Mr : Assili Oscillations électriques libres amorties - Pour calculer i à partir des chronogrammes de q( t ) ou uC( t ) :
i représente le coefficient directeur de la tangente à ces
Etude théorique dq du chronogrammes à un instant t ( i = = C. C ). dt dt 1- Equation différentielle régissant l’évolution temporelle de q - La variation E de l’énergie, entre deux instants t1 et t2, ( t2 > t1 ) : L’application de la loi des mailles au circuit de la figure ci-contre permet d’écrire : E = E ( t2 ) - E ( t1 ). q di uC + ub + uR = 0, ce qui signifie + ( ri + L ) + Ri = 0. D’où C dt - La perte E de l’énergie, entre deux instants t1 et t2, ( t2 > t1 ) : 2 di q dq di d q L + ( r + R )i + = 0 or i = donc = 2 , dt C dt dt dt E = E ( t2 ) - E ( t1 ) . on obtient alors l’équation différentielle régissant l’évolution de q : 2 dq dq q L 2 +(r+R) + = 0 (on peut déduire celle régissant l’évolution dt dt C 2 d uC duC de uC ( q = CuC ) LC 2 + ( r + R )C + uC = 0 ) dt dt 2- Dissipation de l’énergie totale 2 1q 1 2 dE q dq di di q E= + Li = . + Li. = i( L + ). De l’équation 2C 2 dt C dt dt dt C di q dE 2 différentielle on tire : L + = - ( r + R )i d’où = - ( r + R )i < 0. dt C dt
Remarque
On peut calculer la perte d’énergie dans le cas du régime
pseudopériodique : 2 1 qmax 1 2 - On admet que si q = qmax, i = 0 ( E( t ) = = Cu Cmax : 2 C 2 l’énergie est purement électrostatique ) et si i = imax, q = 0 1 2 ( E( t ) = Li max : l’énergie est purement magnétique ) ; 2