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I. Historique .................................................................................................................... 5
I. introduction ................................................................................................................ 13
III. Réalisation.............................................................................................................. 28
c. L’emballage ........................................................................................................ 31
BIBLIOGRAPHIE ................................................................................................................... 33
ANNEXES ............................................................................................................................... 33
Pour rendre plus compréhensible notre projet, nous nous attarderons dans ce document à
présenter succinctement les généralités sur les détecteurs de métaux, le principe de
fonctionnement puis la simulation par le logiciel ARDUINO nano et en fin la réalisation
proprement dite du projet ainsi que les difficultés du parcours de réalisation.
I. HISTORIQUE
C'est en Amérique que l'on entend parler pour la première fois de détection de métal, en
1881 plus précisément. Alexander Graham Bell fut sollicité pour aider des chirurgiens qui
n'ont pas réussi à trouver une balle logée dans le corps du président des Etats-Unis (James
Garfield) ayant été victime d'un attentat. Pour la même utilisation, le détecteur de métal sera
utilisé lors de la première guerre mondiale pour chercher les balles logées dans les corps dans
un premier temps et dans un second temps pour chercher les mines encore actives dans les
sols.
C'est Gerhard Fisher qui diffusera de manière plus importante les premiers détecteurs avec le
modèle "Metallascope".Le détecteur de métaux portatif quant à lui a été créé en 1942 et fut
utilisé par l'armée britannique pour chercher des mines en Afrique.
La tête du détecteur contient une bobine émettrice et une ou plusieurs bobines réceptrices.
La bobine émettrice diffuse un signal radiofréquence qui génère un champ électromagnétique.
Les objets métalliques qui entrent alors en contact avec ce champ magnétique créent une
perturbation. Si elle est assez importante, cette perturbation du signal alors est captée par la ou
les bobines réceptrices.
Le courant est ensuite amplifié, traité et converti par l’appareil en informations visuelles et
sonores qui permettent au prospecteur d'identifier la présence d'un objet métallique
intéressant.
À noter que le signal reçu est soumis à un "décalage de phases" (c'est-à-dire un délai entre
le signal émis et le signal reçu) plus ou moins important en fonction de la taille, de l'épaisseur
Il existe plusieurs types de métaux qui sont repartis dans plusieurs familles de métaux.
Ce sont ceux qui ont tendance à être mous, lourds et ont un point de fusion assez bas. Ces
métaux sont considérés comme dangereux pour la santé.
Le zinc
Le titane
Le nickel
L’argent
Le fer : c’est un métal blanc gris tenace, il est ductile c'est-à-dire qu’il peut s’allonger
et être étiré sans se rompre, malléable et magnétique. Il fond à 1535°c. Au contact de
l’humidité, il se corrode en formant de la rouille.
L’or : c’est un métal précieux. Il est jaune brillant, très ductile. Il se trouve à l’état
natif sous forme de pépites ou de sédiment dans des cours d’eau.
L’alcalins : les éléments de cette famille sont tous du même genre. Ces éléments sont
malléables, on peut les déformer sans provoquer de rupture. Ce sont des métaux mous
et légers qui fondent à des températures peu élevées.
Le potassium : c’est un métal mou, de couleur blanche et qu’on trouve naturellement
lié à d’autres éléments dans l’eau de mer et dans nombreux minéraux. Le potassium
s’oxyde rapidement au contact de l’air et réagit violemment au contact de l’eau, il peut
s’enflammer et exploser.
Les alcalino-terreux : cette famille contient 6 éléments. Ces éléments sont des métaux
légers, mous, très réactifs. Ils sont très électropositifs, c'est-à-dire que leurs atomes
peuvent perdre des électrons.
Le magnésium : c’est un métal connu par sa légèreté, il est blanc argenté. Il permet de
former des alliages mécaniquement résistants. Le magnésium est très abondant dans la
nature, on le trouve dans de nombreux minerai rocheux.
Le béryllium
Le calcium
Le strontium
Le baryum
Le radium
Depuis ces dernières années, nous vivons de l’insécurité tout autour de nous, c’est
pourquoi nous entendons parler chaque fois au journal des attentats, des braquages à main
armée et bien d’autres. Du fait de tous ces désastres, nous verrons dans plusieurs entreprises
les détecteurs de métaux, ceci dans le but de ne laisser entrer dans ces entreprises, hôpitaux et
églises que ceux qui passent au détecteur, car les armes à feux et bombes ainsi que plusieurs
autres appareils électroniques sont faites de plusieurs métaux que si un individu possède, il
sera désarmé et arrêté à temps pour éviter le désastre. D’autre part, les détecteurs de métaux
permettent de prospecter plage, terrain de camping et bord de chemin de façon ludique et de
manière la moins invasive possible à la recherche des pièces, or et bien d’autres.
1. SCHEMA DE CABLAGE
Haut-parleur : vu ici comme une sortie de notre système, il nous permet de savoir de
par son bruit sonore si le système est prêt à détecter et également il nous signale si
nous sommes en présence d’un métal.
Bouton de détection : ce bouton doit toujours être maintenu appuyé lorsque nous
voulons détecter la présence du métal.
La pile : ici c’est notre alimentation. C’est elle qui fournit la tension à notre système.
Figure 6 : BATTERIE 9V
I. INTRODUCTION
Généralement la simulation comprend les essaies effectués et ceci de nos jours se fait par
machine pour éviter de griller des composants électroniques. Ainsi après simulation sur
proteus nous avons à l’aide d’un inducteur de 48mH produit un champs magnétique
suffisamment important pour détecter un métal à une distance d’environ 5cm. Ensuite nous
avons procéder à la réalisation proprement dite.
II. SIMULATION
A. Présentation de l’Arduino :
L’arduino est une carte électronique programmable très utilisée dans le domaine de la
programmation des circuits électroniques. Elle a été développée par une équipe composée de
Massimo Banzi, David Curatelles, Tom Igoe, Guianluca Martino, David Mellis, et Nicholas
Zambetti dans le but de créer une carte programmable qui utilise un logiciel multiplateforme
et accessible par tout le monde.
3. APPLICATIONS POSSIBLES :
i. Le microcontrôleur (1) :
Il constitue le cerveau de la carte. C’est l’élément qui va recevoir le programme créé, le
stocker dans sa mémoire puis l’exécuter.
Trois LED dont la taille est de l’ordre du millimètre. Celle qui se trouve tout en haut du
cadre est connectée à une broche du microcontrôleur et sert à tester le matériel (clignote
quand la carte est branchée au PC). Les deux autres LED servent à visualiser le
fonctionnement de la voie série (clignote lors du chargement du programme sur la carte).
Dans cette partie nous allons voir l’interface du logiciel Arduino, les principaux éléments
qui le compose et leurs utilités :
i. Le menu « Fichier »
La syntaxe du langage d’un programme, est l’ensemble des règles d’écriture à respecter
lors de l’écriture de ce programme. En somme ce sont les règles qui régissent l’écriture du
langage Arduino.
i. Le code minimal
Lors de la création d’un programme, l’utilisation d’un code minimal est indispensable. Ce
code divise le programme en trois sections :
L’initialisation de la carte.
Le contenu de l’initialisation.
Le contenu du programme.
a. fonction d’initialisation
Cette fonction est appelée fonction d’initialisation. Elle n’est appelée qu’une seule fois lors
de l’exécution du programme. Dans cette section on peut gérer les entrées et les sorties de la
carte et quelques autres réglages.
b. La fonction Loop () :
Cette fonction contient le programme lui-même. C’est une boucle infinie qui
exécute le programme en permanence, d’où le nom Loop qui signifie boucle en anglais.
Chaque instruction doit être terminée par un point-virgule et écrite à l’intérieur des
accolades. Les accolades sont des « conteneur » du code du programme, elles sont propres
aux fonctions, aux conditions et aux boucles.
d. Les commentaires :
Les variables de type booléen sont des variables qui ne peuvent prendre que deux
valeurs : 0 ou 1. Quand la variable vaut « 0 » elle est « fausse ». En revanche lorsqu’elle vaut
« 1 » elle est vraie
Les conditions servent à tester des variables. Pour tester des variables il faut connaître
quelques symboles :
En programmation, une boucle est une instruction qui permet de répéter une opération. Il
existe deux types de boucles :
Le terme « while » signifie en anglais (tant que). Cette boucle exécute une instruction tant
qu’une condition est vraie.
{Les instructions misent entre des accolades sont répété tant que la condition est vraie}
La boucle for :
Le terme for signifie en anglais (pour que). Cette boucle pour fonctionner dépend de trois
paramètres :
La valeur de départ.
La condition à tester.
L’instruction à exécuter.
#include <Stepper.h>
#include <SoftwareSerial.h>
// la fonction SPINNER pilote les diodes qui doivent s'allumer en fonction des seuils
// Pin definitions
#define SENSITIVITY_POT_APIN 1
#define SPEAKER_PIN 2
#define SPINNERA_PIN 6
#define SPINNERB_PIN 7
#define SPINNERC_PIN 8
#define SPINNERE_PIN 10
#define TRIGGER_BTN_PIN 11
#define RESET_BTN_PIN 12
SIGNAL(TIMER1_COMPA_vect)
lastSignalTime = currentTime;
if (firstSignal)
firstSignal = false;
else if (storedTimeDelta == 0)
storedTimeDelta = signalTimeDelta;
OCR1A += CYCLES_PER_SIGNAL;
void setup()
TCCR1A = 0b00000000;
TCCR1B = 0b00000111;
OCR1A = 1;
pinMode(SPEAKER_PIN, OUTPUT);
pinMode(SPINNERA_PIN, OUTPUT);
pinMode(SPINNERB_PIN, OUTPUT);
pinMode(SPINNERC_PIN, OUTPUT);
pinMode(SPINNERD_PIN, OUTPUT);
pinMode(SPINNERE_PIN, OUTPUT);
pinMode(TRIGGER_BTN_PIN, INPUT_PULLUP);
pinMode(RESET_BTN_PIN, INPUT_PULLUP);
if (digitalRead(TRIGGER_BTN_PIN) == LOW)
// /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
//Greffon diode A
digitalWrite(SPINNERA_PIN, HIGH);
else
digitalWrite(SPINNERA_PIN, LOW);
// ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////
//Greffon diode B
digitalWrite(SPINNERB_PIN, HIGH);
else
digitalWrite(SPINNERB_PIN, LOW);
// ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////
//Greffon diode C
digitalWrite(SPINNERC_PIN, HIGH);
else
digitalWrite(SPINNERC_PIN, LOW);
// /////////////////////////////////////////////////////////////////////////
// ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////
//Greffon diode D
digitalWrite(SPINNERD_PIN, HIGH);
else
digitalWrite(SPINNERD_PIN, LOW);
// ////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
// /////////////////////////////////////////////////////////////////////////
//Greffon diode E
digitalWrite(SPINNERE_PIN, HIGH);
else
digitalWrite(SPINNERE_PIN, LOW);
// ///////////////////////////////////////////////////////////////////////////
else
noTone(SPEAKER_PIN);
digitalWrite(SPINNERA_PIN, LOW);
if (digitalRead(RESET_BTN_PIN) == LOW)
float mapFloat(int input, int inMin, int inMax, float outMin, float outMax)
III. REALISATION
Dans cette partie de notre travaille nous insisterons sur les étapes cruciaux qui ont conduis
à cette œuvre que nous avons ainsi produit à savoir la réalisation du circuit imprimer, le
bobinage, la soudure des composantes, et l’emballage pour l’utilisation.
a. CIRCUIT IMPRIMER
L’un des meilleurs logiciel, KiCad est un logiciel multi-plateforme qui permet de réaliser
toutes les étapes nécessaires à la conception d'un circuit imprimé: Réalisation du schéma
électronique, association des empreintes, routage, export au format gerber. Pour notre
réalisation nous utiliserons Proteus 8.8 et son générateur de Typon car nous en sommes plus
familier.
Pour générer un typon sur proteus il faut suivre les étapes suivantes :
Pour cela nous avons imprimé le typon sur du papier calque, puis nous avons fait procéder
aux étapes suivantes : insolation, gravure, révélation.
Insolation de la plaque :
Après avoir retiré le film protecteur de la plaque, la résine a pour propriété de se modifier
lorsqu’elle est exposée aux rayonnements UltraViolets (elle est dite photosensible). Donc on
doit exposer notre plaque à des rayons UV générés par une machine appelée insoleuse, c’est
pour cela qu’il est conseillé que les pistes sur le typon soient très noires.
La plaque est plongée dans un bac à graver qui contient un produit acide, cet acide va
dissoudre le cuivre autour des pistes protégées par la résine. Cela a pour but de ne laisser sur
la plaque que les pistes qui nous intéressent.
La révélation :
c. L’emballage
Pour l’emballage nous avons fait jeu d’un peu d’ingéniosité pour maintenir le circuit dans
une position fixe (surtout le bobinage) pour éviter des fluctuations importantes du champ
magnétique crée. Ainsi une image du produit finit est comme vue plus haut.
Bien que notre montage soi facile à réaliser à vue d’œil, il n’en n’est pas totalement car un
véritable problème se trouve au niveau du bobinage. Déjà une bobine comme celle utilisé sur
notre montage est faite à la main. Il est très difficile voire impossible de trouver ce dernier sur
le marché. Ainsi, son absence nous a envoyé vers les vieux transformateurs où nous avons
sorti le filament pour réaliser notre bobine. C’est après trois bobinages avec à chaque fois des
défaites que nous avons eux celui sur notre montage qui nous permet de détecter la présence
de plusieurs types de métaux.
ANNEXES