Rapport de Geotechnique

THEME : ETUDE GEOTECHNIQUE SUR
LES TRAVAUX D’AMENAGEMENT DE

LA VOIE PERIPHERIQUE DE
CONTOURNEMENT Y4 DE LA VILLE
D’ABIDJAN LOT 4 SECTION 1
RAPPORT DE STAGE MINE GEOLOGIE

ET PETROLE
Présenté par :
DJE JUNIOR JEAN HUGUES
INCARDREUR : Mr Bli Kan Serge,Ingénieur géotechnicien

THEME : ETUDE GEOTECHNIQUE SUR LES TRAVAUX
D’AMENAGEMENT DE LA VOIE PERIPHERIQUE DE
CONTOURNEMENT Y4 DE LA VILLE D’ABIDJAN LOT 4
SECTION 1
Année académique : 2020-2021
RAPPORT DE STAGE MINE GEOLOGIE ET PETROLE Page 2

SECTION 1
.Dédicaces
Je dédie ce travail
A ma famille, elle, qui m’a doté d’une éducation digne, son amour a fait de moi ce que j
e suis aujourd’hui :
Particulièrement à mon père DJE KOUAKOU ALPHONSE, pour le goût à l’effort qu’il
a suscité en moi, de par sa rigueur.
A toi mon oncle KONAN YA AUGUSTIN, ceci est ma profonde gratitude pour ton et é
ternel amour, que ce rapport soit le meilleur cadeau que je puisse t’offrir.
A vous mes frère, sœurs , amis et qui m’avez toujours soutenir et encouragé durant ces
années d’études

SECTION 1
REMERCIEMENTS
Je tiens tout d’abord à remercier M. XIAOSAN FAN, Directeur du projet de l’entreprise

CGGC, de m’avoir accueilli comme stagiaire au sein de son entreprise.
Merci également à M. BLI KAN, mon maître de stage.ingénieur géotechnicien Chef de

travaux JINGTAO ZHANG, pour ses conseils avisés et la confiance qu’il m’a accordée
tout au long de mon stage.
Je tiens ensuite à remercier particulièrement Mr KOUADIO KOUASSI SERGES, Direc

teur des ressources humaines, pour l’attention et l’aide qu’elle m’a apporté au quotidien
pendant mon stage au sein de CGGC.
Enfin, un grand merci à M. Koné, M. Donald, et l’ensemble de l’équipe du laboratoire p

our leur accueil et leur disponibilité pendant la durée de mon stage.
Toutes ces personnes ont contribué, par leur disponibilité et leur bonne humeur, à rendre
mon stage enrichissant et motivant.

SECTION 1
RESUME
La géotechnique est l’ensemble des techniques de construction en rapport avec les propr
iétés du sol. C’est à ces termes que notre nous avions débattu tout au long de ce rapport
dont le thème est :<étude géotechnique sur les travaux d’aménagement de la Voie p
ériphérique de contournement y4 de la ville d’Abidjan lot4 section 1>> ce présent t
hème est traité en cinq chapitres dont le premier consacrés à la généralité ; présentant ,la
structure d’accueil à savoir le CGGC à travers sa mission, ses objectifs, son organisation
ainsi que son fonctionnement, et les différents essais géotechnique élaboré pour les trav
aux. Le chapitre II consacré aux matériels et méthodes élaborés pour la réalisation des d
ifférents essais, le chapitre III parle des résultats et analyse des essais effectués, au chapi
tre IV dans ce chapitre nous avons fait la conclusion de notre rapport et au chapitre V et
VI nous avons la Bibliographie et référence permettant de mener à bon terme notre rapp
ort de stage.

SECTION 1
SOMMAIRE
Introduction
I-Généralité
1- présentation de l’entreprise
2- L’organisation de l’entreprise
3- Présentation du projet Y4
4- Présentations des différents essais géotechniques au laboratoire
4-1-Essai d’identification des sols
4-1-1 –Limites d’Atterberg
4-1-2-Analyse Granulométrique
4-2-Essai de caractérisation des sols
4-2-1 Essai Proctor-Essai CBR
4-2-2 Equivalent de sable
4-3-Essais Sur Les Roches
4-3-1 Essai micro-dévale
4-3-2 Essai Los Angeles
5- Essai in situ
-essai de densité
6-Autre essai
-Essai au cône d’Abraham et le béton durci
II-Matériel et Méthodes
1- Matériel
2- Méthodes
III-Résultats et Analyses
1-Résultats
2 Analyses

SECTION 1
IV-Conclusion
V-Bibliographie et Référence
Introduction
Dans le cadre de sa politique globale de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à

l’horizon 2020, le gouvernement ivoirien a accordé une importance singulière au dé
veloppement et au renforcement des infrastructures routières. Dans cette perspective,
de grands chantiers de construction de routes et d’ouvrages d’art sur toute l’étendue
du territoire ont été entrepris afin de désenclaver les villages, de raccorder les région
s et/ou départements, d’améliorer les conditions de circulation dans les villes et d’ap
porter une réponse appropriée à la fluidité du trafic au niveau de la capitale économi
que. Ainsi, dans la dynamique continue d’amélioration des conditions de vie de l’en
semble de la Population vivant en Côte d’Ivoire, le gouvernement a inscrit au PND
2016-2020, bon nombre de projets dont la construction d’où s’inscrit le projet d’am
énagement de l’autoroute périphérique Y4 (Autoroute périphérique du boulevard de
France redresse-Anyama y compris l’aménagement des carrefours, la construction d
es échangeurs d’Alépé, C’est dans cette optique que s’inscrit le projet d’aménageme
nt de la voie de contournement Y4 de la ville d’Abidjan. De ce fait plusieurs études s
ont menées sur le projet, tel est le cas des essais géotechniques. Ainsi notre étude d
ont le thème est <<ETUDE DES ESSAIS GEOTECHNIQUES SUR LES TRAVA
UX D’AMENAGEMENT DE LA VOIE DE CONTOURNEMENT Y 4 DE LA VIL
LE D’ABIDJAN (COTE D’IVOIRE) LOT 4 SECTION 1>>dès lors, quels sont les
différents d’essais géotechniques réalisés sur le projet et quels sont le matériel et mé
thodes utilisé dans la réalisation des essais ? A partir d’une approche scientifique no
us allons nous efforcer de répondre efficacement à cette question tout au long de ce
mini mémoire.
Nous présenterons les différentes études menées et commenterons les résultats obten
us
Ce document est structuré en 5 chapitres
√ Le premier chapitre présente le cadre du projet. On y trouve la présentation de la s

tructure d’accueil, la présentation du projet ;
√Le deuxième chapitre présente la méthode et le matériel
√Le troisième chapitre présente les résultats et les analyses
√ Le quatrième chapitre présente la conclusion

SECTION 1
√Et pour finir le chapitre 5 présente les Références bibliographiques
PREMIERE PARTIE
GENEREALITE

SECTION 1
Généralité
Présentation de l’entreprise
Chine Gezhouba Group est une entreprise Chinoise de construction et d’ingénierie basé
e à Wuhan, Hubei. Selon les chiffres de 2014, l’entreprise est la 33éme plus grande entr
eprise en termes de chiffre d’affaires au monde .le principal actionnaire de la société (40,
8%) est la société d’Etat Principalement engagée dans la construction de projets sous-c
ontrat, Gezhouba opère dans les domaines des centrales électriques, des barrages, des ro
utes, des ponts et du génie civil en chine et à l’étranger.Dans d’autres, Gezhouba a inve
sti et construit des autoroutes ; biens immobiliers ; hydroélectricité produite ; et ciment
manufacturé et explosifs civils. L’entreprise a été très désireuse d’étendre ses activités à
l’étranger avec un objectif déclaré d’augmenter les contrats internationaux à la moitié d
es revenus de l’entreprise. Les projections de croissance confiantes sous-tendent les anté
cédents de contrats à l’étranger dans le domaine de l’ingénierie hydroélectrique, le type
de travail qui représente la majeure partie du portefeuille international de Gezhouba. Le
s projets à l’étranger comprennent un contrat de 4,97 milliards de yuans (727,78 millio
ns de dollars) signée en 2010 avec Kazakhstan. En Novembre 2014, l’entreprise a égal
ement été choisie pour construire une portion de 40km de l’autoroute Hazara au Pakista
n

THEME : ETUDE GEOTECHNIQUE SUR LES TRAVAUX D’AMENAGEMENT DE LA VOIE
PERIPHERIQUE DE CONTOURNEMENT Y4 DE LA VILLE D’ABIDJAN LOT 4 SECTION 1

SECTION 1
PRESENTATION GENERALE DU PROJET
Le projet se situe en côte d’ivoire qui est un pays de l’Afrique de l’ouest avec une super
ficie de 322462km2, plus précisément à Abidjan Le projet débute à après le rondpoint de
nouveau camp (PK00+000) et se termine l’interception de la route d’Alépé (PK14+20
0).
L’emprise du projet
-PK0+00 au PK7+400 Y4 (boulevard de France redresse-Anyama jusqu’à Angres Gest

oci
-PK7+400 au PK14+200(Angres gestoci jusqu’au Carrefour d’Alépé
CARACTERISTIQUE DU MARCHE
Maître d’ouvrage : AGEROUTE (AGENCE DE GESTION DES ROUTES)
Maître d’ouvrage et contrôle technique : AGEROUTE/AGECET
Bénéficiaire : Population d’Abidjan
Étude technique : Groupement AGECET /SGS
Entreprise en charge des travaux : CGGC
Laboratoire de contrôle : Labogem
Financement : BAD
Ordre de service : Novembre 2020
Durée : 20 mois
CARACTERISTIQUE DU MILIEU PHYSIQUE
Climat
La ville d’Abidjan est soumise à un climat de type tropical. Durant la majeure partie de
l’année, les précipitations sont importantes à Abidjan. Il n’y a qu’une courte période sèc
he mais elle est peu marquée. Cet emplacement est classé. En moyenne la température à
Abidjan est de 25,9°C. Il tombe en moyenne 1441mm de pluie par an.
Le sol
la zone d’étude repose sur des sols de types hydro morphe moyennement organique21ét
ude repose sur des sols de types ferrugineux tropicaux lessivés et développés sur des ma

SECTION 1
tériaux argileux3. Ils sont riches en oxydes et en hydroxydes de fer et en manganèse ce q

ui leur donne une couleur rougeâtre. Les sols de types ferrugineux n’ont pas une grande
capacité de rétention des eaux de ruissellement à cause de leur composition latéritique et
argileuse qui empêche l’infiltration des eaux pluviales.
Le relief
Le relief de notre zone de projet se caractérise par un ensemble de terrains peu élevé qui
descendent en pente douce du Sud vers le Nord et par une présence de points élevés. Le
s pentes sont en effet élevées et varient entre 0.5 et 1% 4. Cette zone fait partie du vieil e
nsemble cristallophyllien, aplani et recouvert d’un manteau assez continu mais d’épaiss
eurs irrégulières.
La végétation
La végétation naturelle dans les environs immédiats des routes du projet est quasi-inexis
tante3 dû à l’urbanisation de la ville. Seuls quelques arbres existent à certains endroits de
part et d’autre des tronçons mais lorsque nous atteignons 9km de route nous rencontrons
une végétation plus ou moins couvert de foret
L ‘hydrographie
Le réseau hydrographique de la région est constitué de 3 principaux cours d’eau :
le fleuve Comoé qui prend dans la zone de Péni, entre Banfora et Bobo Dioulass
o jusqu’à l’embouchure du Golfe de Guinée
la lagune Ebrié
elle est une eau saumâtre, sa surface est d’environ 560km 2, avec une largeur max
imale de 7km, une profondeur moyenne de 4,8m, une profondeur maximale de 2
0m et une longueur de 130km
et le golfe de Guinée
le golfe de Guinée est une partie de l’océan atlantique qui s’enfonce en coin vers
le centre du continent africain. Il est situé à l’ouest de la partie centrale de l’Afri
que et lui donne, un peu au nord de l’équateur une longue façade est-ouest balay
ée par les alizés, la cote de Guinée
OBJECTIFS DE L’ETUDE
a) Objectif général
L’objectif général de contribuer au développement du pays

SECTION 1
b- Objectifs spécifiques
Les objectifs spécifiques sont :

- Facilité le trafic routier à Abidjan
- Développement du trafic routier en côte d’ivoire
- Promouvoir les routes en côte d’ivoire
4-Présentation Des Essais Géotechniques au laboratoire
4-1 essais d’identification des sols
Identifier un sol en géotechnique consiste normalement à exécuter la sertie des essai

s suivantes :
-teneur en eau
-poids volumique apparent, poids volumique des grains ;
-granulométrie ;
-limites d’Atterberg : limite de liquidité wl, limites de plasticité wp .
Ce pendant ,il est indispensable au moment de l’ouverture des carottes de noter toute
s les observations qui peuvent servir à le distinguer de sols voisins ,à préciser son ori
gine génétique, ou à décrire son état in situ .Par exemple on notera de manière systé
matique :
-couleur
-consistance
Origine géologique et pédologique
-première classification géotechnique (estimation visuelle)
Les essais d’identification permettent en principe de classer les sols rencontrés au co

urs d’une campagne de reconnaissance géotechnique en familles pour lesquelles les
propriétés mécanique sont voisines, ils permettent également d’avoir une première e
stimation de l’ordre de grandeur des propriétés mécaniques en se reportant aux résul
tats publiés pour des familles de sols semblables à celle étudiées. Il faut cependant s
avoir que les corrélations générales entre caractéristiques d’identification des sols et
caractéristique mécanique données dans la littérature ne sont le plus souvent valable
s que pour des sols remaniés et homogènes, ou des granulaires sans cohésion. Elles
SECTION 1
seront donc utiles dans les problèmes liés aux remblais (route, barrages, etc.,). Par c
ontre chaque fois que l’on voudra les utiliser pour estimer les propriétés d’un sol no
n remanié il faudra être très prudent et de façon impérative les caler par de nombreu
ses mesures sur des échantillons intactes représentatifs.
Un programme de reconnaissance rationnel comportera donc ;
-d’une part une série d’échantillons sur lesquels seront exécutées que les mesures d
e caractéristiques mécaniques et les mesures d’identification :
-d’autres part une série plus nombreuse d’échantillons sur lesquels ne seront exécuté
es que les mesures d’identification.
4-1-1Limite d’Atterberg
 Objet
L’essai a pour objet la détermination des deux limites d’Atterberg (limite de liquidit
é à la coupelle et la limite de plasticité au rouleau). L’indice de plasticité est la référ
ence entre ces deux limites.
L’essai s’effectue sur le matériau fin inférieur à 3 mm, il permet d’apprécier le cara
ctère argileux ou plastique du matériau et contribue à sa classification. La norme de
référence est la norme française NF P94-051
 Principe
L’essai se réalise en deux phases
Recherche de la limite de liquidité (WI) : c’est la recherche de la teneur en eau p

our laquelle une rainure dans le matériau placé dans la coupelle se ferme sur une
longueur de 1cm après une variation de chocs normalisés
Recherche de la limite de plasticité(Wp) : c’est la recherche de la teneur en eau p
our laquelle un rouleau de 3mm, confectionné à la main
4-1-2 Analyse Granulométrique
L’analyse granulométrique est l’opération consistant à étudier la répartition des différent

s grains d’un échantillon, en fonction de leurs caractéristiques (poids, taille,…). Par mét
onymie, c’est aussi le nom donné au résultat de cette analyse.
4-2-Essai de caractérisation des sols

SECTION 1
Les essais de caractérisation des sols consistent à déterminer la portance des sols et aus
si sa densité et de sa teneur en optimale
Ces essais sont les suivants ; Essai CBR et Proctor
Essai Proctor et CBR
Essai Proctor
L’augmentation de la densité sèche yd qui résulte du compactage d’un sol est une fonct
ion
 Du sol compacté,
 De la teneur en eau de compactage,
 De l’énergie de compactage
L’essai Proctor a pour objet de préciser pour un sol donné et un compactage normalisé
l’influence de la teneur en eau. Le sol étudié est compacté, selon les normes définies. 1)
But de l'essai:
l'essai Proctor a pour but de déterminer la teneur en eau optimal pour un sol de remblais
donné et des condition de compactage fixées qui conduit au meilleur compactage possib
le .Autrement dit l'essai a pour objectif de déterminer la teneur en eau correspondant à u
ne capacité portante maximale.
2) Principe de l'essai:
L’essai consiste à tester la compacité du sol portée a différentes teneur en eau variable e
t croissante d'amplitude 2, et à mesurer la teneur en eau et son poids spécifique après co
mpactage. L’opération est répétée cinq fois de suite jusqu'à ce que le poids spécifique ch
ute .Cinq points de la courbe densité sèche en fonction de la teneur en eau sont alors dét
erminés. Les coordonnée (γopt;w opt) correspondants à l'optimum Proctor modifié (OP
M) sont représentés par le point maximal de la courbe qui donne en absciss1e la teneur e
n eau optimal pour une compacité maximum (densité maximale) en ordonnée
 Objectif de l’essai Proctor
-utilisation des résultats de l’essai Proctor
Les résultats obtenus permettent :
De savoir si un sol est compactable dans les conditions de chantier, compte tenu
de sa teneur en eau naturelle et la teneur en eau optimum Proctor.

SECTION 1
De fixer les spécifications de compactage à atteindre, En général on spécifie dan

s les cahiers de prescriptions technique :
-que les remblais et les digues seront compactés de façon à ce que la densité sèc
he soit supérieure ou égale à 90% de la densité optimum Proctor modifié,
-Que les couches de chaussées seront compactées de façon à ce que la densité sè
che soit supérieure ou égale à 95% de l’OPM.
Essais CBR
 Objet
L’essai CBR (Californien Baring Ratio) est un essai qui caractérise la portance d’un sol
du point de vue routier. Il s’agit d’un essai totalement empirique et qui n’est pas relié au
x caractéristiques du matériau étudié, l’échantillon de sol étudié est compacté dans un m
oule (moule CBRᶲ=20cm, hauteur : 15,2cm) après avoir été amené à une teneur en eau
homogène et bien définie.
 Principe
L’essai effectue sur une fraction 0/20mm d’un matériau dont la proportion des éléments
élément supérieurs à 20mm ne dépasse pas 25%
Il consiste à mesurer les forces à appliquer sur un piston pour le faire pénétrer, à une vit
esse normalisée, dans une éprouvette de matériau dans un état de densité et de teneur en
eau. Les valeurs particulières des forces ayant provoqué les enfoncements conventionne
ls, sont rapportés à des valeurs des forces observées sur un matériau de référence pour le
s mêmes enfoncements, par définition l’indice recherché est la valeur maximale de ces
rapports
Equivalent de sable
 Objet
L’essai a pour objet de mesurer la propreté d’un sable. Il rend globalement de la quantit
é et de la qualité des éléments fins, en expriment un rapport conventionnel volumique e
ntre les éléments sableux qui sédimentent et les éléments fins qui floculent.
 Principe
Cet essai s’exécute sur la fraction des sols passant au tamis de 5mm. Il s’applique aux s
ols(en fait aux sables) peu ou pas plastique donc très peu argileux. L’équivalent de sable
est considéré comme indiquant le degré de pollution des éléments sableux d’un sol ou d’
un granulat obtenu par concassage. Un Es de 100% est l’indice d’un sable propre, un Es

SECTION 1
de 0% celui d’un sable argileux. Un sable de béton doit avoir un Es>80. Au rapport de c
es hauteurs. Référence : catalogue des essais au laboratoire géotechnique
La valeur de l’équivalent de sable (Es) est le rapport, multiplié par 100, de la hauteur de
la partie sableuses sédimentée, à la hauteur totale du floculat de la partie sableuse sédim
enté
4-3 Essai sur les roches
4-3-1 Essai Micro Deval
Il est en général effectué deux essais, pour avoir deux coefficients (Deval sec) et (Deval
humide). On s’intéresse actuellement au Micro Deval MDE (DEVAL humide) qui est
de plus en plus pratiquée.
Principe de l’essai Micro Deval
L’essai Micro Deval consiste à mesurer la quantité d’éléments inférieurs à 1.6 mm (Tam
is de 1.6 mm) produits dons la machine Deval par les frottements réciproques.
But de l’essai Micro Deval
L’essai Micro-Deval humide permet de mesurer la résistance à l’usure des matériaux da

ns des conditions bien définies. Cette résistance à l’usure pour certaines roches n’est pa
s la même à sec ou en présence d’eau.
Domaine d’application de l’essai Micro Deval
L’essai micro deval est utilisé pour la choix des matériaux utilisés dans les structures de
chaussée. A est la surface de la section transversale en 2mm, la contrainte essai Micro D
eval
4-3-2 L essai Los Angeles
Permet de mesurer les résistances combinées aux chocs et à la détérioration progressive

par frottement réciproques des éléments d'un granulat. Ce mode opératoire s'applique au
x granulats utilisés pour la constitution des chaussées et bétons hydrauliques.
La norme européenne EN 1097-2 décrit l'essai Los Angeles
Principe de l'Essai
Il consiste à mesurer la quantité d'éléments inférieurs à 1,6 mm produite en soumettant l

e matériau aux chocs de boulets et aux frottements réciproques de la machine Los Angel

SECTION 1
es. Pour cela il évolue pendant l'essai. La granularité du matériau soumis à l'essai est ch
oisie parmi six classes granulaires qui sont :
4/6,3 mm, 6,3/10 mm ; 10/14 mm10/25 mm ; 16/31,5 mm ; 25/50 mm
Selon le type de granularité, la masse de la charge de boulets varie si M est la masse du

matériau soumis à l'essai, M1 est la masse des éléments supérieurs à 1,6 mm produits au
cours de l'essai qui est égouttée et séchée à l'étuve jusqu'à poids constant. On définit alor
s le coefficient Los Angeles
qui est un pourcentage en masse du rapport des éléments passant aux tamis de 1,6 et la
masse initiale sèche.LA= 100 x (M-M1 L c'est la résistance à la fragmentation par chocs
et par frottements réciproques des éléments des granulats.
6- Essai in situ
Les essais in-situ sont des mesures physiques directement sur le terrain. Les données réc
upérées sur le terrain sont traités par les ingénieurs. Les essais sont principalement : L'es
sai préssiométrique (réalisé dans un sondage)
La teneur en eau est le paramètre le plus important, dont la variation modifie toutes les p
ropriétés physiques de sol.
Essai de densité
Définition et principe
Le densitomètre a membrane est un procédé traditionnel permettant de mesurer le

volume dune cavité réalisée dans la couche a contrôler et dont on a soigneusement
extrait le sol pour déterminer le poids total humide puis le poids total sec
But
Le but de ce TP est la détermination par un procédé rapide la densité du sol sur place
Pour cela on va utiliser le densitomètre au cône de sable
6-Essai au cône d’Abraham et le béton durci
Définition et but d’essai
L’essai de compression a pour but de déterminer la résistance caractéristique du béton.

A 3,7, 28 et 90 jours d’où la détermination du fc28 connaître la capacité du béton à supp
orter une charge. La résistance à la compression est la capacité d’un matériau ou d’une

SECTION 1
structure à supporter les charges qui tendent à réduire sa taille par compression (écrase
ment).c’est une valeur clé pour la conception de structures .elle se mesure sur des matéri
aux ainsi que sur des composants ou des structures.
Principe
Cet essai consiste à appliquer un effort de compression à un échantillon reposant sur une
surface indéformable. Cette sollicitation provoque un écrasement de l’éprouvette. On m
esure simultanément les contraintes et les forces de compression il est nécessaires d’em
ployer des éprouvettes de forme ,de dimension et de mode d’obtention identiques, et de
les soumettre à essais dans des conditions bien définies de traitement préalable , de temp
érature, d’humidité et de vitesse de mise en charge.
Éprouvette de compression
L’essai de compression comporte raccourcissement élastique d’une éprouvette générale

ment cylindrique et son écrasement au-delà delà limite d’élasticité du matériau
Les éprouvettes en forme de court cylindre sont préférables, pour ces essais, aux éprouv
ettes.
L’éprouvette doit être constituée d’un cylindre droit de dimension 16 cm*32 cm ou d'un
prisme droit (à faces carrées) de dimensions 10cm*10cm*10cm. Les extrémités des épr
ouvettes doivent être parallèles et perpendiculaires à la direction de l’application de l'eff
ort. Après 28 Jours de durcissement de l’éprouvette, on doit assurer la planéité des deux
surfaces de l’éprouvette (lisse) afin d’obtenir des résultats de résistance fiables Pour avo
ir des surfaces planes en peut utiliser le Soufre

SECTION 1
DEUXIEME PARTIE
MATERIELS ET
METHODES

SECTION 1
I-MATERIELS ET METHODES
I-1 MATERIELS
I 1-1 limites d’Atterberg
Des tares : pour prélever l’échantillon

Un tamis de 400µm : pour le tamisage du matériau
un appareil de casagrande : permet de réaliser l’essai
Une étuve de dessiccation : pour sécher l’échantillon prélevé
Une balance : pour peser le matériau
Spatules : pour le malaxage de l’échantillon mis en essai
une plaque lisse en marbre : pour le malaxage et la confection des rouleaux de so
l,
une plaque de verre : qui permet de réaliser la limite de plasticité
1-l’analyse granulométrique
une série de tamis dans l’ordre décroissante : qui permet de tamiser le matériau l
ors de l’essai
Un dispositif : qui permet de laver l’échantillon prélevé
couvercles : qui permettent fermé le tamis de diamètre supérieur.
fonds de tamis : pour recueillir les éléments fins du matériau lors du tamisage
balances : pour peser la masse du matériau
étuve : qui permet de sécher le matériau
3-Pour l’équivalent de sable
Éprouvette gradués en verre : qui permettant de connaître la propreté du sable

Piston d’essai: permet de mesurer la hauteur de l’échantillon
une tige : qui permet de transvaser l’eau distillée dans l’éprouvette graduée
un manchon : qui permet de guider la tige et aussi à repérer l’enfoncement du pis
ton d’essai dans le cylindre
Chronomètre : qui de déterminer la durée de l’agitation
Tamis : pour le tamiser le matériau
Brosse à tamis : qui permet d’enlever le matériau qui reste dans les mailles du ta
mis
Tube laveur : qui permet de faire circuler la solution lavande dans l’échantillon à
tester
Flacon en verre ou en plastique transparent : qui permet de conditionner le liquid
e
Siphon : qui empêche l’air de circuler entre ses deux extrémités

SECTION 1
Entonnoir : permettant de transvaser la prise d’essai dans le cylindre gradué

Dispositif d’agitation : qui permet d’agiter le matériau lors de l’essai
Thermomètre : qui permet de mesurer la température
Balance : qui permet de peser le matériau
4-essai Proctor
Moules C.B.R et PROCTOR : il permet de réaliser l’essai
Dame PROCTOR modifié : elle permet de compacter le matériau de les moules l
ors de l’essai
Balance : qui permet de peser le matériau
Récipient : dans lequel se fait le malaxage du matériau
Pinceau : pour l’enlever les fins reste dans les tares
pelle épicière : permet de prélever le matériau
burin : qui de creuser la cavité
massette : il permet d’apporter des coups sur le burin
règle à araser : il permet de raser l’excédent de matériau contenu dans les moules
de telle à le rendre uniforme
Étuve : qui permet de sécher le matériau
5- l’essai CBR
Moules C.B.R : il permet de réaliser l’essai

Dame PROCTOR modifié : elle permet de compacter le matériau de les moules l
ors de l’essai
Presse CBR 50 KN : qui permet de poinçonner le matériau
Balance +récipient : pour peser le matériau contenu dans le récipient
bac à C.B.R : pour la mise à immersion des moules
6- densité à membrane
un densitomètre à membrane : permettant de réaliser une cavité

piquets d’ancrage ou moins (valets) ; pour fixer le densitomètre
pelle : pour prélever le matériau
Piochons : pour l’escarpement du matériau
burin : pour creuser la cavité
couteau : pour la mise à niveau de la cavité
marteau : qui permet d’apporter des coups sur le burin
sacs : qui permet de stocké le matériau prélevé
main écope : permet d’enlever le matériau contenant dans la cavité
un sac plastique : qui permet le stockage du matériau prélevé
Pinceau : pour enlever le matériau fi
Balance : elle permet de peser le matériau

SECTION 1
7-micro Deval
Balance : permettant de peser à la fois l'éprouvette et la charge avec une précisio

n de 0,1 % de la masse de prise d'essai.
Jeu de tamis : pour le tamisage du matériau
Étuve ventilée : pour le séchage du matériau
Éprouvette graduée en verre : permettant de mesurer la quantité d’eau.
8-Essai los Angeles
Une machine los Angeles : l’abrasion des matériaux
Une série de tamis : classée dans l’ordre décroissante
MATERIELS DOCUMENTAIRES
La recherche documentaire a occupé une part importante dans notre travail. Les docume
nts que nous avons utilisés se présentent comme suit :
Catalogues des essais géotechniques ;

Organigramme de l’entreprise ;
Anciens rapports de stages.
MATERIELS INFORMATIQUES
Microsoft office Word : Microsoft office Word m’a permis de rédig

er et de faire la mise en forme de mon document.
Un Ordinateur Portable : L’ordinateur portable m’a permis de faire
mes recherches et la saisir de mon document
Une Clé USB : La clé USB m’a permis de stocker et transférer des fi
chiers facilement.
AUTRES OUTILS
Un carnet, un stylo / un crayon : pour prendre notes lors des échanges ou pendant les r
echerches.
II-METHODES
Les méthodes sont un ensemble de moyens mis en œuvre pour résoudre un problème ou
un sujet donné.
II-1- Limites d’Atterberg

SECTION 1
A-Mode opératoire
Les opérations décrites ci-dessous sont à réaliser successivement
a-Préparation du sol
Prendre un échantillon du matériau de masse m égale à 200 g ou 2 kg et d est la

dimension des plus gros éléments de sol en mm
Mettre cet échantillon à imbiber dans un récipient d’eau pendant au moins 24h.
Une fois elle imbibe, le matériau est tamisé par voie humide au tamis 0.4mm.
L’eau de lavage et le tamisât sont recueillis dans un bac.
Après une durée de décantation, l’eau claire est siphonnée sans entrainer de part
icules solides. L’eau excédentaires est évaporée a une température ne dépassant
pas 500°C
Détermination de la limite de liquidité(WI) :
Avant de procéder à l’essai, s’assurer d’abord que la hauteur de la chute de la co
upelle est de 10mm. Faire des réglages s’il est nécessaire.
Malaxer une quantité de 300g environ du tamisât obtenu à 0.4mm, afin d’obteni
r une pâte homogène et presque fluide.
Répartir avec la spatule, dans la coupelle propre et sèche, une masse environ 70
g de pâte, Cette pâte étalée en plusieurs couches afin d’éviter d’emprisonner de
s bulles d’air. Puis partager cette pâte en deux avec l’outil a rainuré.
Soumettre la coupelle a une série de chocs à la cadence de 2 coups par seconde j
usqu’à la fermeture des deux lèvres de la rainure sur une longueur de 1cm. Not
er le nombre de chocs(N) correspond. si N est inférieur à 15, on recommence en
séchant le matériau
Prélever dans les coupelles, à l’aide d’une spatule, environ 5g de pâte, de chaqu
e cote des lèvres de la rainure et au voisinage de l’endroit où se sont refermées p
our déterminer la teneur en eau (W).
Effectuer l’opération complète au moins quatre fois sur la même pâte, mais ave
c une teneur en eau différente à chaque fois. les nombres de chocs de la série d’
essais doivent encadrer 25.
Détermination de la limite de plasticité :
Former une boulette à partir de la pâte précédente. Puis la rouler, à la main, sur
une plaque lisse de façon à obtenir un rouleau qui est aminci progressivement ju
squ’à ce qu’il atteigne 3mm de diamètre. La limite de plasticité est obtenue lors
que, simultanément, le rouleau se fissure et que son diamètre atteint 3mm.
II-2- Analyse granulométrique

La granulométrie est la distribution dimensionnelle d’un matériau donné. La mét
hode utilisée est celle par tamisage à sec après lavage de la norme NFP 94-056

SECTION 1
principe
Il convient de s’assurer de la provenance et de la nature du matériau, par une ide
ntification sommaire afin de savoir si les sols sont susceptibles d’être modifiées
par le processus opératoire de l’essai (par exemple : sols solubles, sols contenant
des matières organique) En particulier, les opérations de séchage se font à la tem
pérature de 105C° pour les sols insensibles à la chaleur et à 50C° pour ceux sens
ibles à la chaleur. En cas de doute, le matériau est traité comme s’il était sensible
à la chaleur.
Mode opératoire
De la nature des matériaux, de leur état et de l’objectif fixé à l’analyse granulométrique

découle le choix de la plus grandes mailles de tamis à utiliser ayant été définies contrac
tuellement, l’essai se déroule comme suit :
-Procéder à une prise d’essai sur le matériau prélevé.

-Éliminer les éléments de dimension supérieure à dm(éventuellement après bross
age afin de récupérer les éléments fins et pesage de ce qui est supérieur à dm) e
n notant la dimension approximative des plus gros éléments ) .
Selon la nature et l’état du matériau, l’essai sera poursuivi avec un échantillonna
ge intermédiaire sur le passant au tamis d’ouverture de maille dc ou en une seule
phase sur le passant au tamis d’ouverture de maille dm. Cette opération d’échanti
llonnage éventuel (avec dc tel que 5≤dc<dm, en millimètre) a pour but de limiter l
a quantité de matériau qu’il faudra faire tremper puis laver sur le plus petit tamis
utilisé. Le traitement du refus au tamis d’ouverture de maille d c est différent du tr
aitement effectué sur le passant au tamis d’ouverture de maille dc
Il comprend :
-Un dispositif de lavage avec arroseur et, éventuellement, de malaxage ;

-Un jeu de tamis emboîtables à mailles d’ouvertures carrées conforme à la norm
e NF ISO 565 dont les montures sont au moins :
.un diamètre ≥200mm pour des ouvertures de maille inférieures à 10 mm ;
.un diamètre ≥250mm pour des ouvertures de mailles comprises entre 10 mm et
50 mm ;
. Un diamètre ≥ 315 mm pour des ouvertures de maille supérieures à 50 mm
Toutes les montures des tamis d’une même colonne ont le même diamètre impos
é par la dimension de la plus grande maille des tamis utilisées.
Il comprend :
- Un dispositif de lavage avec arroseur et, éventuellement, de malaxage ;
- Un jeu de tamis emboîtables à mailles d’ouvertures carrées conforme à la
norme NF ISO 565 dont les montures sont au moins :

SECTION 1
.un diamètre ≥200mm pour des ouvertures de maille inférieures à 10 mm ;

.un diamètre ≥250mm pour des ouvertures de mailles comprises entre 10 mm et
50 mm ;
. Un diamètre ≥ 315 mm pour des ouvertures de maille supérieures à 50 mm
Toutes les montures des tamis d’une même colonne ont le même diamètre impos
é par la dimension de la plus grande maille des tamis utilisées.
-couvercles et fonds de tamis de même diamètre que les tamis ;
-balances dont les portées maximales et minimale sont compatibles avec les mas
ses à peser et telles que les pesées sont effectuées avec incertitude de 1/1000 de l
a valeur mesurée ;
-étuve : Une enceinte thermique ou une étuve de dessiccation à température régl
able à105c° et à50c°de classe d’exactitude comme défini dans l’annexe Ade la n
orme NF X 15-016 pour une température uniquement
-couvercles et fonds de tamis de même diamètre que les tamis;
-balances dont les portées maximales et minimale sont compatibles avec les mas
ses à peser et telles que les pesées sont effectuées avec incertitude de 1/1000 de l
a valeur mesurée ;
-étuve : Une enceinte thermique ou une étuve de dessiccation à température régl
able à105c° et à50c°de classe d’exactitude comme défini dans l’annexe Ade la n
orme NF x 15-016 pour une température unique.
3 –ESSAI PROCTOR
L’essai Proctor consiste à compacter dans une moule normalisée, avec une éner
gie de compactage normalisée (dame de masse normalisé tombant d’une hauteur
constante),un échantillon du matériau à différentes de teneur en eau pour en déd
uire la teneur en eau optimale et la densité sèche maximum correspondante yd.
On distingue :
 L’essai Proctor normal avec une énergie de compactage modérée pour re
mblais en terre
 L’essai Proctor modifié avec une énergie de compactage intense pour co
uche de chaussée.
C’est l’essai Proctor modifié qui sera décrit, selon la norme française NF P 9
4-09.
Préparation des échantillons

A près l'échantillonnage, mettre l'échantillon dans l'étuve

SECTION 1
À 50˚C pendant 2 h pour éliminer la teneur en eau. Ensuite après l'étuvage, peser
6000 Kg de l'échantillon et tamiser avec deux tamis de module d’afnor successiv
e de 44 et 38. Puis éliminer les refus de tamis de module afnor 44 (noter sa mass
e) et prendre sont même autre masse a l'aide des refus de tamis 38mais passant p
ar celui de 44; enfin repeser l'échantillon pour vérifier s'il y a eu des pertes ou pa
s et elle doit être 6000 Kg initialement peser.
Exécution d'essai:
Il faut d’abord solidariser moule, embrasse, lubrifier les parois intérieures du m
oule et placer le disque d’espacement au fond du moule. Ensuite, il faut introdui
re le matériau dans le moule pour que la hauteur de la première couche après co
mpactage soit légèrement supérieure au cinquième de la hauteur du moule.
Procéder au compactage en appliquant 56 coups par couche à raison de huit séq
uences de sept coups. Apres le compactage de la dernière couche, il faut retirer l
a rechausse, et raser soigneusement au niveau du moule en opérant radialement
du centre vers la périphérie du moule peser l’ensemble du moule avec le matéri
au. Démouler le matériau de l’éprouvette. En extraire des échantillons représent
atifs pour en déterminer les teneurs en eau.
Expression des résultats
Pour chaque éprouvette compactée il convient de calculer la teneur en eau, la m
asse du matériau sec, la masse volumique du matériau sec en tenant compte du
volume réel du moule utilisé. On reporte les couples(w ;yd) sur le graphe et on a
juste la courbe sur les points obtenus. On en déduit les valeurs de ( yd) maximu
m et w optimum, qui correspond aux valeurs obtenus en projetant le sommet de
la courbe respectivement sur l’axe des ordonnées et l’axe des abscisses.
4 –ESSAI CBR
Préparation de l’échantillon
Le matériau pour l’essai CBR est tamisé de 5mm et doit avoir une masse d’envi
ron 18kg le matériau est mouillé à la teneur en eau optimum déterminé à partir
de l’essai Proctor
Mode d’exécution de l’essai
Pour l’exécution de l’essai, il faut préparer trois moules CBR. Il faut d’abord solidariser
moule embrasse et rehausse, lubrifier les parois intérieures du moule et placer le disque
d’espacement au fond du moule. Le compactage du matériau se fait à l’aide de dame Pr
octor modifié. Les moules sont compactés chacun en cinq couches. Le premier moules e
st compacter à 56 coups, le deuxième à 25 coups et le troisième à 14 coups, et cela par c
ouche. Après le compactage de chaque moule, il faut retirer la rehausse puis araser soig
neusement l’éprouvette (du centre vers la périphérie). Ensuite il faut peser au gramme pr

SECTION 1
ès, l’ensemble moule et matériau. Après la pesée, il faut retourner le moule le fixer à la
plaque de base. Déposer les surcharges dans le moule et imbiber les trois moules pendan
t quatre jours. Après l’imbibition, on procède à l’essai de poinçonnement. Placer l’ense
mble plaque de base, moule CBR, éprouvette sur la presse, en position centrée par rapp
ort au piston. Le poinçonnement correspondant à des valeurs d’enfoncement prédéfinies
par la norme. Une fiche d’étalonnage permet de lire la force correspondant à la lecture f
aite sur la presse. On procède ainsi pour chaque moule.
Figure 10: CBR en immersion

5-ESSAI SUR LA ROCHE
5-1
2- Essai Micro Deval
Il est en général effectué deux essais, pour avoir deux coefficients (Deval sec) et
(Deval humide). On s’intéresse actuellement au Micro Deval MDE (DEVAL h
umide) qui est de plus en plus pratiquée.
Mode d’exécution
En fonction de la classe granulaire du matériau, on fait le choix d’une classe granula

ire comprise dans la classe du matériau. On tamise le matériau entre les tamis corres
pondant à la classe granulaire choisie, et on prélève exactement une masse A=500g
de cette classe pour l’exécution de l’essai. En fonction de la classe granulaire choisie,
un abaque donne le nombre de billes normalisées à utilisées pour l’essai. L’ensemb
le de ces billes constitue la charge abrasive introduire le matériau et les billes dans u
ne marmite cylindrique normalisée. Déposer la marmite sur l’appareil et le mettre e
n marche. Après 2h, l’appareil s’arrête de façon automatique et on retire le matériau.
Celui-ci est tamisé au tamis de 1,63mm, lavé, étuvé puis pesé. Soit B la masse du ref
us au tamis de 1,63mm
L'essai Los Angeles

SECTION 1
Permet de mesurer les résistances combinées aux chocs et à la détérioration progressive

par frottement réciproques des éléments d'un granulat. Ce mode opératoire s'applique au
x granulats utilisés pour la constitution des chaussées et bétons hydrauliques.
La norme européenne EN 1097-2 décrit l'essai Los Angeles
Principe de l'Essai
Il consiste à mesurer la quantité d'éléments inférieurs à 1,6 mm produite en soumettant l

e matériau aux chocs de boulets et aux frottements réciproques de la machine Los Angel
es. Pour cela il évolue pendant l'essai. La granularité du matériau soumis à l'essai est ch
oisie parmi six classes granulaires qui sont :
4/6,3 mm, 6,3/10 mm ; 10/14 mm10/25 mm ; 16/31,5 mm ; 25/50 mm
Selon le type de granularité, la masse de la charge de boulets varie si M est la masse du

matériau soumis à l'essai, M1 est la masse des éléments supérieurs à 1,6 mm produits au
cours de l'essai qui est égouttée et séchée à l'étuve jusqu'à poids constant. On définit alor
s le coefficient Los Angeles
qui est un pourcentage en masse du rapport des éléments passant aux tamis de 1,6 et la
masse initiale sèche.LA= 100 x (M-M1 L c'est la résistance à la fragmentation par chocs
et par frottements réciproques des éléments des granulats.
6-Autre essai
--ESSAI AFFAISSEMENT
Mode opératoire :
Après avoir huilé le moule puis huiler la plaque, on procède comme suit : Au mo
yen d’une pelle creuse, introduire le béton dans le moule en trois couches, chacu
n ayant une hauteur égale au tiers de la hauteur du cône. Cette introduction doit c
ommencer 1minute au maximum après le prélèvement et homogénéisation du bé
ton destiné à l’essai. Piquer chaque couche a 25 fois avec la tige de piquage en r
épartissant les enfoncements uniformément sur la surface du béton et en faisant
pénétrer la tige dans la couche sous-jacentes ’il y a lieu. A la dernière couche, au
cours du compactage, ajouter le béton nécessaire pour que le moule soit rempli à
ras bords. Araser en roulant la tige de piquage sur le bord supérieur du moule.
Éviter pendant cette opération un compactage supplémentaire du béton. Démoul
er immédiatement en soulevant la moule avec précaution, lentement, à la vertical
e et sans secousses. Après démoulage, procéder dans les minutes à la lecture de
l’affaissement, en mesurant le point le plus haut du béton affaissé. Si l’on consta
te un éboulement ou un cisaillement partiel du béton, recommencer l’essai Figur
e : cône d'Abraham et la tige pour mesurer le béton affaissé

SECTION 1
Procéder à la vibration de chaque couche et les compacté avec la tige en 25 cou

ps Après le remplissage de moule enlever le béton se trouvant au-dessus du bor
d supérieur du moule Araser soigneusement la surface Munir les moules d’une é
prouvette porte la date du prélèvement, le nom du client, le nom du chantier et l
e numéro de PV. (Pour différencier les différentes séries des bétons coulés)Ps :
chaque série comporte 6 moules et les série se différencie selon les bâtiments da
ns lesquelles en coule, et ce le chef de chantier ou l’ingénieure qui décide s’il ut
ilise le même béton ou différent Conserver les éprouvettes dans leurs moules et
protéger les contre les chocs et les vibrations, pendant 24h.
ESSAI DE COMPRESSION
Après 24h, transporter les éprouvettes au laboratoire et démouler les éprouvettes avec so
in. Déplacer les bétons démoulés à l’aide un chariot dans la salle de conservation (une s
alle climatisée) à une faible température dans l’eau. Au jours de l’écrasement et avant d
e passer au rectification de l’éprouvette, nettoyer l’éprouvette, noter sa masse et ses dim
ensions (hauteur et diamètre) et leurs extrémités sont rectifiées (surfaçage à l’aide de 60
% de souffre et 40% de sable fins + l’huile

SECTION 1
TROISIEME PARTIE
RESULTAT ET ANALYSE

SECTION 1
III-1- RESULTAT
III-1-1- Limite d’Atterberg
Les essais réalisés sur le matériau provenant du PK8+600 ont permis d’avoir les rés
ultats suivants :
- Limite de liquidité WL(%)=23,20

- Limite de plasticité WP (%)=10,82
- Indice de plasticité IP= 12
III-1-2-Analyses granulométrique
L’analyse granulométrique réaliser sur l’échantillon du PK8+600 a permis d’obtenir

les résultats consignés dans le tableau ci-dessous
Tableau 2 : Analyse granulométrique du matériau issu du site PK8+600
Ces résultats permettent de tracer la courbe granulométrique suivante :

SECTION 1
III-1-3-Proctor modifié
Les références de compactage obtenues à l’issue de l’essai Proctor Modifié sont :
- La teneur en eau optimum WOPM(%)=10,70

- La densité sèche maximale ydmax=2,00
III-1-4-Essai CBR
Pour l’exécution de l’essai, le matériau a été compacté sur la base des références de
compactage obtenu par l’essai de Proctor modifié. Après quatre jours d’imbibition, e
t après l’essai de poinçonnement, l’indice portant CBR de ce matériau a été estimé à
95% de l’optimum Proctor

SECTION 1
III-2-1- Analyses des résultats d’identification sur le sable argileux jaunâtre
Les résultats des essais réalisés sur les échantillons du site PK8+200 sont présentés
dans le tableau ci-dessous afin de faciliter leur analyse
Granulométrie Limites d’attenberg Proctor mod Portanc

Passants(%) ifié e CBR
(%OP
m)
0,5m 0,4 0,2mm WL Wp IP WOP ydO 95

m mm M PM
PK8 52 121 161 23 ,20 10,82 12 10 ,70 2,00 30

+200
 Analyse des propriétés physiques
En observant la courbe granulométrique du site d’emprunt, on peut voir une régulari

té qui se définie entre les diamètres de 2mm à 50mm. En effet de 70mm à 40mm, la
courbe est régulière. Puis, à partir de 35mm, on observe une irrégularité de la courbe
qui se poursuit jusqu’au diamètre de 10mm. Dans ce cas en se basant sur l’allure de
la courbe granulométrique, qu’il s’agit de matériau à granulométrie uniforme
Ces observations peuvent être confirmées par le calcul des coefficients d’uniformité
et de courbe. Le coefficient d’uniformité indique si la granulométrie indique si la gra
nulométrie du matériau est uniforme ou étalée et le coefficient de courbure donne la
courbe des particules du matériau. Plus le coefficient d’uniformité est élevé, plus la
granulométrie du matériau est étalée. Plus il est faible, plus la granulométrie du maté
riau est uniforme. Si la valeur du coefficient de courbure est comprise entre 1 et 3, al
ors on dira qu’il s’agit d’un matériau <<bien gradué>>. Dans le cas contraire, le mat
ériau est dit <<mal gradué>>.
Ces coefficients d’uniformités se calculent à partir des diamètres correspondant à 10

%, 30%, et 60% de passant. soit :
- D10,le diamètre correspondant à 10% de passants,

- D30 , le diamètre correspondant à 30% de passants,
- D60, le diamètre correspondant à 60% de passants,

SECTION 1
J
Site d’emprunt
D10mm 100
D30mm 100
D60mm 100
Coefficient d’uniformité Cu= D10/D60 1
Coefficient de courbure Cu=D302/ D60xD10 1

Tableau 2 : calcul des coefficients de courbure et d’uniformité du matériau i
ssu du site
On note le coefficient d’uniformité très faible cela confirme que le site d’emprunt PK8
+200 à des matériaux à granulométrie uniforme.
La valeur du coefficient de courbe, qui entre dans l’intervalle 1 à 3, permet d
e dire qu’il s’agit de matériaux bien gradué, uniforme en certaines tailles de
particules.
 Analyse des propriétés mécanique
L’emprunt présente une densité sèche moyenne. Mais on note un indice port
ant CBR de 95% de la densité maximale du Proctor et après 4 jours d’imbibit
ion (voir tableau 1).cela s’explique par l’abondance de l’emprunt en particule
s fines révélée par le calcul du coefficient de courbure. En effet se sont les él
éments grossiers qui renforcent le caractère résistant d’un matériau donné
Conclusion partielle
Matériau, pour être utilisé en couche de base sur notre site, doit avoir un indice Port
ant CBR supérieur à 95 % OPM. Mais la rareté de matériau répondant à ces Les étu
des réalisées au laboratoire ont concernées un matériau argileux jaunâtre qui peut êtr
e utilisé à l’état naturel en couche de base. En effet, leurs indices portant CBR Est de
à 95% de l’Optimum Proctor Modifié pour ce matériau argileux.
IV - CONCLUSION GÉNÉRALE
Ce stage a été très enrichissant pour moi car il m’a permis de découvrir dans les déta
ils le secteur, ses acteurs, contraintes et il m’a permis de participer concrètement à se
s enjeux au travers de mes missions variées comme celle du 10 Février 2022 que j’ai

SECTION 1
particulièrement apprécié. Ce stage m’a aussi permis de comprendre certaines notio

ns, mais beaucoup reste à apprendre. L’entreprise qui m’a accueillir pendant ce stag
e fait face à une charnière et je suis très fiers d’avoir pu contribuer à cette révolution
L’évolution des usages et adaptation de l’entreprise au changement de son environ
nement
Fort de cette expérience et en réponse à ses enjeux j’aimerai beaucoup par la suite es
sayer de m’orienter via un prochain stage.

SECTION 1
V-BIBLIOGRAPHIE
 Ouvrage et articles
[1]Kevin OGODO MALA Masters :<<Technique Et Exécution Des Trav
aux D’aménagement, De Bitumage Et D’assainissement Pluvial De Voiri
es Dans La Ville De Ouagadougou (Burkina-Faso) Lot 2>>
[2] Catalogue des essais géotechnique au laboratoire
[3] Groupe académie : exemple de rapport géotechnique au laboratoire
[4] Centre national des études et de recherche routière
[5] Marietou kana zoé : amélioration des graveleux latéritique avec gran
ite concasse de classes granulométrique différents
 Références normatives
[6] NF P 94-061-2(avril 1996) <<Reconnaissance et essais >>
[7] NF EN 933-8(Mars 2012) << Essais pour déterminer les caractéristique géo
métrique des granulats
[8] NF P 94-051(Mars 1993 << sols : reconnaissance et essais>>
[9] NF P 94-078(MAI 1997) <<sols : Reconnaissance et essais
[10]NF P 18-573(Décembre 1990) <<Granulats>>
[11] NF EN 1097-1(AOUT 2011) <<Essais pour déterminer les caractéristiques

mécaniques et physiques des granulats

SECTION 1
ANNEXES
Figure1 : Appareil d’essai Micro Deval
Figure2: Materiel de LA Figure3 : Appareil d’essai los Angeles
Figure 4 : matériel de Proctor etCBR

Rapport de Geotechnique

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THEME : ETUDE GEOTECHNIQUE SUR

LES TRAVAUX D’AMENAGEMENT DE

RAPPORT DE STAGE MINE GEOLOGIE

INCARDREUR : Mr Bli Kan Serge,Ingénieur géotechnicien

Année académique : 2020-2021

RAPPORT DE STAGE MINE GEOLOGIE ET PETROLE Page 2

RAPPORT DE STAGE MINE GEOLOGIE ET PETROLE Page 3

Je tiens tout d’abord à remercier M. XIAOSAN FAN, Directeur du projet de l’entreprise

Merci également à M. BLI KAN, mon maître de stage.ingénieur géotechnicien Chef de

Je tiens ensuite à remercier particulièrement Mr KOUADIO KOUASSI SERGES, Direc

Enfin, un grand merci à M. Koné, M. Donald, et l’ensemble de l’équipe du laboratoire p

RAPPORT DE STAGE MINE GEOLOGIE ET PETROLE Page 4

RAPPORT DE STAGE MINE GEOLOGIE ET PETROLE Page 5

4-2-Essai de caractérisation des sols

4-2-1 Essai Proctor-Essai CBR

4-2-2 Equivalent de sable

4-3-Essais Sur Les Roches

4-3-1 Essai micro-dévale

4-3-2 Essai Los Angeles

-Essai au cône d’Abraham et le béton durci

RAPPORT DE STAGE MINE GEOLOGIE ET PETROLE Page 6

Dans le cadre de sa politique globale de faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à

Ce document est structuré en 5 chapitres

√ Le premier chapitre présente le cadre du projet. On y trouve la présentation de la s

√Le deuxième chapitre présente la méthode et le matériel

√Le troisième chapitre présente les résultats et les analyses

√ Le quatrième chapitre présente la conclusion

RAPPORT DE STAGE MINE GEOLOGIE ET PETROLE Page 7

√Et pour finir le chapitre 5 présente les Références bibliographiques

RAPPORT DE STAGE MINE GEOLOGIE ET PETROLE Page 8

RAPPORT DE STAGE MINE GEOLOGIE ET PETROLE Page 9

RAPPORT DE STAGE MINE GEOLOGIE ET PETROLE Page 10

PRESENTATION GENERALE DU PROJET

-PK0+00 au PK7+400 Y4 (boulevard de France redresse-Anyama jusqu’à Angres Gest

-PK7+400 au PK14+200(Angres gestoci jusqu’au Carrefour d’Alépé

Maître d’ouvrage : AGEROUTE (AGENCE DE GESTION DES ROUTES)

Maître d’ouvrage et contrôle technique : AGEROUTE/AGECET

Bénéficiaire : Population d’Abidjan

Étude technique : Groupement AGECET /SGS

Entreprise en charge des travaux : CGGC

Laboratoire de contrôle : Labogem

Ordre de service : Novembre 2020

CARACTERISTIQUE DU MILIEU PHYSIQUE

RAPPORT DE STAGE MINE GEOLOGIE ET PETROLE Page 11

tériaux argileux3. Ils sont riches en oxydes et en hydroxydes de fer et en manganèse ce q

Le réseau hydrographique de la région est constitué de 3 principaux cours d’eau :

RAPPORT DE STAGE MINE GEOLOGIE ET PETROLE Page 12

Les objectifs spécifiques sont :

4-Présentation Des Essais Géotechniques au laboratoire

4-1 essais d’identification des sols

Identifier un sol en géotechnique consiste normalement à exécuter la sertie des essai

-poids volumique apparent, poids volumique des grains ;

-limites d’Atterberg : limite de liquidité wl, limites de plasticité wp .

Origine géologique et pédologique

-première classification géotechnique (estimation visuelle)

Les essais d’identification permettent en principe de classer les sols rencontrés au co

Un programme de reconnaissance rationnel comportera donc ;

L’essai se réalise en deux phases

Recherche de la limite de liquidité (WI) : c’est la recherche de la teneur en eau p

4-1-2 Analyse Granulométrique

L’analyse granulométrique est l’opération consistant à étudier la répartition des différent

4-2-Essai de caractérisation des sols

RAPPORT DE STAGE MINE GEOLOGIE ET PETROLE Page 14