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Ministère de l’Enseignement Supérieur Et de la Recherche Scientifique

UNIVERSITE MENTOURI – CONSTANTINE 1


DEPARTEMENT DE GENIE-MECANIQUE

Option : M1 SEI

EDP

Sous-Groupe N°:03
1-MAKHEBI ABDERRAHMEN
2- Laaribi oussama
3- ZOUBAA HAMDA
4- Ghettout youcef
L’enseignant:

Année universitaire 2020/2021

1
Bibliographie
 V.I. Arnold: Leçons sur les équations aux dérivées partielles, Cassini, 2016.
 Claire David, Pierre Gosselet: Équations aux dérivées partielles - Cours et exercices
corrigés, 2e édition. Dunod, 2015.
 Ahmed Lesfari, Équations différentielles ordinaires et équations aux dérivées partielles -
Cours et exercices corrigés. Ellipses, 2015.
 Édouard Goursat: Leçons sur l'intégration des équations aux dérivées partielles du second
ordre à deux variables indépendantes, tome I. Hachette/BNF, 2014.
 Mourad Choulli, Analyse fonctionnelle - Équations aux dérivées partielles - Cours et
exercices corrigés. Vuibert, 2013.
 Hervé Le Dret, Équations aux dérivées partielles elliptiques non linéaires. Springer, 2013.
 Lionel Roques: Modèles de réaction-diffusion pour l'écologie spatiale. Quae, 2013.
 Pierre Dreyfuss: Introduction à l'analyse des équations de Navier-Stokes. Ellipses, 2012.
 Claude Wagschal: Distributions, analyse microlocale, équations aux dérivées partielles.
Hermann, 2011.
 Claude Zuily: Problèmes de distributions et d'équations aux dérivées partielles. Cassini,
2010.
 Bruno Després : Lois de Conservations Eulériennes, Lagrangiennes et Méthodes
Numériques. Springer/SMAI, 2010.
 Jacques Hadamard: Le problème de Cauchy et les équations aux dérivées partielles linéaires
hyperboliques. Jacques Gabay, 2008.
 Jean Dieudonné: Éléments d'analyse - Tome VIII - Équations fonctionnelles linéaires,
deuxième partie, problèmes aux limites. Jacques Gabay, 2008.
 Bruno Després, François Dubois: Systèmes hyperboliques de lois de conservation. École
polytechnique, 2005.
 Jean Dieudonné: Éléments d'analyse - Tome VII - Équations fonctionnelles linéaires -
Première partie : opérateurs pseudo-différentiels. Jacques Gabay, 2003.
 Claude Zuily: Éléments de distributions et d'équations aux dérivées partielles. Dunod, 2002.
 Jacques-Louis Lions : Quelques méthodes de résolution des problèmes aux limites non
linéaires. Dunod, 2002 (réimpression du texte de 1969).
 Jean-Michel Rakotoson, Jean-Emile Rakotoson : Analyse fonctionnelle appliquée aux
équations aux dérivées partielles. PUF, 1999.
 Denis Serre: Systèmes de lois de conservation. I, Hyperbolicité, entropies, ondes de choc.
Diderot éditeur, 1996.
 Denis Serre: Systèmes de lois de conservation. II, Structures géométriques, oscillation et
problèmes mixtes. Diderot éditeur, 1996.
 A. Martin : Exercices résolus : équations aux dérivées partielles. Dunod, 1991.
 H. Reinhard: Équations aux dérivées partielles - introduction. Dunod, 1991.
 Camille Jordan: Cours d'analyse, tome III, 3e édition. Jacques Gabay, 1991 (réimpression du
texte de 1915).
 Robert Dautray, Jacques-Louis Lions : Analyse mathématique et calcul numérique pour les
sciences et les techniques. Masson, 1984.
 Jean Vaillant: Équations aux dérivées partielles hyperboliques et holomorphes. Hermann,
1984.
 Jacques Chazarain, Alain Piriou : Introduction à la théorie des équations aux dérivées
partielles linéaires. Gauthier-Villars, 1981.
 Serge Colombo : Les équations aux dérivées partielles en physique et en mécanique des
milieux continus. Masson, 1976.
 O.A. Ladyženskaja, N.N. Ural'ceva : Equations aux dérivées partielles de type elliptique.
Dunod, 1968.
 J. Necas : Les méthodes directes en théorie des équations elliptiques. Masson, 1967.

2
 Édouard Goursat: Leçons sur l'intégration des équations aux dérivées partielles du premier
ordre, 2e édition. Hermann, 1921.
 (en) Lars Hörmander, The analysis of linear partial differential operators, Springer-Verlag,
1983-1985. Traité de référence en quatre volumes, par le récipiendaire de la médaille
Fields 1962. Le volume I est sous-titré : Distribution theory and Fourier analysis, et le volume
II : Differential operators with constant coefficients. Les volumes III et IV sont consacrés à la
théorie moderne via les opérateurs pseudo-différentiels.
 (en) Lars Hörmander, Linear Partial Differential Operators, Springer-Verlag, 1963. Ce livre
contient les travaux pour lesquels l'auteur a obtenu la médaille Fields en 1962.
 (en) Yu. V. Egorov et M. A. Shubin (en), Foundations of the Classical Theory of Partial
Differential Equations, Springer-Verlag, 2e éd., 1998 (ISBN 3-540-63825-3). Premier volume d'une
série qui en comporte neuf, écrits pour l'Encyclopaedia of Mathematical Sciences. Les
volumes suivants sont consacrés à la théorie moderne via les opérateurs pseudo-
différentiels.
 (en) Michael E. Taylor (en), Partial Differential Equations - Basic Theory, coll. « Texts in
Applied Mathematics » (no 23), Springer-Verlag, 2e éd., 1999 (ISBN 0-387-94654-3). Premier
volume d'une série qui en comporte trois. Les volumes suivants sont consacrés à la théorie
moderne via les opérateurs pseudo-différentiels.
 (en) Vladimir I. Arnold, Lectures on partial differential equations, Springer-Verlag, 2004 (ISBN 3-
540-40448-1).

3
Introduction
En mathématiques, plus précisément en calcul différentiel, une équation aux
dérivées partielles (parfois appelée équation différentielle partielle et abrégée
en EDP) est une équation différentielle dont les solutions sont les fonctions
inconnues dépendant de plusieurs variables vérifiant certaines conditions
concernant leurs dérivées partielles.
Une EDP a souvent de très nombreuses solutions, les conditions étant moins
strictes que dans le cas d'une équation différentielle ordinaire à une seule
variable ; les problèmes comportent souvent des conditions aux limites qui
restreignent l'ensemble des solutions. Alors que les ensembles de solutions
d'une équation différentielle ordinaire sont paramétrées par un ou plusieurs
paramètres correspondant aux conditions supplémentaires, dans le cas des
EDP, les conditions aux limites se présentent plutôt sous la forme de fonction ;
intuitivement cela signifie que l'ensemble des solutions est beaucoup plus
grand, ce qui est vrai dans la quasi-totalité des problèmes.
Les EDP sont omniprésentes dans les sciences puisqu'elles apparaissent aussi
bien en dynamique des structures ou en mécanique des fluides que dans les
théories de la gravitation, de l'électromagnétisme (équations de Maxwell), ou
des mathématiques financières (équation de Black-Scholes). Elles sont
primordiales dans des domaines tels que la simulation aéronautique, la
synthèse d'images, ou la prévision météorologique. Enfin, les équations les plus
importantes de la relativité générale et de la mécanique quantique sont
également des EDP.
L'un des sept problèmes du prix du millénaire consiste à montrer l'existence et
la continuité par rapport aux données initiales d'un système d'EDP appelé
équations de Navier-Stokes.

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Equations aux Dérivées Partielles
Le caractère particulier d’une équation aux dérivées partielles (EDP) est de
mettre en jeu des fonctions de plusieurs variables (x, y, . . .) → u(x, y, . . .).

Une EDP est alors une relation entre les variables et les dérivées
partielles de u.

Classification d'EDP

 Équation de Laplace
L'équation de Laplace est une EDP de base très importante :
où u=u(x,y,z) désigne la fonction inconnue.

Il est possible d'écrire cette fonction de manière analytique dans certaines


conditions limites et avec une géométrie donnée, par exemple avec des
coordonnées sphériques.En notation d'analyse vectorielle, en utilisant
l'opérateur laplacien Δ
Soit ѱ=(x,y,z,t) fonction d'onde.
Δѱ=0

 Équation de propagation (ou équation des cordes vibrantes)


Cette EDP, appelée équation de propagation des ondes, décrit les phénomènes
de propagation des ondes sonores et des ondes électromagnétiques (dont la
lumière). La fonction d'onde inconnue est notée u(x,y,z,t), t représentant le
temps :

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Le nombre c représente la célérité ou vitesse de propagation de l'onde u.
En notation d'analyse vectorielle, en utilisant l'opérateur laplacien Δ :
Soit ѱ=(x,y,z,t) fonction d'onde.

 Équation de Fourier

Cette EDP est également appelée équation de la chaleur. La fonction u


représente la température. La dérivée d'ordre 1 par rapport au temps traduit
l'irréversibilité du phénomène. Le nombre α est appelé diffusivité thermique du
milieu.
En notation d'analyse vectorielle, en utilisant l'opérateur laplacien Δ :
Soit ѱ=(x,y,z,t) fonction d'onde.

 Équation de Poisson
En utilisant l'opérateur laplacien Δ :

Soient ѱ=(x,y,z,t) ,fonction d'onde et ƿ(x,y,z,t,) densité de charge.

 Équation d'advection

L'équation d'advection en dimension 1 d'espace et de temps décrit le transport


de la quantité μ(x,t) par la vitesse d'advection α

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Elle a pour solution :

L'équation d'advection joue un rôle fondamental dans l'étude des méthodes de


résolution numérique par la méthode des volumes finis des systèmes
hyperboliques de lois de conservation comme les équations d'Euler en
dynamique des fluides compressibles.

 Équation d'onde de Langmuir

Soient ѱ=(x,y,z,t) ,fonction d'onde et ƿ(x,y,z,t,) densité de charge.

Cette équation décrit des ondes électriques


longitudinales en propagation dans un plasma.

 Équation de Stokes
Le système de Stokes, qui décrit l'écoulement d'un fluide newtonien
incompressible en régime permanent et à faible nombre de Reynolds,
s'écrit :

 Équation de Schrödinger

 Équation de Klein-Gordon
Soit ѱ=(x,y,z,t) fonction d'onde.

7
E.D.P. linéaires du second ordre

Définition
On appelle E.D.P. linéaire d’ordre inférieur ou égal à 2 dans un domaine

Ω ⸦ RN et d’inconnue. Ф :⸦  R

Par convention, on supposera que aij (x) = aji(x)


h(x) est souvent appelé terme source de l’équation
Ω ⸦RN est le lieu où l’on étudie l’équation. N est la dimension, i.e. aussi le
nombre de variables dont dépend Ф Il pourra varier de 2 à 4. Dans la suite, on
écrira Ф(x)
où x ϵ Ω admet N composantes, notées x = (x1, x2, ..., xN ). On écrira aussi
indifféremment
Ф(x1, x2, ..., xN)

Figure- Exemple de domaine dans R2

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Équations aux dérivées partielles du second ordre
Nous ne considérons ici que des EDP du second ordre dont l’inconnue est une
fonction réelle u de deux variables définie sur un ouvert Ω de R2 .

Définition :

Une EDP quasi-linéaire du second ordre est une EDP de la forme :

(4.1)

L’inconnue est u. Toutes les EDP vues jusqu’à présent sont quasi-linéaires. En
revanche l’équation suivante ne l’est pas :

Caractéristiques
Commençons par un petit retour sur les courbes paramétrées de R 2 . Soit Γ : x =
φ(t), y = ψ(t) une courbe de R 2 dont tout point est régulier, c’est-à-dire tel que :

On cherche maintenant une solution de (4.1) avec la condition supplémentaire


sur

Γ : on suppose connue la valeur de u sur Γ, ainsi que celle de ses dérivées ∂u /∂x
et ∂u/ ∂y .

On peut montrer qu’il revient au même de connaître sur Γ, u et ∂u/ ∂ν =


grad u.ν, ν étant le vecteur normal à Γ, c’est-à-dire de coordonnées (−ψ 0 (t),
φ(t)). De plus on peut aussi prouver que si on pose D(t) = c(φ(t), ψ(t)) (φ 0 (t)) 2
− 2b(φ(t), ψ(t))φ 0 (t)ψ 0 (t) + a(φ(t), ψ(t)) (ψ 0 (t))2 alors soit D(t) 6= 0 et alors
les dérivées secondes de u sur Γ sont déterminées de manière unique, soit D(t)
= 0 et alors ces dérivées ne sont pas déterminées (c’est-à-dire elles peuvent
être indéterminées ou être déterminées d’une infinité de façons).

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Définition
Les courbes caractéristiques sont les courbes Γ régulières qui annulent la
quantité :

On dit que Γ n’est caractéristique en aucun point si pour tout t, D(t) 6= 0.

Proposition
1. Si a 6= 0, les courbes caractéristiques sont les solutions de l’équation
différentielle

2.Si c 6= 0, ce sont les solutions de l’EDO

3. Si a = c = 0, ce sont les droites x =constante et y = constante.

Preuve
Soit Γ : x = φ(t), y = ψ(t) une courbe caractéristique. Supposons que a(φ(t), ψ(t))
6= 0 au voisinage de t0. Si φ 0 (t) = 0, alors ψ 0 (t) doit être nul aussi et donc au
voisinage de t0, la courbe n’est pas régulière. Ainsi dans un domaine où a(x, y)
6= 0, φ 0 (t) 6= 0, la tangente à Γ n’est pas verticale et Γ est définie par une
fonction y = f(x), c’est-à-dire x = x, y = f(x). De là ψ 0 (t)/φ0 (t) = f 0 (x) et D(t) = 0
est équivalent à

a(x, y) (f 0 (x))2 − 2b(x, y)f 0 (t) + c(x, y) = 0.

On raisonne de façon analogue au voisinage d’un point où c 6= 0. Dans un


domaine où a = c = 0, D(t) = 0 devient : 2b(φ(t), ψ(t))φ 0 (t)ψ 0 (t) = 0. Comme il
s’agit d’une équation du second ordre, b 6= 0 et soit φ 0 (t), soit ψ 0 (t) est nul.

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Définition

La recherche d’une solution u de (4.1), connaissant u et ∂u ∂n sur une courbe Γ


s’appelle le problème de Cauchy relatif à Γ. On montre que cela revient à
connaître sur Γ, u, ∂u /∂x et ∂u/ ∂y.

Et grosso modo, les courbes caractéristiques d’une équation linéaire sont celles
pour lesquelles le problème de Cauchy n’est pas résoluble. Soit Γ une courbe
qui partage le plan en deux parties. On suppose que dans chaque partie on
connait une solution de classe C 2 de (4.1), que sur Γ, u1 ≡ u2 et ∂u1/ ∂n ≡ ∂u2/
∂n pour les deux solutions u1 et u2. Si Γ n’est pas une courbe caractéristique,
alors u1 ≡ u2.

Si Γ est caractéristique, il se peut que les dérivées secondes et d’ordre


supérieur de u1 et de u2 soient différentes, ce qui donne naissance à un
phénomène physique appelé propagation des singularités.

Classification
Une équation telle que b 2 (x, y) − a(x, y)c(x, y) > 0 dans un domaine D est dite
hyperbolique dans ce domaine. Elle admet alors deux familles de courbes
caractéristiques dans D.

Une équation telle que b 2 (x, y) = a(x, y)c(x, y) dans un domaine D est dite
parabolique dans ce domaine. Elle n’admet dans D qu’une famille de courbes
caractéristiques.

Une équation telle que b 2 (x, y) − a(x, y)c(x, y) < 0 dans un domaine D est dite
elliptique dans ce domaine. Elle n’admet pas de courbes caractéristiques dans
D.

Parmi les EDP linéaires vues précédemment, les équations de Laplace ou


Poisson sont elliptiques, celle de la chaleur est parabolique, tandis que les
équations des cordes vibrantes ou des télégraphistes sont hyperboliques.

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Exemples.

Equations des ondes


Les équations hyperboliques sont de type équation de propagation d’ondes, on
les rencontre la plupart du temps sous la forme d’une équation évolutive du
type

Le terme div (q(x)rx(t, x)) est un terme elliptique par rapport à la variable x.

Comme dans le cas des équations paraboliques, nous allons regarder dans un
premier temps l’équation unidimensionnelle, avec q(x) = c 2, qui est ici

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1D équation des ondes avec Matlab
% équations: \nabla\cdot\sigma + \rho a = 0
% \sigma: stess, rho: densité , a: acceleration
clear; clc; clf; path(pathdef); format long
addpath FECore/
%% 1D Meshing
xstart = 0;
xend = 1;
tne = 100;
% Element type: Q1 --> LINEAR, Q2 --> QUADRATIC
elementtype = 'Q2';
[ L, lnn, nne, el, egnn, tnn, x ] = CreateMesh( elementtype, tne, xstart, xend );
%% Material Properties (Constant with in elements -- Q0)
E = 2e5;
rho = 11.6e2 ;
%% Pre-calculation of Gauss-Legendre Quadrature, Shape function and their Derivatives
% Gauss
ngp = 3;
run('GaussianLegendre.m');
run('ShapeFunctions.m');
%% 1D FEM CORE
Me = zeros(nne, nne, tne);
Ke = zeros(nne, nne, tne);
Fe = zeros(nne, 1 , tne);

for en = 1 : tne
for gs = 1 : ngp
Jcbn = B(gs,:)*x(egnn(en,:));
x_z = N(gs,:) * x(egnn(en,:));

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force = (3*x_z + x_z^2)*exp(x_z);
Me(:,:,en) = Me(:,:,en) + N(gs,:)' * rho * N(gs,:) * glw(gs) * Jcbn;
Ke(:,:,en) = Ke(:,:,en) + B(gs,:)'/Jcbn * E * B(gs,:)/Jcbn * glw(gs) * Jcbn;
Fe(:,1,en) = Fe(:,1,en) + N(gs,:)' * force * glw(gs) * Jcbn;
end
end
[ barM, barK, barF ] = Assembler( egnn, nne, tne, tnn, Me, Ke, Fe, 'sparse' );
%% BOUNDARY CONDITIONS
p = 1;
f = setdiff(1:tnn,p);
Kpp = barK(p,p); Kpf = barK(p,f); Kfp = barK(f,p); Kff = barK(f,f);
Mpp = barM(p,p); Mpf = barM(p,f); Mfp = barM(f,p); Mff = barM(f,f);

%% Newmark Family -- A Method


T = 1;
dt = 0.01;
tnts = T/dt+1;
titrt= 0 : dt : T;
gamma = 0.5;
beta = 0.5;
freq = 1;
a = freq*(2*pi*titrt/T);
FV = zeros(tnn, tnts);
Val = 1e4;
FV(end,1:floor(tnts/2)) = Val*sin(a(1:floor(tnts/2)));
U = zeros(tnn, tnts);
V = zeros(tnn, tnts);
A = zeros(tnn, tnts);
A(f,1) = Mff \ (FV(f,1) - Kff*U(f,1));
dK = decomposition(Mff + Kff*dt^2*beta);
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for n = 2 : tnts
U(f,n) = U(f,n-1) + dt*V(f,n-1) + dt^2/2*(1-2*beta)*A(f,n-1);
V(f,n) = V(f,n-1) + dt*(1-gamma)*A(f,n-1);
A(f,n) = dK \ (FV(f,n) - Kff*U(f,n));
U(f,n) = U(f,n) + dt^2*beta*A(f,n);
V(f,n) = V(f,n) + dt*gamma*A(f,n);
figure(1);
subplot(3,1,1)
plot(x,U(:,n));
xlim([min(x)-max(x)/10 max(x)+max(x)/10])
ylim([-0.015 0.07])
title('Displacement');
drawnow
subplot(3,1,2);
plot(x,V(:,n));
xlim([min(x)-max(x)/10 max(x)+max(x)/10])
ylim([-0.5 0.5])
title('Velocity');
drawnow
subplot(3,1,3)
plot(x,A(:,n));
xlim([min(x)-max(x)/10 max(x)+max(x)/10])
ylim([-9 7])
title('Acceleration');
drawnow
end

merci.

15

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