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Collègi Calandreta del PaÍs Tolosan – 5 carrièra D.Elbaz – 31500 TOLOSA – Annada escolara
2018-2019
Merci beaucoup a Laurent Audry d’avoir accepter ma demande de stage d’observation, Jean-Claude,
Virgil et toute l’équipe prothèse de Lagarrigue de m’voir bien accueilli et a Corine de m’avoir ramené
le soir.
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Sommaire :
I : Ce que j’attendais du stage.
A. Identitat de l’entreprèsa.
B. Caractéristiques de l’entreprise.
C. Activités de l’entreprise.
2) Organisation de l’entreprise.
3) Raiadís de l’entrepresa.
4) La concurrence
D. Vie de l’entreprise.
1) Lo personal.
2) Accueil du personnel.
3) L’igièna.
4) La vida sindicala.
IV : Conclusion.
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I : Ce que j’attendais du stage.
Tout d’abord, alors que je cherchais un stage d’observation, un jour où j’allais dans cette
entreprise pour un rendez-vous, Fabrice, un employé qui s’occupe de moi, me proposa de
faire mon stage dans l’entreprise. Au début je pensais que j’allais suivre le métier
d’applicateur qui consiste à aller voir les clients, faire des moulages, et à remplir une feuille
avec dedans les mesures du client, la couleur de sa prothèse, les choses qu’il veut changer,…
etc. Je me suis dit que comme ce n’était pas le genre de stage que je voulais faire, car je
n’éprouvais pas un intérêt particulier pour ce métier ni l’envie d’en savoir plus, je pensais
donc ne pas faire le stage dans cette entreprise. Je me suis alors mis à chercher un autre
stage. En allant porter à réparer mon ancienne trompette, j’ai vu, à coté de l’accueil, l’atelier
où des employés réparaient les cuivres. Alors je me suis dit que cela serait génial de faire
mon stage ici dans cet atelier. J’ai demandé à l’accueil s’ils prenaient des stagiaires de 3ème
et on m’a répondu que c’était en effet possible de faire mon stage dans l’atelier. Je suis
reparti, content d’avoir déjà trouvé un stage. Puis j’ai réfléchi et j’ai cherché si je pouvais
avoir un meilleur stage. Je me suis souvenu que dans Lagarrigue il y avait aussi un atelier. J’ai
donc pensé que cela serait intéressant de savoir comment mes prothèses et les prothèses en
général étaient faites. Dans tous les cas, je ne partais pas avec l’idée de faire ce métier plus
tard. Je voulais juste en savoir plus sur les prothèses.
L’entreprise, je la connaissais déjà avant de faire mon stage, mais la seule fois ou j’étais allé
dans l’atelier, j’étais juste rentré rapidement, sans vraiment avoir le temps de regarder ce
qu’il s’y faisait. Quant au personnel, je connaissais déjà les secrétaires, quelques applicateurs
et dans l’atelier je connaissais juste Jean-Claude. Je trouvais les relations entre les membres
du personnel plutôt familiales. Et par rapport a une semaine de collège, je pensais que ma
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semaine de stage allait être assez détendue, heureux à l’idée de découvrir pleins de choses
intéressantes tout en m’amusant.
Avant de faire on stage j’étais aussi un peu stressé, parce que je ne savais pas comment ça
allait se passer mais j’étais surtout content et impatient de faire mon stage.
A. Identitat de l’entrepresa.
Nom : Lagarrigue
Adreissa : 19 rue du
Général Lionel de Marmier
31300 TOULOUSE
Geogrficament : es en
Françga principalament e
un pauc en Soïssa mas es
luirat per Rodin que es a
Ulm en Alemanha.
B. Caracteristicas de l’entrepresa.
C. Activités de l’entreprise.
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1) Nature de l’activité.
L’entreprise Lagarrigue reçoit des patients qui sont amputés soit d’un ou des deux
membres supérieurs soit d’un ou des deux membres inférieurs. Puis en fonction des
besoins, de la taille et de la demande des patients, elle fait des prothèses à partir de
matériaux tels que la résine, le plastique, la fibre de carbone et des composants qu’elle
commande comme des mains, des lames de course, des électrodes, des batteries et des
circuits électriques. Les matériaux sont livrés par l’entreprise G2M qui fabrique et livre
du matériel orthopédique. Les composants des prothèses de bras électriques sont eux
livrés par l’entreprise Ottobock qui est aussi une entreprise orthopédique. Lagarrigue
crée à partir d’un moule fait sur le patient, une emboîture avec de la couleur de la fibre
de carbone ou d’un motif en lycra dans de la résine et l’assemble avec, selon si c’est une
prothèse de bras ou de jambe, une main ou un pied et, selon si la prothèse est électrique
ou pas, des électrodes, des câbles et des batteries.
2) Organisation de l’entreprise.
La plupart des centres envoie la commande du patient à un autre centre qui, lui, fabrique
des prothèses. Comme par exemple dans le sud, les centres d’Albi, de Montauban… qui
envoient leurs commandes au centre de Toulouse. Le service Lagarrigue est divisé en 2
grandes parties: une partie prothèses et une partie orthèses ( Une orthèse est un
appareillage qui compense une fonction absente ou déficitaire, assiste une structure
articulaire ou musculaire, stabilise un segment corporel pendant une phase de
réadaptation ou de repos. Par exemple une atèle, un corset, une genouillère… Elle
diffère donc de la prothèse, qui remplace un élément manquant.)
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3) Raiadís de l’entrepresa.
Cette entreprise vend ses produits dans toute la France et aussi un peu dans l’ouest de la
Suisse.
4) La concurrence.
En revanche Lagarrigue Toulouse est l’une des entreprises les plus importantes de la ville
dans son domaine d’activité.
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D. Vie de l’entreprise.
1) Lo personal.
2) Accueil du personnel
On entre dans Lagarrigue par l’accueil et la salle d’attente. A côté de l’accueil il y a une
porte privée, par où le personnel de l’atelier entre et arrive dans l’atelier. Le personnel
de l’atelier arrive à 7h00. Il y a une première pause aux alentours de 10h où la plupart
des employés vont fumer dans un bungalow. En suite il y a la pause du midi qui est de
12h à 13h30. Pour manger il y a une salle à l’étage avec deux micro-ondes et deux
grandes tables. Certains employés commandent leur repas et mangent dans le
bungalow. L’après midi la pause est aux alentours de 15h ; c’est une pause comme celle
du matin. Et le soir certains employés finissent à 16h et d’autres à 16h30, et balayent et
rangent leur plan de travail.
) L’igièna e la seguretat.
Dins lo talhièr i a una salla amb machinas per ponçar. Dins aquela salla que es tampada
amb de pòrtas batentas, es obligatori de portar un masque anti posca e de clucas.
Tanben dins lo talhièr de laminage cora fas de resina sias obligat de portar un masque
anti vapors chimicas et dins lo talhièr de platre coras utilisas lo martel-piquaire sias
obligat de portar un casque de proteccion oditiva e de clucas.
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III. Mon activité dans l’entreprise.
Quand je suis arrivé dans l’entreprise, on m’a conduit vers le chef d’atelier qui m’a dit
que pour commencer, j’allais suivre le déroulement de la construction d’une prothèse
lors de son passage dans l’atelier. Donc pour commencer, je suis allé regarder le
thermoformage qui consiste à faire chauffer des plaques de plastique thermoformables
dans un four à 170°C pour les faire fondre et les poser sur un moulage et activer la
pompe à vide pour que le plastique prenne mieux la forme du moulage.
Ensuite je suis allé voir l’atelier de lamination où on met une poche plastique sous vide
sur un moule, couvert de fibres de carbone ou pas, et on injecte de la résine, colorée ou
non, entre la poche plastique et le moule pour que la couche de résine soit fine et très
lisse. Et une fois la résine sèche, le moule est envoyé dans l’atelier d’assemblage.
Après ce fut l’heure de la pause du midi où je suis allé manger à l’étage avec les
employés. Les moments des repas étaient très conviviaux.
Je suis ensuite allé voir dans l’atelier d’assemblage, qui est la partie la plus grande de
l’atelier des prothèses, où j’ai regardé un employé qui, ce jour de stage devait assembler
une prothèse myoélectrique de bras. La journée s’est ainsi terminée.
Les jours qui ont suivi, j’ai continué à aider et regarder la lamination et à aller voir
l’assemblage de temps en temps.
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différemment du fait de l’ajout du motif. Il fallait donc faire en premier lieu la prothèse
orange, et, ensuite, poser le blason et faire un glaçage, donc refaire une couche de résine
transparente par-dessus.
Le métier que je vais vous présenter est le métier de la lamination, qui est le métier que
j’ai le plus observé mais surtout un de ceux que j’ai le plus aimé.
Ce métier consiste à recevoir des moulages en plâtres avec une feuille de commande
précisant la couleur de la résine ou s’il faut mettre des fibres de carbone ou du lycra.
Pour commencer, si le plâtre est humide, il faut y mettre de la gomme-laque pour isoler
le plâtre et pour que la résine ne réagisse pas avec l’eau. Ensuite il faut poser le moule
sur une pompe à vide et, il suffit de mettre une sorte de poche plastique en cône, de
l’attacher en bas du moule avec un élastique pour que l’air ne passe pas et que la pompe
puisse faire le vide. Puis, si le patient veut une prothèse de couleur chair, ce qui est très
courant, préparer la résine en la mélangeant avec du durcissant et le la couleur chair,
tout en étant équipé d’un masque anti vapeur toxiques. Une fois la résine prête, il faut la
faire couler dans la poche, l’étaler à travers la poche pour qu’elle recouvre tout le moule
et la lisser toujours à travers la poche pour que la résine soit lisse et qu’il n’y ait pas
d’inégalité ou de surplus. Si le patient veut une prothèse en fibres de carbone, ce qui est
aussi courant, il faut découper des morceaux de fibres de carbones, sous forme de tissu,
les coller avec de la colle en bombe, et quand le moule est totalement recouvert, il faut
mettre la poche plastique et l’attacher en bas du moule avec un élastique pour pouvoir
faire le vide, mélanger la résine avec le durcissant, en portant un masque anti vapeur
toxiques bien sûr, faire couler la résine dans la poche, l’étaler et la lisser. Si le patient
veut un lycra, il faut faire comme avec la fibre de carbone mais au lieu de découper de la
fibre de carbone il faut mettre le lycra entier autour du moule, bien étiré pour que le
lycra prenne la forme du moule et mettre la poche par-dessus. Ensuite, il faut mélanger
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la résine au durcissant, avec le masque, et la faire couler dans la poche. Ensuite, il faut
fermer la poche avec un lacet pour que la résine en trop ne puisse pas retourner dans la
poche et créer des surplus. Puis quand la résine est sèche il faut arracher le haut de la
poche avec la résine en trop qui est sèche, et livrer la prothèse a l’employé chargé de
faire les finitions et la partie esthétique.
IV : Conclusion.
J’ai eu beaucoup de plaisir à faire ce stage dans cette entreprise grâce à la bonne
ambiance et à l’accueil chaleureux. J’ai été tout de suite intégré dans l’atelier par tous les
employés. Le stage a répondu à mes attentes car il m’a permis de savoir comment
étaient fabriquées les prothèses. J’ai appris que j’aimais ce métier pour sa partie
manuelle et technologique mais que je ne pense pas en faire mon métier pour autant,
parce que je préfère les métiers informatiques.
Ce que j’ai le moins aimé est la partie qui consiste à ajuster l’axe entre la tige et
l’emboiture.
J’ai trouvé cette expérience très positive. J’ai appris que l’ambiance de travail est un
facteur qui compte beaucoup dans la motivation pour aller travailler. Je me suis aussi
rendu compte de la difficulté de ce métier qui est de bien répondre à la demande du
patient tout en respectant de nombreuses contraintes.
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V : Las Anèxas.
Talhièr de termòformage
For a calfar lo plastic
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Mòtle laminat
Talhièr de laminacion
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Maquinas a ponçar
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