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INTRODUCTION
GENERALE
Dans le souci de connaître sa position et celle des éléments qui l’entourent de manière
univoque, l’Homme a développé une technique lui fournissant les moyens de représentation
tant graphique que numérique, la topographie. C’est la technique qui a pour objet
l’exécution, l’exploitation et le contrôle des observations concernant la position planimétrique
et altimétrique, la forme, les dimensions et l’identification des élément concrets, fixe et
durables existants à la surface du sol à un moment donné. Toute collecte de données doit
respecter son saint sacro-principe, qui est celui d’aller de l’ensemble vers les détails. Pour une
bonne localisation, les points doivent être rattachés à une référence géodésique existante,
mondiale ou locale. Cela nécessite le choix d’une surface mathématiquement calculable
proche de la surface terrestre (ellipsoïde) pour chaque pays. Pour une utilité commune et
globale, il est possible d’avoir la correspondance de tout point issu d’un système local à un
système global (le WGS 84 par exemple). Evidente en zone urbaine et indépendamment de la
méthode utilisée du fait de la proximité des différents points d’appui, l’on se poserait la
question à savoir : Comment rattacher un objet ou un terrain situé en zone périurbaine ou en
zone rurale ? Et quelle méthode serait la mieux appropriée ? La suite de notre travail, qui se
divise en trois parties, présente d’abord l’entreprise au sein de laquelle j’ai effectué mon
stage, ensuite relate les différentes opérations et missions effectuées durant cette période de
stage et en fin, expose le rattachement (rattachement géodésique) exécuté dans le cadre du
projet de lotissement du TF TF4115 SM au lieu-dit PITTI-Gare (Département de la Sanaga
maritime) où il était question d’adopter une méthode qui permettrait aisément de définir les
coordonnées d’une parcelle de terrain situés à des centaines de kilomètres de la ville, en
pleine forêt, dans le système de référence WGS 84 ; de manière efficace, économique et
précise.
PREMIèRE PARTIE :
ET DEROULEMENT DU STAGE
I. HISTORIQUE
Crée en 2012 par Monsieur BIYONG Joseph Espoir qui dirige en tant que Directeur
Générale en nom et personne. Doté d’un capital de 1 000 000 frs CFA siège social Douala cité
des palmiers, carrefour express, en tant que cabinet d’Expertise et d’étude topographique, il a
été créé dans le but de faciliter la tâche aux populations des villes du Cameroun en offrant ses
services dans ses domaines de qualifications.
b. La Direction Générale
L’entreprise GLOSUS Sarl a à sa tête un Directeur Général, chargé de l’application
de la politique générale de l’entreprise et assure la bonne marche des activités au quotidien.
c. Le département technique
Il tient lieu de bureau d’études. Il est constitué des auditeurs et des techniciens avaient
pour mission essentielle la recherche et le développement des travaux formant l’objet social
du cabinet. Ceux-ci assurent la gestion des dossiers des clients du cabinet.
d. Le Département Administratif
Le département administratif s’assure de la mise à la disposition de l’entreprise, des
ressources humaines, matérielles, financières et informationnelles.
III. ACTIVITES
L’entreprise exerce ses activités dans le cadre légal et réglementaires de la loi, dont l’objectif
est d’apporter une assistance aux entreprises et particuliers dans la gestion quotidienne de
leurs affaires.il se propose alors de fournir des prestations de services pluridisciplinaires à ses
clients, à savoir :
- Prestation de service lié au cadastre
- Restructuration et rénovation urbaine
- Lotissement et projection d’Aménagement
- Etude topographique et projection routière
- Conseil et gestion du patrimoine foncier et immobilier
- Exploitation SIG
- Navigation, lever et track-in-GPS
- Cartographies
- Réseaux
V. SITUATION GÉOGRAPHIQUE
GLOSUS Sarl est une entreprise située dans l’arrondissement de Douala … au lieu-dit
Cité des palmiers. Il existe divers chemins pour s’y rendre tels que présentés par la figure …
(Annexe)
Dans le cadre de la réalisation de son objet social, GLOSUS Sarl s’est forgée une image et est
devenue pratiquement une marque dont le label est connu dans le domaine de la topographie.
Son nom s’est imposé grâce à la qualité des services-conseils qu’elle fournit aux entreprises et
aux particuliers.
1. LES CLIENTS
L’entreprise GLOSUS Sarl a l’habitude de faire ses preuves auprès des diverses sociétés et
particuliers.
2. LES PARTENAIRES-FOURNISSEURS
L’entreprise GLOSUS Sarl fait très souvent recours à la qualification et aux compétences de
certains particuliers spécialisés (non-salariés) pour la réalisation de ses différentes activités ;
ce sont les consultants externes. Ces derniers sont considérés comme les partenaires-
fournisseurs dans la mesure où l’entreprise achète leurs services pour les revendre ensuite
aux entreprises notamment à l’occasion des séminaires de formation professionnelles ou ils
interviennent.
3. LA CONCURRENCE
Aujourd’hui, on constate que la branche d’activité dans laquelle se trouve GLOSUS Sarl est
très sollicitée par les entreprises en matière de conseils et d’assistance technique. Par
conséquent l’entreprise fait face à une rude concurrence provenant de la société Razel
Cameroun.
Notons néanmoins que ces derniers ne sont pas toujours concurrents pour GLOSUS Sarl
car ils sont parfois appelés à coopérer pour travailler ensemble pour le compte d’une même
entreprise.
Très grande a été notre chance de débuter le stage au moment où l’entreprise était
submergée de projets. De plus, le climat en cette période était favorable aux travaux
topographiques. Ainsi, nous nous attarderons dans ce Chapitre, à la description des diverses
activités effectuées pendant le stage (Section I). Enfin nous, nous mettrons un accent sur les
missions qui ont marquées notre passage au sein de l’entreprise GLOSUS Sarl à la Section II.
Affecté au sein du service technique, où j’avais comme maître de stage Monsieur BIYONG
Emile. Ses missions consistaient en l’exécution des divers services offerts par l’entreprise et
le suivi des stagiaires. Grâce à l’humilité et au respect, à mon engagement, ma motivation et
mon esprit d’équipe que je témoignais auprès des employés, il m’était aisé d’avoir accès aux
appareils, pour pouvoir m’exercer pendant les heures creuses.
Les conditions de stage ont été excellentes. En effet, le personnel était très accueillant. Outre
le fait qu’il y avait des places assises pour chacun des stagiaires, nous avions droit
‘gratuitement’ à l’accès internet pour pouvoir effectuer des recherches et élargir notre champ
de vision. Les heures d’ouverture et de fermeture de l’entreprise sont réparties dans le tableau
ci-après :
JOURS HORAIRES
La période de stage étant favorables aux interventions sur le terrain, nous avons pris le soin de
les organiser dans un tableau récapitulatif suivant les périodes, les tâches effectuées et
l’appareillage et les outils utilisés.
APPAREILLAGE ET
PERIODES TACHES EFFECTUEES
OUTILS
l’opération ne durait que quelques minutes. Dans les cas complexes, les travaux duraient
environ 1 heure et 30 minutes. Apprendre à travailler en Job a été l’une des méthodes qui m’a
particulièrement marqué durant ces missions.
De l’implantation des limites d’un lotissement de 19 hectares dans le
département de la Sanaga maritime, au lieu-dit PITTI. Les travaux se sont déroulés sur une
période de 6 Jours, en pleine forêt. Ceci étant, le seul moyen de locomotion était nos membres
inférieurs, implosé par le relief accidenté et le chemin de fer régulièrement empruntés.
Pour terminer, nous avons effectué le rattachement d’un projet de
lotissement au système géodésique de référence WGS 84, qui est en partie (Chapitre II),
l’objet de la deuxième partie du présent rapport de fin de stage.
IIème PARTIE :
SUGGESTIONS
Cette partie présente essentiellement le passage d’un datum à un autre (WGS 84 dans notre
cas), ainsi que les méthodes, les moyens et les étapes nécessaires à sa réalisation. La mise en
pratique de celui-ci au Chapitre II porte sur un lotissement de 19 ha en passant par le
chapitre I qui fera l’objet d’une étude brève du Rattachement et du lotissement
respectivement aux Chapitre I et Chapitre II.
CHAPITRE I LE RATTACHEMENT
Dans ce chapitre, nous allons décrire comment obtenir une position absolue à l’aide des
mesures de codes ou une position relative via les mesures de phases, en passant par une
généralité sur le rattachement.
minimum d’observations est à recueillir. Le procédé le plus souvent employé est la colocation
de points.
Différents types de ces transformations sont couramment implémentées dans bon nombre de
logiciels commerciaux ou gratuits (téléchargeables en ligne).
2. Objectif du rattachement
C’est une opération qui a pour objectif, la détermination des coordonnées d’un lieu dans un
système de référence établi au préalable.
1. Le rattachement simple
Ce type de rattachement est effectué à l’aide des méthodes traditionnelles. Parmi les sous-
opérations permettant de passer d’un système à un autre, on cite : la station excentrée, le
rabattement et le changement de base.
a. Principe
À partir de deux points connus, on détermine les coordonnées d’un certain nombre de points
dans le même système par calcul des cheminements polygonaux et des rayonnements.
b. Précision
Grâce aux Appareils de mesure électronique de distance, il est aujourd’hui possible
d’atteindre le millimètre près.
Cependant, il existe des méthodes autres que celles-ci permettant d’améliorer la précision
dans les mesures, en un temps très court et nécessitant des appareils plus performants. Elles
découlent du deuxième type de rattachement à savoir, le rattachement géodésique.
2. Le rattachement géodésique
Encore appelé « Rattachement de chantiers GPS », ce type de rattachement a pour avantage
d’être plus rapide et plus précis que le précédent. Cependant, il présente l’inconvénient d’être
plus onéreux. Dans cette partie, nous allons décrire comment obtenir une position absolue à
l’aide des mesures de codes et une position relative à l’aide des mesures de phases. Ceci
donne lieu au mode naturel et au mode différentiel.
Figure 4 : Le GDOP
Notons que les mesures sur le code sont souvent appelées mesures de pseudo-distances. Ce terme
résulte du biais sur la mesure de distance satellite-récepteur brute dû la désynchronisation des
horloges.
Une précision satisfaisante telle que recherchée dans nos mesures en vue de rattacher un
projet, nécessite des corrections et des observations supplémentaires. Ce qui nous amène à
introduire le mode différentiel.
La Statique rapide
Cette technique se fonde sur la résolution des ambiguïtés sur de très courtes périodes
d’observation (de 5 à 20 minutes en fonction de la ligne de base). On s’appuie alors
sur des renseignements additionnels (observation du code P, ou satellites redondants)
tout en respectant les contraintes géométriques des satellites. Les résultats définitifs
obtenus après le post-traitement, ont une précision de l’ordre de 5 à 20 mm,
dépendamment du temps d’observation mis et de la longueur de la ligne de base.
2.2.a Principe
Le récepteur GPS est capable de produire les mêmes signaux que les satellites. Lorsque le
récepteur reçoit un signal du satellite, il produit un signal équivalent et essaye de superposer
les deux signaux. Il détermine ainsi le décalage en temps nécessaire pour obtenir une
superposition exacte. Ce décalage correspond au temps qu’a mis le signal pour arriver
jusqu’au récepteur. Connaissant la vitesse de propagation du signal et le temps qu’il a mis
pour arriver jusqu’à lui, le récepteur calcule ainsi la distance qui le sépare du satellite. Pour
déterminer sa position en trois dimensions, soit X, Y, et Z, le satellite à besoin de trois
mesures de distances, qui lui permettront d’effectuer un calcul par intersection, à partir de
trois satellites. Mais il existe une quatrième inconnue : en effet, l’horloge du récepteur n’est
pas aussi précise que celle du satellite, et le décalage entre ces deux horloges, noté dt, n’est
pas connu au départ. La distance calculée initialement par le GPS à partir d’un satellite est
donc entachée d’une erreur due à dt ; c’est pourquoi elle est appelée pseudo-distance. Le
récepteur doit résoudre un système d’équation à 4 inconnues : X, Y, Z et dt. Il lui faut donc au
moins 4 mesures, donc 4 satellites, pour y arriver.
Machette Nettoyage
Mesures d’angles
Station totale verticaux et horizontaux.
TCR 303
Mesures des distances
inclinées et horizontales
Réflecteur d’onde
Prisme
électromagnétique.
SIMPE
Canne
Support des prismes
télescopique
Capteur GPS
bifréquence pour Réception des
les applications éphémérides
topographiques
Sert à transporter le
GÉODÉSIQUE Petit sac à dos
capteur GPS mobile
Permet de maintenir la
Tripod canne télescopique durant
l’observation
Permet d’alimenter le
Batterie capteur GPS sur une longue
période d’observation
câble d’antenne
(fiche femelle- Connecter l’antenne au
femelle) capteur GPS
2. UTILITE DU RATTACHEMENT
Pouvoir localiser une vaste étendue de terre dans un système universel est un plus à gagner
dans l’organisation des services de secours et le service départemental des domaines et des
affaires foncières. En effet, connaissant avec une grande précision, l’emplacement des
équipements de défense, d’assainissement et le réseau de télécommunication, ces données à
références spatiales pourraient alimenter la base de données en SIG et favoriser une
intervention rapide sur le terrain en cas de désagréments ou de besoins. En outre, l’intérêt
qu’il a sur le plan étatique, est de pouvoir évaluer en temps réel, le patrimoine foncier dans
une zone donnée.
PLANIFICATION DU LEVER
La phase de planification de notre rattachement se confond ici à celle d’un projet GPS et ses
équipements qui seront utilisés, depuis la collecte des données jusqu’au résultat final, afin de
s’assurer qu’ils permettent de satisfaire de manière fiable aux exigences en matière
d’exactitude.
la validation du matériel
Les trois composantes principales éprouvées dans le cadre du processus de validation ont été :
la technique de positionnement adoptée (statique rapide), l’équipement à utiliser (cité plus
La reconnaissance de terrain
La reconnaissance nous a permis de vérifier sur les lieux du travail, l’emplacement
convenable au GPS, l’existence du point PL préalablement défini dans le système WGS 84 et
les exigences logistiques. Sont énumérées dans le tableau suivant les composantes clés ayant
permis de mener à bien cette étape.
Mode de transport
Formuler les besoins logistiques Temps d’accès, de déplacements
Equipements spéciaux
PL 10H35 12H13
X1 11H00 12H09
X2 11H00 12H09
X2 R1 295.9419 37.334
R2 272.3640 41.269
La détermination des coordonnées des sommets de l’unité parcellaire faisant l’objet de notre
projet (Lotissement 16 ha), devait s’opérer en parallèle avec celle de TF 4061 SM suivant le
croquis d’implantation ci-joint en annexe.
IIIème PARTIE :
DIFFICULTES RENCONTREES ET
SUGGESTIONS
Bien qu’ayant fait face à plusieurs difficultés qui ont freiné notre travail, nombreux sont les
apports intellectuels et pratiques que nous avons qui ont justifié notre passage à GLOSUS
Sarl. Les lignes qui vont suivre nous en disent davantage sur ces acquis, les difficultés
rencontrées et quelques suggestions apportées.
Nombreux ont été les apports du stage car j'ai été vraiment plongé au cœur du métier.
J'ai pu mettre en pratique différentes méthodes de levers et d’implantations des points en
planimétrique que je ne connaissais que sous l'angle théorique. En effet, mes Co-stagiaires et
moi s’organisions en deux équipes dont l’une avait pour missions de lever une zone située à
proximité de l’entreprise, puis traiter les données tout en spécifiant certains points à
implanter. Par la suite, la même équipe devait fournir le plan établi à la deuxième pour
accomplir l’implantation.
Au cours de ce stage, j'ai acquis diverses compétentes telles que la gestion des bases de
données dans le cadre de mon initialisation aux SIG via le logiciel MapInfo.
J'ai pu également consolider des compétences déjà acquises telles que le Dessin Assisté
par Ordinateur tant dans AutoCad que dans Covadis. J’ai profité de l’opportunité qui m’a
été offerte pour effectuer les calculs des différents cheminements polygonaux et des
nivellements.
Les difficultés citées ci-après sont relatives à l’organisation interne de l’entreprise et viennent
en complément de ce qui a été vécu sur le terrain. Elles concernent : la gestion de la fibre
optique, la maintenance des appareils topographiques et leurs accessoires.
I. AU BUREAU
l’accès internet gratuit par Wi-Fi : c’est l’une des particularités de GLOSUS
qui fait d’elle une entreprise idéale pour effectuer son stage. Cependant, son usage intempestif
et non justifié cause préjudice à l’entreprise ; du moment où n’importe quel stagiaire prendrait
plaisir à télécharger indéfiniment et inconditionnellement des fichiers volumineux tels que les
vidéos (AVI, JPEG, MP4) et les audios (MP3) pour ne citer que ceux. Comme conséquence
d’une part on assiste à une surconsommation pouvant conduire à une pénurie de données et
d’autre part au manque de pratiquer sur le terrain.
la maintenance du matériel et des appareils topographiques : ici encore,
nous évoquons le fait que le matériel topographique était très souvent rangé sans avoir été
minutieusement nettoyé. Par conséquent, nous assistons à la crispation des trépieds, à une
indisponibilité des bottes, et au vieillissement prématuré des appareils.
les conflits d’autorité : les pouvoirs n’étant pas délégués, nous assistions
fréquemment à un climat professionnel instable et ingérable. En conséquence, le poids de la
difficulté à constituer une brigade, à orienter les stagiaires alourdissait l’atmosphère.
La planification des travaux : il s’agit principalement de la validation du
matériel avant une descente sur le terrain. En effet, l’on devrait contrôler la validité et la
présence effective des appareils avant leur embarcation ; chose rarement pratiquée.
I. SUR LE TERRAIN
En effet, nous avons fait montre de sagacité et de persévérance durant l’implantation des
Lotissements cités ci-dessous. Je m’explique. Dans l’impossibilité de respecter à lettre les
stations définies par le plan croquis (en annexe), nous avons à cet effet créé de nouvelles
stations. Et il s’en est suivi un nouveau carnet d’implantation dans l’avancement des travaux
(voir carnet d’implantation en annexe).
En outre, les chocs, les intempéries et autres phénomènes que subissent les appareils,
impactent sur la fiabilité des résultats de ces derniers. De ce fait, nous suggérons un
étalonnage de ceux-ci de manière périodique et systématique. En parallèle, les méthodes
d’amélioration de la précision dans les mesures telles le double retournement (manipulation
permettant d’améliorer la précision sur les observations angulaires. Celui-ci devrait très
souvent être utilisé dans les projets de grande envergure tel que le rattachement d’un
lotissement qui inclut les méthodes traditionnelles. Dans la même vision, nous sugges
II. AU BUREAU
Il est nécessaire qu’une tranche d’heure soit allouée à tout stagiaire désireux de mener des
recherches en vue d’approfondir ses connaissances. D’une part, cela limiterait
considérablement la consommation inutile des données mobiles et d’autre part il n’y aurait
point de réticence à exercer sur le terrain à cause de l’appétit farouche et grandissante à
télécharger tout ce qui ce présente.
En outre, il conviendrait que les pouvoirs soient délégués au sein du service technique.
Cela faciliterait non seulement la prise de décision, mais aussi la gestion des stagiaires. Quant
à la validation du matériel avant toute descente sur le terrain, nous suggérons qu’ne fiche de
contrôle soit établie au sein du service technique. Afin d’avoir une idée temporelle sur les
appareils et accessoires disponibles, ainsi que leurs états.
CONCLUSION GÉNÉRALE
Pour conclure, nous avons vu d’une part que l’opération permettant de définir les
coordonnées d’un projet au réseau géodésique de référence WGS 84 en mode statique rapide
donne un résultat plus précis (de l’ordre du millimètre), permet d’économiser en temps (car le
temps d’observation varie entre 0 et 20 minutes) et de limiter les dépenses. Il suffit de
disposer de quelques points connus (points d’appui) en WGS 84 dans la zone de travail ; qui
permettrons de calculer un ajustement des observations sur le réseau de points GPS et de
fournir les résultats définitifs des points levés dans la zone de travail après un post-traitement.
D’autre part, grâce à ce stage, j'ai acquis de nouvelles compétences (gestion de base des bases
de données à l’aide du logiciel MapInfo, travail en Job), une nouvelle façon de voir
l'entreprise. En outre, j'ai pu mettre en pratique une pléthore de méthodes de levers et
d’implantation planimétriques (la représentation numérique d’un terrain sous forme de plan,
les types de polygonation, les calculs topométriques sur le logiciel Covadis) que je ne
connaissais que sous l'angle théorique. De mon côté, j'ai apporté à l'entreprise une vision
dynamique, pleine d’enthousiasme.
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
DÉDICACE…………………………………………………………………………………….I
REMERCIEMENTS…………………………………………………………………………..II
RÉSUMÉ……………………………………………………………………………………..III
ABSTRACT………………………………………………………………………………….IV
LISTE DES TABLEAUX…………………………………………………………………….V
LISTE DES ABBRÉVITIONS………………………………………………………………VI
LISTE DES FIGURES………………………………………………………………………VII
AVANT-PROPOS………………………………………………………………………….VIII
INTRODUCTION GÉNÉRALE………………………………………....................................1
Ière PARTIE : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE ET DEROULEMENT DU STAGE..2
CHAPITRE I : PRÉSENTATION DE L’ENTREPRISE……………………………………...3
SECTION I : ENVIRONNEMENT INTERNE DE GLOSUS Sarl…………………………...3
I. HISTORIQUE………………………………………………………………….3
II. STRUCTURE ORGANISATIONNELLE……………………………………..3
e. Le comité de Gestion............................................................................3
f. La Direction Générale……………………………………………………...3
g. Le département technique………………………………………………….3
h. Le Département Administratif……………………………………………..4
III. ACTIVITÉS……………………………………………………………………4
IV. LES RESSOURCES…………………………………………………………...5
1. Les ressources qualitatives……………………………………………..5
a. les ressources humaines…………………………………………….5
b. Les ressources informationnelles…………………………………...5
c. Les ressources financières………………………………………….5
2. Les ressources matérielles ou quantitatives…………………………….5
V. SITUATION GÉOGRAPHIQUE……………………………………………………...5
SECTION II : ENVIRONNEMENT EXTERNE DE GLOSUS Sarl…………………………6
1. LES CLIENTS…………………………………………………………6
2. LES PARTENAIRES-FOURNISSEURS……………………………..6
3. LA CONCURRENCE……………………………………..…………..6
CHAPITRE II : DÉROULEMENT DU STAGE………………………………………………7
la validation du matériel…………………………………………………..23
Rédigé et présenté par NGOCK HEE Samuel Vivien Page 36
RATTANCHEMENT D’UN PROJET AU RESEAU GEODESIQUE DE REFERENCE WGS 84 : CAS D’UN LOTISSEMENT DE 16 ha 06 a 79 ca
La reconnaissance de terrain……………………………………………...24
Lever proprement dit……………………………………………………...24
Première étape…………………………………………………….25
Deuxième étape…………………………………………………...25
Traitement des données…………………………………………………...25
IIIème PARTIE : DIFFICULTES RENCONTRÉES ET SUGGESTIONS APPORTÉES….27
CHAPITRE I : LES APPORTS DU STAGES……………………………………………….28
I. LES APPORTS INTELLECTUELS ET PRATIQUES…………………….28
II. LES COMPETENCES ACQUISES ET DEVELOPPEES…………………..28