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Incarnation et Émotion

Médiumnité et Sensibilité
La sensibilité se décrit par le simple fait de percevoir le monde et les choses par le biais des
cinq sens corporels : la vue, l'ouïe, le toucher, le goût et l'odorat. En théorie, nous sommes
donc tous des êtres sensibles grâce à nos capacités sensorielles, sachant que la sensibilité est
l'une des facultés primordiales nous permettant d'interagir avec la matière et d'y vivre.

La médiumnité, par définition, est la faculté d'un individu à percevoir la réalité au-delà des
cinq sens corporels : le médium peut sentir, voir, entendre des âmes désincarnées, des
énergies, des mondes subtils etc.

Autrement dit, c'est d'autre sens qui interviennent dans le fonctionnement de la


médiumnité d'un individu : pour certains, c'est le 6ème sens, pour d'autres, il s'agit d'un
aspect extra physique des cinq sens que nous disposons déjà etc. Je ne m'étalerais pas sur ce
point, mais l'essentiel est que le médium est capable de recevoir des données sensorielles
d'un autre type, celui des données extra physiques.

Le médium dispose d'un autre type de sensibilité que les individus non médiums n'ont pas
encore développée. Le médium a une sensibilité plus poussée que les individus non
médiums, par le fait qu'il peut recevoir davantage de données sensorielles que les autres. Il
peut également devenir plus sensible aux énergies des personnes, à leurs émotions, à leurs
sentiments.

Les médiums ressentent les émotions des autres comme si elles étaient les leurs. On appelle
ce phénomène, l'empathie. Leur réalité médiumnique peut les pousser à ressentir les choses
bien plus que les autres, et donc à disposer d'une grande sensibilité.

L'hypersensibilité peut donc se coupler à une hyperémotivité pour la raison qu'on ne gère
pas ce qui vient à soi et que par conséquent, nous répondons à cette trop grande sensibilité
pour nous par un déferlement émotionnel. On peut refuser les souffrances des autres et
ainsi être en colère par exemple. Mais il reste possible de travailler sur son émotivité pour
mieux vivre sa sensibilité. Pourtant, je le répète, on peut être un médium très sensible (et
non hypersensible) sans être émotif.

La médiumnité amène ainsi indéniablement à s'ouvrir à la réalité du monde, des énergies,


des autres. Celui qui devient médium un jour voit sa sensibilité accrue. La médiumnité va
toujours avec la sensibilité.

Le Médium ressent les émotions des autres comme si elles étaient ses propres émotions. Il
ressent les émotions des autres tout étant dissocier d’elles, on appelle ce phénomène,
l'empathie.

La sensibilité médiumnique est présente dans chacun de nous. Et comme toutes les autres
caractéristiques, la sensitivité médiumnique peut être développée grâce à un entraînement
particulier, et peut être mise à notre service.
Développer sa Sensibilité
La sensibilité que doit posséder le médium ne s'acquiert pas du jour au lendemain, il faut
beaucoup de travail. En effet, le médium doit s'exercer dans son domaine, se perfectionner,
c'est ce qu'on appelle le développement médiumnique.

Pour se réaliser parfaitement et devenir un médium, l'aspirant à la médiumnité doit


apprendre et doit faire face à plusieurs obstacles. La durée de ce développement n'est pas
définie, elle dépend de chaque médium.

Un des plus grands obstacles du médium est son Mental. La maîtrise du Mental est essentiel
afin de ne pas laisser transparaître sa personnalité lors de ses séances de Médiumnité.

Une étape importante pour faire la maîtrise du mental consiste à développer notre
sensibilité. La sensibilité est un véritable sixième sens, qui se traduit en une impression
d’éprouver quelque chose qu'on est incapable de définir. Cette impression est bien plus
forte que l'intuition, c'est une réelle certitude qui dépasse toute rationalité.

Exercice pour développer et augmenter ta sensibilité :

Premièrement, tu dois commencer par trouver un cadre naturel qui t’attire. Cela peut être
ton jardin, un parc local, un chemin sauvage ou tout autre lieu en plein air.

Tu essais de trouver un endroit qui te donne un sentiment de bien-être.

Plus tu vas pratiquer cet exercice, plus tu vas progresser rapidement. Tu peux y consacrer
un minimum de dix minutes et en faire aussi longtemps que tu désires.

Le but de cet exercice est d’isoler l’un de tes sens, puis de te concentrer sur celui-ci, en
prêtant attention à ton expérience de l’environnement naturel que tu as choisi.

Assois-toi, ferme les yeux, respire profondément, et libère ton esprit de toutes pensées
vagabondes.

Maintenant, concentre ton attention sur ton corps. Essais de prêter attention à comment tu
te sens – As-tu froid, chaud, es-tu assis inconfortablement par terre ?

Ensuite, porte ton attention sur l’un de tes sens et ce que tu ressens par rapport à lui.

Commence par écouter les sons portés par l’air. Reste calme et écoute réellement.

Qu’entends-tu ? Entends-tu des sons gênants tels que la circulation, des machines, des
avions ou les voix d’autres personnes ?

Si, en effet, tu entends un fond sonore, écoute-le tout d’abord. Prête attention à ce que sont
ces sons, d’où ils viennent et, le plus important, ce qu’ils te font ressentir.

Maintenant, ouvre vos yeux et regarde autour de toi. Apprécie la beauté du lieu.
Lorsque tu te sens prêt, ferme les yeux à nouveau et, cette fois-ci, concentre-toi sur les sons
naturels du lieu que tu as choisi.

Laisse s’en aller toute pollution sonore qui te distraie, de la même façon que tu as appris à
te débarrasser de toutes pensées distrayantes lors de tes méditations. Concentre-toi sur les
sons de la nature et garde tes yeux fermés.

Qu’entends-tu ? Un oiseau ? Plusieurs oiseaux ? Où sont-ils ? Est-ce qu’ils communiquent


entre eux ? Comme le font les corbeaux ? Est-ce qu’ils chantent ? Qu’est-ce que leurs
chants te font ressentir ?

Entends-tu le vent souffler ? Les feuillent bruisser ? Les arbres murmurer ? Entends-tu les
chiens aboyer ? Entends-tu les insectes, les abeilles, les grenouilles ? Entends-tu des bruits
que tu n’avais jamais remarqués auparavant ? Comment les ressens-tu ?

Écoute le silence entre les sons.

Si ton esprit commence à vagabonder, tu peux revenir au moment présent en te concentrant


à nouveau sur les sons de la Nature.

Lorsque tu es prêt, ouvre les yeux. Essais de localiser les sources des sons. Sais-tu ce qui fait
ces sons ? Écoute la nature, qu’est-ce que cela te fait ressentir ?

Tu peux essayer de retourner sur ce lieu à différents moments du jour et de la nuit et au


cours des différentes saisons. Essais de remarquer les différences dans ce que tu entends et
ressens.

L’exercice « développer sa sensibilité » peut, et devrait, être employé pour développer tes
autres sens également.

Pour la vue, remarque tous les détails que tu peux. Pour l’odorat, concentre-toi sur ce que
tu sens, etc.

Essais cet exercice à nouveau à différents moments de la journée, ou lors des différentes
saisons et essais de remarquer ce qui change.

Alors que tu apprends à concentrer ton attention, tes sens – vue, ouïe, goût, toucher, odorat,
intuition et les autres sens naturels que tu as tous négligés, en vivant dans un monde civilisé
à outrance – deviendront plus vifs et plus aiguisés.

Fin de l’Exercice
Être sensible signifie avoir ses sens en alerte donc avoir une plus grande capacité à prendre
les devants, c’est à dire à être actif et réactif et donc capable de changer les choses.

Le plus important est de ne surtout pas considérer sa sensibilité comme un défaut : c'est le
premier pas vers un mieux-être et un mieux vivre.
Médiumnité et Vulnérabilité
Si tu veux devenir Médium, il est essentiel que tu apprennes à devenir vulnérable.

La vulnérabilité va te permettre de laisser tomber tes barrières émotionnelles qui


t’empêchent de t’ouvrir aux autres afin de percevoir leur intérieur.

La vulnérabilité n’est ni bonne ni mauvaise en soi. Ce n’est pas ce qu’on appelle une
émotion négative, mais ce n’est pas non plus une expérience positive. La vulnérabilité est au
cœur des émotions et des sentiments. Ressentir, c’est être vulnérable.

Une communication vulnérable requiert de la franchise. Ce qui se passe, c’est que lorsque
nous sommes francs ou que nous disons ce que nous pensons, nous pouvons blesser les
autres. Il faut donc savoir être honnêtes, tout en sachant s’exprimer d’une façon qui puisse
engendrer le moins de souffrance possible.

Quelle est la clé d’une communication vulnérable ? C’est exprimer un sentiment et non un
jugement. Juger les autres, implique de détruire tout type de sensibilité et de franchise dans
la communication.

De nombreuses personnes communiquent par le biais de jugements, par peur de se montrer


sensibles, car elles pensent que révéler leurs sentiments est un signe de vulnérabilité.

L’idée que la vulnérabilité est une preuve de faiblesse est le mythe le plus répandu et le plus
dangereux. Quand on passe sa vie à se protéger de la vulnérabilité et à éviter d’être perçu
comme trop émotif, on ressent du mépris vis-à-vis de ceux qui sont moins capables de
masquer leurs sentiments, de se faire une raison et de persévérer envers et contre tout. On
en est arrivé au point où, plutôt que de respecter et d’apprécier le courage et l’audace
inhérents à la vulnérabilité, on laisse la peur et la gêne se transformer en jugement.

Le rejet de la vulnérabilité découle le plus souvent de son association avec des émotions
négatives comme la peur, la honte, le chagrin, la tristesse et la déception. Ce sont des
émotions dont on ne veut pas parler, même quand elles affectent profondément la manière
dont on vit, aime, travaille, dirige.

En favorisant la sensibilité dans ta communication, tu vas peu à peu développer la


vulnérabilité. Tu vas découvrir que ta vulnérabilité est en fait une grande force qui te
permet de ressentir totalement la personne en face de toi et, ainsi, tu pourras établir une
communication profonde, sans barrière, sans jugement.

La vulnérabilité permet d'être en contact profond avec soi-même et les autres. Elle permet
de se mettre en contact avec ses émotions, les écouter et de les laisser se manifester.

La vulnérabilité est également le berceau des émotions comme l’amour, l’intimité, la joie, le
courage, de l’empathie et la créativité. Elle est la source de la responsabilité et de
l’authenticité.
La Communication Émotionnelle
Cette formation se base sur ces principes : mieux se connaitre, mieux communiquer avec
soi-même et les autres. Elle est axée sur un cheminement vers la croissance et le
développement personnel. La personne s’engage avec elle-même vers un chemin d’équilibre
émotionnel. En ayant une santé émotionnelle, la vie devient plus facile.

L’apprentissage de la communication émotionnelle te permettra d’atteindre tes objectifs,


tes rêves et tes buts, et ce, en toute simplicité́ . Tu augmenteras ta confiance en toi, ainsi que
ton estime de toi-même.

La communication émotionnelle est une forme de communication privilégiée qui permet de


s’exprimer sans violence et avec respect. Elle permet également d’affirmer et de faire
connaître ses besoins et ainsi de parvenir à les satisfaire plus facilement. Il est important de
faire part de son besoin à l’autre, non pas pour que celui-ci le prenne en charge, mais le
simple fait d’en parler est déjà une façon d’y répondre en prenant ses désirs en charge et
ainsi en se respectant soi-même. L’autre est alors libre d’y répondre ou non.

Pour nous exprimer nous utilisons la parole, mais il y a une communication non-verbale qui
s’exprime bien malgré nous. A notre insu, lorsque nous parlons, notre gestuelle
accompagne notre parole, c’est le prolongement de notre pensée. Notre manière d’écouter,
de regarder, de nous vêtir…, en dit long sur ce qui nous habite.

Notre état d’être est traduit par une communication inconsciente qui révèle une part intime
de soi et qui émane au travers de notre gestuelle, comportements, attitudes, lapsus, actes
manqués…

L’inconscient, « metteur en scène » de notre communication interne.

Dans notre rapport aux autres, l’inconscient joue un rôle important dans ce que nous
communiquons et dans la manière de le communiquer. A notre insu, au travers de diverses
situations, il décide de la pièce que l’on va jouer, seul ou avec d’autres acteurs. C’est lui qui
choisit le décor, les personnages et c’est lui qui dirige. Il faut donc se donner la réplique,
c’est interactif et les échanges dépendent du rôle de chacun. Tous les acteurs sont alors,
comme des pantins manipulés.

Si nous nous obstinons à ne rien comprendre, nous aurons à jouer la même pièce autant de
fois que le metteur en scène le jugera nécessaire, mais pas toujours avec les mêmes acteurs
ou le même décor.

Notre interprétation d’une situation découle de ce que la « scène » nous renvoie en rapport
avec notre histoire personnelle. Nous pouvons la vivre avec sérénité ou en être affectés et
dans ce cas, sans recul, aucune neutralité n’est possible, puisque c’est à travers notre «
émotionnel » que nous la vivons. C’est pourquoi, face à une même situation, nous n’avons
pas tous, la même attitude, les mêmes émotions, les mêmes ressentis, la même perception…
Chaque situation peut nous connecter avec des ressentis agréables ou désagréables. Ils sont
des signaux. Lorsque nous nous sentons « touchés » et que cela nous affecte, nous ne
pouvons être objectifs, car nous avons tendance à laisser nos émotions avoir une prise sur
nous.

Il est important de prendre conscience que les ressentis peuvent nous leurrer, car ils font
parfois écho à un premier « senti » refoulé, manifesté il y a longtemps. On le ressent lors de
re-stimulations au travers de diverses situations. De plus, un ressenti peut masquer
plusieurs émotions, comme par exemple derrière celui de colère, où il peut y avoir un
sentiment de tristesse, de remord, d’injustice, de rejet, d’abandon, d’humiliation, de
dévalorisation, etc. Pour une meilleure connaissance de soi, il est important de les identifier.

A travers ce qui nous parvient, notre « metteur en scène » cherche à nous éveiller sur notre
manière d’appréhender le monde. Allons-nous faire la « sourde oreille, car ce qui n’est pas
bien compris peut à nouveau se représenter.

La manière de prendre les « choses » a donc son importance.

Remercies tes ennemis, ils sont tes plus grands maîtres. Ils t’apprennent à faire face à la
souffrance et à développer la patience, la tolérance, la compassion, sans rien attendre en
retour.

Lorsque nous nous sentons affectés par une attitude, nos émotions nous indiquent qu’il est
nécessaire de « se » clarifier et de faire un lien entre notre histoire personnelle et ce que
nous ressentons. En prenant conscience que ces signaux nous avertissent d’un écho en soi,
nous pouvons intervenir aussitôt et régler les problèmes avant qu’ils ne se développent en
schémas destructeurs. Car de toute manière, même ce qui est réprimé s’exprime, mais pas
toujours comme nous le souhaitons.

Il peut arriver à un moment ou à un autre d’éprouver une résistance à ce que l’autre fait ou
dit. Cette « résistance » peut se manifester par des réserves, de l’agacement ou de
l’irritation, créant un sentiment d’éloignement. L’erreur serait d’en rendre l’autre
complètement responsable, ce qui parasiterait notre écoute intérieure, car rien n’arrive par
hasard. Ce qui vient à nous, nous l’avons attiré tel un aimant attire le fer.

Par exemple, si une personne que nous aimons raconte naïvement lors d’une soirée un fait
nous étant arrivé que vous préférions taire, cela peut avoir comme effet de nous irriter,
surtout si cela se reproduit.

Nous pouvons alors nous sentir blessés et pas respectés, il est donc important avant que cela
ne prenne de l’ampleur, non seulement d’exprimer notre ressenti dans le plus grand respect
à cette personne, mais aussi de comprendre pourquoi nous avons attiré ce type de situation,
en la reliant à notre histoire. Si cette attitude nous est « blessante », c’est parce qu’elle vient
« réveiller » une mémoire émotionnelle liée à de vieilles blessures.
En continuant sur le même exemple, nous ne sommes pas seulement ennuyés, nous sommes
en colère contre notre partenaire. Bien souvent sans en être conscient, nous nous éloignions
insidieusement de cette personne et nous créons une barrière émotionnelle. Le ressentiment
nous enferme dans l’illusion, en pensant que la source d’insatisfaction réside à l’extérieur,
alors qu’en réalité elle est à l’intérieur de nous-mêmes.

Lorsque le ressentiment nous habite, nous obéissons à la pulsion qu’exige l’ego, d’écarter
quiconque lui fait obstacle lorsqu’il se sent menacé, sans considération aucune pour le bien-
être d’autrui. Sous son emprise, la perception est déformée et à coup sûr, nous nous nuisons
à nous-mêmes, car tant que nous sommes dans cet état, nous ne sommes pas heureux de
l’être.

Le ressentiment détruit alors, tout sentiment d’intimité et il établit dans la relation à


l’autre, un schéma destructeur qui ne peut que s’intensifier s’il n’est pas immédiatement
brisé.

Lorsque le ressentiment est trop douloureux, vient le rejet qui a pour effet de nous faire
rechercher toutes sortes de moyens pour rendre l’autre responsable. Arrivés à ce point, il y
a séparation émotionnelle et la séparation physique peut se produire à tout moment, car
tout ce que fait notre partenaire, nous irrite et nous ennuie. Si le rejet persiste, pour
atténuer la douleur que nous ressentons, nous passons au refoulement.

Nos émotions sont chargées d’énergie, comme l’électricité́ . Si nous vivons de la colère, et
nous ne savons pas comment la gérer, celle-ci va se manifester de plus en plus fort. Nous
sommes un tout, notre coeur/corps/esprit a son propre rôle à jouer. Nos émotions sont des
indicateurs sensoriels que quelque chose ne va pas dans notre système. Tout comme une
voiture quand le réservoir d’essence est vide, il y a une lumière qui s’allume, nous indiquant
qu’il est temps de faire le plein. En comparaison, nos émotions sont alors la lumière qui
indique au corps qu’il y a une incohérence.

La communication émotionnelle se base sur ce même principe. Tes émotions sont ta


boussole émotionnelle, ton indicateur. Il est important d’apprendre à̀ reconnaitre ses signes,
avant que la lumière s’allume. Par exemple, il faut apprendre à̀ voir par toi même que le
réservoir se vide.

Il est important de bien se connaitre soi-même, et maitriser ses émotions et son stress si on
désir aider une autre personne.

La communication émotionnelle est une démarche qui vise le mieux-être, par une meilleure
compréhension de soi et des autres. C’est ce qu’on appelle la santé émotionnelle.

Quand nous apprenons à̀ développer notre mode de communication émotionnelle, cela


favorise les réponses plus rapides, car elles sont axées sur le ressenti, l’intuition, et non sur
le mode opérationnel rationnel (tête). Le message se fera du corps vers le cerveau et non
l’inverse.
Glande thyroïde
La Glande Thyroïde est un élément essentiel dans le processus de transmission de l’énergie
de Guérison. À chaque fois que tu vas canaliser l’énergie de guérison, celle-ci va passer par
ta glande Thyroïde et descendre au Thymus, et donc, par conséquent, elle va nettoyer tous
les blocages émotionnels reliés à cette glande.

La thyroïde est située à la base du cou sous la pomme d'Adam. Elle pèse environ 30
grammes. Elle a la forme d'un papillon avec deux lobes. Son rôle est extrêmement
important. Elle a un impact sur notre humeur, notre poids et même sur notre vie sexuelle.

Cette glande est formée de groupe de cellules qu'on appelle des vésicules. Ces vésicules sont
traversées par des vaisseaux sanguins dans lesquels le sang transporte de l'iode.

L’iode est le principal ingrédient pour fabriquer les hormones thyroïdiennes. Les cellules
vont absorber l'iode et le transformer en hormones. Les hormones thyroïdiennes pénètrent
dans le noyau des cellules et permettent la synthèse d'un nombre conséquent de protéines.

Mais pour que nos organes puissent avoir un bon rythme de fonctionnement il faut la bonne
dose d'hormones thyroïdiennes. Cette dose est gérée par le cerveau et plus exactement par
le chef d'orchestre des glandes de l'organisme, l'hypophyse. Quand il n'y a pas assez
d'hormones thyroïdiennes, l'hypophyse envoie un message à la thyroïde pour qu'elle
fabrique plus d'hormones. Quand il y en a trop, l'hypophyse freine la production de la
thyroïde.

Mais parfois, l’hypophyse est bloquée ou ralentie par notre façon de penser, ce qui affecte
ce système de régulation ; résultat la thyroïde devient trop paresseuse, on dit qu'on est en
hypothyroïdie. Le corps fonctionne au ralenti, on réfléchit moins vite et on a du mal à
mémoriser.

À l'inverse, quand la thyroïde s'emballe, c'est l'hyperthyroïdie. Le corps est en super


fonctionnement, le cœur bat plus vite, la respiration s'accélèrent, la digestion est trop
rapide, on a la diarrhée, on tremble et on a des troubles de l'humeur. On devient irritable.

Les troubles de l'humeur sont souvent créés par un problème de thyroïde.

La thyroïde est le thermostat du corps humain. Ses hormones régulent en effet à peu près
toutes les fonctions dans notre corps. Mais, le terme « accélérateur » serait encore
plus approprié : selon qu’il soit collé au plancher ou que le pied soit levé, le métabolisme du
corps accélèrera ou ralentira d’autant.

En position neutre, notre corps fonctionnera juste à la bonne vitesse, comme c’est le cas
pour la vaste majorité d’entre nous, dont la thyroïde travaille normalement.

L’accélération ou le ralentissement de la glande causera toutefois des symptômes très


variés, parfois sévères. Ceux-ci touchent tous les autres organes, incluant le cerveau, ce qui
affectera notre activité mentale et même notre humeur.
Quand la thyroïde ralentit

Lorsque la thyroïde ralentit sa production d’hormones thyroïdiennes, c’est un peu comme


si on abaissait le niveau du thermostat ou qu’on relâchait l’accélérateur : toutes les
fonctions corporelles s’engourdissent. Même la température du corps baisse. Les
symptômes peuvent aller jusqu’au coma, une situation toutefois exceptionnelle aujourd’hui.

Parmi les symptômes causés par l’hypothyroïdie, on retrouve :

• Un manque d’énergie

• De la fatigue

• Une difficulté à supporter le froid et même la température normale

• Un état dépressif

• De la confusion, surtout chez les personnes âgées

• De la difficulté à se concentrer

• Des pertes de mémoire

• Une peau sèche

• De la pâleur

• Des cheveux secs et même une perte de cheveux.

• Des ongles se brisant facilement

• Des cycles menstruels irréguliers, souvent plus longs, voire même absents

• De l’infertilité, dont c’est une cause traitable

• De la constipation

• Un goitre, ce gonflement à la base du cou qui correspond à une augmentation du volume


de la thyroïde.

En énergétique, cette glande est lié à la qualité d'expression, du verbe, à̀ notre manière de
nous situer dans les échanges.

Nous pouvons tous observer cette relation lorsque l'enfant (plus particulièrement le garçon)
se développe sexuellement, sa voix se transforme. Lorsqu'un homme adulte présente une
déficience de la voix, tremblante ou faible ou trop aiguë, cela dénote une faiblesse sexuelle.

La faiblesse sexuelle vécue à ce niveau doit non seulement se comprendre comme inhibition
de l'action sexuelle, mais bien comme inhibition de la capacité́ d'agir avec assurance.
La Thyroïde est en rapport avec les émotions. Il est essentiel de comprendre que la
Thyroïde est une organe d'expression et de perceptions sur le plan physique. La parole
étant l'élément le plus perceptible chez l'être humain, mais il s'agit aussi de l'odorat, et de
l'ouïe et du gout. L'énergie de la Thyroïde est transportée vers les poumons et les bronches.

Un cas d’hyper ou d’hypofonctionnement thyroïdien pourra se créer, si j’ai le sentiment de


toujours ravaler des injures ou que la vie est injuste avec moi. Me complaisant dans ce rôle,
j’en arrive même à provoquer autour de moi des situations problématiques afin d’être de
plus en plus une pauvre victime. Le cou, reliant ma tête à mon corps, fait de cette région le
lien entre le corps et l’esprit. Si mon orgueil est très fort et qu’il ferme mon cœur, je passe à
côté de mes vrais besoins. Le centre d’énergie de la gorge représente ma créativité.

Causes émotionnelles de la Glande Thyroïde :

 Profonde tristesse de ne pas avoir pu dire ce qu'on aurait voulu.


 Sentiment d'être trop lent par rapport à ce qu'on attend de nous.
 Impuissance, sentiment d'être coincé dans une situation, être devant un mur, dans une
impasse.
 Être bloqué dans la parole ou dans l'action, être empêché d'agir.
 Pas le droit de parler, de s'exprimer. Ne pas se sentir écouté.
 Difficultés à s'affirmer.
 Une déception ou une injustice n'a pas été "avalée" et est restée en travers de la gorge.
 Chagrin non reconnu par l'entourage.

Hyperthyroïdie :

 Désir de vengeance, besoin de prouver ses capacités.


 Trop en faire pour être aimé.
 Croire que tout est urgent, il faut tout "faire vite".
 Colère et tristesse de ne pas avoir dit ce qu'on aurait aimé ou voulu dire à une
personne, ou dans une situation. Dans ce cas, on peut essayer de faire la thérapie de
la lettre à brûler.
 Se sentir dépassé par les événements.
 Non-dits accumulés.

Hypothyroïdie :

 Profond découragement, à quoi bon ?


 Aimerait en faire plus, mais ne se demande pas quels sont ses vrais besoins.
 Personne ne nous comprend.
 Rancune tenace et nourrie pendant des années.
 Résignation, abandon de la vie.
 Désir de fuir les réalités, se mettre en retrait.
 Rancune ancienne non réglée.
Les Émotions
Les émotions sont essentielles pour les êtres humains : elles sont indispensables à la survie
et font partie intégrante de notre constitution. Elles donnent des signaux perceptibles dans
le corps qu’un besoin est satisfait ou non.

Chaque pensée, comportement, intérêt, désir ou croyance, est motivée par une émotions,
qui elle-même émerge d’un besoin. Les émotions représentent le germe qui pousse et sort de
la graine, dans un mouvement de l’intérieur de la terre vers la surface, de l’obscurité́ vers la
lumière.

Les émotions naissent de la confrontation entre nos besoins vitaux et les stimulations
externes (interactions avec d’autres personnes, influences de l’environnement : contact,
bruit, odeur, goût, température, lumière, couleur, formes, énergies, etc.) ou internes (faim,
inconfort, maladie, douleur, etc.).

Elles sont d’abord des sensations physiques qui circulent dans le corps sous forme d’ondes
énergétiques. Ces ondes sont reçues par le cerveau, qui les traite, les reconnait, leurs donne
un sens et leur permet de s’exprimer - ou non - sous forme d’émotions.

Les émotions sont stockées, traitées et gérées dans le système limbique, qui est un ensemble
de structures cérébrales (en forme de cornes de bélier) situées au centre du cerveau, sous le
néocortex.

Le système limbique est constitué́ du thalamus, de l’hippocampe, de l’amygdale, de la


formation réticulée, du Forni, du septum, de l’hypothalamus et de l’hypophyse. Ces
structures sont liées les unes aux autres et s’influencent mutuellement.

Le système limbique a la capacité́ de condenser l’énergie de l’émotions (qui peut se mesurer


sous forme de charge électrique) jusqu’à̀ une certaine limite et il envoie le surplus d’énergie
dans certaines régions du corps.

Ainsi, le système limbique peut stocker la charge énergétique des émotions (comme
l’estomac peut recevoir une certaine quantité́ d’aliments), et ce processus inconscient a une
influence sur la formation des pensées et sur les comportements de la personne. Il peut aussi
décharger l’excèdent dans le corps ce qui se traduit par l’apparition de symptômes.

Lorsque l’émotions est consciente, l’énergie quitte le système limbique pour aller dans le
néocortex. Le néocortex contient des aires sensorielles et motrices. Il est lié à l'acquisition de
compétences sociales comme le langage.

L'Être humain exprime quotidiennement un grand nombre d'émotions. Les émotions sont
perceptibles pour autrui à la fois par la parole, mais aussi par l'expression du visage, la
gestuelle et la posture.

Nous sommes sur terre… pour apprendre à vivre, connaître et maîtriser nos émotions…
Émotions et Système Immunitaire
Le système immunitaire est la capacité naturelle que possède l’organisme de se défendre
contre les agressions extérieures, et principalement contre les microbes. Un microbe
représente un micro-organisme invisible à l’œil nu. Il est d’origine végétale ou animale et ne
peut être visible qu’avec un microscope. Il englobe les bactéries, les bacilles et les virus.

Il y a deux types d’immunité : naturelle et acquise.

Elle est dite « acquise » lorsqu’une personne ne devient résistante ou immunisée contre une
maladie qu’après l’avoir contractée ou qu’après avoir été vaccinée de cette maladie. Cette
immunité est donc spécifique, car elle n’agit que contre la maladie qui l’a déclenchée ou
contre la maladie pour laquelle la vaccination a été faite.

Notre système immunitaire est notre système de défense contre toute agression extérieure :
dès que nous vivons de la colère ou toute émotion agressive contre soi ou les autres, nous
diminuons notre capacité de nous protéger contre ce qui se passe à l’extérieur. Nous nous
trouvons à la merci des croyances et des désirs de notre entourage et nous devenons de plus
en plus impuissants à nous défendre.

Un choc émotionnel, une souffrance mal digérée, un non-dit terrible, tout cela crée en nous
un déséquilibre qui affecte notre être entier dans toutes ses dimensions.

Notre système immunitaire est intimement lié au thymus, cette petite glande endocrine
située entre le sternum et le coeur. Sa localisation est en relation directe avec notre corps
émotionnel. Ainsi les émotions liées à l'absence d'amour, au sentiment d'abandon, à la
haine, altèrent la vibration spécifique du thymus et provoque l'effondrement immunitaire.

On voit cela dans l'effondrement d'immunité acquise, (sida), et qui n'est que l'expression
physique d'un besoin d'amour des individus. En effet, il n'y a pas de plus grande émotion
que de se sentir aimé, ce qui renforce l'immunité. De même, le sentiment de ne pas être
aimé diminue notre force d'adaptation et affecte notre défense immunitaire.

L'immunité n'est pas seulement une histoire de défense infectieuse, elle concerne aussi
l'adaptation de notre corps aux événements de la vie, ce qu'on appelle l'homéostasie :
gestion du froid et du chaud, de la soif et du sommeil, des déchets, de la digestion, de la
reproduction...

Les émotions et le système cardiorespiratoire

Sous l'effet des émotions, notre respiration s'accélère afin d'apporter une meilleure
oxygénation au cerveau et aux cellules du corps.
A l'inverse, il arrive parfois que nous ne puissions plus respirer correctement, la respiration
semble être suspendue, courte et inefficace. Nous passons en mode respiratoire de survie, et
avec pour conséquences une insuffisance d'oxygénation du sang et une oxydation cellulaire.

Il arrive même que, sous l'emprise d'une trop forte émotion, le coeur déclenche le processus
de survie que nous appelons « syncope ». Il agit comme le disjoncteur électrique en cas de
foudre, afin de protéger tout l'édifice de l'explosion.

De son côté, le coeur réagit aux modifications chimiques sanguines et s'accélère pour
compenser l'hypoxie et l'oxydation. C'est pour cela que nous entendons battre plus
fortement notre coeur dans la poitrine lorsque nous avons une frayeur ou nos tempes battre
sous l'effet de la colère. La plupart des troubles du rythme cardiaque sont liés à nos
émotions, de façon directe ou détournée.

Les athéromes sont des dépôts d'acide gras ou de cholestérol sur les parois des artères.
Cependant, lorsque nous cherchons à compenser un manque affectif, ou qu'une émotion
nous submerge, nous mangeons plus de sucres (ou de graisses) et nous fumons plus. Les
infarctus du myocarde ont souvent pour cause première des émotions, les dépôts
athéromateux n'en étant que les effets secondaires.

Les émotions et le système digestif

Nous disons volontiers que nous prenons les « coups » en plein plexus. En effet, nous
sentons comme un poignard nous traverser le plexus solaire sous l'effet d'un choc affectif
important. Ce plexus, siège des émotions, se trouve immédiatement devant l'estomac, mais
aussi dans le dos au niveau des vertèbres dorsales 6 et 7 et sur les côtés au niveau du foie et
de la vésicule biliaire à droite et du pancréas à gauche. C'est la raison pour laquelle il est
conseillé d'éviter les sujets « qui fâchent » au moment des repas...

Les émotions bloquent la digestion et elles perturbent aussi le transit intestinal, en raison de
leur action sur la bile et la vésicule biliaire. En effet, on dit « se faire de la bile » en parlant
de nos soucis, des craintes que nous avons. L'angoisse, la peur, le souci permanent agissent
au niveau de la bile, soit pour la libérer sous forme de « chasse » biliaire qui provoque une
diarrhée aussi subite que fulgurante, soit au contraire pour la « figer » et provoquer une
constipation psychosomatique opiniâtre.

Les émotions et l'équilibre acidobasique

Le pH, témoin de notre équilibre acidobasique, dépend tout autant de notre alimentation,
de l'évacuation de nos déchets que de nos émotions. Celles-ci influencent directement le pH
sanguin à partir du moment où le rythme cardiorespiratoire se trouve altéré. Il se produit
alors une alcalinisation de sang, associée à une oxydation cellulaire et sanguine, ce qui
perturbe l'ensemble de notre terrain.

L'alcalinisation du sang agissant en faveur des cancers, de l'effondrement du système


immunitaire, des athéromes, des infarctus du myocarde, il est facile de comprendre que les
émotions jouent une grande part dans l'apparition des maladies de civilisation. Sous
l'influence des émotions, l'état psychologique subit des perturbations d'autant plus
importantes que l'oxydation cellulaire augmente.

Les émotions et le système fleura-hormonal

Toute émotion constitue pour l'organisme une agression qui demande une adaptation
immédiate. Pour cela, nous disposons d'un système double : le système nerveux et le
système hormonal.

Lorsqu'une émotion importante vient frapper un individu, ses glandes se mettent au travail
pour gérer l'événement. Les glandes surrénales s'associent à la thyroïde et lancent les
premières opérations d'adaptation, relayées par l'hypophyse. Selon les besoins, les autres
glandes hormonales sont sollicitées ou mises au repos forcé. A la longue, un excès
d'émotions peut entraîner l'épuisement du système hormonal.

Après un emballement des fonctions d'adaptation, les surrénales se retrouvent en


hypofonctionnement, entrainant des troubles de production des hormones stéroïdiennes.

Dans un premier temps, la thyroïde s'emballe et peut donner tous les signes
d'hyperthyroïdie (amaigrissement, frilosité...) ou bien la thyroïde bascule en
hypofonctionnement.

La glande pinéale, véritable horloge biologique, subit les assauts des émotions au point de
dérégler notre sommeil. C'est elle qui contrôle le système parasympathique, responsable du
repos et de la récupération. Or la qualité de notre sommeil est directement liée à sa
disponibilité physiologique. Si elle ne peut contrebalancer l'activité débordante du système
sympathique lors d'émotions violentes et répétées, nous perdons peu à peu notre capacité de
récupération. Le terrain s'emballe et s'épuise progressivement.

La fonction de reproduction des gonades dépend du milieu ambiant dans lequel nous
vivons. Si nous sommes dans un contexte de stress émotionnel, il leur est impossible de
fonctionner correctement, dans la mesure où elles dépendent directement des surrénales, de
la glande pinéale et de l'hypophyse.

Le stress émotionnel peut entraîner une baisse de la spermatogenèse aussi bien qu'un
dérèglement de la ponte ovulaire. De sorte qu'on définit volontiers comme stériles des
personnes qui ne sont en fait que perturbées dans leur physiologie par un stress émotionnel.

Les émotions et le système nerveux

Le stress émotionnel produit une acidification globale du terrain. En effet, la dégradation


de l'énergie produite par les émotions libère un acide corrosif, l'acide pyruvique qui se
dépose le long des filets nerveux, attaquant leur gaine protectrice : la myéline. Il se produit
une hypersensibilisation aux douleurs, aux sons, à la lumière...
On parle volontiers de névralgie, de fibromyalgie, que l'on baptise maladie orpheline, alors
qu'il ne s'agit en général que d'une manifestation épidermique due à une irritabilité des
nerfs.

Le stress émotionnel est également responsable des troubles du sommeil. En effet, il est
difficile de s'endormir lorsque les nerfs sont toujours sous l'influence d'une substance
irritante qui les tient en alerte, et les réveils nocturnes sont d'autant plus fréquents que les
nerfs réagissent au moindre bruit.

Les émotions et la prise de poids

Nous mettons volontiers la prise de poids sur le compte de l'excès de nourriture ou la


défaillance des émonctoires. Sans nier cette réalité, il est bon de se rappeler que nos
émotions nous poussent souvent à ouvrir la porte du frigo ou du placard. De même si nous
sommes sous l'emprise de ressentiments, de colère, de peurs, nous avons tendance à mal
digérer et à accumuler dans notre tête de la constipation mentale que nous retrouvons au
niveau des intestins. Si nous voulons nettoyer notre corps pour perdre du poids, il est
indispensable de déterminer l’origine des émotions.

Les émotions et nos émonctoires

Le corps est équipé de cinq organes pour faire face à la montée des toxines : le foie, les
intestins, les reins, la peau et les poumons. Ces organes excréteurs que l’on nomme
émonctoires, filtrent les déchets hors du sang et de la lymphe et le rejettent à l’extérieur du
corps. Les émonctoires sont tous affectés de manière différente par nos émotions. Leur
incapacité à évacuer nos déchets va dépendre de l'acidification du foie, des tissus et de
l'alcalinisation du sang.

Les émotions représentent de véritables toxines à éliminer au même titre que les déchets
issus de notre digestion. Ainsi, le foie doit filtrer les peurs, les colères. Les reins doivent
éliminer les déchets de nos angoisses, de notre perte de territoire, de nos repères.

Sous l'effet des peurs, des angoisses, nous avons beaucoup plus envie d'uriner, pour
marquer notre territoire aussi bien que de rejeter les toxines de la peur : adrénaline et
cortisol.

De leur côté, les poumons servent à évacuer le manque d'air de notre vie relationnelle, les
chagrins, les larmes non versées.

La peau, qui représente notre limite entre le monde extérieur et notre propre monde
intérieur, reflète aussi nos émotions. En effet, sous l'emprise de la peur, nous transpirons
plus intensément.

Inversement certaines parties du corps s'assèchent sous l'effet du stress, par impossibilité
des surrénales à gérer correctement le taux d'aldostérone.
De même, nous rejetons par la peau des toxines que le foie ne peut gérer. L'Eczéma, le
psoriasis ne sont pas seulement des dermatoses dues à un encrassement du corps, mais ils
signifient aussi une surcharge émotionnelle.

Les émotions et l'énergie vitale

L’énergie vitale doit circuler librement afin d'alimenter chaque organe, chaque cellule.

Cependant, sous l'effet des émotions, elle est souvent bloquée au niveau des plexus nerveux,
des chakras, des glandes endocrines, des organes.

Quand nous sommes confrontés aux émotions, notre énergie peut être stoppée au niveau de
la gorge (les mots qui ne sortent pas, ceux qui sont difficiles à avaler), au niveau du plexus
cardiaque (blessures affectives), au niveau des poumons (chagrins ravalés), au niveau de
l'estomac (affronts difficiles à digérer), au niveau des intestins (ressentiments).

Lorsqu'une émotion bloque l'énergie vitale à un niveau quelconque, elle bloque le travail
des organes situés sur le lieu du blocage, et c'est pour cette raison qu'on assiste à une
modification de l’équilibre et au développement des maladies.

Refaire l’équilibre acidobasique.

L’équilibre acido-basique est un paramètre fondamental de la santé. Cet équilibre est


régulé grâce à l’alimentation, à la qualité et la quantité de boissons, à la respiration, à la
transpiration et à l’activité physique et notre équilibre émotionnel.

Naturellement, tous les êtres vivants ont tendance à s’acidifier, mais selon les données
actuelles, il est assez clair que le régime alimentaire occidental est trop acide. Dans nos
sociétés modernes la tendance s’accentue énormément, à tel point que l’acidose chronique à
cause de l’alimentation moderne concerne presque tout le monde.

Les causes de l’acidification du corps sont une alimentation acidifiante et carencée en


minéraux alcalins, le stress, le manque ou l’excès d’activité physique, une mauvaise eau de
boisson consommée en quantité inadaptée et une mauvaise respiration.

Également, une trop grande consommation d’aliments acidifiants (viande, sucre, féculents,
café, alcool) combinée à une trop faible consommation d’aliments alcalifiants (fruits,
légumes, noix et graines) génère de l’acidose chronique de faible niveau. Pour neutraliser
cet excès d’acide, l’organisme doit puiser dans ses propres réserves de minéraux alcalins.

Les os représentent la plus grande réserve alcaline de l’organisme, mais on en trouve aussi
dans les dents. L’acidose peut également entraîner beaucoup de fatigue, car un
environnement acide entrave la production d’énergie des cellules du corps. L’acidose
diminue également les réserves d’oxygène disponible pour le fonctionnement des cellules, ce
qui nuit à leur régénération et cause la croissance de micro-organismes pathogènes.
Le déséquilibre acidobasique étant associé à de l'oxydation cellulaire, il est bon d'apporter
des antioxydants et de mettre en place une détoxination visant le foie, l'estomac, les
intestins, la vésicule biliaire : romarin, artichaut, cassis, pissenlit, radis noir, prèle, bouleau,
saule.

Émotion et Plexus Solaire


Le plexus solaire est d'abord un centre nerveux, c'est à dire la concentration localisée d'un
ensemble de nerfs qui relie les organes de l'abdomen (estomac, foie, rate). Ces nerfs
appartiennent au système nerveux parasympathique, dont l'un des plus connu est le nerf
pneumogastrique (ou nerf vague) impliqué dans les malaises vagaux. Sa fonction est de
contrôler et réguler les fonctions digestives d'absorption des aliments.

Le Plexus est localisé entre la pointe du sternum et le nombril. Cette zone que l'on appelle
"creux de l'estomac", bien que cette appellation ne concerne en rien ce dernier, qui est situé
bien plus haut.

Difficile de définir sa "taille" exacte, mais une bonne manière de le ressentir est de frotter
la paume de la main circulairement contre le ventre, pour ressentir un échauffement.

Il tient sa qualification de "solaire" à la disposition en rayon des nerfs qui le composent.


Ceci est déjà bien suffisant pour comprendre que le stress ou l'anxiété affectent le système
nerveux, provoquent des tensions au niveau de la zone abdominale, principalement sur la
sphère digestive haute.

Le plexus solaire est lié à l'énergie vitale, à la confiance en soi, à la motivation, voire au
charisme. On a donc tout intérêt à favoriser la détente de cette zone du ventre, véritable
siège d'émotions comme la colère ou la peur.

Le Plexus est lié à l’estomac, au pancréas, au foie, à la cavité abdominale, au rein droit, à la
vésicule biliaire, à la peau, aux yeux, au sens de la vision et au système nerveux. Le Plexus
est très sensible aux tensions, aux émotions, au stress.

Les personnes qui ont des lésions de l’estomac, ont une tendance à se voûter, à s’enrouler
sur eux-mêmes, autour de leur plexus, comme pour le protéger des agressions extérieures.

Le Plexus solaire est le centre du je veux, je peux, la liberté, s’affirmer, vouloir et pouvoir.

Il est relié à l’élément feu, à la couleur jaune, à la personnalité, à l’individualité. Il nous


permet par la visualisation, de diriger l’énergie vitale à travers notre corps, comme à
l’extérieur de celui-ci. Il intervient aussi dans la régulation thermique. Il contrôle la
digestion des aliments comme celle de nos pensées. Il orchestre la redistribution de l’énergie
aux autres centres, en fonction des schémas mentaux qu’impliquent nos croyances de
l’instant. L’équilibrage de ce centre permet l’installation de la confiance en soi.
Sur le plan énergétique, il est relié au mental. Le travail proposé à ce niveau, nous entraîne
à utiliser pleinement notre libre arbitre en rétablissant le mental dans ses véritables
fonctions : à notre service.

Le Plexus un centre de communication avec l’extérieur, connecté avec le système nerveux,


l’estomac et le foie. Il favorise nos contacts avec l’extérieur.

Lorsque nous refusons l’expression des émotions, que ce soit l’amour et la tendresse, ou la
colère, à cause de nos idées, de nos peurs d’être jugés, de ce que l’on ne veut pas montrer de
soi, etc., nous bloquons le fonctionnement du Plexus, nous le cristallisons, nous le
rigidifions. Inversement, un Plexus trop lâche est submergé par l’émotion, il ne peut la
gérer.

Lorsque le Plexus est sain, l’émotion est pure et coule avec simplicité comme chez les
enfants. Quand ils pleurent, ils pleurent réellement sans se soucier de ce qu’on en pense, et
2 minutes après, ils sont dans la joie.

Un Plexus harmonieux équilibre la psychomotricité, règle les pulsions et le fonctionnement


des idées. Il donne des personnes infatigables et vigoureuses pouvant mener à bien plusieurs
actions de front. Ce chakra est responsable pour une grande part de la qualité de nos
relations sociales, nos sympathies et nos antipathies, ainsi que de notre capacité à vivre des
relations émotionnelles durables.

Notre humeur dépend en grande partie de la quantité d’énergie que ce chakra va laisser
pénétrer en nous. Si le Plexus est harmonieux, nous nous sentons ouverts, éclairés, joyeux.
En cas de blocage, notre humeur est déséquilibré et sombre. C’est le centre où se situent le
pouvoir et la volonté affirmée. Siège de la personnalité, il représente l’identification sociale
et l’indépendance. Il correspondant à la zone ou les aliments se transforment en énergie, il
est important qu’il soit ouvert, car il est le passage de la source énergétique physique. Ce
centre régit tout le système digestif.

Le Plexus trop actif « trop ouvert » :

Le Plexus gère tout le système digestif. Un Plexus trop actif va créer des cirrhoses et autres
troubles du foie et de la vésicule biliaire, pancréatites, gastrites, troubles intestinaux et
circulatoires, vomissements, diarrhées, spasmes.

Sur le plan des comportements, on a des personnes orgueilleuses, immodérées, haineuses,


colériques, vaniteuses, excessivement rationnelles, éprouvant toujours le besoin d’expliquer,
de démontrer, de prouver. La majorité des êtres humains vivent actuellement à ce niveau,
par l’absorption négative du matérialisme et de l’agressivité.

Plexus bloqué « trop ferme » :

Son blocage amènera également des troubles digestifs, des ulcères et même le prolongement
des cancers. La personne n’arrive pas à prendre sa place dans la vie, à se mettre en valeur,
ne sait pas agir, pas décider, ne sait pas dire non. Elle manque de combativité, à tendance à
abandonner les projets, a peu d’instinct de révolte, est soumise aux ordres et aux désirs des
autres. Dans les situations difficiles, elle se sent mal à l’aise, ce qui provoque de l’agitation,
de la nervosité, et très souvent de mauvaises décisions. Elle voit partout des obstacles
s’opposant à la réalisation de ses projets.

Le message donné par le corps :

Lorsqu’une émotion traverse tous les systèmes, il se dégage, dans le sang, une hormone
associée directement à cette émotion. Par le seul mouvement de l’émotion, un mouvement
d’expression, une emprunte, un programme se crée en toi, et ceci influence d’une façon
particulière les organes reliés au Plexus.

Ainsi, la vie du plexus, son énergie, c’est-à-dire tes émotions, font partie du mouvement de
la vie qui exprime à travers ton corps et à travers ta propre façon de percevoir la vie et les
autres autour de toi.

Plusieurs éléments entrent en compte : tu te sens bloqué dans une situation, tu ne sais pas
dire non, tu n’as pas le métier qui te convient, mais tu n’oses pas en changer, tu n’oses pas
t’exprimer, tu éprouves de la difficulté à t’aimer… tant d’éléments qui bloquent ton plexus.

Une émotion te met mal à l’aise, tu la nies, tu la juges, tu décides de ne pas l’exprimer,
conséquence tu bloques ta respiration, tu bloques ton plexus. Tu ne te sens pas libre
actuellement d’exprimer qui tu es. Tu te sens bloquée, tu ne sais pas dire non, tu luttes entre
ton moi véritable et l’image que tu donnes, tu as un secret important à révéler, mais tu
n’oses pas le faire, tu n’as pas le métier qui te convient mais tu as peur d’arrêter, tu ne sais
pas exprimer qui tu es vraiment à tes collègues de travail, ou à ceux qui sont au-dessus de
toi. Tu as honte, face à toi-même, tu portes trop d’attention à ce que les autres pensent de
toi, ou tu te laisses trop facilement touché par les autres, tu te sens atteint dans ton intégrité,
tu as de la difficulté à t’aimer toi-même….

Une forme pensée qui stagne a pour effet de cristalliser l’émotion, et le plexus prend
soudainement cette cristallisation. Celle-ci peut se transformer en crise de foie ou en excès
de bile. Tu peux ressentir de l’amertume et aller vers l’acidité de l’estomac.

Le plexus solaire est directement relié à votre diaphragme thoracique, un muscle fort
important associé au système d’évacuation de l’air, de la respiration du souffle de vie.

Quand ton plexus est bloqué, c’est toute ta peau qui s’en ressent. Avec parfois, à l’arrivée,
des rougeurs, des allergies, des boutons, voire de l’eczéma ou une crise de psoriasis….

Dorloter son plexus


Le plexus solaire apprécie les massages, la chaleur, ou la stimulation avec des huiles
essentielles jaune/orange : citron, orange, mandarine, bergamote... Il se détendra de
manière bénéfique avec la respiration abdominale, ample et régulière.

Dans la vie courante, il est essentiel de ne pas oublier que tu dois te laisser vivre. Plus tu es
en accord avec toi-même, plus tu apaises ton plexus.

Une bonne respiration, une prise de contact avec toi-même, sans jugement, reste la base
d’une libération du plexus.

L’Empreinte Émotionnelle
La cellule est capable de stocker tous les pensées transformées en émotion. Elles sont
inscrites dans notre corps, stockées à l’intérieur de notre mémoire cellulaire (ADN). Elles
sont enregistrées sous forme d'empreinte émotionnelle, positive ou négative.

Ces mémoires peuvent être très lourdes à porter, car elles ont été le témoin de drames, de
chocs non résolus (deuil, trahison, humiliation, accident, échec...), de non-dits, de secrets de
famille... mais aussi d'évènements plus ''anodins''.

Toutes ces empreintes émotionnelles font partie de nous, et constituent ce que nous sommes
aujourd'hui, rien ne s'est perdu, elles se sont cristallisées dans les cellules de notre corps, il
s'agit de notre mémoire cellulaire.

Notre empreinte émotionnelle forme notre présent. Ce que nous vivons aujourd’hui, va être
conditionné par notre mémoire cellulaire, nous amenant ainsi à répéter inconsciemment, les
problématiques de nos ancêtres, les comportements de nos parents, des schémas qui ne nous
appartiennent pas directement, souvent en désaccord et en opposition avec la nature
profonde de ce que nous sommes et voulons être aujourd'hui.

Ces mémoires ne sont heureusement pas toutes aussi dramatiques, quand elles
correspondent à des évènements heureux, ces empreintes positives nous donneront
confiance, nous aideront à aller de l'avant, et nous boosteront.

Si au contraire ces évènements ont été malheureux et que la charge émotionnelle qu'ils ont
générée a été trop forte pour être libérée, à ce moment-là, cette empreinte risque de nous
freiner dans nos élans, au lieu de nous aider.

Ces empreintes négatives nous perturberont chacune à leur manière. Quand ce que nous
vivons dans notre présent, trouve une résonance émotionnelle avec celles-ci, elles vont
réactiver, accentuer, amplifier nos émotions propres, nous faisant réagir de façon
disproportionnelle, sans raison apparente.

Elles vont ainsi nous perturber dans la réalisation de ce que nous souhaitons, sans que nous
ne puissions en comprendre les causes, ni les raisons profondes. Ces émotions pourront se
manifester sous forme de peurs irraisonnées, de phobies, de tristesse exacerbée menant à la
dépression, d'échecs à répétition, de maux chroniques.
Cette mémoire émotionnelle peut s'exprimer de différentes façons, à des périodes clés, des
âges précis, des dates anniversaires... venant ainsi mettre en évidence, un événement
perturbateur dont il est temps de se libérer.

La mémoire devient l’Ego et elle mettra aussi tout en œuvre, pour nous empêcher de
revivre les souffrances émotionnelles, qu'elle considère comme dangereuses pour notre
intégrité, son but n'étant pas de nous saboter, mais au contraire de nous protéger de ces
émotions perturbatrices, qui menacent notre équilibre psychique.

L’empreinte émotionnelle est intemporelle, elle a sa propre logique et elle continuera donc
d'agir comme si le danger était encore imminent, et continuera dans notre présent, de nous
protéger à sa manière, tant que ces charges émotionnelles n'auront pas été libérées ou
équilibrées.

Voici quelques exemples pour illustrer ces propos :

 Une phobie de l'avion pourra nous empêcher d'utiliser ce mode de transport, ce qui
nous évitera de périr, comme cette vie antérieure dans laquelle je suis mort à la
guerre lors d'un crash d'avion.

 Ne mettre au monde que des filles, pourra nous préserver de la souffrance


occasionnée, par la mort d'un fils parti à la guerre.

 Une stérilité, pourra être la conséquence d'une vie où je suis morte en couches, donc
je préfère ne pas à mettre au monde d'enfant, afin de me protéger de ce danger.

 Une difficulté à s'engager dans une relation durable, nous évitera de prendre le
risque d'une séparation éventuelle, et d'être ainsi "abandonné".

Libérer ces empreintes émotionnelles :

S'alléger de toute cette souffrance, qu'elle soit issue de nos mémoires de vies passées, ou
d'un passé plus proche, permettra de lever bien des freins, nous permettant ainsi
d'atteindre nos buts plus facilement.

Se libérer de l'emprise de ses mémoires et de l'impact qu'elles ont encore sur notre présent,
c'est apprendre à recréer sa vie en Conscience, afin de la vivre pleinement, c'est se donner
la chance de s'accomplir dans ce que l'on est au plus profond de Soi-même.

Nos cellules ne veulent pas que nous ressentions les mêmes émotions, alors elles nous
freinent, nous bloquent, et de façon inconsciente nous répétons les mêmes erreurs, les
mêmes problématiques, qui entravent notre épanouissement, notre réussite.

Le programme intemporel amplifie nos émotions propres, nous faisant réagir de façon
démesurée, sans raison apparente, et va ainsi nous perturber dans la réalisation de ce que
nous souhaitons, sans que nous sachions pourquoi. 
Les empreintes émotionnelles peuvent se manifester sous forme de peurs irraisonnées : peur
de la maladie, de guérir, du succès, peur de grossir ou incapacité à maigrir, phobies,
tristesse, émotivité exacerbée, manque de confiance en soi, dépression, échecs à répétition,
maux chroniques, maladie, accidents… 

Ces empreintes émotionnelles font partie de nous, et elles font ce que nous sommes
aujourd’hui… Il s'agit de notre mémoire cellulaire.

La Maladie
Les différents conflits que nous vivons à chaque jour ont des répercussions sur notre corps
physique et représentent l'une des causes les plus importantes des différentes maladies et
douleurs chroniques.

Cette prise de conscience est fondamentale pour guérir et, celle-ci, ne te sera presque jamais
expliquée par un professionnel de la santé.

Malgré l'avancée technologique extraordinaire qu'a connue la médecine au cours des


dernières années, elle est confrontée chaque jour à plusieurs échecs thérapeutiques.

Plusieurs maladies et symptômes demeurent encore méconnus, voire inconnus, et des


milliers de personnes souffrent chaque jour de douleurs sans que personne ne puisse les
aider. Ces faits expliquent en grande partie qu'on observe une ruée massive des gens vers
les médecines alternatives et une augmentation phénoménale de la consommation de
produits naturels depuis les dernières années.

Les personnes vont consulter divers professionnels mais, si l'aspect mécanique seulement
est traité comme c'est souvent le cas, le soulagement ne sera que temporaire et les douleurs
récidiveront continuellement.

C'est pour cette raison que la demande de consultation en Médecine Énergétique ne cesse
d'augmenter puisque ces professionnels accordent une importance capitale au système
émotionnel interne et les résultats sont convaincants.

Il est donc grand temps que la population soit informée que la majorité des problèmes
physiques chroniques viennent de problèmes émotionnels et d'une mauvaise gestion du
stress.

Il faut changer notre mentalité et arrêter de penser qu'on a mal au dos parce qu'on a mal
soulevé notre sac d'épicerie. Il faut penser plutôt à ce qui s'est passé dans notre vie et à quel
conflit a été vécu avant l'apparition de ses symptômes.

La maladie survient pour te faire prendre conscience que quelque chose ne va pas et te
demande un temps de réflexion. Au lieu d'aborder la maladie sous un aspect négatif, tu dois
la voir sous forme de « mal-a-dit » pour comprendre que la maladie te dit quelque chose.
À partir du moment où tu identifies correctement le conflit déclencheur de tes symptômes
et que ton cerveau en prend conscience, ce phénomène de prolifération s'arrêtera et les
cellules se mettront à fonctionner normalement de nouveau au même titre que tu arrêtes de
courir lorsque tu veux éviter une voiture.

La Médecine Énergétique va à la source du problème en décodant ce qui s'est passé au


niveau émotionnel afin de savoir le pourquoi que ton corps a envoyé un message de douleur
ou de maladie.

Relation entre les émotions et les maladies


Les émotions refoulées à l’intérieur de notre corps vont se fixer dans différentes parties de
notre corps. Les émotions provoquent des symptômes physiques tels que l’anxiété,
l’inquiétude entraînent des palpitations cardiaques, tournis, sudation, tremblotements et
mains moites. La rancune, les remords, la rancœur, le ressentiment, les regrets, la haine,
forment dans notre être une accumulation de nœuds.

Ces nœuds créent des obstacles qui empêchent le flux d’énergie de circuler en toute
harmonie. Ce blocage d’énergie finit par entraîner des maladies. Ces nœuds, tout comme
des détritus dans un ruisseau, forment des barrages, et empêchent la force de vie et le flux
d'énergie de circuler harmonieusement.

Cette stagnation d'énergie, comme des déchets au fond d'une poubelle, finissent par créer
des maladies, le mal a dit… ce que nous ne disons pas...  "Tout ce qui ne s'exprime pas
s'imprime !" Toutes les émotions que nous refoulons à l'intérieur de nous-même parce que
nous ne pouvons pas ou ne voulons pas les verbaliser, vont se cristalliser dans différentes
parties de notre corps.

Les émotions génèrent des symptômes physiques


 L'angoisse donnent des palpitations cardiaques, vertiges, sueurs, tremblements,
mains moites.
 La panique, l’inquiétude vont provoquer des diarrhées.
 La colère retenue et la rancune vont créer une crise de foie ou le cancer
 La difficulté à trouver ou à prendre sa place vont provoquer des infections urinaires
à répétition.
 Quelque chose qu’on ne veut pas entendre ou quand on ne veut pas écouter va
provoquer des otites, douleurs d'oreilles.
 Quelque chose qu’on n’a pas osé dire, qu’on ravale va créer une angine, des maux de
gorge.
 Un refus de céder, de plier, d’obéir ou de se soumettre va créer des problèmes de
genoux.
 La peur de l’avenir, peur du changement, peur de manquer d’argent va créer des
douleurs lombaires.
 L’intransigeance, la rigidité va créer des douleurs cervicales et nuque raide.
 Le conflit avec l’autorité ou la fausse-responsabilité va créer des douleurs d'épaules.
 Tout prendre sur soi va créer également douleurs d'épaules, sensation d'un fardeau.
 Serrer les dents pour affronter quelqu’un ou une situation sans rien dire va
provoquer des douleurs dentaires, aphtes, abcès.
 La peur de l’avenir, difficulté à aller de de l’avant, va créer des douleurs dans les
jambes, les pieds, les chevilles.

La Médecine Énergétique va débloquer ces nœuds et éveiller, chez le patient, la quiétude, la


sérénité, l'acceptation, le détachement, le pardon et l’amener à laisser circuler la vie,
l’amour, à l’intérieur de son corps tout entier.

Les Messages du corps


Le rôle du Médecin Énergétique consiste à̀ accompagner le patient dans sa démarche de
guérison, c'est à dire :

 En l'aidant à rechercher le facteur ayant causé la rupture de l'harmonie dans son


organisme et qui a engendré sa souffrance morale ou physique.

 En l'amenant à prendre conscience de l'attitude mentale responsable.

 En l'aidant à libérer l'émotion ou le sentiment connexe à cette attitude, tels que :


chagrin refoulé, peur entretenue, secret non révélé́ , rancune non libérée, sentiment
d'injustice, culpabilité́ , etc.

 En la guidant dans un processus de transformation d'une croyance non favorable ou


d'une compréhension douloureuse d'un sentiment passé.

 En l'encourageant à prendre une décision favorable ou à faire une action précise qui
entrainera le rétablissement de l'harmonie et, par conséquent, le retour à la paix
intérieure qui se manifestera par un état de bien-être.

Pour ma part, j’utilise ma Médiumnité pour lire l’information contenue à l’intérieur de la


mémoire cellulaire (ADN) du corps physique. Cette lecture de la mémoire me permet de
déceler les pensées, les émotions, les traumatismes qui provoquent les malaises et les
maladies à l’intérieur du corps.

La Médiumnité me permet aussi de voir les mémoires de traumatismes qui ont été vécues
dans les vies antérieures des personnes.

Ainsi, je peux trouver une résonance du passé antérieur (celui des vies passées) sur un
comportement de la vie présente. Le plus souvent, la personne ne s'en aperçoit pas ou peu,
mais elle continue à son insu de répéter des schémas hérités de son passé.

Quand il s'agit de schémas positifs, tel un don pour la musique ou pour le dessin, cela est
plutôt bien venu, mais lorsqu'il s'agit d'un schéma négatif, comme une tendance à la
manipulation, à la dissimulation ou à l'agressivité, cela peut se révéler problématique.
La mémoire cellulaire est constituée par la somme des événements vécus dans les vies
antérieures, qu'elles soient récentes ou très très anciennes. Ainsi, il m'est arrivé de
"remonter" des vies au temps du Moyen-âge, des pharaons, et même à l'époque
préhistorique.

Le vécu émotionnel du présent et du passé est toujours présent dans les cellules, jusqu’au
moment où la personne a de l’aide pour en prendre conscience et s’en libérer.

La Médiumnité est outil puissant pour découvrir les causes émotionnelles des maladies. À
l’occasion, je me sers aussi de la connaissance métaphysique des causes et maladies.

La Création des Maladies


Toutes les émotions que nous refoulons dans notre for intérieur, parce que nous n’arrivons
pas à les verbaliser, vont se fixer dans différentes parties de notre corps.

Les émotions génèrent des symptômes physiques, par exemple la peur, l’angoisse donnent
des palpitations cardiaques, des vertiges, sueurs, tremblements ou mains moites.

La douleur est une énergie, un ressenti, et une manifestation physique. La moindre douleur
dans notre corps peut être liée à un état émotionnel particulier, et vient nous alerter sur ce
qui ne va pas dans notre vie. Une fois que nous intégrons ces leçons, la douleur disparaît.

Le corps est particulièrement transparent quand il s’agit de la douleur. Les expériences de


notre vie se manifestent directement dans notre corps et lorsque nous rencontrons un stress
émotionnel, notre corps nous montre exactement quel est le problème. La seule chose que
nous devons faire, c’est savoir décoder (nos Pensées) la douleur lorsqu’elle se manifeste.

L’origine des troubles émotionnels provient du fait que l’esprit souffre lorsque nous
refoulons nos émotions très intenses, nos sentiments, que l’on n’arrive pas à assimiler et que
nous gérons alors de manière négative. Si la tristesse et le chagrin finissent par alimenter
nos pensées au quotidien cela va nous entraîner vers la maladie.

Le mot psychosomatique indique le rapport qu’il peut y avoir entre l’esprit (psycho) et le
corps (soma). À l’origine, on savait que le l’esprit avait une influence sur le corps. Mais,
cette influence que l’on attribue à l’esprit sur le corps a été peu à peu remisée, de sorte que
le terme psychosomatique, dans le langage médical, signifie surtout la relation de l’esprit au
corps.

Qui plus est, lorsqu’une personne se fait dire que sa maladie est psychosomatique, c’est un
peu comme si elle avait une maladie imaginaire et que cela se passait seulement dans sa tête.
Du point de vue métaphysique, toutes les maladies ont leur origine au-delà du physique et,
donc, elles sont toutes psychosomatiques.

Le subconscient a un pouvoir énorme de régénération des tissus ou la capacité de produire


des effets physiques suivant l’interprétation qu’il fait.
Voici quelques exemples :

On retrouve une personne morte dans le wagon frigorifique d’un train, alors qu’elle s’y
était enfermée accidentellement.

L’autopsie a révélé que la personne était morte gelée, alors que le système de réfrigération
ne fonctionnait pas, ce que la victime ne savait probablement pas.

Les personnes marchent pieds nus sur des braises et ne développent ni brûlure aux pieds ni
cloche d’eau, le subconscient n’ayant enregistré aucun danger, etc.

Toutes les maladies apparaissent à la suite d’un conflit, d’un choc émotionnel, d’un
traumatisme conscient ou inconscient. Le cerveau déclenche alors un mécanisme de survie
biologique en rapport avec le conflit ou avec le traumatisme vécu. Il s’agit par la suite de
pouvoir décoder le message pour modifier le programme envoyé par le cerveau.

Sachant cela, je dois m’arrêter, écouter et prendre soin de mon corps physique pour
ramener celui-ci à un état représentant plus la santé…

Voici la cause émotionnelle de quelques malaises et maladies :

 Abcès : Relié à une difficulté à exprimer des choses qui irritent, qui contrarient.
 Accident : Relié à la peur ou à la culpabilité.
 Acné : Manque d'estime de soi, désir de tenir les gens loin de soi, peur d'être blessé.
 Acouphène : Besoin d'écouter ses besoins intérieurs.
 Alcoolisme : Désir de fuir ses responsabilités, peur d'être blessé.
 Allergies : Colère ou frustration par rapport à une situation, une personne qu'on
associe à la substance allergène.
 Alzheimer : Désir de fuir les réalités du monde, fuir ses responsabilités.
 Amputation : Grande culpabilité.
 Angoisse : Sentiment d'être sans valeur, impression d'étouffer dans une situation.
 Anorexie : Très basse estime de soi, désir de disparaître.
 Appendicite : Colère, impression d'être dans un cul-de-sac.
 Arthrite : Critique envers soi ou vers les autres.
 Articulations : Manque de flexibilité par rapport à la vie.
 Autisme : Fuite due à la difficulté de transiger avec le monde.
 Basse pression : Découragement.
 Boulimie : Combler un vide intérieur affectif.
 Brûlure, fièvre : Colère qui bout en nous reliée à une personne ou une situation.
 Burnout : Fuite d'émotion intense vécue au travail en général.
 Cancer : Grande peur ou grande culpabilité qui donne envie de mourir même si
c'est inconscient.
 Cellulite : Peur de s'engager, tendance à vivre dans le passé.
 Cholestérol : Joie de vivre qui est là par alternance.
 Cigarette : Vide intérieur à combler.
 Cœur : Manque d'amour de soi, de ses proches ou de l'environnement.
 Constipation : Vouloir retenir des personnes ou des évènements de sa vie.
 Crampe : Tension dans l'action réalisée ou à réaliser.
 Démangeaisons, irritation : impatience, insécurité, contrariété contre soi.
 Dépression : Désir d'enlever de la pression de sa vie.
 Diabète : Tristesse profonde qui survient après un événement.
 Diarrhée : Rejet des solutions ou des situations qui s'offrent à nous pour avancer
dans la vie.
 Douleur : Autopunition par rapport à de la culpabilité, besoin d'attention, colère ou
peur.
 Eczéma : Perte de contact avec un être aimé.
 Empoisonnement : Qui ou quoi m'empoissonne la vie ?

 Enflure, œdème : se sentir ou avoir peur d'être limité dans ce qu'on veut faire.
 Engourdissement : Vouloir se rendre moins sensible à une personne ou à une
situation.
 Étouffement, essoufflement : Se sentir anormalement critiqué comme pris à la
gorge, manque d'espace vital et/ou difficulté à vivre ce qu'on veut vivre.
 Étourdissement, perte de connaissance : Fuir une situation ou une personne, on
trouve que ça va trop vite.
 Fatigue : On éparpille nos énergies et on se laisse contrôler par nos peurs et
inquiétudes.
 Gangrène : Rancune, haine par rapport à une situation, il faut voir où est située la
gangrène pour mieux analyser le problème.
 Gaz : S'agripper à quelque chose ou quelqu'un et cela n'est pas bénéfique pour nous
 Grippe : Colère contre quelqu'un ou une situation
 Haute pression : Soucis et tracas de longue date.
 Hypoglycémie : Tristesse issue de la résistance par rapport à des évènements de la
vie.
 Incontinence : Vouloir tout contrôler dans sa vie.
 Infarctus : Relié à l'amour qu'on doit accepter de recevoir.
 Insomnie : On est accroché à une forme de culpabilité.
 Leucémie : Ne plus vouloir se battre pour obtenir ce qui représente l'amour dans
notre vie.
 Malaise : Extérioriser des tensions intérieures.
 Mononucléose : Grande peur d'avoir à affronter une situation sur le plan affectif et
où il est question d'engagement.
 Nausée : Aspect de la vie qu'on veut rejeter par dégoût.
 Nerf sciatique : Grande insécurité par rapport aux besoins de bases (logements,
nourriture, argent...)
 Paralysie : Peur qui nous paralyse, désir de fuir cette peur.
 Peau : Manque de contact physique pour procurer l'amour dont on a besoin.
 Poids (excès de) : Accumulation de choses, idées, d'émotions, vouloir se protéger,
vide intérieur.
 Rhumatisme : Critique envers soi-même ou envers les autres.
 Ronflement : On s'attache à des choses, personnes (..) qu'on ferait mieux de laisser
aller.
 Saignements : Perte de joie.
 Sclérose en plaques : Pensées rigides envers moi, envers les autres et envers la vie.
 Sida : Grande déception, grande culpabilité face à l'amour et la sexualité.
 Tics : Tension intérieure importante.
 Torticolis : Situation qu'on évite ou qu'on veut fuir.
 Tumeur, Kyste : Choc émotionnel qu'on solidifie.
 Zona : Grande insécurité face à la perte de l'amour de quelqu'un ou par rapport à
une situation qui procure cette sensation d'amour.

La douleur physique avertit une personne qu’il y a encore du travail à faire sur le plan
émotionnel, d’un signe de traumatisme émotionnel non résolu qui affecte l’équilibre du
système nerveux.

Mère et Émotion
Avant de t’incarner, tu as dû choisir une mère, un père, une famille, une époque et un
environnement dans lequel tu pourrais reprogrammer tes forces acquises de d’autres vies,
ainsi que toutes les traumatismes, blessures d’amour et incompréhensions qui ont été créées
tout le long de tes expériences de vies antérieures.

La Mère que tu as choisie représente toutes tes forces et les blessures émotionnelles que tu
as acquises tout le long de tes milliers de vies sur terre.

La Mère physique représente l’énergie à polarité négative de la vibration terrestre, les


émotions, la nourriture, ton identité sexuelle, ta capacité d’être bien dans la matière, ton
désir de t’incarner et l’amour de la terre.

Donc, selon le genre de mère qui a été choisi, tu peux déterminer ce qu’il te reste à guérir et
comprendre de ton évolution terrestre.
La Mère

Le travail émotionnel sur ta Mère biologique est conçu pour t'aider à prendre conscience de
tes blessures émotionnelles et aussi de tes forces acquises dans d’autres vies.

Pour ouvrir tes glandes surrénales, ovaires et testicules, (Glandes d’enracinement) il est
essentiel de prendre conscience que tu as choisis ta mère, avant de t'incarner sur terre. Tu
as choisi ta mère pour reprogrammer tes lacunes de communications avec l’énergie de la
terre et tous les êtres vivants sur terre.

La fonction maternelle est d'abord une fonction de matrice, de source nourricière,


d'enveloppe, de réceptacle de vie et de rétention. La mère représente l'abri, la sécurité, la
protection, la chaleur, l'affection, la fusion, la compréhension La mère représente l'amour.

La relation Maternelle :

Il ne faut pas négliger la charge affective et le pouvoir de l’environnement autour des


aliments. La mère est le lien inconscient entre alimentation et plaisir. Tout être humain a
été bébé et a eu un premier désir mû par la désagréable sensation de faim. Celui-ci a été
assouvi par un premier plaisir, celui de téter ou non le sein de sa mère.

Dans l’inconscient de l’enfant s’est établi un lien entre plaisir, manger et sécurité matérielle
et affective.

La mère reproduit souvent son histoire, où les éléments personnels sont corrélés à sa propre
expérience. En fonction de son éducation, la mère transmet des habitudes, ses
comportements pathologiques. Une attitude paradoxale sur le plan de l’alimentation peut
s’exercer vis-à-vis d’un enfant dont la mère a elle-même souffert de problèmes de poids.

Il est fréquent que la mère projette ses angoisses, veuille à tout prix éviter que son enfant
vive à son tour ce qu’elle a vécu et qu’elle montre des difficultés à le laisser grandir.

La mère manquante
Fréquente chez les mères en difficulté, cette attitude ne satisfait pas le bébé en quête
d’affection plus que de nourriture. La faim psychologique qu’il ressent témoigne d’un
environnement affectif de qualité médiocre.

La mère gavante
C’est celle qui répond à toute demande de son enfant par de la nourriture. Cette attitude
entraîne une confusion des affects.

La trop bonne mère


Elle anticipe le désir de son enfant, sans lui permettre de structurer son besoin. Plus tard,
cet enfant ne supportera plus aucune frustration. Il voudra tout, tout de suite. Or l’attente
et le désir sont nécessaires à la structuration psychologique de l’enfant. Par déduction, la
mère suffisamment bonne est celle qui sait parfois être « mauvaise », celle qui impose des
limites, celle qui a des certitudes, celle qui ne se laisse pas déborder sur son territoire.

L’aliment, vecteur de communication


L’enfant peut ne pas aimer un aliment ou refuser de manger. En le disant, il teste les limites
de sa liberté. La réponse maternelle ne doit être ni trop laxiste ni trop ferme car, pour
l’enfant, l’aliment est un vecteur de communication et un moyen d’exploration. Entre 3 et 6
ans, la néophobie alimentaire est un phénomène classique auquel il faut répondre par la
patience. Forcer un enfant à manger ce qu’il refuse est le meilleur moyen de renforcer son
attitude oppositionnelle.

Pour vaincre ses résistances, il est nécessaire de familiariser l’enfant avec les aliments (faire
le marché, la cuisine avec lui, le laisser jouer avec les aliments pour renforcer son
imaginaire et sa sensorialité). La mise en scène de ses cinq sens favorise sa maturation et sa
prise d’autonomie. Les repas pris en commun doivent être un moment de convivialité et
d’échange constructif.

Le mauvais exemple alimentaire familial a une lourde responsabilité dans l’explosion de


l’obésité chez les enfants. Il faut manger des légumes verts (préparés de façon diverse)
chaque jour, pour diminuer les apports caloriques.

La relation mère/enfant est essentielle au développement de l'enfant. Un lien mère/enfant


suffisamment bon va donc participer activement à la construction de l’identité de l’enfant,
de son estime de lui-même et de sa valeur. A l’inverse, un enfant qui n’a pas vécu une
relation positive avec sa mère, en bas âge, peut avoir des carences affectives et des
difficultés à établir des liens avec d'autres, dans ses futures relations sociales. Par ailleurs,
ce lien aura également un impact sur le genre de relation qu’il aura avec ses propres
enfants.

Famille rigide et anorexie

L’obsession de l’image corporelle est perçue par l’enfant comme un idéal inaccessible. La
jeune fille, à la puberté, se met au régime pour se faire plaisir et répondre à l’image du
corps idéalisé par ses parents. C’est la porte ouverte à l’anorexie ou la boulimie, pathologies
très fréquentes dans les familles très exigeantes.

Des parents rigides imposent un surinvestissement dans les études et dans la valorisation de
l’aspect physique et cela se fait au détriment de la personnalité archaïque, escamotée dès le
plus jeune âge (manque de caresses, de câlins).

Chaque relation mère-enfant est unique et se crée bien avant la naissance de l’enfant.

Pour t’aider à faire ce travail de prise conscience sur ta mère, tu vas faire un exercice suit :

Tu vas demander les questions suivantes à ta mère ou ton père ou l’entourage familial.

Est-ce que ta mère désirait un enfant ou encore les réflexions lorsqu’elle a eu lorsqu’elle a
appris qu’elle était enceinte. Sans oublier la période de la grossesse et l’accouchement.

 Est-ce qu’elle désiré avoir un enfant ?


 Comment a t’elle accueilli la nouvelle ?
 Dans quel état physique et psychologique a-t-elle vécue sa grossesse ?
 Comment s’est déroulé l’accouchement ?
 Comment s’est déroulé son premier contact avec toi ?
 La période d’adaptation au tempérament de son enfant a été facile ?

Chacune de ces étapes a été teintée par des pensées et des émotions…

Chacune de ces étapes comporte son lot d’émotions qui ont été enregistrés dans ton ADN.
Un autre exercice consiste à écrire tout ce que tu penses et reproches de ta mère et, ensuite,
tu vas faire le lien avec toi, avec tes ressemblances de comportements avec ta mère.

 Tu vas prendre une feuille et écrire tout tout ce que tu perçois et penses et tout ce
que tu reproches à ta mère (bien comme mal).
 Tu vas écrire ses qualités et ses défauts.
 Tu vas écrire le genre de relation avec elle.
 Tu vas écrire ce que tu lui reproches et ce que tu aimes d’elle.

Le but de cet exercice est de te responsabiliser face à ta mère et de prendre conscience que
celle-ci était le reflet de toutes tes forces et blessures émotionnelles.

La Mère physique représente l’énergie à polarité négative de la vibration terrestre, les


émotions, la nourriture, ton identité sexuelle, ta capacité d’être bien dans la matière, ton
désir de t’incarner et l’amour de la terre.

Miroir Miroir
La théorie du miroir est un outil très puissant qui nous permet d’évoluer grâce à nos
relations. Selon moi, c’est l’outil le plus efficace pour devenir conscients de qui nous
sommes réellement. Encore faut-il savoir et avoir envie de l’utiliser à bon escient.

Il nous est souvent difficile d’admettre et reconnaître que l’autre puisse être notre miroir
surtout lorsqu’il se comporte d’une manière qui nous offusque.

Comment l’autre peut-il l’être alors que nous trouvons justement son comportement
désobligeant ou déplacé ? Nous n’oserions certainement pas nous comporter de la sorte,
nous !

Et pourtant, l’autre nous renvoie véritablement notre reflet. Il s’avère simplement que nous
n’en sommes pas conscients et que la plupart d’entre nous ne savons pas interpréter cette
approche. Généralement, nous avons plutôt tendance à accuser l’autre et à vouloir le
changer lorsqu’il nous dérange, plutôt que d’utiliser cette occasion pour apprendre à nous
connaître à travers le reflet qu’il nous renvoie.

Lorsque tu te regardes dans un miroir et que tu y vois un aspect de toi qui te dérange –
comme par exemple, le fait de trouver ton corps disgracieux, ou des boutons sur ton visage,
ou une peau ridée – cela ne te viendrait certainement pas à l’esprit de jeter ton miroir ou de
le briser car tu sais que cela ne changerait rien aux aspects que le miroir te montre.

C’est pourtant ce que nous faisons la plupart du temps lorsqu’une personne nous dérange.
La personne est notre miroir, mais nous rejetons ce que nous voyons elle et qui est pourtant
notre reflet. En faisant cela nous ne réglons rien et l’aspect qu’elle nous renvoie et que nous
possédons ne s’effacera pas pour autant. Au contraire, il continuera de persister à travers le
reflet que nous renvoie cette personne ou à travers d’autres personnes qui nous
dérangeront de la même manière.

Pour comprendre cette théorie, il est nécessaire d’intégrer que ce n’est pas le comportement
de l’autre qui est notre miroir mais l’aspect en lui qui nous dérange.

Nous possédons naturellement ce même aspect et très souvent nous nous contrôlons pour ne
pas le montrer parce que selon notre système de valeur ce n’est pas correct d’Être ainsi,
c’est ce que nous avons appris et que nous avons reçu comme enseignement.

En fait, il n’y a rien que nous ne puissions voir chez l’autre qui n’existe pas en nous et ce
que nous voyons chez l’autre est encore plus accentué chez nous. Tout ce que nous voyons à
l’extérieur de nous est un reflet de ce qui se passe à l’intérieur de nous.

Les aspects que nous n’aimons pas chez l’autre, nous ne les aimons pas non plus en nous.
Nous avons besoin d’apprendre à devenir conscients et à aimer ces aspects en nous.
Lorsque nous les aimerons en nous, nous les aimerons aussi chez les autres et les autres ne
nous dérangeront plus. Nous ne remarquerons même plus ces aspects chez les autres.

Nous sommes tous sur terre pour apprendre à nous aimer totalement, sans condition, c’est-
à-dire, tels que nous sommes, avec nos aspects sombres et nos aspects lumineux. C’est le
seul moyen pour parvenir à la transformation.

Nous ne pouvons rien transformer en nous sans en être d’abord devenus conscients, puis,
l’accepter. C’est à partir de cette attitude que notre vision de la vie se transforme de
manière extraordinaire.

La raison pour laquelle nous avons de difficulté à admettre et accepter que l’autre nous
renvoie un reflet de nous-mêmes, c’est parce que nous sommes persuadés que cette attitude
fait de nous des êtres meilleurs que nous ne pensons l’être en réalité. Nous nous mentons à
nous-mêmes ! Nous nous faisons croire que nous sommes meilleurs que ce que nous voyons
chez l’autre, mais ce n’est qu’une illusion et tant que nous continuerons dans cette
inconscience nous n’effaceront pas notre souffrance. Cette attitude nous garde prisonniers
de notre souffrance et ne donne aucun résultat.

Nous souffrons parce que nous nous renions. Tant que nous n’aimerons pas ces aspects en
nous que nous rejetons, notre souffrance ne fera que grandir. Ne pas vouloir voir l’aspect
que l’autre nous renvoie c’est se renier et nous le faisons parce que nous avons des peurs.

Nous avons peur d’être jugés, peur de déplaire, peur d’être abandonnés, peur d’être
rejetés, peur d’être ridicules, etc. Plutôt que de fuir nos peurs, il est nécessaire d’en devenir
conscients, de les reconnaître et les affronter.

Lorsque ton partenaire te dérange, demande-toi ce que tu lui reproches, non pas au niveau
de son comportement, mais de ce qu’il est, selon toi, lorsqu’il se comporte ainsi. La réponse
que tu trouveras à ce questionnement est l’aspect que tu possèdes, toi aussi. Cet aspect tu
l’as soit envers toi-même, soit envers d’autres personnes, ou les deux à la fois et tu peux
avoir cet aspect dans divers domaines et dans toute sorte de relations.

Une fois que tu l’auras reconnu, demande-toi qu’elle est la peur inconsciente qui t’empêche
de reconnaître cet aspect en toi et de l’assumer. Tu comprendras alors pourquoi tu rejettes
autant cet aspect.

Ensuite essaie de te souvenir et de devenir conscient d’une circonstance où tu as eu ce même


aspect et vérifie quelle était ta motivation dans cette circonstance.

Te souvenir de l’origine de ta blessure te permettra de comprendre que la personne devant


toi est ton miroir et qu’elle a aussi une motivation personnelle de se comporter ainsi avec toi
et qu’elle n’a pas intentionnellement prévu de te blesser.

Ce travail n’est possible que grâce au miroir qui nous reflète ce que nous sommes dans
l’instant présent. Nos mémoires attirent sans cesse nos propres reflets par le biais de
personnes qui nous sont proches ou par des personnes qui croisent notre route afin de nous
aider à nous aider à guérir.

La Colère
On ressent tous de la colère à l’occasion. La plupart du temps, lorsque nous éprouvons de la
colère, elle disparaît rapidement parce que, d’une façon ou d’une autre, nous résolvons le
problème. Par contre, la colère devient un problème si nous la gardons en nous, si nous ne
l’extériorisons pas.

Une colère non-exprimée se transforme en maladie et même créer le cancer.

La personne colérique est d’abord quelqu’un qui se ressent comme vitalement menacée et
injustement traitée. Elle attaque, elle se défend. Elle ressens que son vis-à-vis ne la respecte
pas, ou essaye de l’annexer, de l’envahir, de le dévaloriser. Son territoire est mis en péril. Et
son territoire, c’est là où intérieurement, elle se sent en sécurité.  Quelquefois, il arrive que
ce soit très peu de chose qui mette une personne en colère. Mais ce peu est vécu comme un
séisme qui bouleverse des bases.

La colère est toujours un ensemble de petits moments de non-affirmation. Tu t’es oublié, tu


as eu peur de t’affirmer, de dire ce que tu penses, de faire toujours passer les besoins des
autres avant les tiens… etc., voilà autant de causes qui créer la colère.

Ressentir de la colère est une réaction normale à certaines situations qui sont au-delà de
notre contrôle. La colère s’annonce. Elle monte graduellement. Elle est présente dans le
corps tout d’abord. Le corps se prépare au combat avec l’adversaire : l’attaque est la seule
réponse que l’organisme a trouvé face à ce qui est ressenti comme une menace. Il envoie des
doses massives d’adrénaline qui donne l’énergie nécessaire pour une action forte et rapide.
Les pupilles se dilatent pour mieux voir. Les muscles se gonflent. Je suis prêt à attaquer.
Il arrive que le colérique nie les paroles blessantes qu’il a pu prononcer. Il ne s’en souvient
tout simplement plus. L’occultation a lieu car la souffrance de la honte est trop forte. Celle-
ci s’accompagne, en outre, d’un sentiment de culpabilité par rapport aux mots injurieux ou
aux actes violents commis envers autrui.

Il est temps d’évacuer la colère lorsque :

 Elle demeure constamment dans notre esprit durant plusieurs semaines et qu’elle
commence à troubler sérieusement notre appréciation de la vie.
 Lorsque je pense toujours à quelque chose qui est survenu il y a longtemps.
 Lorsqu’elle me pousse à la violence envers moi-même ou envers les autres.
 Lorsqu’elle affecte l’exécution de mon travail.
 Lorsqu’elle affecte mes relations avec ma famille et mes amis

II est important d’aborder notre colère avant qu’elle ne nous cause de l’inconfort ou de la
douleur. La colère peut causer de sérieux problèmes de santé comme des ulcères et des
maladies cardiaques. Elle peut aussi nous pousser à nous comporter d’une telle manière que
nous pouvons perdre notre emploi ou nos amis, ou causer la rupture de notre ménage.

L’essentiel pour vivre la colère sans en être possédé est de la rendre consciente. Il s’agit
d’abord de la repérer et de la nommer. Dès que le corps se met à envoyer l’un de ses
messages, il est nécessaire d’en tenir immédiatement compte et d’exprimer la cause de ce
début d’irritation à autrui. Car si la cause de cette irritation n’est pas exprimée dès son
apparition, elle peut dégénérer.

Parfois, la colère monte rapidement. Dans ce cas, la fuite peut être salutaire. Le colérique,
s’il sent que son émotion va devenir violente, peut se retirer. Si possible, en exprimant cette
nécessité : « Je pars me promener car ma colère monte. » Ceci pour revenir plus tard et
exprimer ce qui l’a mis en colère, sans se trouver submergé par elle. Le retrait temporaire,
tant du colérique que de celui qui reçoit la colère, est parfois la solution la plus sage.

Que faire avec l’absence ?

Malheureusement, il n’est pas toujours possible de s’exprimer. Supposons que le


destinataire destinataire de la colère soit absent, décédé ou qu’une rencontre ne soit pas
souhaitée par lui, ou impossible. On peut alors écrire une « lettre de colère » où la cause de
la colère et les griefs sont clairement exprimés.

Apprendre à vivre sa colère :

La colère n'est pas toujours une mauvaise chose. La colère peut avoir un objectif sain en
nous protégeant contre des abus continus ou contre du tort qu'on pourrait nous faire. Si tu
sens que quelqu'un te fait du mal, tu as de bonnes chances de te mettre en colère et c'est
cette colère qui t’aidera à affronter cette personne pour mettre fin au tort qu'elle te fait.
La colère sert souvent à masquer une autre émotion. Souvent, la colère est une émotion
secondaire après une blessure, de la tristesse, du chagrin, de la dépression ou de la peur. La
colère apparait presque comme un mécanisme de défense, car elle est plus facile à mettre en
place pour certaines personnes afin de gérer leurs émotions. Demande-toi si tu t’autorises à
ressentir une variété d'émotions ou si tu refoules des émotions que tu penses ne pas devoir
ressentir.

Certaines personnes croient qu'il est mal élevé de ressentir ou d'exprimer sa colère. Mais le
refoulement d'émotions naturelles ne peut avoir que des effets négatifs sur ta santé
psychologique et sur ta relation avec les autres.

Les endorphines produites lors des exercices physiques peuvent t’aider à te calmer et
bouger ton corps va t’aider à trouver un exutoire à ta colère. De cette façon, l'exercice
physique peut t’aider sur le moment. Cependant, un programme d'exercices physiques
réguliers peut aussi t’aider à réguler tes émotions en général. Pendant que tu fais de
l'exercice, concentrez-toi sur l'exercice que tu fais et sur ton corps, pas sur ce à quoi tu
pensais juste avant.

Une Colère saine… dans un corps sain…

Les Blessures émotionnelles


Les expériences douloureuses qui se développent tout au long de nos vies façonnent nos
blessures émotionnelles. Ces blessures peuvent être multiples et on peut les appeler de
différentes façons : trahison, humiliation, méfiance, abandon, injustice…

Cependant, nous devons prendre conscience de ces blessures et éviter de les déguiser, car
plus nous attendons pour les guérir, plus elles ne feront qu’empirer.

De plus, lorsque nous sommes blessés, nous vivons constamment des situations qui touchent
à notre douleur et ainsi nous revêtons différents masques de peur de raviver notre douleur.

Les blessures émotionnelles appartiennent au passé. Les affaires non terminées qui nous
traînent en travers de la gorge sont autant d’entraves psychologiques à notre sentiment de
liberté. Il en va donc de notre équilibre d’opérer, de temps en temps, les petits ou grands
nettoyages qui s’imposent.

Une blessure émotionnelle, c'est un traumatisme, un souvenir d'une scène de vie qui
continue à résonner émotionnellement en soi.

Le corps humain enregistre tous les événements émotionnels que nous vivons dans le
quotidien. Il arrive que certains souvenirs douloureux de notre histoire restent enkystés
dans notre corps allant même parfois jusqu'à générer des malaises et des maladies.

L'émotion est un phénomène physiologique qui se déroule naturellement en trois étapes :


charge, tension, décharge. Ce que l'enfant n'a pas exprimé émotionnellement, s'imprime en
lui et reste donc en tension dans son corps. Comme les émotions forment la mémoire, elles
vont influencer les choix de chaque instant tout au long de sa vie.

Les blessures émotionnelles se mettent en place durant notre enfance, entre notre
conception et nos dix ans, à travers des expériences anodines ou douloureuses.

Nous sommes tous blessés à des niveaux différents ; un même événement peut être vécu
avec une charge émotionnelle différente selon la nature et le caractère de l'enfant.

Nos parents ou d'autres figures parentales (grands-parents, oncles ou tantes, frères ou


sœurs ainés, maitres, professeurs, entraineurs …) nous ont blessés sans le vouloir
lorsqu'eux-mêmes ont été blessés enfants, ils répètent une chaine de souffrance que nous
pouvons décider de rompre.

Ces blessures psychologiques conditionnent notre personnalité à travers ce que certains


psychologues appellent le faux-self (construction de la personnalité basée sur des
mécanismes de défense qui nous coupent de notre nature profonde).

Si tu as vécu étant enfant des événements émotionnellement marquants, sache que ces
blessures psychologiques conditionnent ta vie dans la mesure où elles orientent tes choix,
ton comportement et ton schéma affectif.

Les blessures émotionnelles sont logées dans la mémoire cellulaire (ADN) et nous poussent à
vivre des situations qui nous mettent en souffrance dans notre vie d'adulte afin que nous
nous libérions de cette charge émotionnelle.

La guérison commence par l'identification de nos blessures psychologiques en fonction de


leur origine chronologique, de la fausse croyance que nous avons développée en faux-self,
de l'émotion associée ainsi que de l'aspect positif compensatoire.

Cinq étapes que nous devons expérimenter pour guérir nos blessures émotionnelles :

1- Acceptez la blessure comme une partie de toi-même. La blessure est bien là, tu peux être
ou ne pas être d’accord avec le fait qu’elle existe, mais la première étape est d’accepter cette
possibilité.

Accepter une blessure signifie la regarder, l’observer attentivement et savoir qu’avoir à


résoudre des situations fait partie de l’expérience humaine.

Nous ne sommes pas mieux ou pire juste parce que quelque chose nous fait mal. Construire
son bouclier de protection est un acte héroïque, un acte d’amour-propre qui a beaucoup de
mérite, mais cet acte a déjà rempli sa fonction. Il t’a protégé des environnements qui t’ont
blessé, mais une fois que la plaie est ouverte et que tu peux la voir, il est temps de penser à
la guérir.

Accepter nos blessures est très bénéfique parce que cela nous aidera à vouloir nous changer
nous-même.
2- Accepte le fait que ce que tu crains ou ce que tu reproches, tu te le fais à toi-même et aux
autres.

La volonté et la décision de surmonter nos blessures est la première étape vers la patience,
la compassion et la compréhension de nous-mêmes. Ces qualités que tu développeras pour
toi-même, tu vas les développer pour les autres, ce qui alimentera ton bien être.

Parfois, nous ne réalisons pas que nous reportons nos attentes vitales sur les autres, en
espérant qu’ils remplacent nos besoins et qu’ils comblent nos espérances.

En réalité, notre comportement conduit à annuler nos relations et une grande partie de


notre vie, provoquant un grand mal être parce que les autres ne réagissent pas comme nous
l’espérons.

3-Autorise-toi à te mettre en colère contre les personnes et pardonne-toi à toi-même.

Plus on nous fait du mal, plus nos blessures sont profondes, plus il est normal et humain de
reprocher et d’être en colère contre les personnes qui nous ont porté préjudice. Sinon, tu
déchargeras tous ces ressentiments sur toi-même et sur les autres, comme si tu serais
constamment entrain de gratter ta blessure.

Se sentir coupable rend difficile le pardon, mais nous libérer de cette culpabilité et de cette
rancœur est la seule façon de guérir nos blessures.

Il est également nécessaire de pardonner, parce que nous devons accepter que les gens qui
blessent soient susceptibles de porter une profonde douleur à l’intérieur d’eux-mêmes.

Nous même nous blessons les autres lorsque nous portons des masques pour protéger nos
blessures.

4-Aucune transformation n’est possible si la blessure n’a pas été acceptée jusqu’à présent

Cette blessure va t’apprendre quelque chose, même si il est très probable que cela te coûte
de l’accepter parce que ton ego a créé une barrière de protection très efficace pour cacher
tes problèmes.

Normalement, l’ego veut et croit prendre la voie facile, mais en réalité il nous complique la
vie. Ce sont nos pensées, nos réflexions et nos actions qui nous la simplifient, même si cela
nous semble trop compliqué pour l’effort qui est requis.

Nous essayons de cacher la blessure qui nous fait souffrir le plus parce que nous avons peur
de voir en face notre blessure et de la revivre.

Cela nous fait porter des masques et aggrave les conséquences de notre problème, parce
que, entre autres choses, nous cessons d’être nous-mêmes.

5- Donne-toi le temps d’observer comment tu es attaché à ta blessure au fil des ans.


L’idéal est de se débarrasser de ces masques dès que possible, sans nous juger ni nous
critiquer, car cela va nous permettre d’identifier la façon dont nous devrions traiter nos
blessures pour les guérir.

Il est possible de changer de masque dans une même journée ou porter le même durant des
mois ou des jours. L’idéal serait que tu sois en mesure de comprendre la raison qui t’a
poussé à mettre ce masque. Ainsi, tu sauras que tu es sur la bonne voie et dans le reste du
chemin, ton guide sera l’inertie qui permet d’être bien dans ton être… sans te cacher.

Pour guérir, tu dois savoir nommer la blessure qui te fait souffrir et te manipule au
quotidien. La première étape consiste à repérer l'événement qui dans ton histoire a créé
telle ou telle blessure. Ensuite le travail se fait sur la libération de la charge émotionnelle
associée à l'événement et souvent refoulée au moment des faits.

Tu sauras que tu as guéri ta blessure émotionnelle lorsque tu découvriras quels sont les
besoins psychologiques qui n'ont jamais été nourris et qui te guident vers les personnes et
situations susceptibles de t’en faire prendre conscience. En effet l'émotion liée à la blessure
psychologique indique en fait un besoin non comblé depuis l'enfance, mais souvent ignoré
par le sujet lui-même.

Reprogrammation cellulaire
Tu sais maintenant que tu es beaucoup plus que ton moi humain et que ton corps physique
est le véhicule matériel que ton esprit utilise pour s’exprimer dans la réalité physique
terrestre.  Tu sais que le but ultime de notre incarnation dans un corps physique est
d’apprendre à créer ta réalité telle que tu la désires. C’est-à-dire que le monde terrestre
dans lequel tu vis te permet de faire des expériences qui te conduiront à élargir la
conscience et l’amour de toi-même.

Tu sais également que tout être ou objet est une énergie, et que cette l’énergie émet une
vibration, en conséquence tout, absolument tout, a une conscience et émet une vibration.

Tu sais aussi qu’il y a différentes façons de prendre soin des aspects énergétiques de ton
être – comment consciemment augmenter ta fréquence vibratoire, contrôler tes pensées, se
servir de tes émotions pour débusquer et éliminer les croyances négatives, te concentrer sur
ce que tu veux, etc.  

Et maintenant, nous allons voir que tu peux également avoir une action directe sur tes
cellules en leur indiquant exactement ce qu’elles doivent faire.  Cette technique que nous
allons appeler la ‘commande consciente’ est particulièrement utile pour ramener l’équilibre
dans ta vie.

Jusqu’à il y a peu de temps encore, la science croyait que les gênes et notre hérédité
déterminaient notre vie.  On croyait que nous avions des prédispositions à certaines
maladies physiques aussi bien que psychiques. Ainsi si nous sommes nés dans une famille où
il y a eu plusieurs cas de diabète par exemple, cela signifie que c’est dans nos gênes et que
nos chances de contracter cette maladie sont plus grandes que la moyenne, parfois même
inévitables. 

Plusieurs chercheurs ont maintenant démontré que ce ne sont pas les gênes qui nous
influencent, mais que c’est le contraire.  Ce sont les gênes qui sont influencés par
l’environnement dans lequel ils se trouvent (au sens large d’environnement physique,
émotionnel et psychique). Ainsi, il n’y a plus de déterminisme provenant de notre hérédité
et le milieu dans lequel nous sommes immergés peut altérer nos gênes et notre ADN.

Chacune de tes cellules possède son propre programme qui lui permet de s’auto-maintenir.

Chacune de tes cellules possède une fréquence vibratoire précise qui provient de son
nucléus. Le centre de la cellule, ou point zéro, est un vortex énergétique, un espace vide
dont certaines des fonctions sont de permettre l’auto régénération, l’autogestion et l’auto
guérison de la cellule. 

Tes cellules, comme tout ce qui vit, ne sont pas statiques et l’environnement physique,
émotionnel et psychique. Tu peux consciemment contribuer à modifier l’information
qu’elles contiennent.

C’est ainsi qu’au fil du temps, tes cellules ont emmagasiné un tas d’informations qui n’était
pas là lors de leur création. Ces informations proviennent de différentes sources telles les
croyances négatives, les émotions refoulées, le stress, les peurs, l’ingestion d’aliments, les
boissons transformés, artificiels, synthétiques et sans force de vie, les drogues, la cigarette,
les médicaments, la pollution et ainsi de suite.

Toutes ces situations, provenant en grande partie de ton histoire personnelle, ont contribué
à altérer ces facultés d’auto-régénération et d’autogestion en ajoutant à tes cellules des
informations erronées ou incompréhensibles par elles. Ces informations additionnelles
entrent donc en conflit avec le programme initial de gestion des cellules. C’est ce qui
explique pourquoi les cellules d’un humain adulte ne savent plus comment traiter tout cela,
car l’information qu’elles contiennent n’est plus en harmonie avec les principes universels
de la création et c’est la cause de nombreux déséquilibres physiques.

Cependant, si ton environnement, tout ce que tu ingères, tout ce que tu ressens et toutes les
expériences que tu vis (ce que tu vois et entends) ont le pouvoir d’altérer négativement tes
cellules, on se doit d’admettre que l’inverse est aussi vrai : il est possible d’avoir un effet
positif sur tes cellules. 

C’est ainsi qu’une commande verbale, directe et précise, en unité avec ton esprit, peut aider
à rétablir l’équilibre de tes cellules afin qu’elles retrouvent leur état originel permettant
l’auto-régénération et l’auto-guérison.
C’est donc sur ce principe que la reprogrammation cellulaire se base : la capacité
d’indiquer à tes cellules comment elles doivent se comporter en enlevant l’information
erronée pour la remplacer par une information positive et naturelle. 

Tu programmes tes cellules d’une façon inconsciente lorsque tu répètes qu’une telle
maladie est dans ta famille et que tes chances de la contracter sont grandes : lorsque cette
croyance est forte, qu’elle est présente dans tes pensées et dans tes paroles, c’est comme si
tu ordonnais à tes cellules d’avoir cette maladie. 

Quand tu parles constamment de tes problèmes et difficultés, que tu te plains de ce qui ne


va pas dans ta vie, quand tu te sens impuissant et découragé : tu envoies des messages
inconscients à tes cellules qui emmagasinent alors une information fausse : ‘je suis
impuissant’, ‘personne ne me comprend’, ‘je suis nul’, ‘la vie est difficile’… et, c’est ainsi
que se créent les déséquilibres.

Cependant, tes cellules contiennent déjà toute l’information nécessaire pour se régénérer et
s’auto-maintenir et tu peux les aider à retrouver leur état initial en leur indiquant ce
qu’elles doivent faire pour retrouver cet état. 

Pour cela, tu dois leur dire de relâcher l’information erronée et la remplacer par une
information positive si cela est nécessaire. C’est ce que l’on appelle une technique de
reprogrammation cellulaire. 

Tu dois être identifier quelle est l’information erronée qui est dans tes cellules, à quel
endroit est logée cette information – dans quel organe – puis ensuite une simple commande
enclenchera le processus de changement. 

Ce processus de reprogrammation s’accomplit de façon puissante en ajustant d’abord ta


vibration à celle des fréquences universelles. Même si tu n’as pas tous les détails, tu peux
tout de même parler à tes cellules et leur commander de vibrer à leur fréquence optimale,
tu peux t’adresser à elles directement afin de les aider à retrouver leur équilibre. 

Plus ta précision est grande, plus les résultats seront significatifs et tu vas dissoudre les
blocages énergétiques, éliminer les fréquences négatives et rétablir la vibration initiale de
vos cellules.

Si tu as compris comment le processus de création consciente fonctionne, tu sais que


l’intention (ou une pensée consciente) constitue la première étape du changement. 

Tu peux soutenir ce processus en te concentrant sur la guérison de ton déséquilibre (en


cessant de parler du problème et de vouloir en trouver la cause) ; tu dois avoir un désir pur
et clair de guérir (ne pas avoir de peur inconsciente des changements que cette guérison
apportera dans ta vie).
Tu dois également croire que tu peux influencer tes cellules pour te guérir (sans ta
confiance, ta demande n’a pas la force nécessaire) et finalement, laisser aller toute attente
par rapport au résultat final. 

Il arrive dans certains cas qu’une guérison immédiate ne soit pas possible pour des raisons
de profondeur de la racine émotionnelle. Dans ce cas, l’acceptation de la situation présente
et la non-résistance à ce qui est te permet de rester dans le courant d’énergie universelle, ce
qui est aussi un facteur nécessaire pour ramener l’équilibre dans tes cellules.

Nous n’avons pas été éduqués à prendre la responsabilité de notre vie, de notre corps, de
nos pensées, de nos émotions. Il faut s’accorder du temps et être patients avec soi-même
lorsque nous expérimentons ces nouveaux concepts. 

L’impatience, la frustration, le sentiment de n’être pas assez bon ne feront que retarder ton
expansion et ton évolution.

Réalise que c’est un nouvel apprentissage. Sois simplement heureux d’être sur ce nouveau
chemin, d’avoir la possibilité de t’ouvrir, d’explorer, d’apprendre. 

Il y a un grand sentiment de joie lorsque nous reconnaissons que nous ne sommes plus dans
l’inconscience et l’ignorance de qui nous sommes vraiment. 

Garde ton attention sur ce que tu désires accomplir et remarque les progrès que tu fais
plutôt que ce que tu n’as pas encore atteint.

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