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Ecritures et images

Supports et instruments
Revoir notes papier

Dernier support, les ardoises : marginal mais relativement utilisé au Moyen age. A villers la ville,
ardoises gravées incisées instrument a pointe. Instructions pour la clepsydre. (qui vole l’eau, grand
récipient qui a petit trou à la base, flotteur a la surface relié a un cadran avec aiguille qui va bouger
avec le niveau qui baisse). Trouvé en antiquité mais réutilisé au Moyen Age. Heures dépendaient du
moment de l’année.

Instruments du scribe
- Stylet
o Instrument contondant, petite pointe parfois un peu ouvragée. Métal, ivoire ou os.
Pointe et empattement, spatule pour lisser et corriger. Utilisé aussi pour supports
comme le parchemin pour tracer des lignes, la justification. Réglure à la pointe sèche.
Mini relief qui est creusé dans la page. Très discret.
o On pouvait noter avec les stylets des indications pas apparentes sur la page. Notes
marginales visibles avec inclinaison de la lumière. Griffelglossen. (griffel, stylet)
Gloses.
o Représenté depuis l’antiquité. Peinture de Pompéi.
- Mine de plomb ou d’argent. Pointe qui laisse une petite trace.
o Peut être utilisé pour tracer esquisses de lettres ou de miniatures. Chef atelier script
traçait un schéma de ce que ils devaient faire.
o Réglures à la mine de plomb.
- Calame (latin calamus, roseau sens premier, calamo roseau en italien, calamaio encrier)
o Un des plus répandus
o Section de roseau sèche dont on taille en biseau la pointe. Instrument à écrire sur
papyrus dominant dans l’antiquité. Codex amiatinus, une des plus vieilles. ,on voit
scribe avec calame.
o Toujours utilisé époque médiévale. Mais déclin
- Plume
o Instrument dominant période médiévale.
o Outil principal du scribe.
o Plumes d’un certain calibre. (pas petits oiseaux). Une plume d’oie le plus souvent. Il
faut la tailler, d’abord en biseau. Revoir comment tailler.
o Bien conçu et bonne qualité mais s’use. Après quelques jours d’usage il faut retailler.
Scribe toujours avec un couteau. Sur miniature, main droite la plume ébarbée.
o Les rémiges, on prend les rémiges primaires, dix plus grandes plumes. Parfois plume
de corbeau ou certains rapaces de grande taille ou goléands selon les régions.
(Espagne vautours aussi)
o Jacques sténon en parle mais pas sur de lui.

Le scribe au travail. Représenté avec son encrier. Couteau pour tailler la plume. Parchemin
matière pas aussi facile a poser que papier. Couteau aussi pour gratter les fautes. Vers 1120.
On retrouve presque de manière identique époque bourguignonne. Toujours les même
instruments. Plusieurs encriers et places pour les plumes dans son pupitre. Deuxième petit
pupitre pour le modèle qu’il coupe avec languette qui maintient la page ouverte. Toujours
utilisé jusqu’au 17e siècle plume domine. Plume métallique apparait au courant 17 e et
remplace doucement plume d’oie.

Encres
- Encres sombres
o Carbone : suie, charbon de bois pilé. Et un liant. Il faut réhumecter le matériau de
base.
o Donne noir ou un peu brun
- Noires ou métallo-gallique
o Excroissance parasitaire. Noix de galle (cuire, réduire devient matière tinctoriale), Sel
métallique (fixe et accentue durabilité) et un liant.
o Liquide qu’on conserve dans encrier.
o Substance à la longue un peu corrosive. Entame la surface. On el voit sur manuscrit
papier fin du moyen age endroits ou papiers presque troué, pertes de textes.
- Rouge au minimum vermillon (vers qui se développe sur arbres, pilé donne cette couleur)
o Très utilisé pour mettre en relief certaines parties. Certaines rubriques. (ruber,
rouge)
o Ou alors indication (moralitas en rouge) lettres grands formats en rouge.
o Pied de mouche.
- Parfois teinture bleue très précieuse, bleu de cobalt ou Lapis lazuli très cher.
- Peinture dorée, chrysographie.

Edition 16e manuel d’écriture, représentation de tous les instruments. Compas pour grandes initiales
ou figures ornementales ou didactiques (constellations).

Terminologie des écritures


Notions de base
Plume s’utilise avec encre dans certaine position. Marque un trait

- Trait (4 possibilités)
o Obliques les plus épais, axe de la partie la plus large de la plume.
o Diagonale dans l’autre sens tout léger, tranche de la plume.
o Haut en bas, bas en haut pas possible, résistance de la plume.
o Gauche a droite.
- Temps : traits tracés par la plume sans la lever.
o Lettre B en deux temps.
- Ductus : observation des traits et des temps pour voir la succession du tracé d’une lettre.
o Lettre simple comme le i
o Le g minuscule en 5 traits en 4 temps.

Ecritures courantes, plume plus en pointe donc ductus plus difficile moins de contrainte que plume
en biseau.

- L’angle
o Par rapport sens de la ligne, plume verticale ou inclinée<. (image ppw droite vertical,
gauche plus tardive très diagonaux)
- Poids de l’écriture
o Empesées ou légèress. Gauche plus léger car plus plus en pointe donc moins de
contraste entre les pleins et les déliés. ) (plein trait le plus large).
- Module
o Taille écriture
o Petit ou grand module. A droite on voit que un scribe utilise plusieurs modules, bible
glosée. Gloses sur le coté ou glose interlinéaire (petite indication pas continu)
- Niveau d’exécution
o Soigné, élevé, médiocre, négligé.
o Grande variabilité
o Manuscrits de luxes, presque tout est « peint ».
o Brouillons personnels aussi.

Petits termes, vocabulaire descriptif précis.

- Majuscules et minuscules.
o Taille (majuscus, majus plus grand) sens dérivé car à la base pas forcément grand
format. Ce qui fait la diff c’est question de structure. Besoin de deux lignes directrices
de l’écriture.
o Majuscule deux lignes directrice, en minuscule il en faut 4. Question de constructions
relatives par rapports aux lignes d’écritures.
- Jambage
o Elément de base avec lettre élément vertical.
- Arc
o Trait qui relie deux jambages
- Haste
o Prolongement du jambage vers le haut
- Queue
o C’est le contraire
- Traverse
o Traverse le jambage
- Panse
o Elément arrondi d’une lettre
o Double panse pour l minuscule
- Empattement
o Plume s’arrete donne extension qui crée un petit losange ou train dessendant. Lettre
avec une patte vers en haut ou en bas.
- Ligature
o Trait qui relie deux lettres voisines avec un petit arc de conjonction. C et t. deux types
de s, le s au dessus de la ligne (s long qui ressemble à f) et le s court classique. S long
et t souvent ligature.
- Fusion de lettres
o O et r un peu fusionné.
o E, a, e dans l’a laeti laeti tia. Sur ma remington portative j’ai écrit ton nom laetitia 

Un point pas forcément point final mais pause quand on lit. Avant la fin du MA

Abréviations pas individuelles au MA. Certain nombre quasiment codé, d’autres un peu plus de
latitude.
Signe divisé troisième ligne du texte, signe qui dit est comme.

Nombre s’écrivent de différentes manières

Avec les lettres

Comme les romains

Chiffres indo-arabes.

Abréviations
Usage pas une invention med, déjà antiq inscriptions grecs et romaines parsemé sigles. (SPQR)

Tout n’est pas écrit parfois couper fin du mot ou mis un signe. Lettres fusionnées ou enclavées déjà.

Notes tironiennes (tachygraphie)


Notations rapides d’un discours, avec petits signes représentant mots. Esclave de Cicéron pour suivre
discours.

Xe siècle souvenir que ça a existé.

Nomina sacra
Noms des entités sacrées

Ecriture onciale, haut moyen age et carolin. (Ihesum, christum, dominum, sancta, pas écrit en entier).

Types d’abréviations
- Sigles
o Iom (sigle codé avec que première lettre du mot)
- Suspension
o Mots dont la fin n’est pas écrite. Parfois une lettre parfois plus.
- Contraction
o On écrit le début et la fin mais pas le milieu. On laisse tomber syllabe ou lettre.
Nostrum = nrm
- Signes spéciaux
o Caractères qui ne sont pas lettres
o Ce qu’on a pris pour un 7 c’est un et.
o Point ligne point c’est un est
o Dominus, domin avec petite boucle.
o Iudeorum, forme de 4, abréviation pour la dernière syllabe.

Edition informatique de Capelli. Sites, école des chartes à Paris. THELEM. Reproduction d’une série de
documents. Essayer de déchiffrer puis correction.

Les écritures gothiques


On part de la minuscule carolingienne. Ecriture de l’époque carolingienne. Prend son nom de
charlemagne. Pas fait lui-même mais son réseau de monastère. Commence deuxième moitié 8 e
siècle. Ecriture commence région Loire et Rhin. A partir de Carlus se généralise. Il veut harmoniser les
usages liturgiques.

Caractéristiques

- Ecriture claire et simple.


- Grande initiale. (ici irlandaise, moines irlandais importants à l’époque)
- Nomina sacra abrégé dans ces textes.
- Peu abréviations temps en temps les et (&)
- Système d’abréviation se développe à l’époque gothique.

Au 12e de la minuscule caroline à la gothique. En passant par la prégothique. Pas encore tout à fait
gothique, onduleuse, verticale. Pense des lettres très arrondies. Lettres bien droites mais pas encore
anguleuse. Ecriture de transition.

Contraste pré gothique et gothique textuelle. Permet une écriture de prestige et grande subtilité car
bcp d’efforts pour la réaliser. « Grandes heures de Jean de Berry ». début 15e. gothique textuelle
absolument verticalisée. Et toutes les lettres ont des jambages. Tous identiques et verticaux.
Terminent par losanges en haut et en bas. Même lettres a panses sont anguleuses. Demande
application maximale des scribes qui écrivent à main levée. La gothique petit a petit seconde moitié
12e et bien établi au 13e. jusqu’au 16e. impressions parfois en gothique textuelle.

Formes différentes selon la région.

- Italie : rotunda panse un peu rondes. Mais jambages bien vertical. Littera bononiensis

- Allemagne : Frakturschrift. Angles les plus marqués possibles. Petits développements encore plus
soignés et élaborés.

- Angleterre : type « prescissa » un peu coupée avant. Si on compare avec la française (tout anguleux
vers le bas) pour l’anglaise fin verticale sans le petit losange.

Notre extrait (doc 2) livre de miracles. Conservé à Munich. Bibliothèque la plus riche allemande.
Plutôt prégothique textuelle. Le bas de la page est cousu car la page était en « lisière ». milieu
cistercien donc sobriété.

Certains mots en modules plus grands. Rubriques en rouge. =

Correction de l’exercice de la S5.

Intoduction de diplomatique. Science des écrits. Juger de la sincérité par critique. Qualité du texte.
Tout ce qui pourrait être utile à l’historien. On va se concentrer sur les chartes. Charte ou acte, texte
qui prouve l’exigence d’un fait juridique. Rédigé sous certaine forme pour donner validité

- Charte publique : autorité publique, souverain, comte, pape et qui agit en tant que tel
- Charte privée : une personne privée ou publique qui agit de façon privée comme lui-même.
Aussi en matière de droit privé. Le mariage par exemple.

1. Protocole ; début de l’acte, le texte et le scatocole (texte final)


a. Invocation, signe de croix, in nomine patris écrit de manière diff en plus grand par
exemple. Pour protection divine de l’acte.
b. Suscription ou intitulation, personne se présente, nous Guy de machin, parfois long
comme pour duc de bourgogne.
c. Adresse, soit adresse individuelle, mais ici plus universel. Parfois plus personnel. Mais
aussi tous les chrétiens etc.
d. Le salut pas touj ours présente
2. Le texte
a. Préambule considérations générales. Pas les raisons du pq de l’action mais
considérations sur importance devoir du roi, salut éternel. Moins en – 12 e s.
b. Notification : volonté de faire connaitre le contenu de l’acte. Faisons savoir que
(facultatif)
c. Exposé : exposé des raisons qui vont pousser à écrire cet acte. Historique du terrain
qu’on va léguer ou quoi.
d. Dispositif vrai cœur de l’acte.
i. Avec clauses finales. Peut être de réserve, de consentement (selon la quelle
tous ceux qui pourraient avoir des droit sur le bien s’engagent a respecter ,
ce qui est décidé on peut contester), comminatoire (menace), pénale
(menace d’excommunication, poursuites judiciaires)
e. Corroboration. Formule. Un acte est très réglé et formulé. On suit les même formules
au départ et la fin. Annonce les moyens de validation de la charte, témoins, sceaux.
3. Eschatocole.
a. Date lieu temps
b. Appréciations, plus actes du haut Moyen Age, formule christiannisée qui referme
acte.
c. Mentions hors teneur
4. Signes de validation
a. Sceaux
b. Monogrammes
c. Témoins (liste)
5. Conserve des restes de flexion latines.
a. Un cas sujet pour les mots qui sont sujets, attribut apostrophe ou interjection (cuens)
b. Articles définis.
c. Articles indéfinis.
d. Dicctionnaires
i. Godefroy en ligne
ii. Dictionnaire du français medieval Takeshi.
iii. Le DMF en ligne. Dictionnaire de moyen français

CORRECTION

Souligné quand pas liaison qu’il fallait et quand il manque majuscule et quand pas accent

1. Nous, Guis de Chasteillon, Cuens de Saint Pol, faisons savoir à tous ceaus ki ces presentes
letres verront ou orront
2. que nous, pour le remede de nostre ame et de nos ancisseurs, par l’assentement et par le gré
de noble dame Mahaut
3. contesse de Arthois et de saint pol nostre feme. (pas de point) Et par l’assentement de huon
de Saint Pol nostre Ainsne (ainsné) fil auous (avons) doné
4. et otroié pour dieu (Dieu) et en Aumosue (aumosne) al eglise de nostre dame (Nostre Dame)
de molqines (molesnes). Et al eglise de mon segneur saint Ligier de lu-
5. cheu perdurablement le bois que l’en apele la reonde haie contenans. Quatre journeus peu
plus peu mains. Li gues bois siet el
6. Terreoir de lucheu que len apele les mons. et si avons otroié a la deuant dite eglise trois
journeus a clorre du bois
7. deuant dit et de lour terres qui sunt entour pour faire manandise. Ne plus il n’en pueent
clorre. Et si lour otroions
8. La segnorie. et la iustice de lour gens laiens demorans ou de lour censiers quil i meteroient
en lour lieu. Sans la haute
9. iustice que nous en retenons des persones laies. Et s’il avenoit que fais i avenist de laie
persone dont la iustice aferist a nous
10. Nous volons (v ressemble à un b) qui li chatel de la dite maison soient sauf al eglise de saint
Ligier. Et si lour otroions à nous ne nostre
.
Date même époque que le premier mais différents types de manuscrit.

Document 5b (c’est mon premier commandement) 6 (et contient en tout ) et 7 (noz amez et feaulx)
a faire.

Écriture gothique et pré gothique textuelle. Plume taillée en biseau.

Gothique textuelle, anguleuse verticale.

Gothique cursive dans le doc 7. Trait de la cursive plongé en dessous de la ligne pour le s long. ſ.
Lettres bouclées. B, L. gothique textuelle très géométrique et circonscrit. Cursive plus non chalant.
D’abord administratif, gestion, archives puis gagne autres supports jusqu’aux livres. Coextiste avec
imprimé au 16,18e siècle.

Gothique hybride (ex : batarde bourguignonne) formes régulières mais entre les deux. Ici A a un
étage dans le gothique textuel deux étages. Mais plus dans la cursive. Hybride reste écriture de
prestige pour les ducs de Bourgogne.

Philippe le Bon. (peinture de Van der Weyden) Philippe le bon recevant les chroniques de Hainaut.
Scribe qui remet livre dans acte publique. Scène politique. Importance presque rituel de la remise
d’un livre important.

Premier recopié comme devoir.

Traité de chasse. Bien conservé et documents externes sur sa réalisation. Miniaturiste identifié. A la
KBR. Traité de Henri de Ferrières. Apprentis qui veulent apprendre. Modus et ratio en sont les
professeurs. La bonne méthode et la raison. Roi et la reine interlocuteurs dans apprentis dans le
traité. Vènerie, fauconneries, piégeages (moins courant).

Miniature paysagère. Allusions précises a des lieux familiers.

Chasse du cerf et du sanglier. Motif moralisateur et allégorique. Cerf crucifère, sert a poser les
commandements bibliques. Ensuite même mise en scène avec diable er sanglier et dix
commandements du diable.

Correction du document 5 B.

C’est mon premier commandement

Que l’en maugree dieu souvent

Fay a ton corps tous ses délis

Il n’est point d’autre paradis

Visite souvent mon ostel

C’est la taverne et le bourdel (bcp de graphies pour ce mot) (bouts de lignes, ornements pour éviter
de laisser du vide, miniaturiste fait déco sur la fin de ligne)
Se tu veuls estre en ma mémoire

Si t’affuble de vainne gloire

Desprise du tout pouvre gent

Et n’aimme rien que or et d’argent

Se tu n’as du tien prens l’autrui

Sans riens rednre ainsi l’octri

Se ton père te fait riote

Si li met sus qui il redote

En lieu du service divin

Fault getter hasart sur le vin

Se (sens de si) caraux vois et forceries

Tes voulentes (voulentés) sont acomplies

Se tu as de faultes demise

Si te prens aux biens de l’esglise

Document 6. Aussi batarde bourguignonne.

Et contient en tout .XXVI. parties principales dont ledit premier

Volume en contient .. livres commençant au v e feullet.

In substantia et finissant ou penultime miserere anime.

Ainsi signé

Item ung autre volume contenant la seconde partie dicte candele

Ingri sarlaudi de pareille et samblable lettre et grandeur au precedent

Et a la fin de ladicte seconde partie et d

Est le traictié sainct jerome de centia dei muisibilitate et immen

Sitate euis. Commençant on second feullet purpureo colore.

Et finissant ou penultime de bono ad malum. Sign L. 83

Cours VIII
Ornementation du livre médiéval : la miniature et son développement

1. Introduction
a. Abréviations
i. BAV
ii. BL
iii. …
b.
2. Terminologie
a. Notions désignées par termes précis
b. Miniatures ou enluminures, un peu synonyme. Lumen, lumière. Façon de donner de
l’éclat a un manuscrit avec déco qui met en valeur. Une manière de faire c’est avec
l’or en feuille, prestigieux.
c. Miniature c’est petit ? non ça désigne en fait illustration dans un manuscrit.
Étymologie vient de qqchose de bien précis. Minium substance utilisée pour la
couleur rouge. Minium oxyde de fer utilisé broyé et dilué pour mettre en valeur
parties de textes. Terme généralisé a la fabrication des manuscrits.
d. Décoration et illustrations sont différentes.
i. Juste décoré si inséré dans endroits prévus des initiales avec fioritures, décos
végétales, cadre ornementale dans les marges. Rend le manuscrit plus
précieux mais un degré de signification limité.
ii. Illustration il y a rapport entre la décoration et le texte. Illustrer un aspect du
texte.
e. Comment arriver a notre sens petit objet ? parce que les miniatures peuvent être de
tout petit format. Terme dérivé de manière naturelle.
i. Psautier de Gui de Dampierre. Un des seuls précisément attribuable dans nos
régions a cette époque. C’est un étalon du coup.
f. Page peinte pour une page complète de miniature ou d’un tableau. Miniature a pleine
page.
g. Lettrine, lettre de grand format peinte et décoré avec un arrière plan et une scène. Elle
peut être historié avec une histoire à l’intérieure.
h. Décorations marginales.
i. Baguettes marginales qui supportent déco dans la marge.
ii. Si sur les quatres cotés on peut avoir un encadrement.
iii. Décorations marginales en contre pied du contenu sacré dans le Psautier.
(manuscrit de 150 psaume AT) dans les marges anti discours. Droleries, bas
de page. Scènes de chasses inversées. Lièvre qui poursuit le veneur avec un
chien. Qui l’attrape. Baguette marginale un dragon avec une tete et un bonnet
et il émet un son car un perso pointe son épée sur lui. Carricature des chantres
religieux dans la miniature.
i. Bouts de lignes décorés sur les fins de lignes pas écrites.
j. Manuscrit pour Charles V roi de France, 1365. Roi assis dans le cabinet de
travail. Interprété comme vue intérieur du studium au château de Vincennes. Intéressé
par traduction et tout. Grand patron des intellectuels fin 14 e. il a une roue a livre.
Tourne pour passer de livres à l’autres.
i. Titre courant en haut qui indique de quoi il est question ;
ii. Encadrement complet avec baguettes marginales tout autour avec un petit
dragon (classique fr)
1. Petites fleurs en lières sur la baguette marginale typique aussi
iii. Lettrines pas historiés sur fond d’or. Motif végétal.
iv. Rubrique, grand titre développé en texte qui est le début du contenu.
v. Vignette terme ambigu. Deux contextes :
1. Miniature qui occupe une partie de la justification (espace prévu pour
le texte tracé a l’avanc e pour l’écriture) pas une pleine page ici,
moitié donc on parle d’une vignette.
2. Parfois utilisé pour les petits prolongements en feuilles de vignes qui
sortent des baguettes dans les marges.
k. Initiales sont importantes. Historiquement, c’est le premier support sur les manuscrits.
Élément fonctionnel important qui prend souvent proportions plus grandes et des
décorations. Petit a petit devenu qqchose de très élaboré. Parfois une initiale prend une
page entière.
i. L initiale nue
ii. Initiale ornée, une seule couleur, sobre mais travaillé
iii. Initiale champie, quand elle est mise sur un champ d’une autre couleur.
iv. Initiale filigranée, jeux de deux couleurs avec initiale en couleur et dans
l’autres couelur dessins filiformes qui se développent ab l’initiale. Souvent
alterance rouge et bleu. CHAP 1 rouge sur bleu et le suivant l’inverse.
v. Lettrine ou initiale historiée (lettrine quand full peinte) et historié avec une
petite scène, une histoire.

3. Réalisation
a. Comment connait on la façon ?
b. Infos qu’on trouve de divers cotés
i. En regardant le manuscrit on peut trouver des indices. Surtout dans le cas de
manuscrit inachevés. On voit alors les phases
1. Phases qui se succèdent. Un cadre est repassé. Ici miniaturiste arrive
après le scribe. Tracé du dessin du motif à la plume. Ensuite mise en
couleur. Juste les vêtements ici. Puis miniaturiste reprend a la plume
et retrace les contours pour faire ressortir en relief les perso.
ii. Analyse de laboratoire
1. On peut techniquement analyser les pigments, des reprises (plusieurs
couches de couleur, corrections, reprises)
iii. Textes d’époque.
1. Textes qui décrivent avec plus ou moins de détails la façon dont on
réalise les manuscrits
2. Le plus connu manuel de Théophilus monacus. Théophile le moine
allemand. En Westphalie. Il a fréquenté nos régions. De diversis
artibus. Divers formes d’artisanat. Trois livres.
a. Un sur la réalisation de l’orfèvrerie
b. Un sur le travail du verre, vitraux
c. Peinture, sur murs et sur manuscrits. Comment réaliser
figures ou carnation. Couches superposées.
c. Sources d’inspiration du miniaturiste.
i. Il peut travbailler ab un modèle. Reproduire un modèle.
ii. Sans modèle il faut inventer s’inspirer d’autres choses.
iii. Esquisses marginales tracées par le maitre souvent. Soit dans la marge en
dessin très faible. Avec éclairage particulier, ou analyse rayons ultra violet.
Esquisses préparatoires. Il tracé les persos sans vêtements. Un autre habillera
les figures.
d. Instructions au miniaturiste. Quand texte pas illustrer il faut inventer un programme
illustratif. Tache d’un lettré qui connait le texte et donne des instructions en faisant
petit résumé. Texte latin, traité de chasse pour apprivoiser rapaces. Miniatures
luxueuses. Écrit par le scribe en laissant de la place. Puis instructions en italiens pour
l’artisan. Souvent elles disparaissent éccrites tout en haut ou tout en bas. Rogner les
marges une fois fini.
e. Carnets de modèle. Artisans voyageaient et traçaient dans un petit carnet des
instructions ou des modèles. Avec ou sans texte.
f. Le cas de l’or. Pour appliquer de l’or. Phase complexe et délicate avec technique
particulière. Pas simplement en appliquant ou en traçant. Dans les manuscrits
inachevés on voit aussi la séquence. Bible du 14e sud Italie. Page incomplète on voit
écriture avec espaces libres, dessinateurs a fait contours mais avant couleur or. Or a la
feuille ici. On couvre espace quo’n veut dorer avec assiette à dorer. Support sur la
quelle on met dorure. Pate faite de plusieurs ingrédients (terre d’arménie, un liant, une
couleeur) une fois pate étalée on intervient pour la lisser une fois que ça a séché.
Manche avec dent de ours, loup ou pierre d’agate. Assez physique et bcp
d’application. Une fois le support bien lisse et achevé. Prendre la feuillle trèèès fine et
l’appliquer sur un espace réduit. Or adhère seulement à l’adresse a dorer. On détache
les petits restes pas aux bons endrotis qu’on récupère. Travail précis qui demande
plusieurs phases. Une fois or appliqué il faut repartir dans une phase de polissage le
brunissage. Donner de l’éclat à cette partie dorée.
i. Besant, a la base Byzance, monnaie d’or. Désigne pastie or sur manuscrit
g. Regarder protraits de miniaturistes.
i. Représentation d’un peintre comme si il peignait fresque mais en fait lettrine.
Pupitre avec cornes remplies de pigments.
ii. Chapitre aussi sur la couleur dans manuscrit encyclopédique
h. Pigments minéraux
i. Naturels
1. Malachite, cuivre qui donne le vert
2. Ocre naturellement présent dans le sud de l’europe doré orangé.
3. Broyé et mélangé avec un liant
ii. Chimiques
1. Vert de gris oxydation plaque de cuivre dans un bac avec du purin.
i. Pigments organiques
i. Animal
1. Pourpre, corps interne d’un molusque récolté sur les bords
méditerranée orientale. Liban surtout depuis antiquité. Coloration
forte d’un rouge foncé, sanguin. Matière couteuse réservée a usages
prestigieux ; couleur impériale. Manuscrit de haut luxe. Parfois même
teindre page pour écire en lettre or ou azur.
ii. Végétal
1. Safran, étamine d’une variété de chrocus. On broie et on a couleur du
safran.
a. D’autres plus courant, le vert obtenu ab végétaux
b. La guède bleuté et en Europe.
j. Liants
i. Colle de poisson, on cuit, réduit en bouillie.
ii. Colle de parchemin, cuire et diluer d’une certaine façon
iii. Blanc d’œuf
iv. Gomme du cerisier ou du prunier.
k. Pourquoi ornements et miniatures dans les manuscrits.
i. Prestige du texte : bible au sommet hiérarchie des textes donc décorée de
manière importante dans les monastères mise en valeur par ornement
ii. Prestige du commanditaire : haut perso qui veut montrer sa position dans la
hiérarchie. Ecclésiastique ou laïc.
iii. A la base une fonction directement pratique. Pour s’y repérer dans les
divisions d’un texte on a une gradation des sections qui peut être reflété par
l’usage de la décoration et illustration. C’est fonctionnel.
iv. Illustration du contenu ou complément du contenu : dans certains manuscrits
techniques la miniature va aider a fixer l’attention piur des opérations
difficiles a décrire.
l. Grande majorité pas illustrée et beaucoup même pas décorés. Manuscrits de travail,
utilitaires,…
m. Initiale couvre toutes les catégories de lettres mises en valeur. Lettrine est réservé a
une lettre sur un fond orné. Avec une autre couelour par rapport au fond même
possible. Elle peut être historié.
4. Un parcours régional
a. Italie
i. Zone ou l’on a les premiers exemples de manuscrit avec accompagnement
visuel. Dès le 5e s. très peu.
1. Vergilius Vaticanus. Archétype des manuscrits de virgile. Presque
carré. Format courant des premiers livres. Ensuite plus oblong. En
écriture continue sans division de mots et de phrases. Dans l’Enéide il
y a scènes avec perso de l’action. Rappelle une fresque. Peinture
murale presque transposée au livre.
2. Contexte carolingien. Rappelle machin en majesté. Rappelle aussi art
irlandais avec entrelacs. Rappelle textiles de l’époque. Emprunté aux
manuscrits irlandais. Témoin de plusieurs influences. Texte très mis
en valeur de façon monumentale. Premiers mots du psautier.
Emprunté aux inscriptions romaines.
3. Mont Cassin, premier monastère de saint Benoit. Manuscrits
nombreux et bien conservé ab 11e. décoration foisonante et fouillée.
Ici une page entière pour le B de beatus. Chiens et quadrupède
entremêlés dans les entrelacs de motifs celtiques.
4. 11e et 12e manuscrits révélateurs d’un nouveau stade de
développement. Miniaturiste a occupé espaces réservé par le scribe
pour ajouter des choses comme ici des serpents coloriés par la suite.
5. Règle de saint benoit. Fondateur pour monachisme occidental.
Chaque règle initiale historiée. Façon de concevoir oratoire, arcades,
deux moines en prière.
6. L’art de chasser avec kes oiseaux. 6 livres avec toutes les infos pour
se lancer dans l’entreprise de la fauconnerie. Page suivante
nidification des faucons. Scènes avec des moments du développement
de la nidification de ces oiseaux. Cas élaboré et peu courant.
Miniature illustrative extrêmement développée. Manuscrit de repère
pour miniature du 13e. il a été roi de Sicile Pouilles. C’est un point de
repère car localisé et datable.
7. Manuscrit Saint Georges. Légende du dragon et de Saint George. Les
besants aussi récurrent miniature italienne. Écriture gothique arrondie
(Bologne). Peinture qui ressemble aux fresque de Simone Martini.
Grand peintre de Sienne aurait participé à la réalisation du manuscrit
à Avignon. Partition sur le haut avec les neumes pour indiquer les
mélodies du chant.
8. Robert le Sage, roi de Naples. Promoteur de la culture écrite qui a
aussi écrit. De la dynastie Anjou, après Charles d’Anjou qui a été
envoyé la pour reprendre la main sur le sud de l’Italie. Dynastie des
Anjou a Naples. Manuscrit de prestige en cadeau de noce. Commence
par portrait en majesté du roi robert II. Entouré des vertus cardinales
et les vices sont a ses pieds dans l’abime. Bénédiction du christ a
droite et la vierge a gauche qui soutiennent cette représentation. Pages
intérieurs a chaque début de section un apparait décoratif foisosant
représentatif Italie méridionale 14e s. scènes marginales de tournoi.
Représentation de la fille du roi robert le sage. Besants aussi.
Droleries inventives, exotiques (chameaux).
9. Début de la renaissance avec un autre style de décorations. Réalisé
pour les rois aragonais de Naples. L’Espagne met le pied en Italie du
sud au 15e. cadre ornemental très fouillé. Encadrement en ligne
blanche. Tout ce qui est peint c’est interstice entre le motif de la
végétation pas peint. Éléments décoratifs. Héraldique important. Les
putis aussi. Écriture totalement non médiévale. Non gothique.
Écriture humanistique. Écriture développée en Italie sous l’égide des
humanistes en reprenant un peu la minuscule caroline de manière plus
régulière.
10. Bible de frederico de Montefletro, grand condotiere qui était duc.
Toutes les décos possibles et imaginables. Grande vignette.
Encadrement avec scènes secondaires, putis, architecture,
11. Matthias corvin roi de Hongrie. Trompe l’œil d’orfèvrerie. Comme si
page en or avec motifs, pierres et camées incrustées. Influencé par
persos féminins de Botticelli. Serment initial sur le Missel.
b. France
i. Époque carolingienne. Premières miniatures en France. Physiologus de Berne.
Commanditaire archevêque de reims. Minuscule caroline. Lion avec
symbolique avec le christ. Motif en rapport avec l’art antique.
ii. Psautier d’utrecht. Région de Reims. Chaque page grandes capitales rustiques.
Et deux registres d’illustration pour illustrer chaque partie de psaume. Détail
et foisonement d’éléments ; bcp de petits persos carricaturés presque. A
influencé une série d’autres manuscrits.
iii. 12e siècle. Encyclopédie, de Lambert de Saint Omer flandre à l’époque. Scribe
à l’écritoire et ville de Saint Omer représentée. Constructions stylisée.
iv. Evangiles de Saint Bertin manuscrit luxueux car abbaye richement dotée.
Opulence. Richesse qui a pu choquer Saint Bernard. Réaction des cisterciens.
v. Bible en image de l’époque de Saint Louis. Deux grandes scènes en deux
registres sur la page entière. Pas d’inscritpions et seulement image a la base.
EN Italie du Sud ajout de légendes piur décrire la scène. Il a fini en iran en
passant par la Pologne, famille juive donc inscriptions en Hébraique. Il a bcp
bougé.
vi. Écriture gothique. Scènes complètes avec vignettes hors textes ou lettrine
historiée de grand format. Maitre qui enseigne à ses étudiants dans la chaire
universitaire. Seigneur lui apparait dans les cieux. Vices e vertus. Scène Lazar
mauvais riche.
vii. Charles V grand promoteur de livres. Frontispice, première page très décorée.
On voit la remise du manuscrit en image. Motif qu’on retrouvera dans
beaucoup de manuscrits.
viii. Jean duc de berry. Grand prince bibliophile un frère de Charles V. grand
patron des miniaturistes et artistes. Sensible au décorum et a l’art. construit
châteaux très décorés. Plusieurs libres d’heures dont les grandes Heures 50
cm de haut. Représentation du duc de Berry introduit au paradis par l’apôtre
Saint Pierre. On voit aussi Philippe le Hardi son frère.
ix. Scribe Nico Flamelle. Grandiloquent.
x. Pleine page. Occupé dans tous les aspects de cette page. Bout de ligne,
encadrement avec armes de Jean de Berry. Cygne blessé, ours qui tient
bannière. Animaux emblématique pour lui. Très élaboré.
xi. Très riches heures du Duc de Berry. Célèbre. Calendrier. Livre d’heure livre
de prières persos. Pour des privés laïcs permet de suivre prières journalières a
moments de la journée. Commence souvent par calendrier avec saints jours
après jours. Souvent illustré avec travaux représentatifs pour chaque mois.
Juin c’est fenaison, récolter le foin. Représentation réaliste de l’ile de la cité à
Paris. Réalisme, très descriptive. Dans l’autre château qui appartenait au duc
de Berry, il a disparu mais on sait le quel c’était.
xii. Pages qui se répondent. Très riches heures. Froid gens qui s’abritent. Copie ou
adaptation un bon siècle plus tard dans le bréviaire Grimani. Imitation adaptée
du même motif mais avec détails différents.
c. Pays-Bas et Bourgogne
i. Psautier de Gui de Dampierre. Repère miniature 13 e cette région. Héraldique a
permis de retrouver la personne. Intéressant par décorations marginales.
Tradition de dacoration ironique satyrique un peu chocante a nos yeux. 1270-
1350 période plus grande prolifération de déco marginale surtout nos régions,
pays bas nord de la France et paris imité ensuite dans d’autres régions.
ii. Livres d’Heures. Texte principal puis scènes qui n’ont rien a voir avec scènes
de dérisions. Animaux qui sont revetus des insignes épiscopaux. Lettrines a
décors géométrique et zoomorphes.
iii. Roman d’Alexandre. Miniatures figuratives très élaborées. Tournaisien sans
doute miniaturiste. Végétation entre colonnes. Profusion. Bcp de scènes de la
vie quotidienne des bas de page. Premier lieu de développement marges.
iv. 15e s relève d’une tendance vers le réalisme pré Eyckien. Cette école a
dvéeloppé réalisme fantastique en grand format mais précédé dans les
manuscrit. 1430 pour Van Eyck. Déjà réalisme perso avec traits personnages.
Perspective apparait un peu dans l’annonciation a gauche.
v. L’époque bourguignonne. Les ducs représentés dans leur succession.
Miniatuire célèbre donation du manuscrit. Chroniques de Hainnaut offerte par
le scribe et le traducteur pour la réalisation de la trad en fr du latin.
Glorification du duc de Bourgogne. Membres ordre de la toison d’or., briquet
de bourgogne et la pierre a feu un emble de Philippe le Bon acte politique de
dédicace. Imité par successeurs et persos qui gravitent autour de sa cours. A
Bruges un palais bourguignon conservé. Gruuthuse. Fermoir du manuscrit. A
sonservé reliure et couvrure en tissu ouvragé. Gros boulons qui protègent.
Étiquette sous une lamelle de plaque de corne translucide qui donne le titre µ.
Plus la devise. Il a été grand commanditaire. Rayonnement de la librairie des
ducs chez les hauts dignitaires qui gravitent autour. Certains manuscrits avec
Van Eyck. Heures de Turin Milan. Pas entier mais pages de Van Eyck. Scène
de la nativité. Baptême du christ en dessous. Autre technique la grisaille.
Peinture ou motifs faits au dessin et avec nuances de gris en font apparaitres
détails. Miniature de présentation du manuscrit Chroniques et conquêtes de
charlemagne. Grrand miniature par chapitre. Maitrise de la perspective.
Manuel instruction aristo. GUillebert de Lannoy qui a bcp voyagé. Maitrise de
la perspective après Van eyck ramené sur le manuscrit.
vi. Maitre de Wavrin plus sobre mais reconnaissable avec dessin réhaussé à la
gouache. Histoire des seigneurs de Gavre.
vii. Heures de Marie de Bourgogne. Manuscrits ganto bruggeois avec marge
dorées et élément en trompe l’œil.
viii. La miniatursite a Brugges Simon Bening. Au 16e encore dans la tradition
médiévale. Netteté totale. Scènes des mois comparables a des tableaux qui
sont bien plus grand grande précision.
Exercice pour cette semaine. Texte plus résistant. 11. Transcription numéro 10. 10 lignes donc de la 5 e
à la 15e.

Document a 4 médaillons. Est un exemplaire typique écriture humanistique. Gothiques cursives,


courantes. Écriture liée et plume plus vraiment taillée en biseau. Taille petit à petit plume plus
pointue donc écriture plus fine et favorise écriture cursive. Résultat aussi, écriture cursive, courante,
devient plus individuelle avec plus de variabilité, ecriture extrêmement diversifiée. S’adapte a chaque
personnalité. Certains érudits s’en plaignent. Pétrarque à Boccace. « écriture relâchée et exubérante
apanage des scribes. Inventée pour autre chose que pour être lue. Écriture soignée et claire
s’adaptant de soi même à l’œil. » écriture gothique en crise à cette époque la. Choix nouveau type
d’écriture que les humanistes appellent litera antiqua renovata. Lettre antique remise en usage.
Écriture avec un aspect moderne. Ils n’ont pas été reprendre manuscrits antiques. Ils ont été voir
manuscrits antique de l’époque carolingienne. Néo caroline en fait, pas antique. Variantes aussi :

- humanistique ronde ; caroline reprise quoi


- humanistique cursive : ce qu’on a sur l’ordi quand on passe en italique. Impression cursive.
Lettre encore très lisible et proche du canon de la caroline. Apparait au 15 e et sera adoptée
par les premiers imprimeurs italiens. Un grand éditeur Vénitien. Alde Manuce a été un des
grands promoteurs de l’édition fin 15 e et il va imprimer en humanistiques rondes et cursives.
Times new roman humanistique ronde. Italie c’est la cursive. Éditions italiennes qui
reprenaient ça. Gutenberg eux imprimaient d’abord en gothique textuelle. Petit à petit gagne
de la place dans les autres pays et plus tardivement en Allemagne.

Inventeur du recours à la lettre antique pas Pétrarque directement mais légèrement plus tardif
Poggio Bracciolini. A étudié a Bologne. Spécialité de retrouver les textes antiques de les recopier et
les diffuser. Il a été au service de la curie pontificale. 1403, première humaniste écriture.

Redécouverte des inscriptions antiques. Rome. Au centre de tout ça. Renaissance première
ouverture des collections latines. Érudits arrivent à Rome et regardent les inscriptions sur les
monuments et les ruines. Intrigués par capitale élégante romaine. Traits réguliers. Quasi
géométrique. Vue d’un livre de modèle antique sur le ppt.

Tacuimum Sanitatis. Texte qui s’occupe de la santé. Carnet avec des indications. Le document 8.
Tradutcion latine d’un traité arabe sur tous les aspects qui contribuent à la bonne ou mauvaise santé.
Sur des tables qui croisent pleins de choses. Plusieurs centaines d’éléments. Avec a chaque fois
rubriques. Éléments et leur signification. En quoi elle est utile à la santé ou dangereuse. Arabe du 11 e,
la base sous forme de tableau. Colonne pour les différentes rubriques de caté d’information. Traduit
en latin au 13e. Manfred de Sicile. De 1254 à 1266. Il a bcp guerroyé, charles d’Anjou a été envoyé
comme conquérant de l’Italie du sud. Sorte de croisade déclenchée par la diplomatie pontificale pour
éliminer dynastie Hohenstaufen. Dans ce milieu cosmopolite de sicile. Entre fin années 50 et 60.
Devenu un texte de cours avec miniatures chatoyantes. Dans les cours Italie du nord, Viscomti et les
suivants a Milan. Manuscrits de luxe avec a chaque fois un peu la même structure. De moins en
moins abouti les illustrations. Trompe l’œil pour le texte. Comme si il était écrit sur un bout de
parchemin collé. Trompe l’œil plus que esquissé sur les dernières pages. Manuscrit inachevé. Italie
inventive miniature de la renaissance.

Melica céréale africaine importée sur le pourtour méditerranéen. Le sorbo.

Rubriques rubriquées. En rouge.

Le a est formé de façon reconnaissable deux étages.

Les datations et systèmes de chiffres documents médiévaux et modernes.

Lié au système d’imposition de l’empire romain. Période de 15 ans. Indiction. Souvenir inopérant
avec le texte vu avec Elodie.

Milésimus. Quintus. Us qu’on a dans les abréviations des manuscrits latin de l’époque ; boucle au
dessus du mot.

Tables de calcul abaque. Fonctionnait avec des colonnes pour les centaines, les dizaines et les unités
et on plaçait des jetons pour faire des nombres et des calculs.

Chiffres indous arabe utilisé dans des inscritptions. Monulentales ou œuvres d’art. reconnaitre les
chiffres dans leur forme médiévale attention !!

Chronogramme. MA tardif, première au 14 e en France. De plus en plus inscription monumentale et


poèmes. Subtile, créativité et attention pour la formule. Textes avec un certain nombres de lettres
qui signifient chiffres romain et font une date.

IDIII CCDIV II DI : 1713.

V IIU D DIVUDIC 2 ans après le bombardement de bruxelles.

Batiment des halles de Leuven. Halles universitaires. Batiment du Ma agrandi à l’époque baroque.
Donné par la ville à l’unif. Organes centraux de l’unif. Voila pourquoi on a halles aussi à LLN. Sac de
louvain en 1914. Histoire grossie par la psychose allemande. A choqué opinion publique belge et
mondial. Centre de louvain éprouvé par ce sac. Grande partie de la ville ancienne brulé. Bcp de civils
tués. 200 fusillés.

Souvent utilisé en Europe centrale en Allemagne dans nos régions. Moins dans les parties
méridionales.

Chronogramme. Inscription le plu souvent en latin, célébrant un perso, un évènement, une dévotion
et incluant des lettres équivalent au chiffre romain dont l’addition fournit la date.

Plume métallique arrive au 17e et se répand. En usage au 18e.

Site web ménestrelle.

Document qu’on a retranscri.


R en fin de mot esquissé. O ouvert. S long quand s redouble. Altesse, s long puis s bref. Usage des
accents présents mais pas systématiques, les mètres la ou ils sont mis dans leur forme. Époque
troublée, fin époque Napo, France divisée.
Le t a une traverse très prolongée.
Réitérer aujourdhuy la demande.
En récompense de mes services.
La fidélité dont je ne me suis jamais
Departie
Il ose présentement réclamer la même
Grâce
Refusera pas à un sujet

M
Autun ce 25 juillet.
A gauche
Entré au service dans les écoles d’artillerie
D’Ausomn et Bapaum comme aspirant et
Ensuite élève le 12 may.
Quitté le corps en 1769 et entré volontaire
Au régiment

EXAMEN
Pas oublier les chiffres
L’image aussi, enluminures, reprendre les power point.
Trois extraits à faire, latin, médiéval français et un temps moderne, entre 16 e et 18e. soit extraits non
vu. Soit autre page d’un manuscrit déjà fait. Pas de grosse surprise. Il faut reprendre transcritpions et
documents.
Dictionnaire latin autorisé, même bonne idée. Liste des abréviations latines aux pages 15, 16, 17.
Revoir les abréviations fr.

Consigne pour le 1/12. Donc n°13. Ligne 1 les hommes jusque ligne 15 discipliner.
Université de Louvain en 1425 par Jean IV de brabant. Réunion de plusieurs collèges.  corporation
universitas studiorum.

Faculté des arts = (3 années de formation obligatoire de base) 4 pédagogies.

- Lys, château, faucon, porc.


- Logement des étudiants et formation.

Collège destrois langues. Hébreu grec et latin. 

Les différentes pédagogies ont pu exister avant. Celle du porc en face taverne du sanglier donc
opposée.

Sur le frontispice on voit le porc, le manuel émane de la pédagogie du porc. On voit le porc avec la
devise. Porcus alit doctos. Le porc nourrit les savants. Saint antoine avec le porc. Marie, Jésus, Anne
la mère de Marie.

Deux petits médaillons avec des portraits, Platon et Aristote. Dessin du batiment des facultés ou les
cours étaient donnés. En bas a gauche dédicace de celui qui a fait la page.

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