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Introduction 

:
La musique et le film ont toujours été de bons associés. A l’origine, en parlant des films muets, la
musique était une composante indissociable de la production filmique encore en vogue. A l’époque,
les réalisateurs et producteurs utilisaient la musique principalement pour nourrir et agrémenter
l’histoire du film avec un joli morceau joué avec un instrument musical comme (le piano, violent…).
En fait, la musique a des fonctions importantes. On peut pratiquement dire qu’elle a un rôle à jouer
dans le succès ou l’échec d’un film. Donc quel est son effet et son rôle? Et en donnant l’exemple du
cinéma italien, quel est le genre musical dominant dans ce cinéma ? Et quels sont les compositeurs
les plus célèbres en parlant de ce pays ?

Importance de la musique dans le cinéma:


On peut pratiquement dire qu’elle a un rôle à jouer dans le succès ou l’échec d’un film. En effet, le
cinéma essaie de capter désormais le maximum de nos sens et l'ouïe a pris une dimension
considérable dans ce domaine. On ne peut pas imaginer aujourd'hui un film sans sa bande originale,
qui sort de plus en plus en CD. Il est évident donc de dire que son choix relève d’une tâche délicate.
On comprend alors pourquoi certains réalisateurs ont préféré jouer des duos gagnants avec leurs
compositeurs préférés. On en citera quelques-uns mais les exemples sont nombreux et
généralement, le succès est au rendez-vous.

Les films de la comédie musicale italienne :


Les Italiens, qui sont sans doute les inventeurs, au xviiie siècle, du terme commedia musicale dont le
genre au théâtre, est à la fois ancien et bien vivant en Italie, sont quasiment absents de la comédie
musicale filmée. Le seul titre que l'on peut inscrire dans ce genre, que les Italiens désignent d'ailleurs
par le terme anglais musical, est Le Carrousel fantastique d'Ettore Giannini, en 1954, avec Sophia
Loren.

Les Inoubliables musiques du Cinéma Italien :


Il était une fois dans l’Ouest, Le Parrain, Cinéma Paradiso : autant de films italiens cultes sublimés par
des bandes originales tout au moins aussi cultes.

Voici les bandes originales de films que vous aurez l’occasion d’entendre :

– Le Pigeon (I soliti ignoti) de Mario Monicelli – musique de Piero Umiliani & Chet Baker

– Les hommes, quels mufles ! (Gli uomini, che mascalzoni!) de Mario Camerini et Vittorio De Sica –
musique de A. Bixio

– La Strada de Federico Fellini – musique de Nino Rota

– Il était une fois dans l’Ouest (C’era una volta il West) de Sergio Leone – musique de E. Morricone

Compositeur italien de la musique filmique:


Deux compositeurs de musique de film italien morts et connus comme par exemple : Ennio
Morricone, Alessandro Alessandroni... Ces personnalités (de sexe masculin) peuvent avoir des liens
variés dans les domaines de l'art, du cinéma, de la musique, de la musique classique ou de la
musique de film. Ces célébrités peuvent également avoir été arrangeur musical, artiste, chef
d'orchestre, compositeur, compositeur de musique classique, homme d'affaire, producteur ou
producteur de musique.

Biographie de ces deux compositeurs génies :


Ennio Morricone : Compositeur italien de musique de films, l'un des plus célèbre et prolifique
compositeur, il aura signé la bande sonore de plus de 500 longs-métrages au cours d’une carrière de
59 ans. Ses épopées chevaleresques pour Sergio Leone et ses mélodies angoissantes pour Dario
Argento et Mario Bava, entre autres, auront joué un grand rôle dans la popularisation des « western-
spaghetti » et du giallo. Il est connu pour ses musiques des films : « Le Bon, la Brute et le Truand »
(1966, western, de Sergio Leone), « Il était une fois dans l'Ouest » (1968, western, de Sergio Leone), «
Pour une poignée de dollars » (1964, western, de Sergio Leone) ou « Il était une fois en Amérique »
(1984, drame, de Sergio Leone). Il remporta 2 Oscars, 2 Grammy Awards, 3 Golden Globes Awards, 6
British Academy Film Awards et 11 Nastro d'argento.

Alessandro Alessandroni: Compositeur italien de musiques de film, connu pour avoir participé à la
composition de musiques de western spaghettis (notamment de Sergio Leone) : « Pour une poignée
de dollars, « Et pour quelques dollars de plus », « Le Bon, la Brute et le Truand », « Il était une fois
dans l'Ouest »

Conclusion :
Au cinéma, la musique accède directement à l'imaginaire du spectateur. Le divertissement que le
cinéma fournit permet au spectateur de douter de ce qu'il voit. Il sait pertinemment que ce qui se
passe à l'écran est imaginaire. Mais s'il peut douter de la réalité du récit, il ne peut douter de
l'émotion qu'il ressent.

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