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Résumé
Cette étude a pour ambition de tester empiriquement la théorie d’arbitrage sur la bourse de
Casablanca, en utilisant cinq variables macroéconomiques, notamment le taux de change
(EXRT), la valeur ajoutée de la production industrielle (INDQ), l’offre de Monnaie (MS), et le
prix de pétrole Brent (OIL). Plus précisément, cette étude essai d’apporter une réponse à la
problématique suivante : Est-ce que les variables macroéconomiques le taux de change
(EXRT), la valeur ajoutée de la production industrielle (INDQ), l’offre de Monnaie (MS), et le
prix de pétrole Brent (OIL) impactent les rendements des actions sur la bourse de Casablanca ?
La réponse à cette question de recherche serait d’une grande utilité pour le jugement des
investissements en actions dans le contexte du marché marocain des actions.
Mots clés : théorie d’arbitrage, variables macroéconomiques, marché des actions
Abstract
This study aims to test empirically the arbitrage pricing theory on Casablanca stock market,
using five macroeconomic variables, in particular exchange rate, value added of industrial
production, money supply, and oil Brent price. More precisely, this study tries to bring an
answer to the following research question: are the macroeconomic variables exchange rate,
value added of industrial production, money supply, and oil Brent price impacted the yields of
stocks on Casablanca stock market? The answer to this question would be of great utility for
the judgements of investments on stocks in the context of the Moroccan stock market.
Keywords: Arbitrage pricing theory, macroeconomic variables, stock markets
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Introduction
La théorie d’arbitrage est un modèle financier qui est devenu très pertinent dans l’évaluation
des rendements des actions en bourse. Cette théorie postule que l’espérance d’un rendement
d’un actif financier peut être modélisé comme une fonction linéaire de plusieurs facteurs
macroéconomiques, et que la sensibilité de chaque facteur est représentée par un coefficient
bêta spécifique.
La théorie d’arbitrage est initiée par l’économiste américain de renom, Ross (1976) pour
répondre aux problèmes et faiblesses trouvées dans les aspects théoriques et empiriques du
modèle d’évaluation des actifs financiers (MEDAF), surtout que ce dernier postule que
l’espérance d’un rendement d’un actif financier est uniquement fonction d’un seul facteur
(l’indice représentant le marché), alors que plusieurs facteurs tels que le produits national brut,
le taux d’inflation, le taux de change, les prix de pétrole, le taux de la taxe, etc. Peuvent aussi
influencer l’espérance du rendement d’un actif financier.
Plusieurs tests empiriques de la théorie d’arbitrage ont été menés par plusieurs économistes
financiers dans les marchés financiers des pays développées. On peut citer par exemple,
Antoniou et al. (1998) qui ont appliqué ce test sur le marché de Londres, Dhankar et Esq (2005)
l’ont testé aussi sur le marché indien, Berry et al. (1998) l’ont appliqué sur le Standard and
Poors 500, et Chen et al. (1986) l’ont testé sur la bourse de New York, Azeez et Yonezawa
(2003) l’ont appliqué sur la bourse japonaise et Anatolyev (2005) l’a testé sur la bourse russe.
Cependant presque aucune étude n’a été mené précédemment portant sur le test d’arbitrage sur
le marché des actions marocain. Dans ce contexte, cette étude a pour ambition de tester
empiriquement la théorie d’arbitrage sur la bourse de Casablanca, en utilisant quatre variables
macroéconomiques, notamment le taux de change (EXRT), la valeur ajoutée de la production
industrielle (INDQ), l’offre de Monnaie (MS), et le prix de pétrole Brent (OIL). Plus
précisément, cette étude essai d’apporter une réponse à la problématique suivante : Est-ce que
les variables macroéconomiques le taux de change (EXRT), la valeur ajoutée de la production
industrielle (INDQ), l’offre de Monnaie (MS), et le prix de pétrole Brent (OIL) impacte les
rendements des actions sur la bourse de Casablanca ? La réponse à cette question de recherche
serait d’une grande utilité pour le jugement des investissements en actions dans le contexte du
marché marocain des actions.
Ce papier est structuré comme suit, la première section contient l’introduction, la deuxième
section traite d’un bref aperçu de la théorie d’arbitrage et d’une revue de littérature de cette
théorie, la troisième section traite de la méthodologie de l’étude, la quatrième section se focalise
sur l’analyse empirique et les résultats attendus, et la cinquième section contient la conclusion.
Dans la littérature de la finance, la théorie d’arbitrage postule qu’il y a une relation linéaire
causale entre le rendement des actions en bourse et certains facteurs spécifique. Autrement dit,
elle met en relation l’espérance du taux de rendement des titres avec des facteurs de sensibilité,
en suggestant que le facteur est d’une grande importance dans l’évaluation des actifs financiers
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(Gilles et Leroy, 1990). A l’équilibre, d’après la théorie d’arbitrage, l’espérance d’un rendement
d’un titre E(Ri) est donnée par la relation suivante :
Où ;
E(Ri) = taux de rendement espéré du titre i
βi1 = sensibilité du titre au facteur économique 1
βi2 = sensibilité du titre au facteur économique 2
F1= Espérance du facteur 1
Fn = Espérance du facteur n
Β= Coefficient bêta
RFR = taux de rendement sans risque (Olowe, 2008 : 233-234)
La théorie d’arbitrage est sujette aux hypothèses suivantes : (i) les investisseurs préfèrent plus
de rendement, (ii) les investisseurs sont averses au risque, (iii) les investisseurs ont des
espérances du risque homogènes, (iv) l’absence des coûts de transactions et des taxes sur le
marché de capitaux.
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la méthodologie statistique existante apporte des résultats ambigus dans le cas de la bourse de
Londres.
Plus récemment, Cagnetti (2010) dans son étude empirique de la bourse d’Italie de Janvier 1990
à Juin 2001 en utilisant l’analyse factorielle a montré que 40 % de la taille d’un échantillon de
30 actions avec l’indice du marché Mitbel, sont normalement distribués et la relation entre le β
et le rendement sur la bourse d’Italie durant la période étudiée est faible et le modèle
d’évaluation des actifs financiers (MEDAF) a un faible pouvoir explicatif.
La théorie d’arbitrage d’autre part, qui permet de prendre en compte multiples sources de
risques systématiques, performe mieux que le MEDAF, dans tous les tests considérés. Les
actions et les portefeuilles sur la bourse d’Italie semble être significativement influencés par un
nombre de facteurs systématiques et leurs comportements peuvent uniquement être elfiques par
divers facteurs et variables macroéconomiques.
Connor et Korajezyk (1992) en citant Roll et Ross (1980) affirme quand ils ont estimé les
facteurs de primes de risques et les restrictions de la théorie d’arbitrage avec un échantillon de
rendements journaliers de 1260 firmes sur une période sui s’étale entre Juillet 1962 et Décembre
1972, en divisant l’échantillon en coupe instantanés en 42 groupes de 30 firmes chacun et en
analysant chaque groupe par une régression en coupe instantanée mettant en liaison les
rendements excédentaire et les bêtas, les résultats ont montrés que quatre facteurs ont eu des
primes de risque significatifs.
Lehman et Modest (1988) ont utilisé des tests basés sur les séries temporelles des restrictions
de la théorie d’arbitrage. Ils ont divisé la période allant de 1963 à 1982 en quatre sous périodes
de cinq ans. L’échantillon est formé des données firmes échangés sur NYSE et AMEX hormis
les valeurs ayant des données manquantes. Plusieurs autres ajustements et au terme de l’analyse,
ils ont conclu que même si la théorie d’arbitrage est rejetée sur la base des régressions
effectuées, son habilité apparente à expliquer les rendements et les effets de variance qui sont
inexpliquée par le MEDAF, rend la théorie d’arbitrage une bonne alternative au MEDAF.
Huberman et Kandel (1987), Fama et French (1993) ont trouvé que le modèle multi facteur
reste nettement meilleur pour expliquer le rendement des actifs que le modèle unificateur.
McElroy et Burmeister (1988) ont postulé les variables macroéconomiques comme des facteurs
observables et ils ont utilisé des régressions sur des séries temporelles non linéaires pour estimer
les paramètres du modèle multifacteur en utilisant les rendements mensuels de 70 actions sur
une période allant de Janvier 1972 à Décembre 1982 et cinq facteurs spécifiques similaires aux
facteurs utilisés par Chen Roll, et Ross (1986). Ils ont conclu que le modèle multifacteur est un
bon cadre empirique pour lier les variables macroéconomiques à l’espérance des rendements
des actifs, (Connor et Korajezyk (1992)).
Burmeister et Wall (1986), Berry (1988), Connor et Uhlanner (1988), Ferson et Harvey (1991),
Wei, Lee, et Chen (1991), et Gragg et Donald (1992), ont tous eu des résultats similaires à ceux
trouvés par Chan, Chen, et Hsieh, (1985).
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3 . MÉTHODOLOGIE
Deux méthodes sont utilisées dans les analyses établis dans cette étude. L’analyse factorielle
est utilisée pour identifier les facteurs sous-jacents. Cette méthode est utilisée dans plusieurs
études sur la théorie d’arbitrage comme celle de Cagnetti (2010) et Paavola (2006). En général,
l’analyse factorielle est utilisée dans la réduction des données pour identifier un petit nombre
de facteurs qui explique plus la variance observée dans un groupe plus élargi de variables. Cette
méthode est utilisée pour examiner les variables utilisées dans l’analyse subséquente.
Six variables sont sélectionnées pour l’analyse factorielle : le prix de pétrole Brent (OIL),
l’offre de Monnaie (MS), L’indice des prix à la consommation (IPC), le taux de change
(EXRT), le taux d’intérêt (TINT) et la valeur ajoutée de la production industrielle (INDQ). Les
principaux facteurs qui aident à expliquer le comportement des rendements à la bourse de
Casablanca sont élucidés en utilisant cette méthodologie.
Où :
R : l’indice de tous les actions en bourse (utilisé comme variable proxy des prix des actions)
OIL : les prix du pétrole
MS : l’offre de monnaie
IPC : Indice des prix à la consommation
EXRT : le taux de change du dollar en dirhams marocain
TINT : le taux d’intérêt
INDQ : la valeur ajoutée de la production nationale
Le taux de rendement est calculé comme suit :
MASI t − MASI t −1
R= .100 (1)
MASI t −1
L’analyse empirique de cette étude est basée sur l’estimation du modèle autorégressifs à retard
échelonnées ou distribués ARDL qui la particularité de prendre en compte la dynamique
temporelle (délai d’ajustement, anticipations, etc.) dans l’explication d’une variable (série
chronologique)
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Avec :
Rt : Rendement du Masi
: Opérateur de différence première
a0 : Constante
a1 ….. a7 : Effets à court terme
b1 ….. b7 : Dynamique du long terme du modèle
Le terme est indépendant et identiquement distribuées : terme d’erreur (bruit blanc)
Dans l’éventualité d’une présence d’une cointégration entre les variables, d’après la procédure
de persan et al. (2001), on va modéliser le rendement via le modèle a correction d’erreur
vectoriel –VCEM qui aura la forme suivante dans le cadre de notre étude :
p q q q q q
Rt = a0 + a1i Rt −i + a2i OILt −i + a3i MSt −i + a4i IPCt −i + a5i EXRTt −i + a6i TINTt −i
i =1 i =0 i =0 i =0 i =0 i =0
q
+ a7 i INDQt −i + ECM t −1 + t (7)
i =0
Le taux de change EXRT devrait avoir un effet négatif sur les prix des actions puisque c’est les
coûts des fonds nécessaires pour les acquérir. Les fonds deviennent rares avec la dépréciation
du taux de change, ceci contribue à l’augmentation des prix y compris les prix des actions.
Toutes les autres variables devraient avoir un effet positif sur les prix des actions puisque des
mouvements positifs sur eux à tendance à promouvoir l’activité économique et la participation
des investisseurs à la bourse.
Des données trimestrielles couvrant la période de 2007 à 2017 sont utilisées pour l’analyse.
4. ANALYSE DESCRIPTIVE
Le tableau 1 présente les statistiques descriptives pour les données trimestriels couvrant la
période allant de 2007 à 2017. Le tableau montre que tous les variables ont une moyenne
positive, les variables les plus dispersées sont MS, INDQ et OIl et les variables les moins
dispersées autour de la moyenne sont IPC, TINT, R et EXRT. Les variables IPC, TINT et MS
ont un coefficient d’asymétrie (skewness) inférieur à 0 donc la distribution de ces variables sont
étalées à gauche, quant aux variables R, OIl et INDQ, ils ont un coefficient d’asymétrie
supérieur à 0, donc leurs distributions sont étalées à droite.
Toutes les variables ont un coefficient d’aplatissement (kurtosis) inférieur à 3 donc leurs
distributions sont platykurtiques
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L'analyse factorielle est une méthode statistique multivariée qui utilise des variables moins
complètes pour décrire une grande quantité de variables observées. La plupart de ces variables
globales ne peuvent pas être observées directement. Parce qu'il y a habituellement une relation
de corrélation entre les variables observées, il est nécessaire de faire une analyse de corrélation
visant les variables originales avant l'analyse factorielle.
La matrice de corrélation montre qu’il y a une faible liaison statistique entre la variable
rendement de l’indice MASI et les autres variables macroéconomiques. Nous observons qu’il
a une forte corrélation entre la variable INDQ et la variable MS et entre L’INDQ et l’IPC.
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6. ANALYSE EMPIRIQUE
D’après Gordon (1995), la plupart des séries temporelles économiques sont non stationnaires
et atteignent la stationnarité en différences premières ou un ordre supérieur. Le test de Dickey
et Fuller augmenté (ADF) est utilisé pour détecter s’il y des racines unitaires dans les différentes
séries des variables. Les résultats sont présentés en niveau et en différences premières dans le
tableau 25 ci-dessous.
Les séries sont ainsi intégrées à des ordres différents, ce qui rend inefficace le test de
cointégration de Johannsen, et rend opportun le test de cointégration aux bornes (Pesaran,
2001). D’autre part nous avons trouvé que la série INDQ est intégré d’ordre 2, ce qui nous
oblige de l’éliminer de notre étude, vu que le modèle ARDL n’est pas applicable pour des
variables intégrées d’ordre 1 .
On va passer par le critère (AIC) pour sélectionner le modèle ARDL optimal. Ci-dessous les
résultats d’estimation du modèle ARDL optimal choisi. Selon la critère L’AIC le modèle choisi
est ARDL (3,2,4,3,2,4).
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Comme on peut le voir, ARDL (3,2,4,3,2,4) est le plus optimal parmi les 19 autres présentés
car, il offre la plus petite valeur de l’AIC.
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Au regard des tests qui aident à diagnostiquer le modèle ARDL estimé, l’on note l’absence
d’autocorrélation des erreurs, il n’y a pas d’hétéroscédasticité, il y a normalité des erreurs et le
modèle est bien spécifié.
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L’hypothèse nulle est acceptée pour ces tests. Notre modèle est ainsi validé sur le plan
statistique. Le modèle ARDL (3,2,4,3,2,4) estimé est globalement bon et explique à 80 % la
dynamique de MASI de 2007 à 2017.
dmax=1 et k=1
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Le schéma suivant résume les liens de causalité trouvés entre les variables :
IPC R MS
OIL TAUINT
EXRT
T
Les ordres d’intégration des séries étudiés sont différents d’où l’impossibilité d’application des
tests de cointégration de Engel et Granger (1987), celui de Stock et Watson (1988), ceux de
Johannsen (1988,1991) tandis que le test de cointégration de Pesaran et al. (2001) reste optimum
pour notre cas , ce test nécessite que le modèle ARDL soit estimé au préalable.
D’après le test de cointégration aux bornes, il existe bien une relation de cointégration entre les
séries puisque la valeur de la statistique de Fisher calculée est supérieure à la borne supérieure
ce qui donne la possibilité d’estimer les effets de long terme, des différents variables
macroéconomiques exogènes sur le rendement de l’indice MASI. L’existence de la
cointégration entre les variables nécessite la modélisation du Masi par le modèle à correction
d’erreur vectoriel –VCEM
La représentation VECM du modèle estimé de dynamique court terme s’écrit comme suit :
q q q q q q
Rt = a 0 + a1i Rt −i + a 2i OILt −i + a3i MS t −i + a 4i IPC t −i + a5i EXRTt −i + a 6i TINT t −i
i =1 i =0 i =0 i =0 i =0 i =0
+ ECM t −1 + t
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D( R) = −0.94R(−1) + 0.001601OIL (−1) − 9.38E − 07MS (−1) + 0.031IPC (−1) + 0.119EXRT (−1) + 0.25TAUNINT (−1) − 5.46
− 0.123980.D( R(−1)) − 0.000371.D(OIL (−1)) − 3.10E - 06.D( MS (−1)) - 0.001530.D( IPC (−1)) + 0.021319.D( EXRT (−1))
+ (0.171074).D(TAUINT (−1)) + 0.024257
Selon le tableau 32, Le coefficient d’ajustement (force d’appel) est négatif − 0.949810 et
− 4.104389 1.96
significatif car cela répond à l’une des caractéristiques des modèles VCEM.
Le coefficient relatif au taux d’intérêt est significatif ainsi que les autres coefficients ne sont
pas significatifs (leurs P-value inférieur à 5% )
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Conclusion
En guise de conclusion, Les marchés financiers africains sont très souvent caractérisés par leurs
inefficiences et sont inadéquats pour l’application de certaines thééries financières (Appiah-
Kusi et Mentah, 2003 ; Mlambo et Biekpe, 2007). Cette étude a pour objet d’examiner la
pertinence de la théorie d’arbitrage dans le contexte du marché boursier marocain, en utilisant
six variables macroéconomiques comme déterminants des rendements des actions et leurs
impacts sur l’évaluation des actifs financiers en l’occurrence les actions au Maroc. Pour mieux
présenter une relation holistique dynamique, le modèle VCEM a été adoptée dans cette analyse.
Réferences bibliographiques
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