lp2SC S1 GClim 19-01-2018 916

29/11/2017
Formation
Licence Professionnelle GEEB
UM2
septembre 2017
Comprendre le fonctionnement
thermique d’un bâtiment (1/2)
Azimut
Sommaire (2/2)
Eléments de contexte Les besoins de chauffage

Les échanges et le confort thermique Les apports gratuits
Puissance et énergie Apports solaires
Résistance et conductivité Equipements
transmission inertie
Déperditions par les parois Autres paramètres
Déperditions par renouvellement Le besoin net
d’air Consommation de chauffage
Calculs Consommation ECS
Eclairage
Azimut 73
LES BESOINS DE CHAUFFAGE
Azimut 74
1
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Les besoins de chauffage
La consommation d’énergie va correspondre à une puissance

développée pendant un certain temps pour vaincre les déperditions du
bâtiment
 par transmission
 Au travers des parois selon
conductivité, résistance et
transmission
 Au travers des ruptures
d’isolation par les ponts
thermiques
 par renouvellement d’air

 De ventilation spécifique
 D’infiltrations
Azimut 75

Les données météo
Les écarts de température journaliers

cumulés sur une année permettent
d’estimer le besoin de chauffage.
Ce sont les degrés jours unifiés notés
DJU et donnés pour une année
DJU = Σ(18 –Temoy)
Temoy : température extérieure moyenne de la journée

Référence de 18°C considérant que la température
intérieure des locaux est à 19 °C et que les apports
gratuits couvrent l’équivalent de 1°C • www.costic.com/ressources-techniques-et-
Les DJU varient d’un jour à l’autre, d’une année à reglementaires/service-degres-jours-unifies
l’autre, d’un site à l’autre • www.infoclimat.fr/
• www.cegibat.fr/
Azimut 76

Les DJU trentenaires annuels sont

relevés pour une période de
chauffe allant de 1er octobre au
20 mai soit 232 jours.
A Montpellier : 1830
A Nancy : 3106
A Nice : 1462
Les DJU caractérisent la rigueur

climatique d’un site.
Plus les DJU sont faibles plus les
besoins de chauffage sont limités
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2
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Dans le calcul réglementaire

RT2012 on trouve 8 zones
climatiques.
Chacune est représentée par une
station météo
Montpellier zone H3 station Nice
Azimut 78

Degrés Jours Unifiés ou DJU
• Pour Montpellier-Fréjorgues, la base de

DJU dans les outils réglementaires de
calcul thermique est à 1825 degés- jours
(données trentenaires).
• Plus les DJU sont faibles, plus le besoin

de chauffage est réduit. Ainsi, à Bourg-St-
Maurice, la valeur moyenne des DJU est
de 3382, presque le double de
Montpellier ! www.costic.com/ressources-techniques-et-
reglementaires/service-degres-jours-unifies
• Différentes appréciations des DJU: calculs www.infoclimat.fr/
thermiques RT contrats d’exploitation de www.cegibat.fr/
chauffage
Azimut 79

 Le besoin de chauffage brut
Sur une année, sans tenir compte des apports gratuits et autres
facteurs
Besoin brut (kWh/an) = Déperditions (W/K) x DJU (K) x 24 / 1000
Azimut 80
3
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LES APPORTS GRATUITS
Azimut 81
Les apports gratuits

 En diminution des besoins
Ils sont de 3 types:

 rayonnement solaire (externe)
 dus aux occupants (interne)
 du à l’éclairage + équipements
(interne)
 Dans une maison passive ils

peuvent couvrir quasiment les
besoins de chauffage
Azimut
Les apports solaires

 le rayonnement solaire
Fonction de la localisation
Le gisement solaire varie de
 moins de 1100 kWh/m²/an au Nord
 à plus de 1700 kWh/m²/an au Sud
sur une surface horizontale
L’ optimum annuel correspond

 à une orientation plein Sud (azimut 0°)
 une inclinaison égale à la latitude du
lieu (45° en moyenne)
Azimut 83
4
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 Le repérage du soleil
Hauteur h
+
Azimut a -
Sud
+
Source Ines
Azimut 84

Les masques
h
A l’aide d’un clinomètre on

reporte l’horizon sur le
diagramme solaire.
sud
h
a
21 juin
12h 21 mars - 21
60° 11h septembre
hauteur
50° 10h
21
40° décembre
16h
A noël, il n’y a du 30° 17h
soleil que de midi 20°
(solaire) à 15h00,
10°
alors qu’en juin, la
montagne ne le -90° -60° - 0° 30° 60° +90° azimut
cache pas de la est 30° sud ouest
journée. Source Ines

Logiciel de tracé de masque :
Azimut 85
http://sourceforge.net/project/platformdownload.php?group_id=186836

La puissance
Puissance instantannée maximale sur un plan incliné à 45° orienté plein sud
1200
Pour une orientation 1000
Sud et une
inclinaison de 45° la 800
puissance maximale
Puissance (W)
21-juin
reçue en hiver est 600 21-sept

21-déc
équivalente à celle
obtenue en été 400
200
0
4h 5h 6h 7h 8h 9h 10h 11h 12h 13h 14h 15h 16h 17h 18h 19h 20h
Heure solaire
Source Ines
Azimut 86
5
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 Les orientations de parois
 Intégrer la réflexion du confort d’été / confort d’hiver
FACADE SUD FACADE EST/OUEST FACADE NORD PLAN HORIZONTAL
Apports solaires maximaux en kWh/m².jour pour chaque mois d'une façade en région parisienne.
Source outilssoliares
Azimut 87

 le rayonnement solaire et les vitrages
Les vitrages orientés Sud: les plus faciles à protéger du rayonnement direct
Azimut 88

 le rayonnement solaire et les vitrages
En hiver le rayonnement solaire capté

principalement au travers
des parois vitrées
Les principales caractéristiques des
menuiseries pour mémoire
Uw coefficient de transmission thermique
de la fenêtre : perte
Sw facteur solaire (part de l’énergie
transmise sur le rayonnement reçu): gain
TL transmission lumineuse
Azimut 89
6
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Les apports internes

 les occupants
Le corps humain dégage une certaine quantité de chaleur qui dépend de

la stature de la personne et de son activité physique. Elle se décompose
en une partie sensible (sèche) récupérable et une partie latente
(humide).
hiver été
Azimut 90

Les équipements
• En résidentiel :
des consommations d’électricité
« spécifique » en augmentation :
+150% en 30 ans
• Entre 2500 et 3000 kWhef /an

soit 20% de la consommation
• Pris en compte à hauteur de

1,14 W/m² à 5,70W/m²
en logement individuel selon
scénarios RT2012 pour les
apports passifs y compris
occupants
Azimut 91

 Les équipements
• Dans le tertiaire
Evaluation à 200W la charge

interne d’un poste de travail :
éclairage + bureautique +
occupants
Azimut 92
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 Estimation
 rayonnement solaire
 Apports à travers 1m² de vitrage vertical en kWh / jour
en fonction de la zone et de l’orientation
Zones d’ensoleillement
 Pondération par type de menuiseries
(rapport surface clair à surface tableau)
Source RAGE 2012

Recommandations SSC
Azimut 93

 Estimation
Apports internes
Selon la formule
Apports gratuits journaliers = 3,5 + (2,5 x nombre d’occupants) en KWh/j
Taux de récupération
Dépend du rapport entre

besoin brut de chauffage et
apports gratuits
Source RAGE 2012

Recommandations SSC
Azimut 94
 Des apports gratuits qui peuvent couvrir la quasi-totalité des besoins

de chauffage dans les bâtiments très basse consommation
Exemple rénovation d’un appartement selon Maison Passive 65m²
Apports
gratuits
Apports récupérés
Exigences de chauffage en
Maison Passive Besoins de chauffage
Consommation < 15 kWh/m²/an
et puissance installée < 10W/m²
Azimut 95
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 Mais se prémunir des risques de surchauffe en été

 Minimiser les puissances d’éclairage
 Minimiser les consommations des équipements
 Se protéger efficacement des apports solaires
Stratégies confort d’été

Sce: guide bâtiment durable Belgique
Azimut 96
INERTIE ET AUTRES MODULATIONS
Azimut 97
Besoin de chauffage et inertie

 L’inertie
Détermine la réponse du bâtiment aux

variations de température
En transfert thermique les températures
sont considérées constantes
En réalité le bâtiment a un comportement
dynamique qui dépend de son inertie et se
caractérise par :
- un amortissement du flux d’énergie
- un déphasage
d’autant plus grands que l’inertie est
grande Pour agir il faut disposer d’une grande surface
d’échange
L’inertie peut être une alliée comme une
ennemie de la consommation énergétique et
du confort.
Azimut 98
9
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L’inertie
Elle est caractérisée de manière simplifiée par une masse par m² :
Structures légères: Structures lourdes:

parois avec isolation par parois sans isolation, ou
l’intérieur, parois vitrées, avec isolation par
plafonds plaques de plâtre, l’extérieur ou à isolation
mur ossature bois. répartie.
Azimut 99

L’inertie et caractéristiques associées
Elle résulte de plusieurs propriétés des matériaux

 la capacité thermique en Wh/m 3.K qui représente la capacité de stockage
de la chaleur du matériau
 la diffusivité : vitesse de diffusion de la chaleur à travers un matériau.
Plus la diffusivité est faible plus l’amortissement et le déphasage des
apports de chaleur seront importants
 l’ effusivité : capacité à échanger de l’énergie , à absorber ou à restituer
de la chaleur. Appelée aussi « chaleur subjective »
Si cette valeur est élevée le matériau absorbe beaucoup d’énergie sans se
réchauffer notablement
=> choix des revêtements de surface: bois dans les pays scandinaves,
faïence dans les pays méditerranéens
=> En pratique les matériaux à faible effusivité sont isolants et les
matériaux à forte effusivité possèdent un bon volant thermique
Azimut 100

L’inertie
Une densité > 50kg/m3 génère un

confort thermique d’été
Azimut 101
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Autres modulations
Le comportement des usagers
 Selon la température intérieure

de consigne à obtenir
- Économe (18°C ou moins),
- Moyen (19 / 20°C)
- ou Exigeant (21°C et plus)
les écarts de température
intérieur / extérieur seront plus
ou moins importants
Azimut 102
Autres modulations
 L’intermittence
Température maintenue jour / nuit

• L’intermittence caractérisée par un
coefficient d’intermittence fi ou I0 selon
l’usage du bâtiment traduit notamment
les périodes d’inoccupation , les réduits
de nuit, …
Abaissement de température
nocturne
Azimut 103
Autres modulations
 L’intermittence
• L’intermittence (i) sera liée à l’inertie, à

la présence ou non d’un équipement qui
permet de gérer l’intermittence, au type
de chauffage à la régulation terminale et
aux types d’émetteurs
Méthode 3Cl pour le Diagnostic de performance Energétique
Azimut 104
11
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Besoin de chauffage net

• Le besoin net de chauffage peut s’exprimer ainsi
 À partir des déperditions par transmission et
renouvellement d’air en W/K
Soustraire les apports gratuits
Multiplier par 24 h -> jour
Multiplier par les écarts de température et les
jours sur une saison de chauffe *
Multiplier par le coefficient d’intermittence i (<1)
Diviser par 1000 pour obtenir des kWh/an
Besoin net = (Déperditions– Apports) x DJU x 24h x i / 1000

kWh /an W/K K /an
* période de chauffe normalisée: 232 jours du 1er octobre au 20 mai

Azimut 105
Besoin de chauffage
APPLICATION
Azimut 106
CONSOMMATIONS D’ENERGIE
Azimut 107
12
29/11/2017
Calculer une consommation

 Quelles consommations?
 La consommation de
chauffage
 La consommation d’eau
chaude
 L’éclairage
Azimut 108

• En 2012 consommation moyenne par logement
16 500 kWh/an (énergie finale)
Source ADEME
Chiffres clés Bâtiment 2013
Azimut 109

 2 méthodes de calcul
 Méthode Th-BCE et Méthode Th-C-E ex
CONSOMMATION
=
BESOINS NETS + PERTES SYSTEME
 Méthode 3CL-DPE
BESOINS NETS
CONSOMMATION =
RENDEMENT
Azimut 110
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29/11/2017
CONSOMMATIONS DE CHAUFFAGE
Azimut 111
Consommation de chauffage
les systèmes de chauffage
Source ADEME
Le chauffage 14/01/2015
Azimut 112
112
les éléments d’un chauffage central
Source ADEME
Azimut 113
113
14
29/11/2017
Les rendements
L’équipement de chauffage permet de

combattre les déperditions mais induit
des pertes à chaque étape
 génération (Chaudière)
 distribution (Réseaux)
 émetteurs (Radiateurs)
 régulation
Le rendement global traduit l’efficacité

énergétique: il représente le pourcentage
d’énergie consommée sur l’énergie réellement utile
Rendement global η = η g x ηd x ηe x ηr les rendements se multiplient
Azimut 114
LES EQUIPEMENTS DE CHAUFFAGE
Azimut 115
Equipements de chauffage: production
La production de chaleur à partir de combustibles

Gaz: Fuel:
44% des logements 14% des logements
Azimut 116
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Les chaudières murales

Les chaudières à combustibles
Chaffoteaux
& Maury
Air primaire
Air secondaire
Azimut 117
les éléments d’une bonne combustion
Combustion neutre: Combustion effectuée avec la quantité

d'oxygène exactement et théoriquement nécessaire pour
oxyder complètement le combustible. S'oppose à
combustion oxydante, avec un excès d'air, et à combustion
réductrice, avec un défaut d'air.
 Trop d’air = mauvais rendement
 Juste = stœchiométrique
 Pas assez d’air = Imbrûlés
Azimut 118
 rendement du générateur :
 Les pertes combustion
 Les pertes conduction
 Les pertes balayage
 les rendements se multiplient :

 exemple :
combustion 92%,
conduction 95%,
balayage 90%
  η=0,92x0,95x0,90 = 0,78
Rendement de génération =
Puissance utile /
Puissance calorifique (consommation)
Azimut 119
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 Le rendement
Le rendement de génération global annuel est toujours inférieur au
rendement chaudière instantané, et ce d’autant plus que:
 la chaudière est mal isolée,
 la chaudière est placée dans un local froid,
 le balayage du circuit feu de la chaudière est important lors des
arrêts du brûleur,
 la chaudière est surpuissante par rapport aux besoins de
l’installation.
Azimut 120
 Exemple : évolution des rendements des chaudières gaz
Azimut 121
 Rendements des chauffages bois
Azimut 122
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 Systèmes à énergie électrique

 Directs : par effet joule
(résistance électrique)
 Thermodynamiques caractérisés
par un coefficient de performance
(COP)
Azimut 123
 Rendement des systèmes thermodynamiques
Coefficients de performance des PAC :

La performance énergétique d'une
pompe à chaleur se traduit par le
rapport entre la quantité de chaleur
produite par celle-ci et l'énergie
électrique consommée par le
compresseur. Ce rapport est le
coefficient de performance (COP) de la
pompe à chaleur.
Azimut 124
 Rendement des systèmes thermodynamiques
 Rendement théorique : COP pour des températures extérieure et

d’émetteur normées (exemple 7°C / 35 °C)
 Rendement saisonnier SPF ou SCOP déterminé sur une saison de
chauffage (la valeur SPF est plus basse que le COP)
 Rendements moyens envisagés pour différents types de PAC :
• PAC air/air ou air/eau : 2.50
• PAC eau glycolée/air ou eau glycolée/eau : 2.70
• PAC eau de nappe/air ou eau de nappe/eau : 3.00
• PAC sol/sol ou sol/eau : 3.00
• PAC à haute température : 2.30
(*) COP systèmes, incluant les consommations des auxiliaires
Azimut 125
18
29/11/2017
 Systèmes à énergies renouvelables
Azimut 126
Equipements de chauffage: distribution
 De la chaudière aux émetteurs

Les pertes de distribution dépendent principalement:
 du diamètre extérieur des tuyauteries,
 de la longueur des tuyauteries,
 de l’isolation thermique des tuyauteries,
 des ponts thermiques au niveau des fixations
 de la température du fluide véhiculé.
Azimut 127
 De la chaudière aux émetteurs
Exemple :
Si on considère une eau de chauffage à 80 °C :
. Émission d’un mètre de tube calorifugé de
diamètre 33/42 = 0.30 [W/m.K]
. Émission d’un mètre de tube non calorifugé
de diamètre 33/42 = 1.80 [W/m]
Azimut
128
19
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 Valeurs forfaitaires de rendement

CHAUFFAGE CENTRAL INDIVIDUEL AU FIOUL OU AU GAZ
Température de départ d’eau 80 ou 90 °C
Chaudière et réseau dans le volume habitable 0,90

Chaudière hors Vh, réseau dans Vh
raccordement chaudière-réseau isolé* 0,85
raccordement chaudière-réseau non isolé 0,80

Chaudière et réseau hors volume habitable
réseau de distribution isolé 0,75
réseau de distribution non isolé 0,5
*le réseau est dit isolé lorsque l’épaisseur de l’isolant est au moins égale à 25 mm.
Azimut 129
Equipements de chauffage : émission
 Systèmes centralisés
 ou émetteurs indépendants
Azimut 130
 Augmentation des surfaces d’émetteur pour un fonctionnement basse

température .Un même flux requiert une surface d’autant plus élevée
que la température d’émission est basse.
Azimut 131
20
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 Rendement d’émission
Une partie de la chaleur fournie par un émetteur n’est pas utilisée pour
le chauffage du logement. C’est en particulier le cas des radiateurs
placés le long des murs extérieurs.
émetteur h émission
Radiateurs et convecteurs 0,95
Air chaud 0,95
Sol 1,00
Plafond 0,95
Sol et plafond 0,95
Azimut 132
Equipements de chauffage : régulation
 Régulation décentralisée :
Robinet thermostatique, permet de Robinet
maintenir une thermostatique
température « linéaire » sans intervention
manuelle.
Sur chaque émetteur, comme thermostat
sur convecteur électrique.
Régulation
centralisée
 Régulation centralisée :
Commande centrale d’une température
dans un logement ou ensemble de bureaux.
Complétée par des régulations
Fonction
décentralisées. température
extérieure.
Azimut 133

Régulation fonction de la
température extérieure
La régulation centralisée
Pas de robinet thermostatique dans la pièce
ou est situé le thermostat d’ambiance
Régulateur
en fonction
de l'extérieur Robinets thermostatiques
Azimut 134
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Lorsque, du fait de la régulation, la température du local dépasse la

température désirée, la consommation d’énergie augmente.
Les valeurs du rendement dépendent du type de chauffage et du
type de régulation.
CHAUFFAGE ELECTRIQUE
Type de régulation h régul.

Thermostats possédant un différentiel ou une bande
0,99
proportionnelle inférieur à 0,5 K
Thermostats conformes aux normes 0,96
Autres cas 0,93
Azimut 135
CHAUFFAGE INDIVIDUEL AU FIOUL OU AU GAZ

Avec régulation centrale en fonction de la température extérieure ou régulation centrale fonction
de la température intérieure avec un thermostat différentiel inférieur à 0,5 K

Robinets thermostatiques conformes à la norme NF_P 52-002 0,98
Pas de robinets thermostatiques conformes à la norme NF_P 52-002 0,96
CHAUFFAGE INDIVIDUEL AU FIOUL OU AU GAZ

Avec régulation centrale fonction de la température intérieure avec un thermostat différentiel
supérieur à 0,5 K
Robinets thermostatiques conformes à la norme NF_P 52-002 0,94
Pas de robinets thermostatiques conformes à la norme NF_P 52-002 0,92
Azimut 136
CONSOMMATION D’EAU CHAUDE

SANITAIRE
Azimut 137
22
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L’eau chaude sanitaire ECS
Azimut 138
L’eau chaude sanitaire : les besoins
 Calcul des besoins d’eau chaude sanitaire
BECS = q x 1,16 x (TECS −TEF) Des besoins très variables

au cours d’une journée
Débits instantanés
 q consommation annuelle en litres par minute
250
m3/an à 50°C Pointe maximale
200
 TECS température d’eau chaude Durée de la pointe
sanitaire 50°C 150 pluri-horaire de bains
 TEF température d’eau froide en °C 100
(dépend du lieu , voisine de 10°C)

50
 1,16 chaleur volumique de

l’eau en kWh/(m3.K ) 0
3 6 9 12 15 18 21 24
Heures de la journée
azimut Azimut 139
L’eau chaude sanitaire : les systèmes
 Chauffe-eau électrique
 Chauffe-bain gaz
 ECS couplée à la chaudière gaz
fioul, bois, réseau chaleur collectif
 Chauffe-eau thermodynamique
 Chauffe-eau solaire (et appoint)
Azimut 140
23
29/11/2017
ECS: minimiser les besoins
 Limiter les consommations

 Diminuer la pression de distribution:
• réducteur de pression après compteur d’eau en général pour tendre
vers 1bar
 Installer des appareils économes

• Les aérateurs régulés:
débit de 4,5l/mn au lieu des 12l/mn classiques pour le même confort
• Les mitigeurs
• Les douchettes à effet Venturi
azimut Azimut 141
ECS: minimiser les besoins
 Limiter les pertes  Distribution : isoler et minimiser les

 Stockage : isoler et minimiser les
longueurs
volumes
 Les tuyauteries sont de 2 types :

 Pour les ballons de stockage :
. les tuyauteries de distribution,
valeurs exigées par la marque NF Électricité
. les tuyauteries de bouclage (ou de
Performance Catégorie B ou C , les pertes
recyclage) en collectif.
maximales par 24 heures:
Qpr = 0.22 + 0.057 x V 2/3 [kWh/jour]
 Bras mort maxi 8 m (temps attente eau
chaude)
 Soit pour un ballon de 200 litres, des
pertes de 767 [kWh/an]
azimut Azimut 142
Attention valeurs à prendre avec précaution!
Indications à considérer comme comparaison d’équipements entre eux
RENDEMENTS GLOBAUX
D’INSTALLATION
Azimut 143
24
29/11/2017
Les rendements globaux

Systèmes de chauffage électrique direct
Efficacité
Chaudière électrique : système
Appareil conçu pour chauffer de l’eau par
effet joule (résistance électrique) 0,61
Plancher électrique
Système constitué de câbles chauffants
0,96
noyés dans une chape sur isolant.
Plafond électrique : Le plafond est composé d'un

0,94
film chauffant collé sur panneau isolant thermique,
est placé au-dessus de plaque de plâtre.
Convecteurs électriques NF C 0,94

convecteurs, panneaux rayonnants,
radiateurs électriques divers
Azimut Coefficient de conversion à prendre en compte = 2.58

Systèmes de pompe à chaleur
Efficacité
Pompe à chaleur air/air Air Intérieur 20°C / +7°C Air Extérieur système
Echange sur l’air extérieur

1.90
Restitue dans l’habitat via un réseau d’air
Pompe à chaleur air/eau

Echange sur l’air extérieur Eau 35°C / +7°C Air Extérieur 2.40
Restitue dans l’habitat via un réseau eau chaude.
Pompe à chaleur géothermique Géothermie de surface / Eau 35°C 3.60

Echange sur le sous sol Géothermie de profondeur / Eau 35°C 3.80
Restitue dans l’habitat via un réseau à eau chaude.
Pompe à chaleur eau/eau Eau extérieure 10 °C/ Eau 35°C

Echange sur l’eau (nappe, …) 2.90
Restitue dans l’habitat via un réseau eau chaude.
Coefficient de conversion à prendre en compte = 2.58

Azimut

Systèmes de chauffage eau chaude
Efficacité
Chaudière au sol Gaz Ancienne système
Appareil à combustible fossile conçu pour fournir
de l’eau chaude à haute température. 0.49
Chaudière au sol Gaz Standard

0.52
de l’eau chaude à haute température.
Chaudière au sol Gaz Basse température

Appareil à combustible fossile conçu pour fournir 0.66
de l’eau chaude à moyenne température.
Chaudière au sol Gaz à condensation

Conçue pour récupérer la chaleur latente des 0.70
fumées par condensation de la vapeur d’eau de
la combustion. Réseau en Basse température
25
29/11/2017

Efficacité
Chaudière au sol Fioul Ancienne système
de l’eau chaude à haute température. 0.48
Chaudière au sol Fioul Standard

0.51
de l’eau chaude à haute température.
Chaudière au sol Fioul Basse température

Appareil à combustible fossile conçu pour fournir 0.65
de l’eau chaude à moyenne température.
Chaudière au sol Fioul à condensation

Conçue pour récupérer la chaleur latente des 0.69
fumées par condensation de la vapeur d’eau de
la combustion. Réseau en Basse température

Efficacité
système
Chaudière instantanée Gaz avant 1988
Appareil à combustible fossile conçu pour fournir de
0.51
l’eau chaude à haute température sans réserve
Chaudière à accumulation Gaz avant 1988

Appareil à combustible fossile conçu pour fournir de l’eau 0.57
chaude à haute température sans réserve
Chaudière instantanée Gaz 1988-2000

Chaudière à accumulation Gaz 1988-2000

Efficacité
système
Chaudière instantanée Gaz après 2000
Appareil à combustible fossile conçu pour fournir de
0.62
l’eau chaude à haute température sans réserve
Chaudière à accumulation Gaz après 2000

chaude à haute température avec réserve
Chaudière instantanée Gaz Basse température

Chaudière instantanée Gaz Condensation
Azimut
Coefficient de conversion à prendre en compte = 1.00
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Systèmes de chauffage indépendant
Efficacité
système
Poêle charbon
Appareil à combustible charbon conçu pour fournir
0.27
de la chaleur dans la pièce où il se trouve.
Poêle fioul (mazout) / GPL

Appareils à combustible mazout ou GPL conçus
0.42
pour fournir de la chaleur dans la pièce où ils se
trouvent. Ils sont équipés d’un brûleur.
Radiateurs gaz à ventouse ou sur conduit de fumées

Chaque radiateur est alimenté par une canalisation gaz.
0.55
Les gaz brûlés sont évacués par un conduit ou renvoyés
directement sur l’extérieur au moyen d’une ventouse.

Chaudières à Bois Efficacité
Appareil à combustibles Bois pour alimentation en Basse système
Température dont le rendement dépend de la combustion :
0.39
-----------------Montante
0.45
---------------Horizontale
Inversée----- 0.49
-----------------------------------------------------------Tirage forcée 0.53
Azimut Coefficient de conversion à prendre en compte = 1.00 en Neuf ou 0.60 en Rénovation

Systèmes de chauffage énergie bois
Poële à Bois Efficacité

système
Appareils indépendants, le rendement dépend de la technologie

0..28
- Ancienne génération (1 arrivée d’air)
0.48
- Turbo (2 arrivées d’air)
- Améliorée (2 arrivées d’air et 1 secondaire) 0.50
-Poêle à Granulés 0.52
-Poêle de masse 0.50
Azimut Coefficient de conversion à prendre en compte = 1.00 en Neuf ou 0.60 en Rénovation
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Efficacité
SOLAIRE THERMIQUE COMBINE système
Appareil récupérant l’énergie solaire pour la convertir en eau
chaude – Fonctionnement sur 35 °C- Capteurs Tubes 0.65
Capteurs Plans 0.55
RESEAU DE CHALEUR
Appareil récupérant l’énergie en provenance
d’incinérateurs (déchets,…) pour la convertir en eau 0.71
chaude Basse Température sur Réseau de
distribution citadin
CHAUDIERE ELECTROGENE 0.65

Appareil A CONDENSATION fonctionnant au GAZ 0.55
/BOIS (***) et dont les produits de combustion
génèrent de l’électricité au travers d’un moteur
STIRLING
Azimut Coefficient de conversion à prendre en compte = 1.00 (***ou 0.60)

Systèmes d’eau chaude sanitaire
Efficacité
CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE système
Appareil récupérant les calories de l’Air pour la convertir en eau

chaude sanitaire Air Exterieur (+7°C)- Eau (52.5°C) 2.10
Air Extrait (+20°C) - Eau (52.5°C) 2.40
CESI - SOLAIRE THERMIQUE (***)

Appareil récupérant l’énergie solaire pour la convertir en eau 0.65
chaude – Fonctionnement sur 60°C- Capteurs Tubes 0.55
Capteurs Plans
BALLON ELECTRIQUE
Résistance électrique chauffant un certain volume d’eau stockée 0.72
dans un accumulateur Hors volume chauffé (à 15°C)
Azimut Coefficient de conversion à prendre en compte = 2.58 (***ou 1.00)
Source ADEME
Azimut Avis modes de chauffage individuels – déc. 2014 155
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CONSOMMATION D’ECLAIRAGE
Azimut 156
La consommation d’éclairage
Les enjeux
 En moyenne pour un foyer

• 10 % de la facture d’électricité des
ménages
• 350kWh / an
• 40€ /an avec de fortes disparités
 L’éclairage fait partie des usages de pointes

de l’électricité => pollution
 Exigence en niveau d’éclairement (lux sur le

plan de travail) en Tertiaire et Industrie
 Pas d’exigence pour le résidentiel
Azimut
157
 Notions
Efficacité lumineuse d’une lampe

Puissance en
Rapport entre le flux lumineux émis (lumen) et watts (W)
sa consommation (Watt)
L.E.D > FLUO > HALOGENE > INCANDESCENCE lampe
85lm/W 70 lm/W 17 lm/W 13 lm/W
Flux lumineux
en lumen (lm)
Rendement d’un luminaire
Rapport entre le flux lumineux émis par la lampe
luminaire
et celui du luminaire
•Entre 35 et 90%
•Dépend du mode d’éclairage (direct/indirect), 35 à 90%
réflecteurs, opacité,
Exemple: luminaire basse luminance avec réflecteur : 69% Eclairement
lumineux en
lux (lx)
= lumen / m²
Azimut
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29
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• Les ampoules : actuellement l’offre est

vaste:
 Lire les étiquettes
 Raisonner en lumen
Azimut
159
 Les lux?
Quelques valeurs d’intensité lumineuse:
– Pleine lune 1 lux
– Rue de nuit bien éclairée 20 lux à 70 lux
– Local de vie lumière artificielle 100 lux à 200 lux
– Appartement bien éclairé 200 lux à 400 lux
– Bureau, atelier 200 lux à 3 000 lux
– Grand magasin 500 lux à 700 lux
– Extérieur à l'ombre 10 000 lux à 15 000 lux
– Ciel couvert 25 000 lux à 30 000 lux
– Plein soleil 50 000 lux à 130 000 lux
Niveaux minima donnés par le code du travail (R.232-7):

– rues, routes et autoroutes : 15 à 50 lux
– activité intermittente ou tâche simple : 125 lux
– mécanique moyenne, travail de bureau : 200 lux
– mécanique fine, dessins : 400 lux
– mécanique de précision, électronique : 600 lux
– tâches difficiles, laboratoires : 800 lux
Azimut 160
 La performance d’une installation d’éclairage
Efficacité globale de l’installation
Rapport entre la puissance installée (Watt) et le niveau
d’éclairement constaté (lux)
Cette efficacité globale dépend :
• De l’efficacité lumineuse de la lampe
• Du rendement du luminaire
• Du système d’allumage de la lampe
• Ballast électronique plus efficace que ferromagnétique
(fluo)
• Du système de gestion de l’éclairage
Mais ne pas oublier:

• Les potentialités de l’éclairage naturel
• La puissance d’éclairage appropriée à l’usage de la pièce
LUX
Azimut 161
30
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Solutions comparées
 Exemple:
Eclairage d’une zone de bureaux de 100m², soit une puissance lumineuse de 350 lux
d'éclairement moyen.
Réalisable avec:
54 ampoules à incandescence de 75 W 40,5 W/m²
32 lampes halogènes de 60 W 17,5 W/m²
42 tubes fluorescent à 14 W 5,88W/m²
300 leds de puissance 1W 3 W/m²
(grâce à 90% du flux lumineux « utile ») .
Nb: la RT impose que la puissance installée soit inférieure ou égale à 2,8 W/m² par tranche de 100 lux
Azimut 162
CONCLUSION
Azimut 163
Conclusion
Garder en mémoire
Priorité au passif
• Isolation des parois opaques
• Menuiseries extérieures et
étanchéité à l’air
• Protections solaires
• Traiter la ventilation
• Réduire ou ajuster les besoins (ECS, éclairage
Ensuite les équipements techniques
• Chauffage
• ECS
• Ventilation mécanique
• Eclairage
• Autres usages
Azimut 164
31
29/11/2017
Conclusion
Une démarche exemplaire : négaWatt
Le négaWatt = une trilogie vertueuse

 Sobriété énergétique : l'énergie la moins chère est celle qu'on ne
consomme pas.... = réduire les besoins et sensibiliser aux “gestes
verts”
 Efficacité énergétique : rendement de la ressource utilisée, des
matériaux et équipements.
 ENR : compléter le duo par le recours à des ressources inépuisables,
élargir le bouquet énergétique, s'affranchir de la dépendance aux
énergies fossiles.
www.negawatt.org
www.batiment.izuba.fr
Azimut 165
32

lp2SC S1 GClim 19-01-2018 916

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Eléments de contexte Les besoins de chauffage

LES BESOINS DE CHAUFFAGE

Les besoins de chauffage

La consommation d’énergie va correspondre à une puissance

 par renouvellement d’air

Les besoins de chauffage

Les écarts de température journaliers

DJU = Σ(18 –Temoy)

Temoy : température extérieure moyenne de la journée

Les besoins de chauffage

Les DJU trentenaires annuels sont

Les DJU caractérisent la rigueur

Les besoins de chauffage

Dans le calcul réglementaire

Montpellier zone H3 station Nice

Les besoins de chauffage

Degrés Jours Unifiés ou DJU

• Pour Montpellier-Fréjorgues, la base de

• Plus les DJU sont faibles, plus le besoin

Les besoins de chauffage

Besoin brut (kWh/an) = Déperditions (W/K) x DJU (K) x 24 / 1000

LES APPORTS GRATUITS

Les apports gratuits

Ils sont de 3 types:

 Dans une maison passive ils

Les apports solaires

L’ optimum annuel correspond

Les apports solaires

Les apports solaires

A l’aide d’un clinomètre on

journée. Source Ines

Les apports solaires

Pour une orientation 1000

reçue en hiver est 600 21-sept

Les apports solaires

 Intégrer la réflexion du confort d’été / confort d’hiver

FACADE SUD FACADE EST/OUEST FACADE NORD PLAN HORIZONTAL

Les apports solaires

Les apports solaires

En hiver le rayonnement solaire capté

Les apports internes

Le corps humain dégage une certaine quantité de chaleur qui dépend de

Les apports internes

• Entre 2500 et 3000 kWhef /an

• Pris en compte à hauteur de

Les apports internes

Evaluation à 200W la charge

Les apports gratuits

Source RAGE 2012

Les apports gratuits

Dépend du rapport entre

Source RAGE 2012

Les apports gratuits

 Des apports gratuits qui peuvent couvrir la quasi-totalité des besoins

Exemple rénovation d’un appartement selon Maison Passive 65m²

Les apports gratuits

 Mais se prémunir des risques de surchauffe en été

Stratégies confort d’été

INERTIE ET AUTRES MODULATIONS

Besoin de chauffage et inertie

Détermine la réponse du bâtiment aux

Besoin de chauffage et inertie