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Plan de travail

Approche théorique : Etude


comparative :
Introduction
Présentation des exemples
Historique
Générateur primaire
Problématique Plan de
situation
Définition Plan de
masse
Classification des musées Volumétrie
Le Rôle des musées Forme
Les parcours muséaux Façade
Champ d’intervention Eclairage
Matériaux
Parcours muséaux

L’étude fonctionnelle :
Les différents espaces du musée
Les organigrammes
L’étude du Guggenheim
Présentation du musée Guggenheim
Intérieur
La collection R Solomon
Guggenheim Organigrammes
L’historique du musée Guggenheim
Eclairage
L’inspiration Les
caractéristiques du musée
L’implantation Les
principes de F Ll Wright
Forme
Volumétrie
Façade
Structure
Matériaux

L’approch
e
théorique
L'architecture étant notre domaine, et en choisissant comme thème la culture et comme
projet un musée, nous avons réuni ces trois réflexions.
Introduction
Cet équipement est en effet une clef de connaissances du passé, un miroir qui
reflète l’identité culturelle et historique d’un peuple. On peut le considérer donc, comme
étant une pierre précieuse appartenant à un certain peuple, visible et ouverte aux
.différentes nations

Sans rentrer dans le débat autour de la définition ou encore de l’utilité


socioculturelle dévolue au Musée, il s’agit tout d’abord de cerner certains préalables
techniques, « apparentés » à l’architecture, liés notamment à des données objective, tel que
rôle et intérêt du lieu, structure physique et fonctionnalité de cet espace renfermant objets
et autres vestiges, partie intégrante de la mémoire d’une communauté, d’un peuple, dune
nation.
A travers l’histoire, le musée a connu plusieurs mutations dans son objectif, son aspect formel et même fonctionnel. Les
historiens remontent à la naissance des musées à l’âge paléolithique, au moment où le trésor chez l’homme était le fruit de son
travail.
Les Egyptiens, qui ont gardé la croyance de la vie dans l’au-delà, ont formé de véritables musées funéraires par d’immenses
dépôts d’objets dans les tombes; ensuite, à l’époque hellénistique, les grecs réunissaient leurs chefs-d'œuvre de sculpture et de
peinture dans des temples, alors que les romains rassemblaient Historique les trésors des temples et des collections dans les thermes,
constituant des musées publics.
L’Italie de la renaissance, a créé la notion moderne de musée où les objets exposés prennent une valeur artistique et
humaine. Cependant, le sens actuel du musée apparaît dans la seconde moitié du XVe siècle par la collection de la famille
MEDECIS. L’origine de la création du musée était un besoin de conservation.
Par ailleurs c’est la
la place dudeuxième
musée dans moitié
la villedua XVIIe
toujourssiècle
était qui voit l’ouverture des premiers grands musées d’art européens :
importante.
l'évolution du
Musée Proclamation dumusée a connu
Vatican plusieurs étapes, de la tombe au temple, pour ensuite devenir un lieu public.
en 1763.
de nos jours
British Muséum il occupe une très grande importance urbaine habituellement réservé à l’hôtel de ville ou au temples.
en 1759.
Le Musée du Louvre comme musée d’art en 1793 et comme musée central des arts en 1797.
Au 19 éme siècle , on construit les musées sur le modèle «  classique » de l’Alètes Muséum de Karl Friedrich Schinkel, à
Berlin ( 1824 ,1830 ) , Au 20 éme siècle , leur architecture se fait plus flamboyante , il est autant qu’un endroit ou l’on expose des
œuvres d’Art l’un des haut lieux de la ville , la plupart La des autres édifices publics ont pris une allure bureaucratique souvent
problématique
banale , les musées au contraire , ont continué à se distinguer de ce qui les entoure par leur forme , leur vastes intérieurs et leur
architecture ambitieuse .ils jouent maintenant le rôle autrefois tenu par les places en permettant une promenade détendue dans les
galeries, les boutiques et les cafés.
Le musée doit- il
s’exhiber ou
s’effacer ?

La
problématique.

Comment matériaux
et espaces sont-ils
La nature des
agissants sur nos
parcours
perceptions ?

Définition
Définition orientée Définition spécifique :
Définition littéraire
Bâtiment public abritant des Définition d’après (ICOM)
collections relative à l’éducation et Le conseil international des Définition d’après
a l’enseignement. Il peut être un musées (ICOM) a élaboré une Encarta 2005
établissement social, éducatif, définition plus exigeante de la
culturel, touristique etc. Le nation. Pour elle,  « Un musée est Musée (du grec mousseiom,
musée protège en quelque sorte le une institution, sans but lucratif, au « temples des musées »), lieu de
patrimoine d’un pays en service de la société et de son mémoire et de rencontre privilégié
sauvegardant son histoire, et par développement, ouverte au public entre des œuvres, choisis et
l’exposition, il laisse le visiteur et qui fait des recherches rassemblé en collections et un
communiquer avec le passé Le concernant public
musée peut être fermé (architecture
opaque, style monumental,
parcours muséologique …..) ou
ouvert (flexibilité et transparence,
importance du confort public,

Conclusion

Le musée est un établissement


d'exposition et de conservation des
monuments.
Est un livre d'histoire qui raconte
notre passé et qui nous renseigne
sur notre identité et notre
patrimoine

Classification des musées


MUSEE

CENTRE ETSTOURISTI
HISTORIQUE CENTRE QUE ET
ÉCONOMIQUE ETS
CULTUREL ETS SOCIAL
ÉDUCATIF

- Posséder un - Le musée est


musée c’est faire l’institution que
reconnaître son recherchent les - Le musée va - Le musée est
appartenance à gens qui ont perdu devenir un des un facteur de
des civilisations. leur identité centres développement
- Créer un culturelle. d’attraction social.
musée, c'est sortir - Le musée est privilégiés du - Il est - Le musée est
du stade de la un lieu de tourisme considéré comme un lieu où l’on
barbarie et concentration et international, un phénomène apprend à devenir
affirmer la valeur de conservation. permettant aux social, un lieu responsable envers
de son histoire. - Il accueille à visiteurs de : d’élection pour son patrimoine.
- Le musée est titre temporaire, . D'acheter des une société en
la mémoire d’un conférences livres, quête de son
peuple, qui doit bibliothèque, . De voir des passé.
connaître son spectacles divers, œuvres d’art.
identité. projection.

Le rôle du musée
COMMUNIQUER :
Le Musée permet aux visiteurs
la communication avec le passé
à travers les objets. PROTEGER
le patrimoine culturel et
l’intégrer à la vie actuelle pour
sauvegarder l’histoire d’une
nation.

EDUQUER : EXPOSER :
A pour but de donner une idée
sur le patrimoine d’un pays par Rôles du c’est mettre sous les yeux des
visiteurs, toutes les œuvres
l’organisation de conférences.
Musée d’Art qui attirent leur attention.

CONSERVER
Conserver tous types d’objets et
autres « traces » et 
« empreintes » que l’homme ou,
même, la Nature nous a légués.
Mettre à l’abri cette mémoire.

Les parcours muséaux


Le parcours au sein du musée joue un rôle très important
pour l’exposition des œuvres au public. Le cheminement doit être
étudié en fonction des collections des objets et des espaces utilisés
pour l’exposition elle-même.

En effet, il est nécessaire de prévoir au niveau des salles


d’exposition des espaces statiques (pour recevoir les collections et
les différents objets) et des espaces dynamiques (pour la
circulation des visiteurs).

PARCOURS LINÉAIRE PARCOURS CIRCULAIRE PARCOURS


LABYRINTHIQUE
Le cheminement suit et C’est un espace central qui
respecte un schéma obligatoire, articule les espaces Dans ce parcours, une série
autrement dit le parcours est périphériques d’exposition afin d’espaces différents, bien
imposé (musée Guggenheim en que le public ait la liberté de qu’enchaînés entre eux,
Espagne). choisir l’itinéraire de sa visite n’impose aucune contrainte de
(Musée de Guggenheim à new circulation (le musée Getty
York). Center de Los Angeles)

Le type de musée et la nature des collections exposés imposent la catégorie du


parcours utilisée.
il est possible qu'un musée puisse contenir plusieurs parcours .

Le champ d’intervention
Musée

Lieu
Le Musée est un Type
équipement culturel en premier Les musées d'Art
degré il doit être placé dans Les musées d'Histoire
un contexte urbain. Les musées de Sciences
Forme
Les musées de la technique.
La forme du musée ne doit pas être Musée d’archéologie
ordinaire , elle doit être différente par
rapport au autres bâtiments , le musée
doit apparaître , il ne doit en aucun
cas s’effacer dans son environnement
immédiat .

La synthèse
L’origine de la création du musée est le besoin de conservation.

Le musée doit être placé dans un contexte urbain (ville touristique, ville
culturelle …etc.)

Il existe trois différents types de parcours muséaux.

*
L’étude

comparati
ve
Présentation
2 «3
The Getty
Le Guggenheim
Le LeCenter
Getty , LA
Guggenheim New York
Guggenheim Center à Los
de Bilbao de New York Angeles. ses instruments de
En décomposant
L’architecte s’est inspiré dune ziggourat conception, l’architecte a donné un rôle
(édifice religieux Mésopotamien en forme primaireRichard
au système Meier
de circulation à
Frank lloyd Wright
de pyramides a étages), il la inversé, c’est en l’intérieur et à l’extérieur de la structure des
quelque sorte un temple pour l’art bâtiments.
Aussi l’architecte a respectée le site, en
L’idée de conservation essayant de s’intégrer , à travers les
matériaux utilisés, les revêtements des
murs , la concentrations des constructions au
Le générateur primaire sommet , et bien sure les jardin qui
entourent le musée .
Le site
1
Le parcours muséal.

Guggenheim
Espagne
Frank O Ghery

L'architecte s'est inspiré des sculptures


anciennes, il déclara : «  j'ai constaté,
grâce aux grandes sculptures
anciennes grecques et indiennes, qu'il
était possible de donner un effet de
mouvement aux matériaux inertes.
Cette technique qui nous vient des
temps anciens, m'a intéressé parce
qu'elle pouvait se substituer à la
décoration »

Il dit aussi qu’il voulait utiliser la rudesse


esthétique du charme de Bilbao pour faire
du musée le cœur de la ville.
L’image du musée

Chaque architecte a débuté son travail avec une idée bien précise,
en s’inspirant d’une technique ancienne ou en se focalisant sur le
site comme l’a fait R.Meier.
Le générateur primaire change d’un architecte à un autres, même si
le projet est le même.
Plan de situation
Le générateur primaire n’est pas une phase obligatoire.
Situé au cœur de l’axe atlantique. Le musée se situe sur un tissu urbain dense, Le Getty center se trouve sur une colline de
A 46m en dessous de la cote de la ville de à New York, sur l’ile de Manhattan. Santa Monica, en Californie.
Bilbao (Espagne) Le site est sur la cinquième avenue, prés du Il domine l’autoroute de San Diego et surtout
Traversée à une de ses extrémités par le pont musée métropolitain et en face du central offre une vue panoramique sur l’océan
colossal du sabre Park. pacifique et sur toute la ville de Los Angeles.
Installé au bord du Nervion la rivière qui
traverse Bilbao

les trois musées sont situés dans un contexte urbain.

les trois musées sont différents par leur emplacement dans la ville
Plan de masse
Le plan de masse indique les courbes
Le terrain dessine un triangle enclavé Le central park en face du musée de niveaux, et montre comment les
dans la ville. contribue à le rendre plus attrayant bâtiments et les jardins du Getty
et lui confère l’aspect d’un lieu de center s’intègrent dans le site, en
L'entrée principale du Musée se trouve détente et de loisir. tenant compte des principales
au bout de la rue Iparraguirre, l'un des
caractéristiques.
axes névralgiques de Bilbao qui Le musée est implanté au milieu des
traverse toute la ville en diagonale grattes ciel de New York. L’architecte a su respecter le site en
comme un trait d'union entre le centre
n’y construisant ni routes, ni parking
urbain et le musée
en surface.

La différences entre les trois musées est une histoire d’intégration,


tandis que le musée Bilbao se marie avec la ville et reflète un seul
cadre urbain, et celui de Los Angeles respecte le site, le musée de New
York fait l’objet insolite au milieu des grattes ciel.

La volumétrie
L'édifice est composé d'une série de
volumes interconnectés, les uns de L’unité volumétrique du musée est
forme octogonale et recouverts de pierre composé d’un vide circulaire de 25 Le plan du Getty Centre est éclate, on
calcaire ; les autres courbés, tordus et m de diamètre , entouré par une distingue six volumes, de différentes
revêtus d'une peau métallique en titane. rampe de forme hélicoïdale de hauteurs, disposé en gradins pour une
Ces volumes se combinent avec des longueur 500 m qui monte a sa meilleure intégration au site.
murs en rideau de verre qui dotent de hauteur .
transparence tout l'édifice On remarque un jeu de volumes
entre la spirale, et la tour.

Les trois musées sont d’un assemblage de volumes différent.


Le Guggenheim de Bilbao = formes orthogonales+ formes courbées.
Le Guggenheim de New York= cône renversé + cylindre
+parallélépipède. La forme
Le Getty Center = 6volumes = cylindres + cubes.
Formes pures. Le Getty Center est éclaté en six
FRANK GEHRY livre ici le fruit des formes Forme organique. bâtiments clairement identifiables au sein
libres qu’il affectionne et a expérimenté Cette forme offre au visiteur des espaces d’un ensemble cohérent
jusqu’ici sur de plus petites échelles. flexibles, changement de la fonction et de On rencontre des formes régulières (formes
l’espace cylindrique, cube, etc.)
la construction et la conception d’un tel Le bâtiment est construit selon le principe
ensemble sont plus qu’un simple travail architectural de Wright qui affirme « la
sculptural : elles relèvent d’une démarche forme et la fonction ne font qu’un »
particulière de conception architecturale, ou le
travail des ingénieurs jouent une part
essentielle.

le Getty center est éclatés, alors que le Guggenheim de Bilbao et de New York sont monobloc.
Les trois formes sont complètement différentes.dans le Guggenheim de Bilbao on trouve des
courbures, et une forme symbolique qui est la fleur, dans celui de New York on trouve la
spirale, la tour qui affirme une verticalité alors que l’entablement affirme une horizontalité, le
Façades
Getty Center par contre a été très régulier dans ses formes.
Façade de forme organique. Façade de forme organique. Façade simple
Les formes métalliques dessinent la corole Façade animé, dynamique par les Différences de hauteurs (intégration au site
d’une immense fleure. différences de hauteurs. avec les terrassements)
L’enchevêtrement de volumes galbés Les ouvertures en bas des murs. Meier était connu pour ses façades
reposant sur un large socle évoqué un Wright a favorisé un immeuble horizontal, métalliques presque blanches mais il a fait
navire ou un poisson. qui est la spirale. avec le Getty Centre un choix différent, car
Le bâtiment est en contraste avec son la fondation souhaitait des teintes en
environnement (Grattes ciel) de part sa rapport avec l’environnement naturel du
forme, sa façade et sa hauteur site.

Les trois façades sont complètement différentes, de par la forme,


la hauteur, le rapport plein vide.
Malgré leurs diffences , les trois musées se détachent par
rapport a leurs environnement immédiat.

L’éclairage
Eclairage naturel en provenance de Eclairage naturel Meier a imaginé des traitements différents par les
la verrière petites salles d’exposition et les grandes galeries , dans
L’inclinaison des volumes (pour les premières un système d’éclairage par lanterne
diminuer l’incidence des rayons de centrale assure l’équivalent de la lumière du jour sans
la préservation de ces œuvres contre soleil) endommager les tableaux par un contact direct avec les
la nocivité Potentielle des rayons Zénithal Marqué dans la rotonde rayons solaires .
Dans les galeries temporaires , on a choisis pour le toit
solaires, c’est pour cela qu’ils ont (masqué pour éviter les méfaits de la un treillis tridimensionnel, percé d’ouvertures en
développé un système d’éclairage lumière du jour) verre , pour filtrer la lumière, a l’intérieur de la galerie,
artificiel surtout pour les galeries ou Eclairage Artificiel une seconde rangée d’ouvertures qui peuvent être
l’on expose les tableaux. Utilisé dans les salles d’exposition. ajustées selon les besoin .
Pour doser la lumière naturelle
on a entre autres techniques
insérées dans une verrière
orientée au nord des écrans
ajustables à différentes
expositions.
Dns la « galerie cathédrale »
une coupole vitrée laisse
passer la lumière filtrée par
des écrans.

Les trois musées sont dotés de l’éclairage nature (zénithale et latérale) et artificiel.
Matériaux
L’éclairage du musée a été bien étudié, surtout dans les salles d’exposition, ou on a
minimisé l’éclairage naturelle pour la protection des œuvres contre les rayons solaires ,
et favorisé l’éclairage artificiel .
Les grés, le verre et le titane constituent Le bâtiment dans son entier, coulé
Le choix du travertin pour couvrir les
les matériaux de construction du musée. en béton, ressemble plus à une
Le titane donne au revêtement extérieur coquille forme d’une grande façades ne s’est pas fait sans mal et a été
précède de nombreux essais il fallait en
son éclat qui varie en fonction de la simplicité.
lumière. Des filaments d’acier incorporés effet une pierre de la bonne texture, de la
bonne couleur et réagissant bien a la taille
Le verre utilisé est traité de telle sorte partout dans la coquille légère du
que tout en étant parfaitement béton. et au polissage, mais aussi provenant
d’une carrière au ressources suffisantes
translucide, il protège l’intérieur de la Revêtement extérieur d’une
chaleur et de la radiation. couleur blanche, qui contraste
On voit ici comment
avec les couleurs maussades des
constructions avoisinantes. tous les matériaux ont
été testé sur le site, dans
l’environnement et les
conditions d’éclairage
qui allait être les leurs

Chaque architecte a utilisé des matériaux qui mettait en valeur son œuvre.
Les parcours muséaux
F.Ghery avec le titane qui met en éclat son musée, F, Wright avec la pureté et
le blanc de son revêtement le met en valeur et le rends plus en évidences par
rapports aux grattes ciel qui l’entourent, et R, Meier avec l’utilisation du
travertin et la pierre confirme son intégration au site .

Horizontalement la Circulation est Horizontalement la circulation est L’espace intérieur et l’espace extérieur
assurée par des halls, des couloirs. assurée par les couloirs, les halls. sont nettement délimités, par 3200
la circulation verticale est assurée par portes, par les symboliques
Verticalement la circulation est assurée la rampe hélicoïdal qui joue à la fois le cosmologiques liées au cercle solaire,
par des escaliers dans un angle ou rôle de circulation et d'exposition. animés par le thème du labyrinthe,
accoudé à une balustrade. compris comme un parcours initiale.

On rencontre dans ces Letrois


parcours
exemples,circulaire et le types de
les trois différents
Parcours linéaire. parcours muséaux : Parcours labyrinthique
parcours linéaire
Linéaire : le musée Guggenheim de Bilbao et celui de New York
Circulaire : le musée Guggenheim de New York.
Labyrinthique : le Getty Center de L.A.
Il peut y avoir plusieurs parcours dans un même musée.
L’image du musée devenant prédominante, le geste architectural
l’emporte presque sur la perception des contenus. Le musée est
alors lui-même objet d’art.
La synthèse
le musée se démarque comme un havre de civilité

La circulation doit être étudié,le visiteur ne doit pas se lasser ,


et pour cela on peut mettre a sa disposition des cafetes , boutiques
, salle d’information , des écrans …etc
L'intérêt d'une telle gestion du parcours des visiteurs est évident,
il s'agit de permettre implicitement une certaine fluidité à ces
visites afin d'offrir le confort nécessaire aux regards et de gérer
les flux liés aux déplacements.

.
Etude
fonctionne
lle

Les différents espaces du musée

Accueil
Administration
Cafeteria
Espace vente
MUSEE Salle d’exposition

POSTE
ATELIERS DE
CENTRAL DE
MAINTENANCE
SURVEILLANCE
ESPACE POUR
LE PERSONNEL
DE LA
CONSERVATION

Organigrammes

Formation,
Collection, acquisition, Administration, transport vestiaire,
stockage, bureau et circulation, service de laboratoire,
sécurité préparation
Entretien, Bureau / bibliothèque, archives,
conservation, catalogue, impression et copie
atelier
Zone d’entrée, visiteurs,
laboratoire, préparation
Technique,
climatisation,
Réserve principale, service de
ventilation, salle de
sécurité, accès du public
contrôle / sécurité
Administration / bureaux

Zone entrée
Exposition

Conférences / cours /

Information .

Boutiques / café / restaurant.


Définition des fonctions et des Caractéristiques spatio-
activités : fonctionnels :

C’est le premier contact avec le Orientation :


visiteur ou se manifeste le temps Ne nécessite pas une orientation
d’introduction à la visite. particularisé par rapport au climat, il
L’accueil c’est : inviter, faut une orientation vers la vue
accompagner, et garder le contact avec panoramique (l’espace paysagé) s’il y
le visiteur et c’est un espace collecteur on a et il doit avoir un bon
et diffuseur des flux. emplacement : situer au niveau de la
La réception des visiteurs. rue, des accès jardin, et des espaces de
Donner des informations concernant les stationnement.
activités du musée. Forme :
Il peut avoir n’importe qu’elle
L’orientation du visiteur vers les
différents espaces par la signalisation. Accueil
forme.
Il sert aussi a : la circulation, la Aménagement :
distribution, l’exposition, l’attente et la Un comptoir d’accueil
détente. Des chaises
Des fauteuils avec table basse
Le matériel d’informatique
(panneaux d’affichage,
téléphonie)
Un espace supplémentaire
destine à l’exposition
Aménagées des vitrines
murales et de vitrines tables
Définition
C’est la manière de représenter
les œuvres artistiques.
C’est l’établissement de la
relation directe entre l’objet et le
public au niveau culturel,
scientifique, ou esthétique.
Exposition permanente : c’est
une exposition contemporaine des
œuvres, des peintures, des sculptures,
des décorateurs et des artistes dans Salle d’exposition
tous les domaines de l’art de façon
permettre la lecture de l’évolution
des tendances dans ce domaine.
Exposition temporaire :
caractérisé par son évolution et se
consacrera à des thèmes spécifiques
dans le domaine artistiques dans la
but d’informer le public des activités
culturelles.
-regarder.
-observer.
-apprécier.
-expliquer.
-circuler.
Salle d’exposition
Caractéristiques spatio-fonctionnelles :
La salle d’exposition doit permettre au public une
visite sans fatigue ; ce que implique une variation des
éléments exposes.
Pour chaque genre de tableau si possible une salle ce
qui implique de petite salles celles-ci offrent des surfaces de
murs.
Forme :
L’espace d’exposition peut avoir n’importe quelle forme
géométrique (rectangulaire. Circulaire,…) ou organique.

Circulation :
Type linéaire 
Type circulaire .
Type labyrinthe 
Quelques chaises.
Des tables (vitrines) pour l’exposition des pièces de monnaies
et des timbres.
Des tableaux et des cadres de sculptures.

Administration

Composition
Localisation Rôle
Bureaux, salles de réunion et d’accueil,
Gestion du personnel, budget, affaires sanitaires, locaux de stockage
Direction accessible de l’extérieur
générales
Entrée spécifique séparée des espaces
(Service de relations service d’actions
publics et des locaux scientifiques en
culturelles, services commerciaux
communication directe avec les services
Atelier de maintenance

Rôle : Localisation :
Entretien des véhicules.
Reprographie de simulation des Proches des bureaux administratifs
équipements. et de la conservation.

POSTE CENTRAL DE
SURVEILLANCE

Localisation Rôle  Composition


Centre de la sécurité du musée de jour et
Sans ouverture sur l’extérieur d’accès de nuit Ssystèmes d’alarmes automatisés
rigidement contrôlé, situé à l’écart des
espaces de service
Bibliothèque

Définition Fonctions  Caractéristiques techniques 

Établissement de la documentation à Lecture et consultation. désire la lumière naturelle.


la disposition du public et un espace silence.
pour ranger les livres qui sont utilisés facilité d’accès aux documents.
par n’importe lequel. bon éclairage et aération.

Cafeteria

Définition:
C’est lieu public ou l’on se sert des cafés,
des boissons, et des plats.
Cet espace est consacre spécifiquement aux
activités informelles de : détente et de
consommation rapide
Manger et boire. Consommer. Acheter. Se
reposer. Discuter. Se distraire.
Caractéristiques spatio-fonctionnels :

Forme :
La forme la plus adaptée c’est la forme carre ou
rectangulaire.
Aménagement :
Tables.
Chaises.
Muni d’un comptoir bien éclairé et visible de
partout.
Fauteuils.

Espace pour personnel de la conservation

Rôle : Composition : Situation :


Mettre provisoirement en Bureaux, salle de réunion,
En liaison aussi directe que possible avec
sécurité les pièces en cour d’étude. sanitaires,
les salles d’expositions et les réserves
Locaux de stockage, une pièce
Rattachés au centre de documentation
adjointe, accès de l’extérieur jumelé
scientifique, à la bibliothèque et aux
avec celui des bureaux administratifs
archives
Espace vente

Définition  Caractéristiques spatio-fonctionnel :


Cet espace destine une autre
manière de communication et de Forme :
sensibilisation. Il peut avoir n’importe quelle forme.

Le
Le visiteur ne sortira pas avec les Aménagement 
mains vides mais il gardera un souvenir Un bureau pour comptable.
du musée. –vendre Des chaises pour les clients.

Guggenhei
m de New
York
Présentation
La collection Solomon R. Guggenheim

Solomon R. Guggenheim, l’une des plus grandes fortunes d’Amérique, était un


collectionneur d’art aux goût plutôt conformiste jusqu'à ce qu’il rencontre l’artiste Hilla
Rebay, une Allemande très liée aux principaux peintres modernes, Elle côtoyait en
particulier Rudolf Bauer qui disait de sa peinture qu’elle relevait du domaine du cosmique,
ce qu’il baptisèrent tout deux non-objectivity paintings.
En 1927, Hilla Rebay s’installe à New York ou elle rencontre les Guggenheim et deux ans
plus tard, elle les accompagne en europe. Solomon revint avec les premières toiles
Kandinsky, Mondrian, Moholy-Nagy et Bauer, entre autres de ce qui était appelé à devenir
une grande collection d’art abstrait.
Dès les années 1930 Solomon R. Guggenheim, industriel du cuivre et amateur d'art,
décida de fonder un musée consacré à l'art moderne pour y présenter au public sa
fantastique collection de "non objective paintings", ramassée entre 1929 et 1937.

La collection Solomon R.Guggenheim

Lieu
New York
à l'angle de la 89e rue et de la
5e avenue dans
Upper East Side
Biographie
Nature
Présente la grande
collection d’art
moderne la
collection
Guggenheim.
FRANK LLYOD WRIGHT
Surface
Frank LIoyd Wright (1867-1959) Learchitecte
concepteuraméricain considéré comme l’une des plus grandes figures de2388,75
l’architecture
m2 du xxe
siècle. Né à Richland center (Wisconsin)Frank Lloyd
il étudia d’abord le génie civil à l’université de Wisconsin, à Madison, tout en travaillant
sur un projet de construction concernantWright Date entra
l’université elle-même. En 1888, Wright de saà l’agence Adler et Sullivan de Chicago, où
il travailla à des projets de maisons individuelles. La collaboration avec Louiscréation
Sullivan fut une étape fondamentale dans la
formation de Wright. Conçu en 1943 et Inauguré
en 1959
Extension et de
réhabilitation en 1982
. En 1893, il quitte l'agence et décide de travailler seul. il découvre
l'architecture
Ré ouvert au publicjaponaise
et Ca sera pour lui une révélation
en 1992
Wright affirma son choix d'aller à l'encontre du classicisme et de la tradition européenne au profit d'une architecture dite
organique dans laquelle il voyait le nouveau fondement de la culture américaine. Il créa une nouvelle architecture (toits débordants,
terrasses en encorbellement, sols et façades en pierres naturelles).

En 1909 Wright part en Europe pour une période de deux ans ou il exercera une importante influence sur des architectes
européens tels que Gropius et Mies van der rohe (Bauhaus).

Il revient aux U.S.A en 1911, il fonde la communauté de Springs Green. A cet ensemble comprenant habitations, écoles, ateliers
et fermes, il donna le nom de TALIESIN. Il commence alors une seconde carrière. Un voyage au Japon en 1917 marqua un
tournant décisif dans sa carrière et confirma son intérêt pour l'architecture japonaise. Jusqu'en 1937, il construisit diverses
maisons, en adoptant de nouvelles techniques (Millard house, Bamsdall house).

En 1934, débute la série des maisons usoniennes (petites maisons : Willey house). Il fut le précurseur d'une architecture
nouvelle par exemple avec la  Fallingwater house ou le musée Guggenheim qui ont une architecture unique. Wright écrivit aussi
divers ouvrages sur l'architecture. Son œuvre marqua profondément le développement de l'architecture contemporaine, aux U.S.A
et en Europe. Il influença divers courants artistiques.
L’historique du musée Guggenheim

● Mr Solomon Guggenheim
souhaitait présenter ses œuvres nouvelles
dans une architecture qui fut aussi
révolutionnaire que les peintures, et c’est
pour cela que le projet a été confié a
Frank Lloyd Wright en 1943.

Il fallut a Wright treize années


d’effort patient pour voir enfin le
chantier démarrer, et même pendant les
différentes phases de la construction, de Musée Guggenheim 1959
1956 jusqu'à sa mort en 1959, six mois
avant l’ouverture du musée.

Le Guggenheim Museum fut non


seulement la seule création new-yorkaise
de Frank Lloyd Wright, mais aussi le
seul musée dont il ait dessiné les plans.
Il a fait l'objet en 1982 d'un
programme d'extension et de
réhabilitation et ré ouvert au public en
1992.
Musée Guggenheim après 1992
L’implantation

Les grattes ciel


de New York

L
Le
Projet

Central park.

.
Situé à l'angle de la 89e rue et de la 5e avenue.

Contraste formel et spatial à l’égard de la ville. Le Musée est implanté au milieu des gratte-ciels de
New York en face du central park, Ce qui contribue à le rendre plus attrayant et lui confère
l’aspect d’un lieu de détente et de loisir.
L’inspiration

Soit Mr Frank Lloyd Wright s’est


inspiré d’une ziggourat (édifice
religieux Mésopotamien en forme de
pyramides a étages), il la inversé,
c’est en quelque sorte un temple
pour l’art
Et la on parle de l’idée de
conservation

Ou bien l’architecte s’est inspiré d’une


rampe circulaire et d’un élément de
circulation vertical qui présente le plus
grand espace d’exposition.
Et la on parle surtout du
parcours muséal
La forme

Wright donne à ce musée une forme nouvelle, une forme basée sur des géométries circulaires qui ressemble plus à une
coquille qu’à une construction à poteaux poutres.

Ce musée est une architecture plastique ou chaque niveau coule dans l’autre, c'est-à-dire qu’il y a une fluidité verticale,
on voit plus la superposition et la coupure habituelle entre les niveaux.

Pour Wright, la fonction de la spirale est d’assumer un lien entre l’ici et l’ailleurs, entre la contingence et l’infini. Elle est
aussi symbole d’éternel retour.
La volumétrie

● Comme d’habitude Wright a travaillé ses volumes à partir des croquis puis sur de multiples
maquettes avant de fixer le dessin des plans et des coupes. Mais la construction et la conception d’un
tel ensemble vont bien au de là d’un simple travail sculptural.

● L’unité volumétrie du musée est composé d’un vide circulaire de 25m de diamètre, entouré par une
rampe de forme hélicoïdale de longueur 500m qui monte a sa hauteur.
La façade

Au-dessus de l'entrée surbaissée du bâtiment légèrement en retrait par rapport à l'Avenue, s'étend un entablement d'une cinquantaine de
mètres, arrondi vers le sud et proéminent, ouvert de chaque éxtrimité, tandis que vers le nord, le bâtiment administratif se détache
comme une passerelle de bateau à deux étages.
Sur le côté sud, s'élève un tronc de cône inversé, en béton, avec quatre cercles de maçonnerie, sans fenêtres : le musée proprement dit, de
28 mètres de haut.
la tour affirme une verticalité alors que l’entablement et la spirale affirment une horizontalité.
utilisation de petites ouvertures en bas des murs afin de protéger les œuvres contres le vol et les rayons solaires.
La structure

Pour donner plus de solidité à la coquille et pour qu’elle puisse accomplir son travail, Wright a incorporé des
filaments d’acier dans la coquille en béton
C’est une structure en porte à faux continu et non d’une structure à poteaux poutre.
Le musée s’élève sur six étages au dessus du RDC, avec un sous sol qui contient une salle de lecture d’une
dimension considérable.
Les matériaux

L’acier :
les filaments incorporés partout
dans la coquille , qui servent à la
rendre plus solide .

Le béton :
On a utilisé le béton matériaux
nouveau en son époque.
La coquille en béton a affirmé sa
fluidité et sa souplesse.

Le verre :
La verrière, les petites
ouvertures de l’administration,
les portes d’entrée.

Revêtement extérieur :
Très simple et pure, une
blancheur qui contraste avec les
murs maussades et rectilinéaires
des constructions avoisinantes.
L’intérieur

Le bâtiment est construit selon le


Le musée accueille dans son propre principe architectural de Wright qui
organisme l’espace de la ville grâce à affirme que la forme et la fonction ne
un dialogue ininterrompu entre les font qu’un, des formes circulaires qui
espaces intérieurs et les espaces se superposent, dégagement ainsi un
extérieurs, privé et public espace d’exposition ininterrompu et
courbe, autour d’un vide cylindrique.
L’intérieur

A l’entrée du musée on trouve l’ascenseur qui


la spirale ascendante déploie sa permet aux visiteurs de se rendre jusqu’au sommet
courbe tout au long d’une de la spirale.
rampe qui s’étale sur six
niveaux autour de la plate La succession des salles d’exposition à crée une
forme centrale du rez- de- relation visuelle entre elles.
chaussée.
Cette rampe hélicoïdal n’est A n’importe quels points de la grande rampe, le
pas seulement un éscalier- visiteur voit d’où il vient et ou il va.
couloir mais une rue édifice ,
c'est-à-dire les tableaux d’art le visiteur achève sa visite il se retrouve à son point
sont exposés tout le long des de départ à savoir la grande cours centrale (hall).
murs.
L’intérieur

L'intérieur, espace ouvert, sans


cloisonnement ni interruption, est
constitué d'une rampe continue,
d'environ 500 mètres de long et
d'une pente d'environ 3%
.Dans cette gallérie et tout le long de
la rampe sont présentés les
expositions temporaires.

Les expositions permanentes sont


présentées dans les Tower Galleries,
un bâtiment de dix étages, à
l'architecture controversée. Adjacent
au bâtiment de Wright, il fut conçu en
1992 par le cabinet Gwathmey et
Siegel.
Le plan de l’étage Le plan du RDC

Sur le plan on remarque une flexibilité au niveaux des salles d’exposition


obtenue par la simple disposition des différents espaces.
Organigramme relationnel

Exposition permanentes. Cafétéria

Galerie

Jardin des sculptures

Accueil Exposition
+ temporaire.
Administration
Bureaux

l
L’entrée
principale

Le RDC
Exposition permanentes.
Salle des
archives

Exposition
Administration temporaire.
Bureaux

L’étage
Un
e
aut
re
ent
rée

Personnel
administratif Théâtre
d’éducation

Centre de
ressource

Salle de
Salle
d’information conférence

Le sous sol
La parcours muséal
PARCOURS LINÉAIRE

PARCOURS CIRCULAIRE

On rencontre dans ce musée deux parcours : le


linéaire et le circulaire
Le linéaire :
Les couloirs et les halls entre les différents espaces.
le circulaire :
La rampe sans doute le point fort de ce musée, elle
sert pour la circulation et l’exposition.

L’éclairage
L'inclinaison des volumes diminue
l'incidence des rayons de soleil sur les
œuvres et les toiles exposées.
Les rampes entraient continuellement
le spectateur vers le bas, la lumière si
elle avait été utilisée aurait été
aveuglante,
L'éclairage zénithal est marqué dans
la rotonde (il est masqué pour éviter
les méfaits de la lumière du jour)

L'éclairage artificiel est utilisé dans les


salles d'exposition pour mettre en
valeurs les tableaux.

Les caractéristiques du musée


Musée basé sur la géométrie circulaire
Formes circulaires qui se superposent , dégageant ainsi un espace
d’exposition ininterrompu et courbe autour d’un vide cylindrique
La réintégration édifice –ville-terrain
Le musée en contraste avec la ville de New York
Le musée résume les invariants du code moderne.
Le musée est l’éxperéssion la plus parfaite de la continuité et de la
plasticité de l’œuvre de Wright
Les principes de Frank Lloyd Wright

« La forme et la fonction ne font qu’un » a affirmé Wright, et le musée Guggenheim a été conçu avec ce
principe.

Wright veut démontrer sans aucune modestie que le bâtiment lui-même est un objet d’exposition.

L’architecture organique est une théorie de Frank Lloyd Wright lui-même, une parfaite concordance
doit exister entre le site et la demeure, entre la nature des matériaux et la forme de la construction,
entre les parties et le Tout.

Dans son œuvre Wright résume tous les invariants de l’art moderne a savoir l’inventaire, les
dissonances , la tridimensionnalité antiperspective , la décomposition quadridimensionnelle , les
structure en porte a faux , la temporalisation de l’espace et la réintégration édifice ville territoire.
La maquette
La maquette
La conclusion

En dépassant la trilogie : conservation – étude - exposition, le musée se


tourne vers une multitude de nouvelles pratiques éducatives et commerciales
il étend son rôle au-delà de la diffusion de sa collection et combine des
programmes de plus en plus variés où la culture, la création, le
divertissement et consommation se côtoient. Le musée devient alors un lieu
actif et producteur de messages.
.L’architecture des musées est une architecture sur mesure C'est par cette
notion de mesure de la place faite à l'objet collectionné, à son statut et à sa
relation à l'espace, au spectateur, à son parcours, à son ressenti, à l’objet
architectural, aux transitions et au dialogue avec l'environnement urbain, au
préoccupations particulières à l'époque (l'air du temps)
Le musée doit être simultanément un objet qui fait signe, une image de
marque qui attire l’attention sur une ville et il doit lui-même être le
contenant d’une collection
Bibliographie
Architecture Ron Van Der Meer et Deyan Sudjic
Wright bruce brooks pfeiffer
Le language moderne de l’architecture
Benevolo tome 2
Benevolo tome 3
Technique et architecture
Encarta
Larousse

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