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Les parcs / jardins publics

Intro

Les parcs sont une des meilleures représentations du fait que l’homme se trouve enfermé en ville, le
premier jardin public fait son apparition en 1848 et est crée par Rambuteau. La création de ce
premier espace vert dans la capitale est le résultat du remodelement de la capitale sous le sencond
empire. En effet, un remodèlent de paris a lieu à cette perdiode, permettant l’introductions
d’espaces verts dans la capitale. On peut se demander cependant pourquoi l’apparition d’une telle
installation est elle si tardive. Avant cela la capitale était aussi tulisée pour l’agriculuter mais la
revolution industrielle résulte a la disparition de plus en plus de ces espaces verts naturels et a la
creation de jardins publics dans le but de rammener un peu de verdure dans la capitale. Les
urbanistes sont à la recherche de lumiere adin de faire disparaitre la tuberculose et le choléra.
En effet a l’epouqe de Napoléon II, le but premier des jardins suit des theories hygienistes de la
purification de l’air, les parcs représentent une sorte de poumon vert au milieu de la ville, à l’poque
indstrialisée et enfumée. Cette theorie hygieniste bien que modifiée peut encore exisyter aujour’hui,
en effet le nombre de parcs on doubé entre 1900 et 1975. La volonté de donner de la verdure a paris
est donc toujours bien presente
Cependant dans l’imaginaire general les parcs non tplus cette même fonction, ils represente un
eosrtie d’utopie au milieu des constructions en béton. Une heterotopie dans la ville, dans laquelle les
règles sont différentes des autres espaces publics.

La plupart des parcs à paris sont fermés a la tombée de la nuit, d’ailleurs leur heure de fermeture
d’accord à l’heure du coucher du soleil. L’utopie est rendue inccassible après une certaine heure de
la journée, la nature n’est plus accsessible. La plupart des grnads parcs fermen à 17h l’hiver, par peur
peut etre que à la nuit tombée l’utopie se transforme en cauchemard, a surveillance n’est plus
possible dans cet espace naturel qui essaye de le rester ( absence de lampadaires). Par peur que
pendant la nuit, cause de l’absence de surveillance les jardins publics deveinnt la demeure de sans
abris et de crimes etc.
La nuit permet aussi à l’utopie de garder sa facette, en feffet les parcs snt arrosés automatiquements
la nuit, essayent de garder leur fraicheur avant l’arrivée des visietus, ce qui fait de cet espace un
espace naturel mais façonné par l’homme à l’abris du regard.

Les parcs sont des espaces totalement faconnés par l’homme, bénéficient d’un arrosage
automatique, ont été crées pour s’imbriquer parfaitement dans le paysage urbain, entre deux rues.
Ils ne sont pas e développement de la nature qui reprend ses droits sur la nature.
Le parc de la vilette par exemple qui est le plus grand parc de paris, dans ce ârc la nature est mise en
scene, et le parc est construit comme un parcours à suivre. La nature est utilsiée comme un objet par
l’homme
Constuit par bernard tschumi ;

Parties
1) Histoire
2) Caractere articfiel des parcs, nature culture
3) Une utopie, hétérotopie
4) Idéal de la nature dans la ville, paradoxe
5) Préoccupation environementale ou ?? simple interet
6) Au dela des parcs : jardins communaitaieres, balcons et terrasses vegetalisantes

De nos jours les parcs ont une tout autre imae, ils reresente une utopie
Heterotopie : autres règles
Une utopie ou tout le monde ne peut pas aller, acces limité en temps, une utopie fermée le soir.
Reste un ideal,

1930 : poumon vert, utilisés pour embellir, rafrait la ville

Definition du parc en ville,


Cas particulier de paris
Urbanisation de la nature
Comme une lueur d’espoir au milieux des blocs de beton,
Vert oposé au gris de la ville, espoir,
Espace quina ses propres règles, heterotopie, contre lieu,
Société amelioré ou symbole d’une société corrompue,
Utopie, differen des aures lieux
Opposition a un lieu enfermé, on y va pour s’aherer, règles différentes dans un parc
Heures dacces, sdf,
Heterotopie ; ou on envoie des individus en crise,
Parcelle du monde
Oposiiton a un lieu enferm alors que le parc esgt le lieu délimit par des barrières

Les parcs représentent un espace de verdure dans une ville faite de beton, en effet les villes se
construir=sent autour de , vlles construites autour des parcs ???

Representa la nature dans a ville


«  nature sens vague
Pas réélément naturle
Opposition nature culture, en philo, essayer de trouver mes cours
Enfermement de la ville
Mimétisme de la nature
Microcome de la campagne
Utilité des parsc
Exemples à paris
Center park : nature centre la la société etc
Lieux autre avec des rgles differencres
Comme un voyage
On diraiqu »on sor de la ville
Air tout aussi pollué voir plus cependant u e impression d’etr libéré etc

Ccl

Sous le Second Empire, Napoléon III mène une politique de grands travaux. Son objectif : aérer la ville
pour l’assainir et lutter contre le choléra et la tuberculose qui sévissent dans un Paris très dense et
très peuplé. Il faut percer le tissu urbain pour faire rentrer la lumière (ex : à Lyon, rues Edouard
Herriot et rue de la République), ainsi que le végétal.
Napoléon III s’inspire de Londres qui abrite le 1er parc urbain public: le Regent’s Park, en 1838. Il
s’implique beaucoup dans la politique des jardins, de création de parcs : Bois de Boulogne, Bois de
Vincennes, parc Monceau. Jean-Charles-Adolphe Alphand, principal collaborateur du préfet
Haussmann, s’inspire des modèles à l’anglaise, avec leurs lignes courbes, et la variété des ambiances.
A Lyon, de la même manière le préfet Vaïsse développe le parc de la Tête d’Or, conçu par les frères
Bülher, en 1857, en y faisant creuser un plan d’eau et en adoptant des lignes courbes, à l’anglaise,
suivant ce qui se fait à l’époque, afin d’obtenir des paysages variés. Le parc du Château de Versailles
a également beaucoup marqué les paysagistes : créé par Louis XIV, c’est un parc à la française avec
de grandes perspectives très ordonnées. Les parcs publics urbains sont intimement liés,
historiquement, aux jardins qui mettent en scène l’eau, le minéral, le végétal et l’animal.

Alors que le nombre des espaces verts publics et privés a doublé entre 1900 (564 ha) et 1975 (1072
ha), le maraîchage disparaît quasiment de Paris dès 1900 (9,6 ha)

Dès 1833, Rambuteau puis Hausmann, en lien avec les théories hygiénistes, généraliseront la
présence des arbres d’alignements dans la capitale portant à 100000 le nombre d’arbres
d’alignement
Creation de parcs va pallier a la diminution despaces de production agrocle dans la capitale
théories hygiénistes
1848 pour que le préfet Rambuteau réalise le premier jardin public de Paris:

Si notre cerveau peut nous conduire vers des paysages de rêve qui
suscitent l’apaisement dans des séances de relaxation, notre corps a
réellement besoin d’air, d’eau et de nature pour pouvoir exercer ses
fonctions vitales.  Michel Serre
7/10 francais choisissent leur lieu de vie si il est en proximité d’un parc
 « considérer la nature urbaine comme un partenaire du développement
et non comme une simple variable d’ajustement de l’extension urbaine ».
Bernard Reichen

Buttes chaumont :
Le citadin ne connaît d’ailleurs pas de nature autre que jardinée, et c’est
elle qu’il associe au repos, ce moment rare dans la ville.
Associé au REPOS

« terrain généralement clos où l’on cultive des végétaux utiles ou


d’agrément », le dictionnaire retient l’idée de la clôture, qui caractérise
également le parc, et l’agrément, attribut du jardin dans sa version
« noble » ou « domestique ». Le mot « jardin » tend à devenir le terme
générique pour tout espace planté et cultivé pour l’agrément, qu’il
s’agisse des espaces publics jardinés dans la ville ou de la production
domestique de plantes, de fruits et de légumes. Le « jardin public » qui
apparaît au début du XXe siècle est défini comme un « jardin d’agrément,
espace vert ménagé dans une ville »

L’urbanité du jardin public est étudiée ici comme un rapport


singulier entre des espaces urbains et les pratiques qui s’y déroulent ou
s’y organisent, dans une perspective où l’espace n’est pas seulement
considéré comme le décor d’une action ou d’un comportement. Il est un
élément de l’urbanité, tout comme les mouvements et les
comportements des citadins.
https://www.cairn.info/revue-ethnologie-francaise-2010-4-page-609.htm

a lire :
https://www.cairn.info/revue-du-mauss-2019-2-page-95.html

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