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La jeunesse française en 2022 

: engagée ou désinvestie ?

Insouciance, indifférence, « je-m’en-foutisme », telles sont les expressions souvent utilisées


pour dénoncer le désintérêt de la jeunesse pour le politique. En effet, les chiffres montrent
des scores d’abstention très élevés (74 %) chez les 18-24 ans au second tour des législatives.
Rappelons que la notion d’engagement politique désigne le comportement d’un individu qui
veut participer à la vie politique au sens de la vie de la cité …

Face à des représentants politiques ne répondant pas aux attentes des plus jeunes, les taux
d’abstention chez ces derniers atteignent des records. Pourtant nous allons voir que la
jeunesse française mène des actions, reste très investie, se mobilise...

II – De nouvelles formes d’engagement

1) Les NMS

C’est à partir des années 60-70s (mai 68) que de nombreux nouveaux mvts sociaux sont
apparus avec des revendications plus centrées sur l’autonomie et l’expression individuelle.

Ex : féminisme, LGBT+, écologie,les mouvements régionalistes, les mouvements


étudiants…

2) Une socialisation différente

« La citoyenneté a changé, ce n’est plus une citoyenneté de devoirs, c’est une citoyenneté de
droits » (the conversation)

Voter seulement quand cela est nécessaire

Engagés pour une cause ou dans une association, mais abstentionnistes… Un drôle de
paradoxe, qui concerne de plus en plus de jeunes.

3) Influencer le pouvoir, participation non conventionelle

Manifestations, pétitions, boycotts...

ex : nuit debout (à la place de la République et aussi d’autres villes de provinces)


→ lien par les réseaux sociaux
attirer l’attention des médias

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