa.
2. ∆ = 3,3 hPa.
Correction des activités 3. ∆M = 1,9 hPa.
pages 242 à 247 4. M = (995,9 ± 1,9) hPa, il est préférable
d’écrire : M = (996 ± 2) hPa.
Activité documentaire 1
Activité documentaire 6
1. Fréquence (Hz).
Force (N). 1. 3,112 A.
Énergie (J). 2. ∆M = 0,01 A.
2. Fréquence f = 1/T (s–1). 3. M = (3,11 ± 0,01) A.
Force = mg (kg.m.s–2). 4. Précision : 0,32 %. Mesure très précise.
Énergie = F × d (kg.m2.s–2).
Testez vos connaissances
Activité documentaire 2 page 250
1. Moyenne des mesures Vmoy = 531 mV.
1. B
Erreur systématique, un étalonnage du
2. A
capteur est à revoir.
3. A
2. Oui la mesure est satisfaisante, l’erreur est
4. A/B/C
faible ; en effet l’expression de la température
5. A
s’écrit : (66,6 ± 0,1) °C. Précision de 0,15 %.
6. C
7. B
Activité documentaire 3 8. A/C
9. A
1. Non, ce dynamomètre n’est pas assez fidèle 10. B
car les mesures sont trop dispersées. 11. B
2. < F > = 753,9 N. 12. C/B
3. On peut retenir la valeur moyenne < F > qui 13. B
donne la meilleure estimation possible de la
valeur de la force.
À vous de jouer page 251
Activité documentaire 4 0,02
1. ∆𝑀 = = 0,01 s.
√3
1. < > = 548,7 nm. 2. M = (49,65 ± 0,01) s.
2. 𝜎exp = 10,0 nm. 3. Record battu de 0’47, soit 47 centièmes de
3. Soit ∆M = 3,2 nm. seconde.
4. M = (548,7 ± 3,2) nm.
Exercice 2 Exercice 11
La mole et le mètre appartiennent aux unités 1. < m > = 0,14 mol.L–1, σexp = 0,02 mol.L–1,
de base du S.I. ΔM = 0,01 mol.L–1.
2. C = 0,14 ± 0,01 mol.L–1.
Exercice 3
On a U = P/I soit U = kg.m2 .s–3.A–1. Exercice 12
On a P = E/t et E = 1/2 mv2 soit P = kg.m2.s–3. Incertitude-type : ∆𝑀 =
∆
=
0,3
= 0,2 mL.
On a D = V/t soit D = m3.s–1. √3 √3
V = (20 ± 0,2) mL.
Exercice 4
Exercice 13
Voltmètre mal calibré : erreur systématique.
Δ = 330 × 5/100 = 16,5 Ω soit ΔM = 16,5/√3
Mauvais branchement du voltmètre : erreur
= 9,5 Ω, on peut écrire R = (330 ± 10) Ω.
aléatoire.
Exercice 14
Exercice 5 0,1
Mauvaise position du télémètre par ∆𝑀 = = 0,03 soit m = (12,2 ± 0,1) cm on
√12
l’opérateur. arrondit ΔM à la valeur supérieure.
Surface des murs irrégulière.
Exercice 15
Exercice 6 Valeurs 5,5 s 0,133 g 100 m
a) Erreur aléatoire. Nombre de
b) Erreur systématique. chiffres 2 3 3
c) Erreur aléatoire. significatifs
d) Erreur systématique.
Valeurs 1,2 × 10–2 mol.L–1 50 × 10–3 V
Nombre de
Exercice 7 chiffres 2 2
1. Le cinémomètre le plus fidèle est le n° 2. significatifs
2. < v1 > = 24,0 m.s–1 et < v2 > = 25,4 m.s–1 donc
le cinémomètre le plus juste est n° 1. Exercice 16
1., 2., 3., 4. et 5.
Exercice 8 Opération 3,2 m + 0,12 m 5,5 g – 3,12 g 2,85 m/0,21 s
L’augmentation de la valeur mesurée peut- Résultats 3,3 m -2,5 g 14 m.s–1
être due à :
• une augmentation de l’éclairement de la LED Opération 2,2 W × 0,555 s 56 × 102 N/0,654 m2
en fonction du temps ; Résultats 1,2 W.s 86 × 102 N.m–2
• une dérive de l’appareil de mesure due à son
échauffement.
Exercice 9
Le thermomètre le plus précis est le n° 2.
Exercice 20
∆𝑉 0,5 2 30 2
𝑉
= √(25,2) + (900) = 0,039 soit
25 200
∆𝑉 = 900 × 0,039 = 1,09 m. s −1.
On peut écrire : V = (28 ± 1) m.s–1.
Exercice 21
Attention, question 2 : C = 1,0. 10–1 mol.L–1
1. M(CuSO4, 5H2O) = 63,5 + 32,1 + 9 × 16 + 10
= 249,6 g.mol–1.
2. C = 2,5/(249,6 × 0,1)
= 1,00 × 10–1 mol.L–1.
∆𝐶 0,7 2 0,2 2
3. 𝐶
= √(2,5) + (100) = 4 × 10−2 donc
ΔC = 4 × 10–3 mol.L–1.
Exercice 22
1. 9 mesures et 68 % : k = 1,07.
7. a)
Partie B
1. La courbe représentative de la fonction
sinus est située entre les deux droites
d’équations 𝑦 = −1 et 𝑦 = 1.
Propriété mise en évidence : pour tout 𝑥 ∈ ℝ,
−1 ≤ 𝑥 ≤ 1.
2. a) Le point Q semble se déplacer sur la
courbe représentative de la fonction sinus.
b) Q étant le symétrique du point M par
rapport à l’origine du repère, on a : 𝑥𝑄 = −𝑥𝑀
et 𝑦𝑄 = −𝑦𝑀 ; soit 𝑄(−𝑎 ; − sin 𝑎) .
Or 𝑓(𝑥) = sin 𝑥, ce qui nous donne 𝑓(−𝑎) =
sin(−𝑎) = − sin 𝑎. b) On peut conjecturer que la fonction 𝑓 est
𝑄 appartient bien à 𝒞𝑓 . strictement décroissante sur [0 ; 1].
Propriété mise en évidence : pour tout 𝑥 ∈ ℝ, c) 𝑓(0) = 1
sin(−𝑥) = − sin 𝑥 (la fonction sinus est 𝑓(1) = −3,25
impaire). 𝑓 étant strictement décroissante sur [0 ; 1] et
3. a) Le point R semble se déplacer sur la 𝑓(1) < 0 < 𝑓(0), l’équation 𝑓(𝑡) = 0 admet
courbe représentative de la fonction sinus. une unique solution dans [0 ; 1].
⃗⃗⃗⃗ (1 ; 0).
b) M(𝑎; sin 𝑎) et 𝑣 (2𝜋 ; 0) car OI d) 0 < 𝛼 < 1.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 3. a) 𝑓(0,5) = −0,38.
On a MR = 𝑣 ce qui équivaut à :
𝑥 − 𝑥𝑀 = 2𝜋 𝑥 = 𝑎 + 2𝜋 𝑓(0) × 𝑓(0,5) < 0 et 𝑓(0,5) × 𝑓(1) > 0.
{ 𝑅 ⟺ { 𝑅 b) 0 < 𝛼 < 0,5.
𝑦𝑅 − 𝑦𝑀 = 0 𝑦𝑅 = sin 𝑎
Soit : 𝑅(𝑎 + 2𝜋 ; sin 𝑎).
Propriété mise en évidence : pour tout 𝑥 ∈ ℝ,
sin(𝑥 + 2𝑘𝜋) = sin 𝑥 (avec 𝑘 ∈ ℤ).
Le signe de
La condition
𝒂 𝒃 𝒄 𝒇(𝒂) ∗ 𝒇(𝒄)
𝒃 − 𝒂 > 𝒅 est…
est…
1re étape 0 1 vraie 0,5 négatif
b) 𝑎 = 0,375 et 𝑏 = 0,4375.
c) À 0,1 près : 0,375 < 𝛼 < 0,4375.
2. a)
b) 𝑎 = 0,419921875 et 𝑏 = 0,4208984375.
À 10−3près : 0,420 < 𝛼 < 0,421.
Exercice 1 Exercice 7
2𝜋 4𝜋 11𝜋 5𝜋 23𝜋
a) 5
. b) 9
. c) 15
. d) 4
. e) 15
.
Exercice 8
a) 36°. b) 150°. c) 20°. d) 24°. e) 114°.
Exercice 9
a) 135°. b) 240°. c) 50°. d) 25°. e) 330°.
Exercice 10
a) Le rôle de cet algorithme est de donner la
mesure en radians d’un angle dont la mesure
Exercice 2 est donnée initialement en degrés.
b)
c)
Exercice 3
𝜋 𝜋 3𝜋 5𝜋 3𝜋 7𝜋
a) 0 ; ; ; ; 𝜋 ; ; ; sont les réels
4 2 4 4 2 4
appartenant à [0 ; 2𝜋[ repérant d) L’algorithme implémenté sur Python est le
respectivement I, M, J, N, P, Q, R, S. suivant :
7𝜋 3𝜋 5𝜋 3𝜋 𝜋
b) −2𝜋 ; − 4 ; − 2 ; − 4 ; −𝜋 ; − 4 ; − 2 ;
𝜋
− sont les réels appartenant à [−2𝜋 ; 0[
4
repérant respectivement I, M, J, N, P, Q, R, S.
Exercice 4
𝜋 𝜋 5𝜋 5𝜋 2𝜋 𝜋
; 3 ; 6 ; −𝜋 ; − 6 ; − 3 ; − 4 sont les réels
4 Exercice 11
appartenant à [−𝜋 ; 𝜋[ repérant
respectivement A, B, C, D, E, F, G.
Exercice 5
11𝜋 9𝜋 21𝜋
a) 𝑎1 = 5
, 𝑎2 = − 5
, 𝑎3 = 5
et 𝑎4 =
19𝜋
− sont des réels repérant également le
5
point A.
b) 𝑎1 = 𝑎 + 2𝜋 (𝑘 = 1)
c) 𝑎2 = 𝑎 − 2𝜋 (𝑘 = −1)
𝑎3 = 𝑎 + 2 × 2𝜋 (𝑘 = 2)
𝑎4 = 𝑎 + (−2) × 2𝜋 (𝑘 = −2)
𝑎
Tant que (𝑏 < −1)
𝑎 prend la valeur 𝑎 + 2 ∗ 𝑏
b)
Exercice 20 Exercice 22
𝜋 13𝜋 12𝜋 𝜋
𝑎 ∈ ]0 ; [ donc cos 𝑎 > 0 et sin 𝑎 > 0. a) cos ( ) = cos ( + 6) =
2 6 6
𝜋
𝑏 ∈ ] 2 ; 𝜋[ donc cos 𝑏 < 0 et sin 𝑏 > 0. 𝜋 𝜋 √3
3𝜋
cos (2𝜋 + ) = cos ( ) =
𝑐 ∈ ]𝜋 ; [ donc cos 𝑐 < 0 et sin 𝑐 < 0. 6 6 2
2 13𝜋 12𝜋 𝜋
3𝜋 et sin ( ) = sin ( + )=
𝑑∈ ]2 ; 2𝜋[ donc cos 𝑑 > 0 et sin 𝑑 < 0. 6 6 6
𝜋 𝜋 1
sin (2𝜋 + ) = sin ( ) = .
6 6 2
Exercice 21 23𝜋 24𝜋
b) cos (− 3 ) = cos (− 3 + 3 ) =
𝜋
2𝜋 𝜋 1
a) cos ( 3 ) = − cos ( 3 ) = − 2 𝜋 𝜋 1
2𝜋 𝜋 √3
cos (−8𝜋 + 3 ) = cos ( 3 ) = 2
et sin ( 3 ) = sin ( 3 ) = 2
. 23𝜋 24𝜋 𝜋
𝜋 𝜋 √2
et sin (− ) = sin (− + )=
3 3 3
b) cos (− 4 ) = cos ( 4 ) = 2
𝜋 𝜋 √3
𝜋 𝜋 √2 sin (−8𝜋 + 3 ) = sin ( 3 ) = 2 .
et sin (− 4 ) = − sin ( 4 ) = − 2
.
19𝜋 16𝜋 3𝜋
5𝜋 𝜋 √3 c) cos ( 4 ) = cos ( 4 + 4 ) =
c) cos ( ) = − cos ( ) = −
6 6 2 3𝜋 3𝜋 𝜋 √2
et
5𝜋
sin ( 6 )
= sin ( 6 ) = 2.
𝜋 1 cos (4𝜋 + ) = cos ( ) = − cos ( ) = −
4 4 4 2
19𝜋 16𝜋 3𝜋
d) cos (𝜋) = −1 et sin (𝜋) = 0. et sin ( 4 ) = sin ( 4 + 4 ) =
𝜋 𝜋 1
e) cos (− 3 ) = cos ( 3 ) = 2 3𝜋 3𝜋 𝜋 √2
sin (4𝜋 + ) = sin ( ) = sin ( ) = .
𝜋 𝜋 √3 4 4 4 2
et sin (− 3 ) = − sin ( 3 ) = − 2
. d) cos (−6𝜋) = cos (0) = 1
Exercice 23
𝜋
a) 𝑥 = − 4 + 2𝑘𝜋 (𝑘 ∈ ℤ).
𝜋
b) 𝑥 = − + 2𝑘𝜋 (𝑘 ∈ ℤ).
3
Exercice 24
𝜋 2𝜋
a) On peut prendre : 𝑥 = − . c) 3 est le réel de [0 ; 2𝜋] repérant le point
2
5𝜋
b) On peut prendre : 𝑥 = . N’.
6
2. Les solutions dans ℝ de l’équation :
𝜋 𝜋
Exercice 25 sin 𝑥 = sin ( ) sont 𝑥 = + 2𝑘𝜋 ou
3 3
𝜋 2𝜋
Sur [− ; 0], sin 𝑥 < 0. 𝑥= + 2𝑘𝜋 (𝑘 ∈ ℤ).
2 3
On sait que, pour tout 𝑥 ∈ ℝ, on a :
cos² 𝑥 + sin² 𝑥 = 1. Exercice 28
3 2 1
2
Donc : sin 𝑥 = 1 − cos 𝑥 = 1 − 2
(4) = a) Une des solutions de l’équation cos 𝑡 = 2
9 7 𝜋
1 − 16 = 16. est : 𝑡 = . Les solutions dans ℝ de l’équation
3
1 𝜋 𝜋
√7 √7 cos 𝑡 = : 𝑡 = 3 + 2𝑘𝜋 ou = − 3 + 2𝑘𝜋
sont
On a alors : sin 𝑥 = 4
ou sin 𝑥 = − 4
. 2
√7
(𝑘 ∈ ℤ).
Or sin 𝑥 < 0 donc sin 𝑥 = − 4
. b) Une des solutions de l’équation
√2 𝜋
sin 𝑢 = − 2
est : 𝑢 = − 4 . Les solutions dans
Exercice 26 √2
1. a) et b) M’ est le symétrique de M par ℝ de l’équation sin 𝑢 = − 2
sont :
𝜋 𝜋
rapport à l’axe des abscisses (symétrie axiale). 𝑢= − 4 + 2𝑘𝜋 ou 𝑢 = 𝜋 − (− 4 ) + 2𝑘𝜋, soit
5𝜋
𝑢= + 2𝑘𝜋 (𝑘 ∈ ℤ).
4
c) Les solutions dans ℝ de l’équation
cos 𝑡 = −1 sont : 𝑡 = 𝜋 + 2𝑘𝜋 (𝑘 ∈ ℤ).
Exercice 29
a) Une des solutions de l’équation
√3 5𝜋
cos 𝑥 = − 2
est : 𝑥 = 6
. Les solutions dans
√3
ℝ de l’équation cos 𝑥 = − 2
sont :
5𝜋 5𝜋
𝑥 = + 2𝑘𝜋 ou = −
+ 2𝑘𝜋 (𝑘 ∈ ℤ).
6 6
𝜋 b) Les solutions dans ℝ de l’équation
c) − est le réel de [−2𝜋 ; 0] repérant le point 𝜋 𝜋
4 sin 𝑥 = sin ( 5 ) sont : 𝑥 = 5 + 2𝑘𝜋 ou
M’. 𝜋 4𝜋
2. Les solutions dans ℝ de l’équation 𝑥 = 𝜋 − 5 + 2𝑘𝜋, soit 𝑥 = 5 + 2𝑘𝜋 (𝑘 ∈ ℤ).
𝜋 𝜋
cos 𝑥 = cos ( 4 ) sont 𝑥 = 4 + 2𝑘𝜋 ou c) 𝜋 > 1. L’équation cos 𝑥 = 𝜋 n’admet
𝜋 aucune solution dans ℝ.
𝑥 = − 4 + 2𝑘𝜋 (𝑘 ∈ ℤ).
𝒕 –10 –8 –6 –4 –2 0
𝒇(𝒕) 12,6 1,7 –8,6 3,9 1,2 0
𝒕 2 4 6 8 10
b) Par lecture graphique, les antécédents de 0
par 𝑓 sont : −𝜋 ; 0 ; 0,5 (valeur approchée à 𝒇(𝒕) –1,2 –3,9 8,6 –1,7 –12,6
c)
Exercice 51 c)
a) La fonction obtenue est une fonction
sinusoïdale. 𝒕 𝑡1 𝑡2 𝑡3 𝑡4 𝑡5 𝑡6
b) Par lecture graphique, une période est 𝑽 156 269 311 269 156 0
égale à 0,02 s. On obtient donc 50 périodes
complètes en une seconde. 𝒕 𝑡7 𝑡8 𝑡9 𝑡10 𝑡11 𝑡12
𝑽 –156 –269 –311 –269 –156 0
100𝜋𝑡 = 𝜋
𝑡=0
-4,4
{ . -4,6
𝑡 = 0,01 -4,8
-5,6
Exercice 52
Lorsque la durée du jour est la plus courte,
a) 𝐴 = 5.
𝑡 = 100 jours et jour de Noël, on a un
b) 𝑇 = 3 carreaux, 𝑇 = 300 jours.
minimum pour 𝑓(𝑡) avec une variation faible
c) La courbe représente environ 4 années.
2𝜋 de 𝑓(𝑡) au voisinage de ce minimum. Cela
d) On sait que 𝑇 = 𝜔 , ce qui nous donne 𝜔 = explique que la durée du jour varie peu autour
2𝜋 2𝜋
= , soit 𝜔 = 2,1 × 10−2 rad.jour–1. de Noël.
𝑇 300
e) . On reconnaît une fonction cos :
𝑓(𝑡) = 5 cos(6,28 × 𝑡/300). Exercice 53
𝜋 23𝜋 2𝜋
f) Courbe pour Xmin = 0 jour et Xmax = 300 𝐴 = (sin (12) + sin ( 12 )) + (sin ( 12 ) +
jours : 22𝜋 11𝜋 13𝜋
f sin ( )) +….+ (sin ( ) + sin ( )) +
12 12 12
12𝜋
4
sin ( ) = 0.
12
2
-2
-4
1 2 2 2
Testez vos prérequis page 298 ⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ + ‖OC
𝑥𝑥 ′ + 𝑦𝑦 ′ = (‖OB
2
⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ – ‖𝐵C
⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ )
1 2 2 2
⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ + ‖OC
= (‖OB ⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ – ‖BO
⃗⃗⃗⃗⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
OC‖ ) donc :
2
1. B 1 2 2
⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ + ‖OC
𝑥𝑥 ′ + 𝑦𝑦 ′ = 2(‖OB ⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ – ‖OC
⃗⃗⃗⃗⃗ −
2. A
2 1
3. A ⃗⃗⃗⃗⃗
OB‖ ) = 2(‖𝑢 ⃗ ‖2 + ‖𝑣 ‖2 − ‖𝑣 − 𝑢⃗ ‖2 ).
Remarque : les élèves peuvent s’arrêter à la
Correction des activités première égalité mais il est important
d’aboutir à la dernière égalité pour leur
pages 300 et 301 prouver que le produit scalaire ne dépend pas
du repère orthonormé choisi mais
Activité 1 uniquement des normes de vecteurs.
2
4. D’après les questions précédentes, 𝑢 ⃗ ( )
1. 𝑢 ⃗ et 𝑣 sont orthogonaux si et seulement si −3
4
⃗⃗⃗⃗⃗ et OC
OB ⃗⃗⃗⃗⃗ sont orthogonaux. et 𝑣 ( ) sont orthogonaux si le produit
3
Remarque : les élèves peuvent écrire d’autres scalaire de 𝑢
⃗ et 𝑣 est nul.
équivalences : Le produit scalaire de 𝑢⃗ et 𝑣 vaut :
•𝑢⃗ et 𝑣 sont orthogonaux si et seulement si 2 × 4 − 3 × 3 = 8 − 9 = −1 ≠ 0 donc 𝑢 ⃗ et 𝑣
ne sont pas orthogonaux.
(OB) et (OC) sont perpendiculaires.
•𝑢⃗ et 𝑣 sont orthogonaux si et seulement si
OBC est rectangle en O.
Activité 2
⃗ et 𝑣 sont orthogonaux ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗
2. 𝑢 OB et ⃗⃗⃗⃗⃗
OC sont 1. Les coordonnées de 𝑢 ⃗ sont (OB ; 0).
orthogonaux ⇔(OB)⊥(OC) ⇔ OBC rectangle 2. Soit H, le projeté orthogonal de C sur (OI) et
en O⇔ OB² + OC² = BC². K, celui de C sur (OJ).
Le repère est muni d’un repère orthonormé et Les coordonnées de 𝑣 sont (OH ; OK).
O(0; 0), B(𝑥; 𝑦) et C(𝑥 ′ ; 𝑦′). Donc : Le triangle OHC est rectangle H car H, le
2 projeté orthogonal de C sur (OI) et donc :
⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ = ‖𝑢
OB² = ‖OB ⃗ ‖2 = 𝑥 2 + 𝑦². ̂ = côté adjacent = OH donc OH = OC ×
cos HOC
2 hypoténuse OC
⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ = ‖𝑣‖2 = 𝑥′2 + 𝑦′².
OC² = ‖OC
cos θ.
BC² = (𝑥 ′ − 𝑥)2 + (𝑦 ′ − 𝑦)2 = 𝑥 ′2 − 2𝑥 ′ 𝑥 + 𝑥 2 +
̂ = côté opposé = HC donc HC = OC ×
sin HOC
𝑦 ′2 − 2𝑦 ′ 𝑦 + 𝑦². hypoténuse OC
OB² + OC² = BC² ⇔ 𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑥 ′2 + 𝑦 ′2 sin θ.
= 𝑥 ′2 − 2𝑥 ′ 𝑥 + 𝑥 2 + 𝑦 ′2 − 2𝑦 ′ 𝑦 + 𝑦². On sait que H est le projeté orthogonal de C
𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑥 ′2 + 𝑦 ′2 = 𝑥 ′2 − 2𝑥 ′ 𝑥 + 𝑥 2 + 𝑦 ′2 − sur (OI) et K, celui de C sur (OJ). (O, I, J) est un
2𝑦 ′ 𝑦 + 𝑦² équivaut à : repère orthonormé donc OHCK est un
rectangle et donc OK = HC = 𝑂𝐶 × sin θ et
𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑥 ′2 + 𝑦 ′2 − 𝑥 ′2 + 2𝑥 ′ 𝑥 − 𝑥 2 − 𝑦 ′2 +
donc les coordonnées de 𝑣 sont (OC cos θ ;
2𝑦 ′ 𝑦 − 𝑦 2 = 0 équivaut à :
OC sin θ).
2𝑥𝑥 ′ + 2𝑦𝑦 ′ = 0 équivaut à : 3. 𝑢
⃗ . 𝑣 = OB × OC cos θ + 0 × OC sin θ =
𝑥𝑥 ′ + 𝑦𝑦 ′ = 0. OB × OC cos θ.
3. D’après la question précédente : Remarques :
2𝑥𝑥 ′ + 2𝑦𝑦 ′ = OB²+OC²–BC² et donc 𝑥𝑥 ′ + • Les élèves peuvent s’arrêter là, mais il est
1
𝑦𝑦 ′ = (OB² + OC² – BC²) et donc : important de leur faire remarquer que OB =
2
‖𝑢
⃗ ‖ et OC = ‖𝑣 ‖ et θ = (𝑢 ⃗ ; 𝑣 ) afin qu’ils
( ).
𝑥+4
1. (𝑢 ⃗ − 𝑣 ). (3𝑢 ⃗ + 2𝑣 ) = 3‖𝑢 ⃗ ‖2 + 2𝑢 ⃗ .𝑣 − 𝑥𝐸 − 𝑥𝐹 𝑥 − 2 ⃗⃗⃗⃗ 𝑥 − 2
2 2 ⃗⃗⃗⃗
FE (𝑦 − 𝑦 ) = ( ) FE ( ).
3𝑢 ⃗ . 𝑣 − 2‖𝑣‖ = 3 × 3 − 𝑢 ⃗ . 𝑣 + 2 × 2² 𝐸 𝐹 3 − (−2) 5
(𝑢⃗ − 𝑣 ). (3𝑢 ⃗ + 2𝑣 ) = 27 − 3√2 + 8 Le repère est orthonormé donc :
= 35 − 3√2. ⃗⃗⃗⃗⃗
FD. ⃗⃗⃗⃗
FE = (−𝑥 − 2) × (𝑥 − 2) + (𝑥 + 4) ×
⃗⃗⃗⃗⃗ = (HG
⃗⃗⃗⃗⃗ . HG
2. HF ⃗⃗⃗⃗⃗ + GF
⃗⃗⃗⃗ ). HG
⃗⃗⃗⃗⃗ = HG ⃗⃗⃗⃗⃗ . HG
⃗⃗⃗⃗⃗ + 5 = (−2)2 − 𝑥 2 + 5𝑥 + 20 ;
⃗⃗⃗⃗ . HG
GF ⃗⃗⃗⃗⃗ = HG = 9 car EFGH est un rectangle
2
⃗⃗⃗⃗⃗
FD. ⃗⃗⃗⃗
FE = −𝑥 2 + 5𝑥 + 24.
donc ⃗⃗⃗⃗ GF et ⃗⃗⃗⃗⃗
HG sont orthogonaux. ⃗⃗⃗⃗⃗ et FE
c) FDE est rectangle en F si FD ⃗⃗⃗⃗ sont
orthogonaux si ⃗⃗⃗⃗⃗
FD. ⃗⃗⃗⃗
FE = 0.
À vous de jouer ! page 307 ⃗⃗⃗⃗⃗
FD. ⃗⃗⃗⃗FE = −𝑥 2 + 5𝑥 + 24
⃗ . 𝑣 = ‖𝑢
𝑢 ⃗ ‖ × ‖𝑣 ‖ × cos(𝑢
⃗ ; 𝑣) = 3 × 2 × = −(𝑥 − 8)(𝑥 + 3).
π √2 ⃗⃗⃗⃗⃗ . FE
FD ⃗⃗⃗⃗ = 0.
cos = 6 × = 3√2.
4 2
⇔ −(𝑥 − 8)(𝑥 + 3) = 0.
Or, pour qu’un produit soit nul, il faut et il
À vous de jouer ! page 309 suffit que l’un de ses facteurs soit nul.
𝑥 − 𝑥𝐴 –5 − 5 – 10 ⇔ 𝑥 − 8 = 0 ou 𝑥 + 3 = 0.
⃗⃗⃗⃗⃗ ( 𝐵
AB 𝑦𝐵 − 𝑦𝐴 ) = (15 − 10) = ( 5 ) et ⇔ 𝑥 = 8 ou 𝑥 = −3.
𝑥𝐶 − 𝑥𝐴 10 − 5 5
⃗⃗⃗⃗⃗
AC (𝑦 − 𝑦 ) = ( ) = ( ). Les valeurs de 𝑥 pour lesquelles FDE est
𝐶 𝐴 0 − 10 10
⃗⃗⃗⃗⃗ rectangle en F sont 8 et −3.
AB. ⃗⃗⃗⃗⃗
AC = – 10 × 5 +× (– 10) =– 50 − 50
=– 100.
Exercice 14
Exercice 15 Exercice 16
ABC est un triangle équilatéral de 4 cm de ⃗ . 𝑣 = −6 × (−3) + 9 × (−2)
a) 𝑢
côté donc AB = BC = AC = 4 cm et = 18 − 18 = 0 donc 𝑢 ⃗ et 𝑣 sont orthogonaux.
̂ = ABC
BAC ̂ = π.
̂ = ACB ⃗ . 𝑣 = −4 × (−1) + 5 × (−2) = 4 − 10 =
b) 𝑢
3
−6 ≠ 0 donc 𝑢 ⃗ et 𝑣 ne sont pas orthogonaux.
a) ⃗⃗⃗⃗⃗
AB. ⃗⃗⃗⃗⃗ ̂
AC = AB × AC × cosBAC
𝜋 1
= 4 × 4 × cos ( 3 ) = 16 × 2 = 8. Exercice 17
b) ⃗⃗⃗⃗⃗
CB. ⃗⃗⃗⃗⃗ ̂
CA = CB × CA × cosACB 𝑥 − 𝑥𝐴
⃗⃗⃗⃗⃗ ( 𝐵 4−2 2
𝜋 1
AB 𝑦𝐵 − 𝑦𝐴 ) = (2 − (−1)) = (3) et
=4×4× cos ( ) = 16 × = 8. 𝑥𝐶 − 𝑥𝐷
3 2
⃗⃗⃗⃗⃗ 4−1 3
⃗⃗⃗⃗⃗ . AB
⃗⃗⃗⃗⃗ = BC × AB × cos DC (𝑦 − 𝑦 ) = ( ) = ( ).
c) BC 𝐶 𝐷 0−2 −2
⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗
= 4 × 4 × cos(BC
2𝜋
AB) = 16 × cos ( 3 ) ; ⃗⃗⃗⃗⃗
AB. ⃗⃗⃗⃗⃗
DC = 2 × 3 + 3 × (−2) = 6 − 6 = 0.
⃗⃗⃗⃗⃗ 1 Donc ⃗⃗⃗⃗⃗
AB et ⃗⃗⃗⃗⃗
DC sont orthogonaux.
BC. ⃗⃗⃗⃗⃗
AB = 16 × (− 2) = −8.
Exercice 22 Exercice 26
ABCD est un carré, donc AB = BC = CD = AD = 5 a) ABC est rectangle en A, donc A est le
et (BA) et (BC) sont perpendiculaires. De plus projeté orthogonal de B sur (CA) et donc :
(AB) et (CD) sont parallèles. ⃗⃗⃗⃗⃗
CA. ⃗⃗⃗⃗⃗
CB = 𝐶𝐴 × 𝐶𝐴 = 122 = 144.
Exercice 28
Le projeté orthogonal de 𝑢 ⃗ sur (d) est (𝑢
⃗ . 𝑖) 𝑖 :
⃗ . 𝑖 = ‖𝑢
a) 𝑢 ⃗ ‖ × ‖𝑖‖ × cos(𝑖 ; 𝑢
⃗)
𝜋 √3 3√3
= 3 × 1 × cos ( 6 ) = 3 × 2
= 2
donc le
3√3
projeté orthogonal de 𝑢 ⃗ sur (d) est 𝑖.
2
⃗ . 𝑖 = ‖𝑢
b) 𝑢 ⃗ ‖ × ‖𝑖‖ × cos(𝑖 ; 𝑢
⃗)
𝜋
= 6 × 1 × cos (− 2 ) = 6 × 0 = 0 donc le
projeté orthogonal de 𝑢 ⃗ sur (d) est ⃗0.
⃗ . 𝑖 = ‖𝑢
c) 𝑢 ⃗ ‖ × ‖𝑖‖ × cos(𝑖 ; 𝑢
⃗) b) ABO semble être rectangle et isocèle en A.
2𝜋 1
= 5 × 1 × cos ( 3 ) = 5 × (− 2) = − 2 donc
5 𝑥 − 𝑥𝐴 −4 − (−6) 2
c) AB ⃗⃗⃗⃗⃗ ( 𝐵
5
𝑦𝐵 − 𝑦𝐴 ) = ( 8 − 2 ) = (6) et
le projeté orthogonal de 𝑢⃗ sur (d) est − 2 𝑖. 𝑥𝑂 − 𝑥𝐴 0 − (−6) 6
⃗⃗⃗⃗⃗
AO (𝑦 − 𝑦 ) = ( ) = ( ).
⃗ . 𝑖 = ‖𝑢
d) 𝑢 ⃗ ‖ × ‖𝑖‖ × cos(𝑖 ; 𝑢
⃗) 𝑂 𝐴 0−2 −2
𝜋 √2 ⃗⃗⃗⃗⃗
AB. ⃗⃗⃗⃗⃗ AO = 2 × 6 + 6 × (−2) = 0 donc ABO
= √2 × 1 × cos ( 4 ) = √2 × 2 = 1 donc le
est rectangle en A.
projeté orthogonal de 𝑢
⃗ sur (d) est 𝑖.
AB = √22 + 6² = √40 et
Exercice 29 AO = √62 + (−2)² = √40 donc AB = AO
donc ABO est isocèle en A.
Le projeté orthogonal de 𝐹 sur l’axe des
abscisses est (𝐹 . 𝑖) 𝑖 et celui de 𝐹 sur l’axe des Exercice 32
ordonnées est (𝐹 . 𝑗) 𝑗, les coordonnées de 𝐹 a)
dans ce repère sont donc (𝐹 . 𝑖 ; 𝐹 . 𝑗).
𝐹 . 𝑖 = ‖𝐹 ‖ × ‖𝑖‖ × cos(𝑖; 𝐹 ) = 50 cos θ et
𝐹 . 𝑗 = ‖𝐹 ‖ × ‖𝑗‖ × cos(𝑗; 𝐹 )
𝜋
= 50 × cos ( 2 − θ) = 50 sin θ donc les
coordonnées de 𝐹 sont (50 cos θ ; 50 sin θ).
Exercice 30
𝑥 − 𝑥𝐴 4−1 3
⃗⃗⃗⃗⃗ ( 𝐵
AB 𝑦𝐵 − 𝑦𝐴 ) = (2 − 3) = (−1) et
𝑥𝐶 − 𝑥𝐴 0−1 −1
⃗⃗⃗⃗⃗
AC (𝑦 − 𝑦 ) = ( ) = ( ).
𝐶 𝐴 5−3 2
Partie B
1. Le problème est le 𝑖 qui se trouve au
dénominateur.
2. Pour obtenir une écriture différente de la
même fraction on peut multiplier le
numérateur et le dénominateur par un même
nombre.
𝑧1 (3 + 4𝑖) × 𝑖 3𝑖 + 4𝑖² 3𝑖 − 4
3. = (2 + 𝑖) × 𝑖
= = on a encore
𝑧2 2𝑖 + 𝑖² 2𝑖 − 1
un 𝑖 au dénominateur, on n’obtient pas de
forme algébrique.
4. 3e identité remarquable :
(𝑎 − 𝑏) = 𝑎2 − 𝑏².
(2 + 𝑖)(2 − 𝑖) = 22 − 𝑖 2 = 4 + 1 = 5 qui est
un nombre réel.
𝑧 (3 + 4𝑖) × (2 − 𝑖) 6 − 3𝑖 + 8𝑖 − 4𝑖²
5. 𝑧1 =
2 (2 + 𝑖) × (2 − 𝑖)
= 5
= À vous de jouer ! page 325
10 + 5𝑖
5
= 2 + 𝑖, sa partie réelle est 2 et sa 𝑖 1
partie imaginaire 1. 1. 𝑧 = 3 + = 3 + 𝑖 donc la partie réelle de
2 2
1
z est 3 et sa partie imaginaire est .
2
Activité 3 2. (3 + 4𝑖) + (1 − 6𝑖) = 3 + 4𝑖 + 1 − 6𝑖 =
4 − 2𝑖.
Partie A 3. (2 + 5𝑖)(4 − 𝑖) = 8 − 2𝑖 + 20𝑖 − 5𝑖 2 =
1. Le point central représente le navire. 8 + 18𝑖 + 5 = 13 + 18𝑖.
Partie B Exercice 5
1. Lorsque r vaut 0 le nombre complexe est a) 𝑧1 + 𝑧2 = 3 − 𝑖.
𝑧 = 0, pour lequel on ne définit pas b) 𝑧1 − 𝑧2 = −1 − 5𝑖.
d’argument. c) 2𝑧1 − 3𝑧2 = 2 − 6𝑖 − 6 − 6𝑖 = −4 − 12𝑖.
2. a) La commande argument (2,0) permet de
déterminer un argument du nombre : Exercice 6
𝑧 = 2 + 0𝑖 = 2. a) 𝑧1 + 𝑧2 = (2 + √2) + (1 − √2)𝑖.
b) Un argument de −3 est 𝜋. b) 𝑧1 − 𝑧2 = (2 − √2) + (1 + √2)𝑖.
c) Le résultat donné par Python est 3,14159… c) 𝑧1 − √2𝑧2 = 2 + 𝑖 − (2 − 2𝑖) = 3𝑖.
c’est une valeur approchée de 𝜋. L’unité est le
radian.
Exercice 7
a) 𝑧1 × 𝑧2 = (1 − 3𝑖)(2 + 2𝑖)
Correction des exercices = 2 + 2𝑖 − 6𝑖 − 6𝑖 2 = 2 − 4𝑖 + 6 = 8 − 4𝑖.
pages 338 à 343 b) 𝑧12 = (1 − 3𝑖)2 = 1 − 6𝑖 + 9𝑖 2
= 1 − 6𝑖 − 9 = −8 − 6𝑖.
c) 𝑧22 = (2 + 2𝑖)2 = 4 + 8𝑖 + 4𝑖 2
Exercice 1
= 4 + 8𝑖 − 4 = 8𝑖.
a) 7 + 3i.
b) 2 + √3𝑖. Exercice 8
c) 4i. a) 𝑧1 × 𝑧2 = (2 + 𝑖)(1 − 𝑖√3)
Exercice 9 Exercice 15
a) (1 − 4𝑖) + (−3 + 2𝑖) = −2 − 2𝑖. a) 𝑧̅ = 6 − 3𝑖.
b) (– 7 – 𝑖) × (4 + 3𝑖) 𝑧𝑧̅ = 62 + 32 = 36 + 9 = 45.
= −28 − 21𝑖 − 4𝑖 − 3𝑖 2 b) 𝑧̅ = 2𝑖 + 1 = 1 + 2𝑖.
= −28 − 25𝑖 + 3 = −25 − 25𝑖. 𝑧𝑧̅ = 12 + 22 = 1 + 4 = 5.
c) (2 − 𝑖)(1 + 𝑖√3) c) 𝑧̅ = −5𝑖.
= 2 + 2𝑖√3 − 𝑖 − 𝑖 2 √3 𝑧𝑧̅ = 02 + 52 = 25.
= (2 + √3) + 𝑖(−1 + 2√3). d) 𝑧̅ = 1.
𝑧𝑧̅ = 12 + 02 = 1.
Exercice 10
a) (3 − 5𝑖)2 = 32 − 30𝑖 + 25𝑖 2 Exercice 16
= 9 − 30𝑖 − 25 = −16 − 30𝑖. 1 1 × (𝟏 − 𝟑𝒊) 1 − 3𝑖
a) 𝑧1 = 1 + 3𝑖 = (1 + 3𝑖) × (𝟏 − 𝟑𝒊) = 12 +32
b) (2𝑖)3 = 23 × 𝑖 3 = 8𝑖 × 𝑖 2 = −8𝑖. 1 − 3𝑖 1 3
c) (4 − 3𝑖)2 + (7 − 2𝑖) = = − 𝑖 = 0,1 − 0,3𝑖.
10 10 10
= 16 − 24𝑖 + 9𝑖 2 + 7 − 2𝑖 = 14 − 26𝑖. 1 1 × (2 + 3𝑖) 2 + 3𝑖
b) 𝑧2 = = (2 = 2 2
2 − 3𝑖 − 3𝑖) × (2 + 3𝑖) 2 +3
Exercice 11 2 + 3𝑖 2 3
= = + 𝑖.
2 2 13 13 13
a) (√2 − √2𝑖) = 2 − 2(√2) 𝑖 + 2𝑖 2 1 1 1 × (2 + 𝑖)
c) 𝑧3 = −𝑖 + 2 = 2−𝑖 = (2 – 𝑖) × (2 + 𝑖)
= 2 − 4𝑖 − 2 = −4𝑖.
2 2 2 + 𝑖 2 + 𝑖 2 3
b) (2 + 2𝑖√3) = 4 + 4𝑖√3 + (2√3) 𝑖 2 = 2 = = + 𝑖 = 0,4 + 0,6𝑖.
2 + 1² 5 5 5
= 4 + 4𝑖√3 + 12𝑖 2 = −8 + 4𝑖√3.
c) (1 − 3𝑖)3 = (1 − 3𝑖)(1 − 3𝑖)2 Exercice 17
= (1 − 3𝑖)(1 − 6𝑖 + 9𝑖 2 ) 1+𝑖 (1 + 𝑖) × (𝟏 + 𝒊) 1 + 2𝑖 + 𝑖 2
= (1 − 3𝑖)(−8 − 6𝑖) a) 𝑧1 = 1 – 𝑖 = (1 – 𝑖) × (𝟏 + 𝒊) = 12 + 12
= −8 − 6𝑖 + 24𝑖 + 18𝑖 2 = −8 + 18𝑖 − 18 2𝑖
= −26 + 18𝑖. = = 𝑖.
2
3 + 4𝑖 (3 + 4𝑖) × (1 − 2𝑖)
b) 𝑧2 = 1 + 2𝑖 = (1 + 2𝑖) × (1 − 2𝑖) =
Exercice 12 3 − 6𝑖 + 4𝑖 − 8𝑖² 11 − 2𝑖 11 2
a) Vrai, car 𝑖 2 = −1. 12 + 22
= 5 = 5 − 5 𝑖 = 2,2 − 0,4𝑖.
b) Faux, car 2𝑖 + 3 × 4𝑖 + 1 = 2𝑖 + 12𝑖 + 1 (2𝑖 + 3)(1 + 𝑖) 2𝑖 + 2𝑖 2 + 3 + 3𝑖
c) 𝑧3 = −𝑖 + 2
= 2–𝑖
= 1 + 14𝑖 priorités de calcul. (1 + 5𝑖) × (2 + 𝑖)
c) Faux, (1 + 4𝑖)2 = 1 + 8𝑖 + 16𝑖 2 =
(2 − 𝑖) × (2 + 𝑖)
= −25 + 8𝑖 ≠ 1 − 16.
2 + 𝑖 + 10𝑖 + 5𝑖 2
d) Vrai, 1 − 2(1 − 3𝑖) = 1 − 2 + 6𝑖 =
= −1 + 6𝑖. 22 + 12
−3 + 11𝑖 −3 11
= = + 𝑖 = 0,6 + 2,2𝑖.
5 5 5
Exercice 13
a) 𝑖(1 + 𝑖)(1 − 𝑖)2 = (𝑖 + 𝑖 2 )(1 − 2𝑖 + 𝑖 2 ) Exercice 18
= (𝑖 − 1)(1 − 2𝑖 − 1) a) 2(7 + 10𝑖) = 14 + 20𝑖.
= (𝑖 − 1)(−2𝑖) = 2 + 2𝑖. b) −(1 − 𝑖)2 = −(1 − 2𝑖 + 𝑖 2 ) = −(−2𝑖)
b) 𝑖 5 = 𝑖 × 𝑖 2 × 𝑖 2 = 𝑖 × (−1) × (−1) = 𝑖. = 2𝑖.
c) (1 + 7𝑖)(4 + 𝑖) − (−4 + 𝑖) = 4 + 𝑖 + 2
c) (−(1 − 𝑖)) = (−1 + 𝑖)2 = 1 − 2𝑖 + 𝑖 2
28𝑖 + 7𝑖 2 + 4 − 𝑖 = 1 + 28𝑖.
= −2𝑖.
Exercice 19
a) (1 − 2𝑖) − (3 + 5𝑖) = −2 − 7𝑖
b) (𝑖 − 4)(2 + 6𝑖) = 2𝑖 + 6𝑖 2 − 8 − 24𝑖
= −14 − 22𝑖.
4𝑖 + 2 (4𝑖 + 2)(3 − 𝑖) 12𝑖 − 4𝑖 2 +6 − 2𝑖
c)
3+𝑖
= (3 + 𝑖)(3 − 𝑖) = 9+1
10 + 10𝑖
= 10 = 1 + 𝑖.
Exercice 20 Exercice 25
a) (15 + 4𝑖) − (11 − 25𝑖) = 4 + 29𝑖.
b) (3 + 2𝑖)(5 + 6𝑖) = 15 + 18𝑖 + 10𝑖 +
12𝑖 2 = 3 + 28𝑖.
6 + 3𝑖 (6 + 3𝑖)(1 + 5𝑖) 6 + 30𝑖 + 3𝑖 + 15𝑖 2
c) 1 − 5𝑖 = (1 − 5𝑖)(1 + 5𝑖) = 12 + 52
6 + 33𝑖 − 15 −9 + 33𝑖
= 26
= 26
.
Exercice 21
(2 + 𝑖)(3 − 2𝑖) 6 − 4𝑖 + 3𝑖 − 2𝑖 2
a) 1+𝑖
= 1+𝑖
=
(8 − 𝑖)(1 − 𝑖) 8 − 8𝑖 − 𝑖 + 𝑖 2 7 − 9𝑖
= = .
(1 + 𝑖)(1 − 𝑖) 12 + 12 2
1 1 3 – 𝑖 – (3 + 𝑖) −2𝑖 −2𝑖
b) 3 + 𝑖 − 3 – 𝑖 = (3 + 𝑖)(3 – 𝑖) = 32 + 12 = 10
= −0,2𝑖. Exercice 26
(1 – 𝑖)3 (1 – 𝑖)(1 − 2𝑖 + 𝑖 2 ) (1 – 𝑖)(−2𝑖) a) 𝑧𝐴 = 5, 𝑧𝐵 = 1 − 3𝑖, 𝑧𝐶 = 3 + 3𝑖, 𝑧𝐷 =
c) 3+𝑖
= 3+𝑖
= 3+𝑖
−3 − 2𝑖 et 𝑧𝐸 = −2.
−2𝑖 + 2𝑖 2 −2 − 2𝑖
= = b)
3 + 𝑖 3 + 𝑖
(−2 − 2𝑖)(3 − 𝑖)
=
(3 + 𝑖)(3 − 𝑖)
−6 + 2𝑖 − 6𝑖 + 2𝑖 2 −8 − 4𝑖
= =
32 + 12 10
= −0,8 − 0,4𝑖.
Exercice 22
L’erreur se trouve à la 2e ligne du calcul
lorsqu’elle remplace (1 − 2𝑖)(1 + 2𝑖) par
12 + (2𝑖)² il fallait écrire 12 + 22 = 5.
Exercice 23
L’affixe de A est 𝑧𝐴 = 1 + 2𝑖, celui de B est
𝑧𝐵 = −1 − 0,5𝑖, celui de 𝐶 est 𝑧𝐶 = 2 − 𝑖, 1
𝑧𝐾 = − = −0,2.
celui de D est 𝑧𝐷 = 2,5 + 𝑖 et celui de E est 5
𝑧𝐸 = 1 − 2𝑖.
Exercice 31
Exercice 28
2 2
Remarque : on peut tracer n’importe quel a) |𝑧1 | = |√6 − √3𝑖| = √√6 + √3 =
représentant des vecteurs. La figure
représentée ci-dessous est une solution parmi √6 + 3 = √9 = 3.
toutes celles possibles. 2
b) |𝑧2 | = |𝑖 − √5| = √12 + √5 = √6.
2
c) |𝑧3 | = |2 + 2𝑖√3| = √22 + (2√3) =
√4 + 12 = √16 = 4.
Exercice 32
𝑂𝐴
|𝑧𝐴 | = 14, |𝑧𝐵 | = 𝑂𝐵 = = 7, |𝑧𝐶 | = 𝑂𝐶
2
= 𝑂𝐴 = 14.
Exercice 33
a) |(2 + 3𝑖)(√3 − 𝑖)| = |2 + 3𝑖| × |√3 − 𝑖|
= √4 + 9 × √3 + 1 = 2√13.
5−3𝑖 |5−3𝑖| √52 +3² √34 34
b) | 𝑖−4 | = |𝑖−4|
= 2 = 17 = √17 = √2.
√1 +4² √
(1 + 𝑖)(1 − 4𝑖) |1 + 𝑖| × |1 − 4𝑖|
c) | 2 − 2𝑖 | =
Exercice 29 |2 − 2𝑖|
Exercice 34
a)
Exercice 30
a) |𝑧1 | = |5 + 2𝑖| = √52 + 22 = √25 + 4
= √29.
b) |𝑧2 | = |20𝑖| = √02 + 20² = √20² = 20.
c) |𝑧3 | = |−3 + 4𝑖| = √(−3)2 + 42
= √9 + 16 = √25 = 5.
Exercice 35
a) Vrai, car son point image sera alors situé sur
le demi-axe des abscisses à droite.
𝜋
b) Faux, par exemple −𝑖 a pour argument − 2 .
c) Faux, ils se trouvent sur une même demi-
droite d’origine 𝑂.
d) Vrai, c’est même un nombre réel positif.
Exercice 36
𝜋 𝜋 2𝜋
𝑧𝐴 = [3; 6 ] , 𝑧𝐵 = [4; − 3 ] , 𝑧𝐶 = [4; 3
] , 𝑧𝐷 =
3𝜋 𝜋 𝜋
[1; 4
] , 𝑧𝐸 = [3; 6 ] et 𝑧𝐹 = [3; 2 ].
Exercice 37
𝜋
On a donc 𝑧1 = [8; ] le module de 𝑧1 est 8 et
2
𝜋 𝜋
un argument est , 𝑧2 = [2; − ] : module 2
2 2
𝜋
et argument − 2 ; 𝑒𝑡 𝑧3 = [5; 𝜋] module : 5 et
argument : 𝜋.
Exercice 40
𝜋
a) 𝑧0 = [7; − 2 ] = −7𝑖.
𝜋 𝜋 𝜋
b) 𝑧1 = [6 ; 3 ] = 6 cos ( 3 ) + 6𝑖 sin ( 3 )
= 3 + 3𝑖√3.
𝜋 𝜋 𝜋
c) 𝑧2 = [5 ; 4 ] = 5 cos ( 4 ) + 5𝑖 sin ( 4 )
5√2 5𝑖√2
= 2
+ 2 .
Exercice 38
Exercice 41
a) 𝑧1 = −1 + 𝑖.
Donc |𝑧1 | = √12 + 1² = √2.
On note θ1 un argument de 𝑧1 , on a
1 √2
cos(θ1 ) = − =− 2 3𝜋
√2
{ donc θ1 = 4
.
1 √2
sin(θ1 ) = = 2
√2
b) 𝑧2 = −1 + 𝑖√3.
Donc |𝑧2 | = √12 + √3² = √4 = 2.
On note θ2 un argument de 𝑧2 , on a
1
cos(θ2 ) = − 2 2𝜋
{ √3
donc θ2 = 3
.
sin(θ2 ) = 2
Exercice 42
a) 𝑧1 = −2√3 + 2𝑖.
2
Donc |𝑧1 | = √(2√3) + 2² = √12 + 4 = 4.
On note θ1 un argument de 𝑧1 , on a
−2√3 √3
cos(θ1 ) = 4
=− 2 5𝜋
{ 2 1
donc θ1 = 6
.
sin(θ1 ) = 4 = 2
b) 𝑧2 = −√2 − 𝑖√2.
2
Donc |𝑧2 | = √√2 + √2² = √4 = 2.
On note θ2 un argument de 𝑧2 , on a
√2
cos(θ2 ) = − 2 3𝜋
{ donc θ2 = − 4
. b) |𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 | = |5,5 + 1,5𝑖 − (2 + 2𝑖)|
√2
sin(θ2 ) = −2
= |3,5 − 0,5𝑖| = √3,52 + 0,52 = √12,5.
c) 𝑧3 = 2 − 2𝑖.
|𝑧𝑐 − 𝑧𝐴 | = |2,5 + 5,5𝑖 − (2 + 2𝑖)|
Donc |𝑧3 | = √22 + 2² = √8 = 2√2. = |0,5 − 3,5𝑖| = √0,52 + 3,52 = √12,5.
On note θ3 un argument de 𝑧3 , on a |𝑧𝐶 − 𝑧𝐵 | = |2,5 + 5,5𝑖 − (5,5 + 1,5𝑖)|
2 √2
cos(θ3 ) = 2 = 2 𝜋 = |−3 + 4𝑖| = √32 + 42 = √25 = 5.
√2
{ donc θ3 = − 4 .
−2 √2 c) Les modules calculés précédemment
sin(θ3 ) = 2√2
=− 2
correspondent respectivement aux distances
AB, AC et BC.
Exercice 43
a) To find real and imaginary parts of 𝑧, we On a AB = AC =√12,5 donc le triangle est
have to find the algebraic form first. isocèle en A.
−2𝑖 −2𝑖(−√3 − 𝑖) 2𝑖√3 + 2𝑖 2 De plus, AB 2 + AC 2 = 12,5 + 12,5 = 25 et
𝑧= = =
−√3 + 𝑖 (−√3 + 𝑖)(−√3 − 𝑖) 3 + 1 BC 2 = 25 donc AB 2 + AC 2 = BC², d’après la
−2 + 2𝑖√3 1 𝑖 √3 réciproque du théorème de Pythagore le
= 4
= −2 + 2
.
triangle ABC est rectangle en A.
1 √3
The real part is − 2, the imaginary part is 2
.
b) The absolute value of 𝑧 is : Exercice 45
2 2 1. a) A (0 ; 3) donc 𝑧𝐴 = 3𝑖.
1 √3 1 3
|𝑧| = √(− ) + ( ) = √ + = √1 = 1. 𝜋 𝜋 𝜋
b) 𝑧𝐴 = [3; 2 ] = 3 cos ( 2 ) + 𝑖 3 sin ( 2 ) .
2 2 4 4
𝜋
c) An argument 𝜃 of the complex number z : 2. a) 𝑧𝜋 = [1; 2 ] = 𝑖.
1 2
cos(θ) = − 2 2𝜋 b) 𝑧𝐴′ = 𝑧𝐴 × 𝑧𝜋 = 3𝑖 × 𝑖 = −3.
{ √3
hence θ = . 2
3 3√3 3
sin(θ) = 2 𝑧𝐵′ = 𝑧𝐵 × 𝑧𝜋 = 𝑖+ .
d) The trigonometric form is : 2 2 2
5𝜋 5𝜋
2𝜋 2𝜋 𝑧𝐶 ′ = 𝑧𝐶 × 𝑧𝜋 = (3 cos (−
) + 𝑖 3 sin ( )) × 𝑖
2 6 6
𝑧 = cos ( ) + 𝑖 sin ( ). 3√3 3𝑖 3√3 3
3 3 = (− − )×𝑖 = − 𝑖+ .
2 2 2 2
Exercice 48
1. Proposition C.
2. a) 𝑧 a pour module 70 et pour argument
𝜋
− 3 , le point d’impact se situe en G4.
b) Il faut déterminer la forme trigonométrique
de 𝑧. On a :
|𝑧| = √452 × 3 + 45² = √4 × 45² = 2 ×
d) |𝑧𝐸 | = √3,52 + 2² = √16,25 ≠ 4 donc E 45 = 90 l’impact est donc dans le secteur 5.
n’appartient pas au cercle 𝒞 (même si sur la 45√3 √3
figure on en a l’impression). cos(θ) = − 90
=− 2 5𝜋
{ 45 1
donc θ = 6
.
e) L’affixe d’un point M vérifie |𝑧| ≤ 4 si et sin(θ) = =
90 2
seulement si OM ≤ 4 c’est-à-dire si et
Le cadran est le cadran D.
seulement si Mest dans le disque fermé de
centre O et de rayon 4. L’impact de la foudre se positionne en D5.
Exercice 47 Exercice 49
𝑅 2𝜋
1. 𝑍 = 𝑅 + = 103 + Un argument de 𝑧𝐴 est − 3
c’est une mesure
1 + 𝑗𝑅𝐶𝜔
103 103 ⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
de l’angle orienté (𝑢 OA).
1+𝑗 × 103 × 0,1.10−6 × 104
= 103 + 1 + 𝑗
1 𝑖√3
3
1 𝑧𝐵 = 2 + 2𝑖√3 = 4 ( + )
= 10 (1 + ) 2 2
1 + 𝑗
𝜋 𝜋
1+𝑗+1 2+𝑗 = 4 (cos ( ) + 𝑖 sin ( )) donc un argument
= 103 ( ) = 103 × . 3 3
1+𝑗 1+𝑗 𝜋
2+𝑗 (2 + 𝑗)(1 – 𝑗) de 𝑧𝐵 est , c’est une mesure de l’angle
2. 𝑍 = 103 × 1 + 𝑗 = 103 × (1 + 𝑗)(1 – 𝑗) 3
⃗⃗⃗⃗⃗ ).
⃗ , OB
orienté (𝑢
3
2 − 2𝑗 + 𝑗 − 𝑗 2
= 10 × = Les points O, A et B sont donc alignés.
2
36
= √ 4 = 3, |𝑧𝐹 | = |𝑧̅̅̅|
𝐵 = 3.
Exercice 51
On fait une figure dans laquelle on place : O,
A, B et F :
Partie B
1. 3(𝑥 + 1)(𝑥 − 2) = 3(𝑥 2 − 2𝑥 + 𝑥 − 2) = 3(𝑥 2 − 𝑥 − 2) = 3𝑥 2 − 3𝑥 − 6
2.
x –3 –1 2 4
Signe de 𝒇′(𝒙) + 0 – 0 +
Exercice 7
Correction des exercices b) 𝑓(2) = −2.
pages 364 à 371 d) 𝑓(−1) = −2 ; 𝑓(1) = 0.
e) 𝑇𝐸 : 𝑦 = 9(𝑥 − 3) + 2 = 9𝑥 − 25.
Exercice 1 f)
5
a) 𝑓(−3) = 6 𝑓(−2) = 2 = 2,5 𝑓(−1) = 0.
b) 𝑓’(−3) = −4 𝑓’(−2) = −3. Le coefficient
directeur de la tangente au point D vaut 2.
c) 𝑓(1) = −2 𝑓’(1) = 0 et𝑓(3) = 0𝑓’(3) = 2.
Exercice 2
3 −1 −1
a) 𝑔(2) = 2
, 𝑔(2) = −1 𝑔(3) = 2
.
3
b) 𝑔’(2) = 0, 𝑔’(3) = 4. Le coefficient
3
directeur de la tangente en A vaut 𝑔’(2) = 3.
Exercice 3
1 1 5
a) 𝑦 = 2 (𝑥 − 1) + 3 = 2 𝑥 + 2.
√2 𝜋 1
b) 𝑦 = 2
(𝑥 + 4 ) + 2.
Exercice 10 Exercice 13
𝜋 𝜋
a) 𝑓’(𝑡) = −2sin(2𝑡 + ). a) 𝑓’(𝜋⁄6) = 2 et 𝑇𝑎 : 𝑦 = 2(𝑥 − ) + 3.
4 6
b) 𝑓’(𝑥) = 2𝑥(2 − 𝑥 3 ) + (𝑥 2 + 1)(−3𝑥 2 ) b) 𝑓’(−1) = 0 et 𝑇𝑎 : 𝑦 = 1.
= −5𝑥 4 − 3𝑥 2 + 4𝑥. c) 𝑓’(1) = 0 et 𝑇𝑎 : 𝑦 = 1.
c) 𝑓’(𝑡) = 2cos(2𝜋𝑡) − 2𝜋(2𝑡 − 1)sin(2𝜋𝑡).
d) 𝑓’(𝑥) = (4𝑥 − 1)(3𝑥³ + 5𝑥) + (2𝑥 2 − 𝑥 + Exercice 14
𝜋
1)(9𝑥 2 + 5) = 30𝑥 4 − 12𝑥 3 + 39𝑥 2 − a) 𝑓’(𝑥) = −2𝜋sin(2𝜋𝑥 − ) ; 𝑓’(0) = 𝜋√2 et
4
10𝑥 + 5. −√2
2 𝑇𝑎 : 𝑦 = 𝜋√2𝑥 + 2
.
e) 𝑓’(𝑡) = 9 − 18𝑡 − . −4𝑥 + 1 −1
𝑡²
b) 𝑓’(𝑥) = 2 ; 𝑓’(1) = ;
f) 𝑓′(𝑥) = 2cos(2𝑥)(2 − 3𝑥) − 3sin(𝑥). (2𝑥 − 𝑥 + 2)² 3
1 −1 1 −1 2
𝑓(1) = 3 et 𝑇𝐴 : 𝑦 = 3 (𝑥 − 1) + 3 = 3 𝑥 + 3.
Exercice 11 −𝑥 2 − 4𝑥 + 3 4
c) 𝑓’(𝑥) = (𝑥 2 − 𝑥 + 1)2 ; 𝑓’(2) = −1 ; 𝑓(2) = 3
−2
a) 𝑓’(𝑥) = (2𝑥 − 3)2. 4
et 𝑇𝑎 : 𝑦 = −(𝑥 − 2) + .
−2𝑡 3
b) 𝑓’(𝑡) = (𝑡 2 + . 2
√3)² d) 𝑓’(𝑥) = 3𝑥 − 2𝑥 − 2 ; 𝑓’(−1) =
−cos(𝑥)
c) 𝑓’(𝑥) = . 3 ;𝑓(−1) = 1 et 𝑇𝑎 : 𝑦 = 3(𝑥 + 1) + 1
sin(𝑥)²
= 3𝑥 + 4.
Exercice 15
a)
𝒙 –3 5
Signe de𝒇’(𝒙) +
4
Variation de 𝒇
–2
𝒙 –1 2 6
Signe de 𝒇’(𝒙) + 0 –
5
Variation de 𝒇
3 1
c)
𝒙 1 2 3 4
𝒇’(𝒙) + 0 – 0 +
2 3
𝒇
–2 1
d)
𝒙 –2 0 1 3
𝒇’(𝒙) – 0 + 0 –
4 3
𝒇
1 2
e)
𝒙 –3 –1 1 3 5
𝒇’(𝒙) + 0 – 0 – 0 +
1 5
𝒇
–2 2 –1
Exercice 16
a)
𝒙 –2 3
𝒇’(𝒙) 0 – 0
2
𝒇
1
b)
𝒙 0 1 3 4
𝒇’(𝒙) – 0 + 0 –
1
𝒇
2 2 1
𝒙 –1,5 –1 0 2 3
𝒇’(𝒙) – 0 + 0 + 0 –
2 0 1
𝒇
–3,5 0
Exercice 17
a) 𝑓1 ’(𝑥) = 2𝑥 − 2.
𝒙 –2 1 4
𝒇𝟏 ’(𝒙) – 0 +
7 7
𝒇𝟏
–2
𝒙 −∞ –2 2 +∞
𝒇𝟐 + 0 – 0 +
31
–17
𝒙 −∞ –6 0 +∞
𝒇𝟑 ’(𝒙) + 0 – 0 +
30
𝒇𝟑
–6
𝒙 −∞ –3 1 +∞
𝒇𝟒 ’(𝒙) + 0 – 0 +
25
𝒇𝟒
–9
𝒙 3 +∞
𝒇𝟏 ’(𝒙) +
𝒇𝟏
3(𝑥 2 +1)
b) 𝑓2 ’(𝑥) = (1−𝑥)2 (2𝑥+1)2.
1
𝒙 − 1
2
𝒇’𝟐 (𝒙) +
𝒇𝟐
= 4𝑥(3(𝑥 − 1)2 + 2)
𝒙 −∞ 0 +∞
𝒇𝟑 ’(𝒙) – 0 +
𝒇𝟑
−3
𝒙 −∞ −√3 0 √3 +∞
𝟓𝒙𝟐 + + 0 + +
(𝒙𝟐 − 𝟑) + 0 – – 0 +
𝒇𝟒 ’(𝒙) + 0 – 0 – 0 +
≈ 18,39
𝒇𝟒 8
≈ 2,39
Exercice 19
a) 𝑓’(𝑥) = 3 + 2cos(2𝑥).
b) Pour tout réel x on a : −1 ≤ cos(2𝑥) ≤ 1 ⇔ −2 ≤ 2cos(2𝑥) ≤ 2 ⇔ 1 ≤ 3 + 2cos(2𝑥) ≤ 5.
c) 𝑓’(𝑥) ≥ 0.
Exercice 20
𝜋
a) 𝑓’(𝑡) = 6cos(3𝑡 − 6 ).
𝜋 𝜋 𝜋 𝜋 5𝜋 𝜋 −𝜋 5𝜋
b) Pour[0 ; 3 ]on a : 0 ≤ 𝑡 ≤ 3
⇔ 0 ≤ 3𝑡 ≤ 𝜋 ⇔ − 6 ≤ 3𝑡 − 6 ≤ 6
et donc 3𝑡 − 6 ∈ [ 6 ; 6
].
𝜋 −√3 √3
c) Pour 𝑡 ∈ [0; 3 ] on a
2
≤ 𝑔(𝑡) ≤ 2 .
𝜋 𝜋 −𝜋 5𝜋
d) Comme pour 𝑡 ∈ [0; ] le signe de 𝑓’(𝑡) = 6𝑔(𝑡) est celui de 𝑔(𝑡) et qu’on a 3𝑡 − ∈ [ ; ], on
3 6 6 6
𝜋 𝜋 𝜋 4𝜋 2𝜋
en déduit : 𝑓’(𝑡) = 0 ⇔ cos(3𝑡 − 6 ) ⇔ 3𝑡 − 6 = 2 ⇔ 3𝑡 = 6
⇔𝑡= 9
.
2𝜋 𝜋
𝒕 0
9 3
𝒇’(𝒕) + –
2𝜋 𝜋
𝒕 0
9 3
𝒇’(𝒕) + –
2
f
−1 1
Exercice 21
a) 𝑓’(𝑥) = 1 − √2sin(𝑥√2).
√2
b) 𝑓’(𝑥) ≥ 0 ⇔ 1 − √2sin(𝑥√2) ≥ 0 ⇔ 1 ≥ √2sin(𝑥√2) ⇔ 2
≥ sin(𝑥√2).
√2 𝜋 3𝜋 𝜋 3𝜋
c) 𝑓’(𝑥) ≤ 0 ⇔ ≤ sin(𝑥√2) ⇔ ≤ 𝑥√2 ≤ ⇔ ≤𝑥 ≤ .
2 4 4 4√2 4√2
d)
𝜋 3𝜋
𝒙 0 𝜋
4√2 4√2
𝒇’(𝒙) + – +
≈ 1,26 ≈ 2,88
𝒇
1 ≈ 0,96
𝒈(𝒙)
2
𝒙 −∞ –1 2 +∞
(𝒙 + 𝟏) – 0 + +
(𝒙 − 𝟐) – – 0 +
𝒙𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟑 + + +
−𝟔(𝒙 + 𝟏)(𝒙 − 𝟐)
+ 0 – 0 +
(𝒙𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟑)𝟐
𝒇’(𝒙)
−𝟔(𝒙 + 𝟏)(𝒙 − 𝟐) – 0 + 0 –
=
(𝒙𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟑)𝟐
−3
𝒇 2
3
g) Voir ci-dessus.
Exercice 23 Exercice 24
a) 𝑣(𝑡) = 𝑦’(𝑡) = −𝑔𝑡. a) Graphiquement 𝑓(0) = 2 et 𝑓(2) = 0.
b) À l’instant 𝑡0 où la pierre percute le sol on b) On a donc
1
a : 0 = 𝑦(𝑡0 ) = 𝐻 − 2 𝑔𝑡0² . 2 = 𝑓(0) = 0,125 × 0³ + 𝑎 × 0 + 𝑏 = 𝑏
{
2𝐻 0 = 𝑓(2) = 0,125 × 23 + 2𝑎 + 𝑏 = 1 + 2𝑎 + 𝑏
Donc = 𝑡₀2 et comme 𝑡0 > 0 on a :
𝑔 𝑏=2
c’est-à-dire { .
2𝐻 2 × 20 2𝑎 + 𝑏 = −1
𝑡0 = √ =√ ≈ 2,02 s. c) 𝑓(𝑥) = 0,125𝑥³ − 1,5𝑥 + 2.
𝑔 9,81
La vitesse (algébrique) d’impact vaut : d) 𝑓’(𝑥) = 0,375𝑥²– 1,5.
𝑣(𝑡0 ) = −𝑔𝑡₀ = −9,81 × 2,02 ≈ e) Le coefficient directeur de la tangente à la
3 600 courbe en A est 𝑓’(2) = 0,375 × 4 − 1,5 = 0.
−19,81 ms−1 soit 𝑣(𝑡0 ) ≈ −19,81 1 000 ≈
La tangente est donc horizontale et passe par
−71,31 kmh−1.
A qui est sur l’axe des abscisses. La tangente
c) La vitesse d’impact est la valeur absolue
est donc confondue avec l’axe des abscisses
(positive) de v(t₀) (qui compte positivement la
f) On calcule pour 𝑥 ∈ [0 ; 2] :
vitesse dirigée vers le haut alors que la pierre
0,375(𝑥 − 2)(𝑥 + 2) = 0,375(𝑥 2 − 4)
tombe) :
= 0,375𝑥² − 1,5 = 𝑓’(𝑥).
𝑣(𝑡₀) ≈ 71,31 kmh−1 ≥ 70 kmh−1.
Exercice 27
a) 𝑓’(𝑥) = cos(𝑥) + cos(2𝑥).
b) 𝑓’(𝑥) = cos(𝑥) + cos(2𝑥) = cos(𝑥) + 2cos(𝑥)2 − 1 = 2cos(𝑥)2 + cos(𝑥) − 1.
c) (𝑢 + 1)(2𝑢 − 1) = 2𝑢2 − 𝑢 + 2𝑢 − 1 = 2𝑢2 + 𝑢 − 1 = 𝑔(𝑢).
1
d) On a 𝑔(𝑢) = 0 si et seulement si 𝑢 = −1 ou 𝑢 = 2. Donc pour 𝑥 ∈ [0; 𝜋] on a 𝑓’(𝑥) = 0 si et
1
seulement si 𝑔(cos(𝑥)) = 0 c’est-à-dire si et seulement si cos(𝑥) = −1 ou cos(𝑥) = 2 c’est-à-dire si
𝜋 𝜋
et seulement si 𝑥 = 𝜋 ou 𝑥 = 3 . Les tangentes au point d’abscisses 𝑥 = 𝜋 et 𝑥 = 3 sont horizontales
et ont pour équations 𝑇𝜋 : 𝑦 = 𝑓(𝜋) = 0 et 𝑇𝜋⁄3 : 𝑦 = 𝑓(𝜋⁄3) = 3√34.
e)
𝜋
𝒙 0 𝜋
3
𝒇’(𝒙) 2 + 0 – 0
f) La courbe de 𝑓’ est positive sur [0; 𝜋⁄3] et négative ensuite.
g)
𝜋
𝒙 0 𝜋
3
𝒇’(𝒙) 2 + 0 – 0
3√3
4
0 0
Exercice 28
a) 𝑓(0) = 2 et donc 𝑏 = 2.
𝑓(2) = 6 et donc 8𝑎 + 12 + 𝑏 = 6.
𝑏=2 𝑏=2 𝑎 = −1
Le système cherché est :{ ⇔{ ⇔{ .
8𝑎 + 12 + 𝑏 = 6 8𝑎 = 6 − 14 = −8 𝑏=2
3 2 2
b) 𝑓(𝑥) = −𝑥 + 3𝑥 + 𝑏 et 𝑓’(𝑥) = −3𝑥 + 6𝑥.
c) On a 𝑓’(0) = 0. La tangente à la courbe en C est donc horizontale comme le segment [BC].
d) 𝑓’(3) = −27 + 18 = −9. Le coefficient directeur de la tangente en 𝐸 est donc égal à −9.
La droite (EF) est verticale, car E et F ont la même abscisse 3. On en déduit que la droite (EF) n’est
pas la tangente en E à la courbe représentative de 𝑓.
e) 𝑓’(𝑥) = −3𝑥 2 + 6𝑥 = −3𝑥(𝑥– 2).
𝒙 0 2 3
𝒇’(𝒙) 0 + 0 – –9
6
𝒇
2 2
f) Voir ci-dessus.
Exercice 29
a) 𝑔’(𝑥) = 𝑢’(𝑥)𝑣(𝑥) + 𝑢(𝑥)𝑣’(𝑥) = 2𝑢’(𝑥)𝑣(𝑥) avec 𝑢(𝑥) = 𝑣(𝑥) = 𝑥 2 + 300 et 𝑢’(𝑥) = 𝑣’(𝑥)
= 2𝑥. On a donc 𝑔’(𝑥) = 4𝑥(𝑥 2 + 300).
𝑢(𝑥)
b) La fonction f est de la forme𝑓(𝑥) = 50 000 𝑣(𝑥) avec 𝑢(𝑥) = 𝑥 et 𝑣(𝑥) = (𝑥 2 + 300)².
2
𝑢’(𝑥)𝑣(𝑥) − 𝑢(𝑥)𝑣’(𝑥) (𝑥 2 + 300) − 𝑥(4𝑥(𝑥 2 + 300)) 𝑥 2 + 300 − 4𝑥 2
Ainsi : 𝑓’(𝑥) = 50 000 𝑣(𝑥)2
= 50 000 (𝑥 2 + 300)4
= 50 000 (𝑥 2 + 300)3
.
−3𝑥 2 + 300
Donc 𝑓’(𝑥) = 50 000 (𝑥 2 + 300)3.
c) Comme 𝑥 2 + 300 est toujours positif, il en est de même pour (𝑥 2 + 300)³ ainsi que de 50 000 et
le signe de 𝑓’(𝑥) est celui de −3𝑥 2 + 300 = −3(𝑥 2 − 100). Ainsi pour 𝑥 ∈ [0,60] :
𝑓’(𝑥) ≥ 0 ⇔ −3(𝑥 2 − 100) ≥ 0 ⇔ 𝑥 2 − 100 ≤ 0 ⇔ 𝑥² ≤ 100 ⇔ 0 ≤ 𝑥 ≤ 10 car nécessairement
𝑥 ≥ 0.
𝒙 0 10 60
𝒇’(𝒙) + 0 –
1 250
𝒇
0 769
d) Voir ci-dessus.
e) L’extraction est maximale au bout de 10 semaines et vaut 1 250 milliers de tonnes de sable.
Exercice 30
𝑥 2 − 6𝑥 + 10 = (𝑥 − 3)2 + 1 ≥ 0 donc la fonction f est définie et dérivable sur ℝ.
𝑢’(𝑥)𝑣(𝑥) − 𝑢(𝑥)𝑣’(𝑥) −4𝑥 2 + 24𝑥 − 32
𝑓’(𝑥) = 𝑣(𝑥)2
= (𝑥 2 − 6𝑥 + 10)²
est du signe de −4𝑥 2 + 24𝑥 − 32 = −4(𝑥 2 − 6𝑥 + 8) =
−4(𝑥 − 2)(𝑥 − 4).
𝒙 −∞ 2 4 +∞
(𝒙 − 𝟐)(𝒙 − 𝟒) + 0 – 0 +
𝒇’(𝒙) – 0 + 0 –
2
–2
Les tangentes à la courbe aux points d’abscisses 2 et 4 sont horizontales. On calcule 𝑓(3) = 0 et
𝑓’(3) = 4 et on obtient :
𝑇₂ ∶ 𝑦 = −2, 𝑇₄ ∶ 𝑦 = 2 et 𝑇₃ ∶ 𝑦 = 4(𝑥 − 3) = 4𝑥 − 12.
Exercice 31
a) 𝑓’(𝑡) = 2sin(20𝑡).
b) La vitesse est nulle si et seulement si f’(x) c’est-à-dire si et seulement si :
𝜋
2sin(20𝑥) = 0 ⇔ 20𝑥 = 0 ou 20𝑥 = 𝜋 ou 20𝑥 = 2𝜋 donc si et seulement si 𝑥 = 0 ou 𝑥 = 20 ou
𝜋
𝑥= .
10
Exercice 32
1. 𝑥 est la distance horizontale parcourue 𝑦 est la hauteur de la fléchette lorsqu’elle a parcouru une
distance horizontale 𝑥.
2. La condition θ ≠ 0 signifie que le tir n’est pas vertical.
−1 sin(θ) −1 sin(θ)
3. On a y = 0 si et seulement si 0 = 𝑥2 + 𝑥 = 𝑥( 𝑥+ ) c’est-à-dire si et
8cos(𝜃)2 cos(θ) 8cos(θ)2 cos(θ)
𝑥 sin(θ)
seulement si 𝑥 = 0 ou 8cos(θ) = cos(θ)
donc si et seulement si 𝑥 = 0 ou 𝑥 = 8sin(θ)cos(θ).
4. a) 𝑓’(θ) = 8cos(2θ)sin(2θ).
b)
𝜋 𝜋
𝒙 0
4 2
𝒇’(𝒙) + 0 –
4
𝒇
c) Voir ci-dessus.
𝜋
d) La fonction 𝑓 admet un maximum pour θ = 4 .
𝜋
5. La distance de tir est maximale pour θ = 4 .
6. Si la cible est à une distance plus grande que la distance de tir maximale, aucun angle ne permet
de l’atteindre ; si elle est exactement à la distance maximale un seul angle permet de l’atteindre ;
deux angles permettent d’atteindre la cible dans les autres cas.
Testez vos prérequis page 372 chapitre que ce sont les seules fonctions dont
la dérivée est égale à −𝑔.
1. B
2. C 4. Puisque 𝑎(𝑡) = 𝑣 ′ (𝑡), on peut réécrire le
3. A résultat de la question 1. : 𝑣 ′ (𝑡) = −𝑔.
4. B D’après la question précédente,
𝑣(𝑡) = −𝑔𝑡 + 𝐶 avec 𝐶 un nombre réel.
Correction des activités Comme la bille est lâchée sans vitesse initiale
pages 374 à 377 𝑣(0) = 0, cela signifie que −𝑔 × 0 + 𝐶 = 0
donc 𝐶 = 0 𝑣(𝑡) = −𝑔𝑡.
Activité 1
5. On pose ℎ1 (𝑡) = 𝑡², on a alors bien
1. Le principe fondamental de la dynamique ℎ1′ (𝑡) = 2𝑡.
𝑔𝑡 2
permet d’écrire : En posant ℎ2 (𝑡) = − 2
on a bien
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = ∑ 𝐹
𝑚𝑎(𝑡) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑒𝑥𝑡 . ℎ2′ (𝑡) =
−𝑔 × 2𝑡
= −𝑔𝑡.
2
Le produit de la masse par l’accélération est
égal à la somme des forces extérieures 6. Puisque la tour mesure 54 m, que la bille est
appliquées. lâchée du haut de la tour et que 𝑦(𝑡) est la
La bille n’étant soumise qu’à son poids, on hauteur de la bille en mètres à l’instant 𝑡, on a
peut écrire : 𝑦(0) = 54.
𝑚𝑎 = 𝑃⃗ = 𝑚𝑔. On a 𝑦 ′ (𝑡) = 𝑣(𝑡), la vitesse de la bille est la
Donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑎(𝑡) = 𝑔 , or le vecteur accélération dérivée de sa position 𝑦, donc 𝑦 ′ (𝑡) = −𝑔𝑡.
étant dirigé vers le bas son sens est opposé à Les seules fonctions qui vérifient ℎ′ (𝑡) = −𝑔𝑡
celui de l’axe vertical donc 𝑎(𝑡) = −𝑔. sont les fonctions dont une expression sur
𝑔𝑡 2
[0; +∞[ est ℎ(𝑡) = − + 𝐶 avec 𝐶 une
2
2. L’accélération est la dérivée de la vitesse on
𝑑𝑣
constante réelle.
a donc : 𝑎(𝑡) = (𝑡), autrement écrit 𝑔𝑡 2
𝑑𝑡 Donc 𝑦(𝑡) = − + 𝐶 avec 𝐶 une constante
′ (𝑡). 2
𝑎(𝑡) = 𝑣
réelle.
3. On prend la fonction 𝑓1 définie sur[0; +∞[ Comme 𝑦(0) = 54 on a 𝐶 = 54 donc
𝑔𝑡 2
par 𝑓1 (𝑡) = −𝑔𝑡, c’est une fonction affine, sa 𝑦(𝑡) = − + 54.
2
dérivée est bien 𝑓1′ (𝑡) = −𝑔.
Pour 𝑓2, on peut considérer la fonction 𝑓2 7. La bille touche le sol à l’instant 𝑡 pour lequel
définie sur [0; +∞[ par 𝑓2 (𝑡) = −𝑔𝑡 + 3, sa 𝑦(𝑡) = 0.
dérivée est également égale à −𝑔, On doit résoudre l’équation :
𝑓2′ (𝑡) = −𝑔. 𝑔𝑡 2 𝑔𝑡 2 54 × 2
− + 54 = 0 ⇔ = 54 ⇔ 𝑡 2 =
On peut prendre n’importe quelle fonction qui 2 2 𝑔
a une expression de la forme : 𝑡 → −𝑔𝑡 + 𝐶 =
108
donc 𝑡 = √
108
≈ 3,3 s.
𝑔 𝑔
avec 𝐶 un nombre réel. Nous verrons dans ce
Activité 2
Partie A
1.
3. La connaissance d’autres nombres dérivés de 𝐹 ainsi que des points de la courbe qui leurs
correspondent permettrait de tracer la courbe avec plus de précision.
Partie B
1.
3. Les courbes représentatives des fonctions F et G ont la même allure, elles sont « parallèles ».
Activité 3
1. Le nombre dérivé est la limite du taux
d’accroissement, on a donc :
𝐹(𝑎 + ℎ) − 𝐹(𝑎)
𝐹 ′ (𝑎) ≈
ℎ
3. L’expression des primitives de 𝑓 est : 𝑥 2 + 𝑘
Ce qui se réécrit 𝐹(𝑎 + ℎ) = 𝐹(𝑎) + ℎ𝐹 ′ (𝑎)
avec 𝑘 une constante réelle.
réponse b).
F étant la primitive de 𝑓, on a 𝐹(𝑥) = 𝑥 2 + 𝑘,
2. a) Voir figure question 2. et comme 𝐹(0) = 1 on a 𝑘 = 1 et donc
b) On a 𝑥1 = 𝑥0 + ℎ = 0 + 0,5 = 0,5. 𝐹(𝑥) = 𝑥 2 + 1.
𝑦1 = 𝐹(𝑥0 + ℎ) ≈ 𝐹(𝑥0 ) + ℎ𝐹 ′ (𝑥0 ) (d’après 4. On trace la courbe représentative de 𝐹 avec
le 1). son approximation par la méthode d’Euler :
𝑦1 ≈ 𝐹(0) + 0,5 × 𝐹 ′ (0) or 𝐹 est une
primitive de 𝑓 donc 𝐹 ′ (𝑥) = 𝑓(𝑥) = 2𝑥 et
𝐹 ′ (0) = 2 × 0 = 0.
𝑦1 ≈ 1 + 0,5 × 0 = 1.
Les coordonnées de 𝐴1 sont donc
𝐴1 (𝑥1 ; 𝑦1 ) = (0,5; 1).
c) 𝑥2 = 𝑥1 + 0,5 = 1.
𝑦2 = 𝐹(𝑥1 + ℎ) ≈ 𝐹(𝑥1 ) + ℎ𝐹 ′ (𝑥1 ) = 𝑦1 +
ℎ𝑓(𝑥1 ) = 1 + ℎ × 2 × 0,5 = 1 + ℎ ≈ 1,5.
d) 𝑥3 = 𝑥2 + 0,5 = 1,5.
𝑦3 = 𝐹(𝑥2 + ℎ) ≈ 𝐹(𝑥2 ) + ℎ𝐹 ′ (𝑥2 ) = 𝑦2 +
ℎ𝑓(𝑥2 ) = 1,5 + ℎ × 2 × 1 = 1,5 + 2ℎ ≈ 2,5. On remarque que les courbes sont
e) On obtient en recommençant de proche en relativement proches.
proche :
𝑥4 = 2 ; 𝑦4 = 4. Activité 4
𝑥5 = 2,5 ; 𝑦5 = 6.
1. La puissance instantanée est constante
𝑥6 = 3 ; 𝑦6 = 8,5. égale à 2 400 Watt entre les instants t = 60 s
𝑥7 = 3,5 ; 𝑦7 = 11,5. et t = 300 s.
𝑥8 = 4 ; 𝑦8 = 15. On a donc P(t) = 2 400 pour t compris entre
𝑥9 = 4,5 ; 𝑦9 = 19. t = 60 s et t = 300 s.
𝑥10 = 5 ; 𝑦10 = 23,5. 2. D’après le cours de physique, 𝐸 = 𝑃 × 𝑡 =
2 400 × 240 = 576 000 J.
3. Une primitive E(t) de P(t) entre les instants
t = 60 s et t = 300 s est : E(t) = 2 400 t.
Exercice 10
−3
a) 𝐹(𝑥) = 2
sin(2𝑥 + 4).
1
b) 𝐹(𝑥) = 𝑥 − sin(2𝑥).
2
2 𝜋 1 𝜋
c) 𝐹(𝑥) = sin (3𝑥 + ) + cos (2𝑥 − ).
3 3 2 6
Exercice 11
𝑥
a) 𝐹(𝑥) = −cos(2𝑥) − 3sin(2) + 5.
1 √3
b) 𝐹(𝑥) = −sin(2𝑥) − 3 cos(3𝑥) + 2
. 𝑥2 3
−2 e) 𝐹(𝑥) = 2𝑥 − 2
+ 2.
c) 𝐹(𝑥) = 3 cos(3𝑥) − √23.
1 𝜋 √3
d) 𝐹(𝑥) = 3 sin(3𝑥 + 3 ) + 6 + 1. Exercice 15
a) 𝐺1 ’(𝑥) = 2cos(𝑥)sin(𝑥)et
1
Exercice 12 𝐺(𝑥) = 2 sin(𝑥)2 .
1 2
a) 𝐹(𝑥) = 4 𝑥 4 − 3 𝑥 3 − 𝑥. b) 𝐹1 (𝑥) = 3cos(𝑥)sin(𝑥)² et
2 1 𝜋 1
b) 𝑥 + 3
sin(3𝑥 + 2
). 𝐹(𝑥) = sin(𝑥)3 .
3