BOOK ARCHITECTURE

PIERRE TIGNON
ENSAPB / CHALMERS / COMPETITION
SOMMAIRE

PETIT ÉQUIPEMENT
p .1 - p .3
cinema cinema

HABITER LE CANAL - LOGEMENT COLLECTIF

p .5 - p .7
ourq ourq

DESIGN FOR SUSTAINABLE DEVELOPPMENT

p .11 - p .13
strömstad strömstad
 SUSTAINABLE HOUSING, LIVING AND THINKING
p .15 - p .17
Uppegärde Uppegärde

MIXITÉ URBAINE
p .21 - p .23
Gagny Gagny

ARCHITECTURE DE RECONQUÊTE
p .25 - p .25
Rezé Rezé

ANNEXE p .33 - p .37

PETIT ÉQUIPEMENT
un cinéma Bd. de la Villette, Paris - Belleville
ENSAPB / Henri Bresler et Jeanine Galiano, Semestre 1 Licence 3
Le cinéma de Belleville ré-
pond à un concept de départ
représentant un cube divisé
en plusieurs éléments. Cha-
cun de ces éléments peut
s’ouvrir et se refermer rappe-
lant l’interaction spécifique à
Belleville entre l’espace ur-
bain et ses porosités. D’autre
part, ce mécanisme se réfère
aux travaux de Candilis et de
Ricahrd Paul Lohse et a gui-
dé l’organisation formelle et
fonctionnelle du bâtiment.
Le plan du cinéma, ainsi que
sa coupe suivent un prinicpe
de composition permettant à
chaque fonction (entrée, et programatiques.
vestiaires, salles...) de
s’organiser à l’intérieur Le bâtiment créé un sig-
d’un système de composi- nal fort sur le boulevard
tion : une grille. tout en renforçant les
qualités du lieu.
Ainsi chaque volume ex-
prime une fonction et
par empilement succes-
sif construit un chateau
de carte, une structure
simple (structure béton).
Chaque lieu construit du
cinéma s’assemble avec
les autres et possède ses
propres particularités
matérielles, distributives
p .1
cinema
inspiration : R.P. Lohse Distribution pré- croquis + plans de chaque niveau 1er un port à faux sur le boulevard
férentielle 1984 2eme 3eme et sous-sol coupes
p .3
cinema
LOGEMENT COLLECTIF
quai de la Marne, Paris - Ourq
ENSAPB / Henri Bresler et Jeanine Galiano, Semestre 2 Licence 3
Ce travail de groupe met en
évidence quatre parcelles au-
tour d’un pont sur le canal de
l’Ourq. Chaque étudiant devait
investir une parcelle en répon-
dant à des critères décidés en
groupe.
Nous avons pensé à la cons-
truction d’un bâtiment très
plât: des maisons en bande à
patio. L’idée principale était
de considérer le toit comme
la 5ème façade et d’offrir une
nouvelle façon de l’occuper.
Sur la parcelle la plus étroite,
nous avons décidé de considé-
rer la façade comme le toit
des 3 autres bâtiments et ain-
si renverser le système. 3 niveaux d’habitation
La plupart des apparte- sont construits sur un
ments sont des duplex socle qui porte le bâti-
et peuvent accueillir en- ment grâce à des piliers
viron 4 personnes. Les en béton. De même le
maisons sont composées socle surélève les habi-
d’une façade trombe qui tations du niveau de la
cadre des vues étroites rue et les préserve des
sur le canal et donne des nuisances en y abritant
qualités environnementa- des activités commercia-
les au bâtiment. Le der- les. Il fournit ainsi une
nier étage et son jardin diversité urbaine dans un
sont largement ouverts secteur principalement
sur le site et offrent des résidentiel.
vues panoramiques sur
Paris. Il y a 4 accès, 1
pour chaque rangée. Les
p .5
ourq
composition : trois volumes - trois usages
vue panoramique depuis la cinquème façade

une façade trombe - plan et coupe

maisons à patio en bande et composition sur la parcelle

plans et coupes

p .7
ourq
4ème année

p .9
DESIGN FOR SUSTAINABLE
DEVELOPPMENT
Strömstad, Suède
Chalmers School of Technology / Semestre 1 Master 1
Ce projet aborde l’idée de
soulager la ville côtière de
Strömstad et de palier à ses
pressions pour concevoir le
futur de la ville. Notre regard
s’est porté sur le centre ville
qui connaît une importan-
te pression touristique. Dans
ce contexte, les terres inté-
rieures de la municipalité sont
oubliées.
Cependant ce territoire regor-
ge de beaucoup de sites histo-
riques et de paysages riches.
Ces atouts doivent être utilisés
pour orienter la municipali-
té vers une autre direction et
nous voudrions atteindre plus
de connexions entre le centre
et l’énorme potentiel inté-
rieur. L’histoire et le paysa-
ge sont les outils privilégiés
pour développer une nouve-
lle direction durable pour la
municipalité.
L’analyse de ce secteur
nous a fait découvrir un
vieux chemin, courant par
les lacs, traversant le Bo-
huslän typique du nord et
finissant par un fjord. Ce
chemin est la voie histo-
rique empruntée par Karl
XII en 1718 lorsqu’il trans-
porta douze galères en
guerre. Ce chemin passe
aussi par différents sites
de l’âge de fer, des cime-
tières et des bateaux en
pierre. Bien que ce chemin
existe toujours il n’est pas
utilisé. Il ne soutient pas
d’activités et son existen-
ce est quasiment inconnue.
Notre tâche est d’activer
ce chemin pour révéler la
beauté historique du site et
créer l’opportunité pour la
municipalité d’engager un
nouvel axe de développe-
ment vers un territoire en-
core inconnu.
p .11
strömstad
INTO THE WOODS Eliodoro Bigi / Maarten Hermans / Valérie Thomas / Anna Sundin

INTO THE WOODS

5
1
Platform
Eliodoro
5 Bigi / Maarten Hermans / Valérie Thomas / Anna Sund
Path
Path

NATURE:
INTO THE WOODS
1 Silence speaks louder than words
Platform 5 Eliodoro Bigi / Maarten Hermans / Valérie Thomas / Anna Sund
5 Path
Path
1 1 The platform.
5 Platform NATURE: Silence speaks5 louder than words 4
Path Common
Path
house with
1 The platform. sauna
NATURE: Silence speaks louder than words and 4
1 solar deck Common
Platform 5
5 Path house with
Path 1 The platform. 2 protects sauna
from rain and Plutôt qu’essayer de and créer
2 protects
from rain and
NATURE: windspeaks louder than words un décor, nous avons
Silence solar deck
voulu
4
construire le moins possi-
Common
wind
ble afin que le paysage house with joue
4 1 The platform. un rôle plus important sauna que
4 2 protects les objets. le paysage and a été
Common 3 Shelter 2. très sensiblement changé.
Common from2.rain and solar deck
house with3 Shelter
wind La promenade joue un rôle
house with
sauna sauna social; elle est construi-
and and te en pierre provenant du
solar deck 4 solar deck 2 protects site et se déploit autour de
Common Rather than trying to createRather
scenerythanwe wanted
trying totoconstruct
create petits
as little asespaces
scenery possible.
we wanted sociaux. S’il as little as
to construct
3 Shelter
from torain
2.
makeandthe nature play a more important role than s’agit d’une theplate-forme
roleouthan the obj
In order the objects, landscape
house with windvery sensitively In
has been
order to make the nature play
changed. In the central area between d’un
a more important
banc,thel’objet
the houses conçu y
objects are
sauna has been very sensitively changed.
inserted just like small objects in the landscape. répondIn de the central
manière areafonc-
between the hou
and The contour (road) plays ainserted
social role just
and islike small objects
constructed of stone infrom
thethelandscape.
site and isque
lined domi-
tionnelle plutôt
solar deck4
5 The path. with small social spaces. Whether it is a platform or a bench, the designed object takes an of stone from t
Rather than trying toThe contour
create scenery(road) plays
we wanted atosocial
ner
construct roleas
le and
littleisasconstructed
paysage. L’éclairage
possible.
Common 5 The path. assisting rather2.than dominating role in contributing to the landscape.
3InShelter participe aussi à révéler le the desig
order to make the nature play a more important role than the objects, thealandscape
with small social spaces. Whether it is a platform or bench,
house with site en l’éclairant au même
sauna assisting
has been very sensitively ratherIn than
changed. dominating
the central role inthecontributing
area between to the are
houses the objects landscape.
titre qu’il éclaire la prome-
inserted just like small objects in the landscape.
Masterplan m 0 5 15 25
and nade.
The contour (road) plays a social role and is constructed of stone from the site and is lined
scale 1: 500 solar
5 The deck
path. with
Rathersmall
thansocial
tryingspaces. Whether
to create sceneryit isweawanted
platformtoorconstruct
a bench,asthe designed
little object takes an
as possible.
Masterplan m 0 5 15 25
assisting
In order rather
to make than
the dominating
nature play role
a in
more contributing
important to the
role landscape.
than the objects, the landscape
 AN OLD PATH ?

A path made of structures

Comment guider les
marcheurs tout en
évitant les panneaux
informationnels et ré-
pétitifs?
Notre objectif a été
de créer des relations
visuelles d’une zone à
l’autre grâce aux élé-
The begining of the path : Strömstad Centrum ments urbains présen-
tés précédement. Les
Galärvägen is an old path that begins from the profils dethe
How to guide ces éléments
walkers? We thought
city centre but we can only start to use it af-
ter crossing the E6. This lack of information is a
urbains changent
of how the walker could recognize etthe
good way to take without repetitive in-
weakness. Our task is to indicate the way since s’adaptent en fonction
formational panels. The profile will han-
the city centre.
The common concept of the path is to use a
du site
dle with etIndeed
need. deswebesoins
want to create
visual connections from an area to an
profile that could stand for the global identity de
otherchaque zone.
thanks to the profile. That means
of the path. This profile is used to indicate the that its shape will fallow the different
way and lead the walker spot to spot. The idea environments and the needs of the each
of a profile is a way to avoid the old and com- areas that we defined.
mon panels and to propose different uses to
the walkers that can vanish in the nature when
it comes closer to the pristine areas.

path

p .13
strömstad
ers Architektur - Master Program Design for Sustainable Development
2007/2008 : Strömstad - Planering och gestaltning för hållbar utveckling
ppe - Pierre Tignon - Léa Viricel
SUSTAINABLE HOUSING,
LIVING AND THINKING
Uppegärde, Suède
Chalmers School of Technology / Semestre 2 Master 1
L’objectif de cette consul-
tation était de répondre à la
demande d’un lotissement à
zéro-émission en carbo-ne
dans un site naturel sur la
côte ouest de la Suède. Encer-
clé d’arbre, le site fonctionne
en totale autarcie, immergé
dans le foret. Le parti pris
est de créer différentes zones
commu-nes où les résidents
peuvent partager, échanger,
cul-tiver. Ces zones communes
centrales distribuent des mai-
sons construites sur pilotis et
ouvertes comme des miradors
sur le paysage alentour. La
technique de construction de
ces maisons les dotent d’une
technologie leur permettant
d’être autonomes, orienta-
tion, façades et toitures, et
leur implantation minimise
l’empreinte de celles ci sur
le terrain naturel.
Il y a 23 unités d’habitation
sur le site, construites sur
pilier. Elles contiennent des
logements de différentes
tailles qu’ils soient pour une
famille ou partagés par deux
ou trois ménages. Toutes les
unités sont connectées entre
elles par un espace commun
multifonctionnel (cinéma en
plein air l’été, potager, etc.)
situé sur un plateau domi-
nant le site escarpé.
Étant donné l’éloignement
du site par rapport à la vi-
lle, un système hors réseau
électrique a dû être élabo-
ré pour fournir eau courante
et chauffage. Les logements
prennent leur énergie par
des panneaux solaires ainsi
que par une éolienne située
près du site. L’eau noire et
l’eau grise sont nettoyées et
recyclées par une ‘split box’
où elles peuvent être, par la
suite, réutilisées pour entre-
tenir et se chauffer.
p .15
Uppegärde
le système technique d’énergie
vue depuis l’espace commun
coupes - plans

p .17
Uppegärde
5ème année

p .19
MIXITÉ URBAINE
la carrière de Gagny, Île de France, France
ENSAPB / Philipe Villien et Dominique Hernandez, Semestre 1 Master 2

En bordure du Paris, d’anciennes

carrières où était prélevé le gyp-4 zones de programmes manière parallèle à la prome-
se depuis le XVIIe siècle sont s’arrangent autour : un centre nade en suivant l’orientation
toujours visibles. L’exploitation d’information et boutiques, des piliers au sous-sol de la
du plâtre de Paris, fut la princi-un centre artistique, un centre carrière. La promenade per-
pale industrie de Gagny jusqu’aux de sport et détente ainsi qu’un cute la topographie du site et
années 1950. Les anciennes ca- centre audiovisuel. Ils sont pré- réorganise ainsi une logique
rrières cessèrent leur activité envus pour recevoir des locaux végétale et minérale propre à
1965, laissant ainsi de grandes associatifs et communautaires la promenade. Chaque zone de
poches vides inexploitées en pleinouverts et destinés à tous. Les projet traite différemment son
coeur des villes. Comment redon- locaux sont destinés à être uti- rapport au sol, sa disposition et
ner ces grands territoires aux lisés à des temporalités diffé- le traitement des eaux en fonc-
villes et quels projets pourraientrentes selon les besoins et les tion de l’environnement, de la
s’adapter à la complexité du sol ?nécessités de programmation topographie et du programme
Une promenade des différentes associations, des qui la constitue. Elles opèrent
partenaires et des investisseurs ainsi une mise en valeur de
La promenade de Gagny traver- du projet. Les locaux non utili- la carrière et du paysage en
se une ancienne carrière dans sa sés peuvent aussi être loués à s’intégrant dans son environne-
diagonale et articule deux places des fins bénéficiaires. ment proche et lointain.
publiques à ses extrémités. Les locaux sont organisés de
p .21
Gagny
plan masse - une promenade qui articule deux places
les différents centres d’activités

une ambiance spécifique pour chacun

différentes solutions techniques

p .23
Gagny
une carte critique du site : un outil pour des réponses alternatives à des situations génériques
ARCHITECTURE DE
RECONQUÊTE
3 case study houses, Rezé, Loire Atlantique, France
ENSAPB / Françoise Fromonot et Béatrice Jullien, Projet de Fin d’Étude
Depuis sa création la commu-
ne de Rezé s’est construite sur
un archipel de l’estuaire de la
Loire. Au court du 20ème siè-
cle, face à l’enssablement de
la Loire, les îles ont peu à peu
été réunies. Les terres maré-
cageuses ont été recouvertes
dans les années 80 par de
grandes zones commerciales.
Une confrontation brutale
entre des malls et les anciens
quartiers de pêcheurs a vu le
jour. Le contexte danslequel
s’inscrit le projet est cette
confrontation; il s’agit d’un
ancien îlot du 18ème consti-
tué de quelques maisons et
leurs murs d’enceinte, faisant
face à 4 centres commerciaux.
L’objectif principal du projet
est de proposer une vision
critique du site. Au lieu de
faire tabula rasa l’intention
est de préserver les qualités
issue de cette confrontation
et de prescrire les termes
d’un développement respec-
tueux du site.
La première étape est
d’identifier les qualités et les
menaces de cette confronta-
tion. La ‘berge’ résidentielle
est marquée par la présence
du village de pêcheur et de
son parcellaire materiali-
sé par des murs d’enceintes
en maçonnerie. Cependant
de nouvelles constructions
sont en cours et altèrent les
qualités du site en détrui-
sant certaines parties du
mur d’enceinte d’origine par
exemple.
La prescription est donc pro-
jet et détaille 3 cas - 3 ma-
nières de vivre dans le site.
Sur la ‘berge’ commerciale,
le bardage des centre com-
merciaux sont préservés et
encadrés comme de grands
aplats abstraits par un systè-
me paysager. Leurs disfonc-
tionnements sont cachés par
la végétation. Cette pres-
cription vise à préserver les
qualités du site en mutations
et de permettre à cette con-
frontation d’être vivable.
p .25
Rezé
 bati surplom

carte historique - la naissance d’une confrontation inédite

bati se cache

bati en coeu

préserver

Seil

Élévation Sud

Élévation Nord
 2 . CHAMP - CONTRECHAMP
Conserver les accès existants :
De l’île à l’archi
Prescription
ne pas démolir le mur
confrontation / prescription

Conserver les accès existants :

ne pas démolir le murles accès existants :
Conserver
ne pas démolir le mur

Un système de récupération des

eaux de pluie

INTENTIONS

2 UnUn
système
systèmedederécupération
récupération des
des
0m
28 eaux dede
eaux pluie
pluie
2
0m
36
Valoriser et protéger les éléments accroche possible en second oeuvre

bâtis :
murs mitoyens / mur sur rue

2 m2
bati surplombe le mur 0 m 280 retrait de 70 cm minimum
28
2 0 m2
m 36
Valoriser et protéger les éléments 360 accroche possible en second oeuvre
Valoriser et protéger les éléments accroche possible en second oeuvre
bâtis :
bâtis : murs mitoyens / mur sur rue
murs mitoyens / mur sur rue
Insertion du nouveau bâti / se retrait de 70 cm minimum
cacher / émerger retrait de 70 cm minimum

Insertion du nouveau bâti / se

Insertion ducacher / émerger
nouveau bâti / se
cacher / émerger
bati se cache derrière le mur Sélectionner les vues / cadrer par le
Prescription finale
végétal
65 m2
2 2
2 55 m
m2
25 5
m2
295
Prescription finale m2 Sélectionner les vues / cadrer par le
27 7 végétal
80 m2 m2
23 65 Sélectionner les vues / cadrer par le
Prescription finale 00 m 2 2
6 2 55 m végétal
m2
25 5 m2
m 2 26 5
295 55 m2
m2 2 2
277 2 55 m
m2 m2
380 295
m2
600 m 2
27 7
80 m2
m 23
600 : le mur comme simple limite parcellaire
bati en coeur de parcelle

p .27
Rezé
ache derrière le mur

quipr
élévations des ma

une confrontation
maisons
desmaisons

confrontationqui
uneconfrontation
élévationsdes
élévations

une
bati se cache derrière le mur

case study 1 : une maison qui se dissimule derrière son mur d’enceinte

cas n°1 le bati se dissimule derrière le mur d’enceinte

er les aplats

coupe aa’

préserver les aplats

élévations des maisons depuis la promenade 1 / 50

aa’
coupeaa’
coupe aa’

coupe

aa’
èmeaa’
LIEUX
DESLIEUX

50ème
LIEUX
ÉTATDES

longitudinale11/ /50
DES
ÉTATÉTAT
conditions d’existence : le mur

coupelongitudinale
LIEUX
aplats

DESLIEUX
coupe bb’ d’enceinte à préserver participe
préserverleslesaplats

une confrontation qui préserve les qualités du site

comme l’un des murs de la maison.
ÉTAT DES LIEUX
préserver les aplats

ÉTATDES Qu’il soit à l’intérieur, à l’extérieur,

préserver

bb’

ou montré en “vitrine” (cf.détail),

coupebb’

coupe
les éléments architectoniques ont
ÉTAT
coupe

pour objectif de le préserver et de

coupe bb’

le mettre en valeur.
aplats
lesaplats

ÉTAT DES LIEUX

aplats

erverles
rver

ÉTAT DES LIEUX

 coupe bb’
une confrontation q
coupe longitudinale 1 / 50 ème aa’

ÉTAT DES LIEUX

coupe transversale 1 / 50 ème bb’

ÉTAT DES
les coupes perspectives LIEUX
illustrent comment les cadrages sur le mur une maison tissée autour d’un mur existant.
d’enceinte ont guidé les principes de composition.
gnon E.N.S.A.P.B. Projet de Fin d’Étude Architecture de reconquête Françoise Fromonot / / / Béatrice Jullien / / / Antoine Brocha

coupe longitudinale 1 / 50 ème aa’

p .29
Rezé
 4 . PROJET CHAMP - CONTRECHAMP De l’île à l’archi

une confrontation q
élévations des mais
bati surplombe le mur

case study 2 : une maison qui surplombe son mur

d’enceinte
derrière le mur
cas n°2 le bati surplombe le mur d’enceinte

coupe dd’

bati se cache derrière le mur

coupe aa’

aplats

ÉTAT DES LIEUX

préserver les aplats

ÉTAT DES LIEUX

préserver les aplats

l’intimité et la privacité sont préservées par un

coupe bb’

système de volets pliants.

lats
 plan 1 / 50 ème niveau 1

ÉTAT DES LIEUX

coupe cc’

coupe transversale 1 / 50 ème cc’ plan 1 / 50 ème niveau 1

même si la maison surplombe son mur d’enceinte, elle
le préserve et le met en scène en l’utilisant comme un
composant principal pour la distribution, les vues et les
ÉTAT DESusages.
LIEUX
les deux maisons partagent un même jardin, ce qui évo-
que les venelles caracteristiques des villages de pêcheurs
alentour.

plan 1 / 50 ème RDC

coupe transversale 1 / 50 ème cc’

te Françoise Fromonot / / / Béatrice Jullien / / / Antoine Brochard 2009 / / / 2010

coupe transversale 1 / 50 ème dd’

Pierre Tignon p .31

E.N.S.A.P.B. Projet de Fin d’Étude Architecture de reconquête
Rezé
Françoise Fromonot / / / Béatrice Jullien / / / Antoine Brochard 2009 / / / 2010
ANNEXE

COMPETITION ÉTUDIANTE, Garderie,

Trondheim, Norvège
Premier Prix

p .35 p .37

p .33
p .35
p .37