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Lafarge Cement

Lafarge est une entreprise française de matériaux de construction active de 1883 à 2015. La
société produit et vend à l’international du ciment, des granulats, et du béton prêt a
l’emploie. Elle a aussi créé et innover des ciments, béton spéciaux renommée a
l’international. Nous avons parlé de 1883 à 2015 car la société Lafarge fusionne en 2015 avec
le n°2 du secteur le groupe suisse « Holcim » le 15 juillet 2015 le groupe est officiellement
lancer sous le nom de « LafargeHolcim » qui perd cette dénomination en 2021 et devient
« Holcim ».
En 2008 Lafarge ciment achète une société étrangère situé au nord de la Syrie entre Raqqa
et Manbij qui sera renommée « Lafarge Cement Syria »
Lafarge a été et l’est toujours au cœur des polémique pour plusieurs raison mais pour les
comprendre laisser moi vous parler de la Syrie.
En 2011 le peuple syrien se soulève contre son chef d’état par des manifestations pacifique
contre le régime « baasiste » qui ça pour but d’unifier différent Etats Arabes en une seule et
grande nation. Le peuple a ce moment la manifeste pour avoir une démocratie mais le
président « Bachar El Assad » qui est contre cette idée décide de répondre violemment au
peuple en utilisant l’armée et des tank pour réprimer les manifestants, le mouvement de
contestation se transforme peu à peu en une rébellion armée.
En 2012 au plus la guerre avance au plus le pays se divise à cause de la guerre civile qui a
commencé, les zones d’affrontements se multiplie et l’apparition en Syrie de l’organisation
salafiste djihadiste met les activités de production de l’usine Lafarge mais aussi d’autre
société nationales et internationales en péril.
Les djihadistes profitants du chaos décident de prendre le contrôle d’une région entière
situé a 60 km de « Lafarge Ciment Syria » et d’autres société nationale et internationale. Les
entreprises consciente du danger que la guerre civile représente décide de rapatrié leur
employé et ouvriers et de quitter le pays sauf une seule société qui persiste « Lafarge ».
Les terroristes gagnent de plus en plus de terrain et se rapproche de l’usine mais « Lafarge »
déterminer à ne pas arrêter la production de ciment met en péril la vie des salariés syrien qui
continuent à travailler malgré la zone de guerre, après que les salariés français expatrié
soient évacués.
En septembre 2014 l’usine « Lafarge » est prise d’assaut par le groupe djihadiste certains
employé ont été capturées et certains on réussit à s’enfuir uniquement grâce à leur moyen.
Pourquoi Lafarge est au cœur des polémiques ?
Sous la pression du groupe terroriste la société Lafarge dont le siège social est situé en
France décide de s’approvisionner en pétrole au près du groupe djihadiste pour continuer à
produire. Le pétrole n’étant pas situé en Syrie mais dans les pays voisins ils doivent donc le
déplacé par la route mais le groupe terroristes à installer des « checkpoint » dans toutes les
routes situé dans les zones contrôlé par lesquels les salariés syrien et la marchandises
doivent se faire contrôler.
Mais pour laisser passer ses salariés la société Lafarge décide de faire un arrangement avec
le groupe terroriste pour pouvoir laisser passer leur salariés sans problème à l’aide d’un
laisser-passer tamponnées par le groupe djihadiste afin de maintenir l’activité de l’usine.
Voici un extrait d’un salarié qui est passée au infos aux moment des faits : « En mai 2014, il
s’agissait d’un simple papier de l’état Islamique écrit à la main avec le tampon du
ministère des finances. Ils devaient être renouveler chaque jour. »
En novembre 2016, 11 anciens employés syriens et deux ONG Sherpa une organisation à but
non lucratif créée en 2001 dont l’objet est de protéger et défendre les populations victimes
de crimes économiques et le Centre européen des droits constitutionnels et humains
(ECCHR) ont portés plainte devant les juridictions françaises contre l’entreprise de ciment,
Lafarge, pour des violations présumées commises en Syrie par sa filiale, Lafarge Cement
Syria. 
Lafarge est accusée d’avoir été complice de crimes de guerre, crimes contre l’humanité, de
financement d’une entreprise terroriste, d’avoir délibérément mit la vie de ses employés en
danger et de les avoir forcés à travailler pendant le conflit.
Ces accusations sont fondées sur des faits survenus entre 2011 et 2014, lorsque Lafarge
décide de maintenir son activité en Syrie, alors que la guerre civile fait rage. Pour y parvenir,
l’entreprise aurait acheté ses matières premières à divers groupes djihadistes, dont l’Etat
Islamique et aurait payé des compensations de 13 million d’euros afin d’acheminer ces
produits et de permettre à leurs employés de continuer à travailler. 
En juin 2017, le Parquet de Paris a ouvert une enquête pour financement d’une entreprise
terroriste. Le 28 juin 2018, Lafarge est inculpée par des juges d’instruction français pour
complicité de crimes contre l’humanité. Ont été nommés à titre de défendeurs le groupe
Lafarge lui-même (qui détient LCS à 98%) ; sa filiale syrienne ; son PDG au moment des faits,
Bruno Lafont ; son PDG jusqu’en 2014, Bruno Pescheux ; et son PDG depuis 2014, Frédéric
Jolibois.
En 2015, Lafarge a fusionné avec Holcim. Le groupe LafargeHolcim a immédiatement
annoncé que sa filiale Lafarge SA fera appel pour se défendre des « accusations qui ne
reflètent par sa véritable responsabilité ». Les plaignants demandent que soit ouvert un fond
d’indemnisation pour tous les employés de LCS et leurs familles. En octobre 2018, les juges
d’instruction ont saisis une partie des paiements perçus par les anciens PDG de Lafarge, soit
un montant de 2,475 million d’euros, à titre conservatoire. 
En octobre 2019, la Cour d'appel de Paris a rejeté la demande des associations de se porter
parties civiles. Le 7 novembre 2019, elle a abandonné l'accusation de complicité de crimes
contre l'humanité contre l'entreprise. Les ONG ont décidé de se pourvoir en Cassation.
Le 8 juin 2021, la Cour de cassation a examiné les six pourvois dans l'affaire, dont celui fait
contre l'annulation de la mise en examen du groupe LafargeHolcim pour complicité de
crimes contre l'humanité et sur la recevabilité des deux ONG en tant que parties civiles.
Le 7 septembre 2021, la Cour de Cassation a cassé la décision de la cour d’appel de Paris de
2019 qui annulait la mise en examen du cimentier pour "complicité de crimes contre
l’humanité", et la décision de maintenir la mise en examen de l'entreprise pour "mise en
danger de la vie d’autrui". Ce sera à la chambre de l’instruction de se prononcer sur ces deux
questions.
Lafarge Cement

Lafarge is a French construction materials company active from 1883 to 2015. The company
produces and sells internationally cement, aggregates, and ready-mix concrete. It has also
created and innovated internationally renowned cements and special concrete. We have
spoken from 1883 to 2015 because Lafarge merged in 2015 with the number 2 in the sector,
the Swiss group "Holcim". On 15 July 2015 the group was officially launched under the name
"LafargeHolcim", which lost this name in 2021 and became "Holcim".
In 2008 Lafarge Cement bought a foreign company located in northern Syria between Raqqa
and Manbij which was renamed "Lafarge Cement Syria".
Lafarge has been and still is at the heart of controversy for many reasons but to understand
them let me tell you about Syria.
In 2011, the Syrian people rose up against their head of state through peaceful
demonstrations against the "Baathist" regime, whose aim was to unify different Arab states
into a single, large nation. The people at that time demonstrate to have a democracy but the
president "Bachar El Assad" who is against this idea decides to respond violently to the
people by using the army and tanks to repress the demonstrators, the protest movement is
gradually transformed into an armed rebellion.
In 2012, the more the war progresses, the more the country is divided because of the civil
war that has begun, the areas of confrontation multiply and the appearance in Syria of the
Salafist jihadist organization puts the production activities of the Lafarge factory, but also of
other national and international companies, in danger.
The jihadists took advantage of the chaos to take control of an entire region located 60 km
from Lafarge Cement Syria and other national and international companies. The companies,
aware of the danger that the civil war represents, decide to repatriate their employees and
workers and to leave the country, except for one company that persists: Lafarge.
The terrorists are gaining more and more ground and are getting closer to the factory, but
"Lafarge" determined not to stop the production of cement endangers the lives of Syrian
employees who continue to work despite the war zone, after the French expatriate
employees are evacuated.
In September 2014 the "Lafarge" factory was stormed by the jihadist group, some
employees were captured and some managed to escape only by their means.
Why is Lafarge at the heart of the controversy?
Under pressure from the terrorist group, the French-based Lafarge company decided to
source oil from the jihadist group to continue production. The oil is not located in Syria but
in neighboring countries so they have to move it by road, but the terrorist group has
installed "checkpoints" in all the roads located in the controlled areas through which the
Syrian employees and the goods must be controlled.
But in order to let its employees pass, Lafarge decided to make an arrangement with the
terrorist group to let their employees pass without any problem with the help of a pass
stamped by the jihadist group in order to maintain the activity of the factory. Here is an
excerpt from an employee who was on the news at the time: "In May 2014, it was a simple
handwritten Islamic State paper with the stamp of the Ministry of Finance. They had to be
renewed every day."
In November 2016, 11 former Syrian employees and two NGOs Sherpa a non-profit
organisation created in 2001 whose purpose is to protect and defend populations victims of
economic crimes and the European Centre for Constitutional and Human Rights (ECCHR)
filed a complaint in French courts against the cement company, Lafarge, for alleged
violations committed in Syria by its subsidiary, Lafarge Cement Syria.
Lafarge is accused of being complicit in war crimes, crimes against humanity, financing a
terrorist enterprise, deliberately endangering the lives of its employees, and forcing them to
work during the conflict.
The charges are based on events that took place between 2011 and 2014, when Lafarge
decided to continue operating in Syria while the civil war was raging. To achieve this, the
company allegedly bought its raw materials from various jihadist groups, including the
Islamic State, and paid compensation of €13 million to transport these products and allow
their employees to continue working.
In June 2017, the Paris Prosecutor's Office opened an investigation for financing a terrorist
undertaking. On 28 June 2018, Lafarge was indicted by French investigating judges for
complicity in crimes against humanity. Named as defendants were the Lafarge group itself
(which owns 98% of LCS); its Syrian subsidiary; its CEO at the time of the events, Bruno
Lafont; its CEO until 2014, Bruno Pescheux; and its CEO since 2014, Frédéric Jolibois.
In 2015, Lafarge merged with Holcim. LafargeHolcim Group immediately announced that its
subsidiary Lafarge SA will appeal to defend itself against "accusations that do not reflect its
true responsibility". The plaintiffs are calling for a compensation fund to be opened for all
LCS employees and their families. In October 2018, the investigating judges seized part of
the payments received by the former Lafarge CEOs, amounting to €2.475 million, as a
precautionary measure.
In October 2019, the Paris Court of Appeal rejected the associations' request to act as civil
parties. On 7 November 2019, it dropped the charge of complicity in crimes against
humanity against the company. The NGOs have decided to appeal to the Supreme Court.
On 8 June 2021, the Court of Cassation examined the six appeals in the case, including the
one against the annulment of the indictment of the LafargeHolcim group for complicity in
crimes against humanity and on the admissibility of the two NGOs as civil parties.

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