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QCM Terminales  PRENOM :...........................................................
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1. Le Pib nominal correspond...


A. A un indicateur de richesse désignant les principales organisations productrices
B. A la richesse créée par les individus.
C. A la richesse créée au cours d'une année, sans retirer l'inflation
D. A la richesse créée au cours d'une année, après avoir déflaté

2. La croissance extensive se fonde sur....


A. L'accumulation des facteurs travail et capital
B. Les gains en productivité des facteurs
C. Le nombre d'heures travaillées et d'acquisition de machines par exemple
D. Une meilleure façon d'organiser le travail et des progrès technologiques par exemple

3. Qu'est-ce que la croissance intensive ?


A. La part de la croissance économique liée à l'amélioration de la productivité globale des facteurs.
B. Un taux de croissance élevé lié à une expansion économique
C. Le fruit d'innovations multiples dont l'accumulation correspond au progrès technique
D. Une formule économique pour doper la pousse des légumes...

4. Pourquoi dit-on que le progrès technique, et la croissance qu'il entraîne, est endogène ?
A. C'est un processus auto-entretenu, les innovations génèrent un surcroit de croissance économique qui en retour
dégage plus de ressources pour développer de nouvelles innovations, etc...
B. C'est une théorie soutenue par des études post-coloniales menées par les "Endogènes de la République".
C. Il résulte de décisions antérieures et de l'accumulation de capitaux de toutes natures : Physique, Humain,
Technologique, Public...
D. Il est le fruit d'innovations extérieures au système économique.

5. Quels sont les effets des institutions sur la croissance ?


A. Elles stimulent et protègent les innovations dans le secteur privé à travers des subventions et la protection des droits
de propriété intellectuelle.
B. Elles produisent et diffusent des connaissances notamment à travers la recherche publique et l'éducation.
C. Elles sont archaïques et inefficaces et plombent la croissance économique des pays.
D. Elles n'ont aucun effet sur la croissance car elles ne produisent ni richesses, ni externalités positives.

6. Qu'est-ce que la destruction créatrice?


A. Un processus mis en exergue par Joseph Schumpeter où les secteurs et emplois créés par le progrès technique
remplacent et détruisent les emplois d'autres secteurs devenus obsolètes.
B. Une théorie de Joseph Schmoufpeter sur les effets positifs du progrès technique dans les secteurs devenus
obsolètes.
C. Un processus analysé par Joseph Schtroumpfpeter d'innovations militaires.
D. Les effets observés par Joseph Schoupeter après le passage de ses jeunes enfants dans son bureau.

7. En quoi le progrès technique peut engendrer des inégalités de revenus? (3 réponses)


A. Du fait de la destruction créatrice, il peut modifier la structure des emplois en la polarisant entre travailleurs peu
qualifiés et faiblement rémunérés, et travailleurs très qualifiés et fortement rémunérés.
B. Il contribue à la hausse du nombre de travailleurs moyennement qualifiés.
C. On observe, par exemple une corrélation (qui n'est pas forcément causalité) entre le nombre de brevets déposés aux
USA et la part des revenus détenus par les 1% les plus riches.
D. Il provoque une course entre la qualification des travailleurs et la demande résultant de la hausse du niveau
technologique de la production.

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8. Comment la croissance économique peut reculer les limites écologiques auxquelles elle se heurte ?
A. L'écologie ça commence à bien faire!
B. On est foutus, c'est Pablo Servigne et les collapsologues qui l'ont dit! Autant s'entraîner à devenir chasseur cueilleur
tout en regardant l'intégrale de Mad Max!
C. Selon la courbe environnementale de Kuznets, le progrès technique peut contribuer à réduire l'impact environnemental
de la production et à trouver des substituts au capital naturel. On parle de soutenabilité faible.
D. Mais l'effet rebond de Jevons nous incite à la prudence, en préservant et en sanctuarisant autant que possible le
capital naturel, la biodiversité, le climat... autant que possible le temps de trouver des solutions. On parle alors de
soutenabilité forte.

9. L'avantage comparatif fut trouvé par :


A. David Ricardo
B. Adam smith

10. Qu'est que l'avantage comparatif ?


A. se spécialiser là ou le pays est le meilleur dans sa production
B. se spécialiser là où le pays détient un avantage le plus grand en terme de productivité du travail
C. se spécialiser là où le pays a un désavantage le moins grand en terme de productivité du travail

11. Les effets de la spécialisation selon son avantage comparatif :


A. baisse des échanges
B. baisse des prix
C. hausse des prix
D. variété des produits

12. Le théorème HOS explique la spécialisation :


A. selon sa puissance économique
B. selon la dotation en facteurs de production
C. selon sa productivité du travail par rapport aux autres

13. Quelles sont les barrières tarifaires ?


A. quotas
B. droits de douane
C. normes sanitaires
D. taxes

14. Quels sont les avantages du libre échange ?


A. protéger les industries naissantes ou vieillissantes
B. hausse des prix
C. baisse des prix
D. stimuler la concurrence et donc l'innovation

15. Quels sont les risques du protectionnisme ?


A. hausse des couts de production pour les producteurs
B. Plus grande variété de produits
C. guerre commerciale
D. hausse des prix pour le consommateur

16. Sélectionnez la bonne illustration des effets de la dotation factorielle


A. Le Canada se spécialise dans le bois car les forêts sont nombreuses dans le pays
B. La France se spécialise dans la production de voiture car elle a un facteur capital productif
C. Le Bangladesh se spécialise dans la production de t-shirt car il dispose d'une main d'œuvre abondante
D. L'Italie se spécialise dans l'innovation nucléaire car elle a un faible capital humain

17. Qu'est-ce que l'internationalisation de la chaîne de valeur ?


A. La répartition des étapes de production selon la valeur ajoutée de chaque étape
B. La répartition des étapes de production selon les avantages comparatifs des pays
C. La répartition des étapes de production selon le capital humain disponible dans le pays

18. Qu'est-ce que la compétitivité des entreprises ?


A. La capacité à capter la plus grande part de marché possible

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B. La capacité à produire le plus possible
C. La capacité à vendre le plus possible
D. La capacité à exporter le plus possible

19. Qu'est-ce que la compétitivité d'un pays?


A. La capacité à exporter des entreprises du pays
B. La capacité à former ses citoyens
C. Une balance commerciale excédentaire
D. Une balance commerciale déficitaire

20. Sélectionnez les avantages du libre-échange


A. Diminution des prix
B. Augmentation de la quantité de produits proposée sur le marché
C. Diminution des inégalités entre PD et PED
D. Diminution des inégalités au sein des pays

21. Sélectionnez les inconvénients du libre-échange


A. L'augmentation des inégalités au sein des pays
B. L'exclusion de PMA du commerce international
C. La diminution des prix
D. La diminution de la variété des produits proposés

22. Appliquer le protectionnisme pour permettre à de nouveaux secteurs de se développer se nomme


A. Le protectionnisme éducateur
B. Le protectionnisme défense

23. Sélectionnez les bons objectifs du protectionnisme défensif


A. Garantir la sécurité alimentaire
B. Protéger des secteurs stratégiques
C. Protéger des secteurs vieillissants
D. Protéger des secteurs innovants

24. La compétitivité-prix renvoie à


A. L'augmentation des prix pour attirer les consommateurs
B. La diminution des prix pour attirer les consommateurs
C. L'augmentation des quantités pour le même prix pour attirer le consommateur
D. L'amélioration de la qualité

25. La compétitivité hors-prix renvoie à


A. L'amélioration de la qualité du produit
B. L'amélioration des fonctionnalités du produit
C. L'amélioration de la technique de production du produit
D. L'obtention d'économies d'échelle

26. Laquelle de ces formes de participation à la vie publique n'est pas une forme d'engagement politique ?
A. Voter à une élection
B. Adhérer à un syndicat
C. Participer à une manifestation
D. Adhérer à une association sportive
E. Signer une pétition sur un réseau social

27. Le paradoxe de l'action collective désigne :


A. le fait que l'engagement dans l'action collective va forcément à l'encontre de certains intérêts communs
B. la contradiction entre les résultats attendus et ceux obtenus de l'action engagée
C. la contradiction entre l'intérêt collectif à se mobiliser et l'intérêt individuel à laisser les autre agir

28. Les incitations sélectives :


A. visent à encourager les comportements de passager clandestin
B. sont mises en place par le groupe qui se mobilise
C. peuvent être positives ou négatives
D. peuvent prendre la forme de sanctions ou de récompenses
E. visent à augmenter le coût de l'engagement

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29. Un syndicat met en place une caisse de soutien pour ses adhérents grévistes
A. structure des opportunités politiques
B. rétribution symbolique
C. incitation sélective
D. paradoxe de l'action collective
30. Quelles caractéristiques sociales influencent positivement l'intérêt pour la politique et l'engagement
politique ?
A. Être très diplômé
B. Être ouvrier ou employé
C. être âgé
D. Être un homme
E. Être une femme

31. Dans la structure des opportunités politiques, le fait qu'un mouvement ne puisse pas réussir si les divisions
entre partis sont trop figées renvoie au critère de ...
A. développer des politiques publiques
B. degré de stabilité des alliances politiques
C. ouverture du système politique
D. forces relais à des positions stratégiques

32. Le mouvement gai et lesbien est un NMS pour quelles raisons ?


A. Il porte sur des revendications professionnelles
B. les revendications ne sont pas liées au travail
C. les revendications portent sur les droits et l'égalité entre les individus
D. il repose sur la grève

33. Le travail désigne...


A. une activité de production de biens ou de services, rémunérée ou non, déclarée ou non
B. le cadre dans lequel on effectue une activité professionnelle déclarée et rémunérée

34. quels sont les critères du BIT pour caractériser une personne au chômage ?
A. n'a pas du tout cherché de travail pendant une semaine de référence
B. n'a pas du tout travaillé pendant une semaine de référence
C. est disponible pour prendre un emploi
D. a cherché activement un emploi
E. est dans l'incapacité de chercher et d'occuper un emploi

35. On comprend dans les "formes atypiques d'emploi"...


A. Les contrats qui ont une durée limitée dans le temps
B. Le temps partiel (volontaire ou non)
C. L'interim
D. Les CDI

36. Quels sont les piliers du taylorisme ?


A. Division verticale et horizontale du travail
B. Autorité hiérarchique stricte
C. Management participatif
D. Recomposition des tâches
E. Flexibilité du travail

37. Quels sont les piliers du post-taylorisme (lean production & organisation apprenante) ?
A. Division verticale & horizontale des tâches
B. Autorité hiérarchique stricte
C. Flexibilité
D. Management participatif
E. Recomposition des tâches

38. Le numérique participe à l'accroissement de la polarisation des emplois


A. Vrai
B. Faux

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39. Pour décrire le phénomène de travailleurs offrant une prestation de service sur une plateforme, on parle .........
A. d'uberisation du travail
B. de polarisation de l'emploi
C. de halo du chômage
D. de maintien du statut social

40. Le taux de chômage se calcule de cette façon:


A. nombre de chômeurs/ population active *100
B. nombre de chômeurs/ population en âge de travailler *100
C. nombre de chômeurs/ population inactive *100
D. nombre de chômeurs/ population totale *100

41. Le numérique et le télétravail...


A. accentuent la frontière entre vie personnelle et vie professionnelle.
B. brouillent la frontière entre vie personnelle et vie professionnelle.
C. n'ont pas d'impact sur la frontière entre la vie professionnelle et la vie privée.

42. Parmi les propositions suivantes, quelles sont les deux qui sont vraies ?
A. Le numérique permet une hausse de la productivité des plus qualifiés.
B. Le numérique ne menace aucun travailleur peu qualifié.
C. Le numérique permet de réduire les écarts entre les plus et les moins qualifiés.
D. Le numérique conduit à une précarisation de travailleurs peu qualifiés (livreurs, chauffeurs...).

43. Le numérique conduit à une polarisation des emplois, quels sont les deux principaux pôles d'emplois dans
ce cadre ?
A. Emplois très qualifiés et emplois intermédiaires.
B. Emplois très qualifiés et emplois peu qualifiés.
C. Emplois intermédiaires et emplois peu qualifiés.

44. Pourquoi le travail permet-il l'intégration à la société ?


A. Il intègre économiquement car il permet d'obtenir un revenu.
B. Il intègre socialement car il permet de tisser des liens sociaux.
C. Il intègre politiquement car il peut conduire à un engagement politique.

45. Les évolutions de l'organisation du travail...


A. conduisent à renforcer le rôle intégrateur du travail.
B. conduisent à changer la place du travail dans la vie des individus.
C. conduisent à diminuer le rôle intégrateur du travail.
D. favorisent la cohésion sociale.

46. Parmi les politiques suivantes, lesquelles sont considérées comme étant des politiques conjoncturelles ?
A. politique budgétaire
B. politique de l'innovation
C. politique monétaire
D. politique de la concurrence

47. En quoi consiste une politique budgétaire de relance keynésienne ?


A. Baisse des dépenses publiques
B. Baisse des recettes publiques
C. Hausse des dépenses publiques
D. Hausse des recettes publiques

48. En quoi consiste une politique budgétaire de rigueur ?


A. Baisse des dépenses publiques
B. Baisse des recettes publiques
C. Hausse des dépenses publiques
D. Hausse des recettes publiques

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49. Quels sont les risques d'une politique budgétaire de relance ?
A. Risque d'aggravation de la dette publique
B. Risque déflationniste
C. Risque d'inflation par la demande
D. Effet d'éviction

50. Quels sont les risques d'une politique monétaire expansive ?


A. Risque d'inflation monétaire
B. Risque de pénaliser la croissance économique
C. Risque d'endettement
D. Risque de chômage

51. Les classes sociales se définissent par un critère :


A. culturel
B. économique
C. social

52. De quoi l'appartenance à un groupe de statut dépend-elle selon Max Weber ?


A. la naissance
B. le capital culturel
C. l'instruction
D. le style de vie
E. la profession

53. Selon Max Weber, les groupes de statut se distinguent les uns des autres selon :
A. leur niveau de diplôme
B. leur niveau de vie
C. leur degré de prestige

54. Quelles sont les composantes du capital culturel selon Pierre Bourdieu ?
A. Les biens culturels
B. Les diplômes
C. L'habitus culturel

55. Pour Pierre Bourdieu, la structure sociale repose sur une hiérarchie :
A. des revenus
B. des patrimoines
C. des diplômes
D. des styles de vie

56. Que recouvre le processus de moyennisation sociale au sens de Henri Mendras ?


A. Une baisse du niveau scolaire
B. Une faible mobilité sociale
C. Une réduction des inégalités économiques et sociales
D. L'apparition d'une vaste classe moyenne
E. L’homogénéisation des styles de vie

57. Cocher ci-dessous les exemples d'inégalités économiques :


A. de revenu du travail
B. de patrimoine
C. de revenu du capital
D. études scolaires
E. l'espérance de vie

58. Pour Karl Marx il y a


A. seulement deux classes sociales qui existent à chaque période.
B. il y a toujours deux classes principales, dont l'une domine l'autre.
C. le conflit est au centre de son analyse.
D. les classes sociales ont forcément conscience d'exister.

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59. Le classe d'un individu selon Karl Marx
A. dépend de la position de l'individu dans la hiérarchie.
B. dépend de la richesse de l'individu.
C. depend la position de l'individu dans le processus de production.

60. Pour Karl Marx


A. la classe en soi désigne les groupes sociaux d'individus qui partagent la même situation objective dans le système de
production.
B. La classe pour soi désigne les groupes sociaux d'individus qui partagent la même situation objective dans le système
de production.
C. La classe pour soi désigne les groupes sociaux d'individus qui ont conscience d'appartenir à cette classe et d'avoir
des intérêts en commun à défendre.
D. La classe en soi désigne les groupes sociaux d'individus qui ont conscience d'appartenir à cette classe et d'avoir des
intérêts en commun à défendre.

61. Chez Marx, un classe sociale "pour soi" désigne un ensemble d'individus
A. ayant une place similaire dans les rapports de production
B. ayant une conscience d'avoir des intérêts communs et se mobilise pur les défendre
C. ayant un pouvoir politique identique
D. ayant un même degré de prestige social

62. Pour Weber, il existe trois ordres:


A. Economique, culturel et social
B. Economique, social et politique
C. Economique, administratif et politique
D. Economique, social et juridique

63. Certains sociologues remettent en cause la moyennisation de la société parce que...


A. des inégalités persistent.
B. qu'il y a une massification scolaire.
C. qu'il y a une disparition de la classe moyenne.
D. des nombreux critères brouillent les frontières de classes.

64. La notion d'habitus de P.Bourdieu insiste sur l'idée:


A. Qu'un individu est influencé dans ses modes de vie et de pensée par son milieu social d'origine
B. Que les groupes de pairs et les médias ont plus d'influence sur l'individu que la famille
C. Qu'un individu est marqué dan ses modes de vie et de pensée par ses groupes de référence
D. Que la famille, les groupes de pairs et les médias influencent beaucoup l'individu

65. Plus le coefficient de Gini est proche de zéro :


A. Plus le pays est inégalitaire
B. Plus le pays est égalitaire

66. Les inégalités :


A. n'ont fait qu'augmenter
B. ont diminué au début du XXe siècle puis augmente depuis les années 1980
C. n'ont fait que diminuer
D. ont augmenté au début du XXe siècle puis diminue depuis les années 1980

67. La redistribution :
A. est un moyen où l'Etat prélève des impôts/taxes (fiscalité) et reverse sous forme de prestations sociales monétaires
(allocations).
B. est un moyen où l'Etat prélève des impôts/taxes (fiscalité) et reverse sous forme de services collectifs (quasi-)gratuits.
C. est un moyen où l'Etat finance les mesures contre les discriminations.

68. L'Etat-providence :
A. fait face à des problèmes de financement (hausse de son déficit)
B. fait face à une crise de légitimité (sentiment négatif des citoyens face aux impôts)
C. fait face à des risques d'effets pervers (désincitations)
D. n'arrive pas à réduire les inégalités totalement

69. un impôt proportionnel

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A. correspond à un taux d'imposition qui décroît avec l'augmentation du revenu
B. correspond à un taux d'imposition qui croît avec le niveau de revenu
C. correspond à un taux d'imposition identique quelque soit le niveau de revenu

70. laquelle des propositions suivantes est exacte


A. seule la redistribution horizontale des revenus réduit les inégalités
B. seule la redistribution verticale des revenus réduit les inégalités
C. la redistribution n'a aucun impact sur la réduction des inégalités

71. en France, la Sécurité sociale a été créée :


A. en 1936
B. à la fin du XIXème siècle
C. en 1945

72. les minima sociaux répondent à une logique :


A. d'assistance
B. aucune des deux
C. d'assurance et d'assistance
D. d'assurance

73. Le système français de protection sociale repose :


A. exclusivement sur une logique d'assistance
B. une logique d'assurance complétée par une logique d'assistance
C. une logique d'assistance complétée par une logique d'assurance
D. exclusivement sur une logique d'assurance

74. si la valeur correspondant au décile 1 est de 7 885 €, cela signifie que


A. les 10% les plus riches gagnent plus de 7 885 €
B. les 10% les plus pauvres gagnent moins de 7 885 €
C. les 10% les plus riches gagnent moins de 7 885 €
D. les 10% les plus pauvres gagnent plusde 7 885 €

75. Les allocations chômage correspondent à une logique de :


A. prestations universelles
B. assistance
C. assurance

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