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4ème année
Meur Trigui Lotfi condensateur Année scolaire : 20 . . / 20 . .
But:
Mettre en évidence expérimentalement la charge et la décharge d’un condensateur.
Reconnaitre que l’intensité i du courant est une grandeur algébrique.
Manipulation :
1èretache : (charge et décharge d’un condensateur)
1. Réaliser le montage suivant en maintenant le commutateur K ouvert.
E
Condensateur 1
Commutateur K
G
A B
Galvanomètre 2
V
Diode D1
Résistor
1
2
Diode D2
Evaluation :
1. Peut-on décharger un condensateur non chargé ? préciser, parmi les observations faites, celle qui
justifie la réponse.
But:
Déterminer la valeur de la capacité C d’un condensateur à l’aide de la courbe
d’évolution de sa charge q en fonction de la tension uC entre ses bornes.
Travail demandé :
1) Réaliser l’un des montages suivants :
Générateur de courant continue
K Générateur de tension continue
E =12V
R=1M i
A V
Chronomètre
i
q
q
Condensateur déchargé
C=2200µF
t (en s)
uC ( en V)
q ( en C)
But:
Déterminer graphiquement, à partir de la courbe de réponse uC(t) et i(t) d’un dipôle RC
soumis à un échelon de tension, la constante de temps τ = RC.
Travail demandé :
E=6V
A
C= 470µF
R
R=100kΩ
t(s) 0
uC (V)
i(µA)
3) Tracer les courbes uC(t) et i(t) pendant la charge du condensateur sur deux papiers
millimétrés séparés.
But:
Mettre en évidence expérimentalement le phénomène d'induction électromagnétique.
Dégager expérimentalement la loi de Lenz.
Mettre en évidence la fem induite.
Activité 1: (mise en évidence du phénomène)
Approcher ou éloigner l’un des pôles de l’aimant de l’une des faces de la bobine.
bobine aimant
galvanomètre
G G
G
Le courant induit a un sens tel qu'il ………………….. par ses effets à la ……………. qui
lui donne naissance.
Activité 3: (La fem d’induction magnétique)
But:
Mettre en évidence expérimentalement le phénomène d'induction électromagnétique.
Dégager expérimentalement la loi de Lenz.
Mettre en évidence la f.e.m induite.
Dispositif expérimental et matériel nécessaire:
bobine aimant
N S
galvanomètre
Manipulation :
1èretache : (mise en évidence du phénomène)
1. Approcher ou éloigner l’un des pôles de l’aimant de l’une des faces de la bobine. Que se passe –t-il, au
niveau de la bobine en circuit fermé, lors d’un déplacement relatif aimant-bobine ?
2. A quoi est du l’apparition du courant dans le circuit de la bobine qui ne comporte pas de générateur ?
N N
S S
G G G
Remplacer l’aimant par un autre plus puissant en gardant la même durée de variation du champ
inducteur et déduire l’effet de la variation de l’intensité du champ.
But:
Réaliser une expérience permettant de visualiser simultanément à l’oscilloscope les
courbes de réponse uL(t) et uR(t) d’un dipôle RL soumis à une tension en créneaux.
L
Déterminer graphiquement la constante de temps τ = à partir des courbes uL(t)
R0 r
et i(t) obtenus dans le cas d’un dipôle RL soumis à un échelon de tension.
Montage expérimental et matériel nécessaire:
A
L,r
T/di
v
GBF M
Y1
R0
Manipulation :
b/ Quelle est la raison pour laquelle le courant continue I0 s’établit dans la bobine avec
un certain retard par rapport à l’instant de fermeture du circuit ?
6°) La constante de temps est la durée τ nécessaire pour que l’intensité du courant atteigne
63% de sa valeur maximale I0 . En complétant le tableau ci-dessous, montrer que τ
L
= .
R0 r
(ms)
R ()
L(H)
L
()
R0 r
But:
Déterminer la valeur de l’inductance L de la bobine.
Travail demandé:
1) Réaliser le montage suivant et faire apparaître les deux oscillogrammes sur l’écran de
l’oscilloscope.
Bobine d’inductance L et de
Générateur de résistance r négligeable.
tension triangulaire
dont la masse est A
isolée de la terre. Oscilloscope
T/div
V/div
GBF M
Y1 Y2(Inv)
R0
uL (mV)
a (103V.s-1)
di( t ) a
=
dt R0
di di
3) Tracer la courbe d’évolution de uL en fonction de : uL = f ( ).
dt dt
Exploitation des résultats :
Déduire, de la courbe, la valeur de l’inductance L de la bobine.
But:
Réaliser une expérience permettant de visualiser simultanément à l’oscilloscope les courbes de
réponse uL(t) et uR(t)d’un dipôle RL soumis à une tension en créneaux.
Déterminer graphiquement la constante de temps τ d’un dipôle RC.
B
Représenter sur le schéma du montage les branchements nécessaires de l’oscilloscope (masse ,
voie Y1 et voie Y2) afin d’observer :
La tension uL = uAM aux bornes de la bobine sur la voie Y1.
La tension uR = uMB aux bornes du résistor sur la voie Y2. Préciser le réglage à faire sur l’oscilloscope.
Manipulation :
But:
Déterminer graphiquement, à partir des courbes de réponses uL(t) ou i(t), soumis à un
échelon de tension, la constante de temps d’un dipôle RL.
Activité 1:
On donne ci-dessous les courbes de variation des grandeurs i(t) et uL(t) lorsqu’on ferme
un circuit série comportant une bobine d’inductance L et de résistance interne r, un résistor de
résistance R0 et un générateur de tension de f.e.m E.
E
c/ Montrer théoriquement que i(τ) = 0,63 .
R0 r
But:
Réaliser un montage permettant de suivre les oscillations libres d’un circuit RLC série.
Reconnaitre le régime pseudopériodique et le régime apériodique.
Reconnaitre le facteur responsable de l’amortissement.
Activité 1 : (évolution des grandeurs électriques)
On se propose :
de charger un condensateur de capacité C à l’aide d’un générateur de tension de fem E et
de le décharger aux bornes d’un dipôle RL.
suivre l’évolution de la charge q du condensateur et de l’intensité i du courant dans le
circuit série comportant le condensateur chargé, la bobine d’inductance L et de
résistance interne r et le conducteur ohmique de résistance R0.
T/div
V/div
Y1 Y2
oscillogramme
visualisé
Régime des
oscillations
1) Pour chacune des valeurs de R0, L et C indiquées sur le tableau ci-dessous, mesurer la pseudo
période T des oscillations. Conclure.
T(ms)
But:
Réaliser un montage permettant de suivre les oscillations libres d’un circuit RLC série.
Reconnaitre le régime pseudopériodique et le régime apériodique.
Reconnaitre le facteur responsable de l’amortissement.
Activité 1 :
En utilisant un générateur basse fréquence de tension en créneau, on se propose de suivre
l’évolution de la charge q du condensateur et de l’intensité i du courant dans un circuit série
comportant un condensateur de capacité C = 0,22 F , une bobine d’inductance L = 0,6H et de
résistance interne r = ……… et un résistor de résistance R0.
1. Représenter le schéma du circuit et préciser, en justifiant, les branchements à
l’oscilloscope.
T/div
V/div
Y1 Y2
Activité 2:
1. Trouver la valeur RC de R0 pour que la tension uC s’annule le plus rapidement possible. Pour
chacune des valeurs des résistances R0 indiquées dans le tableau ci-dessous, représenter
les chronogrammes obtenus et préciser le nom du régime d’oscillations.
oscillogramme
visualisé
Régime
d’oscillations
Activité 3:
Prendre R0=200
1. Pour chacune des valeurs de L et C indiquées sur le tableau ci-dessous, mesurer la pseudo
période T des oscillations.
T(ms)
3 4
5 6
But:
Réaliser un montage permettant d’entretenir des oscillations d’un circuit RLC série.
Déterminer la valeur de la résistance négative indispensable à l’entretien des
oscillations d’un circuit RLC série.
Dispositif expérimental et matériel nécessaire:
i1 R1
A i
E -
T/div + S
L,r
R2
V/div
C uDA F i2
Y1 Y2 i3
RE
R0
B
Manipulation
1°) Réaliser le montage et faire les connexions à l’oscilloscope à fin de visualiser la tension
uC(t) aux bornes du condensateur.
On donne : L = 1H, C = 470 F, r=14 , R0=2K, R1=R2= 1K et ± Vp = ± 15 V
2°) Suivre l’évolution de la forme de l’oscillogramme en fonction de la valeur de la
résistance d’entrée RE du montage inséré AB.
But:
Etudier la réponse d’un oscillateur RLC série à une tension sinusoïdale délivrée par un
générateur basse fréquence.
ACTIVITE 1 : Y1 Y2
1
3) Calculer la fréquence propre de l’oscillateur RLC : N0 = = Hz.
2π√LC
4) Comparer N, Ne et N0 pour justifier l’appellation oscillateur en régime forcé.
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
Um (en V) 1 2 3 4
URm (en V)
Im (en mA)
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
But:
Etudier l’influence de la fréquence d’excitation Ne sur la valeur maximale Im de l’intensité du
courant dans un circuit RLC série.
Mettre en évidence expérimentalement le phénomène de résonance d’intensité.
Etudier l’influence de l’amortissement sur le phénomène de résonance d’intensité.
Travail demandé:
1) Réaliser le montage expérimental suivant.
R0 L,r C C = 1 µF
R0 = x10 + x100
L = 0,1H
A
r = 10 Ω
~
U = 4V
2) Compléter le tableau suivant :
Ne(Hz) 100 200 300 400 450 480 500 520 550 600 700 800 1000
I(mA)
R0=10
I(mA)
R0=100
3) Tracer, dans le même système d’axe, les deux courbes d’évolution de I en fonction de la
fréquence excitatrice I = f(Ne) relatives aux résistances R0 = 10 et R0 =100 .
R0
10 100
à la résonance
Fréquence: Ner (en Hz)
Impédance : Z (en Ω)
…………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………
2) I0(10 ) et I0(100 ) .
…………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………
3) Z et la résistance totale du circuit dans les deux cas .
…………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………..
But:
Etudier l’influence de la fréquence d’excitation Ne sur la valeur maximale Qm de la charge du
condensateur.
Mettre en évidence expérimentalement le phénomène de résonance de charge.
Etudier l’influence de l’amortissement sur le phénomène de résonance.
Travail demandé:
1) Réaliser le montage expérimental suivant :
R0 L,r C
C = 5 µF
R0 = x10
V L = 0,1H
~ r = 10 Ω
U = 2V
2) Compléter le tableau suivant :
Ne(Hz) 100 150 180 200 210 220 230 240 260 300
R0=10
UC
(V)
R0=50
3) Tracer, dans le même système d’axe, les deux courbes de variation de UC en fonction de la
fréquence excitatrice UC = f(Ne) relatives aux résistances R0 = 10 et R0 =50 .
But:
Déterminer, à partir des représentations graphiques le déphasage entre deux
grandeurs sinusoïdales synchrones.
Reconnaître, à partir des représentations des deux grandeurs celle qui est en avance
de phase ainsi que les cas particuliers de déphasage.
Déphasage entre deux fonctions sinusoïdales synchrones:
Les représentations graphiques de deux fonctions sinusoïdales u1(t)=U1m sin (ω1 t + φ1) et
u2(t)=U2m sin (ω2 t + φ2) sont données par les oscillogrammes suivants :
u2(t)
u1(t)
3. Laquelle des deux fonctions est en avance de phase sur l’autre ? Justifier.
d/ Déterminer le déphasage :
e/ Généralisation :
d/ Déterminer le déphasage :
e/ Généralisation :
d/ Déterminer le déphasage :
d/ Déterminer le déphasage :
e/ Généralisation :
But:
Etudier expérimentalement l’évolution du déphasage = u - i de la tension excitatrice
u(t) par rapport à l’intensité i(t) du courant en fonction de la fréquence Ne dans un
circuit RLC série alimenté par une tension alternative sinusoïdale.
Discuter le caractère du circuit RLC série pour les différentes fréquences Ne choisies.
Montage expérimental:
Proposer le schéma du circuit électrique et représenter les connexions à l’oscilloscope.
Prendre : C = 1 μF, R = 100 Ω, L = 0,1H et r = . ..Ω
T/div
V/div
Y 1 Y2
Travail demandé:
1. Réaliser le montage et faire les réglages nécessaires de l’oscilloscope afin d’observer
deux oscillogrammes stables.
2. Choisir pour le GBF un signal sinusoïdal d’amplitude Um= 4 √2 V.
3. Pour chacune des valeurs de la fréquence Ne du générateur BF, mesurer le déphasage
algébrique et compléter le tableau suivant :
Ne(Hz) 100 200 300 400 450 500 550 600 700 800 900 1000
Δφ
(rad)
Ne N0 Ne = N0 Ne N0
Comparaison de
i(t) et u (t)
Caractère du circuit
RLC série
1
L
3. Vérifier que : tg Δ φ = C
Rr
4. Dans les deux cas suivants : Ne=300Hz et Ne=700 Hz :
a. Faire la représentation de Fresnel, à l’échelle.
b. Mesurer le déphasage = u - i .
c. Comparer les résultats théorique et pratique.
But:
Réaliser un filtre passe bas passif.
Tracer la courbe de réponse G = f (N) du filtre.
Déterminer la fréquence de coupure et la largeur de la bande passante du filtre.
Etablir l’expression de la transmittance T du filtre en fonction de ses caractéristiques.
Montage expérimental:
R0
V
GBF ue us C
V C = 0,47 µF.
R0 =……… Ω
Manipulation :
1°) Réaliser le montage et fixer UE à la valeur 4V.
2°) Pour chacune des valeurs de la fréquence N :
Relever les valeurs efficaces Ue et Us.
U sm
Calculer la fonction de transfert ou transmittance T = .
U em
Calculer le gain en tension du filtre G = 20 log T en décibels.
Compléter le tableau suivant :
N(Hz) 20 60 80 100 200 500 800 103 2.103 5.103 8.103 104 2.104
Ue(V)
Us(V)
G(dB)
Étude théorique :
1°) Établir l’expression de la transmittance T du filtre passe bas passif en fonction de R, C et N. en
déduire celle de G.
But:
Réaliser un filtre passe bas actif.
Tracer la courbe de réponse G = f (N) du filtre.
Déterminer la fréquence de coupure et la largeur de la bande passante du filtre.
Montage expérimental:
R2
i2
i1
B
R1
A
- S C = 0,47 µF.
+
R1 = 80 Ω
ue
V GBF
us
V
R2 = 170 Ω
M
Manipulation :
7°) Réaliser le montage et fixer UE à la valeur 2V.
8°) Pour chacune des valeurs de la fréquence N :
Relever la tension efficace US.
Calculer la fonction de transfert ou transmittance T et le gain en tension du filtre
G en décibels.
Compléter le tableau suivant :
US(V)
G(dB)
valeur maximale G0 de G T0 de T
Fréquence de coupure
Bande passante
But:
Réaliser un filtre passe haut.
Tracer la courbe de réponse G = f (N) du filtre.
Déterminer la fréquence de coupure et la largeur de la bande passante du filtre.
Montage expérimental:
V
GBF ue us R V C = 0,47 µF.
R = 400 Ω
Manipulation :
9°) Réaliser le montage et fixer UE à la valeur 2 V.
N(Hz) 50 100 300 500 800 103 2.103 4.103 6.103 104
US(V)
G(dB)
valeur maximale G0 = T0 =
Fréquence de coupure
Bande passante
But:
Reconnaître un filtre passe bande.
Tracer la courbe de réponse G = f (N) et la courbe T = g (N) du filtre.
Déterminer les fréquences de coupure et la largeur de la bande passante du filtre.
Montage expérimental:
A l’aide d’un résistor de résistance R0 =100 Ω , d’un condensateur de capacité C =0,5 μF et
d’une bobine d’inductance L =0,25H et de résistance interne r= 30Ω montés en série, on
réalise un filtre tel que la tension de sortie est aux bornes du résistor.
Représenter le schéma du filtre en précisant la tension d’entrée et celle de sortie.
0,02
0,01
valeur maximale G0 = T0 =
Fréquences de coupure
Bande passante
N0
14°) Comparer la largeur de la bande passante ΔN et . (N0 fréquence propre de
Q
l’oscillateur RLC et Q son coefficient de surtension appelé aussi facteur de qualité)
15°) Un filtre passe bande est dit sélectif si la largeur de sa bande passante est
N 1
nettement petite devant sa fréquence propre( petit). Le filtre étudié est –il
N0 Q
sélectif ?
-
ue :tension triangulaire
ε Uemax = 6V
+
i
N = 1 kHz
~ R2
ue = e- R1 = R2 = 10 kΩ
+
e us
R1 Vpp = 12V
2. Faire les connexions et les réglages nécessaires à l’oscilloscope pour visualiser les
tensions ue (t) sur la voie Y2 et us(t) sur la voie Y1.
3. Augmenter l’amplitude du signal d’entrée jusqu’à 10V pour que l’amplificateur
opérationnel puisse basculer ( fonctionne en régime saturé).
4. On donne le chronogramme ue(t) , représenter le chronogramme de la tension us(t) dans
le même système d’axe suivant :
u(V)
12
0 1 2 t(ms)
-4
-8
-12
12
-8
-12
R
Tension de polarisation
UDD = 5V
ue us
R1
+Usat à - Usat à l’instant où ue franchit, en croissant, un seuil de basculement UHB =
R1 R2
But:
Réaliser un montage illustrant un multivibrateur astable.
Visualiser et tracer les chronogrammes d’un multivibrateur astable.
Interpréter les chronogrammes du multivibrateur.
-
+ C = 0,22 µ F
R2 R1 =R2 = 8 KΩ
C
uc us R= 10 KΩ
R1
Vpp = 12V
15
12
-6
-9
-12
-15
-18
4. Déterminer graphiquement :
La durée T1 de l’état haut du multivibrateur.
T1
5. Calculer le rapport cyclique δ = :c’est le rapport de la durée T1 de l’état haut du
T
multivibrateur par la durée totale T d’un cycle.
t0 = 0s
R
C uc uS= Usat
t[0s, T1 [
t1= T1
C uc uS= Usat
t[ T1,T2[
t1= T2 R
C uc uS= Usat
C = 0,29 µ F
R= 10 KΩ Page 46 sur 101
La tension de polarisation de la C ue us
porte CMOS UDD=5V
2. Tracer la caractéristique de transfert du comparateur uS=f(uE).
durée T1 de l’état haut durée T2 de l’état bas durée T d’un cycle rapport cyclique δ
2 ms 3,2 ms
a. Compléter le tableau.
b. Tracer dans le même système d’axe, les chronogrammes uS(t), uC(t) et uR(t) une fois le
régime transitoire est terminé.
u(enV)
0 2 4 6 8 10 t(en ms)
-2
t[0s,T1 [
t1= T1
R
C uc uS
t[T1 , T2[
R
t1= T2
C uc uS
t
[T2,T+T1[
III. Généralisation :
1. Définir un multivibrateur astable.
2. Sachant que cette équation différentielle admet une solution de la forme : uc(t)
t t
= ue(t) = Ae RC
B , montrer que uc(t) = (Ui – Uf) e + Uf
RC
avec Ui = uc (t = 0s) et Uf = uc (t = ∞ )
3. Déterminer l’expression:
a. la durée T1 de l’état haut en fonction de =RC, UBH, UHB et EH .
durée T1 de l’état
haut
durée T2 de l’état
bas
période T du cycle
Rapport du cycle
uc 1
ue1 us1 ue2 us2 UHB = UDD et UBH = 0V
2
Instant de
uS1 et uS2 ue1 et ue2 uC uR Montage équivalent
date
t0=0s
t[0s,T1 [
t1= T1
t[T1 , T2[
t1= T2
t
[T2,T+T1[
But:
Réaliser un montage d’un convertisseur numérique analogique (C.N.A) à 4 bits à réseau
de résistances pondérées (R, 2R, 4R, 8R).
Suivre l’évolution de la sortie analogique en fonction de l’entrée numérique.
Tracer la caractéristique de transfert du convertisseur à 4 bits us = f(N).
Etablir l’expression de la tension uS d’un C.N.A à réseau de résistances pondérés en
fonction du nombre N d’entrées.
Manipulation :
1. Réaliser le montage suivant :
K3
I3
a3 R3= R
K2
I2 i
a2 R2= 2R R’
[N] K1
I1 -
a1 R1= 4R S
K0 +
I0
a0 R0= 8R
us
Uref = 1V
Nombre us
Mot binaire [N] à 4 bits uS
décimal N
0
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
us ( en V )
10
-1 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 N
2. Déterminer la tension pleine échelle PE : tension maximale Umax prévue en sortie à laquelle
correspond la valeur maximale Nmax
Etude théorique :
1. Etablir l’expression de I0 en fonction de a0, Uréf et R0.
U réf
3. Montrer que si a0 = a1 = a2 = a3 = 1, i 8 a3 4 a2 2 a1 a0
8R
b. du quantum q.
Généralisation :
Dans le cas d’un montage convertisseur C.N.A à n bit, déterminer l’expression :
1. Du nombre équivalent décimal N du mot binaire [N] = [an-1 an-2………………………..a2 a1 a0] en
fonction de n.
But:
Mettre en évidence, expérimentalement les oscillations libres non amortis d’un pendule élastique.
Etablir l’équation différentielle des oscillations libres non amortis d’un pendule élastique.
Calculer l’énergie totale d’un pendule élastique en régime libre non amorti.
Utiliser l’analogie formelle électrique-mécanique.
A. Mise en évidence des oscillations libres non amorties d’un pendule élastique :
Le dispositif ci-dessous est constitué d’un pendule élastique disposé horizontalement sur un banc
à coussin d’air. On écarte le solide de sa position d’équilibre dans la direction de l’axe du ressort d’une
distance d puis on l’abandonne à lui-même sans vitesse initiale. Le solide (S) effectue des oscillations
libres non amorties.
x
i 0
L’enregistrement graphique des oscillations du pendule est donné par la courbe suivante :
3. Montrer que la tension du ressort s’écrit dans le cas général de la forme : T k.x .i .
k
6. Vérifier que x = Xm sin (w0t+ φx) est une solution de cette équation différentielle si w02 .
m
7. Montrer que l’expression théorique de la période propre T0 du pendule s’identifie bien à celle
trouvée expérimentalement.
b. Représenter sur le même enregistrement v(t) et T(t) en précisant l’échelle de l’axe des
ordonnées pour chaque grandeur.
c. Sachant que la masse du solide est m=100 g, déterminer la constante de raideur k du
ressort.
4. La courbe ci-dessous représente l’évolution de l’une des formes d’énergie de l’oscillateur au cours
du temps.
a. Montrer que cette courbe représente l’évolution au cours du temps de l’énergie potentielle du
pendule.
0,001 0,001
0 0,0002 0 0,01
0,001
0,001
0 0,02
0 0,1
0,01
0 0,0001 x2
i q C
k m
u
Schéma de l’oscillateur
x
O L
Composition de l’oscillateur
Coefficient
Grandeur d’inertie
caractéristique Coefficient de
rappel
Grandeurs oscillantes
Equation différentielle
Equation horaire
Pulsation propre ω0
Période propre T0
Formes d’énergie
Energie totale
But:
Mettre en évidence expérimentalement les oscillations libres amortis.
Reconnaitre expérimentalement les différents régimes d’oscillations libres amorties.
Déduire expérimentalement la non conservation de l’énergie totale d’un oscillateur amorti.
I°/ Mise en évidence des oscillations libres amorties:
Dans le dispositif ci-dessous, écarter verticalement la masse de sa position d’équilibre. Lâcher le
solide.
x
Ressort r de raideur K
Corps C de masse m
o
Changer la rondelle de
rayon R1 par une autre de
rayon R2> R1
Changer la rondelle de
rayon R1 par une autre de
rayon R4 très important
Changer la rondelle de
rayon R4 par une autre de
rayon R3 de sorte que le
corps reprend son état
d’équilibre sans aucune
oscillation .
x o
1. Le pendule effectue un nombre limité d’oscillation puis s’arrête. Quel est le régime des
oscillations du pendule ?
2. L’expérience a été réalisée pour trois amortissements différents désignés par A1, A2 et A3 tel que
A1 plus important que A2 plus important que A3. On obtient les trois enregistrements suivants :
Enregistrement (3)
Enregistrement (2)
Enregistrement (1)
But:
Mesurer la période propre T0 des oscillations libres non amortis d’un pendule élastique.
Trouver expérimentalement l’expression de la période propre T0.
Règle
graduée
Ressort de raideur K
Chronomètre
Corps C de masse m
o
Travail demandé:
1. Déterminer la constante k de raideur du ressort par application de la relation P k à
l’équilibre du solide. ( avec : l’allongement du ressort à l’équilibre du solide).
Δt (en s)
T0 ( en s)
1
√𝒎 (en kg 2 )
k (en N.m-1)
T0 ( en s)
1
k
1
4. Déduire, à partir de la courbe (2), la constante de proportionnalité b entre T0 et .
k
Comparer b avec 2 m
Conclusion :
En utilisant les résultats des activités ci-dessus, trouver l’expression de la période T0 des
oscillations libres non amortis du pendule élastique en fonction de m et k.
But:
Mesurer la période propre T0 des oscillations libres non amortis d’un pendule élastique.
Trouver expérimentalement l’expression de la période propre T0.
Règle
graduée
Ressort de raideur K
Chronomètre
Corps C de masse m
o
Travail demandé:
4. Déterminer la constante k de raideur du ressort par application de la relation P k à
l’équilibre du solide. ( avec : l’allongement du ressort à l’équilibre du solide).
Δt (en s)
T0 ( en s)
√𝒎 (en kg 2 )
6. Echanger les valeurs des périodes T0 , pour m = 150 g, trouvées par les autres groupes
d’élèves et compléter le tableau suivant :
k (en N.m-1)
T0 ( en s)
1
k
1
8. Déduire, à partir de la courbe (2), la constante de proportionnalité b entre T0 et .
k
Comparer b avec 2 m
Conclusion :
En utilisant les résultats des activités ci-dessus, trouver l’expression de la période T0 des
oscillations libres non amortis du pendule élastique en fonction de m et k.
But:
Mettre en évidence, qualitativement, les oscillations forcées d’un pendule élastique.
Mettre en évidence, qualitativement, le phénomène de résonance d’élongation d’un
pendule élastique.
Etudier expérimentalement l’influence des frottements sur l’évolution de l’amplitude
des oscillations.
Montage expérimental:
Poulie à axe fixe
B Règle
graduée
O
Rondelle
Moteur électrique
Eau
ACTIVITE 1 :
1. Mesurer la période propre T0 du pendule élastique.
Ne(Hz)
T(s)
N(Hz)
4. Comparer :
T Te et T T0
Excitateur : Résonateur :
ACTIVITE 2 :
Pour chacune des valeurs de la fréquence Ne, mesurer la valeur maximale Xm de
l’élongation x dans les deux cas :
Amortissement faible caractérisé par le coefficient h1.(solide plongé dans l’eau)
Amortissement important caractérisé par le coefficient h2.( une rondelle de
diamètre supérieur à celui du solide plongé dans l’eau)
Ne(Hz) 0,2 0,4 0,6 0,8 1 1,2 1,4 1,6 1,8 1,85 1,9 2 2,2 2,4 2,6 2,8
h1
Xm
(cm)
h2
h1 h2
c/ Comparer les valeurs des fréquences Ner entre elles et à la valeur de la fréquence
propre N0 de l’oscillateur mécanique.
4. Faire une analogie entre les oscillations forcées du pendule élastique et celles du
circuit RLC.
Grandeur caractéristique de
l’oscillateur
Grandeurs oscillantes
Equation différentielle
Equation horaire
Pulsation propre ω0
Période propre T0
Formes d’énergie
Energie totale
Terme d’amortissement
Equation différentielle
di(t) 1
dt C
Equation R i(t) +L + i(t)dt = u(t)
différentielle
Ou Ou
d2x(t) dx(t)
m h Kx(t) F(t)
dt2
dt
Um 2 1 2
Impédance Z R (L )
Im C
Um Im
P UI cos( u i ) cos( u i ) Rt I 2
Puissance 2
moyenne avec : cos( u i ) facteur de puissance
La résonance de Puissance électrique : est
obtenue à la résonance d’intensité
But:
Mettre en évidence la propagation d’un ébranlement dans un milieu élastique.
Distinguer entre un ébranlement transversal et un ébranlement longitudinal.
Reconnaitre que la propagation d’un ébranlement est due à un transfert d’énergie sans transport de
matière.
Identifier, dans un milieu de propagation donné, les propriétés dont dépend la célérité d’un
ébranlement.
Propagation d’un ébranlement:
A. Dans un milieu unidimensionnel :
Le long d’une corde :
1. Secouer verticalement et rapidement l’extrémité O de la corde tendue horizontalement.
2. Au cours du temps, que se passe –t- il pour:
a. la déformation?
b. le point P ?
3. Compléter, sur la figure ci-dessous, les aspects de la corde aux différentes dates indiquées et placer les
points P et O à chaque date.
O P
Date t=0s
Date t2
4. a. Représenter, sur la figure, la direction de propagation de l’ébranlement et celle de déplacement
d’un point de la corde.
b. Comparer ces deux directions et déduire si cet ébranlement est transversal ou longitudinal.
6. Si on remplace la corde par un long bâton rigide, observe –t – on le même phénomène ? Justifier.
3. Compléter, sur la figure ci-dessous, les aspects du ressort aux différentes dates indiquées.
Date t=0s
Page 77 sur 101
Date t1
4. a. Représenter, sur la figure, la direction de propagation de l’ébranlement et celle de déplacement
d’un point de la corde.
b. Comparer ces deux directions et déduire si cet ébranlement est transversal ou longitudinal.
1. Réaliser les expériences et compléter les figures ci-dessous en représentant les aspects de la surface de
l’eau à différentes dates.
Exciter la surface de
l’eau de la cuve d’onde
à l’aide d’une réglette
b. Représenter une coupe transversale de la surface de l’eau dans les deux cas.
Page 78 sur 101
Source Source
d’ébranlement d’ébranlement
2. Pourquoi les sons émis et ceux qu’on perçoit sont les mêmes.
Ondoscope
Célérité d’un ébranlement : (Echelle de
perroquet)
Chronomètre
Cellules
photoélectriques
d (en m)
t ( en s)
d
(en m.s-1)
t
d
b. Y a-t-il variation du rapport ? Que représente ce rapport ?
t
d
Amplitude t ( en s) (en m.s-1)
t
α1
4. Pour la même distance d, faire varier l’état du milieu de propagation en déplaçant les masselottes vers
le fil de torsion et compéter le tableau :
d
Etat du milieu de propagation t ( en s) (en m.s-1)
t
Masselottes aux extrémités des tiges
La célérité de propagation d’un ébranlement dépend elle des caractéristiques du milieu propagateur?
Evaluation:
I°- On donne les enregistrements de la propagation d’un signal sonore suivants :
Voie 1 Voie 2
« Clac ! »
Micro 1 Micro 2
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Milieu air à 20°C Milieu butane à 20°C Milieu butane à 50°C
Balayage horizontal :500µs/div Balayage horizontal :500µs/div Balayage horizontal :500µs/div
2. Quels sont les facteurs dont dépend la célérité d’un ébranlement dans un milieu homogène ?
Se déplace
plus facilement dans le vide que dans un gaz
plus facilement dans un gaz que dans un liquide.
Ne se déplace pas dans les solides.
But:
Justifier le caractère ondulatoire de la lumière à partir d’expériences de diffraction
d’ondes mécaniques et d’ondes lumineuses.
Préciser l’influence, sur le phénomène de diffraction, du quotient ( λ étant la
a
longueur d’onde et a la largeur de la fente .
Diffraction d’une onde mécanique:
1. Réaliser le montage expérimental suivant:
Lame vibrante
Fente de largeur a
Vibreur
Cuve à ondes
a<λ
a≈λ
a>λ
3. Remplacer la fente par un obstacle de largeur a < λ. Représenter les ondes incidentes et
émergeante et interpréter l’observation.
Diffraction de la lumière :
Etude qualitative :
2. Eclairer la fente de largeur a par une source Laser (S) émettant une lumière rouge de
longueur d’onde λR. Décrire et représenter la figure observée sur l’écran.
Opération expérimentale
Etat de l’écran interprétation
réalisée
On diminue la largeur de la
fente
on dispose la fente
horizontalement
Etude quantitative :
1. Pour différentes largeur a de la fente, on mesure la largeur L de la tâche centrale de la
figure de diffraction pour deux lumières de longueur d’onde différentes. Compléter le
tableau suivant :
–3
a ( 10 m) 0,1 0,15 0,2 0,25 0,3
–3
λR = 0,633 μm LR (10 m) 25 17,5 12 10 8
λV = 0,514 μm LV (10 – 3 m) 21 14 10 8 7
2. Comparer Li.a et 2 λi D.
=2m
4. Vérifier que .
a
5. En déduire la relation entre L et .
a
Fiche de TP physique
Lycée Tahar Sfar de Mahdia
Meur Trigui Lotfi Dispersion de la lumière 4me année Sc.exp
Année scolaire : 20 . . / 20 . .
But:
Réaliser des expériences de dispersion d’ondes lumineuses.
Montrer que la lumière blanche est constituée d’une infinité de radiations monochromatiques.
Distinguer un milieu dispersif d’un milieu non dispersif.
Activité:
1. Réaliser les expériences suivantes et compléter le tableau:
Ecran
E
Source de
lumière Laser
Source de
lumière blanche
Prisme en verre
Ecran
d’indice n
E
Couleur de la lumière bleu sombre bleu vert jaune rouge rouge sombre
Fréquence ν
6,92 6,18 5,10 4,57 3,91
(10 14Hz)
Longueur d’onde
0,433 0,485 0,588 0,656 0,767
( 10 -6m)
a. Sachant que la vitesse v de propagation d’une onde lumineuse dans un milieu d’indice n est
égale au rapport de la célérité C de la lumière dans le vide par l’indice n : v = C / n , en déduire
que le verre est un milieu dispersif.
But:
Réaliser des expériences de réflexion, de réfraction et de dispersion d’ondes
mécaniques.
Montrer que la lumière blanche est constituée d’une infinité de radiations
monochromatiques.
Distinguer un milieu dispersif d’un milieu non dispersif.
Corde élastique
Source Source Corde élastique
Page 90
Extrémité sur 101 Extrémité
S A fixe S
A libre
vibreur
Microphone
Haut parleur Plaque de polystyrène
Ecran absorbant
On fixe i = 30° et on fait varier r. Les résultats de mesure de la tension U visualisée sont :
r 0 15 25 30 35 45 60
vibreur
vibreur
Ecran E Ecran E
Source de Source de
lumière Laser lumière blanche
Prisme en verre
Fréquence N réglable
vibreur
-1
v (m.s ) 0,231 0,232 0,245 0,264 0,273 0,288 0,297 0,300 0,352
couleur de la rouge
bleu sombre bleu vert jaune rouge
lumière sombre
fréquence ν
6,92 6,18 5,10 4,57 3,91
(10 14Hz)
longueur d’onde
0,433 0,485 0,588 0,656 0,767
( 10 -6m)
indice de
1,528 1,520 1,517 1,514 1,511
réfraction n
Evaluation:
Pour chacune des figures suivantes, reconnaitre l’onde incidente et l’onde émergente puis
donner le nom du phénomène subit par l’onde mécanique et vérifier les lois relatives à ce
phénomène.
But:
Réaliser la démodulation d’un signal électrique sinusoïdal modulé en amplitude.
Mettre expérimentalement en évidence l’influence de la fréquence de l’onde
électromagnétique porteuse du signal sur la démodulation de ce dernier.
Dispositif expérimental :
K K1 C1 K2
R2
us uS1 uS2 u1 C2 u2
R1
Manipulation :
On donne sur le document à remettre les tensions visualisées à la sortie de chaque étage du
montage en fermant successivement les interrupteurs K, K1 et K2.
1) Compléter le tableau du document annexe.
2) Quel est le principe de la démodulation d’un signal modulé en amplitude ?
K, K1 et K2
ouverts
K fermé, K1
et K2
ouverts
K et K1
fermés, K2
ouvert
K, K1 et K2
fermés
But:
Déterminer les longueurs d’onde de certaines raies d’absorption dans une partie du spectre du
Soleil.
Identifier certaines entités chimiques présentes dans la chromosphère, enveloppe gazeuse qui
entoure le Soleil.
Document:
La surface chaude des étoiles émet une lumière dont le spectre est continu. Certaines radiations
de cette lumière blanche traversant l’atmosphère de l’étoile sont absorbées par des atomes qui y sont
présents. On obtient le spectre d’absorption de l’étoile.
« Dès 1814, le physicien allemand Fraunhofer remarque la présence de raies noires dans le spectre du
Soleil .Kirchhoff mesure la longueur d’onde de plusieurs milliers de ces raies et montre qu’elles
coïncident avec celles émises par diverses entités chimiques : hydrogène, calcium, cuivre, fer, zinc, …Il
publie, en 1861, le premier atlas du système Solaire. »
Le document suivant représente :
En noir et blanc, un extrait du spectre visible du Soleil. Les principales raies d’absorption
(repérées par un numéro) sont représentées par un trait noir.
Un extrait du spectre de raies de l’argon obtenu avec le même spectroscope. Ces raies servent de
référence de longueur d’onde.
Les deux spectres ont été obtenus avec le même spectroscope à réseau. Dans ce cas, la distance
entre deux raies, mesurée sur le spectre, est proportionnelle à la différence entre les longueurs
d’onde correspondantes.
Mesurer la distance L, en mm, entre la raie d’émission de 390 nm et les autres raies d’émission et
compléter le tableau 1 suivant:
Distance L en mm 0
Mesurer les distances L, en mm, entre la raie d’émission de 390 nm et les différentes raies
d’absorption du spectre du Soleil. Remplir la ligne correspondante du tableau 2.
numéro 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15
Distance L
(mm)
Longueur
d’onde (nm)
C. Questions :
Élément
Longueurs d’onde en nm de certaines raies caractéristiques
chimique