Vous êtes sur la page 1sur 37

RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

INTRODUCTION
GENERALE
Dans le souci de connaître sa position et celle des éléments qui l’entourent de manière
univoque, l’Homme a développé une technique lui fournissant les moyens de représentation
tant graphique que numérique, la topographie. C’est la technique qui a pour objet
l’exécution, l’exploitation et le contrôle des observations concernant la position planimétrique
et altimétrique, la forme, les dimensions et l’identification des élément concrets, fixe et
durables existants à la surface du sol à un moment donné. Toute collecte de données doit
respecter son saint sacro-principe, qui est celui d’aller de l’ensemble vers les détails. Pour une
bonne localisation, les points doivent être rattachés à une référence géodésique existante,
mondiale ou locale. Cela nécessite le choix d’une surface mathématiquement calculable
proche de la surface terrestre (ellipsoïde) pour chaque pays. Pour une utilité commune et
globale, il est possible d’avoir la correspondance de tout point issu d’un système local à un
système global (le WGS 84 par exemple). Evidente en zone urbaine et indépendamment de la
méthode utilisée du fait de la proximité des différents points d’appui, l’on se poserait la
question à savoir : Comment rattacher un objet ou un terrain situé en zone périurbaine ou en
zone rurale ? Et quelle méthode serait la mieux appropriée ? La suite de notre travail, qui se
divise en trois parties, présente d’abord l’entreprise au sein de laquelle j’ai effectué mon
stage, ensuite relate les différentes opérations et missions effectuées durant cette période de
stage et en fin, expose le rattachement (rattachement géodésique) exécuté dans le cadre du
projet de lotissement du TF TF4115 SM au lieu-dit PITTI-Gare (Département de la Sanaga
maritime) où il était question d’adopter une méthode qui permettrait aisément de définir les
coordonnées d’une parcelle de terrain situés à des centaines de kilomètres de la ville, en
pleine forêt, dans le système de référence WGS 84 ; de manière efficace, économique et
précise.

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 1


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

PREMIèRE PARTIE :

PRESENTATION DE GLOSUS SARL

ET DEROULEMENT DU STAGE

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 2


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

CHAPITRE I PRESENTATION DE L’ENTREPRISE

Comme toute autre société anonyme à responsabilités limitées, GLOSUS (Global


Surveying System) est une organisation autonome qui dispose des moyens humains, matériels
et financiers concourant à la facilitation de l’exécution de ses travaux. Pour plus d’amples
informations sur ces éléments, nous présenterons l’entreprise dans son environnement
interne et externe respectivement à la Section I et Section II.

SECTION I : ENVIRONNEMENT INTERNE DE GLOSUS Sarl

I. HISTORIQUE
Crée en 2012 par Monsieur BIYONG Joseph Espoir qui dirige en tant que Directeur
Générale en nom et personne. Doté d’un capital de 1 000 000 frs CFA siège social Douala cité
des palmiers, carrefour express, en tant que cabinet d’Expertise et d’étude topographique, il a
été créé dans le but de faciliter la tâche aux populations des villes du Cameroun en offrant ses
services dans ses domaines de qualifications.

II. STRUCTURE ORGANISATIONNELLE


a. Le comité de Gestion
Il constitue le staff décisionnel ayant une autorité sur le Directeur Général. Il définit
également les orientations.
Pour mener à bien ses objectifs et assurer une gestion optimale, l’ensemble du personnel est
reparti au sein de plusieurs organes.

b. La Direction Générale
L’entreprise GLOSUS Sarl a à sa tête un Directeur Général, chargé de l’application
de la politique générale de l’entreprise et assure la bonne marche des activités au quotidien.

c. Le département technique
Il tient lieu de bureau d’études. Il est constitué des auditeurs et des techniciens avaient
pour mission essentielle la recherche et le développement des travaux formant l’objet social
du cabinet. Ceux-ci assurent la gestion des dossiers des clients du cabinet.

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 3


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

d. Le Département Administratif
Le département administratif s’assure de la mise à la disposition de l’entreprise, des
ressources humaines, matérielles, financières et informationnelles.

Figure 1 : Organigramme de GLOSUS Sarl

III. ACTIVITES
L’entreprise exerce ses activités dans le cadre légal et réglementaires de la loi, dont l’objectif
est d’apporter une assistance aux entreprises et particuliers dans la gestion quotidienne de
leurs affaires.il se propose alors de fournir des prestations de services pluridisciplinaires à ses
clients, à savoir :
- Prestation de service lié au cadastre
- Restructuration et rénovation urbaine
- Lotissement et projection d’Aménagement
- Etude topographique et projection routière
- Conseil et gestion du patrimoine foncier et immobilier
- Exploitation SIG
- Navigation, lever et track-in-GPS
- Cartographies
- Réseaux

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 4


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

IV. LES RESSOURCES


GLOSUS Sarl dispose de plusieurs ressources qui sont subdivisées en deux groupes, dont
nous pouvons distinguer les ressources qualitatives et les ressources quantitatives.

1. Les ressources qualitatives


a. les ressources humaines
L’Entreprise GLOSUS Sarl dispose d’un personnel compétant diplômé des grandes
écoles nationales, et d’un noyau de consultants externes.

b. Les ressources informationnelles


Il s’agit essentiellement du savoir-faire dont dispose le personnel de l’entreprise,
spécialisé en consultation de management.

c. Les ressources financières


Les moyens financiers de GLOSUS Sarl proviennent essentiellement de l’ensemble
des prestations de services que l’entreprise fournit à ses clients.

2. Les ressources matérielles ou quantitatives


Les bureaux de GLOSUS Sarl ont une superficie totale de 350 mètre carrés. Ils
disposent également des outils adaptés à l’application des nouvelles technologies de
l’information, d’où le parc informatique composé de :

o 5 (cinq) ordinateurs de bureaux


o 04(quatre) ordinateurs portatifs
o Une photocopieuse
o 02(deux) imprimantes HP de couleur
o Plusieurs appareils de télécommunications, des logiciels spécialisés pour les travaux de
chantier

V. SITUATION GÉOGRAPHIQUE
GLOSUS Sarl est une entreprise située dans l’arrondissement de Douala … au lieu-dit
Cité des palmiers. Il existe divers chemins pour s’y rendre tels que présentés par la figure …
(Annexe)

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 5


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

SECTION II : ENVIRONNEMENT EXTERNE DE GLOSUS Sarl

Dans le cadre de la réalisation de son objet social, GLOSUS Sarl s’est forgée une image et est
devenue pratiquement une marque dont le label est connu dans le domaine de la topographie.
Son nom s’est imposé grâce à la qualité des services-conseils qu’elle fournit aux entreprises et
aux particuliers.

1. LES CLIENTS
L’entreprise GLOSUS Sarl a l’habitude de faire ses preuves auprès des diverses sociétés et
particuliers.

2. LES PARTENAIRES-FOURNISSEURS
L’entreprise GLOSUS Sarl fait très souvent recours à la qualification et aux compétences de
certains particuliers spécialisés (non-salariés) pour la réalisation de ses différentes activités ;
ce sont les consultants externes. Ces derniers sont considérés comme les partenaires-
fournisseurs dans la mesure où l’entreprise achète leurs services pour les revendre ensuite
aux entreprises notamment à l’occasion des séminaires de formation professionnelles ou ils
interviennent.

3. LA CONCURRENCE
Aujourd’hui, on constate que la branche d’activité dans laquelle se trouve GLOSUS Sarl est
très sollicitée par les entreprises en matière de conseils et d’assistance technique. Par
conséquent l’entreprise fait face à une rude concurrence provenant de la société Razel
Cameroun.
Notons néanmoins que ces derniers ne sont pas toujours concurrents pour GLOSUS Sarl
car ils sont parfois appelés à coopérer pour travailler ensemble pour le compte d’une même
entreprise.

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 6


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

CHAPITRE II DEROULEMENT DU STAGE

Très grande a été notre chance de débuter le stage au moment où l’entreprise était
submergée de projets. De plus, le climat en cette période était favorable aux travaux
topographiques. Ainsi, nous nous attarderons dans ce Chapitre, à la description des diverses
activités effectuées pendant le stage (Section I). Enfin nous, nous mettrons un accent sur les
missions qui ont marquées notre passage au sein de l’entreprise GLOSUS Sarl à la Section II.

SECTION I : LES ACTIVITÉS DU STAGE

Affecté au sein du service technique, où j’avais comme maître de stage Monsieur BIYONG
Emile. Ses missions consistaient en l’exécution des divers services offerts par l’entreprise et
le suivi des stagiaires. Grâce à l’humilité et au respect, à mon engagement, ma motivation et
mon esprit d’équipe que je témoignais auprès des employés, il m’était aisé d’avoir accès aux
appareils, pour pouvoir m’exercer pendant les heures creuses.

Les conditions de stage ont été excellentes. En effet, le personnel était très accueillant. Outre
le fait qu’il y avait des places assises pour chacun des stagiaires, nous avions droit
‘gratuitement’ à l’accès internet pour pouvoir effectuer des recherches et élargir notre champ
de vision. Les heures d’ouverture et de fermeture de l’entreprise sont réparties dans le tableau
ci-après :

JOURS HORAIRES

Du lundi à vendredi 07H30 – 17H00


Samedi 07H30 – 14H00
Tableau n°1 : Horaires ouverture et fermeture hebdomadaire

La période de stage étant favorables aux interventions sur le terrain, nous avons pris le soin de
les organiser dans un tableau récapitulatif suivant les périodes, les tâches effectuées et
l’appareillage et les outils utilisés.

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 7


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

APPAREILLAGE ET
PERIODES TACHES EFFECTUEES
OUTILS

o Prise de contact avec le personnel de GLOSUS

o Présentation du matériel Accessoires, appareillage

o Représentation graphique d’un terrain à l’aide Minute, Kutche, gomme et


ère
1 Semaine des coordonnées polaires absolues, critérium
Du 05 au 10 Juin 2017 Station totale TCR 307,
o Lever de détails sur un terrain au lieu-dit Bédi
trépied, Canne à prisme,
en vue de la détermination de la superficie et la
Prisme, Carnet de lever,
reconstitution des bornes
gomme.
O Reproduction des croquis de terrain destinés au
Stylo à bille bleu, Kutsch
complètement des dossiers techniques.
GPS bifréquence, trépied,
o Rattachement d’un lotissement de …….ha au
tripot, Fiche signalétique de la
réseau géodésique à LOG-BADJECK
2ème Semaine borne B171
Du 12 au 17 Juin 2017 o Installation du logiciel MapInfo, Ordinateur
o Initiation à l’installation du logiciel CAVADIS
Ordinateur
2005 et COVADIS 10.1
o Etude de l’environnement de COVADIS, Ordinateur
Station totale TCR 307,
o Bornages de morcellement de 250 m² au lieu dit trépied, Canne à prisme,
3ème Semaine
PK12 NDOG-HEM II Prisme, Carnet de lever,
Du 19 au 24 Juin 2017
carnet d’implantation.
O Dessin d’une parcelle de terrain à l’aide des
Ordinateur
coordonnées polaires

4ème Semaine o Initiation à l’environnement de MapInfo Ordinateur


Du 26 Juin au 01 Juillet o Digitalisation et géoréférencement des images, Ordinateur

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 8


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

2017 Plan de bornage de


o Remplissage des procès-verbaux de bornage de
morcellement, feuille de
morcellement
contenance, stylo.
Station totale TCR 307,
o Implantations des points en planimétrie trépied, Canne à prisme,
(Travaux pratiques de consolidation) Prisme, Carnet
d’implantation.
5ème Semaine Station totale TCR 303,
Du 03 au 08 Juillet O Mesure d’une distance déparant deux antennes trépied, Canne à prisme,
2017 Prisme, Carnet de lever
Station totale TCR 307,
o Bornages de morcellement d’un terrain de 500 trépied, Canne à prisme,
m² de superficie à PK20 Prisme, Carnet
d’implantation.
Station totale TCR 303,
o Bornage de morcellement et reconstitution des
Canne à prisme, Prisme,
limites à PK12 au Lieu-dit NGO NJOH
trépied, Carnet d’implantation
Station totale TCR 307,
6ème Semaine o Lever de détails à la Cité des palmiers lieu-dit
trépied, Canne à prisme,
Du 10 au 15 Juillet carrefour express en vu d’établir un plan d’état des
Prisme, Carnet de lever,
2017 lieux
gomme.
O Calcul d’un nivellement direct par
Niveau de chantier, Mire,
cheminement fermé sur une distance totale de
carnet de lever, trépied,
675m
Ordinateur, logiciel
o Calcul d’un cheminement fermé
COVADIS
o Établissement d’un plan de bornage de Ordinateur, logiciel
7ème Semaine
morcellement COVADIS
Du 17 au 22 Juillet
Station totale TCR 303,
2017 o Lever et implantation des points planimétrie à
trépied, Canne à prisme,
partir d’un listing d’implantation (Travaux
Prisme, Carnet de lever,
pratiques de consolidation)
gomme.

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 9


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

o Report des coordonnées de points et Dessins


Ordinateur
Assistés par Ordinateur sur AUTOCAD,
Station totale TCR 303,
o Implantation des limites d’un projet de
trépied, Canne à prisme,
8ème Semaine lotissement de superficie égale à 16ha 06 a 79 ca
Prisme, Carnet d’implantation
au lieu-dit PITTI-Gare.
+ carnet de lever
o Constitution d’un dossier technique de
morcellement

Tableau n°2 : Récapitulatif des activités du stage

SECTION II : LES MISSIONS EFFECTUÉES

Les missions principales et secondaires effectuées m’ont permis de vivre le monde de


l’entreprise Elles sont le fil conducteur de mon rapport de stage.

Les missions secondaires


Elles ont eu lieu à proximité de l’entreprise GLOSUS Sarl et consistait en la mise en
application des différentes méthodes de levers préalablement étudiées en milieu scolaire. Les
résultats devant être présentés en fin d’exercice. Il s’agissait notamment :
 du nivellement direct,
 les cheminements polygonaux,
 de l’implantation des points en planimétrie pour ne citer que ceux-ci.
Cependant, les appareils permettant d’effectuer les levers topographiques fiables, rapides, et
de loin plus précises que ceux obtenus par les méthodes conventionnelles, n’étaient pas à
notre portée. Fort heureusement pour moi, l’occasion m’a été donné de participer au
rattachement d’un lotissement (TF TF4115 SM) au réseau géodésique du Cameroun (WGS
84), ce qui fait l’objet de la deuxième partie de mon rapport.

Les missions principales


Nous citons ici :
 Des multiples bornages de morcellement réalisés dans les artères de la
Douala. Celles-ci avaient pour but de me familiariser à l’appareil et de découvrir de nouvelles
méthodes de lever et d’implantation. Nous travaillions avec une tolérance de 1 cm et

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 10


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

l’opération ne durait que quelques minutes. Dans les cas complexes, les travaux duraient
environ 1 heure et 30 minutes. Apprendre à travailler en Job a été l’une des méthodes qui m’a
particulièrement marqué durant ces missions.
 De l’implantation des limites d’un lotissement de 19 hectares dans le
département de la Sanaga maritime, au lieu-dit PITTI. Les travaux se sont déroulés sur une
période de 6 Jours, en pleine forêt. Ceci étant, le seul moyen de locomotion était nos membres
inférieurs, implosé par le relief accidenté et le chemin de fer régulièrement empruntés.
 Pour terminer, nous avons effectué le rattachement d’un projet de
lotissement au système géodésique de référence WGS 84, qui est en partie (Chapitre II),
l’objet de la deuxième partie du présent rapport de fin de stage.

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 11


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

IIème PARTIE :

RATTACHEMENT D’UN PROJET AU RÉSEAU GÉODÉSIQUE

SUGGESTIONS

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 12


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

Cette partie présente essentiellement le passage d’un datum à un autre (WGS 84 dans notre
cas), ainsi que les méthodes, les moyens et les étapes nécessaires à sa réalisation. La mise en
pratique de celui-ci au Chapitre II porte sur un lotissement de 19 ha en passant par le
chapitre I qui fera l’objet d’une étude brève du Rattachement et du lotissement
respectivement aux Chapitre I et Chapitre II.

CHAPITRE I LE RATTACHEMENT

Dans ce chapitre, nous allons décrire comment obtenir une position absolue à l’aide des
mesures de codes ou une position relative via les mesures de phases, en passant par une
généralité sur le rattachement.

I. GÉNÉRALITÉS SUR LE RATTACHEMENT


Le rattachement se définit comme étant une opération topographique qui consiste à
déterminer les coordonnées d’un lieu dans un système de référence préalablement établi. On
entend par système de référence (datum), un repère orthogonal affine OIJK tel que :
- L’origine O est proche du centre de
masse de la terre
- L’axe OZ est proche de l’axe de
rotation de la terre
- Le plan (OXZ) est proche du plan
méridien d’origine
- II i II = II j II = II k II= 1 Figure 2 : Repère Orthogonal

La terre n’étant pas uniforme, le rattachement nécessite le choix d’un ellipsoïde. Au


Cameroun par exemple, les opérations de rattachement se font sur le système de référence
WGS84. Les raisons qui peuvent amener les utilisateurs de données à références spatiales,
portant sur un lieu ou un pays au système général sont nombreuses. Le rattachement est une
opération qui autrefois était réalisée dans les conditions drastiques au regard des équipements
archaïques utilisés. Aujourd’hui, les avancées technologiques offrent la possibilité d’obtenir
les résultats escomptés en un temps très court et sur des vecteurs de l’ordre des centaines de
kilomètres suivant une méthode de rattachement bien définie.
L’essentiel du travail de rattachement d’un levé GPS doit être réalisé sur le terrain. Ce
rattachement peut être effectué dans un système soit global, soit local. Dans tous les cas, un

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 13


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

minimum d’observations est à recueillir. Le procédé le plus souvent employé est la colocation
de points.

Le principe de rattachement de chantier par observation de points en colocation est


relativement simple : il suffit de disposer de quelques points connus dans la zone de travail.
Ces points connus, soit en WGS 84 soit dans le système local, permettent de calculer un
ajustement des observations sur le réseau de points GPS. Au minimum, un point doit être
connu, et de cette façon, on peut calculer les valeurs des trois translations permettant de passer
des coordonnées GPS aux coordonnées utilisateur. Il est bien évidemment souhaitable
d’observer plusieurs points connus.

Différents types de ces transformations sont couramment implémentées dans bon nombre de
logiciels commerciaux ou gratuits (téléchargeables en ligne).

II. BUT ET OBJECTIF DU RATTACHEMENT


1. But du rattachement
Le rattachement a pour but le changement d’un système. Ce peut être le passage d’un système
local vers le système général ; ou encore celui d’un système local vers le système général.

2. Objectif du rattachement
C’est une opération qui a pour objectif, la détermination des coordonnées d’un lieu dans un
système de référence établi au préalable.

III. METHODES DE RATTACHEMENT


Le rattachement comporte en lui plusieurs types : le rattachement simple et le rattachement
géodésique.

1. Le rattachement simple
Ce type de rattachement est effectué à l’aide des méthodes traditionnelles. Parmi les sous-
opérations permettant de passer d’un système à un autre, on cite : la station excentrée, le
rabattement et le changement de base.
a. Principe
À partir de deux points connus, on détermine les coordonnées d’un certain nombre de points
dans le même système par calcul des cheminements polygonaux et des rayonnements.
b. Précision
Grâce aux Appareils de mesure électronique de distance, il est aujourd’hui possible
d’atteindre le millimètre près.

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 14


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

Cependant, il existe des méthodes autres que celles-ci permettant d’améliorer la précision
dans les mesures, en un temps très court et nécessitant des appareils plus performants. Elles
découlent du deuxième type de rattachement à savoir, le rattachement géodésique.

2. Le rattachement géodésique
Encore appelé « Rattachement de chantiers GPS », ce type de rattachement a pour avantage
d’être plus rapide et plus précis que le précédent. Cependant, il présente l’inconvénient d’être
plus onéreux. Dans cette partie, nous allons décrire comment obtenir une position absolue à
l’aide des mesures de codes et une position relative à l’aide des mesures de phases. Ceci
donne lieu au mode naturel et au mode différentiel.

2.1. Le mode naturel ou positionnement absolu


Le système GPS a été conçu pour obtenir le type de positionnement que donnent les
des coordonnées cartésiennes récepteurs de navigation.
géocentriques (X, Y, Z) ou géographiques
(λ, φ, h) dans le système de référence
mondial appelé WGS84. Ces coordonnées
sont purement géométriques. Elles sont
obtenues à partir des mesures de code et
ont une précision de l’ordre de 5 mètres
pour la composante horizontale et 10
mètres pour la composante verticale. C’est
Figure 3 : mesure de pseudo-distance
2.1.a Principe
En effet, le récepteur génère dans une échelle de temps proche de l’échelle de temps GPS le
code d’un satellite donné. Lorsqu’il capte le code du satellite, celui-ci arrive avec un décalage
de temps correspondant au temps de parcours de l’onde entre le satellite et le récepteur. Par
corrélation il synchronise alors les deux signaux et en déduit le temps de parcours de l’onde
puis la distance satellite – récepteur. Cette distance est entachée des erreurs de
synchronisations des horloges qu’il faut corriger.

2.1.b Estimation de la qualité du positionnement absolu


L’exactitude du positionnement absolu dépend de la constellation des satellites dans l’espace.
Pour cela il existe un paramètre qui donne une estimation de cette qualité c’est le DOP
composé en plusieurs sous-paramètres que sont : le VDOP, le HDOP, le TDOP, le PDOP et le
GDOP. Plus la valeur du DOP est élevée, plus le positionnement est mauvais.

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 15


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

Mauvais GDOP Bon GDOP Mauvais GDOP dû aux obstacles

Figure 4 : Le GDOP

Notons que les mesures sur le code sont souvent appelées mesures de pseudo-distances. Ce terme
résulte du biais sur la mesure de distance satellite-récepteur brute dû la désynchronisation des
horloges.
Une précision satisfaisante telle que recherchée dans nos mesures en vue de rattacher un
projet, nécessite des corrections et des observations supplémentaires. Ce qui nous amène à
introduire le mode différentiel.

2.2. Le mode différentiel ou positionnement relatif


Ce mode donne une précision meilleure orbites, de propagation dans l’atmosphère
que celle obtenue dans le paragraphe et les erreurs d’horloges satellites et
précédent. Dans ce cas, on détermine les récepteurs.
composantes du vecteur compris entre une
station connue dans le système WGS84 et
une station inconnue. On observe les
mêmes satellites en même temps sur les
deux stations et le calcul se fait sur les
différences des mesures. Ce type de
positionnement permet de réduire
Figure 5 : ligne de base
considérablement les erreurs sur les
Les différentes méthodes employées sont : la statique, la statique rapide, la cinématique et
l’OTF (en vol).

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 16


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

 Le tableau suivant résume les différentes méthodes du mode différentiel parmi


lesquelles nous retiendrons la statique rapide pour la planification de notre
rattachement.

Méthodes Statique Statique rapide Cinématique En vol


Grand nombre Positionnement
Pour les grandes Bases courtes : ˂ 20
de points ) précis d'objet en
lignes de base (˃ 10 km (bifréquence) ˂
Cas d'emploi observer dans mouvements
km avec 10 km
une zone réduite (avions, bâteaux,
bifréquence). (monofréquence).
et dégagée et).
Nombre de récepteurs
2 2 2 2
minimum
Précision :
monofréquence 5 à 10 mm + 1 ppm 1 à 2 cm + 1 ppm
bifréquence 5 mm + 1 ppm 5 à 10 mm + 1 ppm 1 à 2 cm + 1 ppm 1 à 2 cm + 2 ppm
Quelques
minutes
2 à 20 min selon les d'initialisation Temps réel en
cas puis quelques movement
secondes sur
Temps d'observation 30 min à l'heure chaque point
Canevas
polygonaux.
Canevas d'ensemble Levers de détails
Photogrammétrie.
: remmplace la en zone dégagée.
Réseaux géodésiques
triangulation et la
sur de grandes
polygonation.
Applications étendues
Précis, plus efficace Rapide, efficace. Nul La plus rapide
Pas
et plus économique vesoin de garder le des méthodes de
d'initialisation
que les méthodes contact avec le lever de détails
statique
Avantages traditionnelles satellite. par GPS.
Temps d'observation
Une interruption
plus long que par les
de la réception
autres méthodes. Méthode GPS la
Limitation en portée nécessite une
Réservé aux plus onéreuse
nouvelle
récepteurs
initialisation.
Inconvénients bifréquence.

Tableau n°3 : Méthodes GPS, mode différentiel

 La Statique rapide
Cette technique se fonde sur la résolution des ambiguïtés sur de très courtes périodes
d’observation (de 5 à 20 minutes en fonction de la ligne de base). On s’appuie alors
sur des renseignements additionnels (observation du code P, ou satellites redondants)
tout en respectant les contraintes géométriques des satellites. Les résultats définitifs
obtenus après le post-traitement, ont une précision de l’ordre de 5 à 20 mm,
dépendamment du temps d’observation mis et de la longueur de la ligne de base.

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 17


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

2.2.a Principe
Le récepteur GPS est capable de produire les mêmes signaux que les satellites. Lorsque le
récepteur reçoit un signal du satellite, il produit un signal équivalent et essaye de superposer
les deux signaux. Il détermine ainsi le décalage en temps nécessaire pour obtenir une
superposition exacte. Ce décalage correspond au temps qu’a mis le signal pour arriver
jusqu’au récepteur. Connaissant la vitesse de propagation du signal et le temps qu’il a mis
pour arriver jusqu’à lui, le récepteur calcule ainsi la distance qui le sépare du satellite. Pour
déterminer sa position en trois dimensions, soit X, Y, et Z, le satellite à besoin de trois
mesures de distances, qui lui permettront d’effectuer un calcul par intersection, à partir de
trois satellites. Mais il existe une quatrième inconnue : en effet, l’horloge du récepteur n’est
pas aussi précise que celle du satellite, et le décalage entre ces deux horloges, noté dt, n’est
pas connu au départ. La distance calculée initialement par le GPS à partir d’un satellite est
donc entachée d’une erreur due à dt ; c’est pourquoi elle est appelée pseudo-distance. Le
récepteur doit résoudre un système d’équation à 4 inconnues : X, Y, Z et dt. Il lui faut donc au
moins 4 mesures, donc 4 satellites, pour y arriver.

2.2.b Estimation de la qualité du positionnement relatif


Les précisions théoriques indiquées ci dessus ne peuvent, en pratique, être atteinte en
navigation. En effet plusieurs sources d’erreur viennent affecter la détermination des
pseudodistances et le calcul final de la position. La source d’erreur la plus importante est le
brouillage sélectif militaire (Selective Availability ou SA). Lorsque celui-ci est activé, la
précision du GPS peut être dégradée d’une centaine de mètres. Avant le 1er mai 2000, le
brouillage militaire était activé en permanence. Depuis, il n’a pas été réutilisé. Ensuite, une
mauvaise géométrie des satellites, ou un nombre peu important, va dégrader la qualité du
calcul de position, parfois sur plus de 100 mètres. La qualité de la géométrie se mesure avec
la GDOP (Géométric Dilution of Précision), qui est une caractéristique propre au récepteurs
géodésiques. Plus la GDOP est faible, plus la géométrie des satellites est bonne et plus la
mesure sera précise.

IV. MATERIEL DE RATTACHEMENT


Le matériel de rattachement varie selon qu’il s’agit d’un rattachement simple ou
géodésique. Le tableau ci-après classe les appareils en fonction du type de rattachement tout
en précisant leurs fonctions.
MATERIELS
MÉTHODES DE
ET FIGURES FONCTIONS
RATTACHEMENT
ACCESSOIRES
Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 18
RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

Machette Nettoyage

Mesures d’angles
Station totale verticaux et horizontaux.
TCR 303
Mesures des distances
inclinées et horizontales

 Support des appareils de


Trépied_0 mesures d’angles et de
distances

 Réflecteur d’onde
Prisme
électromagnétique.
SIMPE

Canne
 Support des prismes
télescopique

 Mesures des distances


inclinées et horizontales
Double-décamètre
 Mesure de la hauteur
instrumentale

Câble de télé- Permet le transfert des


Chargement données de la station à
Des données l’ordinateur

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 19


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

Permet de détecter les


Antenne GPS
différents satellites en actif

Crochet porte- Permet de mesurer la


ruban hauteur instrumentale

Sert de support au porte-


voyant et permet de
Embase avec
rechercher la quasi-
plomb optique
horizontalité grâce à sa
nivelle sphérique

Permet le transport aisé


Etui des câbles, de l’antenne,
du capteur et autres

Capteur GPS
bifréquence pour Réception des
les applications éphémérides
topographiques

Sert à transporter le
GÉODÉSIQUE Petit sac à dos
capteur GPS mobile

Terminal TR500 Permet d’afficher les


avec affichage et informations enregistrées
clavier par le capteur

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 20


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

Sert de support pour


Trépied_1
l’embase à plomb optique

Permet de maintenir la
Tripod canne télescopique durant
l’observation

Permet d’alimenter le
Batterie capteur GPS sur une longue
période d’observation

câble d’antenne
(fiche femelle- Connecter l’antenne au
femelle) capteur GPS

câble de batterie Transférer l’énergie


(fiche mâle-mâle) nécessaire au
fonctionnement du capteur

Tableau n°4 : Matériels rattachement et leurs fonctions

V. POURQUOI RATTACHER UN PROJET DE LOTISSEMENT


1. APPERÇU SUR LE LOTISSEMENT
Selon le code de l’urbanisme, le lotissement est : « la division en propriété ou en jouissance
d’une unité foncière ou de plusieurs unités foncières contigües ayant pour objet de créer un ou
plusieurs lots destinés à être bâtis ». Autrement dit, c’est une opération d’aménagement par
laquelle le lotisseur acquiert une parcelle non viabilisée, réalise les travaux de VRD
nécessaires pour desservir les terrains et étend les réseaux publics pour les raccorder en eau et
en électricité. Le lotissement étant considéré comme un morceau de ville, les équipements
collectifs d’assainissement, les réseaux de télécommunication ainsi les équipements de
défense contre l’incendie sont assurés. Divers plans sont communément utilisés, tels que : le
plan hippodamien et le plan en étoile.

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 21


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

2. UTILITE DU RATTACHEMENT
Pouvoir localiser une vaste étendue de terre dans un système universel est un plus à gagner
dans l’organisation des services de secours et le service départemental des domaines et des
affaires foncières. En effet, connaissant avec une grande précision, l’emplacement des
équipements de défense, d’assainissement et le réseau de télécommunication, ces données à
références spatiales pourraient alimenter la base de données en SIG et favoriser une
intervention rapide sur le terrain en cas de désagréments ou de besoins. En outre, l’intérêt
qu’il a sur le plan étatique, est de pouvoir évaluer en temps réel, le patrimoine foncier dans
une zone donnée.

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 22


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

CAS PRATIQUE : RATTACHEMENT


CHAPITRE II D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a
79 ca

Figure 25 : Projet de lotissement à rattacher TF 4115/SM

PLANIFICATION DU LEVER

La phase de planification de notre rattachement se confond ici à celle d’un projet GPS et ses
équipements qui seront utilisés, depuis la collecte des données jusqu’au résultat final, afin de
s’assurer qu’ils permettent de satisfaire de manière fiable aux exigences en matière
d’exactitude.

 la validation du matériel

Le processus de validation nous permet de vérifier les exactitudes auxquelles on peut


s’attendre avec les procédures mises à l’épreuve.

Les trois composantes principales éprouvées dans le cadre du processus de validation ont été :
la technique de positionnement adoptée (statique rapide), l’équipement à utiliser (cité plus

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 23


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

haut) et la méthode de traitement retenue (le post-traitement). Ce processus de validation nous


a permis de détecter et de résoudre les problèmes avant d’entreprendre le lever, de
rationaliser les opérations et de vérifier les exactitudes auxquelles on peut s’attendre avec les
procédures mises à l’épreuve. Le point connu (nommé PL : X = 598571.7831 m, Y =
446121.5499 m, H = 53.7880 m) se situait au lieu-dit Kendeck, à environ 4 kilomètres de la
zone de travail.

 La reconnaissance de terrain
La reconnaissance nous a permis de vérifier sur les lieux du travail, l’emplacement
convenable au GPS, l’existence du point PL préalablement défini dans le système WGS 84 et
les exigences logistiques. Sont énumérées dans le tableau suivant les composantes clés ayant
permis de mener à bien cette étape.

Vérifier si les emplacements conviennent Présence d’obstacles


au GPS Absence de sources d’interférences

Vérifier l’existence du point connu PL Matérialisation du point


dans le réseau géodésique Stabilité des points

Mode de transport
Formuler les besoins logistiques Temps d’accès, de déplacements
Equipements spéciaux

Choix d’autres emplacements


Mesures à adopter Etablissement de stations excentrées
(Point X1 et X2)
Lever à la station totale

Tableau n° 5 : Les composantes clés de la reconnaissance de terrain

 Lever proprement dit


Cette partie nous a permis de recueillir sur le terrain les observations nécessaires aux calculs
des coordonnées définitives des points levés (quatre points au total dont 2 par GPS et deux
par la station totale). Les deux étapes qui ont marqué cette opération se sont déroulées de la
manière suivante :

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 24


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

 La première étape consistait à l’aide d’un récepteur fixe, de stationner le point


PL et de lever à l’aide d’un GPS 500 (Bifréquence) deux points excentrés X1 et X2 à
proximité du lotissement comme l’indique la figure… .
Le carnet de lever est le suivant :

POINTS HEURE DÉBUT HEURE FIN

PL 10H35 12H13

X1 11H00 12H09

X2 11H00 12H09

Tableau n°6 : carnet de lever au GPS

 La deuxième étape consistait à lever par rayonnement, deux autres points à


savoir R1 et R2 inclus dans la limite des unités parcellaires contenant le lotissement à
rattacher et le TF voisin. Pour cela, nous avons stationné le point X1 et pris comme référence
le point X2. Le carnet de lever se présente comme suit :

STATION POINTS VISÉS ANGLES (Grades) DISTANCES (m)

Référence (X1) 0.0000 67.021

X2 R1 295.9419 37.334

R2 272.3640 41.269

Tableau n°7 : Rayonnement

La détermination des coordonnées des sommets de l’unité parcellaire faisant l’objet de notre
projet (Lotissement 16 ha), devait s’opérer en parallèle avec celle de TF 4061 SM suivant le
croquis d’implantation ci-joint en annexe.

 Traitement des données


C’est la phase du post-traitement Il permet le traitement des données brutes GPS pour
aboutir à un résultat donné en système WGS 84. Ici il était question pour nous une fois au
bureau, de calculer à l’aide du logiciel Leica Geo office 5.0 les coordonnées des points levés
au GPS à la fin des observations. Les observations ayant atteint l’heure, les précisions

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 25


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

atteintes étaient de : 5 déci millimètres sur la composante E, 6 déci millimètres sur la


composante N, et 26 déci millimètre sur la composante H pour le point le point X1. Quant au
point X2, seule la précision en H changé (14 déci millimètres). Voire fiche de résultats en
annexe

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 26


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

IIIème PARTIE :

DIFFICULTES RENCONTREES ET
SUGGESTIONS

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 27


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

Bien qu’ayant fait face à plusieurs difficultés qui ont freiné notre travail, nombreux sont les
apports intellectuels et pratiques que nous avons qui ont justifié notre passage à GLOSUS
Sarl. Les lignes qui vont suivre nous en disent davantage sur ces acquis, les difficultés
rencontrées et quelques suggestions apportées.

CHAPITRE I LES APPORTS DU STAGE

I. LES APPORTS INTELLECTUELS ET PRATIQUES

Nombreux ont été les apports du stage car j'ai été vraiment plongé au cœur du métier.
J'ai pu mettre en pratique différentes méthodes de levers et d’implantations des points en
planimétrique que je ne connaissais que sous l'angle théorique. En effet, mes Co-stagiaires et
moi s’organisions en deux équipes dont l’une avait pour missions de lever une zone située à
proximité de l’entreprise, puis traiter les données tout en spécifiant certains points à
implanter. Par la suite, la même équipe devait fournir le plan établi à la deuxième pour
accomplir l’implantation.

II. LES COMPÉTENCES ACQUISES ET DÉVELOPPÉES

Au cours de ce stage, j'ai acquis diverses compétentes telles que la gestion des bases de
données dans le cadre de mon initialisation aux SIG via le logiciel MapInfo.

J'ai pu également consolider des compétences déjà acquises telles que le Dessin Assisté
par Ordinateur tant dans AutoCad que dans Covadis. J’ai profité de l’opportunité qui m’a
été offerte pour effectuer les calculs des différents cheminements polygonaux et des
nivellements.

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 28


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

CHAPITRE I DIFFICULTES RENCONTREES

Les difficultés citées ci-après sont relatives à l’organisation interne de l’entreprise et viennent
en complément de ce qui a été vécu sur le terrain. Elles concernent : la gestion de la fibre
optique, la maintenance des appareils topographiques et leurs accessoires.

I. AU BUREAU
 l’accès internet gratuit par Wi-Fi : c’est l’une des particularités de GLOSUS
qui fait d’elle une entreprise idéale pour effectuer son stage. Cependant, son usage intempestif
et non justifié cause préjudice à l’entreprise ; du moment où n’importe quel stagiaire prendrait
plaisir à télécharger indéfiniment et inconditionnellement des fichiers volumineux tels que les
vidéos (AVI, JPEG, MP4) et les audios (MP3) pour ne citer que ceux. Comme conséquence
d’une part on assiste à une surconsommation pouvant conduire à une pénurie de données et
d’autre part au manque de pratiquer sur le terrain.
 la maintenance du matériel et des appareils topographiques : ici encore,
nous évoquons le fait que le matériel topographique était très souvent rangé sans avoir été
minutieusement nettoyé. Par conséquent, nous assistons à la crispation des trépieds, à une
indisponibilité des bottes, et au vieillissement prématuré des appareils.
 les conflits d’autorité : les pouvoirs n’étant pas délégués, nous assistions
fréquemment à un climat professionnel instable et ingérable. En conséquence, le poids de la
difficulté à constituer une brigade, à orienter les stagiaires alourdissait l’atmosphère.
 La planification des travaux : il s’agit principalement de la validation du
matériel avant une descente sur le terrain. En effet, l’on devrait contrôler la validité et la
présence effective des appareils avant leur embarcation ; chose rarement pratiquée.

II. SUR LE TERRAIN


 Cependant, les obstacles rencontrés durant notre stage ne se limitaient pas au
sein de l’entreprise. Loin de là, il n’était pas aisé de pallier à un problème relevant de la
méthode à exécuter, lorsqu’un problème se présentait. C’est le cas enregistré à la deuxième
étape lors du rattachement du lotissement de 19 ha de superficie, nous parlons ici du
rayonnement qui a été effectué pour lever les points R1 et R2. En effet, les angles n’étant pas
corrigés ceci impacte sur les résultats obtenus.
 En outre, j'ai rencontré des difficultés lors de mon stage. Les missions confiées
n'ont pas toujours été évidentes à effectuer. C’est le cas de l’implantation des limites du

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 29


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

Lotissement TF 4061 SM et TF 4115 SM, où nous avons dû affronter ma brigade et moi, un


relief extrêmement accidenté (pente de 25% à gravir), un environnement hostile (moustiques,
serpents, marécages) et aux pluies diluviennes qui ont imposé un arrêt des travaux. Toutefois,
avec le temps j'ai su m'adapter pour affronter ces quelques obstacles.

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 30


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

CHAPITRE II SUGGESTIONS APPORTÉES

Ce chapitre traite des problèmes mentionnés aux paragraphes précédents.

I. SUR LE TERRAIN
En effet, nous avons fait montre de sagacité et de persévérance durant l’implantation des
Lotissements cités ci-dessous. Je m’explique. Dans l’impossibilité de respecter à lettre les
stations définies par le plan croquis (en annexe), nous avons à cet effet créé de nouvelles
stations. Et il s’en est suivi un nouveau carnet d’implantation dans l’avancement des travaux
(voir carnet d’implantation en annexe).

En outre, les chocs, les intempéries et autres phénomènes que subissent les appareils,
impactent sur la fiabilité des résultats de ces derniers. De ce fait, nous suggérons un
étalonnage de ceux-ci de manière périodique et systématique. En parallèle, les méthodes
d’amélioration de la précision dans les mesures telles le double retournement (manipulation
permettant d’améliorer la précision sur les observations angulaires. Celui-ci devrait très
souvent être utilisé dans les projets de grande envergure tel que le rattachement d’un
lotissement qui inclut les méthodes traditionnelles. Dans la même vision, nous sugges

II. AU BUREAU
Il est nécessaire qu’une tranche d’heure soit allouée à tout stagiaire désireux de mener des
recherches en vue d’approfondir ses connaissances. D’une part, cela limiterait
considérablement la consommation inutile des données mobiles et d’autre part il n’y aurait
point de réticence à exercer sur le terrain à cause de l’appétit farouche et grandissante à
télécharger tout ce qui ce présente.

En outre, il conviendrait que les pouvoirs soient délégués au sein du service technique.
Cela faciliterait non seulement la prise de décision, mais aussi la gestion des stagiaires. Quant
à la validation du matériel avant toute descente sur le terrain, nous suggérons qu’ne fiche de
contrôle soit établie au sein du service technique. Afin d’avoir une idée temporelle sur les
appareils et accessoires disponibles, ainsi que leurs états.

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 31


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

CONCLUSION GÉNÉRALE
Pour conclure, nous avons vu d’une part que l’opération permettant de définir les
coordonnées d’un projet au réseau géodésique de référence WGS 84 en mode statique rapide
donne un résultat plus précis (de l’ordre du millimètre), permet d’économiser en temps (car le
temps d’observation varie entre 0 et 20 minutes) et de limiter les dépenses. Il suffit de
disposer de quelques points connus (points d’appui) en WGS 84 dans la zone de travail ; qui
permettrons de calculer un ajustement des observations sur le réseau de points GPS et de
fournir les résultats définitifs des points levés dans la zone de travail après un post-traitement.
D’autre part, grâce à ce stage, j'ai acquis de nouvelles compétences (gestion de base des bases
de données à l’aide du logiciel MapInfo, travail en Job), une nouvelle façon de voir
l'entreprise. En outre, j'ai pu mettre en pratique une pléthore de méthodes de levers et
d’implantation planimétriques (la représentation numérique d’un terrain sous forme de plan,
les types de polygonation, les calculs topométriques sur le logiciel Covadis) que je ne
connaissais que sous l'angle théorique. De mon côté, j'ai apporté à l'entreprise une vision
dynamique, pleine d’enthousiasme.

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 32


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES

 Topographie appliquée aux travaux publics, bâtiments et levers urbains/ auteur :


LUCIEN LAPOINTE et GILLES MEYER
 Cours de Géodésie, IIème année BTS Géomètre-Topographe
 Cours de technique d’expression française IIème année BTS Géomètre-Topographe

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 33


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

ANNEXES

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 34


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

TABLE DES MATIÈRES

DÉDICACE…………………………………………………………………………………….I
REMERCIEMENTS…………………………………………………………………………..II
RÉSUMÉ……………………………………………………………………………………..III
ABSTRACT………………………………………………………………………………….IV
LISTE DES TABLEAUX…………………………………………………………………….V
LISTE DES ABBRÉVITIONS………………………………………………………………VI
LISTE DES FIGURES………………………………………………………………………VII
AVANT-PROPOS………………………………………………………………………….VIII
INTRODUCTION GÉNÉRALE………………………………………....................................1
Ière PARTIE : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE ET DEROULEMENT DU STAGE..2
CHAPITRE I : PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE……………………………………...3
SECTION I : ENVIRONNEMENT INTERNE DE GLOSUS Sarl…………………………...3
I. HISTORIQUE………………………………………………………………….3
II. STRUCTURE ORGANISATIONNELLE……………………………………..3
e. Le comité de Gestion............................................................................3
f. La Direction Générale……………………………………………………...3
g. Le département technique………………………………………………….3
h. Le Département Administratif……………………………………………..4
III. ACTIVITÉS……………………………………………………………………4
IV. LES RESSOURCES…………………………………………………………...5
1. Les ressources qualitatives……………………………………………..5
a. les ressources humaines…………………………………………….5
b. Les ressources informationnelles…………………………………...5
c. Les ressources financières………………………………………….5
2. Les ressources matérielles ou quantitatives…………………………….5
V. SITUATION GÉOGRAPHIQUE……………………………………………………...5
SECTION II : ENVIRONNEMENT EXTERNE DE GLOSUS Sarl…………………………6
1. LES CLIENTS…………………………………………………………6
2. LES PARTENAIRES-FOURNISSEURS……………………………..6
3. LA CONCURRENCE……………………………………..…………..6
CHAPITRE II : DÉROULEMENT DU STAGE………………………………………………7

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 35


RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

SECTION I : LES ACTIVITÉS DU STAGE………………………………………………….7


SECTION II : LES MISSIONS EFFECTUÉES……………………………………………...10
Les missions secondaires……………………………………………………..10
Les missions principales………………………………………………………10
 Bornages de morcellement……………………………………………10
 Implantation…………………………………………………………..11
 Rattachement………………………………………………………….11
IIème PARTIE : RATTACHEMENT D’UN PROJET AU RÉSEAU GÉODÉSIQUE…….12
CHAPITRE I : LE RATTACHEMENT……………………………………………………..13
I. GÉNÉRALITÉS SUR LE RATTACHEMENT……………………………..13
II. BUT ET OBJECTIF DU RATTACHEMENT………………………………14
1. Objectif du rattachement……………………………………………………..14
2. But du rattachement……………………………………………………….….14
III. METHODES DE RATTACHEMENT………………………………………14
1. Le rattachement simple……………………………………………………14
a. Principe………………………………………………………………….14
b. Précision…………………………………………………………………14
2. Le rattachement géodésique……………………………………………….15
2.1. Le mode naturel ou positionnement absolu…………………………...15
2.1.a Principe…………………………………………………………….15
2.1.b Estimation de la qualité du positionnement absolu………………..15
2.2. Le mode différentiel ou positionnement relatif……………………….16
 Tableau récapitulatif des méthodes du mode différentiel…………17
 La Statique rapide…………………………………………………17
2.2.a Principe…………………………………………………………….18
2.2.b Estimation de la qualité du positionnement relatif………………...18
VI. MATERIEL DE RATTACHEMENT……………………………………..18
VII. POURQUOI RATTACHER UN PROJET DE LOTISSEMENT ?...........21
1. APPERÇU SUR LE LOTISSEMENT………………………………………..21
2. UTILITE DU RATTACHEMENT…………………………………………...22

CHAPITRE II : CAS PRATIQUE (RATTACHEMENT D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06


79 ca)………………………………………………………………………23
PLANIFICAION DU LEVER……………………………………………..23

 la validation du matériel…………………………………………………..23
Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 36
RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca

 La reconnaissance de terrain……………………………………………...24
 Lever proprement dit……………………………………………………...24
 Première étape…………………………………………………….25
 Deuxième étape…………………………………………………...25
 Traitement des données…………………………………………………...25
IIIème PARTIE : DIFFICULTES RENCONTRÉES ET SUGGESTIONS APPORTÉES….27
CHAPITRE I : LES APPORTS DU STAGES……………………………………………….28
I. LES APPORTS INTELLECTUELS ET PRATIQUES…………………….28
II. LES COMPETENCES ACQUISES ET DEVELOPPEES…………………..28

CHAPITRE II : LES DIFFICULTÉES RENCONTRÉES…………………………………...29


I. AU BUREAU……………………………………………………...……………..29
 Le libre accès à internet ………………………………………………29
 la maintenance du matériel et des appareils…………………………..29
 les conflits d’autorité………………………………………………….29
 La planification des travaux…………………………………………..29
II. SUR LE TERRAIN………………………………………….…………………..29
 Les méthodes de lever………………..............................................29
 Les obstacles naturels…………………………………………………29
CHAPITRE III : LES SUGGESTIONS APPORTÉES………………………………………31
I. AU BUREAU……………………………………………………………………31
II. SUR LE TERRAIN………………………………………………………………31
CONCLUSION GÉNÉRALE………………………………………………………………..32
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES……………………………………………………..33
ANNEXES……………………………………………………………………………………34
TABLES DES MATIÈRES…………………………………………………………………..35

Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 37

Vous aimerez peut-être aussi