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interaction société et

environnement          
       Le défi environnemental

Les sociétés entretiennent avec leur environnement des relations complexes, faites


de multiples interactions. Actuellement l’humanité est face à un défi environnemental
sans précédent qui nécessite des actions à toutes les échelles, aussi bien locales que
mondiales. Pour mieux comprendre ces enjeux, deux axes d’analyse sont privilégiés :
étudier les risques auxquels les hommes sont confrontés et évaluer la pression exercée
sur les ressources majeures. La façon dont la France valorise et protège ses milieux
métropolitains et ultramarins sera présenter pour conclure ce thème.

I/Les sociétés sont confrontés à des risques de plus en plus fréquents et complexes

A/Une très grande diversité des risques

 Les aléas «naturels»


 Les risques technologiques
 Les risques environnementaux d’origine anthropique (créés par l’homme)

On peut classer les aléas en deux catégories, les aléas d’origine sismique/tellurique
et les aléas d’origine climatique.De plus les aléas naturels sont inégalement répartis sur
la surface de la terre.

On rencontre ces accidents principalement en Europe, car c’est la premier


continent à s’être dévellopé.

La plus ou moins grande vulnérabilité des sociétés face aux risques dépend de
multiples facteur : La densité de population, le niveau de développement et la capacité
d’action de l’État.

Étude de cas : l’Amazonie

L’Amazonie s’étend principalement sur le Brésil, la Guyane, le Surinam, Guyana,


Venezuela, la Colombie, le Pérou et la Bolivie. Elle contient 15 % de la ressource d’eau
douce mondiale, l’Amazonie se situe dans un climat équatoriale, c’est à dire toujours
chaud et humide.

C’est une région avec une extrême bio-diversité.


Les conséquences de la déforestation sont une augmentation de la température, une
baisse de précipitation, et le Co2 est donc moins absorbé, ce qui joue un rôle dans le
réchauffement climatique.

Le Bangladesh :  C’est un état d’Asie, en dessous du Golf du Bengal. C’est le pays le


plus densément peuplé. De plus ce pays est très pauvre, il est soumis à des aléas naturels
(les cyclones et les inondations), il s’agit d’une région extrêmement plate, et le Gange
traverse le pays, ce qui fait que les inondations sont fréquentes.

Développement et démographie : des défis multiples à relever

INTRODUCTION : Le monde est de plus en plus peuplé, les inégalités continuent


de croître et les ressources sont surexploitées.Ce constat à l’échelle planétaire peut être
nuancé à une échelle plus régionale. Il y a de multiple niveaux de développement. Il faut
distinguer le sous développement (Afrique subsaharienne par exemple) et le mal
développement Asie du sud par exemple). Il y a également plusieurs types
d’accroissement démographique puisque certaines populations vieillissent (pays riches)
tandis que d’autres sont très jeunes et augmentent très vite (pays pauvres) Comment
relever ces défis du développement et de la démographie ? I/ Les disparités de
développement à travers le monde QUESTIONS à se poser : Quel message le dessinateur
de presse Plantu a-t-il voulu faire passer avec ce dessin ? A/ Des inégalités à l’échelle
planétaire : la limite Nord/Sud Pour chacune des cartes pages 124/125 et 128/129
Rédigez une phrase qui présente l’essentiel de l’information donnée. Point méthode :
lorsqu’on étudie un document (carte ou série de données statistiques ou photos) on
cherche d’abord à dégager l’information générale et ensuite on affine l’analyse en se
concentrant par exemple sur les données extrêmes pour considérer les contrastes forts.
Carte page 125 :De quel type de carte s’agit-il ? Qu’est ce que le PIB et le PIB/habitant ?
Rédigez une phrase qui présente l’essentiel de l’information donnée. Carte page
124 :Rédigez une phrase qui présente l’essentiel de l’information donnée. Retrouvez la
définition de l’Indice de développement humain (IDH) Carte page 128 :Rédigez une
phrase qui présente l’essentiel de l’information donnée. L’espérance de vie : un bien si
mal réparti à travers le monde Carte page 129 : Les inégalités alimentaires dans le
monde Rédigez une phrase qui présente l’essentiel de l’information donnée. La pauvreté
dans le monde (page 129) Les 17 objectifs du développement durable fixés par l’ONU
pour 2030 (livre page 126/127) Analysez ce document et dégagez la tendance générale.
Est-elle bonne ou mauvaise ? Voir page 135 Schéma d’un développement durable (ou
soutenable) Le développement durable c’est celui qui répond aux besoins des
générations actuelles sans compromettre ceux des générations futures. Il s’impose
comme un impératif pour une planète de plus en plus peuplée, avec un climat de plus en
plus déréglé et des ressources largement surexploitées . Des inégalités fortes mais un
recul de la grande pauvreté nettement plus marqué en Asie qu’en Afrique subsaharienne
où se concentrent les PMA (Pays les Moins Avancés) On peut distinguer 4 grands types
de pays selon leur niveau de développement:

L'interaction sol-structure
(SSI) consiste en l'interaction entre le sol (sol) et une structure construite sur
celui-ci. Il s'agit principalement d'un échange de contraintes mutuelles, par
lequel le mouvement du système sol-structure est influencé à la fois par le
type de sol et le type de structure.

Parallèlement nous pouvons montrer que la présence de la structure influence elle


aussi le comportement du sol, c’est à dire le comportement qu’il aurait en champ
libre. En effet, prenons par exemple deux structures, l’une encastrée dans un solide
rocher, l’autre reposant sur un sol plus souple. La structure encastrée dans le rocher
ne va pas influencer le champ libre. Le sol étant très rigide, le fait d’y ajouter une
structure ne change rien à son comportement. La masse de la structure ne change
rien non plus puisque les efforts d’inerties engendrés par la structure sur la roche
rigide n’ont pas d’effet sur celui-ci. Par contre, pour la structure reposant sur le sol
souple, trois phénomènes vont intervenir: le fait d’excaver et d’inclure une fondation
rigide va modifier le champ libre. Le fait d’inclure la masse de la structure va induire
des efforts d’inerties supplémentaires à la base de la structure et donc dans le sol.
Enfin, lors du chargement dynamique du sol, l’énergie amenée par le mouvement de
la structure est dissipée une, par un amortissement matériel du aux non linéarités du
sol et de la fondation et deux, par le rayonnement des ondes dans le massif du sol
semi-infini.

Ainsi, une influence existe aussi bien du sol sur la structure que de la structure sur le
sol. C’est pour cela que nous parlons de problèmes d’interactions entre le sol et la
structure.

En revanche, ce phénomène noté généralement (ISS), est souvent négligé par les
ingénieurs malgré son influence sur l’analyse du comportement et le design des
bâtiments [9]. En effet, la répartition des efforts dans les membrures peut être
différente suite à une analyse qui tient compte de l’Interaction sol-structure, ce qui
influe sur la sécurité du bâtiment. De plus, l’utilisation normale « sans ISS » peut être
affectée par des problèmes de fissurations causées par les tassements différentiels.
Finalement, les coûts de construction sont influencés par les sections et les
fondations choisies, qui elles-mêmes, sont influencées par la répartition des efforts
découlant de l’interaction sol-structure.

Notion de l’Interaction Sol-Structure (ISS) 


Nous avons évoqué au paragraphe précédent que le comportement de la structure
sur sol rigide n’est pas le même que si le sol était souple. En réalité, le sol n’est pas
parfaitement rigide ; lors d’un séisme, le sol et la superstructure se mettent à vibrer
simultanément et interagissent l’une avec l’autre ; la vibration de la superstructure
entraîne des forces sur la fondation qui sont transmises au sol et modifient sa
réponse etc. Le phénomène de la modification de la réponse du sol (de la structure)
par la présence de la structure (du sol) s’appelle interaction sol – structure .

Les composantes de l’interaction


Il existe deux types d’interaction, cinématique et inertielle dont on doit tenir en
compte dans le dimensionnement de la fondation. Généralement, le terme
interaction sol-structure ne désigne dans l’esprit des ingénieurs que la part inertielle ;
il convient de garder à l’esprit que l’interaction cinématique peut dans certaines
configurations être significative, même si parfois elle peut être négligée.

Interaction cinématique
Si on s’intéresse au mouvement de la fondation, les déformations du sol sont
transmises à celle-ci et engendrent un mouvement de la superstructure, même en
l’absence de superstructure le mouvement de la fondation est différent du
mouvement du champ libre du fait des différences de rigidité entre la fondation et le
sol encaissant, le champ d’ondes incident est réfléchi et diffracté par la fondation et
donc modifie le mouvement total du sol au voisinage de celle-ci, Ce phénomène est
connu sous le nom d’interaction cinématique. Cette interaction induit un filtrage
parfois significatif du mouvement sismique lors de son transfert au bâtiment mais
occasionne des rotations d’ensemble de la fondation dont les effets sur l’ouvrage
doivent être étudiés. La réponse de la fondation sans superstructure au mouvement
sismique incident fournit au concepteur les efforts d’inertie nécessaires au
dimensionnement de l’ouvrage. Enfin, dans le cas de fondations superficielles et
d’ondes à incidence verticale, il n’y a pas d’interaction cinématique et le mouvement
de la fondation sans superstructure est égal au mouvement du sol sans ouvrage.
CLiCours.com :  Fuel Burn Reduction Efforts Before Airborne

Interaction inertielle
La définition de l’interaction inertielle réside dans le fait d’inclure la masse de la
structure, va induire des efforts d’inerties et de moments supplémentaires à la base
de la structure et donc dans le sol, ce qui aura pour conséquence de modifier encore
une fois le champ de déplacement. Par ailleurs, le mouvement induit sur la fondation
développe des oscillations de la superstructure et donc donne naissance à des
forces d’inertie qui sont retransmises à la fondation sous forme de forces et de
moments.
Amortissement dans le sol
La résolution dynamique d’un problème d’interaction sol-structure doit prendre en
compte l’amortissement dans le sol qui est devisé en deux types : l’amortissement
matériel et l’amortissement géométrique ou radiatif.

Amortissement matériel
Ce type d’amortissement correspond à la dissipation sous forme de chaleur dans la
structure d’une partie de l’énergie injectée dans cette dernière. Dans la pratique il
faut faire une distinction entre l’amortissement interne ou structural qui se produit
dans les matériaux à l’occasion des déformations qu’ils subissent, et les
amortissements externes qui correspondent à des frottements divers et se résument
essentiellement à ceux qui interviennent le long des interfaces de contact entre la
structure et les éléments non structuraux lorsqu’il en existe. En fonction de la nature
du sol, l’amortissement dépend de la fréquence, de l’amplitude des déformations, de
l’état de contraintes, de la teneur en eau et de l’indice des vides.

Les interactions entre les plantes et le


sol
Après avoir abordé le sujet des sols et des plantes, nous pouvons introduire
la notion d’interaction entre ces derniers. Cette interaction peut se
distinguer par différents milieux. Ainsi, chaque plante a des exigences
climatiques particulières et est adaptée à vivre dans ces conditions.
A l’arrivée de l’hiver, les végétaux ralentissent leur vie et entrent en
dormance, en raison de la diminution de la longueur du jour. La
photosynthèse diminue et la chlorophylle se décompose. Ainsi, on peut voir
apparaître les différents pigments qui donnent une couleur caractéristique
aux feuilles de l’automne.
Cependant, la dormance chez les végétaux n’est pas la même.
Elle se différencie par :
- Certains végétaux se dénudent alors que d’autres les gardent.
- La famille des cryptophytes, plantes herbacées, ne gardent plus que leurs
racines en réserve.
- Les thérophytes n’existent plus que sous la forme de graines.

 La biodépollution 
La dépollution biologique des sols ne bénéficie pas de l'expérience acquise
dans le secteur de l'eau car il est nécessaire de Depuis le milieu du XIX e
siècle, les effets de l'industrialisation ont rompu l'équilibre existant pour le
recyclage naturel des éléments. Le rejet brutal et massif de résidus
toxiques dans l'environnement a peu à peu conduit à l'apparition de risques
nouveaux, encore mal évalués, pour l'équilibre des écosystèmes. La
dégradation de l'environnement est générale et concerne tous les milieux,
l’air, l’eau et le sol.
La contamination des sols a des conséquences directes sur son
fonctionnement et ses caractéristiques, et des conséquences indirectes sur
la biosphère et l'atmosphère. Cette pollution, en raison de la saturation des
sols, peut poser de graves problèmes lorsqu'elle atteint une nappe d'eau
souterraine qui est employée pour l'usage domestique.

Comme pour l'eau, le processus le plus naturel de dépollution d'un sol fait
intervenir les micro-organismes. La microflore est en effet capable d'utiliser
tout ou une partie de ces polluants comme source de carbone et d'énergie.
Pour le Stade de France, à Saint-Denis, près de 15 000 mètres cubes de
sols pollués par des hydrocarbures aromatiques ont été traités
biologiquement en stimulant l'activité des bactéries déjà existantes grâce à
un apport de nutriments et en jouant sur des paramètres tels que la teneur
en eau ou en oxygène.
De nombreuses espèces de micro-organismes sont naturellement
présentes dans les sols, à l'exception des environnements extrêmes
comme le désert, dans de fortes proportions. On considère généralement
qu'une concentration de 10 5 à 10 6 bactéries par gramme de sol est
suffisante pour induire la biodégradation de la plupart des substrats
organiques.
Les plantes peuvent également participer à la biodépollution des sols,
méthode appelée phytoremédiation. Les polluants organiques sont en effet
plus facilement dégradés dans la rhizosphère (région du sol directement
formée et influencée par les racines) que dans le reste du sol, car les
micro-organismes y sont beaucoup plus nombreux. C'est la
phytodégradation. En ce qui concerne les sols pollués par des métaux
lourds, fréquemment rencontrés sur les sites d'anciennes mines ou usines,
il a été découvert des espèces capables de pousser sur ces sols alors
qu'aucune autre plante n'y survit. Par exemple Thlaspi
caerulescens ou tabouret des bois, petite plante de la famille de la
moutarde, peut non seulement croître normalement mais aussi absorber
par ses racines et accumuler dans ses feuilles de grandes quantités de
métaux lourds, notamment le plomb et le cadmium, les éliminant ainsi du
sol. Ce processus est appelé phytoextraction. Mais ces plantes poussent
lentement et produisent très peu de biomasse. L'efficacité de la dépollution
des sols par cette méthode est donc assez faible. Des recherches visent
actuellement à conférer les propriétés de ces plantes dites
hyperaccumulatrices (capable de stocker dans ses tissus une quantité
élevée, voire très élevée, d'un ou de plusieurs éléments) à des espèces
dotées d'une forte vitesse de croissance comme le maïs. Les métaux lourds
accumulés dans les feuilles de ces plantes pourraient alors être récupérés
après fauchage et incinération.
On peut donc dire que la phytoremédiation présente l'inconvénient
d'être lente (plusieurs années), mais l'avantage d'être peu coûteuse.
La dépollution biologique des sols ne bénéficie pas de l'expérience acquise
dans le secteur de l'eau car il est nécessaire de l'adapter à un milieu solide
et hétérogène. Bien que les techniques de dépollution dans ce milieu par
voie biologique soient attrayantes, leur mise en œuvre se heurte
notamment à la difficulté de prédire correctement leur efficacité. Cette
difficulté est essentiellement liée à la diversité et à la complexité des
phénomènes contrôlant l'efficacité des traitements, mais aussi au fait que
les travaux de recherche publiés ont été effectués dans des conditions
expérimentales assez variables, correspondant dans de nombreux cas à
des problèmes spécifiques du site pollué étudié. Les résultats disponibles
sont ainsi difficilement transposables d'un cas de pollution à un autre. Il
apparaît donc nécessaire de tenter d'homogénéiser les approches
expérimentales afin de faciliter le transfert des résultats de laboratoire vers
les situations de terrain.

Introduction :

Il existe deux grands types de relation entre le sol et la flore :


-Les actions exercées par le sol sur la flore, caractérisées par l'action
de l'eau, l'acidité ( pH ), et des autres éléments minéraux tels que le
calcaire, le sodium, le calcium, l'azote et les nitrates.
-Les actions de la flore sur le sol, par la protection contre l'érosion et
les actions des plantes dans le sol.
Le sol est constitué de trois grandes couches :
-L'humus, qui est obtenu par la décomposition de matières organiques
à la surface du sol.
-Le sol, composé d'éléments minéraux fins et d'autres plus grossiers
( petits cailloux ).
-Le sous-sol, constitué par la roche mère.

Après avoir abordé le sujet des sols et des plantes, nous

pouvons introduire la
notion d’interaction entre ces derniers. Cette interaction peut se distinguer par différents milieux.
Ainsi, chaque plante a des exigences climatiques particulières et est adaptée à vivre dans ces
conditions. 1. Composantes de l'environnement

Notre environnement comprend les êtres vivants et le monde non vivant.

o Les êtres vivants appartiennent à deux grands groupes :


- la faune, ensemble des animaux d'une région ;
- la flore, ensemble des végétaux d'une région.
Ils se caractérisent par un cycle de vie à durée variable. Ils naissent,
croissent, se reproduisent et meurent.

o Le monde non vivant comprend :


- les composantes minérales, encore appelées éléments minéraux : l'eau,
les roches et l'air invisible. L'eau, salée ou douce, occupe la majeure partie
de la surface terrestre. L'air, sous forme de gaz, contient du diazote, du
dioxygène, du dioxyde de carbone et des traces de gaz rares. Les roches
occupent le sous-sol et participent à la formation du sol.
- les restes des êtres vivants : plumes d'oiseau, os, bois, feuille tombée,
cadavres.
- les productions humaines proviennent des composantes minérales, des
restes d'êtres vivants et des marques de l'activité humaine qui dominent
(champs, maisons, ponts, etc.).
2. Tentative de distinction
Distinguer les composantes vivantes des composantes non vivantes s'avère très
difficile. Cependant l'utilisation de certains critères permet d'y voir clair :

 Ainsi le déplacement ne permet pas de faire la distinction entre le vivant et le non


vivant : une goutte d'eau ruisselle et coule vers la rivière. L'air, sous forme de vent,
souffle alors que l'arbre reste fixe.

 L'état physique, a priori utilisable, paraît difficile à exploiter. Tous les êtres vivants sont
solides, alors que les éléments non vivants peuvent être solides, liquides ou gazeux. Ils
peuvent même changer d'état de façon réversible comme l'eau.

 L'alimentation sépare bien les deux mondes. Le monde non vivant ne s'alimente


pas, alors que tous les êtres vivants prélèvent les éléments nutritifs et l'eau dans leur
environnement. Par ailleurs, la faune et la flore réalisent cette fonction différemment. De
plus, certains êtres vivants hibernent à certaines périodes et cessent de s'alimenter.
 La reproduction est la caractéristique du monde vivant par excellence. Elle sépare
clairement les êtres vivants des éléments non vivants. En effet, tous les êtres vivants se
reproduisent et laissent une descendance.

3. Relations entre les composantes de


l'environnement
Des relations de tout genre s'établissent entre un être vivant et un autre, entre un être
vivant et un élément minéral.

Chaque relation met en évidence une activité particulière :


o de type alimentaire entre la lionne et la gazelle, et aussi entre les joncs et l'eau ;
o de reproduction entre la rainette mâle et la rainette femelle ;
o de déplacement entre le ragondin et l'eau ;
o de compétition entre le rouge-gorge et le merle qui se disputent un ver de terre ;
o de transport entre l'homme et l'eau ;
o de parasitisme entre le gui et le pommier, etc.

L'essentiel

Dans notre environnement proche, on distingue d'une part le monde non vivant avec
ses restes issus d'êtres vivants, ses composantes minérales et les marques de l'activité
humaine, et d'autre part, les êtres vivants.
Distinguer les êtres vivants et les composantes minérales n'est pas aisé. Certains
critères comme le déplacement ou l'état physique s'avèrent insuffisants. Mais d'autres,
notamment les fonctions vitales, marquent bien la différence.

Les êtres vivants habitent toujours dans un environnement où l'eau, les roches et l'air
existent. Ils entretiennent des relations entre eux et avec leur support : ils boivent de
l'eau, respirent l'air qui les entoure et utilisent les roches pour élaborer des édifices.

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