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Un système de fixation des panneaux solaires, conçu pour supporter les contraintes
environnementales et le poids des panneaux. Chaque panneau pèse, en effet, une vingtaine de
kilos !
Des câbles, connectiques et protections servant à raccorder les panneaux entre eux et à relier
l’ensemble aux autres composants.
Un régulateur de charge qui contrôle le courant délivré par les panneaux. Ce dernier peut
être intégré à l’onduleur.
Un système de supervision pour contrôler le bon fonctionnement global de l’installation.
Un compteur de production pour suivre la production de l’installation.
Des disjoncteurs (de préférence à haute immunité)
Un panneau de distribution
Défauts d'une installation photovoltaïque
Les défauts que l'on peut retrouver sur une installation photovoltaïque, surviennent autant
lors de sa conception, de son installation, que lors de son exploitation. Ils sont alors
responsables d'une baisse voir d'un arrêt total de la production photovoltaïque[1]. Une bonne
connaissance des différents défauts possibles permet d'assurer une bonne maintenance du
système photovoltaïque.
Les défauts sont classifiés selon la fonction des différents composants constituant
l’installation PV. Sept groupes de défauts ont été formés :
La plupart des pays développés ont retrouvé leurs niveaux de consommation d’avant
pandémie. Le pays ayant le plus contribué au rebond de la demande mondiale
d’électricité est la Chine, dont la consommation en 2021 était supérieure de 13% au
niveau de 2019.
Selon Ember, l’éolien et le solaire ont respectivement compté pour 6,6% et 3,7% de la
production mondiale d’électricité en 2021. Le think tank précise que 50 pays
produisent désormais plus de 10% de leur électricité grâce à ces filières (avec 7
nouveaux pays dans ce cas en 2021, dont la Chine et le Japon).
Malgré le développement des filières éolienne et solaire, Ember note que 59% de la
croissance de la demande mondiale d’électricité en 2021 a été couverte par la
hausse de production des centrales à charbon (contre 29% pour l’éolien et le solaire
en cumul)
Les éoliennes :
Le principe de fonctionnement de l’ énergie éolienne est relativement simple: le vent fait
tourner des pales qui font elles même tourner le générateur de l’éolienne. A son tour le
générateur transforme l’énergie mécanique du vent en énergie électrique de type éolienne.
L’électricité éolienne est dirigée vers le réseau électrique ou vers des batteries de stockage
d’électricité éolienne.
Introduction :
L’utilisation d’une énergie propre et renouvelable est l’une des mesures
les plus importantes que nous pouvons prendre pour réduire notre
impact sur l’environnement. La production d’électricité est notre première
source de gaz à effet de serre, plus que tous nos déplacements en
voiture et en avion réunis, et l’énergie propre réduit également le smog
nocif, les accumulations toxiques dans l’air et l’eau, ainsi que les impacts
causés par l’extraction du charbon et du gaz. Mais le remplacement de
notre infrastructure de combustibles fossiles prendra du temps et il
faudra un soutien solide et cohérent des mandats des États et du
gouvernement fédéral pour mettre en place une production d’énergie
renouvelable et une demande d’énergie propre de la part des
consommateurs et des entreprises.
Nettoyage :
Les fermes solaires sont de plus en plus nombreuses à travers le monde. Ces fermes
sont pour la plupart situées dans des régions arides où on peut collecter de l’énergie
solaire en abondance. Mais, puisque les niveaux de précipitations sont plutôt faibles
dans ces zones, le nettoyage des panneaux solaires constitue un vrai défi, surtout
après le passage de tempête de sable. Ce dernier peut recouvrir les plaques et
réduire significativement le niveau d’énergie généré. C’est là qu’intervient le robot
SolarCleano F1A. Conçu pour le nettoyage des réseaux de grande envergure, cet
appareil peut être commandé à distance et est programmable, ce qui lui permet de
fonctionner automatiquement sans aucune assistance.
Toiture : Lorsque les modules sont installés en toiture, il convient de s'assurer de l'état de
cette dernière. Dans un premier temps, il est rare que le propriétaire monte en toiture.
Puisqu'il faut monter en toiture pour contrôler les modules, on en profite pour réaliser un
contrôle visuel et reporter son état au propriétaire, il en sera d'autant plus satisfait de la
prestation. Ensuite, des éléments de toitures endommagés risquent à leur tour
d'endommager les modules et donc la production. Enfin, c'est en toiture, au plus près des
modules que l'on se rend compte des possibles ombrages affectant la production.
Éléments à contrôler :
L'accès
L'état de la couverture
L'état du faîtage
L'état des rives
Le bas de pente, les gouttières
L'écoulement des eaux
Les équipements de protection collectifs
L'ombrage
Système de pose :
Que ce soit en toiture ou au sol, les modules sont installés sur une structure portante,
appelé système de pose. En toiture, il existe des systèmes intégrés au bâti (les modules
assurent l'étanchéité de la couverture) et des systèmes en surimposition (les modules
sont installés par-dessus la couverture). Au sol les modules peuvent être installés sur des
systèmes fixes comme sur des systèmes mobiles comme les trackers un axe ou deux
axes.
Éléments à contrôler :
Éléments à contrôler:
L'état de la charpente
Les éventuelles traces d'humidité
L'état et le cheminement des câbles
Éléments à contrôler:
Cofferts courant continu : Les coffrets courant continu sont les points d'entrée des câbles
venant des modules photovoltaïques. Ces coffrets contiennent principalement les mises
en parallèle des chaînes de modules et les protections électriques en courant continu.
Éléments à contrôler:
Éléments à contrôler:
Éléments à contrôler:
Éléments à contrôler :
Cellules de protection : Les cellules de protection HTA véhiculent le courant haute tension
(20000 Volts) vers le point de livraison et protègent les transformateurs HTA. De mêmes
que les transformateurs, les cellules requièrent une maintenance préventive pour garantir
leurs durées de vie et parce qu'une panne est lourde de conséquences.
Éléments à contrôler:
Éléments à contrôler:
Contrairement à son grand voisin algérien, le Maroc ne dispose que de peu de ressources
en hydrocarbures. A la fin des années 2000, la dépendance énergétique du royaume est de
97,5 %. Le Maroc est alors extrêmement dépendant de ses importations énergétiques afin
de satisfaire son accroissement démographique et son dynamisme économique. Entre 2002
et 2009, la consommation énergétique du pays croît de 10,5 à 15 Mtep. Cette évolution
correspond à une croissance moyenne annuelle supérieure à 5 %.
C’est dans ce contexte que le Maroc lance en 2009 une nouvelle stratégie énergétique
résolument orientée vers le développement du solaire et de l’éolien. En effet, le Maroc
possède un potentiel en énergies renouvelables remarquable. Le pays est traversé par des
vents stables et soutenus et bénéficie d’un ensoleillement intense sur l’ensemble de son
territoire.
Rabat dévoile ainsi le Plan Solaire marocain le 2 novembre 2009. Il ambitionne de mettre en
place une capacité de production électrique issue du solaire de 2 000 mégawatts à l’horizon
2020. Aussi, il prévoit que les énergies renouvelables couvrent 42 % des besoins électriques
du pays, permettant de réduire la dépendance énergétique à 85 %. Le plan vise également à
faire du Maroc un pôle énergétique sur le pourtour méditerranéen. L’agence Moroccan
Agency for Sustainable Energy (Masen) voit le jour afin d’assurer le pilotage de l’ensemble
du programme.
En février 2016, le roi Mohammed VI inaugure en grande pompe la première phase de Noor,
l’immense complexe thermo-solaire de Ouarzazate. Ségolène Royal, alors ministre française
de l’Environnement, est également présente.
L’énergie solaire comme outil de rayonnement à l’international
Les retards pris dans la réalisation des objectifs ne remettent cependant pas en cause la
stratégie amorcée par Rabat depuis une décennie. Le Maroc aspire toujours à se poser en
modèle africain dans le développement des énergies renouvelables et la lutte contre le
réchauffement climatique. Le royaume a ainsi accueilli la COP 22 à Marrakech en 2016. Lors
de la COP 26, le Premier ministre Aziz Akhannouch annonce un renforcement des ambitions
climatiques de Rabat. Le Maroc se fixe désormais comme objectif à l’horizon 2030 de
baisser ses émissions de gaz à effet de serre de 45 % et de porter ses capacités électriques
durables à 52 % du total. Au-delà du développement des centrales solaires et éoliennes,
l’efficacité énergétique est au cœur de ces nouvelles aspirations.
Le Maroc se classe en 5ème position dans le Rapport de l’Indice de Performance Climatique
de 2022, derrière le Danemark, la Suède, la Norvège et le Royaume-Uni. Ce classement
illustre les efforts réalisés par le royaume en termes de lutte contre le réchauffement
climatique.
Géneralitées :
En 2021, l’éolien et le solaire ont compté pour la première fois pour plus de 10% de la
production mondiale d’électricité, selon un rapport publié ce 30 mars par le think tank Ember.
Mais le charbon a connu également une très forte croissance…
La consommation mondiale d’électricité s’est élevée à 27 520,5 TWh en 2021, selon les
dernières données d’Ember(1), soit une hausse de 1 414 TWh par rapport à 2020 (+ 5,4%),
« ce qui revient à ajouter la consommation de l’Inde à la demande mondiale ».
La plupart des pays développés ont retrouvé leurs niveaux de consommation d’avant
pandémie. Le pays ayant le plus contribué au rebond de la demande mondiale d’électricité
est la Chine, dont la consommation en 2021 était supérieure de 13% au niveau de 2019.
Éolien & solaire : 10,3% de la production mondiale d’électricité en 2021
Selon Ember, l’éolien et le solaire ont respectivement compté pour 6,6% et 3,7% de la
production mondiale d’électricité en 2021. Le think tank précise que 50 pays produisent
désormais plus de 10% de leur électricité grâce à ces filières (avec 7 nouveaux pays dans ce
cas en 2021, dont la Chine et le Japon).
La production mondiale d’électricité des centrales à charbon s’est élevée à 10 042 TWh en
2021 (+ 9% par rapport à 2020), ce qui constitue un record historique pour la filière (2% au-
dessus du pic de 2018). Le charbon a compté pour 36,5% de la production mondiale
d’électricité en 2021, ce qui en fait de loin la première filière productrice d’électricité. À titre
de comparaison, l’ensemble des filières à production « décarbonée » (hydroélectricité et
nucléaire inclus) ont généré 38% de l’électricité mondiale en 2021.
Malgré le développement des filières éolienne et solaire, Ember note que 59% de la
croissance de la demande mondiale d’électricité en 2021 a été couverte par la hausse de
production des centrales à charbon (contre 29% pour l’éolien et le solaire en cumul)
La politique de maintenance s’adresse aux cadres qui sont appelés à superviser la fonction
maintenance, aux directeurs d’usines, aux directeurs industriels, aux ingénieurs et aux
responsables maintenance. La politique de maintenance se décompose en deux domaines :
a) La maintenance corrective
Consiste à intervenir sur un équipement une fois que celui-ci est défaillant. Elle se subdivise
en :
b) La maintenance préventive
Consiste à intervenir sur un équipement avant que celui-ci ne soit défaillant, afin de tenter de
prévenir la panne. Cette manière d’intervention préventive est pour des raisons de sûreté de
fonctionnement (les conséquences d’une défaillance sont inacceptables), soit pour des
raisons économiques (cela revient moins cher) ou parfois pratiques. La maintenance
préventive se subdivise en :
Avantages Inconvénients
Fonctionne avec toutes les marques Coût important
d'onduleur. Installation et paramétrage difficile
Données précises Les messages et alarmes des
Données accessibles à distance onduleurs ne sont pas transmises
Solution personnalisable
Noor ouarzazate :
Noor Ouarzazate, le premier projet d’énergie solaire piloté par MASEN, est le plus grand
complexe énergétique au Monde avec une capacité totale de 580 MW.
Etendu sur plus de 3.000 hectares, Noor Ouarzazate est constitué de quatre centrales
solaires multi-technologiques, développées dans le respect total des normes internationales,
tant au niveau technologique qu’environnemental, et associées à une plateforme de
recherche et développement qui s’étend sur plus de 150 hectares.
D’une capacité pouvant atteindre 160 MW, la première Centrale du Complexe Noor
Ouarzazate (Noor I), dont la mise en service officielle a été donnée jeudi à Ouarzazate par
Sa Majesté le Roi Mohammed VI, adopte le procédé de production dit IPP (Independent
Power Producer). Cette centrale, développée sur une surface d’environ 480 hectares, fait
appel à la technologie thermo-solaire (CSP) à capteurs Cylindro-Paraboliques avec une
capacité de stockage thermique prévue de trois heures à pleine puissance.