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DU

21
MARS 1965

JOHN FORD
PRÉSENCE DU CINJ3MA
(Revue fondée par J. Curtelin)
25, Passage des Princes, Paris 2'' (
Vircction Jaeques LOUHCELLES, Michel MüURLKr

LE NUMERO : 5 F

ETRANGER : 5,50
'
ABONNEMENT
Six mois
l; n an
(6 numéros)
France ct Outre-Mer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28 F ( J 2 num 1;rns)
Etudiant~ et Ciné-clubs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26 F :ït F
Etranget . . ................... · . . . . . . . 31 F .io F
60 F
Ciné-Clubs étrangers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29 F
:iG F
Adresser lettres, chèques ou manJats :
25, Passage des Princes -Paris 2c C.C.P. 11 05<>-71
LPs articles n'engagent que leurs auteurs. Les manuscrits ne sont pas rendus. 'fou.
1
droits de traduction et de reproduction réservés. 1

SOMMAIRE

.fOHN FORD

Bertrand TA VER8 1ER : La che1•auchPe de Sganarelle . . . . . . . P· 1


\lain FERRAHI : .folzrz Ford ou les bons sentiments ........... · · P· 1

Ceorgl' J. ~liTCHELL : Ford parle de Ford .................. · · · · l'· 11


Hobcrt PARHISB : Témoignage sur j ohrz Ford ............ · · · · · · P· 13
Pierre G lNLE. VincPnt PORTER. Patrick BRIOl\ :
Biofilmowaphie de John Ford . . . . . . . . . . . . . . . . . .......... · · P· 21

Jacque:; LOURCELLE ....


Le S(~/te SfJutl~ tlel t'etzdicatore .. · · · · · · ·
.. P· j6 1
LA CHEVAUCHÉE DE SGANARELLE
par l~crtrand TAVRRNIER

I .os rétrospectives organisées par la Cil1émathèque sont de dures épreuves


pour les cinéastes. Lo;:; modes passagères, les engouements superficiels y appa-
raissent sous leur jour le moins enviable. D'emblée, tout ce qui n'est pas enrar
ciné, ancré dans un genre, dans une tradition précise et si possible réaliste,
s'effondre et sc disloque. Cukor, par exemple, qui très longtemps se borna à mettre
Pn valeur des artifices stériles, de vaincs astuces dramatiques, en prit un fameux
eoup. (J'ai bien peur d'ailleurs que, d'ici quelques années, Minnelli ne subisse un
sort identique: ces jeux formels d'esthète, ces coloriages séduisants, mais dont
la veulerie saute aux yeux dès que leur auteur les applique à -:.1n SUJet plus grave,
échapperont difficilement au vieillissement.)
Au contraire, les œuvres de Walsh, Davos ou Ford n'en sortent que grandies
Leur ampleur, qualité primordiale sur laquelle il faudrait s'arrêter plus long-
temps, les protège, leur permet de défier le temps : on y brasse un nombre
inr:nlculahlc d'idées, d<' péripéties, d·; sentiments et de passions, de paysages
aussi, de peuples et de rar:es avec cette générosité qui n'appartient qu'aux au·
t.eurs traditionnels. Cette richesse, cette vnstitude les sauvent.
Certes, il est aisé d'y déceler des erreurs, des manques, avant guerre sur-
tout, entre 32 et :i9. Le cinéma américain connut là une période néfaste dominé<;)
par les comt"dics aseptisées à la Toppcr, les « véhicules >> pour le clan Barry·
mor<', les policiers !n!lndés style Mervyn Lf' Roy . Les genres les plus passion-
nants bnlbut.inicnt, le western qui sc débattait désespérément clans le carton-
pftte, I ' Iilm de guerre arrogant et tapageur. l.r. dra.mP. social fleurissait, dans des
rues sans issue, la comédie musienle essayait n g-rand' peine de sortir d"S orniè-
Tcs du thé:\trc filmé. Il ne faut pas simplifier à l'extrême. Quelques chefs-
d'œuvre furent rén.lisés, maie; qui paraissent i.solés à l'intérieur des genres
( Scarfacc dans le policier, par exemple> et non résulter d'un véritable épanouis-
sement.
Les meilleurs, même, y ~aissèrent des plumes : Rnoul Walsh duns la périod''
Parumount, Hawks dont il vaut mieux oublier une dizaine de titres de Ccilino
%erv à Hi.i Girl Fridar; en passant pnr The Crowd Roars. sans parler de Victor
~t surtout de Sternberg dont le style ampoulé est resté à l'imago de c !tt~
période.

1
é oque désastreuse ne marqua pas John Fo
or, mêm~ cette Îui permit de surmonter un grand nombre rd., Sa Per
nalité e:xceptwnnell~Ims amusants (Four Me:z, and a Prayer, Stea dbobstacle~n­
de signer qu,elque~es apogées cinématographique~ du génial Fra~·18oat '.RouiJ
the Bend, 1 une IP et aussi l'un de ses ch~fs-d œuvre (Young Mi Ford) 0
même re~arqu.abl...,âigne de Plutarque de la,.Jeunesse d~ président ster .Lincoln~
superbe evocatw.~ s connut quand, sous 1 mfluence nefaste de D~éf1cain •
ses échecs, 1 1edes ·tentatives ambitieuses, à l'européenne con ey Nichols
il s'embarqua dant courant de tout genre américain, qui essa'yent ç~es, .élaborées
en dehors de t~~tôt que d~ les approfondir. Les partis-pris théoriqu:s reagir con.
tre des règles P sérieux écrasent The Informer, Mary of Scotland' la Volonté
d'œuvrer dans 1e , ' lhe Lost
Patrol entre autres.
' . . de Ford est ailleurs, dans toute une série de fil
Le vr~t gen{fncoln à The Man Who Shot Liberty Valance en ~s allant de
Young Mzsh er wagonmaster, She wore a Yellow Ribbon. ' assant Par
The Searc ers, d'essayer de les analyser (.Je ct·1s b'1en essayer car notr
:.van\·u~edes plus rebelles à l'exégèse), je voudrais cite~ certains e homme
estt ~en ·ma"""S inoubliables : John Wayne sortant du fort pour unepdass~es,
cer. runes
. 1 d u so1e1·1 , ou a11ant le soir pa ermère
protégeant en un ges t e f ur t·f
t1 se S"'
miSslOn e y ll R 'bb . ) r1er sur
la tombe de sa femme (She Wore a e ow z ,?n , .o.u encore soulevant Natha
1ie Wood et comp~enant en q.uelques secon~es 1 mutll;té de. sa haine fThe Sear:
r~:). le ieune Lmcoln gravissant une colline sous 1 orage, Spencer Tracy
fr~nt
1 ~hez ·lui, solitaire, tandis que la foule acclame son rival (The Last Hurr~~~·
un regard mystérieux d~ Joann~ Dru (Wago~master), a':ltant de points culrni:
~ants de moments subllmes qm prouvent nneux que mille autopsies critiques
1~ue l'~rt de Ford est avant tout méditatif, ou plutôt symphonique. De cela les
distributeurs français n'ont jamais bien pris conscience, qui avec une belle
eonstance ont gratifié ses westerns de titres pompeux, les plaçant de gré ou de
force sous le signe de l'épique : « Charge héroïque », « Poursuite infernale »,
« Chevauchée fantastique »... Or rien n'est plus faux, plus éloigné du style
véritable de ces œuvres paisibles. « L'épopée », disait Victor Hugo, « c'est
l'histoire écoutée aux portes de la légende », ou bien Voltaire : « Les auteurs
épiques sont obligés de choisir un héros connu dont le nom seul puisse imposer
aux lecteurs, E:t un point d'histoire qui soit par lui-même intéressant ». Ces
ciéfinitions ne s'appliquent qu'à certaines œuvres de Ford (Young Mister Lin·
co ln), mais pas à ses westerns. Même Wyatt Earp, héros légendaire, est ramené
à d~s dimensions normales, loin de toute exaltation lyrique (My Darling C!e·
mentine).
Il est d'ailleurs intéressant de constater les différences entre le western de
~?rd et. I.e w~stern classique. Ce dernier s'est principalement co~struit autour
a.une v1s1on eperdument individualiste du monde (dont Man Wtthout a. ~
5

0 une n::~rt et Silver Lode de l'autre sont les prototypes les plus exacerbés.).·
~, quel.que~ sentiments forts, de quelques idées de· violence, physique oun~~~
ne tre · h~me, Yeng"'Gnce, révolte, conquête (certains comme Dwan essaye col'·
butte~ c~n~~e ces senti~ents et ce refus prouve en fait leur existence)., U~pper
à c:.o \eu· \ ~nger un frere, un ami, son honneur; un outlaw essaye d:er qu'!!
,- passe. un gunfluhter à son envie de tuer· un homme veut pro
n e- pas •n· 1- • ch e ou, au contraire,
. -
vaincre ' a de temble
ce qu'il · en lui · . un
Bref re ae""re t d .
ourne ram.atiquement autour de quelques ~ •ctl..""
1 fortes ·
-ne:...~'
D ves en ~--
n# ' :::
•l
.utror • lP'l- ne . .
ar Fuller • _ h. opposition, un déchirement. De Walsh à. a 'Îls ont libre-
ment cho:s.:::- e;r0 de westerns se lancent dans une ba~aille rtQ';lront plUS ot:
mo· r ,: '. qm 1_eur permettra de s'accomplir et dont ils ~ ~ la~~
turgie ene ·· tns. -. ~mr: s'il n'y a ni chevauchées. ni scènes d actlO~ IJ1oUlen:'
forts aux s~t ptreclse. nerveuse, imposant immédiatement qUelQU
~'" a eurs. cow
Chez Ford . . rareiilent ·
truite au our d.·~~ co~.t~aue, la ligne de force est étirée, lâChill destruc ~~
vengeance, révolte sentimez:t in<;lividuel ou d'un mobile néga ' les péré!:\·~
' etc. Predomment au contraire les voyages.
t.ions : lente odyssée d'une caravane d'c~ rui gnnts, patrou111 d'un group d
cavaliers, douloureuse équipée d 'une fa mill e , t rav •r ~c cu 'i rt par un dili·
gence ou par quelques bandits recherchés par la police.
I~i s'impose l'idée maîtresse. Ces ~Im s s~>r:t to us ody~sées d roup s: de
plusieurs personnes appartenant au mem e m tlleu, à la meme coll ctlvlté. Ford
ne s'intéresse aux problèmes personnels , hi storiques ou non (biographi d gun-
fighters, d'aventuriers) que dans 1~ ~ es ure où ils_ rec~u pe n t ceux de .la .commu·
nauté au contraire d'un Hawks ou 1 aven ture, m eme Imposée, reste mdtvlduell
et ne' concerne la société que par accident. Dans Rio Bravo, le shériff refuse de
l'aide· Wyatt Earp l'accepte immédiatement. Différ ence en apparence minime,
Pn ré~ité fondamentale. L'un à travers sa t âche veut s'accom pl ir , l'autre pense
avant tout à aider ceux qui l'entourent. On pourrait m ultiplier les comparaisons
à l'infini.
Ford insiste d'ailleurs sur les dissensions, les désaccords qui divisent une
collectivité, et ses héros ne réagissent qu'en fonction du m ilieu où ils vivent,
et qui leur impose une tâche qu'il faut mener à bien pour le bonh eur de tous.
Le héros fordien, pourrait-on dire en simplifiant à l'extrême, ne se pose pas de
question de morale ou si l'on préfère, son éthique n 'existe que par r appor t à un
sentiment d'ordre collectif.
Quand, par hasard, le sujet d'un de ses films recoupe la t hématique t r adi-
tionnelle, il disparaît derrière la multiplicité des notations annexes, devant la
vision unanimiste des péripéties. Dans Mv Darling Clementine, la vengeance de
Earp se voit accorder infiniment moins d'importance que le bal devan t l'é~li.:;e,
les tirades shakespeariennes d'Alan Mowbray, et l'on garde le souveni r d'un
Wyatt Earp au calme olympien, à l'allure un peu empruntée, et non d'un per-
sonnage mené par une quelconque haine (au contraire des héros de Mann par
exemple).
D'ailleurs la violence, qui est liée à la notion d'engagement personnel.
n'existe pratiquement pas chez Ford. Les aventures nous sont contées sur un
rvthme nonchalant. majestueux. Les morts et le s blessés sont rares. Dans She
Wore a Yellow Ribbon, pas un seul Indien n'est tué ou même blessé et les
Blancs ne subissent one peu de dommages (les seuls qu'on voie mourir sont des
trafiquants d'armes). Dans Two Rode Toaether. Stewart ne tire que deux coups
de revolver, les deux seuls du film. Ford ne pourrait pas concevoir une scène
comme celle de Man From Laramie où James Stewart se fait blesser à la main .
Chez lui la violence n'est pas un but, un moven de s'affirmer. fût-ce en la reje-
~ant aorès coup, mats oresque une corvée rlont il faut se débarrasser. Quand
elle est inéluctable, Ford l'évoaue avec une briP.veté, une sécheresse dPoonrvu~s
rle toute comolaisance et de tout lvrisme : les rè!;!lements de comotes de Waoon-
master, de My Darling Clementine, l'exécution des révolutionnaires dans Four
Men and a Prayer.
Le héros fordien n'a pas besoin de se prouver à lui-même au'il est caoablf>
d'aller jusqu'au bout. Il le fait simplement, littéralement porté par un 'idéal
collectif qui lui fait ignorer le doute.
Les véritables protagonistec:; sont cee; communautés anonymes. militairPs
cbscurs pacifiant les terres de l'Ouest, émigrants qui s'en vont créer des Etats
nouveaux, habitants d'une petite ville dont le plus cher désir est de fonder une
société policée, bref tous ceux qui consciemment ou non ont aidé à bâtir les
Etats-Unis et dont on a oublié le nom et le visage.
. C'est leur travail que racontent ses films. tm travail pP,l lf'xalt::mt. s0nver t.
J.ne-rat. ~ans envereure, mais tout empreint. r.l'hf>roïc:me ouotidien : une mission
a remplir, un devoir à accomplir. La notion rte missjon est d'Ailleurs extrêtn"-·
ment Imoortante et prime sur toute considération personnelle (Rio Grande She
Wore ~ Yellow R~bbon, The Sun Shines .Bright). ·
,Qu on ne vme pas là intentions d'historien ou volonté d'obtenir une :N'·
ft:xw!l s11:r des péripéties. encore moins un désir d'exnlter des p(>rsonmH~Ps nvan t
r ussr à JOUer un rôl·e historique (comme Thomas Jefforrl dans Rroken Arrow '.
~enst hé1ros de. F ord n~. son~ ni des chefs, ni des puissants. ct ses pr 'occupa ti m,
., > Pus soc1a1es qu'histonques.
d' r par exemple ce qui sépare Fort A
onviendrait d'é.t u ~e Bien qu'en principe plus sommaire l:ache de T
.Jl.,;it!L rneir J?Oo~s ~a· vision. Le moindre de ses gestes c~mpl~ltem de Wa~Y
~~e e par racu1té e détail, tandis que toute une époque rev· le Po ~
!!1lcS~:ter,
s rexPI.ique en.u e le même persor:nag~ que par rappo;{ devant ~~att

de d au contraire, ,ne ~é~ssit à analyser h1stonquement une situ son l'tûliUs.
ro~a~oir l'armé~. !-' ;:;;.iques tandis que l'autre tra_nsforme un poi~t lOn à Pa~~·1
Je données ant1-hlS 1·que s'ociale et en un port~a1t d'officier pète- de vue h. r
torique en ur;e chrt~~ au détail frappant, ;t salt l'opposer au I>a~~~-
1 1 ~alsh ~s­
d'ernblée à 1 essen ct 'r~ tandis que Ford s attarde et chemine p . ·Pr1s initi f
quitte à le contre t~atége et théoricien. ' emtre d'atm~
sphère plutôt que s uc fai t Ford aux peintres de l'Ouest ne do·
Les référenc:s { Y a chez lui une v?l~:mté de rester centré su;v~~t Pas être
prises à la lég~:une1 de ses facettes, qm evoque la technique pictural asPect du
problèrne, surdésarticuler le récit, ne pas le présente~ sous des oie de l'épo.
que. Ne pas n seulement dans ses westerns, ma1s dans touf nts de vue
divers, et cela ~~s westerns de John Ford se rattachent plus à se:
son œuvre
ca~ finale~en~ genre proprement dit; ils se rattachent, prolongent ~utres réau:
satwns qu u. semble hanter l'auteur de Cheyenne Autumn. no e résument
U? . thème qu~ bien une mission, construire, mais surtout pa;venin seulement
~~n~~ foyer, un idéal et en sauvega!der l'intégrité. Et aussi 8 ~ :at~ SSéder
0
tJatlr,
u~;d;:;. c~ que l'on possède, pour en sen tu toute la valeur, et cela cont~e "POur
( ennemis hommes ou éléments. e tous
es énérosité tranquille de Ford se retx:ouve chez les personnage
d ïx;~e~ent de vitalité : les bagarres _sont enonn~s et les moments ct% et ce
e ! Ford atteint aisément au grandiose quand 11 nous peint une couumour
aussi.
vapeurs échevelée, ou la tra?s f orma . t'1on d' un musé e d e eue
. en un festival d~
rse dl!!
figures sudistes (Stearr:boa~ Round the Be_nd), le~ soubresauts causés par les
elections dans une petite v1lle ~The Sun. Shzr:es Brzght), ou. les tribulations d'un
Da.n Dailey stupéfait 0u comp~e~ement 1vre a tra~ers la Résistance ou les dil!é·
rents Etats-majors ( When Wûlze Cornes Marchzng Home). Mais il sait aussi
trouver le trait fulgurant : l'admir~ble plan des vieilles femmes regardant dar.:
ser Russell Simpson avec les NavaJOS ( Wagonmaster); ou burlesque : les appa.
ritions du Chinois dans Four Men and a Prayer. Ford est d'ailleurs le maitre
du changement de rythme et l'on passe très souvent de la comédie la plus bu!·
lesque (sur des situations de comédie, contrairement à Hawks) à l'attendrisse-
ment ou au lyrisme (les scènes d'amour de Wagonmaster et cette course subite
de Joa.nne Dru, le fl.ash-back de The Quiet Man, le lynchage de The Sun Shine!
Bright, Young Mister Lincoln), semblables à ces pays fertiles où rien ne signai
la_ présence d'un désert, à ces fleuves majestueux qui soudain s'assèChent o~
debordent, à ces ciels changeant à une vitesse incroyable. Car tout chez Fora
j)eut être relié à la Nature : ses personnages y sont tellement intégrés et lell!'
~omportement semble un tel défi à toute idée de civilisation. Ils imposent pe'J
a peu! ~ntre deux râclées et autres fiestas campagnardes, un bon sens soli~
une VlSI?n carrée_ des choses et des problèmes, une sincérité jUSQue da?S e:
r.oublardis~ (combien de personnages ne se prennent-ils pas à leur propre Jell ·'
\?Ulant. tnch~r avec le destin, se retrouvent pris au piège), un amour du tra~
bien !alt malS dont 0:1 ne profitera réellement que beaucoup plus tard,~­
~ ces. paysans qui plantent des arbres en sachant très bien qu'ilS n'en ve
Jamrus les fruits.

L-e h ·
... · ·rna de paysa:;-
~

C'e t s eros de Ford sont des paysans et son cinéma un cinf ueUe cOurt u::
mëmeu~è vast: s~g~ agrarienne qui nous est contée, à travet; ~e. tortnê:
une socié~e · ~efncher, c~ltiver, posséder, agrandir ce que 1on à ~ ~~
€.mprise ur' pws en banrur les éléments mauvais et tout celare. et~ quv-;.
que soit leu/a terre. _Du paysan, les héros de Ford ont le carac~es
vïUeS· ... ~ f:
deront extraction, leur milieu social TranSPlantés dans ~ C0'1""""
1eurs carac~ristiques propres, et mèneront toujours le
Les protagonistes peuvent être des paysans irlandais, des fenniers, des mineurs
gallois, des familles améri~aines, des mil~taires et le combat se dérouler à l'échelle
d'un Etat, d'une petite ville, ou plus simplement d'un foyer et avoir pour but
un pays, un domaine ou même un rocking-chair (Hank Worden dans The Sear-
chers), le sens du combat reste identique. La famille Joad et les cavaliers de
Yellow Ribbon mènent la même lutte, et dans le même esprit ...
Etymologiquement, rappelons-le, paysan a le sens de gens de pays, d'une
même province, d'u ne même origine, faisant partie d'une même collectivité. L8s
militaires, qui régissent un territoire, accomplissent le même travail que les
fenniers et pour Ford, ils for ment au ssi un mon de à part, une communauté
avec ses règles, sa vie bien or ganisée, son idéal, ses réjouissances (le bal de My
Darling Clementine et celui de Fort A p ach e se ressemblent fort). Ce n'est en
aucun cas une justification du militaire. Simplement, il faut éviter que l'homme
~-;oit solitaire et l'obliger à vivre dans une société quelle qu'elle soit. E t puis aussi
donner à ce petit groupe un même idéal, anti-h éroïque par essence, afin de lui
permettre de s'enraciner quelque part.
Car, on ne l'a pas assez remarqué, cette lutte est menée par des ét rangers
ou au moins par des exilés : héros irlandais transplantés dans un autre pays,
multiples étrangers qui rêvent d'une citoyenneté (généralement interprétés par
.John Qualen, qui dans Liberty Valance, entre autres, explose de joie en appre-
nant qu'il est citoyen américain), personnages sans attaches qui errent sans
espoir comme ces marins du Long Voyage Home (le titre seul pourrait résumer
cet aspect fordien). Curieusement, on trouve même une tribu d'Indiens parmi
ces exilés (les Comanches Noyakis de The Searchers, Indiens sans territ oires,
sans foyers, se déplaçant sans cesse dans toute l'Amérique). Et aussi ces boxeurs
rentrant au pays natal, et tous ces personnages qu'un sort injuste arrache à leur
bonheur : familles américaines que la sécheresse lance sur les routes de la Cali-
fornie à la recherche d'un travail, médecin injustement accusé de complicité
dans l'assassinat de Lincoln et qu'on envoie dans l'Ile du Diable, pauvres blancs
incapables de faire prospérer leurs terres. Ce sont aussi ces enfants qu'un raid
indien a arraché à leurs parents et que ces derniers ne veulent point recon-
naître, et qui ne sont plus ni blancs ni peaux-rouges; ces militaires pour qui la
retraite (She Wore a Yellow Ribbon, The Wings of Eagles) ou la disgrâce (Fort
Apache) sonnent un peu comme un exil, ces Cheyennes que l'on arrache à leur
terre, ces Mormons et toutes les autres communautés opprimées.
Enfin il y a ces héros, à l'image de James Stewart dans Two Rode Together,
qui, faute de mieux, essayent de se fabriquer un petit univers personnel dont ils
découvrent la vanité quand ils se trouvent face à face avec de véritables pro-
blèmes.
Non seulement les personnages sont déracinés, mais aussi, si je peux me
permettre cette image, les époques. Ford a toujours eu un faible pour les mo-
ments de transition historique, les moments où une classe sociale, une race, un
peuple disparaissent, automne cheyenne et crépuscules gallois, où des gens sont
lancés à l'aventure à la recherche d'une terre, ou d'un moyen de vivre
(The Wings of Eagles conjugue l'expérience personnelle et sociale). Ils parvien-
cl ront à surmonter la crise, à s'adapter, mais souvent au prix de lourds sacrifices
(John Wayne est condamné dans Th~ Man Who Shot Liberty Valance et la fa-
mille Joad perd certains de ses membres).
Donovan's Reef, sorte de rêverie mélanroliqu~ mitigée de gag~ à la. Pi~. Pam
Poum comme le faisait remarquer Jacques Gormard, ne peut etre etudie que
lJar r~pport à cette obsession de l'enracinement et de la possession. C'e.st une
sorte de Paradis mythique que ces îles où sont venus s'échouer nos heros et
qu'ils essayent de posséder de toutes leurs forces; d'où ces monuments, ces
vestiges fabriqués pou: renforcer leur emprise sur la terre. La scène-clé du film
se trouve être celle où la jeune fille de Boston (Elizabeth Allen) se promène au
sommet d'une colline, essayant de comprendre ces signes et ces paysages.
La passion qu'éprouve Ford pour toutes sortes de cérémonies, de réj ouis-
sances, de saoûleries communes, de fêtes et de revues, s'explique ainsi. Ce sont

5
autant de pre~ves tangi~les de cette possession que le 3
ld besoin d'affirmer, car 1ls savent quelle peut leur être ~ersonnages é
à l 'autre (le discours· de John l''nal'én Qualen dans The Searchers) rrDachée d'un PrÛ\1•;~:.~.
paysages, cette passwn ~our 1 1 a ble, pour tout ce que · e là aussi, tnotr
dan -s.r;:
attaquer : plaines désertiques, rochers de la Monument Van 1e ternps ne ~oi:.i
cio· 1 que le cinéaste, comme ses personnages, veut posséder à ety. On a run·r.~\
en restituer la beau t e' 1a P 1us se cr èt e, en faire sentir l'ét out Pnx· ces êt~~;·~
0
J.
dues,
cette stabilité que re?herche~t ,les hommes. ~as tous cependant. ~~elle,stabli~
dressé contre cette v1e organisee, dans ce qu1 est peut-être la seule ~de~ s·~
vidualiste de F?rd, .The Searcher~. œuvre. à part, déchirée et poi ragécne ~:
Wayne, projectwn Inversée du heros ford1en, concrétisation de s gn~nt~._J~:.:.
voués cherche désesperément à rester un rebelle, un solitaire Mes. ésu~.r;.
d'une ' course sans espmr, · d'une que~te d,e di:C ans Ja · 1onnée de cadavres
· aJsde auf~> fi:~:
(indiennes ou blanches, toutes arrachees a leur communauté famille 0 /~ •..;.
d'Indiens ou de soldais, il comprendra l'inutilité de sa révoite. Voulant tr.:·:.
prix l'intégrité d'un milieu dans lequel il refuse de vivre, il ne s'est p~ ~V:~~
qu'autour de lui tout a changé et que sa lutte est stérile. Il n'y a plus d: "<
pour lui dans ce monde et il est condamné à disparaître, laissant ia place;:~
nouvelle génération incarnée par Jeffrey Hunter. ...
A travers cette vaste saga de l'errance se dégage peu à peu une idée w:.
tresse, immense. La naissance d'une société démocratique et nationale. A :rG~:7i
res drames paysans, ~ esterns ou films sociaux, ce sont les débuts de la 1~::.
cratie américaine qui nous sont contés et tous ses problèmes envisagés. Cl:~:::
Pinot Duclos (« Voyage en Italie », tome VII, p. 35) : « C'est sur l'état œK
san que je juge d'un gouvernement et d'une société », ou encore Comrnj-::: ·
« A la longue, il n'est nulle des grandes nations dont le pays à la fin ne der:.:.:::
aux paysans ».
Et finalement c'est ce que Ford nous montre la transfonnation a·u:z .~:
ciété rurale en so~iété industrielle et l'adaptation ctes individus ~ou .le~r rr~::·;:
~'adaptatioz:! à cette transformation. Leur effort peur rester _fidele a"e1.:,i;~:.
a leur man1ere de penser et de vivre qui se trouve menacee par Ls
sements historiaues. ' . ·~.-:
. . Il n'est P~. étonnant qu'il ait une prédilection yo;tr une :ert:e~c~ueé~~~~,
110 llr un certam genre de personnes Les moments ou 1 on fo~d . . q - ·., ~=~
Etat
. ou soc1e · 't·e, sont toujours les plus · exaltants, car il s contlPil.Tlen• e.. · ·;::
dé "rr:nrse
v

ue.s prom~sses fabuleuses, et aussi les moments où le pays fon th 1 ur.~ ~,;.::-::.
crlse ter~Ible CHow Green Was Mu Valley The Grapes of Wra ~m::r-e=>
un confilt, car alors un nouvel esp.oir renaÎt · repartir à zero, to.ut t d'eso:O:: ~ ....
rmn~e. dans Wagonma.ster. Cette attitude té~oigne du mê.me e.~ d'err:b:~ ~-:l
~ CJ.?eas~es russes, Donskoï notamment, dont la prédilectlOn \
rrem,ers )ours d'une révoluti'on "~ œ.. ..
1\' · · · travers u>·- .... ~
..... :uc; ce:te :·.olonté d'exalter un effort collectif (même ~ P De :a, :~-:~_
C~Iquel finit, 1 age aiàant, par se narer d'une teinte d'ame.ru~elioW R~ai)l):~-.
f.~n ~.o~quérar.te. de Drums Along {he Mohawk à She wo:e a ~ rornersrle~~·:.
o~t u~ officier, au hasard de quelques rencontres et d un_e p c:'i.Ilte~e ,
~n;~i~a~~tulert _to~te son existence et la remettre en quesJm~rence én ~-0...:
Les héro~a doac e t:;t ~o~ry:ant la poursuivre, il Y a une succèS ne ~\ ~;.
comme avant ~ Fora ".e1lhssent avec son œuvre et le Tite Le ·. · ,,. .
John Wa couro::·mer l~urs efforts fSnencer Tracy dan: ier plan oe _~ .-:
Val.'lnce ~~s ~~ 0~ T~z..,b~:ty }'~lance ou The. Searchers). ü;. de.:ue et a\·e~ dé;~;:;
tristesse · Peu -e- t·re ~.nussi
\ leillard qui pleure. Le doute s msl proPre. ,,. ~
t, de son propr a . ~. Q};Ie Ford a pris consc1en
· ce deinérna
son a.'11,rrJ!""
·:•.u ~>-
oartaeent à dees e~~l a ll~térieur de Hollvwood, du ~ut-é re s ~ ~J '
~~••lPt:e 'e 1
res divers Walsh et Mccarey). ners ··P. ,:.'-
V QU son. œuvr~ demeurait inébranlable, comme ces . roc ns d u . ~ ..
~~~QUe~utq~~~ n ~~ait ja.maLc; changé et ne changerai t~sfo1"11110 '·!!'9;.~
. .ait plus ur elle, disparais ait, s'effondrait ou se milleu d'U ·~
que quelques rochers immenses, perdus au TA Vf:R·
:sertrand
JOHN FORD
ou
LES BONS SENTIMENTS
par Alain FERRARI

« De quoi avons-nous besoin plus que de


sympathie ? >> (Charles Dickens.)

On a coutume de dire que John Ford ne sait pas terminer un film; le dénoue-
ment de chacun de ses ouvrages est en effet, sinon arbitraire, du moins inattendu.
John Ford ressemble trop, pour certains, à ces mauvais romanciers qui, loin de
cr~er des êtres de chair et de sang, s'en tiennent le plus souvent à la simple des-
cription de personnages bons et méchants. La paresse, qui a présidé à leur nais-
sance, contribue de même à la superficialité de leur comportement. Nombreux donc
sont les films de John Ford où de noires créatures deviennent pures par grand
enchantement et magie, tel John Carradine àans Prisoner of Shark Island. Ceux
parmi les spectateurs qui rient de ces dénouements ont pour une large part notre
approbation puisqu'il est effectivement bien rare que nous ayons observé autour
de nous des êtres aussi étranges. Mais si les dénouements des films fordiens sont
souvent faux, il ne faut pas craindre non plus d'ajouter que construire dramati-
quement une histoire avec un début, un milieu et une fin, est un art à John Ford
inconnu. Tous ses films, à quelques exceptions près, souffrent d'un manque de
tension dû au fait que les séquences s'enchaînent de façon décousue sans raison
fvidente ou péremptoire.
Ce défaut qui, pour beaucoup, touche de près au ridicule et sur lequel, je pense,
mes lecteurs tomberont facilement d'accord, nous aidera à essayer de comprendre
le « secret de la prunelle » de notre auteur -- secret qui malgré tout mérite peut-
être bien d'être percé. ' '
I~i, il est temps pour moi de faire un aveu au lecteur. Loin de me juger capa-
ble d entreprendre un t.el travail avec Je secours de mes seules forces, je préfère

7
compagnon. Dan~ la voie périlleuse 0 . . e
lles, !l'
route avec un mble pas le mmns du monde SUl)€ U Je Vien troP riéS• !J'
continuer ma garant ne me serttérature universelle. Sans faire ~u, surtou~ de rfot~li}S "~\ile- 10
rr~·ex:ga~er, u~and nol? de. lae~ande encore s.on pardon pour le ~s lon~ S'il s p i!l\} (0
le~tre ,,je ,,.i1
s a~It d u~e glecteur, Je lU1 d rochemen t que J€ me charge de Vérinontrainctrlllps 0 '~ oe"
fl.,ec p~ de raê:
ve~
patlente\out de suite un rap~parer l'œuvre de John Ford à cene ~r seulerne a
accepte{ En bref, je veUX; co ·gnale à ce propos l'étude d'Eisenst€· u roman ~nt elle~ ~i !}~aSte
P. 1} ci!le p~l
plusll.~ ~harles Diclœnsd(Je >~\n Film Form). m « Grir~thr cellli ~edoute raê
ang a1 th film to ay · •
Dickens and e . et timide argument : ce manque de die~·est pa.~ 1~ :
J'avancerai un pr~~l~z Dickens, où il est .dû aux exigences d~nstruction ce 'le daJl y (,
dramatique ex1ste au~~~ ~as une curieuse anal?gie e:r:tre le feuilleton ~t Parutions in\}tlllollid_êagll
par feuilletons. N'Y .a- ·l r Ford : la biog~aphie ? Meme lorsque Ford un genre
particulièrement ~ns~. P~hétique qu'il choisit se rattache toujours à ne tourne f;M~ peU
pas une biographie, . rs fin de l'art consistait à recréer sur l'écran ~elle de la leS po .dS !llorU
biographie, co~e Sl ~ais nous reviendrons là-dessus; ajoutons seul: décoUsu des pO~ord en ~
de la vie quotldienn~Ï:u':tique correspond, chez Dickens comme chez Fo ~ent que Job!l uJI10ur, q
le choix de cettde ets her le plus vaste public. r • à leur cet n ~eill~rd
désir commun e ouc . . et aUlt de pa
. t . on a toujours pns Charles D1ckens pour un f sonn~: celui, t
Dewn~me argumenant sans doute la violence de son génie avec ce ~~ouc.he décO breuses
individua~Iste, confondui ont propagé l'image d'un Dickens tourné vers 1 ~esi­ 1':J de no~ fi1II
l'enf1Ul un ba
rnit exprimer. _ceuemx ei1t d'exhiber une sensibilité trop féminine à leur goû·tmeme
et soucieux umqu . · f sont sur le basB"
ceux-là même qui l'ont co!lv~rtl en ur; romanlciert podur Sen ants. Or, John Ford romette~r. q
est de manière curieuse, victime du meme ma en en u. es propres admirateurs ~ints sros~s
56 ~ont appuyés sur des films comm~ .f!?W Gr~en Wa~ MJI. Valley et Quiet Man d'un empnso
ponr faire de lui un c~al!tre du subJeC~Jlf, p:oJet pa~tiC~herement absurde Puis- Giennon, son
qu'il s'applique à un emeaste dont les efforts ont pnnc1palement tendu au con- prisonnier m
traire à souligner la futilité des regrets, des amertumes, de la vengeance, la vanité être ce fame
en général de toute révolte, préconisant en revanche une sage acceptation des découvrir.
limites de l'individu. C'est en
Lorsqu'on examine de plus près en quoi consiste le talent propre à ces deux du racisme.
nuteurs, on est frappé de constater à quel point ils excellent dans la peinture des c'est la rigo
scènes de groupe. On trouve chez eux du brio et de l'exaltation chaque fois qu'ils que Dickens
abordent une description du comportement social des individus. Les scènes à un, u Je dois éc
rlcux ou trois personnages, d'ailleurs fort rares, ne sont tout à fait réussies Q\1'2 sympathique
clans leurs ouvrages tatdifs, quand ils eurent acquis une manière plus intime et donner au
profonde. Leur génie descriptif, soucieux seulement de l'extérieur, se manifeste du redouta
d'abord _dan~ la récréahon d'un bal de province ou d'une garden-party litt~raire tilité nous f
(« M~ PICkwlCk_ ») et dans le récit de l'arrivée à bord d'un patrouilleur d'un J~e à travers 1
f.andm parfume (Submarine Patrol). Les exemples abondent de cette caractens- construits
c~fu~i de leur talent; u~e place de choix est réservée par eux à la minutie~e ~es­ Ces de
dap 0 n des campagnes électorales à tel point qu'on peut voir sans exageration au début d
ns 1es
petite villepages .où . Dick
. ens prom è ne Mr Pickwick à travers les élec t·wns d'Une dra-t..ene c
Shines Bri::~vmciale 1e modèle qui servit à John Ford pour Last Hurrah ou sun Cette ques
que de ner
~ qu'on a pris jus 'à é t •tre la te:J· ue théâtre
dresse, et parfois 1 .t9~ pr sent pour du subjectivisme, c'est peu -e nnages. observés 1
de préférence poura P , Ie, q~e ces deux artistes affectent pour leurs pe~t.s et les
1
ROde, de
trai!res ont, chez 1~e.lx qui ont été exclus du monde social. Les. ban isa!lt au Pourqn ·
l'' «Ol
t~rnble et au Pitovab' comme chez l'autre, le même caractère fabnqué, tv st plUS unportan
tu_r lor q~·il s·exerce ~~lr par les moyens les plus simplistes. Leu; talen i:té puri· la .vie si
.~~e ~aie a rejetés de un autre ty~ de personnages: ceux qu u_n~ ~oc mour. e: Cristai
~ e t b!en la même iro _faço~ soumo1se. Leur talent se nomme ICI 1hwcawber si di!fi pr
vo~oircue
e!f~,« David Copperfi~~~.' >;alle. ~e colère et de santé, qui crée là M~· L'hUJllour SOclét. f
l'un dune espèce ParticUliè e. 1 ~1 le docteur Boo ne dans Stagecoac t.eurs rient.
rire .e ce grand buveur dre . c est le rire près des larmes. Nos. au maiS leur ~Otne~tPl
g()ùt catt ndnt devant les ie punch, l'autre de cet ivrogne incorrigtbliemplie. rr. "'!ecr
~ePia;~
jours ~~~un Pûur peindre~ombr~bles infirmes dont leur œ~tvr,e e~t re pour to;~ lndi ""~
re de la société d es ~cc1dents fort graves risquant d exc ~rnpré''ll d-~ en.. t
es VIvants, joint au mên{e sens aigu de 1
8
catastrophes, est symptômatique d'œuvres qui prétendent décrire les sentiments
les plus variés, mais qui en fait n'en étudient profondément qu'un seul : la peur
d'être inu tile. L'amour, la jalousie, le renoncement, s'ils sont effleurés parfois
avec poésie (Gloria Stuart, dans Prisoner of Shark Is land), n'atteignent jamais
chez eux de véritable ampleur.
Ainsi un même modèle de société a créé, dans l'univers de Dickens, puis dans
celui du cinéaste américain, la même psychose de l'unitilité. Ce que le héros for-
dien redoute par dessus tout, ce ne sont pas les mystères dont le monde regorge,
ce n 'est pas même d'affronter ce syst ère supérieur qu'est la vie, c'est d'être un
inutile dans la société des hommes. L'inutilité est l'affreuse prison intérieure où
Doc Holliday (My Darling Clementine), Smitty ( Lon g Voyage H ome) et Spig
(Wings of Eagles ) se sen tent enfermés, pieds et poings liés ; cette force d'inertie
Jes pousse peu à peu vers le vide où ils m anquent r arement de tomber, comme
des poids morts. La puissance étrange de ce thème est telle qu'il se ramifie chez
John Ford en des variations d'une extrême richesse. Comme je l'ai dit plus h aut,
cet humour, qui le rapproche encore de Dickens, s'attaque surtout aux ivrogn es
et aux vieillards; mais un des meilleurs exemples en est aussi le savoureux per-
sonnage de Dan Dailey dans When Willie Comes Marching Home. De ce thème
découle celui, très voisin, de la rééducation ( Wings of Eagles a, de ce point de vue,
de nombreuses analogies avec le « Mugby Junction » de Dickens) ; il sauve de
l'ennui un film aussi médiocre que Mogambo; donne une valeur à ce reportage
sur le base-ball qu'est Flashing Spikes (film T.V.); mais gâche un scénario aussi
prometteur que celui de Prisoner of Shark Island qui, après un début en tous
points saisissant évoquant l'assassinat de Lincoln, se poursuit par l'atroce vision
d'un emprisonnement infernal (les gros plans de Carradine, éclairés par Bert
Glennon, sont superbes) pour s'achever avec quelque platitude sur le rachat du
prisonnier médecin au cours d'une épidémie de fièvre jaune; bref, il semble bien
être ce fameux « secret de la prunelle » que nous promettions tout à l'heure de
découvrir.
C'est en effet sous cet angle particulier que John Ford envisage la question
du racisme. Ici, j'ouvre une parenthèse. Un autre point commun avec Dickens,
c'est la rigoureuse honnêteté avec laquelle il approche le problème. On se souvient
que Dickens, après avoir créé la figure du juif Fagin de « Oliver Twist », s'écria:
« Je dois écrire maintenant un livre dont le personnage central soit un Juif fort
sympathique ! » Il semble de même que Ford se soit fait un point d'honneur à
donner au même acteur noir les deux rôles antithétiques du Sergent Rutledge et
du redoutable chef indien de Two Rode Together. Ce que nous avons dit de l'inu-
tilité nous fera mieux comprendre pourquoi John Ford traite surtout du racisme
à travers le thème des captives. Deux de ses films, parmi les plus beaux, sont
construits sur ce thème : ce sont Searchers et Two Rode Together.
Ces deux films sont pleins de revirements inattendus que nous avons signalés
au début de cet article. Mais ils sont de nature plus subtile. Nathalie Wood revien-
dra-t-elle chez les siens ? Linda Cristal s'accoutumera-t-elle à la vie des colons ?
Cette question dégage ici une même angoisse très prenante due, en partie, au man-
que de nerfs du scénario, ou plutôt cette angoisse est le scénario même. Les coups
de théâtre s'enchaîne!lt à l'infini de la même façon que ces échos de tonnerre
observés les soirs d'orage en montagne : ainsi, l'admirable apparition, dans Two
Rode, de la vieille femme captive des Indiens. Pourquoi donc ces hésitations ?
Pourquoi ce manque apparent de jugement de l'auteur ? Uniquement pour ceci:
l'important, aux yeux de Ford, est d'appartenir à un ensemble. Il ne critique pas
la vie si dure des femmes indiennes, il la pose comme un fait. Si donc Linda
Cristal préfère retourner vers cette société primitive, c'est qu'elle y a une place,
si difficile soit-elle à tenir. Et si, quelques instants plus tard, elle a tendance à
vouloir faire partie de la colonie, ce n'est pas parce que Ford accorde à cette
société plus de crédit qu'à la première, mais parce que son héroïne voit à ce
moment cette société à travers Stewart, qui se montre bon pour elle. Que cette
affection vienne à s'atténuer ou à disparaître, la jeune fille affolée, brutalemen t
replacée en face de l'horrible sentiment d'exclusion, s'enfuira vers le camp
indien. Une deuxième parenthèse: il est curieux de constater à quel point Dickens

9
si portés à la tendresse, usent ici et uni
1 Ford, par a111curs 5
la force n écessaire, d'une ex~rêm~ cruau~uernent ici
â;mner à leur pr~~nait son frè re ~u m?men~ precis où les c~i La s~ne' ~Ur
·eunc blanche .re toute beaut é (meme ~prete dans le proces on~ s appr~ l~
i Je Jync~cr e~t ~te aussi friand de ces quiproquos qui prouvent ~u Sergeant ~rtt
ledge>. Dlfef; s~~tion puritaine. ar
leur Viole~~
la vanité c e d'a rès t out cela, quelle couleur Ford a confér
<_:>n ~c~~prP-~~~ we~tern et la biogra:J;>hi~ moralisante. La beaui~ à d~s genres
au::;sl préc~s qu guère S'il traite une h1stoue comme celle de Dru de !aventure
ne le pas~w~n~ le du cauchemar (ce film se compo~ en effet aut ms ~long t~
Mohawk 50f~;r:rs~nnéc des Indiens éprouvée par Claudette Colb~~~ d~ne Peur
physique ~ sensible à la précarité de l'existence. Dickens fut sans a~ cest qu'il
est surt?u ; introduire dans la littérature ce thème propre aux clas cun douV:
le ?.r~:c:J l~i donnera, après Chapli:n, se,s lettres de nob~esse cinémato~~ m.oYer,.
nes • . t d'ailleurs s'étonner du fai~ qu un thème auss1 prosaïque attei:~ues.
On pcutte pu1·ssance explosive. Le fa1t est là : la défense des intérêts per ch~
1·ux ce · . ê d l' ffi . sonnets
!!St, pour nos ùeux auteu~s , le . s1~e S?Pr_ f!le ~ a rmation de l'individu. NOUs
vo i{,.1· donc plus loin que Jama1s dun Indlviduallsme mal entendu : leurs per
· t es, ce son t d e. merve1'Ileux ..é gmstes
· son.
nages ne sont pas des égo~Is qui, tel Spenœr
Trucy dans Last IIurrah, s efforcent en sounant de conciller au mieux leurs inté-
rêts propres avec des buts lointa~s, buts qui sont. ceux évidemment de la démcr
crutic américaine, comme elle se reve. Inutile de dire que, lorsque le choix se fait
pre~sant entre ces intérêts et les valeurs spirituelles, ce type d'hommes préfère
poursuivre la lutte pour la victoire de ce qu'ils jugent sacré. Ils n'hésitent pas
alors à jeter dans la balance tout leur modeste avoir avec un courage et une
honnêteté qui, une fois de plus, tendraient à prouver que les bons films peuvent
être faits avec de bons sentiments, puisque les meilleurs de Ford se calquent sm
cc modèle : Sun Shines Bright, Last Hurrah, Two Rode Together et Gideon of
Sco t lan d Yard. Ainsi survit étrangement dans l'œuvre du cinéaste américain issu
d'Irlande un petit bonhomme façonné par le génie de Charles Dickens et~ se
nomme Mr. Pickwick. La mort de S. Tracy dans Last Hurrah, le masque tragu;~ue
<le lu bonté offert par le visage de Charles Winninger dans Sun Shines, le dé~:
chcment de J. Stewart disant, dans les dernières images de Two Rode : • Jal
~ro~vé .mieux que 10 % » tout cela perpétue le sens idéal que Dic~ens, avant Ford.
.tltnbutl. à une démocratie fondée sur l'exercice des vertus chrétiennes.
1
Peut-être avons-nous réussi, au terme de cet article, à perc~r le 11 secret de
l~~:J>r~nelle, » de notre auteur; c'est le secret d'un artiste qui vmt l,e monde :
{ .u.x d enfant dans un temps où précisément les valeurs de 1enfance Jeurs
11
(lu 1 .••.-go
~n une importance chaque jour plus haute au détriment parfois des v
mur. •
Alain FERRARI.

10
,·<
1
FORD PARLE DE FORD
i
par George J. MITCHELL

En raison de l'importance de John Ford dans l'histoire du cinéma, l'hommage


que lui a récemment consacré l'Université de Californie à Los Angeles (U.C.L.A.)
mérite un rapport détaillé.
L' « hommage » était compo~ d'une, disc?ssion publi_que entre Ford, George
Sidney qui est président de la D1rectors Gmld of Amenca, Hugh Gray, profes-
seur a~ocié d'études théâtrales à l'UCLA, et Arthur Knight, conservateur de_ la
cinémathèque du Hollywood Museum, qui menait les débats- et de la projectwn
d'extraits de films de Ford comme The Informer, My Darling Clementine, The
Quiet Man, et toute la séquence de la Guerre de Sécession dans How the West
Was Won.
Parmi les spectateurs, mais ne prenant pas part à la discussion, se trouvaient
le colonel James Warner Bellah, scénariste, et Willis Goldbeck, scénariste-metteur
en scène-producteur, qui actuellement sont tous deux de proches collaborateurs
de Ford, ainsi que les vétérans metteurs en scène Henry King et Alberto Caval-
canti.
Ford est un homme de haute taille. à la démarche traînante, aux traits buri-
nés, aux cheveux gris et clairsemés. Il porte des lunettes sombres avec une
épaisse monture (un bandeau noir couvre l'extérieur du verre gauche). Il est
sourd de l'oreille gauche et a un appareil auditif dans la monture de ses lunettes.
Il semble avoir perdu beaucoup de poids, et sa veste usée bleu marine pendait
largement sur sa carrure solide. Il portait un pull-over jaune, une chemise à col
mou et une cravate sombre :pégligemment nouée. Son pantalon de flanelle grise
était accroché assez haut au-dessus de la taille. Il y avait une petite rosette à la
boutonnière gauche de sa veste, mais je ne pus pas voir de quelle décoration il
s'agissait. Il est voûté et marche en boitant légèrement, probablement parce qu'il
ne voit pas bien.
Ce qui frappe le plus chez lui n'est ni ses traits rudes, ni sa taille, mais sa
,·oLx. Elle est d'un ton profond et agréable - très plaisante à entendre. Ceci vient
de ce qu'on pourrait appeler, je pense, un accent d'Irlandais de Boston.
~ord aime ~aucoup parler et est un conteur né. Mais il peut être brusque,
et meme sarcastique, quand on lui demande quelque chose dont il n'a pas envie
de parler. Son humour a souvent des accents ironiques, car il a souvent dù lutter
pour ce en quoi il croit.
Ford aime raconter .des histoires et fut assez vexé - du moins il le parut -
q~and, une m~ de.ux folS, le meneur de débats Knight l'interrompit au milieu
d une. bonne h1s~01re. Ses anecdotes révélèrent plus sur lui que ses réponses au.x
questions, parfois oiseuses, qui lui furent posées au cours de la soirée .
. Il n'est jamais. mé~t quand on lui pose des questions directes, mais poli et
J?atl~nt. Il f,!lt, partlculie~~ent poli, qu.oi9ue sans affectation, en répondant à des
etudiants d". 1 UCLA. MalS 11. peut au~s1. et re sec, impatient et sarcastique. comme
qu~d. on l_Ul pos~ des questi~ns suscitees par une préoccupation enfantine de la
« Sl~nificatwn sociale ». Mon Impression d'ensemble fut celle d'un honm1e cordial
et aJ.mable.

11
Ford eut le public rie S( n C<'>t \ et de fran
Toute la soiré~, de ses histoires - nu plutot, 1· mnni •re ( 5 écla
nccucillireJ?t c;-ert~~~~~t l'afr d'u n petit garçon llln.li i ux, quan~tnt. il les~.li.r
tait. parfoi~ Il P Jterlocu teur en renvoyant. ln balle nvec avec- l1 Par ex rn ûCQn.
désarçonnrut un i~ « M r . For d, qn e pcns<'7. vous cie Ber man ? ~e réponsep~ n
tendue. Exemf!le. ·« Ingrid ? J<:h bkn , voyons ·- oh l Vous voulez ~orel, av ena
sourire sournoiS ·n » Ü savnit depuis le début q~t'i l s'n.gissalt d'In<hre le mett Un
en scène Be~gm a : au p r C'mie r rnu g quand Klllght nt son dls grnar. eur
Ford était a.scf~uel il m entionn a que l',ord « avait été un ac~ours d~ Pré
tation, au ~outrs 8 ~ vr ai », s'exclama F or d . « J'ai seulement serv~~ >l .
1
sen.
« ce n es P e doubtu
mon frè~~n »des propos de Knigh~, Ford sc dirigea lentement et pructern re à
A la. . a.nt face au oubhc. Il enleva ses lunettes et couvrit rnent vers
son œil ma1 a
une cJ:aise f~~ avec le moÛchoir qui pendait n égligemment de la rapidement
POChe su
. re de son veston. . . . Pé-
neu Quand je me suis évei~lé ce m atm », exp 1~quar~ll, « cette saleté d' .
. «. souffrir comme une p01~ée de sty~ets: 81 Je SUIS sage, peut-être u ~~1 me
faLSalt re de médicaments apres cette reunwn. Est-ce que je peux allqerelJ aurat
mon ver e cher.
cher maintenant ? » , . .
, Il vit près des bâtiments de 1 UCLA et dit avec gentillesse : « Je les r
tous les jours depuis des années. Ils n'ont pas cette architecture fau~garde
géorgienne ou Renaissance. C'est simple et beau. >~ . . ment
On lui demanda quand, au c~urs. de sa carnèr~. Il avait eu. la possibilité de
choisir les sujets de_ se~ films,_ et Il dit que cela .avrut été à environ 26 ans, mais
que sa première « hist01re vraiment bonne » éta1t The Four Sons 0 928), qui était
tiré d'une courte histoire appelée « Grandma Bernie Leams Her Letters ». Et n
ajouta : « Aujourd'hui il faudrait que le fils soit amoureux de la mère - ou bien
de la sœur ? » Son sarcasme était impitoyable, et il était évident que de tels
thèmes le dégoûtent.
A une question sur les westerns, il répondit : « On ne peut pas démolir les
westerns. Ils ont soutenu l'industrie. Et on ne peut pas faire une parodie ou une
satire de western. J'ai vu des gens essayer - et échouer. >>
Le professeur Gray demanda à Ford le genre d'histoire qu'il préférait. « N'im-
porte _quelle bonne histoire avec un décor pittoresque, et qui concerne des êtres
humams », répondit Ford. « N'importe quoi avec des personnages intéressants-
et de l'humour >>.
Ford n'B.:îme. pas _les films « à message » et il résista à Knight quand celt.Ji.ci
essaya de lw faJ.re due qu'il avait introduit un message social dans The GrtJPU
of Wrath. J?evant l'insistance de Knight Ford s'impatienta.
san~< fe SUis du prolé~ll:riat », dit-il avec' ferveur. « Je sors d'une famil~e de pay-
,J'ai~ ~~A son~ venus lCI et ont reçu une éducation. Ils ont bien serVI ce pays.
Oen d~érique. Je suis apolitique ». , . ~
l'index d manda à Ford de nommer ses films préférés. Il jeta un cou_p d œil et
s'exclam: ~es ~msFdans << Films in Review » (Mars 63) que Knight lw ~
Puis ~s~z e ace on the Bar Room Floor 1 Mon Dieu, j 'ai fait ç~ ·•
Ce qui l'am~anaiement, il déclara : << Mon film préféré est le proc~amle ·~
tage quelques · na à Parler de Cheyenne Autumn dont il avait termmé
« Je Jours plus tôt. , •es$
,
t res ne veux Pas av . l' . . . rois que e
bon )), dit-il. « , 01r at~ de_ faire de la publicité, ma1s Je c dont ill
i
ont dupé toute 111 e~t une h1st01re vraie sur les Cheyenn es, la f, onla p.rtte
centrale du pays » · · rmy au cours de leur retraite à travers tou e
Pourquoi av 't :
« J'aimais 1aJ.'h . -il ~ait ce film ?
Il était d '
rnond m
Istotre et j' ·
8Ccord P<>ur
· nt de
l .ru Pris Jack Warner dans un morne pe et ..--_.._
étaiene entier, me Pose e rus~r faire le film. Les gens, en EUro _
ftbn t Vl'aùnent leur nt touJours des ques tions sur les Indiens
Pour:~r dire 1~ vérit~ulture, leur histoire. Je voulais depuis Iongt~Püs étl!~~:
.r€Spère is Pat; la cavaten~ur eux, .Pas simplement un fil m dans lequ~ans ce
que c est oeta. 1 · Je cro15 que c'est ce que n ous avons fait
12
n dit qu'il aime particulièrement Sergeant Rutledge . « Les soldats de cou-
leur ont joué u n grand rôle dans notre histoire », dit-il, « et je voulais raconter
cette histoire. Woody Strode, qui vient de l'UCLA, était remarquable. Mais le film
n'a pas eu de succès, parce que, d'après ce que j'ai compris, la Warner a envoyé
ries gosses à bicyclettes pour le vendre ».
Lors d'une question su r The Informer, Ford confirma la déclaration qu'on lui
attribuait, à savoir que ce n'est pas un de ses préférés.
« Je vais vous racon ter l'hist oire de The Informer. A l'époque où un vieil anù
à moi, appelé Joe Kennedy, le père du regretté président, contrôlait la RKO, il
voulait que j 'y travaille, et il dit à quat re ou cinq gros producteurs de la RKO -
je savais qu 'ils ét aient de gros p roducteu rs parce qu'ils portaient des manteaux
ch ers et fumaient de gros cigares - qu'il voulait qu'ils m e fassent faire un film.
Ils dirent à Joe que je ne voulais pas faire un wester n , m ais un film sur « une
rébellion en Irlande ». Joe demanda combien cela coû ter ait. Quand un des pro-
ducteurs dit à peu près $ 200 000, Joe leur dit : « Laissez-le faire. Il n e perdra
pas plus que certains de ceux que vous avez f aits ».
Quand Ford fut arrivé au milieu du tournage de The Informer, Kennedy
disposa de ses intérêts à RKO. « Ils arrêtèrent le tournage pour un jour et m'an -
noncèrent qu'ils avaient besoin du plateau où je travaillais, et ils me firent t ra-
verser Melrose Avenue pour m'installer au California Studio (aujourd'hui Pro-
ducers Studio). Ce qui était bien, parce qu'ils ne venaient plus me voir ch aque
jour pour me dire comme l'histoire était déprimante et quel échec le film allait
être.
« The Informer fut fait en 18 jours, et quand il fut terminé ils envoyèrent
la copie à New York et la mirent dans un coin pour près de cinq mois. A la
preview à Hollywood, les gens sortaient au milieu. Dans le foyer personne ne m e
parlait - J'étais traité comme un lépreux. Mais quand les critiques le virent et
écrivirent des critiques favorables, les choses changèrent. Le soir où le film reçut
quatre Academy Awards, le producteur qui l'avait bloqué en accepta un pour le
studio et fit un speech de 15 minutes. Puis il reçut mon Oscar pour la meilleure
mise en scène - et fit un autre speech ennuyeux d'un quart d'heure. Il essaya
aussi de faire mettre son nom sur les copies et sur la publicité, mais il était
trop tard pour ça. »
Le seul Academy Award que Ford ait reçu personnellement était au nom de
l'U.S. Navy, pour un film qu'il avait fait pour celle-ci. Les executives de la RKO
au moment de The Informer étaient B.B. Kahane, Samuel Briskin (vice-président
en charge de la production), J.R. McDonough et Leo Spitz. Les productions super-
visors étaient Pandro S. Berman, Kenneth Macgowan, Merlan C. Cooper, Cliff
Reid, Jane Murtin et Lee Marcus. Macgowan et Cooper étaient les amis de Ford.
Reid était production supervisor sur The Informer et travailla par la suite avec
Ford sur d'autres films.
Un extrait de The Informer fut alors montré. Il comprenait les dernières
minutes et commençait par la scène de l'exécution de Gypo et de sa mort dans
l'église devant la mère de l'homme qu'il avait trahi. La projection était si floue
que Ford s'écria : « Est-ce ma copie ? » Ayant reçu une réponse affirmative, il
dit : « C'était une bonne copie la dernière fois que je l'ai vue et la mise au point
était correcte ». En fait, les projections de tous ces « hommages » de l'UCLA à
des metteurs en scène ont été inexcusablement mauvaises.
Le Professeur Gray demanda alors à Ford de parler de Dudley Nichols, qui,
dit-il, était profondément aimé ici à l'UCLA. Ford répondit avec émotion : « Nous
étions très amis. Il adorait le cinéma. Il n'écrivait jamais de phrases ronflant es.
Il écrivait un langage quotidien, et réduisait les dialogues au minimum. C'était
un homme merveilleux. Il me manque terriblement. »
Il ajouta qu'aucun scénariste n'avait collaboré aussi étroitement avec lui que
Nichols.
« J 'aime que le scénariste soit avec moi sur le plateau », continua-t -il. « S i une
scène ne va pas, le scénariste peut la regarder et éventuellement s'apercevoir que
s'il élimine ou ajoute ici un mot, là une phrase, nous pouvons arriver à ce que
n ous voulons. »

13
u'il pensait des gens qui n'aiment
a alors à Ford ce. ~n « Je suis avec eux », dit Fo que le
Knight demandgrettent sa dispantl e ctu cinéma muet. Ce sont les i~ av~ 1es
cinèma muet .e;:S~l, je suis un ho~istoire. » ee. qui lui rappela son nog~ et por
tou5uc. (( Mol devraient raconter est tout à fa1t un film muet. C'est u Uveau ~,alO
pa Jes mo~ qw Cheyenne Autum.n <\ » ne his: etes
nim, ct 1l dtt qu~n suis plutôt satlsf~ · ue la plupart des gens s'im . ql.l'e
tOITU vraie ct ( .a pas été la r~vol;t" t;;:~ailant des studios .Fox. Il était ~e~t •.
J'al !ait le prem1er, 1 arber Des gens vena1ent de New Yor cl une
1
(( !Je son oeo
cl·clr!ra •ord;~~c appelée N.apoleon;l~s pariants, et ce qu'ils ~aisaient était\Pour ql.lt:l
pl .cc en un r comm nt faire d.es assant sur un pont, et ils me dirent Of1i. H~ n
no~ 1 J m~:;~~ais montrer une vOlt~~~aft pas dehor~. Je firùs par persu~der 1~U~ je ner
gr a
~~c. pouvais pas, que ça ~e ~~~rt parfait. L'ingérueur du son fut salue cornrne ~
de ortir son équlpemen . ntation. » . . . n
nie et il eut une augme da à Ford comment Il etait devenu metteu
g ~ Professeur <;ir~Y demf~ dois à un très gra~.d pet~t h?:r:une nomrné re en
1 c Ford répondit. · << J~ York pour la prem1ere fms VISiter le studio lJa~
1v~--n~nle. Quand il vmt d~ ;~~ty en son honn~ur sur le seul p~ateau couvert~~­
r al on donna une gran ed ns un coin Parrru les bartenders il y avait un t u
studio', en ins~a~lant un b~r L: arty dur~ la plus gran~e partie ~e la nUit etr~i­
. Jt,me acccsso!tlSte - m~:~e auptravail à l'h~ure le m_ati?· Quand Je me prësen~
(lorrnb sous le bar pour r en scène _ je crois que c'etait mon frère - ni au
, u navail, ni _le 1?ette~ Ils avaient passé une nuit blanche. Quelques-uns ~
d s acteurs n étalent f 1 · étaient là mais personne d'autre. » es
row·bOY~ de_ la fig~ra) ~mstein le' directeur du studio et un merveilleux pen
Bientot ~I.sl or alo sur s~n cheval. Quand il vit qu'il n'y avait ni mette 1
bonhomme! arrn a al:l1 ~t ? << Le grand patron arrive. Il faut faire quelque choseur
l...l ::; 'ét~?sm ;:i~:crcs~s~oiriste, mais je di~ : « Quoi ? » « N'importe quoi », o~do~
Je n . QAl J·e d 1·5 aux cow-boys daller au bout de la rue et de reverur vers
B rn tem. ors d é L mm1 ·
1 caméra en galopant et en hurlant comme es enrag s. ae e ~va. avec
.~on entourage et je fis faire leur boulvot aux cow-boys. ~~~ s~~blruft .Plaire à
La mmle, et M. Bernstein souffla : «., o~s ~e pouvez pas r au-e ~e autre
cho;:, ? n Je réfléchis une minute et J allal ~.ilre aux co~-b~ys d.e repartl.l' au bout
de la rue et de revenir au galop vers la camera; quand. Je tlrer~1s un co~p de feu,
plu ieurs devaient tomber de leurs chevaux. A cette epoque 1ls gagna1ent $ 2,50
pour une chute -maintenant c'est $ 250. Bref, il Y avait quelques très jolies filles
vec M. Laemmle, les cow-boys étaient jeunes, et ils faisaient de l'épate pour les c
fille-. Quand je tirai en l'air, pas un ou deux, mais tous tombèrent dans la pous- é
ière de tous les côtés. « Vous ne pouvez pas faire autre chose ? » demanda Bem. q
tein. Alors on mit le feu à la rue. >>
« Un peu plus tard, ils avaient besoin d'un metteur en scène pour un deux
bobine , et Laemmle dit : << Essayez Ford. Il gueule bien. »
Ford raconta cette histoire avec émotion, conviction et nostalgie. Il me fit en
tout c s croire qu'elle était vraie.
c
La discu ion fut alors amenée sur The Iron Horse un film dont Forà vou-
1. it •i iblell_lent pa:Ier. « J'avais un Oncle Mike qui avait fait la Guerre de Séces-
.1 I~. J su1s un vteux nordiste, est-ce qu'il y en a d'autres ici ? Je demandais 1
to~JOUr à ~on Onc.le .~ike de me parler de la bataille de Gettysburg. Tout ce
qu ~ncle Mike voulait bwn dire, c'était : « Ça été horrible. J'ai passé six jours
~lh~rs sar~s boire. » Oncle Mike était un des ouvriers qui construisirent l'Union
ac c ~ro d. I~ mc racontait des histoires à ce sujet et m'apprenait les chan-
~~8159u ;ait chan filruent. J'avais toujours été intéressé par le chemin de f~r et je
.1. re W1 rn dessus. »
ù 1~ ~~osoa~es allés à_ Wadsworth, Nevada, sur la ligne du Southem Pacifie,
ter. Quand nouan constrwt une ville de baraquements d'ouvriers du chemin de
Je peux encore sl~~es descendus du train à Wadsworth, il faisait moinS ~te.
portaient d cUlottes~· ce~ garçons et ces filles de Hollywood. Il y en ava1t qui
!ourru PlUSieurs cente .toile. Le Sou~em Pacifie nous a beaucoup aidés et nOUS
ames de sous-vetements longs en laine. Nous avons pris
14
, . uniformes que le s tudio a vait en voyés comme co&tun:ws dn~ suldats {J(Hlr les
le!:> t parce tru'ils etaient chauds. J e mc r appelle urw Illle qu1 porta1t des pan-
por
. Jonscr uc soldats
... ::;1 lon gs qu '1l. s lu 1 vcnawrn
. . , t '·'11 , ' t .
JUStl U au rn<::n. (J!l • .c. ù a vat f-<Jup
é
~~~:-> trous dedans pour Jes oras, c L elle n e s'c::;t pas occupee d.e f:!On allure tant
qu 'ell e a cu chaud. >> • • • • •
« Le lendemain il fai saiL encore plus fr01d ct 11 Y ava1t. du bll.zzard. Je d1c:. à
Gcor go SchneJderman, l'opérateur : « Qu 'es t-~e que n.ous ~~uso n.ç;? Nous .n'avons
CJ.Ue quatre semaines pour tourner le film. » George ùlt qull dc va1t y av01r . eu de
la. neige lors de la con ::~ truction du che~m do fer, don~ a utant commencer a tour
ner tout de m émc. ~ch etdc rman étalt un des premwn, opérateurs, ct un de3
grands. Il pouvait tout faire. »
« Nous vivions dans des wagons pour passagers qui appartenaient au Cirque
Al u . Darnes mais quelques-uns s'installèrent dans les baraques qui avaient eté
const.ru1tes p~ur les décors. Je me rappelle qu'une nuit, j'allai dans une de ces
baruqu<ë.s et j 'y trouvai un acteur anglais nommé Cyril Chadwick, qui vtvait là .
Je 1u1 demandai comment il pouvait temr dans un tel endroit. Il m.e répon dit :
« C'est mieux que V1my Ridge, old boy. » C'était caractéristique de l'esprit de la
troupe. Malgré le mauvais temps auquel nous étions presque constamment expo-
~és personne ne tomba malade. Je suppose que c'était d'étre à l'air libre qui gar-
c.i :11t tout le monde en bonne santé. Huit dc:;s jeunes gens qui étaient avec moi
u.evinrent des metteurs en scène par la suite, et six ou sept des filles devinrent
des actrices importantes. >>
Ford, qui s'était échauffé à raconter ses histoires sur le tournage de The Iron
lforse, sonit un cigare de la poche de sa veste, le coupa en deux, et l'alluma. Il
plaça soigneusement l'autre moitié dans la poche de sa veste Bientôt il était
(jllLouré d'un nuage de fumée.
« J'ai commencé à écrire une histoire sur le tournage de The Iron Horse »,
dit-il à mon étonnement, « et j'ai déjà terminé huit chapitres. Ma femme dit
quo c'est encore plus pornographique que la littérature courante. Il y a quelques
bonnes histoires que je pourrais vous raconter - mais pas devant une audience
mixte. » Le public fut naturellement déçu.
« Quand nous avons été là depuis quatre semaines », reprit Ford, « nous
étions loin d'avoir fini, et ils nous envoyèrent Sol Wurtzel, un des executives
importants du studio, pour voir ce qui nous retardait. Un des wagons du Cirque
Barnes que nous occupions était connu en argot du cirque comme le « Privilege
Car », parce qu'il servait pour les patrons du cirque. Nous nous en servions
eomme d'un wagon de délassement, ou plutôt un wagon de jeux. Et Sol Wurtzel
était le type du joueur qui ne peut pas résister au jeu. Il n'était pas plutôt arrivé
qu'il se lança dans une partie de dés. »
« J'avais une discipline très stricte et l' « extinction des feux » était à dix
h eures. Mais Wurtzel était en pleine partie de dés et il me supplia de faire une
exception pour lui. Le lendematn il était toujours dans son jeu, et après trois
Jours, quand il eut regagné tout ce qu'il avait perdu, il repartit pour Hollywood.
Il n'eut jamais .le temps d'inspecter les comptes. Finalement Wiliam Fox regarda
ce que nous av10ns tourné et dit : « Laissez-les le finir. » The Iron Horse coûta
~ 21:!0 000 et rapporta des millions. »
« Dans le rôle féminin principal, nous avions une gentille fille, Madge Bel-
lamy,. une yectette importante en ce temps. Une fois le film terminé, alors que
J'é tms parti en voyage, le studio décida qu'il fallait faire quelques gros plans
« glamorou~ » de Madge, et ils en firent tourner par un assistant metteur en
~~éne. Il mit !a c~méra en plein soleil et fit faire ooh et ah à Madge. Je fus fu-
r~eu~ quan~ Je v1~ ç~, car cela ne raccordait même pas avec la scène à laquelle
c éta1t destmé. Ma1s Je ne pus rien y faire. >>
, . Quand Knight ct le Professeur Gray dirent à Ford que l'UCLA présentait
1 he Ir~n li orse le jeudi soir suivant, il dit : « J'aimerais le revoir, mais seule-
mont si on a coupé ces horribles gros plans de Madge. >>
. c:J:~ay demar~da a~ors à Ford s'il était vrai qu'un jour, un directeur de produc-
~wz.t s étan~ plamt ~un retard dans le tournage, il avait déchiré les pages d'un
scnpt et dit : « Mamtenant nous n'avons plus de retard 1 >>

15
d't Ford. « C'était ~n ~dieux Petit
ent vrai », répo~ 1 ros bonnet. Il .disaJ.t .: « Vous persan.
« C'est ab~olu~'il était le fils d ';ffim~oisonnait depuis plusteurs jour etes en
nage - je 1croi~anq de travail. » 1.1 Tuf dis : « Maintenant nous avons tro~ ~lor~
retard ?u~ ~ P es du scrip.t et Je êtes content ? » Jours fair•
1 P~!n de travail. vous r aux étudiants de leurs chances
je déchirai diX cipa
qu'ï
d'avance ~ur . ettrès sérieux pou~P~~l~utres met teurs en scène, noUs ne ~~ trou. des
Ford ev.t dans le cinéma. « t o ail » dit-il avec regret. « Ce n'est Pas cUvons con
ver du .travai vous donner du ra\ ar~iver et trouver un travail ou un °ll'ltlle dée
rien fai~e . P ~:-nmencé, qu'on pou~ai
0
refuse de donner leur chance aux autre. là,
quand J ait crrible situation, q~e 1 0~urs d 'une man ière ou d'une autre Pjeunes.
C'e~t ~nerofs que
MalS Je c
le talent fi? 1t tounJ t . ~< Bien entendu, si vous épous~z alr être
. . uta iromqueme · a fl.lt
Grt
reconnu. » Et Il aJO ·verez rapidement. » e car
d'un executive, vou~ a~n . u moins de films tournés à .~ollywood, dit F cle
Bien qu'il n'y ait Jamais e ue les acteurs et le:s tec~n1.c1ens t ravaillen °?d, ma
on y travaille bea.u?oup pa~c~l qest très difficile al:lJOUr d h m de trouver unt ~r be<
to
cl es films de téléVI~IOn, et d nombre d'entre eux s1gne pour. ~es séries TV de n gr
opérateur, parce qu ~n .g~a~ de trouver un bon gaffer (~l~ctnc1en) et un bon 39
semaines. II est au~s~ dif cl e à tout faire). La télévision accapare toUs grtp
<accessoiriste-menms1er-homm~ir des gens qui savent enlever et mettre ce CeUJt
qui sont bons. ~ous devez 1a; Ces gaffers et ces grips sont bons - il faut J~e
vous voulez 1~ ou vous vou ~~ chance de trou ver une bonne équipe et un bolls
le soient. J'ai eu beaucoup n
opérateur. >> • à Ford de dire un mot sur la magnifique photogra .
Un étudi~t dem~gabien » répondit-il, « je pense d'abord en Photogra~~le
~e tous se~dè mcso.rn« me un photographe plutôt qu'Wl metteur en scène. » e,
Je me cons1 re . , f t' d J h F
s·ctney
1 qui s'était déJà declaré un ana 1que e o n ord, fit remar
pe
querGeorge
que « M· Fo'rd n'introduit jamais ·
cesi étonnantes
1 è scènes picturales
t • Pour.
je
J'effet seulement. Tout est fait pour ma1nten r a sc n~, pour ~acon er 1histoire.
1
Ford approuva : « Mais c'est toujours un mode d expressiOn muet. >>
Quelqu'un demanda à Ford de commenter la remarque d'un metteur en scène tr
selon laquelle « les acteurs sont du bétail )), et s'il était de c_e~, a_vis. « ~e .ne peux
pas imaginer qu'on dise cela, parce que les acteurs ave? ~I J a1 travaille étaient
de véritables professionnels », répondit Ford. « Ils travaillaient dur. Je ne me sUis
jamais heurté à une forte tête - pas chez les Américains en tout cas. >>
Il éluda une question sur Ingmar Bergman de la manière décrite plus haut,
et ajouta : « Je vois très mal et j'ai des difficultés à voir les films, aussi je n'ai
vu aucun des siens, mais je crois qu'ils sont bons. J'ai été en correspondance avec
lui, et je compte le rencontrer très bientôt lors de mon voyage en Europe. Peut-
Hre qu'à ce moment je verrai quelque chose de lui. >>
On lui demanda ce qu'il pensait d'Akira Kurosawa, et si les films de samouraïs
àe Kurosawa avaient des points communs avec les westerns de Ford et il répon·
àit : << Je le connais. Nous avons bu beaucoup de saki ensemble quaild j'étais au
.Tapo.n. Il m'a montré une bobine d'un film de lui au montage. II a une véritable
sensibilité, et il travaille vite. C'est un bon metteur en scène, mais je pense que
ses films ne ressemblent pas du tout aux miens. »
, Un étudi.ant deJ?anda s'il est vrai que Ford tourne ses films de manière à ce
qu ils. ne, PUisse~t etre montés que comme il le veut. Ford sourit et répliqua :
<< Ou1. C est malm, vous ne trouvez pas ? »

ciné~ ~of~sseur G~ay demanda à Ford de parler de Ince et de son apport au


<·er. M~n ~rè ré~ondlt : « II.n'~tait pas vraiment un réalisateur, mais un produ·
une grander ire rancis trava~llait pour lui, mais je ne l'ai pas connu. Ince a ~u
leur. Mais je~~enc~ sur le CI~éma, parce qu'il essayait toujours de faire le meil·
Que J'ai connus. »pe se pas qu il fut un meilleur monteur que certains de ceux
Un étudiant dem d
When WiUte Cames Man a. pourquoi Ford ne faisait plus de comédies comme
ment un metteur en s~~hz~g Home. Réponse de Ford : << Je me sens essentiell~
e e comédie, mais on ne veut pas m'en donner une
16
. Quand je fais une scène, j'ai toujours envie de faire tomber l'actr!ce prjn-
f~lT~~ sur le derrière. » Il ajouta que, bien qu'il ait plus de liberté mamtenant
Cl~fr dirige sa propre compagnie, « on a toujours à traiter av~ des banquirJr~ r~t
qus ens de New York, même si on est son propre boss. » Kn1ght demanda Sl la
~~m~agie dont il parlait était Argosy Pictures, une companie que Ford avajt fon-
dée avec Merian C. Cooper. « Non », répondit Ford avec un regard oblique, (' cellr!-
là nous l'avons dissoute avec une perte sèche. »
' Knight demanda alors à Ford quelles raisons l'avaient poussé à faire The
Grapes of wrath. « Je m_'int~ressais ?eulcment à la f~mille .Joad en t~nt que
caractères », dit Ford, et 11 aJouta raprdement : « J'avars de la sympath1e JYJUr
rles gens comme le.s J_oad, ~t je leur ai beauc:ou~ rend.u service !lnancière~e~t.
mais Grapes ne rn'mteressa1t pas en +.;ant qu'etuae soCiale ..J'admrre .John. Stem-
beek et j'ai aimé travailler à ce film . Je me suis battu pour le faire, et j'y ai mis
tout ce que j'avais. La photo, délibérément sombre, était de Gregg Toland, un
grand opérateur. >>
Knight mentionna alors un film appelé Sex Hygiene que Ford dirigea pour le~;
Signal Corps et que tous les soldats de la 2' Guerre Mondiale avaient vu. '{ ,J'ai
sauté en l'air quand je l'ai vu », elit Ford. Knight décrivit ses réactions quand il
Yit ce film à l'armée. « Est-ce qu'il vous a aidé ? >) demanda Ford a7ec détache-
ment. « Oui », réponc:lit Knight.
Après la projection d'un extrait de They Were Expendcible, Ford répéta qu'il
ne J'aimait pas. Il dit que la Marine lui avait dnnné l'ordre de quitter son unité
outre-mer pour le faire. ce qui lui avait dénlu. 1< Je connaissais bien Johnny Buck-
!e · Oe personnage réel sur lequel l'histoire était basée). C'était un homme trbs
décoré. et un homme brave. Il m'a débarqué plusieurs fois sur les côtes de Franc";
pendant ia guerre, quand je travaillais avec la Résistance Française. Je pense qu~
_:e peu.'!{ dire ça aujourd'hui. »
C'est 1a première fois, à ma connaissance, que Ford faisait mention de son
·ra··aiJ a,·ec l'O.S.S. pendant la guerre. Ford a aussi remarqué dans un autre
co!:.·ex:e : << Le gou·;ernement italien m'a donné une médaille pc>Ur a·mir fait;
sa:.:.ter ie tunnel qu'il ne fallait pas. >>
:rn·errogé sur la prétendue stoclc company de John Ford, il dit : , C'est
.. r;e :é?e~de. r: est >·rai que j'ai utilisé '< Duke r, '\Vayne et \Vard Bond, paix à son
âme, e< à'au:res. cians beaucoup de r..:ms, mais je ne lE:s consid~re r;as rA~mm~ lme
-:o: ; !"éguLère. » K!2.ight -:Jrit le Dl.Lrnéro de " Films in Re7iew " contenant l'in-
ciex e· se mit à Jre ~es distributions.
Ford reprit : Je pe:1...c::.e qu'en effet j'ai une troupe, mais ce sont les n(Jmbreux
.'-..:.ra:-. ·s e œ : s acteurs qui _n··aiEen~ ?.·:ec moi depuis des années ..Je passe
U=aù up de .emps a ·ec eux, plu: qu'aYec les acteurs principaux. "
A·'ar ~ :a ~ro;ec::o~ à'•..:.:.."1 e~{":rait de _\fy Darling Clementi~ Ford d?f.:lara :
•. J_'a: Hi~ .. _;, B:.: Cod!·, Pard."'ler Jones, Al .Jennings et Wyatt E~rp. ns ·;~n.aient
-·"'::." .. es r;:a·~au.x. et r,os ~~rr-s _es i!':..'~éressaient. J'ai fait ·auer Wyatt Earp à
T:e::~ ~ !:dr. exactJ?mer: .. co!'T!m e : é .a~ . E:1rp n'tb 2..: pas un ~ireur ex,r~ep":ionn~l.
t:o pe.~: :--as ..rn:ment :rr:r a ·ec précis:on a·'~c un six-coups, vous sa"~z. Eam
- .. ~rr~:r.e Sl].e""u.€:. e · :r:. :..m:da·· :e:: g~:~:: pzr sa pr~nœ ..Je .'<:d as ·r:""
=~ cc..r:..u. • r-
arr:~:s .. 1 My D'l.r!in'l cr~m~nti~. J'es-
A: .:.. cor; sf-.-era~b!: de; ,.~gli.sr: ..J·~ crois

7
nt dan s le Connemora, qui est 1
vraieS, enes exi~;ornwell n'a jamais conquis . Je s; Corn~
The Quiet Man ~oft de le seul q.ue llé à l'école en. Irland~ pendant unis llé à. colliJleuf<
lUS pauvre d Ir ~n maiS je sUIS a es : anglaiS et gaellque. Tous le ~l'tain
~age Elizabeth. :MaJ~e,dans les de~x 1
temps et j'ai été éle~ Les IrlandaJS e
tfrs Noirs sont les acteurs les Plus~ lrlan.
atu~ls
tes bO
tout s'ef
m usique
dais sont des acteur . ié dans la pluie - l'Irish mist, co Ford ét~
du monde. ))
iet Man a
été photograph . le film ))
up serv1 ·
tnrne o"., ses
« The Q~lande. Cela a beauco t à trainer , F ord, visiblement fatigué deUX }lC
l'appelle en le~ questions com~e~~~~~et s'assit. 'tnur. cun go
Quand us êtes à court d id son honneur. Il se leva, s'inclina s cboisir
mura : (( vlio applaudissant, se leva
Le pub c, ttes et essuya son
C:fi qui l'avait p lusieurs fois fait so:U~~it,
lr au
scénari~
QUE
enleva ses lune . , t• révéla tE
de la soirée. la sincénté de 1 ova 10n.
cours ré nement ému par cinéas
Il semblait e (Traduit par Bernard Eis . culeuse
de Films in Review J.eUi~nSCh1tz Piste
, 64.) dU ret2
on deV
la scèr
Ford
peeté
F

TÉMOIGNAGE SUR JOHN FORD


par Robert PARRlSH

John Ford fait partie de ce petit groupe de cinéastes américains qui n'ont
jamais changé avec les années. Rien n'a pu entamer leurs convictions. Durant
le muet, ils étaient les maîtres à bord. Au fur et à mesure que les studios se sont cria
développés, les metteurs en scène se sont . vu octroyer moins de liberté. Le pro Hen
ducteur délégué qui n'existait pratiquement pas du temps du muet a vu son bien
importance croitre. C'était en fait l'espion du producteur, celui qui dénonçait les en t
(( Q
retards ou les fautes. Eh bien je crois que Ford est le seul metteur en scène qui
se soit toujours comporté de la même façon vis-à-vis de ce genre de personnage. et
Il n'en tenait aucun compte. fin.
tez
II faut dire qu'à l'époque où je l'ai connu, il était d'une assurance prodigieuse av·
et~ se tro~pait rarement. Pour Young Mr. Lincoln il commanda un métrage de des
t?1~~le qu~ se révéla prodigieusement exact. Il ne s'était pas trompé d'un mètre.
d ~lUeurs coutume de dire aux monteurs après avoir terminé le tournage
~ ~êm de se~ films : « Ne travaillez surtout pas vous abimeriez mon œuvre 1· tou
les
Mr. Linc~Ir~ ~ musique : je me souviens enc~re de la première de Young
extrêmement fort1 poque Zanuck se battait pour que la. musique des ru.ms soit
la
cause pour Mr L~· ce que ~rd détestait. Il avait pu d'ailleurs obtenir ~ de
salle Près des ·ap=i~ rn~ lors de la première, Zanuck s'assit au fond de :
donnait l'impression qu'üqu commandaient le son. Il adorait cela, car cela 1
conduit un avion Et contrôlait le film, de la même manière qu'Un pnote
lllaia à la fln, 1or:8 de ~~t tout se passa le plus normalement du monde;
rnière scène, quand Lincoln commença à gravir 11
18
li sous l'orage et que l'on entend Battle Hy m n of Republic, Zanuck tourna
col ~eutons à fond · n les tourna trop fort, car on entendit un bruit bizane et
les 'effondra dan~ la plus complète cacophonie. Henry Fonda se liquéfia, la
to~~i sue partit dans un de crescendo lamen table et. l'ima!?e s'~teignit lente~~nt.
~ord qétait ravi : « Voilà qui prouve que m es théones étaient JUStes », disa1t-1l.
Ses démêlés avec Zanuck étaient constants, m ais j~mais très grave~, c~r les
deux hommes se respectaient mutuellemen t. Ford savait que Zanuck n avait ~u­
un goût mais reconnaissait qu'il n'avait pas son p areil pour monter une affaue,
~hoisir 1~ metteur en scène qui convenait parfaitement à un sujet, lui donner le
scénariste adéquat. Il avait le sens du spectacle.
Quelques-uns de leurs démêlés restèrent fameux. L'un de ceux-ci est très
révélateur. De plus il contredit un peu l'idée, fausse à mes yeux, de John For:t
cinéaste académique, uniquement préoccupé par ses cadrages et tournant m éti-
culeusement une suite de beaux tableaux. C'était pendant le tournage de Sur la
Piste des Mohawks. Zanuck était un petit peu ennuyé, parce que Ford prenait
du retard et dépassait un peu le budget prévu. D'autant plus qu'à la fin du film .
on devait tourner une très longue bataille, qui devait durer trois semaines. C'était
la scène à laquelle Zanuck tenait le plus et chaaue soir, aux rushes, il posait à
Ford les trois mêmes questions : A-t-on rattrapé le retard ? Le devis est-il res-
pecté ? Où en est la préparation de la bataille ?
Ford répondait que tout allait le mieux du monde. Au fur et à mesure que les
jours passaient, Zanuck devenait de plus en plus inquiet : « Jack. mon vieux, il
faut penser à cette bataille; il va falloir choisir les cascadeurs, préparer les figu-
rants, les costumes, donner des instructions aux divers cameramen. Cela repré-
~ente au moins un mois de travail et nous sommes déjà en retard ». Ford répli-
quait une fois de plus que tout était prêt et que la situation ne pouvait être
meilleure .
Un soir la comédie se déroula à nouveau. Mais soudain aux sempiternelles
questions de Zanuck, Ford, à la surprise générale, répondit d'un ton sP~ : « J--'e
devis est maintenant respecté. Le plan de travail aussi... Quant à la bataille, elle
a été tournée cet après-midi... >>
En effet, au beau milieu de l'après-midi, Ford appela Henry Fonda et lui
dit : cc Henry, je dois tourner une scène de bataille qui m'embête. J'ai eu aujour-
d'hui une meilleure idée ... Tu as snffisa.mment étudié le scénario et ton rôle. Tu
en sais plus que moi sur cette bataille. Alors, appuie-toi sur ce mur. >> Puis s'adres-
sant aux techniciens : cc Je veux la caméra, ici, fixe, shootant sur Henry n. Et il
cria cc Moteur ! », puis se mit à poser une série de auestions à Fnnda : « Alors.
Henry, comment a débuté cette bataille ? >> Et Fonda répondit. Il connaisc;ait si
bien son personnage Qu'il improvisa extrêmement facilement son texte. De temps
en temps, Ford le relançait : cc Et Peter, qu'est-il arrivé à Peter ? » ou bien :
« Qu'est-ce que cela te faisait d'avoir tué r.et homme. d'avoir vu mourir John ? n
e.t Henry Fonda répondait. Ce fut une véritable psychanalyse d'une bataille. A la
fin. Ford cria cc Counez » et dit aux mont€ur~ : (( Coupez mes questions et mon-
tez tel quel >>. Le résultat est extraordinaire, bien plus impressionnant que si Ford
avait filmé une vraie bataille. Dans presque tous les films de Ford vous trouverez
des innovations semblables. '
.on a .beaucoup dit qu'il haïssait les mouvern,.,nts d'annaren, cP. qui n'est pqs
tou10urs .1uste. Mais il a l'habitude de dire : tc Oll. nai~ nlus ('hP.r les acteurs q.ue
les machmistes, aussi il est normal ou'ils travaillent nlus. C'est à eux d'aller à
la caméra et non pas à ces pauvres diables de faire aller la caméra vers eux n.
, Vous m'avez dit aue vous trouvez que Ford est obsP.dé par le déracinement
~.est assez vrai. Toute sa vie, il a essayé de former des petites communautf>s
'1vant en dehors du monde. Dans certains de ses films, je crois que c'est pour
jteamboat Round the Bend, il avait fait édifier une immense tente et avait en-
ermé tous ses acteurs à l'intérieur. Dans un autre film, il avait obligé Henry

19
un rôle dans ce film, à rest€r sur
w ayne, qui n'avaient aue 1es lieu·~
Fonda et John . ue cette obsession s'est le Plus .
du tourna~e. tout pendant .la g~er~~niastes, d'écri':'ains qui travaillaie~r"élée.
Mais c est sur sorte d'éqmpe e st Garson Kanm, Budd Schulberg Sou~
Il avait. f ?t;mé . une .
il Y avait Jose
ph Augu ' . up · 't et 'ln ·
t de certams films, ~n s ervisru d'autre ·~:ol.
sa supervisiOn • 't très activemend t un sur le fascisme, avec Kanin) 8€ ~ (J en
même. Il s'occug:~-uns moi-même~ ~~ ennemies, ou en Yougosl~vie. ri Col aisait
ai tourné que~ ter derrière les llgn dont certains ne furent proJetés qu'un labora
parfois paracnud nombre
· · à un gra
de films,
t devant que Iques membres du gouvernement. e fois ·
amsl le plus grand secre • e regrouper tous ceux qui avaient fait
dans fin de la guerre, il résol~ ~ù on lui proposait TheY, Were Expenda~?rtie
A la i e n alla à la M.G. · salaire offert à un réalisateur. On lui e et
de cette éq~e) ~vait été le plus ~rosJe veux un salaire plus élevé que cel ~o.nna
demanépdoanqse Il répliqua alors ·.t« >> Une fois en possession de l'argent ilUia·lah et
une
. . r qu'il ·me s01t · verse· très VI e.un terrain autour, pms · 1·1 a 11a VOir ' le c e~-a
· tous
J'e":~~ch dans la campagn~, atv~~it réformer et leur dit : « Voilà, je me t~ Pro.
~~cteurs dont les fils s'éta~en de gars qui se sont battus, qui ont souffert du~Uve
à la tête de toute une ban sont morts. Pendant ce t emps, votre fils ne ficha~t
Iusieurs années. Beaucoup ormal que vous ayiez un geste pour tous ces t alt
fien du tout. Il me sem:~e se la couler douce. » Et les producteurs donnè~s
cf
qui ont permis à votre. e.t à Ford d'aménager ce r an ch. Tous ses coUa~nt
tous de l'argent, ?8 qm p~r~I Y venir n'importe quand, et rester autant QU'ils r~
teurs et leurs ami:S J.?Ouvai~n·t Une seule condition devait êt re observée . e
désiraient~. T?ut e~t is~a q~'~ne fois par mois. A part cela, les types qui ét~ie~~
femmes n etaie!lt a rn · 'table astle.
1
fauchés trouvaient là un veri . .
. , dîner que j'avais pns avec Ford. A la fin du repas il
_Je. me souvien~ dd~nranch et m'avait dit : « J'ai fait ~onstruire une chap~lJe
~~ait e~al~ ~~ocr~~~~ en sortant des offices, on pourra :ap1dement monter à che.
ICI, à cote d ha' Ile il y a un coin pour les catholiques, un pour les protes.
r~·tsD~~s p~~;ele~ b~tis'tes ... Au fait de quelle religion êt es-vous ? » « Moi, je n'ai
auc~e religion ». Ford me regarda longueme~t, gromella ql!elques par?ies incom.
préhensibles puis dit : « Eh bien, on prévmra tout de meme un com pour les
mécréants ».
La religion est très importante pour lui. Il est catholique et je me souViens
ou drame de conscience qu'avait provoqué la mort de Joe August. Son testament
impliquait qu'il devait se faire enterrer en franc-maçon. Ford eut beau supplier
((( Joe a été mon opérateur pour le Mouchard, c'est mon plus vieil ami »), il ne
put rien changer et dut aller la mort dans râme à un enterrement franc-maçon.
A cause de cela, on -a dit qu'il était réactionnaire. C'est à la fois vrai et faux.
C'est un Personnage tellement complexe, qui vous dira un jour : « il pleut de-
hors » alors que le soleil luit et qui vous le soutiendra, appuyé par l'infatigable
Jack Pennick, qui au ranch, se tenait devant le temple en uniforme pour les enter·
reme'1ts. Lors de la guerre d'Espagne, d'un côté il vota contre l'intervention et de
~·autre ~e priva de tout son salaire pour envoyer une ambulance aux brigades
mternati_onales. Lors du mac-carthysme, comme il est un cop hater, il se trouya
ê.tr~. cu_neuserp.ent, le premier à protester contre les attaques et les mesures d'rn·
hmtdatiOn P~onées par la Commission des Activités Anti-Américaines. Il ne peut
supporter qu tme autorité quelconque vienne empiéter sur ses privilèges.
'"on ~mm~ so~viei?~
1 de la ba~arre Olll'il avait eue avec la Fox quand il tournait
;YPhil't' ur hygiene sexuelle. II filmait un grand nombre de malades, tous très
toum~i:q~es, et sur. le Pla!eau d'à côté quelqu'un (Henry King ou Walter Langl
ner ses m~a~~rnédie musicale. Il avait obtenu de la Fox l'autorisation d'emme-
avec des tas de sfi~~~ de~ Jautelfils roulants assister au tournage des séquencr
extraordinaire et aus Qiuz taênsatent, Plus ou moins dévêtues. C'était un spectac e
' s ex r mement fordien.
(Propos recueillis par Bertrand TavernJer.l
20
BIOFILMOGRAPHIE
par Pierre GUINLE·/ Vincent PORTER et
Patrick BRION

Sources: Pour l'établissement de cette fil- res, l'aris. l!)::J-1. (Dans la n~­
mor;raphie, nous arons u.tilisé, rdition en 1 volum,e de 1964
outre notl·e documentation IJer- ln filmographie est mise à jour,
sonnelle, les quat1·e grandes fil- mais les fiches technique.~ so11t
mographies de John Ford déjà 1·éduites par rappm·t à la fil-
parues, que nous mentionnons mographie de 1954).
pa.r ordre ch1·onologiquc : 4) George J. Mitchell : << 'l'he
]) William Patrick 11'ootfell : Films of John Ford >>. Ül
<< An Inde.'IJ to the Fihns of cc Films ln Reriew », Mars
John Ford >> (Supplément à 1963.
<< Siqht and Sotmd >>, Fét-rier X ous al.' On.<! utilisé éfla !cmet~t cer-
] !)48) tains éléments fournis pal' l'arti-
2) Berndt Santcsson et RunP rle de Frank R. Nugent : « 1/ollfl·
Waldekmn~ : filmogrn/!hic wood's FaL'oritc /lebel » dans le
Pord iu << A.merikansk Film >> Sntto·dny Ercning Post du 2:1-i-
lV ah z.~troem, et lVidstrand, 49.
Stockholm. 19fi..J.). Chaque film e.~t suivi d'un oowt
3) Jean Mitry: filmographie Ford résumé de l'intrigue et, parrfota,
irl cc .John Ford » (:2 roll, de quelques détails annezes: U6N
Collection << Classique.~ du Ci- de •tournage, etc.
néma », Editions Unirerûtai -
'
T•Jll
11)!~!) J'
t'
uIlJt'i Vot·cl
l'l'Hi t.é dt• H B t'llli x
l>o<:t.Pur
Al'
t~o~ th1
. 11 om1n , . ·
1\1 flll 10' -1{) 4 2 à 4 1, 11 OHt lriOhili H(> tl•
De Na .J
v y cornau e J Jll'll• t.c•unn t,- ( j omu ,tn ··~ 1tl
US 'Jlnnte conclui tc lui vaut dt• rt'Ullt\p,..
•~Il ccJrl TA·gion , ·c~c·vcl··''
1 .' f M•·'t ((',omhat)
o c• J )) •
In l' l'l>le IleaJ·t >> ' la « Au· M~<lul ' lf•
(( tl . II eHt . )) ' 111_
tc Commenclal!OHI »J.,c•l..,.·c tl(' nlu s(·~ , Chevali(•t·
Couronne cc > ,.., l , «' ,olnn 1•11 1
de 1ni ~ It~Jlllhliqu e D~!mO<·ratique t't '(,'<lc•ur
de n . Al ho.
]iquc Jtahcnne.
'
J•Jn • • '
1C)39 certain F 1 de 1l't~tltl'ét•
t f.
p 11 ,
,. , up,.,.,.
•' ta ts-lJ niH, Ol' < vou u c!rt~ er une 1
11«'fi 1 J • ble d fil t:fiui.
BIOGR.t.P.HIE cle dnéastes, e apa. s e mer sur pl
f::.; combats. La Manne refu s a d'ahc)]'cl ~~e
· ut' offkiel, offrant HCulc•mcnt cl" · 1n
llPP ' é . t F , . " •·~
~"nt' o·F•·•·- Reecpter <:~e ras:r~Isl;s. t . ohrc~ .rec:ruta
~ rd d son ,.• ·ai 11011~ • (' e Nli- 1SO volon ta tres P t m t dl N· fllr· • t·n ~ ch•
.Jnbu F o~ j
llf'V, Pllt ne e
Ï••février tS!l., à S,ap . père
,., · e (USA). on ' 1[oll:vwoocl ct em rnt·m; tn lf rna tét·iel nu x
zabPth dans le ••1aJD~ran ()'~'f'f'III'Y' pf !-Ill Studios. I.Jes vo1on aues UJ:tmt entratni~
militaireme~t par Jack ~enmc·.k, ~x -marilw
cJnnt il port!' If' ë~~~~~. rtair11t tons <~~~ et ami intu~e de Forcl (Il a, JOUI' pour ln
mèrP Barhant . J..e jeune John
d'origine irlunclaJIIE'. · >S en Irlande première fo1s <~ans Four S_ons, 1!)2H, pt
diPra cl'nill~'urs quelq~l!r tr:~aélique. Ph~s jouait (1) clepms dam; p r a tt(Jn~mcut tou ~
otl 11 apprendra à pa US A après avotr les films de Foro, a~an t parfo1s nn rôle
tard, de re.tour aux d'en.tréP'' à l'Académie assez important, parf01~ un ou deux pl an ~)
khoué à 1examl'.n 1'1 commenC'e des étu- Pt par un autre v~t ~ ran <le la m:ninP,
nnvale d'Anna1~0118 d Maine itndes qu'il Ben Grotzl<y. Parm1 ces volontaires :
des à l'Unlverstt "entrer d~ns une fabri- Gregg Toland, Harold 'V<'n ~t r om (photo-
Mlai!llle bientôt pourd t il est cc public- graphe de The Lost PaJtl!-ol), Ga•·Hon Kanin
IJUe de ehaussur.es on 191'• il r('joint à Budd S·chulberg, Ray, .Kellogg (l'u n d~~
rPlations », mats en ' ''• Hi tH
Hollywood !lOD frère Francis (né le • ao principaux cc effets speciaux )> de la Fox)
1~~21 nui est metteur PD scène sons <'O?Jtrar et Robert Parrish dont on peut lire le d
à la UoivPrsal. Francis est le premJer a moignage p. 18.
a\'Oir adopté le patronyme de Ford. T~ se-
c·ond frèrE'. F.lil, vPnu lui auf-lsi à Iloll:vwoorl J~n été 41, l'équipe fut di vil-;ée en ~cr­
prit le nom de O'Fearna. Il fut asststant, tion~, envoyées dans les zones dangereuses:
parfois pour des films de son frère .•John. l'Enseigne Ray Kellog en I slande, d'autres
Fn~nris. aprè11 avoir rPnoncé à la ,mt~~ en à Pearl Harbour, anx Philippin ~> ·-: . L'éq ui-
sri-ne, devint a<'teur, ('t Il <'ompose d mou- pf', une> Remaine après le cl ébn t cl es ho~ti-
hliablc>s silhouettes dans certains filmR de 1ités, rapportait déj à dP.s a ctuali tés. Forrl
1

on frère oQ il jouP )p plus IIOIJVrnt rln" lui~même filma la bataille de M idway (au
rfllell dP pO<' hard (8tefl!m boat Round The cours de laquelle il fut blessé n l'œil gau-
Rt'!ld, l'ounq Mr. JJincoln, 7'he Sun Shine., <'he), Pt, selon Frank S. Nu~c nt, il était
Rriglat).
là lui aus"i, le .Jour le plnH long-, filmant
.To~n Fnrc1 Mhuta à la TJnivPrE~al clan:;; le débarquement à Omaha Beach .
lc>s film" de 11on frèrP romme acteur stunt-
man, arœssoiriste, assi9tant mett~ur PD AnrèFI la guerrf', Ford er éa. avec ~on
dne, pois mptteur en scènP en 1917, !'OUs salaire de They Were E:r:pendetble, nn rrn· 1
l" nom de J~k Ford, qu'il abandonn·a po•1r tre de récréation pour les membres de son
rt>lui de John Ford à liOn 4~ film sPnlc>- équipe de cinéastes (dont une quinzainP
ml'nt : CGMe6 Kwb 11 (1923). avaient été tués au combat).

~I!B~!"~i~ 1920, il, ~pou:p ~.rn rr Fran<'P On pPut suivre au cours dPs film s l'as-
cension de Ford dans la hiérar<·hie militn i•·~
PDfanbl : Parri!k sa~th do(nt Il a PU dP.UX
1921) ~~e6narillte per né lE' ~ a vr i 1 PD prenant les génériques de srs films
vailla' pa_.,_ f't prodnt'tPnr, Q11i trn- cc militaires » :
r&OUI IYet' liOn père ( ~ •
de Wogoueuter <'O·MPl'DartRtP
1950
Mé pOnr TAe ~ A ' et produPtPnr &Rflo- 1n4')
u ... : 1'he Rattle of MidtntJI <ltt 1•t · ('<11'.
RwlledDe, 1960) re m. 19M, f't Re··.Qefmf John Ford.
f'D 1922), fpoaae et ~rbara Nogent (nPe
que l'ou lit PODr Jade 1attenr Ken Curt iR ln-ta: Hor:embr.r 7th •·t. \F(• Soi/ al .1 /H·
• n of th• Pion Premlltre fofR parmi ]P~ night du OmclJ' . .lohn J1'o l'cl.
~nd ~
~ rd.~puis, ODe
;:rs • da'"' Rio Gran'!"
8nre &œa;mtht>rnd IW'rent ~
o "re eR film~! dP 111111
.laPk Pt•nnic·l{
(1) l'S I mol'l t•t•f 11111 ° •
à llollywooll.
22
1945 : They Wete E:rpendable du Captain 1915 '.riiREE BAD M!iJN AND A GIRL
John Ford. . (2 bob.)
1951 : This Is Korea du Rear-Adnural !nt. : FraneiR Ford, .John Ford, Grar~l!
John Ford. . Cuna1•d, Major Palcolagu "<, Lewis
1!)i>:l : 'l'he Lo-ng (fray L~ne : Ford Pst Short, F.J. Denecke.
nommé Admirai le JOUr de la pre- 1!)16 TIHJ RANDIT'S WAGER
mière représentation.
J<'ord appartient aux 9'lubs de l'Ar~née l'rod. et scén. : Grace Cunard et Franc·i s
Ford.
ct clc In Mar·ine de \Vashmgton et l\~amlle. lnt. : Francis Ford, John Forù.
J<Jn l!Hn, J!'ord fonda HH'C l\l~nan C .
Coope1· Arg-o~y Pictures (cf. chap1tre Pro- lDlG TUE LUMBIDR YARD GANG
dnctioni>). . I nt. : Francis l!~oro, John Ford.
Si•rnalons enfin que Ford e>·t l un des 1920 THE SILEN'r MYSTJ<JH.Y 011 'l'HI<;
IIH'tt~urs en scène américains les plus cou- ~IYSTERY OF 13 (sérial de 1;; épiso-
ronnés, détenteur de 6. Oscars .: des).
HlB;) The Info-rmer (mise en s~ene) . , P1·od. : Burston Film Inc.
1!HO The Gmpes of TVnllth (mise en s~enPI Scén. : John B. Clymen d'après une his-
1041 Hoto Green TVas Jfy lalley (meilleur toire d'Elsie Van Name.
film et mise en scène) Tnit. : J obn Ford.
1942 The Eattle Of Jfidway (eourt-snjf'f)
1!143 Decem ber· Tt h (court-sujet)
19:12 The Quil!t Ma-n (m ise en _sc~ne).
Ford fut également couronne <) fou; par
!l:'s critiques new-yorkais
1934 The Lost Pafrol
11)35 The Informer
1939 Stagecoach SCÉNARIOS
194.0 The Grapes of lVrath et The Long
Voyage Ho-me
Hl4l H01o Green lVas Jfy Valle.11
Ford fut classé trois fois dans la course 1920 1J~DER SE~TE~CE (2 bob.) uni-
au titre de c< Champion of Champion versai.
Directors : lû55 (4"), 1958 (5"), 1959) (4e). .lfise en scène : Edward Feeney.
Scrn. : Ford, d'après une histoire de
George Hively.
1930 THE LAST UCTLA \\' (8 bob.! ltKO.
JI ise en scène : Christy Cabanne.
P1·otl. : Robert Sisk.
Sdn. : d'après une hi:>toire de Fr>rd et
FORD .ACI'EUR E. 'llurray Campbell {remake du film
de Ford en 1919 portant le même
titre) de John Twi:-t et .Jack Tovmley.
Int. : · Harry Carey, Boot Gib;;on, Tom
Tvler Henry B. Waltball. )!argaret
Càllagan, Russell Hopton, Fred ScrJtt.
Axa11t de débuter dans la mise en scène,
Jot.n Ford fut aeteur dans quelques sériais
ruis en ~cène par son frère FrancL, :üor"-
~··ll~ tontrat à la l"ni\"ersal.

lflH THE )fYSTERIOCS TIOSE :.? bob.\


de la série :Y~- Lady Ra !fies ».
1•.t. : Franc-is Ford (Der.e-cti'"e P!:!ii PRODUCTIONS
Kf'J!y • Graœ Cunard p!y Lady llaf-
~r" ' · John Ford (Dopeyl .
1. 1:-, THE I OORW..iY Of' DE:::-TllCC-
TIO.- 2 bob.) Eu 19471. Ford fonde a\'ec _I~rian C.
·' cfn. : Grace C'·maro. Cooi>er la firme .Argosy Pictnr~" qui pro-
!nt. : f'NL<'i" Ford, John Forcl. Ho\': a rd duira S de ses film~ de lfriï à 1~}5:'~ : The
D3lliel', Mina Cuna!'d, Harry : humm. Fucitire (19-!ï, FYrl Apaehe (1!J4~. !h,.ee
Gr.djathers (19-!Sî, She lrore A l ellotr
l' l,j THE BROE:f:~ 001~ :,ériai d~ ::!'2 RibbVf1 ll949), lVag011master U9501.:.) Hio
Ppi:- · , de 2 bobi! "'"" chaC'U o . Grande I197.JCI , The Quiet Man (19-J:. ''t
"'cén. : G!'~ee ('u!!ard, d'aprè~ Eœei ,:on Tite .- :n f.'hine1 Bright (lf~;"".-3).
Ho" . Ar,; y produira égal!"l!lent :
Àl i t .JQt : John Ford.
1 •.: G re C'unard (Lucille- I..o'"el, F!"an- lf ·W - Jnillet. MIGHTY JOJ.~ Y L -G
ci..s Ford Eddie Polo, John Fore, ~hna _fi. ter Joe (94 mn. RKO.
Cu nard. Prod. : John Ford et :\Ierian ('. ~ 1 r.

23
Avril. 'l'Jill) 'l'I ~A JfJ 011' Il J\'I'Jo; (~
Ol Hi KOII l )Ju vc r Hal. hoh.)
j<l{>c• clt' 1
cJ'nprÏ'~ unr ,,{r-hr. : Jt'ord.
. Itn th ){cr<r, Jnl. : Jc'cwd , J,o ui :-~c> <;run villP,
,.,:,.,c,,. (.• ' \oVorJII', .Jud< LH wton . l li 1k1•
('<JIIJH r.
~ r• · ){or Jlun!.. Jlnrolcl HtiiH'• J)rarnc.
l'ltol. : ": WiÏii14 o·nl'ic•n, pnuu, Hn.l'
f;!f. ~11 • ,·,· 1ïli~ l,iuwnod .Juin. 'l'Ill•) H< JitA I'J'I<l lt (~ hoh.J lO t l'i
li JI i \'1~1'1--IUI.
llnrr~hnll ~'''ll;' tl rliriJ.:PC' pur ('nu ~ tun ·
Jkrt ' ill)

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.lfll~· .Jinkftll'illikolf.. Il •nrd Hic·lunoiHI l'hot. : Jkll lt.!!y nold H.
1111
/J t'r•, : .Junl< ~
, !ln"'''· o11
Altwi•·~ (,,,rl.).
/ni. : Jl'ord (Buc·l< , thel He·•·nppPr) 1 .1
., 1111111'!1 Ornnville (llc•lell ~)a wHo u ), I>ui<•· '\~~ :<1•1
(Il . •1• • •
( ' o lll · ,\.tr•l<•
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• (.f err .v Ma rlm ), Ma rtln~ 11 ' °
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l(ll l/ i . ' ; 'j'pd nlil'l'!lllllll.l. "
.Jo~I'Jih \ onn.• ' ·!) 'l'c•rl',l'
(1 , 11 j uH'IIH'l, .TNUI
H uck, •nn cowlio1J, .<tauve .~on fLmi
ll.Yf'x,

'"'· ,. . ..Jc>h.ru<OI! (Crc•J.:''


11 ) Jtnlwrl A 1'111~1 roui-:
J< eue '
f!ri.ffr.~ !l'lill .~orJ.l('J~ml.l' d.c. l n ri ll f'. elt rl ~~
\[oull'l' (.Jill \ olll~$:. k ~rclln"h (AJ.:c·nt
11
ro 111 rln e cln n..~ le àro1.t chemm. •
(\ln~ ()'!lnrnl. 1'!' 1111 , 1, • nwv ·(l'i•rr dr
,j,. l'rc'N~rl. Hc•~o:~sr· 1 cHl ( jjll .. ufnnt\, ,\oilt. 'l'I.lliJ .S OUL JI~~Iti H~ I t (1• 01 11•
go~"rl (.~ bob.) 101. ~
011
' Ill l,orn"ow,lrr
.Il ,
1 c•r ·• Pnnl
Il' Ill!' • '
<:nilfoylc•, N 1'~- DH;on -l hlivP 1·sa l.
llonl!'lll~ J< (1 . , t oi~ pnl'hnrch<), .Tnl'k .'·ioén. : George Ill vely.
tc>r l'nii'R "'~ r · ) J)l'nllis l'hot. : Hen ItcynoldH.
• . k (llu c·nrnioniH'III' • M ·
1 c•JJIII'' FI · l(r 1·111it n:v- /ni. : llarr:v O:trPy, .lPan 11('1' ~1101 1 Il 11111
1:rc•c•n, .JunH'" ft l' Il~. ·1 ·r 'l'witt-hrÎI, 1'b son, F n't z1. R'l
H geway, :Moll 'y M
"''rd 111'111' H~· un, • If'' • 1 P . G
llc•n;.l' '' Hnmhrr " KnllWI'I<' l, nmo lon<', Dnke Lee. " a-
Uf!o lwrs-la-lo.i recueille et élève rl (ll/.r. or-
8ujl'l irnilc' dr· ''in$: Kon~. Am~ ' ' < t'""·~
('urllf'l'll. Til l' Jih('/w.~. Il der1cnt un honnêt e honvme.
f,· /r i•"""" fi/Ir ri d'"" .Qor"fllr f/1/J ont lU Aoilt. CIHWl•JNNTG'R l'A L (a utrr tit 1., •
(' 1/IIIIIIÎJI~IInt'l' ,., Afriqlll'. n~ mo71!CIIt 1Ln
CAO'l'TTR MY PAL) (~ hoh .) U uivrr~al·
,., , d m dr· m11~ir-hnll dnn.~ 111~ m~ht-cltr!b
de• 11 /lnllprrood. mni~ Mr. Young H c~ntw'l. Ht.:1r 11'!'11 tlli'Cltc. . -
/' jour. rnird rmr tmi.~ flOr·hn·rdll, tl de- ,'{1:én. : Forcl.
11
,;,.,., ,.,,.,,( d rn~u tout 1111r ,,on THI-B.~agt:. l'hot. : Bl'n ltrynold:-~ .
1 n p,fj,.,: r·r••lf l'nbnNrr. Il nt d.'(lb01 ·d !n.t. : Ha•·•·.v Carey, Tiill fh•tt iu gcr Il t
rmrrril"""r, mnù ~n nmiH le lilrrrtnf. el
' '1 1(-;011, \ ' ('K t,('1' Jl cp;~. ( 'r(' l't l'll!l
( JI nor,
, C, ' A~ lo
prn1r.11f Ir rrnr•oyrr l'n Afriqur. 11n allntJll .lim Cot'I'.Y et le th e vnl «. Gaet 11 ~
Fév.
nu flllrf, il~ rmueut drrnnt 1m OI'JIIIC'Iitralt Pete ».
, 11 ,,,,.,r·~ rf .lfr. 1'o1111U Rl/111'1' touR lt>11
(5
ll' c.~tent. l'
, uf11nl8. r:rndr, il retournrra en Afriq11r.
AoOt. H'l'HA lW l'l' HllOO'l'IN(; ( n1 : t 1·p ti - s
l•:n w:-.7.
J<"orrl s'n.;sof'ic• ft\'f'(' lill nmi l ri' : .TOAN OF 'l'IUJ CA'l"I'LFI ,A ND~l l'
irlnrHI&iM, MidlHI'I Killnnin, Jlfltll' trntrr Ill' (~Je. Ranch Diavolo) (rl 1Joh.) l~ut ~('rn'y. I
r r ~rr un rinPma irlanclni.;, LPHr Jlrrmirr<• ( 111\'('l'SfiJ. ,
to•IIIRIÎI'P rrn Tltr lo'iHÏIIff nf lhr Mmm, Nr·fn. : (;('Ol'~C Ilively.
l':•ur lo:ur c·nmpAl'llil' 11 }f"ou1· l'rovitwPs l'hot. : HPn lt<'YHOiclf'.
l .rrH)Udlllll n, tournP l'Il Trlnntir RVf'C' f'XI'IIl · l1M. : llnny Car('y, ·M ollie Malonr, Duke
!""'""nt clr~ nf'!r•ur~ irlnneiAiM. T"' projrt H. ,., .... , lloot Oibson ,
' ];l'l', \'('SII'l' Prrw
Il ou rn 1111 11 ''" t; uitr. ~r. Killnnin pmlltd,·a ( ,pm·g-p HPrrell, 'J'pc\ BrookR, Milt
"" An g lc•tPr~r· r•pltr• foi!-!, l'Il l!l:ifl, lill dPs Brown.
plu h~nu hlm~ dt> l<'orcl : f/irlr011 of Rrrrt- \\' c.~tern. Tli,a.lité en trc d e.~ colo11~ et
lrrnd l rrrd. •
Ile.~ élci'CI/1'8 de bétail. ' li
Ill'!~ '1'111 1} ~ Jc}C H IiJ'I' i\L\ 'N ( LÏIII ' OIIIIIIl
(.,1 .hoh.) Hutl('l"fly llniv<'rslll
Nr·c1l. : C:t·or~~ llivE'lY
MISES EN SC~Nil l'hot. : HPn Hc'ynolcl~.·
l11t : li!'.''I':V Cn•·py, \I}]Îillllwth Rtrl'lin ~ .
(l.t> date qu
•lt• la lll}rlil' du ftl~lm ~ clnllllllll!i l'Ill!! I'PllPs l!oot (,tb~on, l•iliiiHhPth .JanH·~. \'ps!Pr
lt'gg', Bill nt'ttiu"·~··· ~t""" <'IPlll l' ll ~,
tn,t ~•I liOn
~latr . TIIJ.~ •ro lt :-;A 1Hl . :\Toni~ Fo!-~l<'l'. .... '
· nl vPrsa) C! holr.l 101
li r.~lrrn.
• '' ~'" · : Ford. ·
ht, FI• :,,.l'orci ' J Pan 1lathaw Ol't. ·~ 1'\IA HK )1}J) 1\fA N (:ï \toh .) lint (prll,l' ·
T hornton n n~·. p ett• (:t'l'Riel UmvcrHal.
rDutr•·~ · ' uk" WornP . J otn
1'
.'ir·,<,· : Ot'Ol'~t' 11 ivt•h·
1
t· trrn. l.a filk d'
~t par '"' rw.J.~. "". bnnquier f'llf '"'" ,. ·.: •J °1~~~ \ V<.~ Ht·owH.
l'hot ··
1
1Il rtlram , qtu udilillf'
d'/ la-~ Pntte povr 1 .
r . 1 1~~ · . 11Ill ry 'Il t'l'Y, 1\lt·:-~. 'l'nwn~t'll ' .
r ...e.
. a•·orllt dt•
otre rentr •a mè re t' ulllt' 1\lnlmw, Vt·~tl'l' l't•g":.:;. Hill <kt
. anger, lloot Gihson.
citent.
24 ''
, • HUCKll\'0 Blt0 . \1)~\':\ Y (A l'ussau!
J)<'<. j~onll'l'lll'<i) l;-1 hoh.) 1 111\' I'I'Hill :-;IH't'ÎHI. /111. : llui'I'Y Can•y, .\l••llit! :\lrtl<>J•P Vt•s-
du 11'1' l't'"'t',, 1\l. K. \Vil>·•111, H••lty H:·hud••
l'rod. : 1J lll'I'.Y l' 1l ~'l'"
·' • l\l ~u·tha Mad do\, Hl t•vt: Olt:IIH'II H. '
,'icén. : (;cone }hl'l'ly.
/Jt~ JI'UI/1; 1/HJJtlUflftttrll /)IJUl II'IJttiJfi(JfJt' /lfJUI'
1,1 dl . John \\. Bn1wn. Ctnnl~rtl/1,'1: ll11rant lrt Uur~ nn Uit i/1·, (),, .
ln'/. ·,. ·u'aiTj' <'an•.r, lllolli<• J\lnlon<', \'<':<
'/nO ~l 'lt I~Hl TWH UGGI'}Mf:, il lW jtJÏtLt IHU'
let· l't•gg, ]J.l\1. W<'lls.
1 a fiancée d'un cow_ùay c.~l rivtitnc rlc « () lllutlrilt Haidt1r11 11 (r;f, J ):t rit CtJJII ·
IIIIUJd, H af.~h, l!Jl() et 'J'IJ,. \VrHuuu 'l'l11•y
11;auraisc.~ fréqul'llilaholl.~ dan.~ le.~ lu:ts-
Almos.t l~ytH·!If'd, Dwun, l!Ji,:l). t{rJ- Litt;
fond.~ 'IWICJ/Orkai.~. 1 l ln sa11 vc, ap_rè.~ ~t'lW
ùaqarrc 'IJHJIII'emenl éc .w1· lcH tu•tl.~ d:u n e.~t nu.w a
}11't.IJ, 1 t vomml't pliiHû~un /u,tli-

hô-Î et chic. Le.~ .~éq ucnccs ne t.v·yorkatiJ<'S au Gour.~ de l'un li'r·uJ· il fnlf,, (; 11111.;
IIJIJ'
jllf'('/1( fOIII'Jiél'N à fJON J!uy('{e.~. ietmo fille 1J ui torn be IIIIWt;n· 11111; 1li; tu'·
alli'
îllc ~ 1.
. li, .fuin. III•jLL 1HJN'l' (Uu sang d.IHfi la p 1·ai-
1!)18 rie) (ü lw o.) U ui versai.
.':Icén. : li'onl ct Harry <Jurey.
Janl'. 1.'llJiJ l'llAN'l'0.:\.1 Ill~JDRS (Le ca- l'hot. : Ben lteynolùH.
1·aJict· fnuWme) (G bou.) Umvel'sal. /nt. : Jlan·y Uart•y, Neva <l1~1·b<~r, l>uke
J'rod. : llal'ry Cat·ey. lt. Lre, Vester l'e;.;-~, .J oc Ilarl'i .;, ~I.K.
Sc6n. : George IIively, d'ap1·ès une his- \Vilson, Steve Clenwns.
olt.II, toire de Ilelll·y Mac Rae. (Juelque.~ 1JirJnniers travr;r11ent le désert
Olh. ·h
l l'hot. : John \V. Brown. de l'Uue.~t : attaque d' lt~rlien.,, 11oll'il, tem-
1nt. : Ilal'ry Ca1·ey (Che_yeune Harry), IJête de. sable. .
deu, Mollie .Malone (Molly), Buck ConnOI'R
111e. ' (Dave Blaud), Vester l'cgg, Bill Get-
tinger. .Tuiu. 'L'IUJ CltAVING (autre titr1~: lJI'JLl-
'l'hérJriquement, les terres du gou~;erne­ RllJM) (;) I.Job.) Uuiversal.
ment S(f'l~t libres. Mais Dave Bfand se ,':Jc(m. : l!,orù et !!'rancis l!,onl.
réserce « Paradise Creek » et terrorise Uo·mebleur en .~cène : l!'t·aneis li'onl.
la contrée. Cheyenne JI arry le vaincra, 1 nt. : !!'rancis li, orel, Mal Gaston, l'ete t'
arec l'aide des ]f'rJres~t Rangers, et ga- Gerald, Dnkc \VonH•, .Jean Hathaway,
gnm·a l' amoWJ· de Molly, dont le père W. II. lloffma!l.
avait été tué pat· le bandit. llistoirc d'hypnoltisrne. Nombreu.I' tr·uqlt!L-
gcs lJflotographiques.

Fév. WII.JD WOMEN (La femme sunvagr) Aont. A WOi\IAN'S Ji,()()L (Le hl>hé du
(5 bob.) Universal Special. cow-boy) (:) bob.) UniverHal.
Prod. : Harry Carey. 8cén. : George Ilively, d'apri:•;; le romau
Scén. : George Hively. cc Lin l\leLean » <l'Owen Wister.
Phot. : .John W. Brown. l'hot. : Ben Reynolds.
!nt. : Harry Carey (Cheyenne Harry), /nt. : llany Carey (Lin MeLran), ::\Iolic
Mollie Malone, Vester I'egg, IDd .Jones, Maloue (.Tessif'), Roy Clark (Billy),
Martha Maddox, E. Vau Bea ver, \V. Betty Schade (Katy).
Taylor. Lin a été abŒndonné ]Ho· son prcmÏ!'I'
Comédie : Ap1·ès avoir ga,qné au 1·odéo, arnrJUr, Kat11. Mais elle lui 1·erient qua11d
des cowboys s' enivrenJt avec des « Il rJno- elle fJ.]Jprend qu'il a 1·eco1w lt leur enfant
lulu cocktail.~ >> et rêvent qu'ils srJnt sur et qu'il l'élève. Katy an·irc à éloignet
une île du Pacifique. Lin de son nouvel amour, ,Je.~.~ie, mais
prise de ?'emrJrd,,, elle s'empoi.~onue . .Je.~­
sie et J,in se réconcilient a1tilm1· de l't'JI-
Jfars. TIIIJDVJD'S GOLD (G bob.) Univer- fant.
sal-Special.
8cén. : George IIive>ly, d'après l'histoit·e
« Back To 'l'he Rigl1t 'l'rail » dl' 1!,1·<•- Oct. THRIDJ~ l\lOUN'l'JiJD ~mN (Le ft·èl'e
derick B. Bechdolt. de Black Billy) (ü bob.) Univt>r~ul.
l'hot. : .John W. Brown. Ncén. : JCugf'llC ll. Lewi~.
L~hot. : .John \V. Brown.
!nt. : Ilar1·y Carey, Mollie Malonc, V<>s- !nt. : Ilan·y Carl'y (CIH'Yl'liiH~ lian~'),
ter Pegg, Harry 'l'enbrook, M. K. Wil- Neva Gerbet· (Lola 1\lustersl, .lm•
son, .John Cook, Martha Maddox, L.M. Harris (Buck i\laKfPI'K), lill l'l'Y ( 'art1'l'
Wells.
Western. (!l'ils du gP<îlier), I~mn Ilnll.
Un cowboy fait 11ri.wnnier 1111 hor .~·lu-loi
qui .~c trout•e être ln frère de su fâalll'<.<,,;
Avl'il. 'l'lU} HCARLWr DHOP (autre ti- en apprcnanlt ccltt il le lui.~.~t' .~'<<rude,·.
tr·e : HILL BILLY) (La tac·he cie sang)
(r, I)(Jh.) Univerl'!al. 1!)1!)
Hcén. : George Ilively, d'awès unf' hiK-
toire de Ford. .Junv. lt<H')t;J) (~uns lll'lllt'H) (ti hoh,) l 'ni
Pitot. : Ben H.eynolds. Vl'rHal.

25
,\ lu i. ltll>l•iH::; li'OI• ,
e u J..cwiH. veugcuuf'c dt• Hlad: ~. 1 •lNO lCJ\ i>; (• ,
,.,c
·éu.
\:! : Nngcn " ·Brown.
. 1obn v,. (()l •yNlliC J arry '
1 )
V t'l'HUI.
1 11 ly ) (t; 1 JI•,
!'/tot. . ·Harry
• Carey( \ ï •cu) H · J l!'arrcll J rou.. : l' . A. l'ow••. )(Jh)
t ..
o , /
.
Jn . . Herber J • c 'ti' • McCouncll J~ . ... .
'v ' O -o- '·' -IH,
•fn•d, (Juire
Ncvll 1' tlcr) l\10' tc , J' )
l\1 . D<>nal<l ( ,u !' '-'hirlcy (l! en le . eu H<:i>ne tomo(! IIlal ~Vlac~ 1,.
J <"
( Mrs .• ludson ) Art.tur"' .
do, mœurs
• . .
.
oonfl'l-t entre
d e l'l''st
l'éti 8cén .. : .b'onl et Har,.~< et Ü ·
L
comédle •
t ct celle " · ra twn .a vee J~ u ge u e .U arey en
f[IIC tte
de l Oue.9 l ' !tot. : J oh n w " · l.cwi~ •
· .uro w11
lnt . : Harry Uarey (Û
'll'l' FOR I.~OVlt.' (A. la· fron - ::lecua Owen , Alft-eù A~?Y~une
uoiJ. ) Ulll·versai ~peclal.
'lars. A (üFlh J . .b'a rrell M<.: Donalù J en,.
•• 0

ttèrc) 1<' ne B. J.~cw1s.


0

f:>chade, V e~ tl.!r P egg ~t 11 te


J:)cél~. : ,uge v
Brown. U n homme jure de ae' v~ · K.
l 'ho/. : .John " ·, . y Neva Gerber, J. famill e a d t é massacrée en.oer
/ni. : 1Ial·t'Y Cm ·llde , Joe IIarns,
. l' 11··n - loi. 1 l tue les ba-ndits Pur
}j'arn•ll l\IcDon, Mark Ft•u ton, Betty l'amO'Uir_' d'une femme le ufurPar
cess Neola Mac, h assou1;1-r complètement sa a
.ffidith Jo nson.
Seha<1e, d whisky avec les I n-
La contrebande d e eat stoppée pa1· un
venu eance,
dions dl~ car:a. a de la police montée. .Juin. TUE LAST OU'.rLAW (
prêtre, avec l a$dée Calij(Jirnie dans la versai. 2 hob.)
/CJJtérim~rs t~um s en Scén. : II. Tipton Steck ,
région de B$u Beatr. histoire d'Evelyn Cam pb 'll d aprèa
I n;t. : Eù « King Fishere ·
Mars. FIGIITJNG BllO'.rHERS (2 bob.)
chard Cumming, Lucille
W alters.
~onee,
u ton,
H
Universal. H'IVely ' d'après une his- Difficuatés p01ur un vieuœ
o én . George
~c · • G c Hull béré de se réadapter à une 1:ie
toire de Meo~~seon . Hoot .Gibson, Yvette
!nt . Pete oru , L
~JÙchell, Jake Woods, Duke t•e.
Western.

Avril BY INDIAN POST (Autre .titre :


TIÏE LOVJD LETTER (2 bob.), Umversal.
Scén. : II. Tipton Steck, d après une
histoire de William Wallace Cook.
lnt. : Pete Morrison, Duke Lee, Magda
Lane, Ed Jones, Jack Woods, Harley
Chambers, Hoot Gibson, Jack WaHers,
Otto :Myers, Jim Moore.
Western.

Mai. RARE FISTS (Le serment de Black


Rilly) (6 bob.) Universal.
l'rod. : P. A. Powers.
.':Jcén. : JjJugene B. Lewis, d'après une
histoir·e de Bernard McConviLle.
PhCJt. : John W. Brown. Juill. ACE OF THE SADDLE (Le
!nt. : Harry Carey (Cheyenne Harry), la prairie) (G bob.) Universal.
H1•tty Schade, Anna Mae Walthall, Prod. :P. A. Powers.
Howard Ensteadt, Joe Harris, Vester Scén. : George Hively, d'après
I'egg, Mollie McConnell.
toire de B. J. Jackson.
JI arry donne son revolver à sa mère, qui Phot. : John W. Brown.
lui fait jurer qu'il ne s'en servira ja-
mais plus. },[ais ii devra rompre ce ser- lnt. : Harry Carey (Cheyenne
ment poUf' que juatice soit faite. Ilenderson), Joe Harris
Yucca County), Duke R.
de Pinkerton County),
(Madeleine), .Tack W
Mai. 'riΠGUN PACKERS (2 bob.) Uni- ter Pegg (Un joueur),
verNal.
Rcén. : Karl R. Coo1idge, wa1·d Ensteadt (Les
/nt. : FA Jones, Pete Morri~o~on, Magda << King Fisht>r l> Jones
T.ane, Jack Woods, Hoot Gibson, .Ta<!k Hweet » llolmes), William
Walters, Duke Lee Howard EnHteadt (Commer<:aut).
We.tern. ' · · Oht-1Jenne JI ar1'1J combat dea
Mtail qui ont pour oompltoe
26
L'rtéricurs to und.~ dr111.~ la r•allr<c U uzl'y,
marr()'. . · ~ · • l'h ot. : .John \V. Brow n .
tlrt- Rio Grande. 1 '' ' · : .J nuws .1. t< GPntlt'man .Ji 111 >l Uor-
bctt ( Bt~t~ry O'.Uonnm·), Mary Wurre11
O ·t HIImH <H, ' l'liE L~\ W (Blnek Billy (1\lnry fompkllls), llnrry Northrup
\ ; Cnnnrlu) (H, bob.) Unl\'Pl'!';lll.
11 (J 1}~l~ur .l oups)_, Corn lhpw (~lnr·y
l'rod. : l' ..A. l owers. . . ( ~ Uom~or), ltwhanl Cummings (l'a-
Scr' ,~ . : IL 'l'ipton Sü•<'k, d tlJll' t•,; une t~·H'k 0 Conn or), Ucon~e .ll' isher, l!'rcde-
hi ::;toin• dt• <i.P. Ltm~nstl'r . nk Vroom, .M ark l!'ento n.
J'hot. : .John \V. Hrow~1. ~ r C oJ!·I ~ clic a11ant pou r cadre les mi.licuJJ
fui. llnrry Cnn•y t·~un h .yuPt?J,I), \('::;-
:
J.!OhhtJIL.es ,et le m.ilieu de.~ immig rawts
tt•r Pegg- (Nid< Kyn eton), Iheodore ir/a nr.lc11s a Ne w Y ork. 'l'ou1·n é à San
Brook::. ('rhe Kid), .Joe llarris (Bud;: fi'ra11oi.~ c o. La vedett e dn film , Ja mes
~ontnd. .Jn<.'l;: \Vood:il (.Jnek \Vest),
J)ukt• IL Lee (Captniu Oraham), Glo- C? rb ett, est le héros dt' f i lm de Raoul
ria Hope (Betty), Clnire Andcrs011 ll alsh « Gentleman .Jim » (W42).
(Roseen), .Tennie Lt•c (Ln mère). Avril. '.riiiD GIH.L I N N Ul\lBE H. 2<J (f)
1rcste1'tt. bob.) Universal.
S cé n. : Philip J. Ilurn., d'après une his-
XoY .A GGX Jf!GIITIN' GieNTLE:\IAN toire d'lClizabeth .Jordan.
· ('l;ête brüléP) (li bob.) Uni,•er:;;nl. Phot. : John W. Brown.
J'rod. : P.A. Powers. I nt. : Jj,r~u~k Mayo (Lau rie D evon),
S cén. : l!'ord, Harry Carey et IL Tipton Harry lhlhard (Rodney Bangs), Claire
Steek, d'après une histoire de Hal Anderson (Doris Wiliams), Elinor Fair
Hoadley. (Barbara Devon), Bull Montana (Ab-
Phot. : John ·w. Brown. dullah l' étran~leur), Ray Ripley (Rao-
Iut. : Harry Carey (Ohey('nne Harry), sorne Shaw)
.T. Barney Sherry (John Merritt), Kath- Des amis montent un scénario-mystère
leen O'Connor (Helen l\Icrritt), Harry porœ l'1ut d'entre eux, auteur à C()urt
von l\feter (Earl of Jollywell), Lydi-a d'idées. Il en fera 1me pièce. Inspiré du
Titus (Tante d'Helen), Duke R. Lee célèbre fitm d'Allan Dwan a--vec Dou.glas
(Buck Regan), .Toe Harris (SeYJmour), Fairbanks : Manhattan l\Iadness (Une
Jobnnie Cooke (Vieux Sheriff), Ted aventure à New York), 1916.
Brooks (The « Youngster »).
Comédie de mœu1·s : tme jewne fille de Aot\t. HI'l,CIIIN' POSTS (L'obstacle) (5
la bon11e société et 1m co-wboy. bvo.) Universal.
Scén. : George C. Hull, d'après une his-
Déc. :MARKED MEN (Les hommes mar- toire d'Harold M. Shumate.
qués) (G bob.) Universal. J>hot. : Benjamin Kline.
Prod. : P.A. Powers. Jnt. : Frank Mayo (Jefferson Todd),
Scén. : II. Tipton Steck, d'après te i .r Beatrice Burnham (Barbara Bereton),
man de Peter B. Kyne « Tnret: God- .Joe Harris (Louis Castiga), J. Farrell
fnthers l> paru dans le « Saturday Even- l\lcDonald (Joe Alabam), Mark Fenton
ing Post ». (Carl Bereton), Dagmar Godowsky
Phot. : John W. Brown. (Octoroon), Duke R. Lee (Colonel
Jfo11t. : Frauk Lawrence et Frank l1acq), C.E. Anderson (Capitaine).
Atkinson. lVestern. Oadt·e : la région dtL Mississipi
h•t. : Harry Carey (Cheyenne Harry), après la guerre de Sécession. Ambiance
J. Farrell l\IcDonald (Tom McGraw), de << landtrush >>, C(}ttrse pour la C()nquête
.Joe Harris (Tony Garda), Winifred des terres libres (cf. Three Bad Men de
Westover (Ruby ::\Ierrill), 'rE'd Brooks Ford, 1926, et les deuœ Cimarron OVes-
(Carns), Charles Lemoyne (Sheriff Pete ley Ruggles, 1930, et Anthony Mann,
Cushing), DaYid Kit·by ( « Bruiser >> 1960). Les séquences de << landrush >>
Kelly, gardien de la prison). furent 1·éutilisées pat· la UniversaZ pour
Trois h()rs-la-loi p()ursuiris par un shédtf d'a1d·res fiTms.
ct sa 1Jatrotlille pour Z'a·Maque d'u·n e ban-
que, ,·enoncent à se satwer pour sa11ver
la rie d'tm enfant d()nt la mère vient de Les deux films suivants sont produits par
mou1·ir dat•s le désert de Mojave. Un WiUiam Fox:
seul des ba11dits survil'l·a à la trarersée
du désert. Jt'ord a réaisé en. 1948 un re- Nov. JUS'.r PALS (Pour le sauver) (5 bob.)
make de cc fil1n : 3 Godfathers. Jj"ox. . .
Scén. : Paul Scofield, d'après une 1usto1rt>
Hl20 de John McDermott.
Phot. : George Schneiderman.
h1t. : Buck Jones (Bim), Helen Fer~u~on
Jun,·. Till~ PRI.:\Cl~ OF AVE~UE A (l\Iary Bruee), George K Stone (Btm,
(;) bob.) (1920) Duk<; H.. Lee (8ht•t·iff), Willi1Ull Hm·k-
Scén. : Charlt>.s J. \Vilson .Tr., d'npri>s ley (Harvey Cahill), I~i<lwin Hooth 'l'il-
une histoire de Charles T. et Frank T.

27
Après ~e film, l!'or·<.l à la l'lli-
v~r:,;al ,_«IU~ prod~it lPs <·illlJ
I'P\'ÏPnt
lillll. · ·" UÏ\'uuts
(Jusqu a Sure l.t'tre iuclu . ).

Avril. T!H~ FHEEZI·~-Ol,"l' (- 1 1


V(•rsal. • •• HJ '·) t•n i ·
&r:én. : G('orge U. Hull.
l'hot. : Harry U. Fowler.
lnt. : lln(~~·y cu,~·~y
(Ohio), llel~,, Pt>r-
~uf;on . hip1•l ·l. .fu<•
'•Ol' \ Ilnrri
(lleudhght Whipplel, Chnrlt• · LPTIW\' Jlt•
(Denver Rod), .1. l:t'nnl'II :\lPDurinld
(Bobtail .l\IcUuire).
[!,~ ju.~fi.cinr fl}IJI()t'i!' éducatiou d Ctlltun~
dans UJLe l'ille pororio d l'Ouc t.
1\lai. 'l'liE '\YALLOP (.ï hoh.) l.'niwr. al.
Scétl. : Georg-e C. llull. d'ap.r's unt• lti..
toire dt> EugPne )!au}o,·e Uhode:-;.
l'hot. : IIan·v f'. l!"owlcr.
lnt. : Ilarr,\: Can'y (John We:lPy Priu-
c]e), .lot~ Ilanis (Barela), Charles Lt•-
moynp (:\Iatt Li.:-:-;uer), .T. l!"urrell ~le . Jo~ord passe à la l<'ox IJUi rt .
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D'après ·une tzourcllc du célèbre auteur (pseudonyme de Marguerite ~ka
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Scén. : E.J. Claw::;on, d'après (( Christ- ~Jlsie Bamhrick (~lillie), John Cook
mas BYe at Pilot Butte » de Courtney (Win ter).
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Fox.

28
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\ 1~~lmr Hn~tkill (Pu l'il' Auroll ~->1111), Jiu
Εr Hlundit'id tllnh,Y ,\u rotn~->olll, _Hr·
cilllnl Lnpnn (Lt•on Aarun~.oll), .\IJ,ro·d
'1\•:'lrl (!Ali'ÎUS Al_ll'<IIIS(III), ~tdllt'Y J) ,\1·
Ln·!lok l" 'l'he 8pHil'r. >? ). . •
~. pu ~se claus 1<.' mtl1cn }lit/ de N eu·
}·~rk. · J~sthcr, rln1roinc, e~saù: d~ tou-
jours sourire, même dans l adverstté. .lui?. 'l'JIH.EJ·; .JI;\JI'S AHEAJJ
b fJX.
.,
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\(lüt. SIL\'I<JH. WING8 (9 bob.) ~"'ox. Ncén. : Ford Pt Euw~w! B. TA> i
· Mise rn scène : Ford et Edwin Carewf'. l'hot. : Danir•l B. Clark.
:::<ré11. : l'aul H. Sloa.ne. ln/. : 'l'oro ~Iix ISteve ClaiJc·y,, A a
Phot. : Joseph Ruttenberg et Robert B('nnett (Annie IJarr~ll), \ïr;dnia T
Kurde. Board.man (~fr~. Darrl!ll,, Etlwnrd l'ir·
[nt. : l) Prologue : :Mat·y Carr (Anna <?'agg~ttJ, .Joe E. Girard (Le re
Webb), Lyn Ha.mmond (John Webb), dAn me), Francis Ford ( \ïr;:tll. • 1 r-
John Kincaid (John), Joseph :Monahan garet Joslin (.JuliPtJ, B arr•· Tod•J (('j.
(Harry), :Maybeth Carr (Ruth), ClaudP .cero), Buster GardnPr (BrÙtu ).
Brook (Oncle Andrews), Robert Hazel- n estem arec Tom Mia:.
ton (Le Prêtre), Florence l::lhort (La
yeu1·e), ~fay Kaiser (L'enfant). Oct. CA~ŒO KIRBY (ï boiJ.) Fox.
Il) Pièce : Mary Carr (Anna Webb), Pt·E'mier film signé .John Ford et non p.
Percy Helton (John, son fils), Joseph Jack.
~triker (Harry), Jane Thomas (Ruth), ."!"éli. : Robert X. I..eE', cl'aprè.: la il:·
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(La petite Anna.), Claude Brook (Oncle kington.
Andrews), Roge1· Lytton (Banquier), l'hot. : GeorgE' Schneiderruan.
Ernest Hilliard (Jerry). ht. : .John Gilbert (Cameo Kirlly . G r·
Histoire d'un amour maternel. trude Olmstead (Adele Rnndall). .!.!an
HalE' (Colonel ~Iorean·l . William E.
XoY. THE YILLAGE BLACKS~IITH (Le Lawrence (Colonel Rnndall), .lean _\ r·
forgeron du village) (8 bob.) Fox. thur (A.nn Playdelll, Richard Tu(·l;:er
Scén. : Paul H. Sloane, d'après le poème (Cousin Aaron).
de Henry Wadsworth Longfellow. Un joueur rertueuz utilise se- gai s
Phot. : George .Sehneiderman . aider des tzécessiteux. "'e pa e •~ le
lnt:: ':'i.lliam Walling (John Hammond), 8ud, près de la Sourelle Orlt>atl .
'.~rg~n~a T;ue. Boardman (Sa femme),
\ 1rgm1a \ alh (Alice Hammond sa ]!)24
fille!, Ida Kan ~lclünzie (Alice' en -
f!lnt), Dave Butler (Bill), Gordon Grif- Jan Y. IIOOD~B. X BLI~P (li b< h.) FtlX.
fith (~ill ~nfant), George Hackthorne Rrén. : Charles K!'nyon. ~raprl>::: unt- hh·-
floh~me), I at ~Ioore (Johnnie enfant), toire de Benn· Ar·t.hut· .lnut•' t't \Yi" n
ull~ ~Iar~hall (Le Squire) Caroline Barrett. ·
~ankin (Sa femme), Ralph.' Yl'a.rchdey /'h of. : GPorl!t:> 8<'hlH'ith•rman.
JI! fils du Rquir+>), Henri de la Garri- /nt. : Dn1·it! Butler t.l:tl'k Yt>ul tt l, l.ln-
~~e lLe fils du Squirl' enfautl Frnneis dys liu lette tX:ttHt' Yt>ult tt /J ...,.j~
r ord (A
bar sa. ~!artin), B~>ssie
' ' (Rose-·
LO\'e \\'altnnl. J..~t'IUJk l'anqw:m ()far l
zt~.rd) Mnrt• :\la!'l),•rmott (Jt)hn I..in-
Ma Y • ~Iartm), Il elen Field (Rm;Pmarv
Br:tln e~fant), :Mark Fl'nton (Docto;. t!Pul,' Ht·~inn Ct~nllt'IIY Jï',,..h, \\',tlt
(' wrs~r), Lon Poff (Gideon (:rani'), n° 1), 'l'rilh~· Clark :\Ir". Limltn-
(.0 ~}\~ha Callahan (Aunt Ilattit•) g,Jdit> llillfOirt• <1'1111 110111//IC j(l/()ll.r à t t,
H~t~ on ('r(Ah Yillage Gossip), 'Ltll'illt• 111 femme.
D'a . on e FlappPr). J..'év • ·on'l'll ol-' lll'l st>. • BA· L
prell le p 0 èr d e l •OIIg/t•llow. Vw
.
idéalisé d' ne pi~nuit•r dt• la bai•' tl'llud:. ul (il bt.>b.
fille. 1.: Utt /&rgeror' vertueu.r. et. de. aa ~~~ox.
bleau de la ne rurale amét"acault'.
8ch1. : .Jult's Furthm. n.
10:!3 l'hot. : Danil'l B. Clark (s{oqu~n
Jan\· Tll}o' tées).
l!'I'.ooll'(t,~CE O. • 'rBE HAit-H00:\1 Jr~t. : 'l'nm .IL ~lil·hat>l ]) u 1, ·a· -
J Image aimée). Fox. let>n Kf•y (F.,t Ile l\1 ·Donald , n

2
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•]loi. : (ieorgc•
1 • trrY
uu . . . Char1es Varnton.
1,tcrlt.IIJ.i~n·o Ha~Je<':. (Du vy :Brandon)'
.i/IIS· .·t'eor!!<' 0 ]:hW~.·. 1\Jarsh), .Juge
}111 • ' Il . (~Iu~cun J . coin)
:Ù l"'e Be am~ 1 (Aùrabœl11 ~In '
CI:~rlcs J~.. Bt~l , (Thomas l\Iarshl'
\\ïlli!llll Walhn:urnan), Cyril Chad-
Fred Kohl er (B ) ( 'Iadys II ulette
wick (Peter Je~J:r~us ~(Juge Halle1),
(Ruby), !~es(Private Schulz), FranMcis
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Powers (Sgt. -~ 1 Ca·sey), Colin Chase
Donald (CorpOiaRo"ers (General Dod-
(Tony), ~raJ~~Brie; (Dinny), George
ge), Jac (Col Buffalo Bill Cody),
}''~ggp~~ljan c\Vild Bill Hiekok), Char- Oct. 'riiE FIGHTIXG IIEART CLe ~ _
Je~ nO':\Ialley (l\fajor No:th), Char! el' pion) (7 bob.) Fox. t.. ·
Newton (Cottis P. Harrmgton), D~l­ Scén.. : Lillie Hayward, d'aprè.5 ]L....
bert Mann (Charles Crocker~, Ch1~f Evans. ··
Big 'l'ree (Chef Cheyenne), Ch1ef W~I­
te Spear (Chef Sioux), Edward P1el Phot. : Joseph II. August (s~qt:"'"
teintées). ----
(L'n vieux Chinois), J~mes Gor.don
(David Brandon Sr.), Wmston l\bller !nt. : George O'Brien (Denny Bt>!:':'!
(Davy, enfant), Peggy Cartwright (l\Ii- Billie Dove (Doris Anderson), J. F ~­
riam, enfant), 'l'bornas Durant (Jack rell M~Dona..Id (Jerry), \ictor ~.kL
Ganzhorn), Stanhope Wheatcroft (John glen (~oupy), Diana Miller ( He:e~ \...:
Hay), Frances Teague (Polka Dot), Allen), Bert Woodruff (Grand ;:-~~
Dan Borzage, Clark Gable et les loco- Frands Ford (L'idiot du tillage'.
motives « Jupiter >> et « 116 ». Premier film de JlcLagùm arec Ford. fa
!/histoire de l'Union Pacifie Railroad le boxeur, mis au ban par les honnêm :
premier chemin de fer qui traversa 'les d'une pellite dlle, est abaudonr.é dt ;
Montagnes Rocheuses infestées d'Indiens. même de celle qu'il aime. n r ()flté' r .
(Cf: : le film de Cecil B. J)eM ille : t·ing, connaît plusieurs défaift'.. ·is j!·
Unwn Parific, 1939.) tzalement gagne l'ultime combat ...
fille.
Oct. IŒARTS OF OAK (Les cœurs de
<·h~ne) (6 bob.) Fox.
Sc~:· i~.~:sa1esHKenyon, d'après la pièce
Pitot . G . erne.
/nt ... II brl!e Schneid(>rman.
v~~) I?a~:t Bsoswot'th ('r<~rt·v Dnnni-
me tarke (Chr t' 1) Tl
dore ' Von l'~ltz (Ned F . ys a , leo-
mes Gordon (Job Uirweatht"r), .Ja-
0
werB Wrandpa) n w~n), Frunds Po-
ma), ~'ran<"is F ' •1f>lllllt" lA'f> (Ot·and-
Dan8 rA t' or<1.
te •acrif~c p':::· 8: : dapita.ine de baleinim·
etl;D 1eunes protég~s.
1926
Juill
(8. boUGHTNIN'
b.) Fox. (Ma nièce Ile I•a rB.
i )

30
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enton '' (Neil
·' H.oss), .J. l'~ Ill' l'l' JI ' l.'f:d .\ ! SJI' ;\; HlllHJ'IJ, ~ :amrn y ~( ;.;}t;.,~ fl:l!,
J;es 1e ·ld (Dennis O'Sht•H) , Clain· :\l1· lJU n Wt)J t h , fl' rllllf'Î H l'•JJ' I) ' .r ·l~ ill• ·,,. Il· l -
;\IeDo~·\~Iollr) Louis l'nylll~ (~i1· l\Ii I 11
( ' .11.1/.1,d ' u.rry B sti l•· ·y • I·J ' y l',, yu •, 11 1
· '
Dore ~n~ly 'dark (Clw ~ty), Willurd '.1 om..; ":: 1.Lyr.vn t 11 '11.4.1' r·ttf 1 re u • •
1-"C. r • P- t r n 't' t ~~ 110ur ' ... '
tJJ't~<u,, · •
fil; t!lll t{ll f , l
Jcs 'ïs (Martin) , Gèorge Harris (Benny) . . f 'l ' ' "• 1' •1Lf(tf)llf ,·'... ' 11(11'
Lotu. de caurse de chevnuœ, dans un Jeune t le J!OU/r 1~n r;tÛ H1tir1• ·
J{is otre .
milie u irla11da1-s.
1U28
Sept. 'l'HE BLUE EAGLE (L'aigle bleu)
(i bob.) Fox. . , , .Jan v. l\ICY.rinm . •\I ACIIH.l•'l·' f'Ia
Scén. : L.G. Rrgby, d apres ?,ne histoire
~on cœu~) (7 bob.) Fox.
J ' ·' rnan rI '"'
de Gerald Beaumont « Ihe Lord's
Referee ». . ,'-Jcén. :. Gertrude Orr, d'a}Jt·ès lf: t rJman
Phot. : George Schne1derman. . de Rita Johnson Young.
Jnt. : George O'Brien (George d'Arcy), 11 hat. : Chester Lyons.
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(èaptain :\feCarthy), Jerry, the Giant 1 lnhppe De Lacy (Bria n :\lcHugh, à
(Baby Tom). 4 ans), Neil Ha:milton (Brian 1IcH ughJ,
Deu:r marins, capitaines de deuœ équipes r::;tt Somerset (Robert De Pu yster).
rir ales de base-ball, sont amowreux de la '1ctor l\IcLaglen (Giant of KilkennvJ
méme fille. Comédie militaire et spdrtive. Ted McNamara (Harpist of We.xfor(i):
John Ma<:Sweeney (Prêtre irlandais t.
Oct. THREE BAD :\fEN (Les trois subli- Eulalie Jensen (Rachel >an S tuddi·
mes canailles) (9 bob.) Fox. ford), Constance Howard (Edith Cut·
Scén. : John Stone d'après le roman de ting), Ethel Clayton (:\ln;. Cu tting).
Herman Whittaker « Over the Bor- William Platt (Pips), Jacqu es R ollèn.
der >>. (Signor Bellini), Rodney Hildebrand
Phot. : George &:hneiderman (séquences (Brian McHugh Sr.), Robert Par ri:>h.
teintées) . De nO'u-veau le thème de l'amo11r -mat er·
!nt . : George O'Brien (Dan û'Malley), nel. Se passe en Irlande. Preuzière ren -
Olive Borden (Lee Carlton), Lou Telle- contre de John lV ayne at:ec Ford : il e. t
;!en (Layne IIunter), .J. Farrell McDo- accessoi1'iste.
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X ·ill enson), George Irving (General Jfus. : II.L. « Roxy » Hothaft•l t>t E rno
tyr f.'J, Phyllis Haver (Prairie Beau- Ha pee.
7'1tème : (( Little ~[other » dt• E. Hu pt't'
1'rcns band ï 8
d'une ~f111· ' . au ur_and cœur font partie et LeE> Pollack.
Mont. : :\lurgaret Y. Chtul·~· .
ieu 11 e h~ 1 11 se saen.ftent pour sauver un
er~ 18ïfi ~t ane qut. ~raverse le Dakota,
Il (•xiste une \'t'l'siou u \"t'l' mu~ique t> t
quenr:e d~m: et sa fiancée. Fameuse sé- f•ffet HOUOl'(•H.
llit r·hin' p landrush », Cû1nme dans /nt. : Margaret Mann (l<'rnu :Hernie),
à ,faekso 0 8}; (1H20). E~térieurs tournés .Janws Hall (.Jost•ph Ht•ruh•), Charles
/Je/mer D~t: ole dans le Wyoming (où Morton (Johauu Uernle)~ G.eorg.e
r·er's ~Ioun ea. a tourné Jubal et Hpen- 1\Ieeker (Andreas Hernie), F ranCIS
M oiave. tam) et dans le désert de Bushman, Jr. (F1·au:t HernleJ, June
Collyer (Auuabelle Dernle), Al ber t

31
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:'If ai. 1L\ :\' (; :'IL\S · ~ li 0 l · ~ 1 ·~ (Ln 111<1 iso u


du l,)(lliiTt'llll) t ï bob.) l!'ox.
::>ct'/1.: :\!arion Urth, d'après un e hi s
toirc de Doun ll.rrnc, adaptée pnt·
l'hilip Klci11.
J'hot. : George Schncitlcrman.
Jlout. : .)largaret Y. Ula11ty.
intertitres : Malcolm :::ltu art Ho.rlan.
lnt. : Yictor l\IcLagl eu (Uitizl:'n llugun),
Hobart Bos worth (James O'Bl'ien,
Lord Chief Jus Lice), June Uolly ct·
(Conna ugb t O'Brien), Larry K1•nl
(Dermott l\IcDct,mott), Earle J.;"'ox
(John Darcy), Eric l\Iayne (Colunrl dl•s
légionnaires), Jose pb Bcnkc (I\ eùdy
Joe), Belle Stoddard (Aun e 1\l('Dcr- ~lai. BLA<'K
mott), John ·w ayne .
KISC; 01~'
.Miliez~ irlandais. Un juge oblige sa fll/ e l•'ox.
à épouser un homme 1·iche qu'elle n'aim e
pas. 8C" éll. : .lamrs Kcrin :\[(:Uuinness et
~ton(', d'après l'histoire de
:'lluud.r : Il King of the
Xov. XAPOLEON'S BARBER (4 bob.) Iles ».
Fox. l'hot. : J oseph II. ~\ugust.
Scéll. : Arthur Uaesar, d'après sa pièc<> . .lfont. : Alex Troffry.
l'hot. : George Schneiderman. 1 tlt. : \ïcto1· .)lcLnglt>n
intertitres : Malcolm BtuarL Boylan. nald King), :Uyrua
Premier film parlant de Fot·d. Roy D'At'(:y (HI:'wu GhullJ~'·
/nt. : Otto l\Iatie~>en (Napoléon), J.;..,rank met·sct (Üftieier des
Ueicber (Le barbier), Natalie Golitzen vid Hollins (Lt. :\ln
(.Joséphine), Helen vYare {l~'~mme du chell Lewis (:\lohnmmt'tl .
barbier), Philippe De Laey (Fils du Lo11g {llnnim Bey), Dand
baJ·bier), Russell Powell (Le forgeron), e it'l' dt•s JI ig-h larulers),. l.u~~t~ ~
D'Arcy Corrigan (Le taill<•uJ·), .\lichael (Uolour]), Cyril Chnùw~t·k
nes), Dn vid 'l'Mre~ce
Mark (Un soldat), lii'nJ·y lli'J'IJPJ·t (( n
soldat). }i'mu 1·is l!'or1l t ll~or
Un barbier se vante de ce qu'il ferait ('lnudl' King, l<'rt><lt•rll'k .
s'il devait un jo111r rasm· Na]Jolhm et del- Il isloirc de vucrn• ,; la /I"Ottf
couvre que l'homme qu'il rient de ?"aser de.~. tl'/. Il' n muk ~tt H
est l'Empereur lui-même. King- of tlw Khybt•r Htfte (1

Dé~. ltiLgy 'l'I!JG 001' ((i hoh.) ]~'ox.


Fscén. : James Oru«>n et I~'rl'd Htuul1•y.
l'hot. : Uharles G. Ulut·h.
Mont. : Al<•x 'l't·offpy
film ave~:~ ruusiqu<~ <:t effl'tH HOIIOJ't•s
nit. :. J. li'arr<•ll 1\Id)oHultl (JÙit>r)
•OUlHe }i' • 1 ( • '
N azen< a . L1•nu Kt'lliiHIIII'YI'I')
0 ~ncy Drexel (Mury), Duvltl Ho.lliu~
ln~
1 vyJ,n Ilurry H<·llultz ( K J·uu sm"\' t'l'l
Y evan (Puris UttiJJnau), ;l'on;

32
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1111") 'Fran'k Alb!'t'fHoll (l\1irl. hip'''""
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Bu; ('r John . llrPNIPll
~v~~ Rond, .John \VnyJH' (OPux
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T :\fEN WITHOVT WOMI~N (Hom-
' nn,-~ ~o"s femmes) (77 mn .) Fox.
~:tn: et dinl. : Dudley ~ichols, d'ap•·i•:-:
· unr histoire de Ford 1:t .James Kevin
~!cGuinness (r Suhmarme ''.
J'hot : .Joseph H. August.
VuR.· : Peter Bnmelli et Glc•n Knight.
:l!ont. : Paul Wf'ather·wax. .
J,t · Kenneth lfacKenna ( 11 Burkf' >1 1,
Fr~nk Albertson ( rr Pri<'e >> ), Paul
Page ( rr Handsome »), Pat Somf'l'Het
(Lt. Digby R.X.), Walter ~1cGrail
rC0hb). Stuart Erwin (.JenkinH, lp r:~­
rlio) Warren Hymer (Kaufman), J. 1!)31
Far;ell McDonald (Costello), Roy f)te-
wart (Capt. Carson), WarnPr Richmond .Janv. TUE HEAH BJ•}:\I·~ATJJ (!f.t ma .)
(fA, Commander BridPwf>Jl), Barr~' Fox.
Tenhrook (Winkler), Ben Il Pnflricks 8 cén. : Dudley N ichol K, ,rn prf.s uut• hi .
Jr. nfurphy), George Le (;u~'>ra CPol- toi re de .T ames Parker .T r.
lock), Charles f.ii>rrarrl (Crlr. Wr>y- l'hot. : .To!!eph H. Augu!lt.
mouth), .John WaynP, RohPrt ParriRh Mont. : I1'rank K Hull.
Qut~fqrze homme1 pri1tonnier11 d'un IJOUit- Jnt. : GPorgl' O'Rrif'n ((',,mrn:lllder Hoh
mt~rin, pu quatre-rinuta mètreJJ de fond. King~ley U.SN), :Marion LI'~ !' in~ 1. nna
()Prtt~inlt devien-nent fou3 d>P- peur. A ln \T. \'on Str:uhNl), Wan~>n Hymer
fin, l'tm d'eua- dolt reJJter et JJe Rnr;rifier (a Lug >> Kaufm~tn), \Villiarn f'ollil'r
fi'JIIr quP: lu IIUrrJivantiJ pui~tunt ll'ér;hrJTJ- Sr. ( 11 ~Jug!-1 » O'~'luhNt.v't, .J~>hn Lo-
/IP:r par le itube lame-torpille11. clr•r (Franz Hthilling), W1tlt.cr ('. Kelly
(()hiPf Mike Oo!-!tr.llo), Wnltf'r )Jc(:rail
.Juin. BOHX RFA'~KTJESS (f-12 mn.) F()x. (.T(W CohhJ, IJPnr.v Vic·tor (}<;ru t Yon
Prod. : James Kevin Mcr.uinnN~~o;. HtPuhf'n, Crlt du ('-Boot 172t, ~(nnlt
1icén. : DudlP.V Ni(·bolH, rl'aprt!! 1(~ rorrwn ~~ ariH ( L(Yli ta), J..arry KPnt ( l..t. : [nr>
de Donald Henderson Clar ki' (( rJfJU ÏH nrc•gorJ Gaylor1l J'rnlll1·ton fl•,u. tgn •
BPrf'tti ». J>if•k C~hot), JI arry T •nh.rnl•k. ~ •rry
f'ltof. : George Scbneiderman. Ray' JI anR Furhf'rg, FPrdulll!Il . hn-
Mtmt. : Frank E. Hull. mann-Ileink, FrarwiR Ford, Kurt F1sr-
!nt. : Edmund T.owe (J.ouis IlPrettiJ, hi'J'" Nat PPnlll~>ton. l
f'atherine DalP. OwPn (,Jonn Hhelrlon), l-i ur Ï; 11 orJiirationll dr-11 nat·i··~• '!'Y 141 •·r~;
J~ Traey (BHI O'Hrien1. Mar~uf>rih· mrstJl()lJPtl par la mnri"e nménccune ,mu
Ohtm·bill (Rosa HPrPttil. Warn·n Jl.v- drtruirr- (f:ll lftJUit·mni'Ïnll nllrm~ml6. (~u/·
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~OIContz), Ben Baril (,Jo~> Bf•rr•rnan•. /Ji(ll . • H. JAJvyen, n,
( ~ul Patce (tlitzy Reilly). Joe Brown Fulton. t
W ~le Beer Orogan). Roy Mtewal't,
l'hnt. : .Jn f'Jih II. ugu .
fJ' ard Bond. .lln,l. : Alex 'J'~()tfey. 't>Uilf' flllt 111 1

tr:f.~i• 16 ciUPwe roman d" D.H. mark, /nt. : Ha11y Ofl'f'~h~:.~ (~ac·Millan Jiu
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de Sinclair L-ewrs.
J'h.ot. : Ray June
1/u~. : Alfred Newman .
J!onf. : Hugh Bennett. .
!nt. : Ronald Colman (Dl··· ~l arlln
:\rrowsmith) Helen Hay• !'! (Lpora) •
Â..E. Anwn '(Prof. GottliPb), _,Hi<'hnrrl
Bennett (Sondelius), Claurll' Kt ng ( D r.
Tubbs), Beulah Bondi Pin:. T nzrr J .
:\fyrna Loy (Joyce Lanyon ), Ru ~ .rll
Hopton (Terry Wickett) , D P n r tt
.Jennings (Mr. Tozer), .John <)n alc•n
Œenry Novak), Adele Watc~on (:\Jr ·.
Novak), Lumsden Hare (Ri1· Hohr r t
Fairland), Bert Roach (Bert Tozr r ).
Charlotte Henry (Une jt:>unP filiP ) . ('ln -
renee Brooks (Oliver Marc·hand), Da -
vid Landau, James Marcu~, Alt>c R.
Francis, Sidney l\fcGrey, Florenl'e
Britton, Bobby Watson.
Dn jeune médecin idéaliste doif lutter
contre la m_esquinerie de &e& coll~gues
~ part contmuer ses recherches sciertti-
ftque3, sous .les ~ropiques. Finalem en f.
ltm .dune épidémt-e, il doit faire fare à
ce dtlemme · saU!V d .
dont lle d. er ea Vtes humriine.~.
ce e sa femme, ou décour:riJ· tm
nouveau 3 éf'um.
1932

Nl')r~· .AIR MAIL (TMe br"]. )


JD!VersaJ. " ce (8.'! mn )
Proo . ~ 1 I
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. n. : Da)p Van Jr.v~r.
rnand••r Ji'r·ank \V W y pt Lt. ('ont -
tl'aprèH l'lri r;;tojr•
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!nt. : i•~t' 0 , n P. Fulton
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lf<'Cuoe)' lm RummPrviiJ '' )iz7.y n
Bocan) i ~rank Al ber~ e ( <' Sliau n
' .et ie Fenton ('r on fTumm ,.
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1934
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• per.due) (74 mn.) RKO. , .
/ Prod. : Merian C. Cooper, a~HO<:. : Ch ff
Reid. .
ScP.n : Dudley . N1chols ~t. GarrP-tt Fort:
ifapr~s I'histmre de Ph1hp MacDonald.
11 Patrol >).
J>h()t. : Harold Wenstrom.
Jfu.8. : Max ·.~teiner.
Déc. : Van Nest Polglase et f-:lidn~.v
rllman (a.d.).
Jfont. : Paul Weatherwax.
Tnt. : Victor McT..~aglen (Le Hergent).
Boris Karloff (Sanders), Wallace Forci
Oforelli), Reginald Denny (George
Brown), J.:M. Kerrigan (Quincannon·,,
Rilly Bevan (Herl:wrt HalP), Alan
Hale (Cook), Brandon Hurst (.Jock
~fa~Kay), Douglas Walton (Pearson). Oc·t . .TUIHiFJ PRIFJHT (00 mn.~ Fo~.
Sammy F;tein (A~laon), Howard Wil- Roén. : DudlPy Ni<-holH f't Lamar 'l'rntti .
~()n, Paul Hanson. d'aprèH une hiHtoil·c c]P Irvin ~. rohù.
flne patrouille anglaise perdve dans le Phot. : Oron~e Schncidt>t"lltan.
désert d'Arabie dwrant la première guerre Mus : Harnnf>l Knylin.
mond-iale. Réfugiés dans une ott8i8, maiB /nt.· .. Will RogerH (.Jugt> J'ri,.,t) . H nr~·
rernb par le11 Ara1Je11, le11 hommes meu-
dent l'un apr~tJ l'autre. A la fin, le Ber-
n. Walthall (Pa~tRnr A~hhy Hran~ll,
'I'om Brown (.Jt>romf' l'dr!!<!). Amt.a
f}ent survl1;ra 8ertl p()f.br accueUUr leif 11au- Loni~P (ElliP )lay f:ilh·~JlÎt•), H,atttr
reteur11. M eillP.4W film de l'ann~e 1 n=~4 \lr·Danir•l ('l'nnff' Dih•~·), Ht•rti'llt ( hur-
{Jflur ln critique. ··hïl (S"natf'HI' llornt·•• K. ;\lnydP\\
c 1
[)nd" Lanclnu IHoh I,J ''Il'1. • l'ot•h
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.Juill. 'fJJr; WOJUJD MOVEA 0:\ (J~· :\ton- Jlucl~on (\'irginin ~fttych,w:. ~tt>plll
d;· fm rnarr•hp~ lOO mn.) Ji'r,x. l''t•ft·hit (.Jt•ff l'oindt•XtPr), J< rtlllk ;\lrl:
1 u,d, : Winfif>ld Hhe(~han. t lill ( ...L'Jt>JJJ 'l'ull••\'l lto"••r lmhof R~ll~
J lfJl•
1:~n. et tmj. orig. : Jù~inald C. BPrkc•lc·y.
y 'Jt. : fieMge Rr·hnf>id·~rman.
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C'uvnor~ <'hndi'N 01'11(1t'Will. •
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t~V· Ha~l:.v), fl'raui'ÎII ft'ord (J~trl> lt!• . -tl.
·
Bn•rllllt F ow 1t•r ( a'1 r.,,
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l b ri • ·
· u3 • : Tbèmet~ de Max HtPin(•t·, J .t'" Ï" :\ffuwn HohNI l'llrr . l ,·
TJ~ Francet~~o, R.H. Bat~lwtt, Davicl f ' OIJJ..H
· ' · · W R ogt r1.
~llttolph, JI ugo FrietlhofPr et Geor·gt• /)rurtt\me de la trdwae . . ·ïl (&rit i
JJ/*'rshwin, dirigé!! ptu· A t·t 1 •u· l ·"''"1'. rf' u" jugt: tlu lill 1HHl pehte r • e le " ,.•
;::tt~ William Darling ((l.d.), ThomuH r·aine du Kmlluckl/. On ,·etr~~·r": Uright
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· • "1a aufmau. nor,:n.
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effacé, est le aoste de en!lem1. pu J ':'
no 1. A prè., p'tlnieurR f11ftproquos, 1-l
réusRit à failre tuPr le oann .~ter par .9P.9
propres rompli<;r>R, et ar;ec l' n;rqe';':t df! la
f'érompense Ppouae la da&fylo q1t tl atme.

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HU1AND (Je n'ni pal':
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f'tod. : Darry] F. ZnnHrk, a
na11v .John~on.
Srrn. ·,. N . .Johnson. rl'aprè l'hi!!toirt
Dr·. ~nmnf>] A. ::\fndcl.
Phot. : BPrt GlPnnon.
M111t. dir . pstr T...onl" Rilver .
nü. : WiJJinm Dnrlin~ (a.d.L
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Mont. : .Tal"k Murray.
h1f. : \Ynrnt•r TI1u·t~r Dr. •
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j[fidd qllt sotglla,~<llflsin de /1illr'oln, blc.~.~é l'hrJ./ . : .IIH·· •:ph JI. AtJ~JJ K I.
llïlkcs Hoothi,;t~cntat. J11 ju.~/('1/1Ctll con: A111.~. : Nathllr!Îc:J !-ihilkrr:t.
IJ(;r;. : Van :-lf''lt J'I,J~Çin -;,. (o.rl .J.
111~ cours 111de 16 complice, il fut condamna .lfont . : (}eor~f! Jiivr:ly.
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fièvre H_arry FttzgrJ·ald (l"lutiJr•J· c;,,,,rJ ), I>1·u:
épiclém te e b 'l'té litS~'Dea (Thr Cov".V), Eil<:r:n (~ r'•W•·
libéré et t·élw t • • (Be.ssie Burgess), A1·thur ~bi<:lr!s (f'a-
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Phot. : Joseph H. Augus~. ville (l\Iollser Gogan), Cyril ~IcLagl~>n
Et! sp. : Vernon L. WalKer. . (Corporal Stoddart), Robert Roman·
.lfu~. : 1\fax Steiner. Orch. : l\faunce De (Barman), Doris Lloyd, Mary Gor~lon .
Packh. D'Arcy Corrigan, Wesley Barry.
Déc. : Yan Nest Polglase, Carroll Clark D'cwrès la pièce d'O'Casey. Peinture dea
(a.d.), Darrell Silvera (s.d.). milie1tœ pop1tlaïres de Du blin lors de la
Coat. : Walter Plunkett. . 1·évolte des hlandais à Pâques de l'au-
Mont. : Jane Loring, assistant : Robert née 1916.
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Fredric l\farcb (Bothwell), J!"'lorence
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;orr('nce. (Lwclsay), Anita Colb.v (:\Ia- .t .~s. du son : Robert Parm~l~. .
h Flenung), Lionel Belmore (Un r>ê- [ t . Rhidey TPmplP (l'n~c·tJl:t "tl-
..
c )ur Banglais), Doris Uovd (Sa fpm- 11 Üa~s) Victor )[<'Lng-lt•n (~-.:t. )!_ne
~: • obby Watson (Son· fils), Lion('] Duff) ' C'. Aubrey Smith (C_t~l.. " 1{-
ra;'e ('!3ur:rble,\·), Ivnn Simpson, !\fnr- 1I' ams)' June Lan~ (.To~·ee "tlltnm" .
n;R K~nnell, Lawren('P ~rani, 1\'jgp) · li t . u (' l lJlllY
' • ' \VhalPn (T •If'
1\fichal"'l K 1 1·"
ruher, Bar lowe Bo,·lan<l ( J Ug'('~ BramlN.;). C'f·~at· 'R~lnH'l'tl .. l \;;::,:~
anglais au è ) . · ·
Marv G proc s • AlPe 0ratg (Donn]), Khan) ( 'onsttlllt't' ( ollH'l' (\lt :-. '.., ·•..
nJf'xingtor~on /Nnrse), Wilfrc!cl l1ucas ' ] ~, lft (:\l.lt!), (.:1\ Ill
land) Bon ' -eonard Mudie (1\fn it- rlyt>~), no~ll!;~lh~r~~~t'ilrh): Willit• Fun~
Corrj' randon Hurst (Arian) D'Arc·v :\[mr (('np · J)'h ) Ht·an<lon Ilnrst
(Dou:rn (Kirk.ealdy), Frank Bakèt· 1\fohnmml"'t~ 1
n' (:\la·. Allardn•t>).
(Ha~rhv). Lwnel Papf'. • j tb) Tau·
cide) ~b CynJ l\fcLagl<>n (Faudon- ·(' k (Pi pt' ;\[ll.JOr i::"llf'll . • •
}{neÙys) Eert Warwick <Air Ft•ttnf•is C'lyc1P oo El .• AllardvN>L I.iont'l
W:vndha~ ~arle 'J!'oxe (Due dP K<>nt), ri Beatty ( '(/ Ilnm.inomn. Mnr~·
Ht·nhnm (~IaJ. '" 11 • h'") ('nil ~k
Ga11ton GIStanding (Sergent an~lai~o~), f !\[n
~'or·hf'~ (1\ rH. • , ·,
1·:\lonac.> ~< • ·
Jf'l) Pat Stnner·
gerald (N~b~ss (Ch~telard), NPil Ic'itz- 1 ll"lt••t (Corpontl ltrrun~ : (Condur·
<Du Croche)~ anglats), Paul 1\f<'A lli~ti"'J' ;.;t•t (OffidN). I lt•dor • Ill no
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Ford et Stuart Hri slcr
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(pour es 1 Goldwyn. · Assoc.: rMer r'tt
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T' r ad.: Sarnue
Hulburd. N' hol s et Oliver H.P.
Sdn. : Dudley , If
roman de Charles
Garrett. d'apres e Norman Hall.
Xordhoff etG,lJam~~ 2nd Unit Phot . :
l'hot. : Bert enn .
Archie Stout. · t Ray Binger.
Eff . sp. : James Basen e
lfus. : Alfred Newman.
Déc. : Richard Day (a.d.) ·
rost. : Omar Kiam.
Vont. : Lloyd Nosler.
Înt. : Dorothy. Lamour (~Iarama).' Jon
Hall (Terangi), :\Iary A~tor (:\Ir s. P.e
Laage) 1 c. Aubre.v_ Smith (~e Per.e
Paul), Thomas Mrtcbell (Dt. Ker-
~aint)1 Raymond l\Iassey (Mr. DeLaa-
ge), .John Carradine (Gard ien), .Jerome
Cowan (Capt. N agle), Al Kiku me Nov. S U B~IARINE PATROL rPa
(Chef :IIeheir), Kuulei DeClercq (Ti ta), en mer) (95 mn.) Fox. ·
Larne Tom Jr. (Mako) 1 Mamo Clark Prod. : Gene Markey.
(Hitia), Morita Castenada (Arai), Scén. : Rian James, Darrell Ware.
Re ri (Reri). Francis Kaai (Ta d), Pau- Yellen, d'après le roman de John
line Steele (:lfata) 1 Flora Hayes hollann « The Splinter Flet>t • .
(:\lama Rua), :\lary Shaw (M:arunga), Phot. : Arthur Miller.
Rpencer ChartPrs (.Juge) 1 Roger Drake Mus. : Arthur Lange.
(('api taine df>c:; gardPs), Inez Courtney
Déc. : William Darling, Han
. !Fille ~ nr !P bat~>au), Paul Strader.
(a.d.) et Thomas Little (.t.d.) .
~ ~~~ .île d~ ré re dans le Pacifique. Un Cost. : Gwen Wakeling.
''~dt?eu~, Jeune mnrié e.!t condamné d 1
RIX mots de pri.!on p(}ur une rixe. Il ne
Mont. : Robert Simpson.
.~uppo1·te pas [emprisonnement et s'é ra- !nt. : Richard Greene (Perry
de ·. fl .Pst repris et devient bientôt un lll), Nancy Kelly (~u~n
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'"1ter perpétuel, S1éradant sans cesse Preston li"'oster (Lt. .Tohn C.
8 11
' J1 ?' ~ resse repr~. Finalement il réus- George Bancroft (C'aptain
!· . a s/;;happer, après aeoir tué un geô- Slim Summerdllr (Ell ... worth
q';:ils~,.,lfJ;I,e- Il es~ poursuiri, mais alors « Spotts >>), Joan V!llerie
Pt .T ohn C'a nadine C\lt· .\ llt~on)'
1 .re reprrs. un ouraqan rat'a(Jf'
f:,1111~:~ Qrtftt l'île. B.rtérieurs . trmrnés ' à Hymer (Rocky llnj.::::wt!·) · . 11
metta (Luigi), Il1HI!!la..: F 1ml~
f. l<'tll'rl'll ~(l'{)IHI:thi (QUI.
l)j(•k Ho~au (.J<)Imn~· ), )1~\·'e
hloom (Sgt . .l<)e Duff\') · a
(Olaf Swnnson), Hotwrt
Avril. FOUR ME ' (Rparks), Charles 1'an!tt' l~
lQuatre h N AND A PRAYJ<'fl
Fox ommes et une prière) (o'" ' . G eorge E · Ston~ (lrnn\! ,
J&l'k
p,. •.:. . ~· ln li . ) Olsen (Ca pt. '\\ ll~o~ .'
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( C< l'I'Oft>ssor >> Pratt). b ..
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Hohrrt Grril! (::\[r. Hor~tt . • AP ·' :11 . l.
!.o dafficrtltb, rn dnu(lcr~, l~s d éCOII-
ra(JCI/ICIIf.~ rCII<'OIMré.~ P_~l' 1111 J€'11/lP f:OII·
r' de rnlnn,, reni/.~ .~ llt .~faller dmL~ lrz
~[~J1111 d· l'a Tley. Etn t dc Y c,. J'or k. (}1',, !
de la [Jfl('i'I"P rf'f1rdéf1CIIdn1H'(', rcrfrllltP.~ /
~équcnccs du film. cntfre nuire., crllr ou
Fanda est poursuiri par le.~ lndirn~. ont
été reprise,~ d-(llld :'\Ioha:'·k (L~Atta qnP
du Fort Dougla) de E urt Seumnnn
(Fo.r. l!l:l6\. Premier film rn roulrrn·~ dr
Fnrd.

]!)4.0

.Tan\'. THE GRAPES OF WRA Til (Le·


Raisins de la colèrt>) (128 mn .) Fox .
Prod. : Darryl F. Zanuck. A.ssoc. : Xun·
nall"~" .Johnson.
s,.én. ·,. X. John-on, d'après le roman de
.Tnhn Steinbeck.
f'hfJt . : Grel!'g Tolano .
lfu.~. diri11le nar Alfred Xewman. Thè-
ntP (( Red Rir·er lalley )) j011é à rac-
rordéon pnr Dan Borzage.
Déc. : Richard Day E>t )fark LE>e Kirk
(fl.ri .• Thomrt<: Little (.~.d.).
ro•t : Gwen Wakelingo.
-'fant. : Robert Simpson.
fJan&. tedrrt. : Tom Collin~.
t:rD · ~u ~on : Rohf.rt Parri"h.
Henry Fonrla (Tom .Jonr)l .T:ln"
fCarwE>ll (~{a .Joa<H, .John f'a~rndinf'
.ro!d)Y), Ch~~; rie~ nrapPwin 1( ~··n m na
R ~orns Rllwll on (HM Il<' h R r Il 1.
ii
tei!~ (lDlpson (Pa .Tonr)r, () 7. Whi·
P'Aid' Q ~P· .Tr,hn fJunl""
mn::rlm"a' Jan IWonniPI, Zl•(fi('
11 • 01 1 ''fi·nhnn:
F rank D • ·OA< 1 · Fr<>rrk
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Hieknran Ar;"~· ~l nc·Jp John). nn.·nl
fRutb .To!Jdl C:"
PII!J .• Rhirlp,· :'\lill~
Warrt Ronel' lPat't·
Mttl·h~>ll H;n,'llit•n•.
CTinr), Jop Saw~..
Tyler Œert)
(f'onductPur du
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Frank F~t,·l•
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J'"'.
bac)
(84 mn.) ox. '
. Dnn·yl F . .l';anuck. , ,
J'r~d. ·. Nunnatly .Jolm~OI!•, d uJII'OH lu
Sr.:~~· ·ri Jolm Kirklaurl, ttn•1• 11u J·omuu
lllece e C 1<.1 Jl
d'Er~kiuc a we :
:Arthur C. 1\ltll<'l'.
J'hot. : Da,•id Butto lph .
.J[us . .'Richard Day, .JunH·~ HHHPVÎ (rl.fl.l,
Déc. . . 1 (s d)
'Thomas L1tt e · ··
t . BarbRra l\IeLE'an.
Jloll
, · ·
du son · · Robert l'arl'i~h.
,'1ss . . Cbarlev Grapewill (Jpct('r Le~o~tPJ'),
!nt:Ùarjorie
· ·
Rambeau . (c..' · t t>r
·~ls B eHHH'
· · ),
Gene Tierney (Elhe ~lay . Le~t~r),
William Tracy (Du de LeHter), J~J JZfl·
beth Patterson (Ada Lester), Dana
Andrews (Dr. Tim), Slim Summerville
(Henry Peabody),. Warù ~ond <[-ov
Bensey), Grant U1tchell (f:»eorge 1 ay-
ne) Zeffie Tilbury (Grandma Lester),
Ru~ell Simpson (Sheriff), Spencer
Charters (L'n employé), Irving Bacon JfH2
(Teller), Harry Tyler ()cfarcbanrl rl'au-
tos), George Chandler (Un employé), Sept. ~l'lU} HA'J'TJ,J•; CJY MJJJWAY
Charles HaJton (Le mairej, Jack Pen- batadJe <1~ Midway (!YJ rnn.J Ltt
nic:k fSheriff adjoin tJ, Dorotby Adams l'rorJ,. : IJH Navy. ·
(Secrétaire de Payne), Francis Forrl. h' UlJen;Îflirm, [JhrJtrJ ("At fJIJ4 tiP-), rrv,n/rl[JP.
La pièce tirée du romar! de Oaldu;e 1 l. (avec ltr1b•:rt J'arri<>l') d•J Lt.. f~<,rmn 311 •
lie d'tme famille de paurres blanc& en d1:r .J r,bn J''(Jrd !]~.".' It.
Géorgie. ['hrJt. adjr,int : .Ja<:k Mr:KI;IJZif!.
Crnnmentu.M-e : P'<H·d, <:n ,.,,Jlar~<lrat ,,n
a v~r; lJu!]h~y 2\i<:hr1J~ f:t ./;wH·R K•· .1n
Jan. f-!EX HYGIEKE (3û rnn.J Fox. .\fe</uinnc;<;~, dit par J f•:nry Jl',,u,lo,
Prud. : A.Jdio Prod. Inc. f>"JUr U.S. :'.la- .ffJ.IJI! JJa1 w•:JI ~t lJ<JfHJld f;rl J•.
riDe .-:i~al Oi?'J)s. Jfu•. : Alfr~J N•:wJnrw.
Phlj . : Gf:tJ!'ge Barnes. f),.r;IJ..r du meill~l.#' r;t.rtllf't !I•Jf ·t en l'~i~.
1 t. : Chrl<:-g Tr<:.-wtrif.igE:.
Pr.m!. !ut cité par Le «IVar Departrfll':nt" Sr:r•t. 'FJH.I'LJJ{J srlr;AJJJtfJ. · ~ ( mn.}.
~vr ~e
film tl'M.wr-Atirm ke:eudl.e 1ur lei 1/ellpi.FmntJ{)f: 'J.rru':rir,rlin tJ.yrtTit trou,;é
~ffi d.e1 maladie& t:énériennea. Fil''" /,ial,rm~ liJ.. r;l~ tl-u. r;r,r!l1 JUTJ''MÎI, k
r~é atu: trWpea MnérkaiMI. f/SA f11t f'rn'rlJ .trJ.1,1J~rtt 'f'U: lt:A ./aprmfJll
att'JrJut:rrJ~nt JfvJw/.11. 1/wrr&b: amlr
C'Jine rç:nfr,r(i4 la d~f~rue d,: l ilt:. 1/ f;qu;.
pe de /"r.~rd #!tait IU>Y k.f l~ua: tJ ont ~
r;r,r"l,rJ.t. //un d.~.f T,J&r,tr,!Jfllllh~l 1'(11nUin
4 fitmr:r rm 1l; mm. r;tJ1jls:ur, tûln1 'kur W,
de ffjf,u kil jrnvr11, te.. mem,;rea !le l'tfJu
p(J{/e du 1'rn-p~(lr, HrJufJ.Ilron b. 1 r, • , 1
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l.!J41J. p,Kd db..itla d'ut&U.m- k1 d.oOvmtnb ~1111,.
m fair~ un film de mMJttJ.IJ'-, / •rr»!
. ·atta:n J rtm 8 mn., appel/: 'IOliPEUO fKJt JJHlJ •
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went ang Ct motrt. · · / J>rod. : Hurnuf'J 1,., J',n"•!l. •
Jfi.se en ~cèn~ clifford Odets.
Scé rl . : H. U. l•~n ~•: l el \Vi rustt111 l'JI
Ford. :Cita~ .A.ddin ·ell. adres mar- d'aprèa l'aclliptatirm !llil' • 'nin u .. ,,· f:r,
Mus. : l{u ditftcult és des nes de com- .
du 11vre ,, '"
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uar·t •.. Lak,.
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chan-dB pour E arp , lf'rontier .\-larshnl 11 • - Htt
Phot. : Joe McDonald.
bat. .t filme' se!on Ro- Eff. sp é . : Fred Sersen.
rd aurai ' ·
Par ailleu_rs Fo nombre bien plus, c~nsl= Mus. : Cyril J. Mockrid~~: H 1J a\'ÏtJ B 1.-
bert Parnsh, und .. struction ou d actua
dérable de _films E ~e autres un film sur tolph. Orch. : Edward B. l'owrol!
lités militaires. n l'armée anglaise. Ces Déc. : James Basevi, Lyle H.. \\'hroro i
les cujsiJ?iers d~ siveroent réservés a.u~ (a.à.), Thomas L ittle, Freci .J. ~~~
films etaient exc u ailleurs supervise (s.à.).
militaires. Ford a par arfois très briève- Oost. : René Hubert.
(parfois tota.leme~; 1 ~~ films réalisés I?ar Mont. : Dorothy Spencer .
ment) presq~e to équipe (une trentawe A.ss. du son : Robert Parrihh.
les hommes psonish) entre autres Ger-
selon &bert arrd 'Robert Parrish et
Int. : Henry Fonda (Wyat t Earp Linda
Darnell (Chihuahua), Victor 'Matnl'l'
man M anpozcer e
Garson Kanin. (Doc John Holliday), Walter Brenna~
(Old Man Clanton), Tim H olt ( \lrgil
Earp), Ward Bond (Morgan Earpl
Cathy Downs (Clementine Carter/
1945 Alan Mowbray (<;iran ville Thorndyke):
John Ireland (Billy Clanton), Grant
Déc. THEY WERE EXPENDA.BLE (Les Withers (Ike Clanton), Roy Roberts
sacrifiés) ( 1~ mn.) MGli. (Le maire), Jane Darwell (Kate Xel-
MJ&e en 1cene : Captain John Ford. USN son), Russell jb:npson (John Simpson),
et Robert Montgomery (qui termine le Francis Ford (Dad, le vieux soldau ,
film. ~nd Unit. : James O. Havens. J. Farrell McDonald (liac, le barman1,
l'rod. : J. Ford. A31oc. : Cliff Reid. Don Garner (James Earp), Ben Hall
.:Cén. : Ll Commander Frank W. W ead, (Barbier), Arthur Walsh (Réœption-
(; SN Ret., d'après le livre de William niste), Jack Pennick (Cocher), Louis
L. White. Mercier (François), :\1iekey Si.mpeoo
l' hot. : Lt. Cdr. Joseph H. August, USX (Sam Clanton), Fred Libby (Phin
Ret. Clanton), Harry Woods (Luke), Mae
Ett. 'P· : A. Arnold Gillespie. Marsb, Charles Stevens. .
M v1. : Herbert Stothart. L'ép~ode le plu& cmmu de la t·•e ~
Déc. : Cedric Gibbons, Captain :\lalcolm Wyatt Earp, Frcmt4er Mar1hal : ~~
F. Brown (a.d.), Edwin B. Willis,
Ra à Tombst~ne, &a lutte contre la , fœ•~
lph Burst (l.d.). Olanton qut se 'termine par le rtt~~
font: : Frank E. Hull, DouglaB Biggs. de compte& à O.K. C?rral. E-:t~
ny nwbert
h Montgomery (Lt. BrickleyJ tourné& à Monumtmt l · allry (l taA)
~ (Sayne (Lt Rusty Ryan), Donn~ au Nouveau Me.rique.
M . andy Davis), Jack Holt (Gen
Je!~hn), Ward Bon.d CMulc.aheyJ, Loui~
Pital) Hi/adt (Offic1er aviateur à l'hô-
Ru-Il sf!thall Tho!llPSOn (Gardner), 1947
naval) Leo pso. (Chef du chantier
Lan~n n mes <llorton), Paul
(Jones), D~~ndrewll),. Arthur Walsh Déc. THE FUG l'l'IVJ.J (Dit-u t> ' t mor
ron Mitchell (Id
Curtis <Shory), Came- (104 mn.) RKO. Mt"rian
Murray Alpe~r{Sr, Jeff York (Aiken), Prod. : Argo~:~y Picturt'~. lt'~rd ~t ·and&
Tenbrook <Laràe ug Mahan), Harry C. Cooper. Auoc. : Brui ho, ~ e!'Dt Mel
~~~~lie), Charles n~ Jba~k Pennick Auiat. à la prod. : Jack 1 t>nu•c '
64IQ;'ft'elJ), w~ Fwdrldge (Amiral !4,errer. ~
~t, Bruee Kellogg or • Robert Bar- Sc6n. : Dudley Nichols, d:_re,riPo1e eJ' a1111
lier, V•rnon s~?'im Murdock, 'l'om e. de Graham Greene : « ~- 1 1"f
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J'/10 1· .' ){ic•hnrd lll l''''IJlllll
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lfOII~• .' ,JII~ k f ,f' flll.:ll JI), IJoJOJ'I 'K
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f/ll. : Ilc:utJ(()nc• ~ft• ic·uinl'), l.'Pdro A, .• IÎIIJC8, d'nJ•l'l• l•• 1.,,111
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f tm li /1 llfJ.,t lrJ., t;tJtt,.l , : • ·tl lir• K
chard), ho Qttnlc•u (J>ocl<'llt'), l•'ortuJJJO \1 111 "u Tl l'!ill<~l f•1rd. rn •
lice), .To.bn l<'ousin du ;.:ou \'t:.rllf'tlJ'), !.'If 1111. : .h~.:k ( ~SJfrce.
Bon~nol !~ Martin (.Jollt' Ur d oq~ut•),
Obns 1 lu
1 1 ( 'u otu~c·), I•'t!l'llHliCio
)liguel 1 ne a(~hautcut·J, ~Jc•l }l'c·nc·t·,
M1t11 . : H.idwrd Ifu gtrnort fJ rt h
( ~ui lli•.t. · ~ ·
: L ,. P

Fernan< ez IJ(;c. : .lumi:H B:~ .cvi (r.l.t.l ,), .lrJè K b


r Tor1·ay.
Jose · d G Greene. Un prêtre lache
- (a.d.). •
Jfont. : .Ja•;k :\f.urray.
I.e ,·oman ~r i<J_ police mercicaine. Trahi,
est traqué P .. en héros. 'J'ourné entiè- !nt. : .J()hu Wayn~ IJ~,Jb~:rt .hrm:u, k
'l aaura mou rn. ~ang~;ter Hight<)WI:rJ, l't;(]rr, Arm,.w,a·
:·emelli au Jfextque. nz (l'e~lr~J lto(;a Fu•:rti:J, Harry Carey
Jr. ( Wültam K~:arney, '! The .Ahil~>ue
Kid J)), Warù Brmd U~TH:k a. f;weet~ »
1~ -
I~erley), ~1ilùr~1 ..Natwick (La mère),
Anil FORT .AP.ACHE (Le mas.-act·e ùe Charles Ifalton f~Ir. I.atl am), .fane
Darwell C.\1is8 IfJorieJ, ~Iae • [ar
Fo~t .Apache) (12~ mn.) RKO. .. Olrs. Perley SwcH), Goy Kibbee (Le
PrCJd. : .Argo,.;y p 1ctures-Ford et ~lf!ttan juge), Dorothy Ford (H.uhy La.tbam),
/ C Cooper. , . .Hen .JohnSfm, MichaP.l Il•Jgan, Don
, cé;1• : Frank S. Xugent,.. d apres une
Hummf!rs (Hommes de la vatrouille ,
- histoire de James ' ' arner Bellah
.Fred Lihby fl>eputy SheriffJ, Hank
(t Massacre ».
Worden (I>eiJuty Sheriff), .Jack Pennick
l'hot. : Archie .Stout. (Luke, le chef de train), Fran C'i Ford
Mus. : Richard Hageman. OrcÀ. : Lu-
(Un pochard).
cien Cailliet.
Déc. : James BaseYi (a.d .) et Joe Kish Remake de ~Iark~l Men Cl!)l!J). Ex é-
(l .d.).
rieun tou,rnés dans le désert de .M oja e.
Mont. : Jack :Murray. J,e film est dédié : « 'l'o the memorv qf
(;ost. : Michael Meyers (hammes), A.nn JI arr11 Car~ - ltright ~Jtr;zr of the etJrl11
P(:(;k (jemmea). 1{)estern aky 11.
Int. : John Wayne (Captain Kirby
York), Henry Fonda (LtrCol. .Owen
Thul'8dan Shirley Temple (Phllade~­
phia Thursday), John Agar (f,t, ~l!­
chael (J'fù:Jurke), Ward Bond fSgt. Au début de 1!)49, Ford c_?mm ~~ PL·.
Major (J'P.,.Jurh), Ger1rgf! O'Brien KY (J}ft6ritage de la chasr) 91;1 11 ~ ban·
CCapt. Sam Collingwood), Vi<:tor :.\le donne. Le filrn est terminé, par Eha Kazan.
Lagh:n <Sgt, ~fulcahyJ, l'f!dto Arrnen- I..êfl rail-!onf! diJIJDél:fi pour .!.abandon d }o~l
<lariz 1Sgt. Bf:aufrJrt), Anna Lee (}fr~>. "'ont variées. Seltm J'tuhp Dunoé' o
d ut •
CrJllingwr..".ril), Irtne Hkh CMn. O'HA'Jur- n
abandonna IJIJUr rtuson

Z u n
k~J, Goy Kibrw.,.: CDr. \\'ilkellJ>J, Grant
\\ïthf:!~ (Silas Meacham}, Miguel In-
ftot.rert l'arrisb, pnrce qu • d P m '{{hn "M
dan (CrJI':hUs.f!), ,Jack l'f:nnir:k (Sgt.
fY:hatt .. r:kJ, .Jae .farsh (.fr. Gatf·.J.
Dir:k Yoran (Sgt. QuineannonJ, 'Frauk
Jl'ord n'était pas l'homme ~lut tr~vatl d
Ïn(:ertitude quant, la. d~~ un jour l dix
li ord nu fil rn. (.;e a 'a ~1 n o
r
jour de tournage. Il. m • fait 1
l ergusr,n (Cn jfmrnaHJ>t~J. .f. rnrwi que Kazan ait tout faat, ou r
~'1 rd Œartendf:r), H.ay Hyke, . f()vita déjà tt1urnés par l' ord.
Cru.-y:nal}a, Mary GotdrJn.
~~U;r t:olet d.e l.a tril(JQ~ aur la cat:a· 1V4U
...,..~e omérk4in.e, Un officier orgueil~uz,
~ ~ Tlt.urad4J1, eat éeraaé et htimη WOHF..
!l" etm~bat JXJr un chef apaclle qu'il
•r:ait ''""•·eat~. I.e film elt en /tJit
::; /ttuupoaitVm d.e la défaite du flén~·
187P. .1~ge
11
Arnutrc;ng Ouattw le 2.'J juin
) Littk, Big Ilona dbt:ant ka trQU ·
~u k Hitting RvU. BztérH:ura tournél cl
"""._t l'~ et ùta rUiolt.
,11rml . : .l nrrll' B. Clork.
'"' · : IJ n " I Jull•·y (Hill Klugg 1 ,
éc 1!)40). l' noy lt!. ( ~ u l VI' ! •j
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1
car de I a?n . ('hurlPH
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J';, Knllllll li p f
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~ ,s. pottr del ford . t .J uck ( Ju ... , l 1 l l ' • ., '
C O !organ pa ()o~roVC C dit i(f Ù' 1Jil f l• •H Jt •:tt. •· ,J , ' ''Y' C<•rngn 11 (1 (( 'ti
li : Jack Jingemau l A d'"'' '), L >"<•lyn Vnrtl•·r•
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Eff . .~p. Rj ebard · 'J(otT. KluKIJ: I}, K •:nll y Wi!ilarnfl ( r' r
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J' •'H h LN! C)Ju, k l MuHi t·i•·11 ) 1 f }h ries "r ''J,
. h : Lucien B se l'i (a.u-. ' , (Mr Jf •: tt.l<!HJ, M••c l\hr 1 ( 1l at
Ore .. James a 1
Déc· · (hot1NII elll1 Aull l r!H), .JHl'ir J' <; nll i~·k lîcr" nt r~., ~ "
(s.d.): 1\!icbacl Meyers teur), M H·k•·y HJII IJ, .. ,,rr t 1• r•
c os t . . (fem.mf3). gnn), l!'rank l'•: r !llhiu ~ (Mil 'ir· J;. k){f"rrï.
u 'T . l •• Hlr~rv1' • H•il 0 Tt"1 •,
r t; ( ••
reck. Jack MurraYj 0 Hatswcll. .. J>on DUTIHtH:
,'i[Q11t. historique : DL. {. n~ Major l'hlhP w an Cr11runan de r () 1 , 1 : , ' 1,:1"r·
(l;t.
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lnBrÙtles) ~ Joa!lne Cohill), Ben Johnson c1ers de marJDe), Ceci! w"- ttm ffi.
Agar (U. Fhnt Harry Carey Jr. (~A. Ha r nes) , Hany '1'enbN1 r,k (.Jr* M~
(Sergeant ~yree),McLaglen (.Sgt. QuiD- chauffeur ùe taxi), ltul:lfi f~l ark -C S·~
Pennell), V~ctor d Natwick (Mrs. Ails- W ilson), George Hpaulding (.Ju•,,. T~t·
cannon), 1\~drO'Brien (Major M~c Ails- J a mes Eagle (Reporter), Harry- Stra~'
1
bard), Geor.,e Shields (Dr. 0 Laugb- (U n :::;ergent), George Magrill ((%ij
bard, Arth~r F d (Barman), Har~y ~etty _Officer) , Hank Worden (Ch;f d~>
lin), FranclB Rnders) Chief Big l orp~eon ) , John ~Ic~ee fPi lr,t;;), I..arrj
Woods c:arl Th~t Walks >>), Noble K~atmg (General G. Iteedin•o~ Dan
Tree ( « /niloo Shirt >>), Cliff Lyons R1ss (Gen. Adam~), Robert Einf:!r (Lt.
Johnson (Cliff) Tom Tyler (Quayne), Bagley), Ru ss Conway (Major l.A
g'[;~r Dug~ (Hocbbauer), Mickey White), Wh it Bissell (Lt. Handley ·
Simpson (Wagner), Fred Graham Ann Codee (Institutrice franc-aise)'
(Hench), Frank McGrath ~Le trom- Ray Hyke (M ajor Cra wford Gen~ 1
pette), Don Summer (Jenkins), F:ed Collins (Andy) , James F lavin Gen.
Libby (Col. Krumrein), Jack Pen:~nck Brevort), David McMah on (Col. .lin--
(Sgt. Major), Billy J!lnes (Courner), ley), Charles Trowbridge (Gen . Yer-
Bill Goettinger (Officier), Fred Ken- rill), Kenneth Tobey (Lt. K. Geiger ,
nedy (Badger), Rudy Bowman (Private Major Sam Harris (Un malade à l'hü-
Smith), Post Park (Officier), Ray pital), Alberto Morin, Loui Y ert'ier,
Hyke (McCartby), LeeBradley (Inter- Paul Harvey, James Wa ter .
prète), Chief Sky Eagle, Dan White. Le soldat Bill Klu.ggs est affecté t>OIItllle
Deuzième volet de la trilogie S'lW la ().(JII)a- sergent instructeu-r près de la petite rille
lerie. Un épisode de la guerre indienne.
où il est né, malgré ses supplicatÏOf&1
La dernière miuion d'un capitaine juste pour êt1·e env oyé au combat en Et~rrJpe.
avant Ba mise à la retraite. Sa victoire
Bur leB I ndien1 lui va-ut de rester dans Il réussit à pa-rtir po-ur la F raac6 40AI
ra~e en tant que chef des éclaireurs. une forteresse volante et f ()mb e parmi da
Ezténetw, tOtWnés à Monume-nt Valley. maquis01rda. Il est d'ab()rd pris po11r 1111
espioo, pui& rooonnu coJMne A.mhiraÏII.
se voit confier un film i mportaNt 111r lu
V2 alle-mands. Il repart en .!rtgletern,
f)uis auœ U.S.A.. n arrit•e enfira 00.. •
ville natale où pcrsotl"e ne ~ ~
FéiNJ'IIEN WILLIE COMES MAReil- récit jusqu'au jour où ~ l'rélûkttl iet-
mn.) F~~ME (Planqué malgré lui) (82 méme le fait chor!·h er pour l~ d~·
8cén. . Mary I
PrCJ,d. ~ Fred Kohî:ar et Richard SalP,
d après une histo· .
Phot. : Leo Tover 1re de Cy Gornberg.
fit~.·~· iu~ed s~Nien. Avril. WAGON ~L\~'l'IIJ H tl •e ('()Il' i d .
ot:.vv~U. Newman. Oroh. : Edward .- hra VM) (SH nu}.) RKO. · n
JJ~,c • : Kenny William "' Prod. : Argosy Pit'tur - }\1rd t>t llt>rl&
· • I"1le R W a. ( l. Cooper. A11oc. : ] .,.owl'll Farp-~~·
(a d ) Th · heeler Ch Frank -J:t
( •11 )' omae Lit tl B e11ter Go re Ncén. : ugt.mt t •
Oo:,· ·: Cha e, ruee McDonald Hoper Ford.
Phot. : Bert Glennon. 2nd l'nit pb ·
to~i, _' rlea l..e M
'U~&, alte, WiUam Tra- Archie Stou t.
/tJif • .,. : Jack Caft' •
44 Mu1. : Richard H ageman.
H \\'l'Hl )) 1 cc ~hndoW t-1 .runruur .Ir ('l'tt f r
011~ : << \VniOTl · ~ollg ( H 'l'hP \V ugon r·.v Cun·y. .1,. . f'r' 1~JH•r • ··rr y,,rkt) lia -
('Jiall8'l'll~ vu~t. ''•('l<l<tlc'·k l)f)JI<· r r) . 1 ,
. l Will~ fiJr· • W"lk" 1 h 1~''''"
A - \\' nllu - <:hill surr•· '•
jll (( ' 1 t' . l II! 1'1)
1\illstcl' », ' ~tan .lonl'H, c· 1:111 I'I 'H Jill' N uuw U:t·n. l'hill Hl •:'' n '.rrul
,.: •.rjllg )) dt •f j )IC l'ÎOJII'I'I'H Il.
...,.. ...: us 0 . 1 •..l H1l
MI·Lugl•·n f Hgt J(~ .' r<:rr'llln), \'wtnr
'!JC .._,O • J'"S('I' Ï (a.rf.), • ()(' Witlll~n• fl>•·put.. •rrnr·:HuotmJ, r; r n
<< 'l • Jnmt'>' ~ ... · (Cur•t ut r y :\111,.-,huiJ, l't·l~r fJr 'r z
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j)éC· • . .
(a.d.): W<'S .Tcffn<'H (/10111111 !'Il '
) AdP)('
(Onpt.
•• n • IU.:qu••<i)
i'rl'f!<'•IJtt) 'K ·'~Vù l'er,rll" 'Ill
('ost. · . (femmes). (~ur~ur•~ t. Mlli"Y),' All/';';ly~ f!rhn:•J!
l 'armentet. . D RO. llntl:lwt• ll . i~(~utenunt), ~tau ,JIHrvr ·• 1. Tt.nn (ln
· tonque ·
CotiS· l ltS k Murray .
· 11J"I~d Kl!liTHllly (Jll•ir Zl·)' r' J TI ii'••Y••u 1,
.Jtmd- : JnJ bnson ('l'ravis Blue), lltli'I'Y l'ut Wu ni• · ('t · 1 ' • ' • IH·k i'ermir·;,;
~ y ,, .J IIH~k JtrliJI' IT I Il t 'j'J '
}ut. : Ben. (sandy Owens), Jotwm•. 1 )J·u ,.,onH of thP. I'i(}nl·l·r (lt . ' • e Il.!
Cart'Y Jt \Yard Bond (.Nider \V,ggH) ,
(Denver kemper (Oncle Shiloh Ulegg),
g~>r!i) : Hugh li'arr. KKa/K'!n•·n tal in-
Pcrryman, Hhug ~~i ~b 1 Kf arr, !-lr,~fl
Charles bra (Dr. A. Locksley Hall), 'l'omm y Doss. ~r' l!n Gur tt ,
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11 t-.ère d·u M eœique La fern e a ro-n.-
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. . a m- quand elle voit
blegg), Mickey Simpson (Jesse Oleg!?), SO.I~ man. sacnfie-r sa vie familiale à l'ar-
}!'rancis Ford (Mr. Peachtr~e), Chff mee, ~Ms. elle acceptaa son sort quand
Lyons (Sheriff de C~·ystal Cit_y), Don son hls, a son tour, se sera illus tré au
Summers (Sam Jenk~ns), :iV~ov1ta Cas- combat. Extérieurs tournés près de ][ oab
tenada (Jeune navaJo), J1m Thorpe (Utah).
(Un navajo), Chuck Hayward. .
Odyssée d'une caravane de mormons gtl!&- 1951 THIS IS KOREA (50 mn )
dée par defUl! jeunes marchands de che- Film p,·oduit par. l~ US Na.vy, destiné
vauœ dans l'Utah en 1879. Rencont1·e n11.1! tr01t11es aménca~nes.
d'une troupe d.e balad-ins, des indiens Production et réalisation du Rear-Admi-
navajos et de cinq hon-la-loi qui mena- ml John Fm-à.
rent tm moment la séc·urité de la cara- Histoire de la pénétration en Corée de
vane, mais les deuœ jeunes gens sauve- la; fll_)tte américaif!'e et de la première
ront la situation. Extérieurs toumh à d~v1-s1-on des Mannes. Fi/.mé en Tru-
Pro/e88or Valley, près de Moab (Utah). colOir par des opérateurs de la L' S
Navy et US Marine Oorps, avec la
Xov. RIO GRANDE (Rio Grande) (105 collaboration de la <:;• A.mtée et de
mn.) Republic. l'US .A.ir Force.
Prod. : Ford, Merian C. Cooper, James
Kevin McGuinness pour Argosy Pictures. 1952
&én. : J.K. McGuinness d'après une
histoire de James Warner Bellah Août. WHAT PRICE GLORY (Inédit en
« Mission With No Record » ·p arue lJ""~rance) (111 mn.) Fox.
dans le « Saturday Evening Post ». P1·od. : Sol O. Siegel.
Phot. : Bert Glennon 2nà Unit phot Scén. : Phœbe et Henry Ephron, d'apr~­
Archie Stout. ' · la pièce de Maxwell Anderson et Lau·
Et/. sp. : Howard et Theodore Lydecker. renee Stallings.
J[us. : Victor Young. Pitot. : Joe McDonald. (Technicolor).
Chansms : interprétées par « The Sons Cons. pour la couleur : Leonard DtlS$.
of the Pioneel'S >> : « My Gal Is Pur- Eff. ph. sp. : Ray Kellogg.
~lte _», « Footsore Cavalry » « Yellow Mus. : Alfred Newman, orc7r. : Edward
:< ~1es S•
(par et mus. de Stan Jones),
Dale a an Antone » (par. et mus. de
B. Powell.
Chanson : « My I.JOve, My Life u de Jay
Evans), cc Cattle Cali » (de Tex Livingston et Roy Evans.
0 wens), « Erie Canal » « l'li Take Ghor. : Billy Daniel.
You Home Déc. : I.Jyle R. Wheeler, Gl'Org~ W. Da-
By the Gl Ag a~n, · K at h leen
' », « Down
vis (a.d.), Thomas Littlt•, Stuart A.
Army N en S1de », « You're In the
Déc . ow ». Reiss (s.d.). , ..,.
c~;tbFrank Hotaling (a.d.), John Mc Oost. : Charles T~ Maire, Edward .~tt·-
(a.d) Y Jr. et Charles '.rhompson venson.
(J •• Mont. : Dorothy Sptncer.
J:!t :. Adele Palmer.
lnt · · Jack Murray
/nt. : James Cagney (Capt. Flagg), ~..,o-
rinne Calvet (Charmaiue), Dan Da~lt>Y
Yo;ke{o~n Wayne" (Lt. Col. Kirby (Sgt. Quirt), William . Dt>mar st (\or-
poral Kiper) Craig lhll (IJt. klrt' ~).
Ben iobn:ree(Tn O'Hara (Mrs. Yorke), Robert Wagner (I..ewisohn), llari.''l
n rooper 'l'yree), Claudt>

5
<' 1 ~t>Y Adunl l'
. ·ole [louc•hurdl'•Jt>,:~o;• (< ;,.,, .
)'an\ll (Nt~) .IUIIH'H • (l ,ipin HI<.\'1,
J\Ioorc• • . \ 'c•rnnn ) Jc'ro•d
(Lt. \Vnll.l , , 1111 c· l't' 1,. • l
•'okch), cl·tl (< og Jiykc• (11111
'-' ' l ,e!Oll ' . ) Jt11 l' J Ï
1~eurY ~ch•nrHlt • ·) JuJ!li'H •1
1 1'hbY (lA. 'rc''x ({;owd.V' '. MoJ·gnll
' · paul .._1. 1) !lc'IIIY 1
cnh.r), ' 1 ·ruuc :;oldll ,', (Giil){'rl), Jill
hnrn (Lj JDnn Horzngc. « Dou1lwr >>
(~Iorgan(ÜoJscn), Hcn[Y lu eonl png•••l')'
HenrY . (Uuisinicr 1 c ) \nn ( 'od<'c'
K ulkOYJCh . k (J!\•L'!-fl\SOII ' " (f' (.'UII
.Jack l' e ) Stunlc•y J 0 1~nson
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( Heligieusc'l,' 'l'••ler (UiliJWll)0 J'arrv
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~!ga • (Prêtre), Ltus ' •r (Le i)lai- solf.'il brille fJOilr tcJut. J,. rntHHieJ ( l(l(J m ~
:\orton 1•) 'l'orl>en Mej e 1 alle- / ltepuùlic. n.J
crraud one c 'z . Ier (J,c colone .
• 'f1·ed
"re), .-u e1sBru a<Tt•man (Le }Jeu tc- f' rod. : A r gosy Pic:t u 1'1!1!- f'r>rd "t . Ierian
maud), George ' ' tt
FOl·l>es (Lt. B.en- ('. ('oover pour ller br;.- t .J . Y:-nes
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Charles E .~~ M~rcier (Boucha r~)' ~he­ From ::\lassac », The Lord l'rr,vide •
barn)' Lou vs l ~Ir) l'eter Ortiz, raul <'t << The Sun ~bines Bright ».
k<'Y .Simpson (. · · ' l'hot. : Archie Stout.
(;nilfoyle. . de lralsh (192G). Av~n· Jf11s. : Yictor Young.
Remake du. ~~J~n a·u,~ capitaine et d lW Déc. : Frank HotalinQ: (a.d.J, .Tol.n Mf'
turcs coca,dd~,cs t nt tille fille dans rm Cartby et George ::\filo (s.d.).
sergent se rspu a 4 18 Oost. : Adele Palmer.
rillaoe de Fra,~ce pendant 1 - .
Mont. : Jack Murray.
lnt. : Charles Winninger (.Juge William
Pittman Priest), Arleen Whelan {Lue,
Lee Lake), John Ru ~ sell CA;:hbv Cor-
"', t
,.,tp.
THE QUIET R:U.AX bi' (L'homme tran- win), Stepin' Fetéit (Jeff Poindt>x-
quillel (1::?9 mn ..l :\epu lC. . ter), Russell Simpson (Dr. Lewt Lakt>l,
J'rod. : .Ar·gosy Pictures - Ford et :\Ienau Ludwig Stossel (Herman Felsbn~).
C. Cooper. . Francis Ford (Feeney), Paul Burst
Sd11.: Frank S. Xugent, d'aprè · le sena 1 (Sgt. Jimmy Bagby), ~Iitchell Lewi
de llaurice 'Yal ·b. (Andy Redcliffe), Grant Wither~ t Buek
l'hot. : Winton C. llO<:h (Tecl111icolorL Ramsey), l\lilburn Stone (Horace K.
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Co11x. rumr la cau/. : Franci~ Cugat. l\Iaydew), Dorothy Jordan (li ère de
.liu&. : Yit:tor Young, d',lprès des thè- Lucy), Elzie Emanuel CC.~. Grant
me:, JIOJJulaires irlaudu is. Woodford), Henry O'Xeill (Jody Ha-
flt<c. : Frank Hotu ling (a.d.), .John Me bersbam), Slim Pickens (Stt>rlin~).
t'artb Jr et Charlt>s Thompson (s.d.). James Kirkwood (Gen. Fairfieldl, Yae
('ost. : Adele PülmE'r. ~Iarsh (Yieille dame au bal). Jane
Mo11t. : Jack l\Iunay Danvell (Amora Ratchitt). Ern >t
/nt. : John .\\'ayn<;. (~l'Hl! 'l'horutou), Whitman (Oncle Plensant Woodford),
~laun•c•n 0 llara C~lat·,,· Kt\tp Danu- Trevor Bardette (Rufe, chef de~ 1yn-
ht•l·). Bat·!')· f'itz;.!'t'rald (:\lit•haeleeu rheurs). IInl Bay lor tSou fils), El'e
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~t· F!.rnu), .~\'at·d Boud (Fatlwr Pet<'r :unreh (~!allie Cramp). C'l:Ht'n >t> Mu
hJOner.,an}, \~Nor Mc.·I.a~leu (Ht>d Will (On<' lE' Zarh). ,Taek Pt'tmkk (Beakpr),
ra~u~~:>. :\Itldret} Xatwi 1·k (:\!rl'<. ~a- Ken "ïliam:-;, Patril'k Wayue. _
'1'obJU)
1. l ilia nt>)' f'ne petite rille du Kt'nfu{·ky en 1900.
F'l ,f rnneis· Ford (D au
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Cni! P'- ·f·. ur .Sh1eldl! (Reverend li OÏl' 'ÏIIju.~fCIIII'IIf IH'CU, f cie nol.
(F•orbe:;),us~Sean
lilr) t'harle, 'L.,. ..:-·
iieCl s ~ ltz.,trnmùus .Tudge Prit•st, 19.14, orl 1'011 ~ tro r
Jam(>.; IJiiburu. (P ~ry {Owen Glynu)' même. prraon,.agr..)
.fc-Gowran (F t't'lit'\')at 1er
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\V n T.ewl p' ~r1c Gormnu C'auutt.
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46 Pitot. : Robe-rt. Surt t
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·'
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dt'cidtC~ ·111 E.rtét-ieurs toun~és en ..a.. n- dolph Ilt:mz), Mtlburn Hl•"'" (C ":q 1t.
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qur. .f)atr.~
(
lfHI3) de l'ince" te M mne
· ll'
. J, .o'' (1\Lt·s., Kochler), WaitPJ' D. Ehl••r~; 1~1 i-
.l<'H_tht>t ( • Tl' tme séquence àe cc /-tlm ~<e Shannon), . Don . Hun·ln;y (~Iajot·
r·otf à la. ll )
arec (}able ct Ke 11 . rhomas), .l\1artm Mtlner (.lun O'Car·
berry), Chu<:k CourtnPy (WhitA•y Lur-
( ' 11 Il Jlill' f 01
·s llttribué à l!"ortl une !;tqwr- son), Willis Bouchey (DodPUI'), .Jntk
••
1'1~1011 911
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toise).
]!1:14 Biograph·ie .~entimelltale dtt ~rrgcnt Jfnr·
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l'rot/. : Robert Fellows.
Scéll. : James Edward Grant, d'apr·ès un
.Tuilh•t. l\1ISTI~lt ROBIM~'rR tl'l'nuis,;iou
roman de Louis 1/Amour. . jusqu'à l'aube) (12a mu.) WB.
J'hot. : Hobert Burks, At'<'hte Stout M 'Ï.~e en. scène : Ford puis i\lt••·,·yn Lt>
(ll'orllercolor- 3D). Ho y.
f}ff. sp. : Alfonso Gonzalez. l'rod. : Lelnnd Huyward.
Jlus. : l<Jmil ~ewmau et Hugo ]'ried- N(·rn. : Frank Nugcnt et .Jo~hmt I.o;.:nu.
i.Jofer. <l'nprès la piè<·e rlP Thomas llt'J.!t:t'll l't
Déc. : Alfl't'd Ybarra (a.d.). J. Logan, bast-e sur lt• t·omnu dt• 'l'lin-
Uo11t. : Uarl Walker.
nuls lleg-gen.
.!lor~t. : Halph Dawson.
l'hot. : \Vinton (~. lloeh (Oillflll<lllf'OJlC •
('ons. techn. : .Maj. Philip Kiefl'<'r. W antercolor).
/nt. : .lohu W~tyue (IIonclo LurH•), <:f'l'ltl- Mu.... compo.~fc d dirig, ;c pur Fr:tn:!
dint• l'a~" (Angie Lowl'), \\'ani Bond Wuxman.
(Buffalo), )li<:bael l'utt~ (Vittorio), Orel!. : I..t>ouid Rua b.
.JanH'Iil Anu•ss (Lt>nuie), Hodolfo Acos- Oéc. : Art Lot•l (u.d.) t•t \\ïlli:tn• 1..
tu (Silva), IA'O ( hn·don (l•jd Low('), Klll•hl (ul.).
Tom Irish (Lt. )liH:Kuy), Let• Auk••r eost. : Moss 1\labry.
(.Johnny), Paul J<'ix ()taj. Cht>rry),
Mont. : .Tn(•k 1\lun:ay. , , .· ..
Huyford Hnr·Iu•s (l'1•!t•), Ji'n•d Krorw, Cons. tcchta. : Anurnl .Tohn l>ah 1 .. ~~ ',
('hu<'k llunnu·d, l<'l'llnk )Id hu th, Cliff (USN. (Het.) et CmnmiiiHinnt )lt 1 lt
L,·ons
Le. ~·rép~sc:ulc de la nation apad1r. f/u
MacBain (llSN). . , ·)
. Ilc•ur Fonda (1\hsh•r Htl 1llrt:- •
méta~ amoureuJJ à'u11e fermière b/cwf'/16 In t. . y (r t' ('a pit ai Ill'). .htt•k
~3 ~'6 ~ rér<nu:ilier Blaucs et /ndil'tt/1. .T anu.-s Cugn<'Y . '
Lmumon (l<~n:-;t•I;..:nlt:
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!lau) Willhtm IludMon (Oison!\ ~tuhl.k
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N:rd. IUgH , ) lllll'l'\' lt•HhrOtl
Phot .t ..'-eeder Campion. Kruget• (~khlt•mnwr ' j p h·i"'lll'"~l,
• T~~~~rlee Lawton Jr. . ) p 1·•·n• Lopt•z ' ' 111 ~
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iudig-èuc) .d fe PacifiqiiC clt.II'.011i J/~ ( :rct•uhill), l:kuluh "' l'l·hnl•·tta (1
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bal~ , 1a.~
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b f Il 'fe sera, gra' ce atHr
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ward, Slim II ightow•:r, F red
;, triyues de l éqc~~P capitaine. l:!Ja; t éri e rtnJ Frank M cGratb , Uhur·k H.<1h,.
contre la . r~lontécar o /.;/::JS Jietcclj dcu_t.s van Sickle, H en ry \Vil!. , Terry
101tl'll é.~ suz ~~~ i?
1/idway ct aull! en tt ·
(stunt men), Away Luna, Billy
la dni~" de_ '· ' c \{. • Le No y repnmd le Bab J\Iany Mul es, E xactly Sonn
rons d Hou a~t de la brotlille surrczllt e suie, Fea th er Hat .J r ., Harry
ji/ut ù la sut c Ilorse, Jack Tin Horn, ::\lany
rlllrc Pord et Foud<l. Son, Pe~·cy S_hooting Star, Pete
.illyes, P1pe Lme Begishe, Smile
. l' OL' 'l'Ill•' l']•' \.H (Lil rrn>Jat ion Sheep (Les Comanches).
JWOKJ '• " - .. Du1·ant plusieurs années un soldat
!),• J'année (::!li mn.) • · s
Film ùe T.Y. tourné pour la sene ct·r<:•n Ethan Edwards et son ami Marti"
J)in't tors· Playbouse. • . ley pout·suivent une bande de voma~INiilll
lr~t. : .John Wayne (::\Iikc), ,\ era ::\IIl;s qui a massacré leur famille et
(ltose (;oodhue) , Pat \\ a y ne ( L.) n deuœ filles. La plus âgée est morle
Goot!hue ) , Ward Bond (Larry Good- tre est finalement ·r etrouvée, ma;;
buef lluck (;arri"on), Jam.es Gleason est devenue 1~ne véritable 1
(J::rll, Willi:- Bouchey (Redacteur en Eth an veut la tuer, mais il y
r·hef). quand U se retro-u1:e face à face
Il i&foire de bu J<c-bn ll. Un reporter refuse il la ra-mène dans une famille
de publier tm papitr sensatimwel concer- a mis et s'en va seul. E:xtérieura
"a"t tm norneau champion : son père, a1~ Colorado et à Monument l'ailey
un t·:r-champioll, a rait jadis touché un zona).
pot-de-t·in. En fait, tout le monde était
au courant, mail sc tr1ixait, sporiicement .
1957
Fé''· Tlli!J WINGS OF l<JA.GLES (L
vole an soleil) (110 mn.) :\IG:Y.
,,/"" Pt·od. : Charles Schnt'e. l'rod. a.tHC.
)lui. 'l'liE 1-'E.\.HCIIEHl" 1Lu l'l'isouuit•l'<' .James llJ. Newcom.
du dtl-~ 1·t) (llH mn.) WB. Scén . : l!.,rank Fenton et William
l'rud. : ('.\'. Whitney llniut>s, d'après ln Yie rt h•s rki
l'rad. eJ·éc. : M .." r·Jau' (,J ('JO(!)H'I', )JI'Od, Udt. Frank W. Weade (1'8~ Ret.).
. amxii : l'll.tri~k .l!'orù .. J>hot. : Paul C. Vog-cl (.lfetrocolor) •
• ct u. : ~ t·auk .:-;. _. •ugeut, d'alu·èt~ le ro- Cons. pour la coul. : Charles K.
wan d Alan 1;e May don.
Pl1ot • \\'' ,, · Nff ..<tp, : A. Arnold Gillespie
Alfr. lRton "' · lloeh, :!.t~d Ut~it phot .
,, l ed hllks (1'eclln&color l''llt . · . .). N f'W<'om be.
"'0 lW COll li - Ja (.' ' 1 U 1:18101l , Stunt phot. : Paul l\Iantz.
Pif · · Dlf.'M ,ooch
Ât • ap. : t.eorge Brown · !Mc. : William A. Horuiug et
ë'~~r.l\Iax St~>inPr. (Jrr•h. : :\lurruy Brown (a.d.), }l]{lwin B.
Chan 1 on • Th Keog-b Gll:'ason (.!.d.).
n Jones. . u e Hearchers )) de Stan rost. : Walter Plunkett.
Mus. : Jeff Alexander.
éc. : Frank Botali Mont. : Ot'ne Ruggit>ro.
(a.d.), Victor 0 Ï-g, Jnm••s Ba~o;t'\'Ï
Coat. : Frank Bange ln (a.d.) Cous. tt·clln. : Amiral John Dale
M!:_~k,<temtKU), eetaou (h&mmea), Anu (U~.N Uet.) et Dr. John K
/,t_ : .John \Vavne (~'rank W.
l•t. ·: · J!h<'k Murray, Wea.d), MaÙreen O'Hara
n Wayne (Ethan Wead), Dan Dailey (Car&OD),
Edwal'<l:i),
Bond (John Dotlge), n Cu
48
. J<}drnuucl J,o wn (Ami rn l r;,, 1. : .litnrn y J:r,u r kf•
n le pnce), 'b 'J'o he-y (II Pr l w r· f ~ffJII/ , : 1\lir; J.u<•J r;l)ftJ;rl
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d~ ser;Icec'arson), Bill llenry (N a va l ' J' 1 "'" . '
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Aid~bÔt l) Mimi Gibson (LJla W ead), ( ('h
1 1' f rl e gaJ'I· ·), P tJrJ! 'Farrr·Jl
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(f 'hrmf-
de 1 eR~die (Doris Wead), Charles !~ ur)' ,J.(). . l>,f:vlin r r; ard~j' .\T,r h ~v·i
~:~:ridge (Amiral Crown), 1\Iae J ru b~ha we F r rJbinhf>r),
((.1ol. Ani a
M h (:Miss Crumley), Janet Lake S harp Bol ~te r (~ rs. F rr,bishr:r) . .\ f a u -
tr!rsjeune infirmièr.e), Fred Grahan~ r een Potter (Barmaid) H ar<Jlr! ( 'rlrJ-
(U0 officier - Un slJilple soldat, dans b!att (Père qui veut ~aJ'Î ç.r ;,; rm 8 , fll
la bagarre à l'hôtel), Stuart Holmes (Toclfrey _Qu igley Œon fi 1s, (~h ri"ty ) ,
(Un producteur à la . preview~, Olive l\~~Y Cra1g (Tante qui veut rn a ri<:r >;a.
Carey (Bridy O ' Faol!lm~, 1\;{aJor Sam Dlece), Maureen O'Conn ell (Sa nièl::<·,
Harris (Un malade a l bôr)ltal), May May Ann McMahon) , :Micha~l O'f->ufh;
M:cEvoy (Infirmière), William Paul (Le chanteur), Ann D alton ( F ,.mm<: ,J,.
Lowery (Welld Jr. « Commodore )) ) , pêcheur).
('buck Roberson (Un officier), Cliff l II. 1921, d'après la pièce de L a rh Gro.zfJrv
Lyons, Veda Ann Borg, Chris tophe r <r The Rising Of The Moon » . • · •
James. D ennis O'Dea (Sgt. de police), Eileen
Biographie de Fr·ank W. << Spig l) Wead, Crowe (Sa femme), ~1a urir e r~ ooo
pion11ier de l'aérona·vale, qui, après un (P.C. O'Grady), Frank La,.,·ton n i a -
gra re accident qui le lai& sa pMtiellement jor), Edward Lexy (R.Q.~I.S. ). Dona!
paral];sé, devint écri vain et scénariste à Don nelly (Sean Cu rran ) , .J o ~Pph O'D"n
11uccès. Il t·ep-rend durant la deuxième (Garrlien chef), Dennis BrPnnan . Daù<l
nuerre mon.diale du ser1:ice comme coro- Marlowe (Officiers an rdai~ ), D<JrePn
lle-iller tacticien. Madden, Maureen Cu >'ack (l..A>>' f:tll""""'
Frank W. Wead fut le s c énari.~te de nom- religieuses), Maureen D e la n ~· tT ne
breu..c films de guerre, surtout de film& vieille femme), et la trou pP <i e L \ hhey
d'ariation, entre autres : Dirigible de Theatre.
Frank Capra (1931), Ceiling Zem de T1·ois sketches aya-nt pour cad re l' Trlrprdc.
Hmrard lfau;ks (1936), et deum films de 1) T.In policim· 1·end t·isit e à 11rr jermier
Ford : Air ~!ail (1932) et They W f'T'f' n iualcitrant.
Expendable (1945). Dan11 Win g-s Of 2) TJan.~ 11ne petite grue, Un f ((!ÎII Q Ui
paglefl, Ward Rond jo11e le t·6le d e .f!'ol'd rloit s'n1·rête r une minute n e rr p ar f im
wus !e no-m de .John IJodrJe). Non burcrw fJ'tt'au, lwnt de deuœ heure.q,
e~t decor,é d'~;ceuoires de 1/'P.~ tern et de 3) TJewv jeu,ne.• A mùirnin c.~ d' nrir:inc
~ ofos d anc~ennes 1;edette11 rle films de idandlLi,qe font s'él'adn 1111 .~iiiH- .friH!~r .
Pord .: ,_HtJrrv f!Jarev, Ruck .Jones, etc. lors de ln 1·érolte de 1!)21.
~ at 1r.-t;Uf's, dans la séquence où Wead
0

all~tllte
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d' 10!'JR
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rlrt ("JP!) de Oeorr;e Nov. 'l'III<~ LAST IH 'HH .\11 tLa dpnti.:... ,.
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R~er;~ .J.,~)' arec Olark (} rlf,f,p et IT fllla.c e fanfarP) (121 mn.) C'ol.
. / 1'1'0d . : Ford.
8rrn. : F'rank Nmwnt, tl'upri'-..: ]p rom an
clP J•~dwin O'Oonnor.
/'hof. : Chal'lrs Lnwton .Ir. .. .
{)fr·. : RohPrt P('tNson (a.d.). \\ tl h aur
Kil'rnan (s.d.).
Mont. : .Ta<'k 1\furl'ay. , .
{ 11 f.: ~": 1 wu<•f'r 'l'rll<'Y (Ti't·ank Skt~fhn ~h,ul .
Jpffrpy Ilunt.et· (Adam ( at!lfit>l ll .
i>innn'(' F'ofl tPI' (;\faf'\'f' Cnttltit>ltl). Pat
O'Rril'n (.Johu f:ot·mnn), Ha~ il H ~t! h ­
honf> (Norman ('ft~s ~r.). Ponal tl C r1 s1•
l Le Cat·diunl) • •Jauws ( .lt•a ·on (<' ukt•
r•·lli J, ll mwl llrl.'lltr•l!y (,J:"inn~>y),
(Ditto Ho r())rn Jtnn.M<HI ll.ortnJ•· (,H)<•m•) 1av
wnrrl Hroph.v H JrorC'd •
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VI '.V (Mr'i. K trby).' }rrnnr•tJII c:rr. •rlr
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WilliR Bo(trJI~j~(oquc Gnrcl~v:~~incc Jl'ord (Jj' jf~huh •·r·f,J, l >nvHI Aylm•·r, J; ian
Ruysdne~nlll 'Veiuberg),) Ft·nnk Mc S mith I S1·'~ fl l·<,)ytJ·M~,.D••r•:k 1~<ml (l)p
Cortez ( J Jl<'nnef!R('Y • AnJtll L<'<' tN·ti v•· Hr•r'I{NHtf. J•,t•r•: ~trby), Frank
(Charles F 't 1 Gnrvry) • (I>«'Iin Luwton ( Dt•t.. Hgt.. Lt~>'••tt), . l il~
Dnrw<' 11
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( est" ' M~tlh:wm (f ,,: .~u g<· J , Mi•·hn•·l ·r r htc.-
Hu!l'h l\I'nihan)' June ( 1udc 1\f nn -
(Gert ) !"'rank AJhcr~son ~·u (K•·vin hn we ( 1-{gt. Or,ltgh t.l y), Harry !{,. , !;Brr
'D
pOY)
Jan , "
Charles F'tzSunntOt
1
·
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Young ( r. M (fti1 1:y , 1•· r·}wuff<•i t rJ, . f nurl'"fl f•,, r
Jl'IW ' ) Carleton 1· r J)p- (Jijf ltf!l Hpn.nr~w), I 'rJrN•u Marlrl r•n
1\fcCluskCY • ~ ~·ceni'V (.To tnn} (JI'il]l' rlu VJI'fiJ N• J 1 JJ r• n ry IAm~.;hur t
'Yiul'low), B~ J~we (.JohnJ?Y Byrf~e)~ (rtl' v. Mr. ( ;(J\ll' f.n<:y), Cha rl •·s . Ta un-
nrut), EdmU . (Dnn Herhhy), \.~ Hdl (WulkP.r), Httw rt ~SJun rl r:rl! ( T•r,Ji-
~nlliam Lesh~ neur Kicrnnn) • O. ': <'Prnan à ChanN·r y La n r•J , I> r:rviH \Va rd
Curtis (MonseJg an Cass Jr.), Arthut
(~immo) 1 MiehaP.l Hhr:r1 lt.!y (Hir I~ uru·rt
Whitehead (1~or~effington Jr.)' FRiel~~ Brllamy), ,J l)an In g ram ( Lll.r!y R<>lJa.
Walsh (Fran McCluskey), u
Westcott (Mrs. D · ) Mimi Doyle my), Nigel Fitzw~r·a lrl ( I n Hp. r:am.. rrm ) .
Warr~n (Ellen D~~m Éorzage (Pete) • Robert Raglan (Dawson) , .fr1hn \\'ar-
(Manne Bu~ns) (Police Captain)' Wil- wir.k (Jnsp. Gillir·k), .John LP . J~su rir:or
.T!UDes Flavm octor), Frank Sully (Avocat de l'accu Hationj , J'l':t<:r r;rJd-
liam Forrest (D . s) Charlie Sul- sell.
(Capitaine des ~oonJ:Ï~~h Clifford (Nu:- Vingt-quatre heures de la 1:ie d' ,n in~­
Jivan (Chau:eur. 'k (Un policier)' Rr- pecteur de. Scotlf!-nd Ya.,·d et dP 3'l fa-
se), J~k encD~recteur du Plymouth mille. Trms affavres : un colle!}ue mal-
ga~~ H~~~; Tenbrook (Un serve~), honnête, un sadique assassin. un Cllm·
Ev~ ifarch, Bill Henry, James a- b1·iolage. Sa fille trouve l'omo,r, lui .'la-
gne deux contraventions délin·ées par 8on
La.tersdernière campagne élec~ara le. à' u n fut1tr gendre, un jeune bobby.
.
neur -a;re
"~ •
dan8 une petite vtlle •rlOtndo-
américaine. KOREA (30 mn.).
Prod. et mise en scène : Rear-Arùniral
John Ford.
lfl:i9
Co-prod. : Captain George O'Brien 'CS'X
Ret., que l'on voit également dans le
Fk GIDEOX'S DAY (Tourné en Grande- film.
Bretaj:!'ne, aux USA : GIDEON OF Film en C01J,le·u rs, produit pour le Dépar-
RCOTLAND YARD) (Inspecteur de ser-
''il'e) (91 mn.) Columbia. tement de la Défense, destiné à ren.&ei-
Prod. : :Michael Killanin, prod. associé Utzer le pe-rsonnel américain serrant t'tl
Wingate Smith. Cm·ée sut· l'histoi.1·e, la culture et le8 rav-
Srén. : T.E.B. Clarke, d'après « Gideon's tumes du pays. Extérieurs tourné& dau
Da)' » de J.J. Marrie (Pseudonyme de la région de S éouZ.
.John Creasey).
l'hot. : Fredrick A. Young (1'echnicolor). Juillet. THE HORSE SOLDIERS (U.S
.Vu&. : Dougla~ Gamley, interprétée par cavaliers) (119 mn.) UA .
le Rinfonia of London sous la dir. de . / Prod. : Walter Miriscb, John Lee Mahin
~fuir ~fathieson.
fUr. : Kt-n Adam (a.d.). et Martin Rackin. •
('ollt. : Jack Dalmayne. Scrn. : .J.L. Mahin et M. Rackin. d'apres
Maquette& : Peter Dukelow. le roman de Harold Sinelair.
·'[ollt, : Raymond Poulton. Phot. : William H. Clot hier (De Duel.
1 rod. 8Upert?. : Bill Kuly. 11/f. sp. : Auggie Lohman.
l~t .. : Jaek Hawkins (InRp. George .lf"·'· : DnYid Buttolph.
f'hrmso11 : « I Left ~[;> J.on• )) dt• ._tan
C:uif'Ou) • . Anna Lee (1\lrs. Ka te Gi-
I!P(tn), lhnnne Foster (Jonnnn Dt-la- Jones.
tt!~)' Anna Masst-y (Sally Gideon) Dér. : li,r·nnk Ilotalin~ (a.d.), Yirtor
('
11
r)w Ra.y (P.C. Simon Farnnby'- Onu~<'lin (s.d.). )
,ji:~~ 's Cynl Cusack (Herbert << Bi~­ Co.~t. : Frauk RN•tson (homme• • • 0 0
l'P<"k (femmr.~).
~<on) Ho~:fJoH), .James Hayter (l\Ia-
Ho~ard M . oward (Paul Delafield) .llo-nt. : Jnck 1\Iurray. ( )
Poliee) T arron-crawford (Chef de ~~ /nt. : .John Wa~·ue (('o~ .•Tohn l ~r1 :0 •
•~ ayer),' John-aurl'nep
T d Naiam'th
(P r (A rt h ur William Iloldt>n (MnJ. Hank ~ln ter)•
C'onstance Towers (Hauuah u~b&Oil
Duke ll) J JO er onsford, « The
Julian S~aiit~~ 'Ya~lin~ (ReverPnd Althea Gib:-;on (Lukey), Uoo~
(Rrown), Anna l..t>t> ()(rs. .u _:
c;:mu
Saparelli) II~ . arJoru~ Rhodes (MrR. 8
' rmtone Bell (Dolly Sapa- Rusl'lt>ll Simpson (~ht>ri!f CaptaalnTIYSIII•
ry Ooodboy), Stan Joues (Gen.
50
C'nrlt•fon \' onn~~ (C'ol , l • , ~ a N ' JVnlt, h f,.lf,. WIJJwm~<1 ( "'
Ur~;'.'H,·
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sirliP:-:on Itn:-<il Hllp·duf:' (('dl ' f l ' If ' " ~ (Ill JI t' lo i'. J 9 H flll , f· 1• ~
' rtlJ111l M! 1 J\ii1Hni 1·t' dl' .lt•ftt•rHoll), (l w •' " 1. i<r t lr
rl10111j'ANHJc'nur (<' 11 l'Il i 1 St•!·or·d), '" ''"
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(Sgf. MnJOI'S~I:~ÙJr; Murlin (Virgil),
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J::Iank. rrli'-'tr), .J nclc Pl'tllll<"lt ( ,-,g t. 'l ' lil i~ ( ~( '1 /l ' r•:u 1 ,• r•'·".. 'l h , • H'l 1,1 • ,· ( .. 2 mr..)
(Officirt· ~ 0 h jl) Jt"rPrl c;rnhnnt (l in
(r,~ mn.)
1\{ll.ior M~:t~) · 'cimf'lc llnywnt·d (<'n
!c~O!clat nor ;.rli~tc:) 0hnrle:-< HPPl (Hat· /l'iftn d" '!'V. NrJi~rlflt• tlr· [,.• •/. • , ,,
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· d er·n'è re >"r;f:n. : 'l'rm.v Paul~n.
[n /at es crmfédérées en a1'1·il 1803. BrMé Phot. : Bcmjamin N. Kline:..
M11,.~. : Ht~n.ley WilH<JIJ. 'J Mrn•· print·ipnl
les 1-f,;,ploif hi.,torique du Colonel Ben-
·~11r · Grierson qui, sttr li!.~ ordres d1t de ln f.\erH! : .JeNJme :\frJrrr1l! .
r;é 11 éral Grant qu•. ~88~'é ,qeat't v·1-c k s b
Jfl,mtn
.u:u. Déc. :Martin Obzina (IJ•• d.), Jta.Jph SylrJt!
(s.d.).
fit un raid d~ 800. ktlomètr~s en f>OUtsw-
au cœur des ltgnes sudMte.~ pour dé- Oost. : Vincent Df'~>
;:~ire Newto-n Station, t?rincipal centre Mont. : Mar~ton -Fay, JJavirl ()'('rmntll.
1 nt; : \Va !'rl Boml (-:\f aj. H•~ th A tl: rn J.
de rr11·itnillement de Vteksbttrg. E.1Jté-
rieur~ tou-rnés sur les lieuœ mêmes, en
Carleton Young (Coltr~r Cravr•n), frank
Louüia11e et au Mississipi. :Mr·Gn'lth (Chuek Woo~t~'r) T~'rrv W il -
"on (Bill Hawks), .fr1b~ Ca~radin<>
<Park), Chur:k Hnywar1l, KPn (' u r j~
ŒeR filR), Anna Lee (AliN• Cnn·r·nl.
Cliff L:vonfl (Weat.herhy), John WaynP
~Ini. RJ~IWF-A~"T
RTJTLJ<JDGE Œn G.B.: (f;r>n. Shr>rrman), Pau] Rirr·h IGJyr: ·I'S
THE TRIAL OF SERGEA:.\"'1' H.O'l'- Simrmon Grant), \V ill ir-; P,r,IH·h·v 1::-:rm
/ LEDGEJ (Le Sergent Xoir) (] 11 mn.) hf':ltJ-père), -:\Tae -:\fa1·~h 1.••11•·- n. ;.,.
WB. m?!rP ·l , .Tar·k Pennir·k (Tirn \{:,) l n v \.
PrfJd. : Willü~ GoJdheck Pt Patr·ick Ford. Hank WordPn (TJankJ, J!a··rv T n-
A .John Ford Production. hrnok (Son ami), Chnl'k H.1JlWr!Wn,
f!r:én. :
Gold~k.
.James Warner Rdlah et ''r· Df'nnis fiush, Beulah Blazf'. Lr.r1 f'h:t·
nf'y Jr.
Phot. : Bert Glennon {'J'er;hnir;olor). fln méder;in alcrJ(JliquP n'n fll/111 r·rmfirmrr
Mus. : Howard .Jackson. en l11i-m~me et n'olle faire ur1r ,,,,,:rntinn .
C:hanB?n : 11 Captain Buffalo JJ d~ ::\fack Il est régénéré par le .lfr1jor Adarna
Dav1d r:t .Jeny Livingston. (hérQI! de la sfrie \Vw•on 'frni111 oui lui
DPo .. : üldie Imazu (a.d.) ~t Frank 'J. ro,r;onte l' hi.~toirl! tl' r; f •IH''·• ,C:.:im " ·' " "
('
M1ller (s.d)
.. 0 rnn t, offir~ier rJ.lnoolique et dl-rh 11. rt•dP-
îtt. : Marjr,rie Best. 1H~nu à foree rle CIYUrflqe 11" !fr"lltul [li'tié-
· fJnt. : .Jack Murray. ral, puilf pré11i<lent delt Ji:l"'·'-""i". flnu11
/nt.• : .}Pffr~>v
· ·• Hunter (ft , .. '1' r1tr1 (' :trlt l'Pli 1 ce filmt on 1Joit pl"n rif' ltr dl'llrrutc
1111
(-'HH;tanr·p 'fow~r:.: (,.,fary H<•f·r·h'"'l.' de ln ri1·ith·l! dt> \\' n von '1 a · rrr (1 {):".Il\ .
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Y Strode <Sgt. Rraxtr,n T'llt- Au, (fnnérique, .[rJhn lVIIJIIIr. f'lrl mr,tirm -
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1 Ie Rllrke O!rf.'. CMrl1·lia nf-. parmi le11 artr'11rll rlP 11r. 'Mill 1Jirm, 30U
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.. ate), .TuanrJ Hernt:~nd(•Z (C.',f 'J"t- li! nrnn tir· Jfi,.hrJP/ ,,,,.,.;11 (ltu/1 1 uti tl n m
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((~ar;t StK 'J~<gatf:J, Carlr·tr"• Y(J11ng
Mulq~r.:r;at~'·'·k), Jurlwm Pratt (f.t.
WaJt"r--I•)' ,,JI HPnry <CarJt. D\\"i't·rJ Till·: .'\ 1 .\ \f() f.\ ltiiJlf'' 1 l~lfl 111n. l'A.
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FrN) Lihby (CIHwrJI,~r
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lnr. Y...c:-Jm R~Pc·her 1, ('ha rlt•H ~~.,.) tJf/tl rn·~l ' lf() fJJI 81'ri,.t, 1/L llC !<'red Gra ·
Qlli fait.rJr::l' .Tar·k f'~>nnir·k (~l·r~f'ftf hrun, fihitl Hïlls. Ken ('urtiB, Oil /' r-
Cl...artdo)
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y· prod. nnf.]ll<'. ( ' ro w r• ( ~ .rl. ) M.
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Clothirr ('l'odrl A 0 .
( ' o x l . : P' runk B •· ,.l w w .
1!1111! . : .Jur·k ,VJ u r ruy.
l'hot. : "tlluun . !11! . : .Jurrlf'<\ H tr•wnrt. (f !uthd,. !t (' t
'l'crh 11 icolor·). ..
!Jff. ·'fi· : Lre _zn~·1t.z .. Hhirlf'y .fon•·.,. <Mn ..t.y l' ur ,·••lÎJ ~~ If'~
. Dimitn TIOmklD. ( H.ir·hard Wirlrn11rk (J ,t. ,firu' (' ,ru
1ft! S. . • P· l }!'t'llll<'ÎS "'pbsf ('!' prtro- · t 1 (1~'' 1 en Il l1i! 1a . r:ul riBga 1 •nry1
( )' !'J!Lil A d'
( ' haiiSOII,, · .lll
Tel) ( d ) Yi ct oe A.
Df'vine (H'~t. IJ ariHR 1•. , ,:Jimrr 1
nec. ~ Alfred Ybarrn a. . , J'oHf'y), .John .Mr; Inti re <M a jt)r }'ra- _.
(inn!!'diu (1.d.). J'aul Birch (F.:dward P ur t:ell) \~~li!•
rosf. : Fl'l!llk B<:tROil.
lfonf. : Stuai·t GI_Imore. J 1 Prnnick,
Bouchey (Harry .J. Wri ngl<>J ,'
Brandon (Quanab Park er) Barr}· C
IJ:O;;
Supari,,ion tccltruqllc • ac { rey Jr. (Ortho Cleg~J, 'K•·n ('urt
F Rretson. . C 1 tt) , (Greely Clegg), Olive Ca;ey lAbbJ
/nf.; .Tohn n·aync (Col. Davld l'OC{~· Fr·azer), Chet Douglas (Ward Corbey)
Ri<'harrl \\ïdmark (Col. ,Tnmcs llo'' JP), Annelle Hayes (Belle Arll;{IJn D~vid
r. 11 nrrnre Hllnï''.Y (Col. 'William Barret Kent (Running Wolf), Anna L~.. fMM!
Tra 1·i. ), Ri<'h:u·rl Boone (Grn .. RHm :\Ialaprop), .Jeanette Xolan (!\Ir 11 • y~
llou~ton). Frankie Avalon (Sn'ntty),
Candle~s), John Qualen (01<> Knudse~)
l'a trick \\':tynr (C11pt. .Tnmes Bn tl er
Bon h:tm). Linda Cristal (Fia<'a), .T oan Ford Rainey (Henry Cll'~g), Woody
O'Rriru (.:lfrs. Dickin~Ron), Ch ill Will~ Stt·ode (Stone ~alf), O.Z. \Ybit<>hJ.>ad
(Brrkerped. Joseph Calleia (.Juan Re- (Lt. Chase), Chff Lyons (William Yr
!!'llin), Ken Curtis (Ca pt. Al meron Candless), Uae l\Iarsh (Hannah Cl<>~t.
IHC'kin:o:on). Carlos Arruza (Lieutenant Frank Baker (Capt. :\Ialaprop) , Ruth
mexicain), .Tester Hait·~ton (Jethro). Clifford (Une femme), Terl Kn~ht
Yrrln Ann Bor~ (Blincl Nell). John (Lt. Upton). Major Sam Harris (l~
DirrkeR (.T ocko RohertRon), Den ver docteur), Jack Pennick (rn ~e:-gent ,
P,Y!P (.Toueur), Ais:::a w·a:rnt> (Angelina Chuck Roberson (Un comanch<>), Dan
« Li~a >> Dickinson). Hank 'Vorrlrii Borza~e, Bill Henry, Chuck Hayward.
(Par~on). Bill Ht>nn· (Dr. Sutherlanrl). A .11 Te.ras de nombreux colm~.s attemler.t
Bill Daniel (Col. Xeill), 'VeRlf'v Lau arec anxiété de retr<fu rer les leur&. pri-
Œmil Rand), Chuck Roher~on (Barrar- IOnniers des 0<fmanches depui1 plu.!ie.ra
r<>ur dn Tennf'!':!':ep), Gu inn rr Bi.,. années. Utb sheriff cupide accepte d'aider
Boy n \\ïlliam!': (Lt. Finn). Olivf' Ca~ un officier américain à aller le.~ racheter
re~· (..'\fn:;. Denni.-on). Rnhen T'ndilln à la tribu. Ils ramènent deu.:r captif• :
((;pn. Antonio T,()pez <If' ~:llltn Aunn), 1me .M e.ricaine, qu ~ a été la femme tf••
C:nrol, Ra~ter (T ne jf'une Tf'xanf') . .Tu- chef indien et que les colo11s coll-3idè~t
hnn rrenno (Rih·t>ria ~P~uin), Tom at·ec dégotU, et un jeune homme q11'ila
He!"n~ss\ (Bull), Cy l\faliR <Prtr). tum·ont, t'01Jant qu'il est det·enll "" ..:bi-
~~lJP.~IO ~·.str·arla (T n Pnfant mrxirnin). fable Oomanche. ]fais les deu.r llbM
(,rJ J Prkmi", FrPrl GrahRm, Ohuck Hnv- a11r<f11f h·<fur•é l'am<fur. le shM"iff arec le
war<l : John II tu lk'ms, vJ'Al .Tam·e~ni, ' · jeune Me.ricaine, l'offkier at'ec la IŒIIt"
J)rnn ' Rnnth •
r PRo. J h. Roh Rost• . . R'II1
"'}
~ lnnnon, d11 jeune Comanche. E.rféritvr& towra
• ) . o nson, Roh Morf!an R r1 att Te..r.as.
« Hed n :\fo R'l . . . oy
R _, T. ~lln, • 1 "'J!ham~ Rnff
rlht)', Pfl 'WhitP R rlrl . • .
.Ta<'k 'Y'Jr ,: u ·' Roh hm~.
C:anutt 1 T•an.u:, "lltner ~tP\'f'nR, Tnp ~rpt. TII1<; ~IAX WHO ~HOT LIIH-~RTY
Oanutt • • IIIIJOr Hnrll ons,· II arry .Toe
· ./ YALANf'E (L'homnw qui tua Ii~rt1
1, . Ynlnnrr) (1:!:! mn.) Par.
ltfroirtue tlrfens 11 1 c--
r·ifs amfrir • c e. ·"'·• .~oldrrt~ rf ri- Prod. : Willi~ Goldbt-ck.
'llns, PnN•rrlrs 1.
-~~~ fdats mrri<'ainlt du r: par r.• 7.MO St•t<n. : .T:tnH'S "·arnt'r Rt•llah. "·· G
'' Fort Alamo (T ,fnrral Fan ta A""'' lw('),, tl'ap•·f-s lllH' histoirt' dt' rotlaJ
F:rtfl'ieura t P.rns) le. 23 /ér•rier· l~ln :\f. .T ohn~on.
(Tr.ra11). ournfs d Brarketrill~ l'hot. : William Il. Olothit>r•
.lfu.~. : f'yril J. :Mt)('kridgt', diNtH
1961
Inin Talbot.
J),<r. : Hal Pt'l't>ira, F.ddit> lm81U (
Juillet, TWO RODF, TO ~am f'omt>r, Darrt>ll • ilvt-ra ( .4. •
dtau cavalitars) (lOO nFYrimn n.,.~ ro. t. : Edith Ht-ad.
mu.) Col. A John
MorJt. : Otho T.overin1.
52
art (Ran som S toddn t·d ), Scull y (Le ~peaker), Walter ReNl (?o
. .raw~'s Stew TOUl Doniphon) , Vera Reporter), l'lally Hughes (Nur~)-- T ~
Inj·hu Wayn~ ~toddard) , TJee Marvin
~ne~ (Halh~ ce) Edmond O 'Brien
ry B lake (Premier reporter) -f,'b
Morton ~Arbitre), Cy Mali!< 'cne
·r-
a~~~
(r,j~rtY Y~y) , 'Andy D evine (Lif.k M!'-n), Btll Henry (ARf!istant du eom-
(Dutton Pea Ken Murray (Dr. "tl - DllRl'lioner) , .J ohn Wayne (Un Rergent
APPieyard)T~hn CarradinP ~Stnrhu C' kl P ) , <"ntr ~t n e u r en Corée), Art Paf!sarella
J11 ngbbY) • Nolan (Nora Enc!'i~n) , .John ( Arlntre de!" flér ies) , Vern f.ltephens,
J eanette p ter Ericson) , Wtlhs Bou- Hnlph V~lki e , ~arl G il pin, Bud Har-
Qualen ( e Tully) Cal'leton Young (len , Whtte:v Ca:mphell (.Jouem 8 de
cheY (Jsson tt) W~ody Stt·ode rPom - ba Re- ba~l),. Don Drysd ale (Gomer ) .
(\[a;t~-ell ~e7 p;le (Amos C arru th('rl<) , A.u,h·e h ~s totre de base-baU. Un 1!ieuœ
pe!·l, Den~\lartin (Floyd), Lee Van .~01l ~!lr ~st faus sement accusé de s'~e
Strothf'R ' ) Robert F. Simon (Han- .111dr.s lat ssé acheter. D éconfit ure finale
('leef ( e!'se ' o.z. Whitehead (B_en de ses acc1uateur1.
d.> Sthon"~) ' Paul Birch Cl\! aire " Tm-
Carrn; e;~h Hoover (Hasbrouck), Jack Nov. HOW THE WEST WA S WO~ (La
der),. os (Jack le barman), Anna L€e conquête de l'Ouest) MGM. Durée totale:
Penmc\ · ' de' la diligencf'), Charles / 155 mn.
(P~s~'(~r~ident de la réunion ~l~>cto­ Ford réali-se le troisième épi ~ode The
SM' Sh~~ ... Fis her (Le bè!!'ue). J<"]arlr Oivil W ar (La Guerre de Séce~sion ) .
raie)'. ' Stuart Holmes, Dorothy Pbil- Les autres épisodes sont (1 e H enry
{.foogB~~dd:v Roosevelt, Gertrude Af'tnr,
Fr· Novak ~lim Talbot, Monty Mon-
Hathaway (The Rivers, The Plains,
The Outlaws) et George Mar!<hall (Th e
t ,,~ B 1'1l Henrv.
an .. , - .
Hrlrn Gihson, l\1BJOr u am
John B. Whit~>ford,
~ H .
arr~s. ,
Railroafls).
P1·od. : Bernard Smith pour 1IG~l Cinr-
T. Abrnteur Ron3mn. Stoodard ret•1ent a rama .
.~;i,honr. petitl' t'i~le du ColMado, pou.'' Bcén. : James Webb, d'après un feuille-
T'r ntrrrcm enf d' un lrJ C(HHifl : Tom nnn1- ton de « Li fe )) .
tJhOI1. Dn 1·ille ll ' inferr~e. car Stod-da,rd Phot. : Joseph La Shelle (TechnicolM-
e~ t r fleh r c d.fllll tout le pafllt comme Cinerama).
11 T'hM11mr aui a tué Liberty Vaumce )) . Les autres techniciens sont ceux de l'en-
'' " hnn.dit q11i t e rrori~nif jadi3 la COII- sem ble du film.
t rér. A To r il F;to.ddard ra con fe ce rm i 3' est Cons. pour la coul. Charles K. Rage-
pa~A é iT 11 a !'innt 0111 : c'ellt Torn et don.
non T11i qui a t ur Falance. mai.! Tt'lm Eff. 1p. : A. Arnold Gillespie, Robert R.
b~ t Aa,.rif if. dt> r·nnt l'a1cen1Jion politiqtle Hoag.
dr 1vrr ami et auui parce qt~'A.Hce, son Mtts. : Alfred NeW!IIIan et Ken Darby.
amo11 r de jeu"eut , lui a préféré Ransom. Déc.: Geolï!e W. Davis, William Ferrari,
A.'fldison Hf'hr (a..d.), Henry Graf'!', Don
1!1(i'! Ff,ARTH.\'r. ~PIKF:~ CTn~ilit "" Greenwood .Tr .. Jack ~fills (~t.d.).
FranN>) f!'i2 mn.) An A.\'i.. ta Proù. Rf'\"Uf' rost. : Walter Plunkf'tt.
Rtnrli()tl:. T'atM R.,''Uf'. Mont. : Harold F. Kress.
Film T.Y. pré f' nt.; pa r Alf'oa 1~> 4-10 H:! Gon1. hist. : David Miller. .
rlan ~ la .,.;ri P rr J' rP m iè r~> ThPatrf' '' Superri1ion de la prod. pour Owerama :
pr~nt~~ nar Frf'd A taiN' Thomas Conroy, Walter Gibbon~; Fly.
Jirod. IIUocté : Vrank Bau r . Tnt • Commentaire du film dit par Rpen-
1
rrn. : J&mPIIOn RrPWPr, (J·' aprf. ~ ft· l'fi • f'~~ Trat'y-Jobn Wayne (Gen. William
man flp 1-~rank O'lùH~rkP. T. Sh('rman), G('OrJre P('t)flal'(l ~Zeh
l'Ilot. : William II. Clothif'r. nawlin~s), Carroll Bak('r (F.ve l r('S-
M tu. : .Johnu~· Williams, up~n·i ·ée p:~r· cott), Henry Morgan (Ge~. Uly!'lses
Rtanley Wut'M)n. Simp~on Grant). And:v D<"viDe (Pet('~­
n~r. : Martin Ohzina (a.d.i. .Tnhn )ff' ROb, le facteur), Russ Tambl:vn (U~ de-
(' C'-art hy . f>t MRrtin C' . B radfif'l rl ( ~t .rl . r . SPrteur)' Willis Bouchto:v (U~ ch •ru:-
olt. : y m('ffi t Det> !:tien) Claude Johnson (.Te rem !ah Ra"-
DPI·.·• n·le h.a~~·
Il Oftt -.::a n· e ld lhJ!',
' .
Tony 'M arti- lings) • Raymond Ma~sey (Abraham
G~11 ~-f!U ~rl'tse par Da,id .J. O'C'onnell. Lincoln). l
t '-• : ~aul 'fta-
11
(' Oft f" ' "11 ...,, Pord a mil en uèn.e lll léqurn.ce de a
1"t .. ec "· : Cy Ma.lf8. Orttn"re de Séceuion qui se déro!lle. la
iack J~~es Stewart (Slim Ci)nway), nuit de Za langlante bataille de Shloh
\Va 0 arden (Commissionnf>r) , Pat (Ï a nil 1862).
(Cr!b e JiBI!!! Rilt'y). F...dgar Buchanan
I..arcau 0 mb) , Tige Andrews (Gaby
'WlUi8 e~arleton Youn~ (Rex 'Short) , 19413
Rill (Mar cllj[. (I.e mairf'), Stt'phanie •a RFJFlF (La TavNne
ju~) B' 1 Rle,), Charles St'el (T.* Juillet. OONOVAN 0
Carey J lbg(U ueeeu (H~an), Harry ./ ete l'Irlandais) (10-4 mu.) Par.
r. a.~.an in the DuKOQt), Vin Prod. : J'ord.
(() u pt.. Wc•KII••I t~ ), Hrd • l i ll• 1
t t lnJHI'M J•Jdwn•·d H h irl.), 1 loltrrc• 1 Il') J>j,, ( 1 ' J• ' (1~11
Scéll. : }!'rank NuK!'IIJ J'!'toin• df' Jtldllllllld
f• :r nn HI d <• l lull I<uifc•J 1• 1;., "~J•n ' 1 ' 1••·,
Gran t • d'apn'~: lill!' • 'HTnJnf'H l\l H'
' 111 •' ".,. •
fHI 1IIIII ( 1'fl f 1'' Wc,)f), ll ill r!• r t J• 1' 111
• • reJ,,
Bdoiu adapt!'<' pnt 1' . . ( 'l't•t•hui,•olorJ.
, \ ' 1'11'1 tun ()lot ""' (ll tll.l hui f< •), A1·lhu 1• J{ 1• 1111 ,, , •'IIIO•I
l'hot. :
00 ,,,,
11
1 . Hi<'hnrd l\111(' ......
Ta co u j · · L<•rptH' <'f J<'u''('HJf
pOII1'
llollulu .v ) , l 'ul.l'l<·k Wnyuc• ~~
J<] J i ~u lr c~t,h
11
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E!f. ap. : rau 1 "· Nc·otf.) , Allc•u "'U

J•idounr~- .. 1\Ioduidg-<', dirirtéf• Jlfll' l'luut ugc·n•· f) , . Jc~l lll Cnrrutli :u(n; v r
,1/u.,. 1
: (yu 1 •. .Jdf Bluir),Vi•·lor ,f,ll'y (' 1 ';,~ 1 'J' dl)r
1n ·in Tnlbot. J •Je J luy!'H. Mike~ Muzu r ki ( Hc· n it11 I F! I u r ·•·),
Orch. : Leo rShu!œn, ]:'<~~Î(' hnnZII (cu/.)'
lo.J ' J
,., J.un.JMf! H w·Jt·ho wHky. ) , ( ; 1~ 11 rl{••
. "''ri/;Pft !Jl
(l' l: r·,.
flle. : Cllal .<'I'Dt'1~~~·cll 1-iih•cra (.~.cl.). (MUJIII' Br u d •~ n) , Hc~ll n Md ' )t r' Il
:-:; 11111 ome1, 1
(J '('All'>l'rr·y ), . J ud i!Cill l'r att' •T'V
( M ( Jr •
Co:(l. : Ndith Head .. cc J)og '' Kf'll y ) , CHrrru• 11 ! J'A. 1 "Y•:r
11 101
~f t · Otho Lo'•ermg. . (( J n "'..- J'rlWJ1.((• •) , K en ('JllrfHI· (.f 1 >f~) , \' \'a).''
' orl ·. · J h " ' ayne (l\licbarl l'nt rH·k
Tnt . • o n . l\1 . ('J'ho ter Buldwm (.fl!r e rn y Wri g ht 1 S h
. Guns » Donovan)' Lee arv JH
<c ., Aloysius c< Boats » <li lhoolry J •
-
Jc'~shct· (Hkinn y ), N~uH· y 11 ·•·uiJ' fl.it'J!
E~~abeth Allen (Amrlia ~a;·ah Drd- Bu<ù, femme cie LJttl•! W t1 lf ) ( ' ~ 1 1 k
ham), .Jack Warden (Dr. Wll l ~um Drd; H.oberson (Chef de con w1iJ, JI ~ r ~ ~ :.
h:1m), Cesar Rom!'ro (l\Iarqms. And r e
rey .Tr. (Trooper Smith ) 1 B•·n •
f Ln Ja
• 1Ill 1>0
(T rooper Pl umlrec), .Jirnrny (J'II
De Lagf'l, Do1·othy Lamour (M 1 ~s Ln-
flpur), Jacqueline Malouf (Lelan1 :prd- (Trooper), Chuck Ilayward fTrr1r1 flf:!a:t
Juun). :\like l\[azurki (Sgt. 1\lnn i\OWICZ), Lee Bradley (CheyE-nne), Frank Brac!:
~!a reel Dalio (Père Cluzeot), .J on Fong ley (Cheyenne), Walter Rcerl fLt p"
(:'\lister En), Cheryline Lee (Sally terson), Willis Bouch~>y (Colonel), · Car:
Dedham) Tiro Stafford (Luki Ded- !eton You>ng (Huissier de Carl Sr:hurz) ,
ham) . C~rmen JiJstrabeau (Sist,er Ga- Denver I y le (Sena tor Henry J, .Tr1hn
hriell~>) y,·onne Peattie (Siste~; M·a t- Qu~en (Svenson), Dan Borzagc>, DPan
thew), 'Frank Baker (Cap tain l\la1· tin), Smith, Nanomba cc ~Ioonheam » :\lor·
Edgar· Buchanan (:'\otairE' de Boston), ton (Running Deer). ·
Pat Wayne (JE-une Lieutenant de Ma- f,e 9 septembre 1878, début de l' odyuée
rine), Charles Seel (Grand Oncle ~ed­ àe 286 Cheyenne.~, hommes, femme& et
ley Atterbury), Chuck Roberson (:B~es­ cn/antlf. fuyant l'Oklahorn..a o1l le O&ut·er·
tus), ;\fae l\farsh OIE>mbrr du ('onsP il nement américain les arait parqué~. aprè.!
de famille), Dick Foran, Cliff Lyons leur reddition au Général Miles en 18ii,
(Officiers de la ~farine australiPn nE>), dans 1tne n3serve où ils mottraient tk
Major Sam Harris (l\IE>mhre du Con- faim. Ils veulent 1·ejoindre leur paya M·
RE-il de famille). /rtl, le. Yellowstone, à 2...!00 l.·m. de. là.
A t'ettture& d'un ant'ien marin dana 1we La, caPalerie annéricail~e les suit à la
île française du Pacifique. Hag(IJI'I'('8 d'i- trace: ~~·è.'t pett seulement 1'et•erront leur
rrognew et amours tumuUueuae11 ar('r· une patrie. Les véritables C'heyenue3 é.tont
H01rtonienne prétendûment prude. J1e artr1ellcment très 1·ares a11.r F:f!IIJJ-l.:nîl,
11acht c< Araner >> que Pon voit dana le la figuration est assttréo par des lndif.'Jt&
film est le propre yacht de Ford. N at:ajos (Ford diœit).

1DG4 YOUNG CASSIDY (~lG:\1).


/ Prod. : ltobert Graff, Hobert Emmf'lt
Ginun. Sextant Produdion.
O<'t. CIIJ~YJ<;Nl\'T'J AT;'I'r J.MN (LN! Chry<'n- Sr·én. : John Whiting, d'apri•s J'autobio-
~eR) (160 mn.) WB. graphie de Sean O'Cnsey : « :\lirror io
-,nd Unit director : Ray K~>llol!~. my llousc >>.
l,rod. : Bernard Rmith. /nt. : Hod Taylor (YounJ' Cassid~·), Flo-
flr~~· ..·· ,J~me14 R. \\'rbb, d'UJII'PS 11' I'Oill8ll ra Itoh!'!on (Sa mi'•n•), :\lkhMl Rt'd-
~~ ·'1an Sandoz. grav(' (Wiliam Bntlt•r Yntt•s), Dam.E"
l'ho.t .. : William ('lothi .. •· (~ll(lr>l' l'ana - J•J!Ii 1h l•~vnns ( La(lv OreJ:oryl. Juhe
VJj;Jon 70-Color). ('Jrdsti(' (Dnillv Rntth·~), ~luggit• Srnith
/)(oc. : Hiehard H:t\' (11 d)
M·ra (&.d.). .
Dtll:r .. JI "-,' •'1-
. . ' • ,, ;\;onl), ~inn l;hillips (~ll'\11' ,j'( )'l'us.·~· ),
~hiwnnn O'Casey.
·"""· : Alex North .lflrè.~ tl1't1.P lll'llltiÏ111'8 tir. lùiii'IW{It', F()f'd.
Mont
(' · ·· Oth. o J..cJVPrwg,
•.
tombe mnladfl. ,/t~<'k ('11rdî/i Ir n'fH·
',01111 . • tecltnuJue : Davi.tl Il M'li•
l~.rt/>r!eurll toto·,(> . ]\ . 1 ! r. plfll'l! qtwlqufiR j()U/'8 pieu 1111-à. . Ford
Moab ((' Il ,a f_onumPnt \'allt•y, a totH·ntf les t•inr~t premih·t.t m111utr•
/nt . .. R'w Jtnhl)lltrl
f't (,lllllllHOII (f:oloradll)
w·llmnrk
1 . (il tourne f'l& ccmtiuuittf) et fitJUr~~
Ar·•·lrrr) (' (Capt. TIHmlli" otuédque cmmne co-metteur tm. , . .
WriJcht)' J nrroll B:tkt•r· (! ),.hor·ah f,n jetmes8e du di'IIIIH'turl!e irlo.ndl';'~lli 141
Md ward' G.aR:;bi Rtewart _(~\'yu tt J•j·u·p 1' O'r'f,llt'!l ( do11 t lr'onl 11 f•lrntl 111, •• 1 ).
térieur Carl 011011
_(~flllJHtr·•· Ill' l'ln -
Rchurz), Karl l\laldt•n
l'irn· " '/'/r11 l'lt•uu!l and the ·"'a'
'J'ou nwge à Dublin.
54
. nctuellcmf'Jit. Jtonr
"'ord prépnr cdu ct ion rie Ber· na rrl
1n ... 1 une vro
.Tot 1\I G.~ .
111 ! . .
Snlltb ·

FINALE. t John 1\fr•Cormir·k


"fi;
C J{I~l~~ Janet G~een. e c'le Nor·nh LoftH.
' 'Il1 •
•"~' . · • ;.~ une
Instorre
·
· pour j anvH'r
·prénJ . J .. i tc de "filma racont.~ "
/ d ~ pr t- dn tournage
publié• à partir de J'(liuyre de
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le~' n~r• ; 011
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C' f
t!K{;l, " . et de la ('hrne. cr ".eR .John Ford
Ctl dr. la J{01rgoltte femmea mi.~.,ion~atrc8.
(~'iltoire de se~uréea par des bn.fln11ds
Elles sorrt . ca~~ gardent comme. ota(lelf MAit Y ()~' HCO'J'LANI>: "M:1rit• Htnllrt
mongoll qtH rme ranÇotl. Le fûm e.~t CiJrf.vil'i()n, n'' H, df:t·r·rolnt! lHfil. '
potJr •toucher femmes (il 1J a derl r
['/ri$toir~ ~e ~;; C'est 1me étude sur la IIUitltJCANI~~ : " Hurri1·an'! n, LI' Jfilrn
rôles. prtnC1~n 8 ~ualité cachée de.~. fem- Compl1~t du :\Jardi, rr'• ~1;,:~, :~, a•lO
reliu~tm et 8 ~dans de aemblables crrrons- JO:J8.
mel placée •
ttJ11Ce8. Il r
pas vraiment de grand
11
C'est le premier film de
rôle ,.~,c~ ,,.personn.agea principaux aont
STAGT<';COACJJ : " La (_iht·vaur·h,:e f:~n ·
taHtique J>, d~l;l>tlpag't: NHOJ,)< •t ir• '' l'A ·
1
Ford ou (Propol de Bern.a.rà Smith, van t-f:kènfl '', n" 22, 1 iJ jan vir~r 1!1(;:-;,
du femmel d~ film. d{lnB re Films and
producteur , . b l004) DRC':.\IS AJ.J')~<i TJH} ~ffJIIA WK.'
Film ill!} »' 3 ot em re .
11 ~ur la t1iHtfl rlflH ?t1t,hawk·, '• • J,,n
Film, n" n.
. _ film' attribués à Ford, sur lesquels THJ~ GRAPf}S <JF' WltATJI : u JR
Tr:~~ 5 ma-nQuons de renseignements préci".
sins de la col~re ", in !! 2 Film
Itai·
·f.tm·
r,lets ,,, avril 1f.»8.
THE SKY PILOT (5 bob. Cniversal
(191i ?) TOBACCO ROAD : rr La rrmte du ta·
lr.t : Barro Carey. bac » ,Phot~:~ Roman, 1" rn ai ~!}(';~.
f~nté 6 PZa11a Del Rey. Serait &el(}n THEY WERF~ EXPE. ·oABLI'. : u l.P-S
Prnk. S. Tugent (Sat. E ·. PfJ3t. 2.'3-7-4f:JJ sacrifié~> », Star Cio~ Vaillan ·~', ·an·
k prNJtier film mil en •~ène par Fr.;rd . \'ÎP.r lfJf'A.
.A mit dû être llfl film en 2 ho'bine1,
.. ail Ford fa ·r{lit tourné en ;, bobin~&. THltEE <;ODFATHERS : u Le fil u
f'ul ~mle ft'au.riJit pa& prote.tté, désert ,, « Dé~rt de ~~ "• J>twto Av n
t11re , n" 11, t~ juin ],)f~.
fliu q•e 1i Ford tournait un 5 b~bi-
u pot~r le priz de 2, il pouuit y aller. RIO GHA. ·og : li Hio Grand "• lïlm
NJmplet, n'' 324.
THE Rl'. · 'Hl. "BR BIU_f!I.IT : « J~
}Pil brilJe très haut ,. • l CH et ~1CJl, fil
rt,man, a'·ril ]{j(;2,

. f (J('A
~ . JTJO
• : 11 ICY.?ambo
l (IL>'t "· :t.11r 110 r
\• o • 22 DO ·~bre VI~..>.
·uo : , u( n'Il')o,•
J:I (J • r r)U)m~ d ••
• fon f ilm n'" 4- J.
• J
1 ..
LE SETTE SPADE
DEL
par Jacque> IfJU

Le début de cet article est sous forme de notes à développer ; le LP.ctevr dét;e.
loppera, s'il veut.
Parler du numéro Freda, trente-huit films. s:interro:5er sur son utili~é ..si R.P.
et quelques autres seuls inattaquables, pourquoi les défendr~ ? Antomom, Berg.
man, etc., ont plus besoin d'être défendus (pas p~us d~ cent-~mgt mots>. Qu'est-ce
qu'un style critique '? Chercher des exempl~s. ~tlms 1.n . Remew. Première phrase
du numéro d'été : « Integrity is no rarer m cmema ctrcles than elsewhere, but
H's sufficiently rare to merit comment whenever it is mani!est. » Admirable,
éminemment critique. Tous magazines reçus (hongrois, polonais, portugais, ~
gnols, suédois, italiens, allemands, etc.) parlent, à 80 % de leurs pages, des mêmes
films : une dizaine par an. Parfois, seulement pour dire qu'ils ne les ont pas vus
<censure). Curieux. Les causes ? Panurgisme - Bavardages culturels des auteurs
Eur leurs films (Walsh, Dwan silencieux presque toute leur vie ) - Salles d'art e
d'essai encouragent de bonne foi la paresse des spectateurs (déjà dit par Potineur
Sigurd dans Cinémonde) - Littérateurs et sociologues occupent les rubriques
cinéma des hebdo; leur intérêt grandissant pour le cinéma, ville ouverte (ne pas
se laisser aller à citer Bory, C. Mauriac). Roland Barthes : « Une bonne histoire
c:est en eff~t en termes structuraux une série réussie de dispatchings syntagma.
tiques ».. RICcardo Freda : « Ce que j'aime, voyez-vous, ce sont les histoires p~
pres, légeres. C'est pour cela que j'aime bien le mélodrame, le cOté un peu héroi·
que, ~e courage, ~e triomphe du bien ». Propres, légères. Impossible de ne pas
~entlo.nner 1~ Figaro Lit. 23-7-64. Notre irrespect et vandalisme scandallsen
1echotier. Mats, au verso de la page, interview Freda (passer).

fil Lecteur de Présence peut-être intéressé de savoir où est la gravité dans


J ms. Trop risqué de donner une définition, ou des noms. Plutôt des fonn ,
l;~res. Deux s~rtout. 1) les films burlesques : The Errand Boy, Pickpoc et. La
mais ~O:!o~ patre . .2> les films d'aventures. Je n'ai pas l'intention d le opposer.
peu . la ~~qui peut les unir. D'abord ce qu'on cite partout. et qu'on voit
films· comi u8 des gestes. Cette beauté, quoi qu'on en dise ~st le propre
HollyWood q~~ • 1 àq~n;fg il s'agit d'un comique descriptif, le plus dur de to :
cription path~logiq a ,et dans le Guitry le ricanemen t de l'agonie. autre
Je même Gutt ue. 0 un autre agonisant, encore cet te p h rase rapport
Plaisanterie do~' êtet qui tire les larmes des yeux' : << On dit que tout bo
taire dans st Partsre ~ure. Mais le sérieux aussi devrait bien être court •
Ques, faits pour devm a t conté>. Gestes prompts , dévastateurs, de ftlms
Voir sans J>enser dit~r la réflexion et, en fait, l'ann uler : il ne faut que
• voyageur de ce siècle , est le commencement de 1 sa.--.
56
Pickpoclcet, dans la file d'attente à un guichet de
Qlla.nd, danf.15se sous l'tusselle d'une femme attendant devant lui1a ga~e de Ly n,
n voleur g 1 ~er son sac san:s qu 'elle s'en aperçoive, outre qu: -ln .Journal pU ·
uui vient re~~m est ébahi auss1 par la beauté du geste. Même ~ se rn.cnre, et
qra.ncnemen ' uand Jerry renverse et éparpille en une fractio c ose, dans The
t 'rrand B.oy, iangées d'une dizaine de dactylo~. Et, dans Les t~.de seconde fes
teuilleS ble~ ns (ça n'a aucun rapport) de Chnstian Méry aidant 8N!ont la_ PO..tre,
je rne souvi<~ désarroi ». Ces films à vra~ dire se ressemblent, étant ~au~ a trou-
1

,·er le ~ot décomposition. Spectacle p01gn a:nt sans doute, mais dev~us le spec-
tacle dune 5 on a du mal à garder son sén eux; ce qui se défait a nt quo1 en
même te~Pc'est le défaut ?u ~ervant, d'avoir voulu garder son série cette double
11ature. ~ · t pas vu le comique de la chose, ou qu'il soit question deux.ésNon. que
LoSey . tn Hi
a1gence, penetra:n
, . t e ~ t a 1er t e. M a1s
· d
uran t. un exposé qui reste rnfunèbestlmer.
son me monnayer son uome en .un luxe enva~1ssant d'allusions rivois re, ~1
a votulupour le spectateur superficiel et pour m01. Il a voulu établirg avec els, tati-
gan es .sé une compllcl · 'té d'1n' t e11·1gence, en t re t enue d •autre part par un e spec-d
tateur avlurie d'ep1so
. . d es d rama t'1ques 1n · té ressan t s ( pour cette raison il n'est
e re ou-
pén
tab. 1erat·sonnable de comparer 1e til rn au « P or t ra1't d e Donan · ' Je ne pas
tres · · b . Gray ») · sa1s.
1
si c'est cela _ le vase c 1os, 1es m1~01rs, e sym ohsn;te - qu'on appelle distancia-
tion, ou d'un nom app!ochant .. ,ces~ en tous cas JUSte le contraire, ou plutôt
l'absence, de cette gravité que. ~ ess~1e en ce moment de désigner. Devant une
bonne description, un bonne VlVlsectwn, auteur, spectateur et même ceux qui se
trouvent dans la s~lle par hasar? _en sont exactement au même point, quels que
soient leur formatiOn ou leur desu de comprendre : tous soigneusement passi-
vement attentifs. '
Il en est de même pour les films d'aventures. On y rentre comme Giono ren-
tre au pays « afin d'être chez nous, ne faisant pas de différence entre seulement
moi et enfin l'homme » (« Le Poids du ciel »). Les descriptions vivantes de cer-
tains films comiques nous lavent des idées et des distinguos aléatoires; la beauté
indifférenciée de l'aventure aussi, et aussi la gravité : Sept épées pour le roi est
un grand film d'aventures.

Quatre semaines de tournage, un budget modeste (110 millions d'A.F.), pas


de vedettes considérables et pourtant pas un plan qui ne montre avec exactitude,
ici et maintenant, ce qui est faisable; et non par une grande compagnie ou un
heureux système de production mais par un seul individu bien décidé qui sait
depuis son premier film (dont c'elui-ci est d'ailleurs le remake) ce qui l'intéresse
e~ ce qui ne l'intéresse pas. Nombreux sont ceux, je le sais, qui, réfléchissant
smcèrement, avec honnêteté et lenteur sur les films actuels, sont amenés à se
détourner du cinéma (d'y aller comme d'en faire) pour des raisons qui me parais·
sent touche~ de très près ce film. (Et quoi qu'on en pense le nombr~ ~e gens nor-
maux, et meme de jeunes gens, qui s'intéressent avec respect au cm~m~, comme
0
~ peut respecter le tennis ou la peinture, demeure extrêmement lumté). « Le
fméma., se di~?t-ils à peu près, est un moyen d'expression. Je sais quels sont
esb~ens qui, 1c1, s'expriment par le cinéma et qui trouvent bon an mal ani un
pu lie. J'ai vu leurs films je ne les ai pas aimés Les années passent. J'en v ens
a me demander s'il est p~ssible en France aujo~rd'hui, de faire autre chose q~e
ce que font, par exemple, Resriais ou Truffaut. La France de n;'-ainte~a.nt - s
:~:nt daux assurances sociales, aux modes vestimentaires, à 1 abru~I~~;~fq~!
Quan 8 oses par l'alcoolisme ou les bagnoles - cela n'es~ ~as P 0 lus exac~
tem~t \~t.lms q_ue j'aime, et qui sont pour la plupart amdéricat?s't~~:S et dans
0 YWoodiens, ils sont trop loin de nous, à la fois
l'es ans e D'ailleurs
là-J!sac:~:st no~, la vieille Europe, qui so~mes t~op v~eux ~our ~~'velle vagué
1
est Pir • a meilleure race s'éteint, sans Ia1sser d héritiers. eur
e que la nôtre ».
Cette éft ani d' reurs Une seule
Vision d.esr exion sincère est en réalité une sincère lit 'te e~'abo~d d'insister
8 ept épées peut les dissiper, et y répondre. Evt ons

57
x autours qw ~ vrJUl'l inr.:rirnin z (et lU v
le fait évident, que les d~u non pour l os attaquer J Tl 1! dé ·rbent a]J olument 11

s~~isi bied silr pour leur sucfn~' qui vous pu.ralt Hi fl'!U f!hr,to {(;niqur p tl z .
cas cette France contemporn o Le Sang a la t dc ''Il Matyrr~t tenrl ?J.n p 1.-(J , n
krnent à d'aut.rcs fili?-lS comr~aliste suffumlt pa radrJxalr~rTll:nt à fa.he pén tr r I
support littérru.rc solldc et éalité do cc pays. Dr:; l a rnf.!rnt~ faAj(JTI' U:ncz '1\lr
tout petit peu I?lus dan~ la.~ato raphiquc d'un roma n r;r.)~nrnt! " . L.v c:ornpi
tain qu'un équivalent c~né faitg rien d'autre que drama.tJ ~;er cr!rtaln, < p
ca. Simenon, 1956), qui ~~tidienne de n'importe qui , est p0ssihle; et q ~
l'existence présente, et q ait suffisamment exacte, palpitante et awmtur
dramatisation sur 1 écran ser
. maintenant votre fusil d'épaule, et n 1~ •t'J .J•(; "/. r' us être
Mru.s vous ch1~n~~zn des duels les châteaux-forts, tout ce qu1 u'un~ !açr n 011
émus que par de :c ~ou~ « la dentelle du rempart ». Et c'est 1~ Gue vr, ..lB m115
d'une autre . vous V vt~e erreur est plus flagrante encore; elle ne cessera qu.F:: rJrs-
dites trop vteux. g'assimiler inconsidérément la notion d'aventu re a ...a j rJi.,. am.
que vous cesbs~roelzes par exemple de Fairbanks, ou à une idée que 'lü'l s p~ 1vez
male des ca n , ' . · t t t h r :
avoir de Ia naïveté, de ce qui es~ pr~a1re, e c., .- t out lees chaoses q ubs 1 œrt~ !ont
artie de l'aventure mais sont lom den re~ouvnr ou. c mp. 0 enez drmc
fe scénario des Sept épées et comment, .qtuo1qude attentif avandt tdoéut ~uxt !r.~rœs de
position il sait cependant les s1 uer ans un mon e caaen , presque
;~~t aveugÎe à lui-même ~uant à votre d~rnier ar~ent, le manque de lieux
et de sites, vous n'y croyez meme pas vous-m~me et ~osez ~ le formuler, ayant
encore à l'esprit le souvenir, sinon de votre .geogra_Phie, du moms de tant~ films
d'aventures, et des meilleurs (tel S.ea Dem.ls) q~ f_uren~ 0urnés p~ ic1. Enfin,
plan par plan, note par note, vous avez ces Sept epees ou Je vous laisse.

Je préfère revenir sur la beauté indifférenciée de l'aventure, liée si profondé-


ment à celle des gestes. Un soir, le héros du film, Brett Halsey, est accoudé au
balcon de sa chambre; il médite, et son regard se pose mélancoliquement sur la
cour de l'auberge, SUI un guitariste assis sur une table, qui continue à jouer mal-
gré la nuit tombée. Quelques instants plus tard, le même Halsey rit aux éclats
a propos d'un lit qui grince et SUI lequel il va bientôt faire l'amour. Beaucoup plus
tard dans l'intrigue, presque à la fin, il ne médite plus, ni n'aime. n se bat. Il est
vainqueur. D'un geste de dégoût, il rejette loin de lui son épée, maintenant
souillée du sang de son ennemi. Ces gestes qui résument trois moments et trois
état.s. d'esprit ~ien différents, quel film sinon un film d'aventures peut se permet-
tre ae les presenter et de les articuler avec autant de naturel ? Violents ou
~pai.sés, voluptueux ou chastes, tragiques ou facétieux, tous les gestes, tous les
J~tants de 'homme sont à l'aise dans l'aventure : elle est très accueil'ante. Son
theme, qui n'est pa.s un thème, est la variété naturelle de la vie.

P Les. intrigues. des films. d'a\:entures sont en général taxées de minceur. Bonne
b~ressl.on .. caz: il est \'rru quelles sont le plus souvent légères, souples, sans
1.:enes 1;';-Util.es, peu encom~r~tes, qu'elles ne pèsent pa.s sur le crâne ou :SUf
Que j~· L ~tngue des ~ept epees est l'une des plus minces et des plus adroites
teur d'~nnai~~· ravarut~ sexuelle d'un roitelet inconsistant et la vanit~ d'au-
sont pas C~i es~ lQue, ~ avec bon goût sur le même plan par l'auteur, n'J
résUltat le Q~ en ~lies-memes - quel intérêt ? - mais seulement dans leur
é oignés, à ~us Immédiat. II. est clair en effet que nos deux vaniteux sont assea
·éntÉ, Qui est use de, leur de!aut, de voir ce qui les att.end, de comprendre
d'auteur pour ra~r l heure un danger mortel. Droit de cuissage pour l'un, droita
sirullellse de leur tre, ce ~nt des dr?its qu'ils iraient bientôt exercer dans ~ boUe
l'homme ... ne val€n~g, 5 il est vrat, comme le dit Carlyle, que c les droi de
de la pon·on de Pas ~beaucoup en comparaison des pouvoirs de l'homme. -
Mais heurew;emenis~ 1 ~ qu'il a quelque chance d'être capable de prou-rer
comme The Lone Ran ombre, les sept épées veillent. Comme Robin des
table reste en grande ger, elles nous rappellent à propos que toute ac lDD
l>artie clandestine, anonyme, détensJve, qu'elle 1
58
tinlent, qu'il est da~s sa nature profonde de n'att.A::nd
u Ie re~send qu'enfin elle ne lalsse aucune trace quand elle a tri reh n1
oJêre o i gratltU e, <">mp é.
c daiJle n
t!lé ncore Les films d'aventures n'hésitent pas à. montrer .
e rernar q ue e toutes. sortes de v1'l en1es.
. D' ou .
v1ent que malgré cela 1.1"'1a ·nrJ.
01'1
des me urtres,atmGsphère e t un se.ns de p o l't .. . n nr.~us
1 esse qUl leur sont proprf"c. ·~
Jel'lcrient par unearrni tous les mots QUl nous passent par l'esprit pour résu~~ ·
to,u~ vient que, fnstants, ce soit finalement cel':li de « caressant » qui rende ~~
v 0 rneilleu~s ression ? Dans Stanley and L wing st o n e (Henry King l& 39 > 1
Jef:~x: notre iiilJey est à la recherche de Livingstone, s~ns savoir au' ju:~te •5 ,~
rn urnaliste St~ nt Epuisé par un voyag~ de nombreux Jours et de nombreuses
J ~t mort ou VIV~oute l'Afrique, il l'aperçOit enfin ( à Oudjidji exactement) parmi
~uits à trav~;.s digènes. Prenant un temps d'ar~ê~, et comme s'ils se rencon-
ul'l groupe f~d Street, il murmure , : ~< Mr. L1vmgstone, je suppose ? >> (Ces
traient à ~~es pour désigner, non decnre le. passage ~~ question, à vrai dire
quelqUfl:S ~me. Idem pour le~ autres exemples. mvoqués l,f?l et 1~. :L:un des incon-
ind~scnpt la critique de cméma, non le mmndre_, est l1mposs1billté de recourir
vémentsé1éerences chiffrées). Et chez Wa1s.h, à vmgt ans de distance, quoi de
a des r tre la mort de Errol Flynn, qm est beau comme un dieu dans Theu
commun efie de Tom Reese, un abominable soûlard, qui meurt dans ~e poignée
died, ei~ c~Marines, Let's Go) ? La seule chose .qui, d~ns ces vingt ans, n'ait pas
de rnaé est la politesse (la tendresse) .ave~ laquelle 1 auteur regarde ses person-
chang lacés dans une circonstance d1ffic1le, - la mort par exemple. Les films
n~es, tgres sont les moins frivoles du monde. Leur politesse et cette aboonce de
f ~veftté font partie de leur popularité. Ils s'adressent à chaque homme, à chaque
5l~cuteur
n;~tateur comme s'il était n'i~porte qui, n'i~porte qui voulan~ di_!e ici un ~ter­
supposé valable, et raisonnablement 1~~éressé par 1~ JUStlce, la drmture
ou la gaîté. Ils ne perdent pas leur temps à cnbquer ou à defendre une opinion,
une idée. Après trois mille films et avant d'en avoir vu trois mille autres, je vou-
drais trouver un instant pour dire que la gravité d'un film peut très bien être
mesurée à son pouvoir réel d'effacement des idées devant la simple observation
des individus et de ce qui arrive. Dans la dernière partie de The Song of Berna-
dette (Henry King, 1944), l'héroïne entre au couvent. Dans une telle séquence, qu'y
a-t-il à montrer, et à voir ? Que Bernadette change d'existence, que c'est une
jeune fille qui a eu des histoires, qu'elle est douce et indulgente, déjà plus en
très bonne santé (en fait eUe ne l'a jamais été), qu'elle doit changer de nom,
qu'elle entre dans sa cellule et la regarde, et que tout cela est bien nouveau pour
elle. Le cinéaste qui montre cela, et rien de plus, l'auteur de la séquence de la
poupée dans I Miserabili, celui qui filme le réveil de Tom Tryon flagellé, un matin
e-n Géorgie (The Cardinal) : voilà des auteurs et des moments à propos desquels
0
? peut se risquer à parler de gravité. Cette gravité correspond à un sentiment
d aventure.

A la fin de Bernadette comme à la fin du Cardinal on chercherait en vain


~uenes sont les idées religi~uses des auteurs et d'ailleuni on n'en a nulle envie :
~~e cela a peu d'importance 1 Peut-être a~iez-vous des idées sur Stanley et sur
id~~g:io~e. sur le~ explorateur~. sur les missionnaires, etc. Peut-être même ces
tian a éaient-ell~s JUstes et fondées. Il n'empêche que, sur l'écran, votre atten-
quelque ~ requ1~ uniquement par quelque chose qui est le voyage de Stanl~y,
en intérêfose. qu1 est le. cY!lisme et l'indifférence de Stanley changés par la sUit~
Presque ' PUlS e~ admuat10n pour Livingstone : un voyage ~e Stanley devenan
de ce vo~algré .~u1, une fois Livingstone disparu, un second Livingstone. La vision
ge, d mstants en instants, a effacé vos idées.

d'av;:ur~~~ots, 1~ sous-bois, les amours où s'enfoncent les héros des. fi!~~~


le tempS de .nt va~1és, imprévus. Au cours de ces péripéties, les hé~s, qw. n tai
sants, Parfoisnen f&re, ont cependant le temps de se montrer ingémeux, bien -
lités, qut le sceptiques. Ils apprennent à découvrir et à cultiver en eux ces ~ua-
s font devenir des héros populaires. Ainsi la popularité des ms

59
Jacque WURC s.
E SPADE DEL VENDICATORE (Sept épées pour le RolJ ·Film italien
LE s~ccardo FREDA (1962) (102 min., réduites à 93 e~ F ran ce).
Pro1. Attilio Riccio (Adelphia Cinematografica-Francisco Films J. Dlr. de P rod. :
Luciano Cattania.
Scén. : Filippo sanjust, d"après le film « Don Cesare di Bazan ,, de Rlccardo
Freda (1942).
Phot. : Raffaele Masciocchi <Technicolor, écran panor~ique).
Musique : Franco Mannino, interprétée par Mario Gang1 (guitare ), Franco Cata.
nia (trompette), Franco Giordano .<marimbula).
Directeur artistique : Antonio Martim.
Décorateur : Antonio Morftca.
E1f. spé. : Eros Baccil..lcchi.
Maitre d'armes : Bruno Ukmar.
Tourné en 4 semaines au château de Bracciano.
Int. : Brett Halsey (Don Carlos de Bazan), Giulio Bosetti (Duc de Saavedra),
Béatrice Altariba (Isabella), Gabriele Antonini (Philippe III), Mario Scaccia
(Le Cardinal Inquisiteur), Gabriele Tinti (Manolo Corvo), Alberto Sorrentino
<Sancho), Jacopo Tecchio (L'Intendant), Anita Todesco (Caterina), Carlo
Kechler (Le premier ministre), Jacques Stany (Le sergent), John Karlsen
<L'acteur jouant la Justice), Johnny (Le chien de Saavedra), Filippo (Un
basset).

ERR.&TA

Joaeph_ L?sey a bien voulu nous écdre


et. nous md1quer les erreurs et les lacunes 5) Pa1·mi les autl'es catnel'IUllt>n de YHIA
SUivantes, ~elevées dans la partie du No 20 Gets a Break, on peut mentionner Ralph
consacrée a ~on œuvre. Qu'il en soit id Steiner, célêbre photograJ.lhe d.- plateau,
remercié. · cameraman de plusieurs films de Pare
l) wh~ ~ C~apper est une maison !!pécia-
1 Lorentz (p. 17).
G) Losey n'a jamais eu rorurue projet O.
ti~n d epu 18. l~nrtemps dans l'installa- th• Waterfror~l (Il. 22).
t' é e san1tanes. I...es Anglais en ont
~~t un synonyme VUlgaire de W.C. et le 7J Le nouveau titre de Jlamp t Atltf • .a4
(p. 1). crap » qui veut dire cc merde >> OountY11 (p. 22).
2 > Le personnage D'autre part, dams le u1t'lmt> uum~l"\••
· 4R, lh:uea 4 et 5, il f•llait lire :
son du <c S qul apporte dans la mai- (( ... relevées chez lt'S llt'l'tlonuages - l'a·
bottes d' épi~~an \)) sles indiennes et les mom· de la <'8mpagne (m~me si t>lle
(p. 8). es • Utlftn et non Vera laide) de Uobert 11088t'in, le betcoin de
3) Ilauteur de a Th maraderie de Georres WUaoo, l'amereo.e
Edmund M e Wooden Disb » 88 t
4) Dorotby Br~it~' no~ Morton (p. 17). et la malirulté stll, rftl'ielle (l'in rl
aeph I.osey (p. i~). n est plus 1\Ime J 0 • réelle) de O.tberine !louvel... •
l,1ae M. li&ne S. ll 11'&1iesait évidelo
d'Eleanor Parker et non d'Eleanor Po
60
LBS SIX MEILLEURS FILMS DE .F ORD

PATRICK BRION PIERRE GUINLE

M Darling Clementine Gideon of Scotland Yard


rle Prisoner of Shark 1sland 1' he Last Hurrah
The Prisoner of Shark Island
The Searchers
Sire Wore a Y ellow Ribbon The Searchers
They Were Ex pendable When Willie Comes Marching Home
Young Mr. Lincoln The Wings of Eagles

ALAIN FERRARI JACQUES LOURCELLES

Gideon of Scotland Yard Drums Along the Mohawk


The Last Hurrah Gideon of Scotland Yard
T'he Sun Shines Bright The Grapes of Wrath
1'wo Rode Together The Rising of the Moon
When Willie Comes Marching Home 1 he Sun Shines Bright
1'he Wings of Eagles The Wings of Eagles

BERTRAND TAVERNIER

The L4st Hurrah


My Darling Clementine
The Prisoner of Shark Island
The Searchers
She W ore a Y ellow Ribbon
1·oung M r. Lincoln
A NOS LECTEURS

Le retard que nous avons pris à faire paraître ce


Numéro 21, nous voulons d'abord prier nos lecteurs de
nous en excuser, et les remercier de leur patience.

Nous voulons aussi l'expliquer. L'ouvrage d'ensemble


sur Fritz Lang, publié en novembre, a accaparé notre
temps et nos ressources.

Aussi, pour compenser ce retard, espérons-nous faire


plaisir à nos abonnés en leur offrant le FRITZ LANG
pour la contre-valeur de quatre numéros, ce qui leur per·
met d'acquérir au prix initial de souscription et sans dé-
bourser d'argent un ouvrage vendu 29,50 F en librairie.

Nous serons donc reconnaissants aux abonnés que notre


offre intéresse de bien vouloir nous le signaler dans un
délai de quinze jours. Nous les en remercions d'avance.

62
FRITZ L - 1
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V>
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.
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anniversa:I'<~
èe Jac:J,ues
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Lt trou 111 111
Becker). M' a de vangh2l.
Jruli mterdits. ' m
Jule' et Jim.
Le salatre de la peur.
!looblesse oblige.
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re~encc du Cinéma >J.
MICHEL MOURLET
publie aux Editions de la Table Rondç;

"SUR UN ART IGN( ~~]"


(publication : Mars 19651


''Des idiots. Nous sommes des idiots. »

Bianco e Nero.
'' Mourlet oublie qu'il parle de cinéma, le
septième art, et croit parler d'un match de
lutte libre. >>
Rivista del Cinematografo.
(( La théorie de Mourlet constitue l'héritage
cinématographique des Alexandrins, des Pré-
raphaëlites et des Parnassiens. ,,
Luc Moullet.

EDITIONS DE LA TABLER
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ltO, rue du Bac . PARIS (7e)

Directeur-Gérant : Michel MOURLET


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