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Université de Guelma 08 mai 1945

Département de Génie Civil et Hydraulique

PROJET CALCUL ET
CONCEPTION
DES
COUPOLES EN
BETON ARME
Réalisé par : Master2 : Structure
MAIZI Salaheddine
AISSAOUI Walid
BOUDOUR Zeyd
BENSHIL Salim
LAOUASSA Salim
SOMMAIRE

I- DEFINITION ET CLASSIFICATION DES COUPOLES............................................03

I.1 Définition...........................................................................................................03

I.2 Classification.....................................................................................................04

II. METHODE DE CALCUL..............................................................................................07

II.1 Principe de calcul et fonctionnement................................................................07

II.2 Méthode de calcul des coques de révolution.....................................................07

II.3 Armatures et coffrage........................................................................................14

II.4 Exemple de calcul..............................................................................................16

III. FABRICATION...............................................................................................................18 
III.1 Coupoles à nervures..........................................................................................18
III.2 Coupole à panneaux..........................................................................................20
III.3 Coupole de grande portée.................................................................................21
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUE...............................................................................23 

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CALCUL ET CONCEPTION DES COUPOLES

I- DEFINITION ET CLASSIFICATION DES COUPOLES :

I.1 Définition :

On désigne par « coupole » tout système de couverture d'un espace circulaire ou proche de ce
plan, ayant un volume hémisphérique ou conique. Toutefois, l'aspect familier des dômes n'a
pu faire son apparition qu'avec l'invention des voûtes clavées, de la maçonnerie liée au
mortier et, enfin, de l'élaboration des charpentes [1].

Cependant une coupole est une construction complexe, elle nécessite des connaissances
techniques et géométriques approfondies lorsqu’on veut la construire sur un plan carré ou
rectangulaire.

Les premiers exemples de salles circulaires couvertes par une coupole font appel, comme
toutes les voûtes primitives, à la technique de l'encorbellement, procédé consistant à donner à
chaque assise une légère saillie par rapport à l'assise inférieure. Afin d'assurer l'équilibre, on
ne saurait donner trop d'importance à cette saillie, ce qui explique le grand encombrement en
hauteur des encorbellements. Les couvertures de ce type ont été en usage dans toutes les
parties du monde ignorant la voûte clavée, aussi les trouve-t-on dans l'architecture

 
 
 
 
 
 
 
 
 FigI.1 : Des coupoles en béton armé et charpente métallique 

Précolombienne comme dans celle de l'Inde ou dans les constructions de la protohistoire


européenne. Les réalisations les plus grandioses dues à cette technique sont sans conteste les

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tombes mycéniennes édifiées au XIVe siècle. Au tombeau dit d'Agamemnon ou Trésor
d'Atrée, on peut admirer une tholos couverte par une ogive d'un diamètre de base de 14,50 m
pour une hauteur de 13,20 m.

Si les Grecs et les Romains maîtrisaient parfaitement, dès le IIIe siècle, les arcs et les voûtes
clavées, il fallut attendre l'invention par les seconds de la maçonnerie.

I.2 CLASSIFICATION :

Les coupoles peuvent donc être élevées sur un plan circulaire, sur un plan hexagonal,
octogonal ou elliptique. Dans ces divers cas, la coupole conserve la forme hémisphérique en
rachetant la forme brisée du plan sur lequel elle repose au moyen de pendentifs. Ou bien elle
reproduit la forme même des constructions qui lui servent de base en présentant un certain
nombre de pans correspondants à celui de la figure géométrique de sa base.

Donc il était très difficile d’intégrer un ouvrage circulaire dans un édifice complexe à tracé
géométrique régulier (palais, basilique, mosquée ou temple). On peut classifier les coupoles
selon différents critères [2] :

 Selon la forme en plan :


- Sur plan circulaire (coupole de révolution).

- Sur plan elliptique (coupole elliptique).

- Sur plan polygonal (coupole polygonale).

FigI.2 : différentes formes de coupoles polygonales.

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 Selon la forme de méridienne :
Circulaire, elliptique, parabolique, en ogive, conique, forme d’égale résistance [3].

 FigI.3 : coupoles méridienne 

 Selon la disposition au sommet :


- Coupole fermée.

- Coupole ouverte (en anneau).

FigI.4 : disposition des coupoles

La coupoles ouverte peut supporter à son sommet une autre coupole.

 FigI.5 : coupole ouverte 

 Selon la conception des rives inférieures :


- Coupole flexible.

- Coupole à ceinture.

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FigI.6  : coupole flexible et à ceinture 

 Selon dispositions constructives :


- Coupole d’épaisseur constante.

- Coupole d’épaisseur variable.

- Coupole à nervures méridiennes.

- Coupole à nervures parallèles.

- Coupoles à nervures orthogonales.

FigI.7 : dispositions constructives

 Selon le mode de construction :


- Coupole coulée sur cintre.

- Coupole préfabriquée.

 Selon la montée de la coupole :


- Coupole surbaissée.

- Coupole en plein cintre.

- Coupole surhaussée.

«  FigI.8 : coupoles selon la montée  »

II. METHODE DE CALCUL :

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II.1 Principe du calcul et fonctionnement :

On considère une coque à base circulaire. Comme dans un planisphère terrestre, on découpe
la coque en méridiens et en cercles parallèles (appelés plus simplement parallèles). On isole
un élément de surface de coque (a,b,c,d), infiniment petit, délimité par 2 méridiens et par 2
parallèles très voisins (FigVI.1.a) On étudie l’équilibre de cet élément (par le calcul
différentiel), puis on étend le calcul par intégration à l’ensemble de la surface de la coque. On
détermine ainsi l’effort N φ (N phi) qui se développe dans un méridien et l’effort Nθ (N téta)
qui se développe dans un parallèle sous l’effet du poids propre de la coque (FigVI.1.b) [4].

FigII.1 : Efforts sollicitant la coupole et leurs directions selon la méridienne et la parallèle.

II.2 Méthode de calcul des coques de révolution :

Il faut distinguer les méthodes pratiques applicables seulement dans certains cas particuliers,
la méthode de la membrane et un calcul rigoureux tenant compte des flexions, dans ce projet
nous allons s’intéresser à la méthode de la membrane.

II.2.1 Pré-dimensionnement :

e≥ {10D ;8 cm }
D : diamètre de la coupole.

e : épaisseur de la coupole.

Nous avons selon Timoshenko pour une coque chargée symétriquement par rapport à l’axe :

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d ( N φ r0 )
( 1) −N θ r 1 cosφ +Y r 1 r 0=0 ( forces suivant direction Y )

( 2 ) N φ r 0 + N θ r 1 sinφ+ Z r 1 r 0=0 (force suivant direction Z)

Ces deux équations permettent le calcul des efforts N φ et N θ connaissant r 0 et r 1 et les


composantes Y et Z de la force extérieure.

On peut aussi présenter autrement le calcul en


considérant non plus un élément de coque, mais
toute la partie de celle-ci située au-dessus d’un
parallèle défini par l’angle φ (FigVI.3). Si on
appelle R la résultante totale de la charge affectant
cette partie de coque, on a :

( 3 ) 2 π r 0 N φ sin φ+ R=0 , Remaplaçant (1)

FigII.2

FigII.3

r0
En divisant (2) par r 0 r 1 on a : (r 2 = )
sinφ

Nφ Nθ
(4 ) + =−Z
r1 r2

a) Coque sphérique complète d’épaisseur constante : (voir Timoshenko)

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Soit p le poids propre par mètre carré de coupole. Si a est le rayon de la sphère :

r 1=r 2=a , a=r 0 sin φ

ϕ
R=2 π ∫ a psinϕdϕ=2 πa ² p (1−cosϕ)
2

Et les équations (3) et (4) donnent :

−ap
N ϕ=
1+ cosϕ

N θ=ap ( 1+cosϕ
1
−cosϕ )

Le signe (-) devant N ϕ indique une compression, les méridiens sont toujours comprimés :

Pour φ=0, au sommet, N ϕ = - ap/2

Pour φ=π /2 , couple plein cintre N ϕ = - ap

Par contre les efforts selon les parallèles ne sont des compressions qu’aux petits angles φ

−ap
Pour φ=0, sommet N θ=
2

N θ s’annule co s2 φ+ cosφ−1=0, c’est-à-dire pour φ=51° 50 '

π
Pour φ= , N θ=ap .
2

Au parallèle de tension nulle (φ=51° 50 ' ) :

N ϕ =−0,618 ap .

FigII.4

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Appelons H la composante horizontale de N ϕ :

H=2 π r 0 N ϕ cosϕ

Dans notre cas :

sinϕ .cosϕ
H=2 πa ² p
1+cosϕ

Par unité de longueur de pourtour :

' H H apcosϕ
H= = =
2 π r 0 2 πasinϕ 1+cosϕ

Si nous appelons f la flèche et r la demi-corde, nous avons :

2 2
r +f ² r −f ²
a= , cosϕ= 2
2 rf r +f ²

D’où :

4 4
(r −f )
'
H =p
4 fr ²

H est nulle aux sommets et aux retombées et maximale pour : ϕ =51° 50'

Précisément au parallèle de tension nulle, où il vaut :

H=1,88 a ² p

Neige

Soit que le poids de la neige constant par unité de surface horizontal :

2
R=π r 0 q ,

2
−π r 0 q −qa
N ϕ= =
2 π r 0 sinϕ 2

La compression N ϕ est constante tout le long du méridien

−qa
N θ= cos 2 ϕ
2

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−aq
Pour φ=0 : N ϕ =N θ=
2

−aq aq
Pour φ=90 ° : N ϕ = , Nθ=
2 2

N θ s’annule pour cos 2 ϕ=0 , soit ϕ=45 °:

2
H=2 π r 0 N ϕ cosϕ=−π a qsinϕcosϕ

' H H aqcosϕ
H= = =
2 π r 0 2 πasinϕ 2

Si nous appelons f la flèche et r la demi-corde, nous avons :

2 2
r +f ² r −f ²
a= , cosϕ= 2
2f r +f ²

H’ peut donc d’écrire :

2 2
' (r −f )
H =q
4f

b) Coque sphérique incomplète d’épaisseur constante : (voir Timoshenko)

ϕ
R=2 π ∫ a p sinϕ dϕ +2 πPa sin ϕ 0 .
2

ϕ0

Des équations (3) et (4), on tire :

cos ϕ0 −cosϕ sin ϕ0


N ϕ =−ap 2
−P 2
sin ϕ sin ϕ

N θ=ap
( cos ϕ0 −cosϕ
sin 2
ϕ
−cosϕ + P
) sin ϕ 0
sin 2ϕ

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FigII.5

c) Coque conique :

Pour charge P au sommet agissant suivant l’axe :

P
Nϕ= , N =0
2 π r 0 cosα θ

Pour une charge S agissant suivant une génératrice :

S cos ψ
N ϕ=
α ¿¿

d) Coupoles ogivale :

r1 = a,

r 2=
r
sinϕ (
=a 1−
sin ϕ 0
sinϕ )
(r ¿¿ 2 :rayon de la courbure transversale)¿

Le poids p par mètre carré à deux


composantes :

p . sinϕ et ,−P . cosϕ

( cos ϕ 0−cosϕ )−( ϕ−ϕ 0 ) sin ϕ 0


N ϕ =− pa .
(sinϕ−sin ϕ 0)

−− pa
N θ= 2
si n ϕ
[ ( ϕ−ϕ0 ) sin ϕ 0−( cos ϕ 0−cosϕ ) + ( sinϕ−sin ϕ0 ) sinϕ cosϕ ] .

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II.2.2 Tableau-guide pour la construction des coupoles ogivale :

Ce tableau nous permet de calculer directement les valeurs des efforts N ϕ et N θ sans pour
autant se rendre aux équations (3) et (4).

Les constructions sont classées en fonction de leur élancement h/d.

Les constructions dont le diamètre de base d est supérieur au diamètre dmini (dernière colonne)
sont auto-stables [].

h = hauteur intérieure (au sommet) ; d = diamètre intérieur de la base.

p = poids moyen unitaire de la coupole (en t/m2) ; R = rayon de la génératrice de la paroi


intérieure (rayon de courbure)

X = distance du centre du rayon R à l'axe de la coupole.

N ϕ = effort dans un méridien.

N θ = effort dans un parallèle

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II.3 Armatures et coffrage :

II.3.1 Armatures de la coupole :

Jusqu'à 8 / 9 cm d’épaisseur, on place généralement un réseau unique d’armature à mi-


épaisseur :∅ 5 a 6 ou mieux treillis. Au-delà, il est préférable de disposer de deux nappes . Le
pourcentage minimale d’armature est de 0.25 à 0.35 % , l’espacement entre deux barres
parallèles ne dépassant pas 20 cm ou trois fois l’épaisseur , pour les barres méridiennes qui
sont rayonnantes, il faut les interrompre, une sur deux, en plusieurs endroits (Fig).

FigII.6

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II.3.2 Construction coffrage :

Il est important d’insister sur l’importance de la forme précise du coffrage qui doit respecter
au mieux les cotes théorique : un écart, même minime produit un excentrement des efforts
amenant des flexions, donc des tractions et pouvant être à l’ origine d’un voilement prématuré

Admettons une erreur de 15 mm sur la cote d’altitude d’un point du coffrage, une épaisseur de
6 mm et un N de 5000 daN .m

Moment secondaire : 5000 X 0,015 = 75 daN .m

Contrainte correspondante :

' 6 ×7500
σb e = 2
100 ×6

Si N est une traction σb e ' peut s’ajouter, selon le sens de l’erreur de coffrage a la contrainte
de traction due a N :

' 6 ×7500
σb e = 2
+12.5=20.8 bars
100 ×6

C’est la une contrainte élevée pour les coupoles aplaties, un seul coffrage inférieure est
utile .mais si le surbaissement est important, il faut prévoir un contre –coffrage vers les
retombées .un contre –coffrage est nécessaire lorsque le plan tangent fait avec le plan
horizontale un angle supérieure a 35 ou 45°

II.4 Exemple de calcul :

Calcul d’une coupole sphérique a lanterneau de 6 cm d’épaisseur.

Poids :

Béton : 0.06 x 2500………………………………………….. 150 dan/m2

Etanchéité, isolation………………………………………..... 40 dan/m2

Neige ………………………………………………………….80 dan/m2

P = 270 dan/m2

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Surcharge du lanterneau : p = 800 dan/m.

Rayon de courbure : a = 25.

φ 0 = 6°,90, cos φ 0 = 0.993, sin φ 0 = 0.120.

Au bord inférieur :

φ = 31°, 35, cos φ = 0.851, sin φ = 0.518.

0.993−0.851 800 x 0.120


Nφ = - 25.00 x 270 2
− 2
0.518 0.518

= - 3600 – 360 = - 3960 daN/m ;

Nθ = 25.00 x 270 (
0.993−0.851 800 x 0.120
2
−0.851¿+ 2
0.518 0.518

= - 2160 + 360 = - 1800 daN/m.

Au bord supérieur :

φ = 6°, 90, cos φ = 0.993, sin φ = 0.120 ;

800
Nφ = - = - 6680 daN/m,
0.120

800
Nθ = - 25.00 x 270 x 0.993 + = - 6710 + 6680
0.120

= - 30 daN/m.

Tous les efforts sont des compressions ; contrainte maximale ;

6680
σ b’ = = 11.2 bars.
6 x 100

Armature treillis soudé au milieu de l’épaisseur.

Composante horizontal de l’effort de compression aux retombées ;

H = 3960 x 0.851 = 3380 daN/m.

Traction dans la ceinture :

20.00
T = 3380 x = 33800 daN.
2
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Armatures :

33800
A = 1600 = 21.1 cm2, 8 ϕ 20 = 25 cm2.

Pour information uniquement :

Section conforme à la figure

Section approximative du béton de la ceinture :

6+12
35 x 35 + x 50 = 1675 cm2.
2

Traction effective du béton :

33800
σb= = 16.5 bars.
1675+15 x 25

III. FABRICATION :

On a songé aussi à pré fabriquer les coupoles

Il existe dans cette voie deux possibilités :

III.1 Coupoles à nervures :

On préfabrique alors des nervures méridiennes et des nervures parallèles elles sont
assemblées sur place sur un échafaudage comportant des étais périphériques et des étais
centraux. Les nervures méridiennes se fixe au sommet sur place .le remplissage entre les
deux cours de nervures orthogonales peut se faire soit par dal lettes préfabriquées, soit par
dalle bétonnée sur place, soit par tout autre moyen classique de couverture.

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Deux modes de calcul sont possibles :

-- soit en coupole vraie, les efforts étant concentrés dans les nervures ; il faut alors prendre
garde aux transmissions d’effort d’un tronçon à l’autre et prévoir les dispositifs nécessaire
notamment s’il s’agit de, traction ;

--soit en arcs méridiens indépendant et en poutres courbes parallèles ce qui est plus onéreux,
mais simplifie beaucoup les assemblages

Le figure ci-dessous donne les dessins de la grande coupole de Belgrade de 94 m de


diamètre, avec sa ceinture creuse et ses 8 appuis triangulaire inclinés

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III.2 Coupole à panneaux :

Ces panneaux en dalle nervurées peuvent être de formes diverses en plan : - en trapèze, soit
complets soit partiels

-en triangle et en hexagones

La figure ci-dessous donne les dessins d’une coupole construire en U.R.S.S sur panneaux
trapézoïdaux (Cotes en mm)

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III.3 Coupole de grande portée :

Dans les coupoles de grandes portées, les déformations horizontales dues au retrait st aux
variations de température peuvent être importantes. Il y a intérêt à prévoir des ceintures
dilatables, car dans le cas contraire, si la dilatation est gênée, il en résulte des efforts
horizontaux importants pouvant désorganiser ceinture sur ses appuis par le moyen d’appareils
de dilatation. On utilise alors soit des rouleaux d’acier permettant le roulement, soit des
plaques plastiques néoprènes par exemple :

Il arrive que ces coupoles de grandes portée descendent presque jusqu’au sol par
l’intermédiaire de supports ajourés pouvant avoir différents aspects :

Partie restantes de la base de coque découpée en forme d’arc

Biquilles en V inclinées

Biquiles en Y inclinées

La stabilité de ces supports est obtenue soit par des culées


massives entrées, soit par une ceiture basse polygonale tendue

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III.3.1 Calotte :

On appelle calottes des coupoles tronquées par des plans verticaux, elles comportent donc une
coque à double courbure et des arcs de rives aboutissant à des appuis disposées sur un plan
polygonal, généralement rectangulaire et le plus souvent carré

La solution approchée de Csonka est basée sur les hypothèses ci-dessous :

1) L’état de tension est un état de membrane ;

2) Les arcs en tympans de rive ne résistent qu’à des efforts situés dans leur plan (plan
vertical)

3) Les différences de déformations existant à la jonction de la calotte et des arcs de rives


sont négligées

4) Les charges sont répartie et symétriques par rapport aux axes du rectangle de base

5) La surface de la calotte est symétrique par rapport aux plans verticaux passant par ces
axes

La figure ci-dessous précise le système de coordonnées, l’équation de la surface étant

z=f (x , y )

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REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUE :

[1] : https://www.universalis.fr/encyclopedie/coupole/

[2] : Atef MEGUELLATI, Modélisation paramétrique Coupoles d’Orient & d’Occident.

[3] : Tome GUERRIN, Traité de béton armé TOME 7, P 383.

[4] : André TIRET Stabilité des coupoles en pierres sèches édifiées sans cintre, P 35, 36.

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