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Abstract /Résume

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Introduction générales
1.Contexte général et problématique
Le rif est surtout la région d’Al-Hoceima peut être est la zone la plus touchée par les
phénomènes des instabilités des terrains a l’échelle national . L’ensemble de la région ne
présente pas le même risque face aux phénomènes d’instabilités ; les zones de hautes
altitudes et les zone actives tectoniquement présentent une sensibilité importante. Ces
instabilités dues à sa complexité géologique, morphologique et climatique et cause
habituellement des dégâts en vies humaines, pertes de terres arables et destructions des
infrastructures (routes, et ponts…). L’instabilité de terrain dans la ville d’Al Hoceima est
assez hasardeuse puisque de nombreux éboulements et glissements de terrain se produisent
de temps en temps.. La susceptibilité aux glissements est issue grâce a la combinaison de
hypsométrie, la lithologie, l’hydrologie, loccupation et surtout la pente de cela permet de
définir les zones les plus vulnérables.

2. Les objectifs et Structures du rapport


L’objectif de ce projet est la réalisation d’une carte de susceptibilité aux glissements de
terrains dans la ville d’Al-Hoceima en utilisant la méthode d’Analyse Multicritère AHP
(Analytic Hierarchy Process).
Le rapport s’articule autour de quatre chapitres :
Le chapitre 1 (Etat de l’art) est une étude bibliographique qui nous permis de
comprendre les définitions de bases puis l’aléa de glissement du terrain.
Le deuxième chapitre présente les caractéristiques géographiques climatiques,
hydrologiques, géologiques et sismotectonique de la zone d’étude.
Le troisième chapitre est consacré à la méthode de travail pour évaluer la
vulnérabilité des terrains a la susceptibilité aux glissements.
Le dernier représente la discussion des résultats et la validation des donnes
Chapitre 1
Définition du glissement de terrain :
Un glissement de terrain peut être défini comme le mouvement vers le bas d’une pente d’une masse de
sols le long d’une surface de rupture, qui s’amorce dans un talus sous l’effet de la gravité. La surface de
rupture le long de laquelle glisse la masse de sols.

Glissement de terrain.
les glissements de terrain sont un phénomèn naturel (alea). Leur performance est généralement due à
la combinaison de facteurs aggravants ou de facteurs déclenchants, y compris la présence d'érosion, la
pente, les propriétés géologiques et géotechniques et les Conditions du sol, des eaux souterraines, etc.
Ils apparaissent principalement au printemps et en automne, lorsque La pression de l'eau dans le sol est
élevée, de sorte que la La stabilité des sols est perturbee, leur répartition dans le temps est Irrégulières,
leur fréquence peut augmenter suite aux événements météorologiques extrêmes . les glissements de
terrain peuvent également être causés par l'intervention humaine.
Classification des glissements de terrain:
À des fins de cartographie gouvernementale des Zones où des glissements de terrain peuvent se produire
Dans les dépôts non consolidés, le type de glissement de terrain a été Divisé en deux séries selon la taille
Que peut atteindre leur retrait au sommet du remblai. deux d'entre ces classification sont celles avec des
pentes faibles ou peu glissantes non-rétrogressifs et celle des glissements fortement rétrogressifs. Le
changement fortement régressif se produit uniquement dans les sols argileux.
Des nombreux scientifiques, ont présentés plusieurs classifications des mouvements des terrains, en
faisant intervenir des critères tels que : la mécanique des sols ; nature du matériau ; Dimensions du
mouvement ; cinématique du mouvement ; vitesse du mouvement ; morphologie et type de surface de
rupture ; cause de la rupture ; l’âge de la rupture, etc. à proposer une classification qui basées sur le
caractère géomécanique des mouvements de pente et de leur vitesse, quatre processus sont distingués :
glissement ; fluage ; écoulement ; écroulement. D’autre Classification avec Varnes (1978) , les types de
mouvements de versant sont suivants : éboulements ; Glissements ; Extension latérale ; Ecoulement. La
classification de Varnes, propose également une échelle de vitesse afin de caractériser le degré d’activité
des différents mouvements.

Classification de glissement de terrain.


Une autre Classification basée sur la vitesse de déplacement dans le même contexte. Le degré d'activité
de divers glissements de terrain peut également être classé en fonction de la vitesse de déplacement des
masses impliquées. Donc la force du glissement est différente Dans l'espace d'amont en aval sur l'axe de
déplacement du glissement de terrain. Ces paramètres peuvent être exprimés quantitativement, y
compris en utilisant des fonctions de distribution spatiale, ou en appliquant des classements d'intensité
qualitative relative, tels que lent, moyen et rapide, ou faible, moyen et élevé. Le tableau suivant prend
en compte les glissements de terrain à la vitesse de déplacement des masses impliquées en tentant
d'établir les niveaux d'intensité.
Tableau : Classification des glissements de terrain en fonction de leur vitesse de déplacement
Vitesse Description
Vd < 16 mm/an Extrêment lent

16mm/an < Vd < 1.6 m/an Très lent

1.6m/an < Vd < 13m/mois Lent

13m/mois < Vd < 1.8 m/h Modéré

1.8 m/h < Vd < 3m/Mn rapide

3m/Mn <Vd < 5m/s Très rapide


Vd > 5 m/s Extrêment rapide
Le tableau suivant représente les différentes manifestations de glissements de terrain dans les sols
et les roches meubles proposé par Taleb H. A., (2019).

Tableau : Classification typologique des glissements de terrain

Morphologie des glissements de terrain:


Le glissement plan ou transactionnel :
En glissement plan, la surface de rupture est droite et la masse de sol en mouvement glisse le long de
cette surface. Elle correspond à l'évolution du mouvement de la masse le long d'un plan de faible
résistance mécanique. Les glissements de terrain plats sont généralement observe par la structure
géologique de la pente et par des surfaces ou des zones de faible résistance mécanique.

Schéma d’un glissement de terrain plan.


Les glissements rotationnels :
Le glissement rotationnel est caractérisé par une surface de rupture de forme circulaire qui peut se
propager à quelques mètres de profondeur. Il est causé souvent par l’érosion naturelle d’un cours
d’eau à la base d’un talus. l’eau à la base des talus a pour effet d’entraîner graduellement du
matériel. De plus en plus, cette érosion modifie les conditions d’équilibre de la pente.
Glissement de terrain rotationnel.
Pendant un glissement rotationnel, les enjeux situés dans la bande de terrain en sommet de talus
(routes, bâtiments, infrastructures, etc.) subissent des dommages dont l’importance peut varier.
Le fluage :
Le fluage constitue la manifestation externe des déformations du sol dans sa masse. C’est un mouvement
lent, de faible amplitude, qui se développe dans une zone dont les contours sont généralement difficiles
à définir, tant en extension qu'en profondeur.

Schéma du fluage.
Les coulées
Elles sont dues à la mise en mouvement brutale, de masses de sol à l'état "liquide" qui, dans leur
écoulement, peuvent transporter un débit solide important (rochers, troncs d'arbres, débris de
constructions, etc.) dont l'impact sur les structures peut être désastreux.
Coulée de boue.

Les écroulements:
Ce sont des chutes de masses rocheuses importantes, généralement dus à des causes internes au massif.
Ils peuvent se produire suite à la dislocation d'une masse rocheuse diaclasée et fracturee soit par
Glissements banc sur banc d'une masse rocheuse stratifiée Par écroulements de masses mises en surplomb
par érosion ou dislocation de couches tendres sous-jacentes. Ou par fluage ou glissement d'une couche
sous-jacente

Écroulement par fluage d'une couche sous-jacente.


Les causes d'instabilité de terrain:
Les observations et les études effectuées ont permis de mettre en évidence certaines conditions de site
favorables à l’apparition de tel ou tel phénomène d’instabilité. De nombreux paramètres, naturels ou
anthropiques, conditionnent l’apparition et le développement des glissements de terrain tell que : les
facture permanentes et les factures variables.
Facteurs permanents :
Les instabilités le long de la section en glissement peuvent être causées par plusieurs paramètre
permanents tell que :
Géométrie et la morphologie :
La pente des talus est un paramètre majeur qui conditionne sa stabilité. Il existe une pente limite au-delà
de laquelle on observe un optimum favorable aux glissements. Les pentes pouvant être à l'origine de la
rupture d’équilibre du sol en question, plus que la pente des talus est grande plus que les devienne fort.
Facteurs hydrauliques
Ruissellements de surface : généralement on parle du ruissèlement lorsque l’intensité de la pluie est
forte et elle dépasse la capacité du sol a laisser l’eau s’infiltrer. Il s’agit de la circulation de l’eau sur la
tranche supérieure du sol saturé. Il induit, essentiellement, des phénomènes d’érosion superficielle qui
modifient la géométrie des versants et donc leurs conditions de stabilité.
Evapotranspiration : Pendant et après un épisode pluvieux, une partie considérable de l’eau arrivée au
sol est immédiatement évaporée, les racines des plantes sont reprises de l’eau du sol. Ce qui provoque
le phénomène de retrait, donc la formation des fissures.
Humidification du sol et infiltration : L’eau joue un rôle central dans les processus de glissements en
milieux argileux.. Quand la pluie se tombe et se poursuit suffisamment et longtemps cette
l’humidification sera de plus en plus importante et entraîne une infiltration d’eau dans le sol vers la
nappe ce qui peuvent jouer un rôle mécanique dans l’équilibre de terrains.
Facteurs variables dans le temps
Géologie :
Les discontinuités affectant la roche cohérente sont déterminantes pour la stabilité du massif rocheux.
La tectonique, simple ou fragile, c'est-à-dire la présence de failles, de fissures occupent une condition,
notamment la susceptibilité du terrain à l'instabilité. La topographie naturelle affligée pouvant présenter
des formations rocheuses anciennes (talwaegs), des joints sédimentaires surtout la schistosité (S1) ou
des plans de foliation constituent des surfaces fragiles sur lesquelles des fractures sont affectées et
peuvent servir d'étude pour prédire les mécanismes de glissement.
L’activité sismique :

Les tremblements de terre déclenchent souvent des glissements de terrains dans les zones sismiques,
même la plus petite secousse peut provoquer de mouvement de masse importante du sol qui est déjà
sensible à d'autres facteurs d'affaiblissement. L’intensité des mouvements de terrain déclenchés par
les séismes peut être caractérisée par :
Le volume de matériaux déplacés par le mouvement ;
La mobilité de ces matériaux lors du mouvement ;
L’aire recouverte par les matériaux après l’arrêt du mouvement.
Les précipitations :
Ils jouent un rôle direct dans le déclenchement du mouvement de sol. En fait, la pluie agit directement
pour déclencher un mouvement à grande échelle en réduisant la résistance au cisaillement et en rendant
les terres gorgées d'eau plus plastiques ; cela entraîne directement le déplacement de la masse sous son
propre poids.
Glissements de terrains observés à travers le Maroc (Rif)
L'instabilité du terrain est l'un des problèmes majeurs les plus graves affectant plusieurs régions du
Maroc, notamment le nord de ce dernier et dans une moindre mesure, la région du Moyen Atlas. En
raison de sa situation géographique et de son inclinaison naturelle, le Rif est l'une des montagnes
méditerranéennes les plus sujettes aux glissements de terrain.
La ville d’Al Hoceima appartient à la zone interne des unités structurales du Rif formée lors de
l’orogenèse alpine C’est la zone plus touchée par des instabilités de terrain qui se manifestent à l’échelle
de tous les versants par des mouvements, plus ou moins profonds affectant tous les terrains dans la ville.
L’instabilité de terrain dans cette zone est assez précaire parce que de nombreux mouvements se
produisent fréquemment.
Glissement de terrain de Tala Youssef :
Se trouve à l'ouest de d'Al Hoceima, le long du littoral méditerranéen, Tala Youssef présente des
structures géologiques de la nappe paléozoïque de Béni Hozmar (nappe paléozoïque ghomaride). La
coupe ci-dessous montre une lithologie tendre (schistes et argilites) surmontées par des formations
rigides (calcaires ). Le site représente des failles de direction N70. Le séisme de 1994 a cause des
effondrements de blocs calcaires d'une ancienne niche d'arrachement.
Coupe géologique au niveau de Tala Yousse (A. Talhaoui, M. Aberkan, Iben Brahim, A. El Mouraouah 2014).

Les écroulements de Cala Bonita :

La zone est marquée par des falaises d'une dizaine de mètres de hauteur. Dans ce secteur, les formations,
carbonatées appartenant à la dorsale calcaire interne et couvrant les terrains rouges triasiques à faciès
tendres, faillés. Les accidents tectoniques (failles normales), la lithostratigraphie (faciès tendre surmonté
par un faciès rigide), associés aux précipitations qu'a connues la région en hiver, paraissent être la cause
principale de ce glissement de terrain. Pourtant, le séisme de 1994 a engendré des écroulements à ce
niveau. Ces phénomènes semblent être guidés par le rejeu des failles normales situées à l'amont de la
falaise.

Coupe géologique au niveau de Cala Bonita (A. Talhaoui, M. Aberkan, Iben Brahim, A. El Mouraouah 2014).
Définition: alea, conséquence, risque, vulnérabilité.

L'aléa :
C’est le phénomène naturel qui peut engendrer des dommages dans une région au cours d'une période
donnée. L’aléa glissement de terrain consiste à évaluer l’exposition d’un site ou une région à un
mouvement de.
Conséquence :
les conséquences que pourrait être causé par le risque sont diverses et peuvent se traduire par des pertes
humains, des dégâts matériels et structurels... Les conséquences potentielles de l'action de l'aléa sur les
enjeux sont fonction des éléments exposés et de leur vulnérabilité (Glade, 2003).
Suite d’action des glissements de terrains résulte des évènements qui peuvent modifier la morphologie
dans une zone donné.
Le risque :
Le risque glissement de terrain représente fait référence a la gravite du glissement et ses conséquences
dans une région bien définie. Il est proportionnel à la vulnérabilité des constructions et aux enjeux (humains
économiques et environnementaux). Il s’agit en fait de la probabilité d’avoir des dégâts suite à un glissement
de terrain . Son expression est exprimée actuellement comme étant le produit entre l’aléa, la vulnérabilité
et les enjeux.
Risque sismique = Aléa sismique * Vulnérabilité * Enjeux.
La vulnérabilité :
Elle traduit un degré de perte par une quantification des dommages infligés à une région (de 0 % à 100
%), en conséquence ou suite à un phénomène susceptible d'engendrer des victimes et des dommages
matériels. La vulnérabilité aux glissements de terrain serait donc l’aptitude des constructions et des
infrastructures à subir des dégâts à cause d’un glissement de terrain.

Les Spécificités de l'alea glissement de terrain :


La spécificité est que la nature des phénomènes est très variée et malgré toutes les recherches et
les études effectuées a propos de ce sujet sauf que l'évaluation du risque surtout celui glissement
de terrain a encoure besoin des études.
Cette manque des études a plusieurs paramètre tell que :
− La diversité des processus d’aléas liée à l’instabilité de terrains ce qui rend la mesurer
D’impact potentiel compliquée et plus déficèle.

− La manque d’une base de données d’historique des études sur la vulnérabilité qui
Permettre de faire une estimation des conséquences potentielles du phénomène.

Les Méthodes de cartographie du risque glissement de terrain :


Les méthodes d'évaluation des risques supposent une estimation des dangers et une évaluation des
conséquences de l'exposition aux éléments. Dans la mesure où il est souvent difficile de quantifier le
degré d'aléa « glissement de terrain », seule la sensibilité est généralement retenue. Il est défini comme
la probabilité spatiale qu'un glissement de terrain se produise dans une zone sous différentes conditions.
Conditions environnementales locales La cartographie des aléas est généralement effectuée de manière
experte, c'est-à-dire connaissances actuelles.
Le choix de la méthode est plus ou moins complexe, dépend des objectifs de l'étude et de la qualité et de
la quantité des données requises. Toutes les méthodes Les éléments exposés doivent être identifiées ainsi
que leurs valeurs définies. L’objectif principal des auteurs est de créer des méthodes analytiques
généralisables.
La typologie la plus large distingue les trois approches suivantes.
Une approche experte, qualitative pour une évaluation régional fondée sur
L’identification de zones homogènes sensibles et des principaux enjeux.
Une approche analytique semi-empirique et semi-quantitative, au niveau local
fondée uniquement sur une évaluation relative de la valeur des éléments exposés à
travers des indices.
Une approche analytique quantitative fondée sur un calcul détaillé de la valeur et de
la vulnérabilité des éléments exposés.

Les méthodes les plus utilisées sont les méthodes qui ne demandent pas d'études longues de la
vulnérabilité et les méthodes semi-quantitatives qui peuvent s'abstenir des données économiques.
Une classification qualitative de l’aléa est alors adoptée lors de la cartographie du phénomène. Le BRGM
(Bureau de Recherches Géologiques et Minières) en France propose une classification basée sur des
critères d’identification observés sur le terrain.
Tableau : Classification qualitative de l’aléa glissement de terrain.

Limites de ces données :


Il existe différentes approches de la cartographie des risques d'instabilité des terres et d'autre part, le
manque de bases de données et d'études de vulnérabilité rend difficiles les comparaisons entre ces
approches et l'estimation des conséquences potentielles restent un peu difficile. Par ailleurs, la diversité
des aléas de glissements de terrain nécessite un travail à plusieurs échelles. Pourtant Chaque approche
a son niveau d'analyse, et change d'échelle .Encore une fois, plusieurs aspects sont rarement intégrés dans
la méthode de L'évaluation et de l'évolution de l'exposition dans le temps et l'intégration des perceptions
des habitants sont deux points fondamentaux de l'analyse des risques. Enfin, cette évaluation est presque
impossible de traiter les risques économiques par une analyse coûts-avantages, notamment en raison du
manque de données économiques sur les dommages.

Références bibliographiques.
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gouvernementales en aménagement du territoire (Québec).

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- secrétariat d’etat auprès du ministère de l’energie, des mines, de l’eau et de
l’environnement chargé de l’eau et de l’environnement département de l’environnement
direction de la surveillance et de la prévention des risques : etude pour la realisation d’une
cartographie et d’un systeme d’information geographique sur les risques majeurs au maroc.

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